• Le corps de cette femme de 38 ans a été retrouvé mercredi sous une dalle de béton dans l’Hérault, au domicile conjugal que son compagnon occupait toujours depuis sa disparition en janvier.

    Cela fait plus de deux mois qu’Aurélie Vaquier n’a pas donné de signe de vie. L’enquête, d’abord ouverte pour faire la lumière sur sa disparition, couvre désormais des faits de meurtre, depuis qu’un corps a été retrouvé mercredi sous une dalle de béton, à la faveur d’une banale perquisition menée dans le logement qu’occupait cette femme de 38 ans à Bédarieux, dans l’Hérault, avec son compagnon, Samire, âgé lui de 39 ans.

     

    Ce vendredi, lors d’une conférence de presse, le procureur de la République de Béziers, Raphaël Balland, a annoncé que le conjoint a été mis en examen pour meurtre aggravé, la circonstance aggravante étant celle du lien de concubinage. Il a été ensuite placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention conformément aux réquisitions du parquet. Il risque la réclusion criminelle à perpétuité. Samire, qui nie toute implication, avait été arrêté et placé en garde à vue mercredi, après la macabre découverte sous la dalle de ce logement qu’il continuait à occuper depuis la disparition de sa compagne, qu’il avait signalée tardivement, le 23 février, après, selon lui, trois semaines de silence d’Aurélie Vaquier.

    « Tout au long de sa garde à vue, il a déclaré n’être pour rien dans le décès et la dissimulation du corps » présumé de sa compagne, a rappelé le procureur. « Devant la juge d’instruction, il a fait usage de son droit à ne pas répondre aux questions de ce magistrat, se contentant de faire une déclaration dans laquelle il maintenait ne pas être l’auteur des faits », dit aussi le parquet.

    Samire, qui était engagé dans une procédure de divorce avec une autre femme, s’était installé avec Aurélie Vaquier « fin novembre 2020, après l’avoir rencontrée l’été précédent ». Aucune plainte pour des faits de violence n’avait été portée à la connaissance des forces de l’ordre. L’homme de 39 ans avait été condamné par le passé pour des « infractions militaires, routières et des vols ».

    Les causes de la mort pas encore déterminées

    Le corps retrouvé mercredi a été découvert dans « une sorte de sarcophage bétonné », placé sous une estrade en bois, elle-même située dans la deuxième partie du logement du couple, qui était en travaux. L’autopsie réalisée jeudi « a permis de confirmer qu’il s’agissait de manière quasi certaine du corps d’Aurélie Vaquier », a indiqué le procureur.

    Plusieurs éléments vont dans ce sens, a-t-il expliqué, notamment des tatouages très spécifiques, comme le « nom d’un ancien chat » de la femme, ou encore des « piercings et des bijoux ». L’examen dentaire est également « parfaitement concordant avec le dossier médical » du dentiste d’Aurélie Vaquier, a encore précisé Raphaël Balland. « Une expertise génétique sera ordonnée pour confirmer définitivement cette identité. »

    Le Parisien


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  • Les secours sont intervenus ce jeudi 8 avril en soirée, rue de la République, à Nîmes (Gard) pour porter secours à un garçon âgé de 12 ans en arrêt cardio-respiratoire. Malgré leurs efforts l'enfant est décédé.

    Les pompiers se sont déplacés jeudi 8 avril dans la soirée au domicile d'une famille résidant rue de la République à Nîmes, à la suite d'un appel de la maman : son fils de 12 ans se trouvait dans un état grave.

    Le garçon se serait pendu

    Malgré les soins prodigués sur l'enfant, son coeur n'est pas reparti et il est décédé.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, le garçon se serait pendu dans sa chambre en utilisant un filin de hamac. L'enfant était sorti dans l'après-midi puis de retour à l'heure du couvre-feu, il était allé directement dans sa chambre.

    Une enquête ouverte

    Une enquête pour recherches des causes de la mort, afin de comprendre les raisons qui l'ont poussé à ce geste fatal, a été ouverte par le parquet de Nîmes. Une autopsie sera réalisée lundi.

