• Le drame s’est produit samedi à Revel, devant le domicile du couple

    Une marche arrière fatale. Un homme de 89 ans a perdu la vie samedi matin, percuté devant son domicile par la voIture que conduisait sa compagne. L’accident a eu lieu aux alentours de 11 heures, sur la commune de Revel, à une cinquantaine de kilomètres à l’est de Toulouse, ont indiqué les pompiers du Service départemental d’incendie et de secours.

    Malgré un massage cardiaque, les sauveteurs appelés sur place n’ont rien pu faire pour réanimer la victime. Selon les informations de La Dépêche du Midi, l’octogénaire a voulu écarter le chien du couple de la trajectoire de la voiture au moment où celle-ci reculait. La conductrice ne l’a pas vu. Extrêmement choquée par le drame, elle a dû être hospitalisée.

    20 Minutes


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  • Vaucluse : Du cannabis, de la cocaïne, 37 armes et deux serpents saisis, sept suspects interpellés

    Vaucluse : Du cannabis, de la cocaïne, 37 armes et deux serpents saisis, sept suspects interpellés

    Une enquête menée par la brigade de recherches d’Avignon a permis de démanteler un trafic de stupéfiants entre le Vaucluse et la Guadeloupe. Les gendarmes ont saisi plusieurs kilos de drogue, des armes ainsi que deux serpents.

    Sept suspects ont été interpellés au cours d’une opération de gendarmerie ce mercredi à L’Isle-sur-la-Sorgue et Bédarrides rapporte France Bleu. Au cours des perquisitions, les enquêteurs de la brigade de recherches d’Avignon ont mis la main sur 8 kg d’herbe de cannabis, près de 3 kg de résine, 177 grammes de cocaïne, 20 grammes d’héroïne, 12 grammes d’ecstasy et du produit de coupe.

    Ce n’est pas tout. 37 armes à feu ont été saisies ainsi que des munitions de divers calibres, mais également six téléphones, deux véhicules et 24 170 euros en numéraire.

    Un python birman

    Les gendarmes ont également découvert deux serpents, dont un python birman, également appelé python bivittatus. Il s’agit de l’un des plus gros serpents de la famille des pythons. Certains peuvent dépasser quatre mètres, plus rarement cinq mètres. Ils se nourrissent de mammifères et sont en capacité d’avaler des proies de grande taille. Les deux pythons ont été placés en gardiennage.

    Les sept interpellés devaient être déférés pour être jugés en comparution immédiate ce vendredi, au tribunal correctionnel d’Avignon.

    ACTU 17


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  • Un chat convoyeur de drogues capturé au Panama

    Son petit sac en tissu accroché autour de son cou avait attiré l'attention : un chat convoyeur de drogues a été capturé aux abords d'une prison du Panama, ont annoncé vendredi les autorités du pays d'Amérique centrale.

    Ce "narcogato" (chat trafiquant de drogue) comme le nomment les médias panaméens, a été capturé alors qu'il se dirigeait vers l'enceinte de la prison de Nueva Esperanza où sont entassés plus de 1.700 détenus, dans la province caribéenne de Colon, à environ 80 kilomètres au nord de la capitale Panama.

     

    "Une enquête a été ouverte sur l'utilisation d'animaux pour le transfert de substances illicites au centre pénitentiaire de Nueva Esperanza", a annoncé le procureur de la province en charge des narcotrafics, Eduardo Rodriguez. Les stupéfiants retrouvés seraient de la cocaïne, du crack et de la marijuana.

    Pour les inciter à rentrer dans la prison et faire office de convoyeur de drogue, les animaux sont généralement nourris par les prisonniers, a ajouté M. Rodriguez.

    Le chat, un mâle adulte à poil blanc avec des taches rousses, a été remis à une fondation de protection des animaux.

    D'autres animaux utilisés

    Le Panama compte plus de 18.000 détenus dans 23 prisons, dont la plupart sont surpeuplées. Ce n'est pas la première fois que des animaux sont utilisés pour transporter de la drogue dans les cellules. Le "narcogato" avait été précédé au Panama par des tentatives de livraison par des pigeons ramiers.

    Pays de transit de la cocaïne sud-américaine vers les Etats-unis, le Panama a saisi 84 tonnes de différentes drogues en 2020, principalement de la cocaïne, approchant le record de 2019 de 90 tonnes.