    Midi Libre


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  • Une femme de 46 ans a été tuée à l’arme blanche à son domicile à Lille (Nord) ce mercredi après-midi. Son compagnon de 73 ans a été interpellé et placé en garde à vue.

    C’est le fils du tueur présumé qui a alerté la police peu avant 17 heures. Son père venait de lui avouer qu’il avait poignardé sa compagne, au domicile conjugal situé rue Jean-Prouvé indique une source proche de l’enquête, confirmant une information de La Voix du Nord. Une fois sur place, les policiers ont immédiatement interpellé cet homme de 73 ans qui se trouvait dans le logement. Il a été placé en garde à vue.

    Dans le même temps, sa compagne a été découverte dans la cuisine, très grièvement blessée au niveau du cou. Elle a été prise en charge par les secours alors qu’elle était en arrêt cardio-respiratoire, puis est décédée peu après des suites de ses blessures. Les policiers ont découvert un couteau ensanglanté qui a été saisi.

    Cette enquête pour homicide volontaire sur conjoint a été confiée à la brigade criminelle de la sûreté urbaine de Lille. Une autopsie va être pratiquée. Les premiers éléments ont montré que la défunte n’avait pas déposé plainte à l’encontre de son compagnon par le passé, ni de main courante. Le septuagénaire est déjà connu des services de police selon cette même source, notamment dans une affaire de tentative d’homicide il y a une quinzaine d’années ainsi que pour des faits de harcèlement sur son ex-femme il y a trois ans.

    « Je ne comprends pas ce qui a pu se passer »

    Dans le voisinage, c’est le choc, d’autant que le couple ne semblait pas rencontrer de difficultés. « Le monsieur est là depuis plusieurs années, la dame depuis un an et demi », raconte une habitante d’un logement voisin, à nos confrères. « Ces dernières semaines, tout était normal, elle travaillait, ils faisaient leurs courses ensemble. Je ne comprends pas ce qui a pu se passer. »

    ACTU 17


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  • Mercredi 7 avril, un homme de 80 ans a tué son beau-fils puis s’est suicidé. Il estimait ce dernier responsable de la mort de sa fille.

    Un homme de 80 ans a tué mercredi au fusil de chasse son gendre qu’il estimait responsable de la mort de sa fille puis s’est suicidé à Saint-Gély-du-Fesc (Hérault), a indiqué ce jeudi 8 avril le procureur de Montpellier.

    Une « véritable exécution »

    Il s’agissait d’une véritable exécution, a souligné lors d’une conférence de presse Fabrice Bélargent, précisant qu’une information judiciaire avait été ouverte pour assassinat.

    L’homme, qui habitait une maison mitoyenne à celle de son gendre dans cette petite commune du nord de Montpellier, a attendu que la victime sorte ses poubelles pour faire feu à trois reprises, le touchant aux membres inférieurs et à l’épaule gauche et le tuant, a détaillé le procureur. Des images de vidéosurveillance ne laissent aucun doute sur le déroulement des faits.

    Il est ensuite retourné dans son jardin, puis, à genou, s’est tiré une balle dans le menton avec la même arme, un fusil de chasse de calibre 12 mm.

    Le drame familial s’était noué en septembre dernier avec la disparition de la fille du tireur, Joëlle, 46 ans, mère de deux enfants. Son corps avait été retrouvé sans vie, neuf jours plus tard, dans des vignes d’une petite commune voisine. Une information judiciaire avait été ouverte pour recherche des causes de la mort et est aujourd’hui toujours en cours.

    À ce jour, aucun élément suspect ne permet de déterminer les causes de la mort ​de cette femme, a affirmé le procureur. L’autopsie a révélé que le décès a eu lieu moins de 24 heures avant la découverte du corps, a-t-il ajouté. Le dossier médical de la victime montrait qu’elle souffrait d’une pathologie cardio-vasculaire.

    Cette disparition était intervenue après plusieurs altercations au sein du couple. Selon le père qui avait été auditionné par la gendarmerie avant le meurtre de mercredi, Joëlle, qui entretenait une autre relation amoureuse, était harcelée ​par son compagnon.

    Climat très tendu

    Après sa disparition, les membres de la famille s’étaient présentés à plusieurs reprises à la gendarmerie pour déposer des mains courantes, démontrant ainsi un climat extrêmement tendu entre les deux familles​. Lors d’une audition, le père avait affirmé à propos de son gendre : « Pour moi, il a assassiné ma fille moralement ». Des patrouilles étaient régulièrement menées sur les lieux.

    Désormais orphelins, les deux enfants du couple, âgés de 11 et 12 ans, étaient présents dans la maison de leur père au moment où il a été tué par leur grand-père. Endormis, ils ont été réveillés par la gendarmerie et ont été pris en charge par le service des urgences pédiatriques du CHU de Montpellier puis confiés à la cellule d’urgence de l’aide sociale à l’enfance.

    Sous le choc, l’épouse du père a quant à elle été admise aux urgences psychiatriques de l’hôpital.

    Ouest-France


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  • Une adolescente de 16 ans a été tuée d’un coup de feu accidentel à Eaubonne (Val-d’Oise) ce samedi. Son beau-père manipulait une carabine de calibre 22 long rifle au moment du drame.

    Une famille était réunie samedi suite au décès du grand-père de la victime. Ce dernier est décédé il y a peu de temps et il fallait s’occuper de ses affaires explique Le Parisien. La journée a viré au cauchemar. Une adolescente de 16 ans est décédée.

    Vers 15 heures, le beau-père a découvert une arme à feu dans le logement, qu’il a manipulée. Il s’agissait d’une carabine de calibre 22 long rifle. L’homme a pressé la détente et le tir a touché sa belle-fille au niveau du dos, la blessant très grièvement. Il ignorait visiblement que l’arme était chargée.

    Les secours ont été alertés et ont pris en charge la victime qui était alors en arrêt cardio-respiratoire. Cette dernière est décédée une heure plus tard.

    Pas de plainte de la famille

    Le beau-père âgé de 48 ans a été interpellé et placé en garde à vue. Une enquête pour homicide involontaire a été ouverte par le parquet de Pontoise. La thèse de l’accident a été confirmée par les autres membres de la famille qui ont assisté à cet effroyable drame. Ces derniers n’ont par ailleurs pas souhaité déposer plainte.

    ACTU 17


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  • Un Malien de 21 ans qui refusait de porter un masque dans un bus à Montigny-lès-Cormeilles (Val-d’Oise) s’en est violemment pris à trois policiers qui ont été blessés. L’agresseur, en situation irrégulière sur le territoire français, a été placé en détention provisoire.

    Violente agression à Montigny-lès-Cormeilles ce samedi à la mi-journée. Les policiers ont été appelés peu avant 13 heures. Un homme se trouvait dans un bus à hauteur de l’avenue de la Libération et refusait de mettre un masque comme la loi l’exige. Ce dernier menaçait également de frapper le chauffeur qui venait de lui faire la remarque.

    Rapidement sur place, les trois fonctionnaires de la police-secours d’Ermont ont alors été confrontés à leur tour à cet homme. Ils ont constaté que la vitre de protection sanitaire se trouvant entre le conducteur et les usagers était dégradée.

    Mordu jusqu’au sang

    Lors du contrôle, l’homme a insisté sur le fait qu’il ne voulait pas porter de masque. Il a craché sur l’un des policiers et s’est violemment rebellé lors de son interpellation, mordant jusqu’au sang un second agent.

    Les forces de l’ordre ont utilisé un pistolet à impulsion électrique à deux reprises pour le maîtriser, sans y parvenir. L’arme n’a eu aucun effet sur l’agresseur explique une source proche de l’enquête. Il a tout de même fini par être menotté et interpellé.