    BFM.TV


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  • La victime se travestissait et l’accusé est déjà accusé d’avoir tenté de tuer une femme transgenre en 2017

    Un homme d’une vingtaine d’années a été écroué pour meurtre et viol aggravés par l’orientation sexuelle de la victime, soupçonné d’avoir violé et égorgé chez lui un homme qui se travestissait, puis incendié son appartement à Reims, a annoncé vendredi le procureur. Ce Congolais né en 1994, ayant le statut de réfugié, a été interpellé à Evry le 15 avril, a annoncé le procureur de la République Matthieu Bourrette lors d’une conférence de presse.

     

    Si son casier judiciaire est vierge, il avait déjà été mis en examen à Evry en 2019 pour une tentative d’homicide intervenue en 2017 sur une escort girl transgenre, a indiqué le procureur, précisant qu’il avait été placé sous contrôle judiciaire dans le cadre de cette information judiciaire, toujours en cours. « On a affaire à quelqu’un qui en veut aux travestis » et aux personnes transgenres. Le procureur se pose « la question de l’homosexualité latente de l’accusé qui se transforme en agressivité ».

    L’accusé reconnaît les faits

    Le 7 avril au soir, un homme de 50 ans, agent intérimaire célibataire, homosexuel « se travestissant uniquement chez lui », avait été retrouvé mort dans son appartement de Reims en partie incendié. Nu, il présentait 14 plaies au cou et aux cervicales. Des vêtements de femme découpés avaient également été découverts. « L’accusé reconnaît l’intégralité des faits », a expliqué Matthieu Bourrette, précisant qu’il avait frappé la victime avec des ciseaux après l’avoir violé, puis mis le feu pour effacer les indices.

    Matthieu Bourrette a indiqué « retenir la qualification de meurtre aggravé en raison de l’orientation ou de l’identité sexuelle de la victime, dans la mesure où il est établi que les vêtements de femme qu’elle portait ont été en partie découpés, et que le mis en cause reconnaît avoir découpé les cheveux de la victime », ces deux éléments pouvant laisser penser qu’il cherchait à la « masculiniser ».

    L’homme est également mis en examen pour vol et escroquerie pour avoir utilisé la carte bancaire de la victime, pour des livraisons de repas et la location d’une chambre. Il a expliqué être rentré en contact avec la victime dans le cadre d’une escroquerie au faux chèque dont il aurait été victime et être entré chez elle pour récupérer la somme de 500 euros, mais selon le procureur aucune trace de chèque rejeté n’a été trouvée.

    20 Minutes


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  • Un homme en situation irrégulière soupçonné d'avoir tenté d'attaquer au couteau trois jeunes hommes juifs le 29 mars à Sarcelles, dans le Val d'Oise, a été expulsé vers le Pakistan vendredi soir.

    Selon les informations d'Europe 1, son expulsion a eu lieu en application d'une ordonnance de quitter le territoire dont il faisait l'objet avant les faits mais qui n'avait pas été exécutée. Interpellé peu après les faits, il avait été mis en examen mais laissé libre. Le caractère antisémite de l'agression n'avait pas été retenu.

     

    Quelques jours après l'attaque, le maire de Sarcelles s'était indigné sur les réseaux sociaux du fait que le suspect soit remis en liberté. Il avait écrit à ce sujet au ministre de l'Intérieur. "Comment un homme qui menace d’un couteau 3 jeunes sarcellois de confession juive peut-il être remis en liberté ? Quelle conception des libertés a le juge qui a permis cela ? Comment le même homme frappé d’une obligation de quitter le territoire français depuis 2 ans peut-il continuer de séjourner sans titre et sans domicile officiel dans notre ville et d’être un danger pour nos concitoyens ?", avait écrit Patrick Haddad sur son compte Facebook.

    Mis en examen pour "menace avec arme"

    Le 29 mars, jour de la Pâques juive, les trois jeunes, qui portaient la kippa, avaient été agressés alors qu'ils sortaient de la grande synagogue. Depuis son balcon, une femme voyant le suspect s'approcher d'eux, un long couteau à la main, les auraient alertés. Les jeunes hommes avaient alors pris la fuite et réussi à lui échapper. D'après le Parisien, le suspect était alcoolisé et aurait crié en s'approchant : "Ils m'ont volé mon travail." Maitrisé par plusieurs personnes arrivées en renfort, l'homme avait été placé en garde à vue au commissariat de Sarcelles. 

    Mis en examen pour "menace avec arme", il avait été placé sous contrôle judiciaire et remis en liberté. Toujours selon le Parisien, le parquet de Pontoise avait fait appel de cette dernière décision. Aucun élément n'ayant pu par ailleurs confirmer le caractère antisémite des faits, cette circonstance aggravante n'avait pas été retenue. 

    Europe 1

    Quelle justice de merde en France !


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  • Un homme âgé d’une soixantaine d’années a été tué par balle samedi en milieu de journée à Gap (Hautes-Alpes) par un individu en fauteuil roulant, a-t-on appris de source judiciaire. 

    Les faits se sont produits vers midi au rez-de-chaussée d'un immeuble du quartier des Cèdres, situé au sud de la ville. 

    L’auteur présumé a tiré avec une arme de type fusil à pompe. Il a été interpellé par la police après s'être un temps retranché dans les étages du bâtiment.

    Selon les premiers éléments recueillis par les enquêteurs, un différend de voisinage ayant eu lieu le matin pourrait être à l’origine du meurtre. 

    Un médecin légiste de l'institut médico-légal de Grenoble est attendu sur place ainsi que les services de l'identité judiciaire de la PJ de Marseille pour effectuer des constatations. 

    Une enquête judiciaire a été ouverte par le parquet de Gap pour assassinat et confiée, pour l'heure, à la Brigade de sureté urbaine (BSU) du commissariat de Gap.

    AFP

     


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  • On connaissait les attaques de requins, oui. Mais ce qui est arrivé à Muhammad Idul, 16 ans, n’est pas vraiment commun. Alors qu’il pêchait dans les eaux de Buton, en Indonésie, voilà qu’un poisson aiguille, appelé Orphie, a sauté dans le bateau de pêche avant de s’en prendre au cou de l’adolescent, détaille le site indonésien Makassar Terkini. Les images, diffusées sur Twitter, sont impressionnantes.

     

    C'est quand une lampe torche a été allumée que le poisson aurait sauté hors de l'eau, raconte le jeune homme à la BBC. Muhammad Idul a attrapé le poisson, et raconte l'avoir tenu très fort pour essayer de minimiser sa blessure. C'est l'un de ses camarades pêcheurs qui l'a dissuadé d'enlever le poisson de son cou, ce qui aurait sans doute provoqué une hémorragie.

    Une opération délicate

    Le jeune homme a dû être transporté d’urgence à l’hôpital, afin d’y recevoir des soins. Cinq médecins experts, trois chirurgiens et deux anesthésiologistes ont été nécessaires pour retirer le museau du poisson.

    L'équipe de médecins a travaillé pendant environ deux heures sur le cou du garçon. "Pour retirer le museau du poisson, il a fallu être très prudent car il y a un gros vaisseau dans le cou", a déclaré un médecin anesthésiste au site Indonésien. "Heureusement, le nez du poisson a bloqué le saignement.”

    Opéré le 20 janvier, les jours de l’adolescent ne sont désormais plus en danger. Il ne souffre pas, même s'il ne peut pas encore tourner la tête du côté droit. "Je dois faire plus attention la prochaine fois, a-t-il indiqué à la BBC. Les Orphies ne peuvent supporter la lumière et c'est pour ça qu'elle a sauté de l'eau pour me transpercer."

    Gent Side


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  • « Ce sont des pieds nickelés, mais quand même, ils n'ont vraiment pas eu de chance. » Interrogé dans Le Parisien, un enquêteur préfère rire de la mésaventure vécue par deux hommes dans l'Oise, le 5 avril dernier. Difficile de savoir ce qui leur est passé par la tête. Mais alors que l'un d'entre eux avait reçu comme « cadeau » un brassard de police par une connaissance, ils ont décidé de l'utiliser directement sur le terrain et de contrôler des automobilistes en se faisant passer pour des agents des forces de l'ordre.

     

    Petit problème : ils sont tombés? sur un vrai commissaire de police, qu'ils ont stoppé au niveau de Saint-Leu-d'Esserent. Ce dernier connaît tous les agents des environs ; il sait également que la zone concernée est située en zone gendarmerie et que les policiers n'ont pas à effectuer de simples contrôles routiers de la sorte. « Cela partait mal pour eux », rigole un gendarme de l'Oise. Le commissaire de police va alors inverser les rôles et demander les papiers des faux agents pour attester leur identité et surtout leur fonction.

    Il n'est pas précisé comment s'est déroulé le contrôle et comment ont agi les faux policiers lorsqu'ils ont été démasqués. Toujours est-il que le commissaire a porté plainte contre eux après avoir relevé leur identité. Les deux hommes, dont l'un aurait avoué avoir toujours eu envie de rentrer dans la police, ont été placés en garde à vue. Ils devront bientôt s'expliquer devant la justice pour « usurpation de fonction » : un délit qui pourrait leur valoir jusqu'à trois ans de prison et 45 000 euros d'amende.

    Le Point


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  • Un homme a été neutralisé par balle par les gendarmes à Frouard, près de Nancy (Meurthe-et-Moselle) ce vendredi matin, alors qu’il venait de tirer en direction des militaires. Il est décédé. Les faits ont eu lieu au cours d’une opération dans le milieu des gens du voyage.

    Une opération de gendarmerie s’est déroulée dès 6 heures ce vendredi matin sur la commune de Frouard, non loin de l’écluse du Clevant où vivent des gens du voyage sédentarisés indique L’Est Républicain.

    Les gendarmes de la compagnie de Nancy, assistés par les militaires de l’antenne du GIGN de Reims, intervenaient suite à la violente agression d’une victime en début de semaine, à proximité de ce campement. Plusieurs suspects devaient être interpellés pour être interrogés concernant cette affaire.

    Des tirs avec un fusil de chasse

    Au moment où les gendarmes sont arrivés, un homme a ouvert le feu sur les militaires avec un fusil de chasse. Le tireur a été neutralisé par au moins un tir du GIGN. Il est décédé. Un périmètre de sécurité était toujours en place à la mi-journée pour permettre aux gendarmes de réaliser des constatations.

    Aucun militaire n’a été blessé au cours de cette opération. « Il y avait un différent de voisinage de longue date et les gendarmes étaient déjà intervenus à plusieurs reprises », explique une source proche de l’enquête à France 3. Lors de l’intervention des forces de l’ordre, « un jeune homme d’une vingtaine d’années s’est présenté aux gendarmes en tirant un coup de feu en l’air puis son père est sorti à son tour mais en tirant vers les forces de l’ordre ».

    ACTU 17


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  • Samedi 10 avril 2021, un Avignonnais de 50 ans a été retrouvé mort dans sa salle de bain, le pommeau de douche enfoncé dans la gorge. Quelques jours plus tard, l'autopsie a confirmé qu'il s'agissait d'un suicide.

    Ce sont les membres de la famille de la victime qui ont fait la macabre découverte. Samedi 10 avril 2021, à Avignon (Vaucluse), un homme d’une cinquantaine d’années a été retrouvé mort, dans une salle de bain, le pommeau de douche enfoncé dans la gorge. Un décès surprenant qui a nécessité une courte enquête pour déterminer s’il s’agissait d’un suicide ou non. Deux enquêteurs s’étaient alors rendus sur place pour effectuer des premières constatations "une bonne partie de la journée" indiquent nos confrères du Dauphiné Libéré . Une minutie qui s’explique par cette découverte atypique, voire inédite, qui a forcément interpellée les autorités.

    L’autopsie a confirmé la piste du suicide

     

    Mardi 13 avril 2021, une autopsie a été pratiquée sur l’homme de 50 ans ? Résultat, l’examen du corps réalisé par l’institut médico-légal de Nîmes a confirmé qu’il s’agissait bel et bien d’un suicide. Un mode d'opération pour le moins surprenant. Pour rappel, le suicide le plus fréquent est la pendaison (46 %), suivi de la prise de médicaments (16 %) et les armes à feu (15 %), avait relevé il y a quelques années une enquête relayée par Le Figaro .

    Public


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  • Normandie : un garçon de 10 ans et son chien font déguerpir un voleur

    Illustration

    Il a pris la poudre d'escampette. Un cambrioleur pensait avoir flairé le bon filon en s'introduisant un matin dans une maison où un enfant de 10 ans avait été laissé seul quelques minutes. Il n'avait cependant pas calculé un détail : la présence d'un chien de garde. Les faits ont eu lieu mercredi 14 avril vers 9 h 30 à Muneville-le-Bingard. Le garçonnet jouait dans le salon quand il a entendu le malfrat entrer et fouiller le rez-de-chaussée. Il n'a pas paniqué et est allé discrètement réveiller son cane corso, rapporte France Bleu Cotentin.

     

    Le molosse a vite émergé et flairé le danger. Il a suivi les ordres de son petit maître de 10 ans et a commencé à poursuivre le cambrioleur. En voyant l'imposant chien arriver, ce dernier a tout laissé sur place et a détalé instantanément. À noter qu'un cane corso à l'âge adulte peut faire jusqu'à 50 kilos et mesurer entre 64 et 68 centimètres. Une belle bête.

     

    Si le danger a été vite écarté, la maman, prévenue par téléphone par son fils, a malgré tout prévenu les gendarmes à son retour à la maison. Ces derniers ont discuté avec le petit garçon et l'ont félicité pour son courage. Ils ne se sont également pas privés de raconter cette drôle d'histoire sur leur page Facebook. « Bravo à toi, jeune garçon courageux ! »

    Le Point


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  • La villa de deux Varois est squattée par plusieurs familles depuis le mois de septembre 2020. Une manifestation est prévue dans la commune pour alerter les pouvoirs publics sur cette situation.

    Deux Varois ont décidé d'organiser une manifestation pacifique samedi afin d'alerter l'opinion et les autorités sur leur sort, alors que leur villa familiale est illégalement occupée par des squatteurs depuis maintenant sept mois, comme le rapporte le journal Var-Matin.

     

    Jean-Philippe et Marie-Françoise Victor ont hérité à la mort de leur mère de la demeure, située aux Arcs-sur-Argens, dans le Var, fin 2019. Mais depuis le mois de septembre 2020, la bâtisse est occupée par plusieurs familles de demandeurs d'asile venus d'Europe de l'Est. Des voisins rapportent avoir vu deux femmes et leurs enfants casser le portail et la porte d'entrée afin de prendre possession des lieux.

    Les pouvoirs publics interpellés

    Bien qu'une demande d'expulsion immédiate ait été ordonnée il y a six mois, la sous-préfecture de Draguignan refuse toujours d'appliquer la décision. Au journal local, le sous-préfet Éric de Wispelaere explique qu'il n'est, en effet, pas possible d'avoir recours à "la force publique avant la fin de la trêve hivernale", qui a, cette année, été repoussée au 31 mai en raison de la pandémie.

    Chaque mois, les héritiers et propriétaires de la villa doivent donc régler les factures des squatteurs, en plus des 8000 euros dépensés en frais de justice, selon les informations de la chaîne CNews.

    Manifestation samedi

    Depuis la fin d'année 2020, Jean-Philippe et Marie-Françoise Victor ont tenté à plusieurs reprises d'interpeller les pouvoirs publics, en vain. Ils affirment n'avoir eu aucune réponse, ni du député de leur circonscription, ni des ministres de l'Intérieur et de la Justice, et encore moins du chef de l'État. Par ailleurs, une pétition lancée en ligne a, elle, récolté plus d'un millier de signatures.

    Selon les propriétaires des lieux, la manifestation prévue samedi aux Arcs-sur-Argens est une "manifestation de désespoir, apolitique et qui s’effectuera dans le respect des règles sanitaires".

    BFM.TV

    J'estime cette situation inadmissible !


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  • Un petit garçon de 9 ans a été victime d’un malaise mortel à Brindas (Rhône), mercredi 14 avril. Il était en train de jouer avec des copains sur un stade de la ville quand il s’est effondré. Des témoins de la scène lui ont prodigué les gestes de premiers secours avant l’arrivée des pompiers mais l’enfant n’a pas pu être réanimé.

    Un enfant de 9 ans est mort, mercredi 14 avril, à Brindas (Rhône). Selon Le Progrès, le petit garçon était en train de jouer sur le stade de la commune quand il a été pris d’un malaise.

    Des adultes qui ont assisté à la scène sont rapidement intervenus. Ils ont tenté de le réanimer en lui prodiguant les gestes de premiers secours. Les pompiers ont été appelés pour sauver la petite victime. Mais malgré leur intervention, l’enfant est décédé.

    Un examen pour déterminer les causes du malaise

    Le garçon venait régulièrement s’amuser au stade. Ses parents, âgés d’une quarantaine d’années, habitaient la commune depuis dix ans. L’enfant ne souffrait, a priori, d’aucun problème de santé, précisent nos confrères. Un examen médical va donc être pratiqué pour déterminer les causes du malaise.

    Ouest-France


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  • Enlèvement de Mia : les trois ravisseurs présumés interpellés, la fillette reste introuvable

    Les trois hommes soupçonnés d’avoir enlevé la petite Mia, 8 ans, ce mardi, ont été interpellés en région parisienne. La fillette reste néanmoins introuvable à ce stade.

    Les enquêteurs de la gendarmerie ont interpellé les trois hommes qui seraient les ravisseurs de la petite Mia, enlevée ce mardi matin à proximité de Saint-Dié-des-Vosges (Vosges). Ces derniers ont été arrêtés en région parisienne puis placés en garde à vue.

    Mia et sa mère sont toujours activement recherchées par les gendarmes. Le dispositif alerte enlèvement avait été déclenché ce mardi soir durant quelques heures avant d’être levé dans la nuit, à la demande du parquet.

    Les trois ravisseurs se sont fait passer pour des professionnels du STEMO

    Vers 11h30 ce mardi, les trois complices se sont présentés au domicile de la grand-mère de la petite fille, chez qui elle se trouvait sur demande d’un juge des enfants. Ils lui ont alors expliqué qu’ils étaient des professionnels du STEMO (Services territoriaux éducatifs de milieu ouvert) et ont demandé à « réaliser une visite inopinée du logement, en donnant le nom d’un vrai éducateur », a expliqué Nicolas Heitz, le procureur de la République d’Épinal lors d’une conférence de presse mercredi matin.

    Les trois hommes ont ensuite prévenu la grand-mère qu’ils devaient conduire Mia à « un rendez-vous dans un centre spécialisé » et l’ont installé dans leur fourgon avant de disparaître. La grand-mère a alors eu des doutes et a donné l’alerte.

    Mia aurait été remise à sa mère, Lola Montemaggi. Ces dernières restent introuvables pour l’heure. La justice avait interdit à la mère de famille de voir sa fillette seule. Elle refusait « toute collaboration avec les services éducatifs et souhaitait vivre en marge de la société », a ajouté le magistrat.

    Si vous disposez d’informations permettant d’aider les enquêteurs, contactez le 0800 36 32 68.

    ACTU 17   15 avril 2021, 18h53


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  • Un homme qui circulait sur un scooter de type TMax a refusé de s’arrêter lorsque les policiers lui ont demandé et a pris la fuite. Il s’est engagé à contresens sur l’autoroute A1 avant de percuter violemment un autre véhicule. L’homme a été transporté à l’hôpital alors qu’il était entre la vie et la mort.

    Les policiers de la brigade anticriminalité (BAC) de Saint-Denis ont aperçu vers 23h30 dans la nuit de mercredi à jeudi, un homme à scooter circulant à pleine vitesse qui a franchi deux feux rouges sous leurs yeux. Ils lui ont ordonné de s’arrêter mais ce dernier a refusé d’obtempérer puis s’est dirigé sur l’avenue du Président-Wilson, avant de s’engager sur l’autoroute A1 en direction de Paris.

    Plus loin, le fuyard a soudainement fait demi-tour et s’est engagé à contresens sur l’autoroute. Les forces de l’ordre ont alors arrêté de le suivre pour éviter un grave accident indique une source policière. Environ 600 mètres plus loin, l’homme à TMax a violemment percuté une voiture de type Ford Mondéo qui arrivait face à lui.

    De graves blessures

    L’homme à scooter a été très grièvement blessé et pris en charge par les secours. Il présentait d’importantes plaies saignantes et était sérieusement touché au niveau de la tête. Ce dernier a été transporté à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris (XIIIe) avec une escorte policière afin de réduire le temps de trajet. Son pronostic vital était alors engagé.

    L’automobiliste, qui était seul, n’a quant à lui pas été blessé. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances précises des faits. Les premiers éléments ont montré que le deux-roues – qui a été pulvérisé dans le choc – était faussement immatriculé mais a priori non signalé volé. La CRS autoroutière de Saint-Denis a été chargée des investigations.

    ACTU 17


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  • Sierra Halseth, 16 ans, et Aaron Guerrero, 18 ans, ont été arrêtés cette semaine dans l’Utah. Les deux jeunes gens, en couple, sont accusés d’avoir tué le père de la plus jeune. Daniel Halseth, âgé de 45 ans, a été retrouvé mort dans un garage de Las Vegas. Son cadavre était brûlé, rapporte la chaîne KVVU. C’est la mère de la victime qui a téléphoné à la police, inquiète de ne pas avoir de nouvelles de son fils depuis deux jours.

    Après le signalement, les agents ont demandé au propriétaire du domicile de vérifier que tout allait bien. C’est là que le corps a été découvert. Les premiers éléments de l’enquête indiquent que l’homme est mort suite à des blessures par perforation à la poitrine, au cou et au dos. La police a fait savoir que l’incendie avait ensuite probablement été déclenché pour faire disparaitre les preuves.

    Des détails sordides

    Les recherches du ou des suspects ont été accélérées après que la mère d’Aaron Guerrero s’est elle-même présentée aux enquêteurs, expliquant que son fils fréquentait Sierra Halseth alors qu’il en avait reçu l’interdiction par ses parents. Les parents de l’adolescente eux aussi avaient interdit à leur fille de le voir. Mais les deux ont continué leur relation. Le père de la jeune fille aurait appris que le couple voulait s’enfuir jusqu’à Los Angeles après avoir volé leurs parents.

    L’ex-femme de la victime, avec qui elle partageait toujours un compte en banque, a fait savoir que quelqu’un, après le crime, avait effectué plusieurs retraits à différents guichets automatiques. Les adolescents fugueurs ont été vus sur plusieurs caméras de surveillance, quittant notamment la zone du meurtre à bord de la voiture de Sierra Halseth. D'autres images montrent la jeune fille achetant de l'eau de Javel et du jus d'orange dans un magasin pendant que son petit ami achetait des scies et des gants dans une autre boutique. A l’intérieur du domicile où le crime a eu lieu, la police a trouvé une tronçonneuse neuve et une scie à main «avec du sang et des tissus apparents sur la scie et entre les bords de la scie». Un nettoyage intensif semblait également avoir été fait. Après leur interpellation, les deux adolescents ont été inculpés pour meurtre et attendent d’être extradés vers Las Vegas.

    Paris Match


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  • Farid Khider (La Ferme Célébrités) suspecté du meurtre d’un milliardaire 

    © DIDIER SABARDIN / BESTIMAGE Farid Khider (La Ferme Célébrités) suspecté du meurtre d’un milliardaire

    Farid Khider, un ancien candidat de l’émission La Ferme Célébrités, a été placé en garde à vue, ce mercredi 13 avril, d’après une source proche du dossier auquel il est mêlé, confirmant des informations du « Point ». L’ancien champion de boxe est accusé d’avoir participé au meurtre de Claude Dray, un riche homme d’affaires.

    Il y a quelques années de cela, l'actualité de Farid Khider avait déjà fait l’objet de plusieurs rebondissements. Blessé par balle devant chez lui en 2017, puis mêlé à une affaire d’escroquerie l’année suivante, avant d’être relaxé, l’ancien champion du monde de boxe a déjà traversé différentes épreuves. Cette fois, la situation est plus grave. Le candidat, qui est apparu dans La Ferme Célébrités, est suspecté d’être impliqué dans le meurtre de Claude Dray, un riche homme d’affaires de 76 ans. L’affaire remonte à octobre 2011. Le milliardaire avait été retrouvé mort dans sa villa, à Neuilly-sur-Seine, tué de trois balles dans le cou. Une source proche du dossier a confirmé des informations du Point en révélant que Farid Khider a été mis en examen ce mardi 13 avril.

    L’affaire, qui avait été classée sans suite, a été relancée par la Brigade criminelle, a rapporté l’AFP. Aux côtés de Farid Khider sur le banc des suspects : Arnaud Mimran, l’ancien gendre de Claude Dray. En 2016, l’homme avait déjà été condamné à huit ans de prison dans l’affaire de la « taxe carbone », l’une des plus grandes escroqueries découverte en France, comme le rapportait Le Monde.

    Une vive altercation avec Adeline Blondieau

    Ce n’est pas la première fois que Farid Khider et Arnaud Mimran se retrouvent en de pareilles circonstances. En mai 2019, ils étaient assignés à comparaître avec quatre autres accusés pour l’enlèvement et la séquestration d’un financier suisse pour des faits remontant à 2015. Dans le cadre de l’affaire Claude Dray, le sportif reste présumé innocent jusqu’à preuve du contraire et devrait passer plusieurs jours en garde à vue. Farid Khider est connu pour avoir participé, en 2010, à l’émission de télé-réalité La Ferme Célébrités en AfriqueUne violente dispute avait éclaté entre le boxeur et Adeline Blondieau. Quelques semaines après leur sortie du jeu, elle révélera s’être servie d’un couteau pour se défendre.

    GALA


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  • Bernard Madoff, escroc de tous les superlatifs, est mort en prison

    C’était l’un des escrocs les plus célèbres du XXIe siècle. L’homme d’affaires Bernard Madoff est mort en prison à l’âge de 82 ans, selon une information de l’agence Associated Press ce mercredi 14 avril. Le porte-parole de la prison de Butner, située dans le nord de la Caroline du Nord, s’est refusé à communiquer la cause du décès. Selon « USA Today », le Bureau fédéral des Prisons a confirmé que Bernard Madoff était décédé de causes naturelles

    L’avocat de Madoff ces dernières années, Brandon Sample, a déclaré dans un communiqué que le financier avait « vécu avec culpabilité et remords pour ses crimes » jusqu’à sa mort.

    « Bien que les crimes dont Bernie a été reconnu coupable en sont venus à définir qui il était, il était aussi un père et un mari. Il était doux et intellectuel. Bernie n’était en aucun cas parfait. Mais aucun homme ne l’est. »

     

    Lors d’entretiens téléphoniques avec le « Washington Post », Bernard Madoff avait exprimé des remords pour ses méfaits, affirmant qu’il avait « commis une terrible erreur »« Je suis en phase terminale », avait-il plaidé. « Il n’y a pas de traitement pour ma maladie. J’ai déjà fait onze ans de prison et, franchement, j’en ai souffert. »

    Les avocats du financier déchu avaient récemment tenté d’obtenir sa libération, affirmant qu’il souffrait d’une maladie rénale en phase terminale et d’autres pathologies chroniques. La demande avait été rejetée.

    Condamné à 150 ans de prison

    Il avait été arrêté et inculpé par le FBI en décembre 2008, en plein cœur d’une crise financière mondiale, pour avoir réalisé une gigantesque escroquerie de type « pyramide de Ponzi » à hauteur de plusieurs dizaines de milliards de dollars. Débutée dans les années 1990, cette fraude se sera étendue, selon Madoff, à travers 136 pays.

    La fraude pyramidale de cette figure de la finance new-yorkaise consistait à piocher dans les finances de ses nouveaux clients pour rétribuer ou rembourser des investisseurs plus anciens, à travers une fausse banque d’affaires, devenue une des principales à Wall Street. Il offrait, en plus des services de courtage (vente et achat de titres pour le compte de clients), un véhicule d’investissement, devenu rapidement un succès.

    Très précautionneux, Madoff parvint à duper son monde jusqu’à la crise financière de 2008. De nombreux investisseurs ont alors souhaité retirer leurs fonds en gestion, provoquant l’effondrement de la pyramide Madoff, le banquier étant incapable de restituer l’argent.

     

    Parmi ses milliers de victimes, on compte notamment des grandes banques comme BNP Paribas, mais aussi le célèbre réalisateur Steven Spielberg, l’acteur Kevin Bacon, ou encore l’écrivain nobélisé Elie Wiesel, rappelle la chaîne américaine CNBC. En 2009, il avait été condamné à cent cinquante ans de prison après avoir plaidé coupable de onze chefs d’inculpation, dont fraude et blanchiment d’argent.

    Les sommes réclamées par les investisseurs qui ont saisi la justice après l’éclatement du scandale atteignaient plus de 17 milliards de dollars. En incluant les profits vantés par Bernie Madoff, qui se sont révélés virtuels, les pertes se montent à 65 milliards de dollars. Le fonds de recouvrement destiné à l’indemnisation des victimes de cette escroquerie sans précédent a reversé, jusqu’ici, environ 2,7 milliards de dollars.

    L'OBS


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  • Un ex-pompier de Paris de 62 ans a été renvoyé devant les assises d’Indre-et-Loire pour assassinat. Il est accusé d’avoir tué la propriétaire de la maison qu’il a achetée en viager, dans un Ehpad de Tours. La nonagénaire avait été retrouvée morte, étouffée par une madeleine.

    Le 13 mai 2019, une nonagénaire est retrouvée morte dans son Ehpad de Tours, étouffée par une madeleine. Un dramatique accident ? Pas pour le juge d’instruction. Après deux ans d’enquête, il a décidé de renvoyer un homme de 62 ans devant les assises d’Indre-et-Loire pour assassinat. Le mobile du crime ? Une maison en viager, achetée par l’accusé, et dont la victime était propriétaire.

    « Cette personne ne pouvait pas avaler toute seule ce type de gâteau. Cet homme a provoqué le décès de cette personne à des fins purement économiques, c’est-à-dire qu’il voulait s’emparer de son bien pour mener son propre projet immobilier »​, a indiqué Grégoire Dulin, procureur de Tours, auprès de France Bleu Touraine.

    « Il a pris les choses à la légère »

    Foutaise, pour l’avocat de l’accusé, Me Adel Bendjador. « Le juge est parti du postulat que mon client était coupable. Il n’a même pas envisagé les autres causes de la mort de cette vieille dame. » ​L’avocat rappelle que « la thèse de l’accident reste envisageable »​.

    Si Me Bendjador reconnaît que les versions de son client ont évolué au cours des interrogatoires, il met cela sur le compte de l’incompréhension. « Il a pris les choses à la légère. Il ne s’est pas dit qu’on pourrait lui reprocher d’avoir laissé une vieille dame avec une madeleine. »

    L’avocat va même plus loin en assurant que le mobile financier ne tient pas debout. « Il avait acheté ce bien dans les années 1990. Quand vous faites le calcul, il aurait pu revendre ce viager quasiment au même prix. »

    L’ex-pompier de Paris, qui comparaîtra entre décembre 2021 et janvier 2022 devant la cour d’assises d’Indre-et-Loire, « clame son innocence et croit en la justice »​, insiste Me Bendjaor.

    Ouest-France


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