    15 jours d’ITT pour deux policiers

    Les trois policiers ont été blessés lors de cette intervention. Il se sont vu attribuer 15 jours d’Incapacité totale de travail (ITT) pour deux d’entre eux, et cinq jours pour leur collègue. Le mis en cause a de son côté été conduit à l’hôpital pour une légère blessure au niveau de la tête. Il a refusé les soins ainsi que le prélèvement sanguin, nécessaire pour déterminer s’il est porteur d’une ou plusieurs maladies, l’un des policiers ayant été mordu.

    Au cours de sa garde à vue, les enquêteurs sont parvenus à identifier ce ressortissant malien en situation irrégulière en France, qui est âgé de 21 ans et déjà connu des services de police. L’homme a été déféré dimanche et devait être jugé en comparution immédiate ce mardi. Son procès a finalement été reporté au 25 mai. En l’attente, il a été placé en détention provisoire.

    ACTU 17

    Pourquoi ce malien n'a t-il pas déjà été expulsé au Mali ?

    Il semble qu'en France on ne sache pas expulser comme en Suisse !


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  • Une mère de famille est accusée d’avoir porté un coup de couteau à la tête de sa fille de 6 ans à Marseille ce dimanche. Plusieurs points de suture ont été nécessaires pour soigner la victime.

    Les médecins des urgences pédiatriques de l’hôpital Nord de Marseille (15e) ont vu arriver un père et sa fille de 6 ans ce dimanche. La fillette était blessée au niveau de la tête et le personnel médical a rapidement déterminé qu’il s’agissait d’une plaie causée par une arme blanche.

    Le père de famille s’est montré nerveux et a refusé que sa fille soit hospitalisée, affirmant qu’il s’agissait d’un accident et qu’elle avait chuté sur un couteau, ajoutant que sa compagne était « folle ». Des propos alarmant qui ont poussé les médecins à alerter le parquet. Les policiers de la sûreté départementale ont immédiatement été saisis et se sont rendus sur place avec un équipage de la brigade spécialisée de terrain (BST).

    Les enquêteurs ont interrogé la fillette qui a livré des explications très inquiétantes. Sa mère a estimé que ses devoirs n’avaient pas été fait correctement et s’est emportée, lui donnant un coup de couteau, selon son récit. Constatant une plaie saignante, cette dernière lui a ensuite mis de la farine sur la tête, dans le but de stopper le saignement. La fillette a ensuite été conduite à l’hôpital. 4 points de suture lui ont été posés à la tête et 4 jours d’Incapacité totale de travail (ITT) lui ont été attribués pour l’heure.

    Elle évoque un geste accidentel

    La mère de famille âgée de 32 ans a été interpellée et placée en garde à vue. Au domicile familial, les enquêteurs ont découvert un couteau et de l’essuie-tout à proximité, avec des traces de sang, ainsi qu’une éponge. Face aux policiers, la trentenaire est passé aux aveux mais a affirmé qu’il s’agissait d’un geste accidentel de sa part.

     

    Selon son récit, elle était en train de cuisiner lorsqu’elle a voulu réprimander sa fille en lui faisant peur avec un couteau. Elle n’aurait pas pu arrêter son geste, blessant la victime. En outre, la mise en cause a reconnu qu’elle avait déjà frappé sa fille et son fils avec un balai car ils s’engueulaient.

    A l’issue de sa garde à vue, la trentenaire a reçu une convocation par officier de police judiciaire (COPJ). Elle sera jugée par le tribunal correctionnel en juin prochain. Ses deux enfants ont quant à eux été confiés à un membre de la famille, à la demande du parquet.

    ACTU 17

    On ne devrait pas lui redonner ses enfants !


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  • Une fois encore, Uber a été jugé coupable de discrimination envers les personnes malvoyantes. En effet, une femme souffrant de ce handicap vient de gagner son procès face au service de transport américain qui va devoir verser une belle somme.

    Ce n'est pas la première fois que l'entreprise est condamnée à une lourde amende suite au comportement de plusieurs de ses chauffeurs.

    14 refus et de vraies conséquences pour la victime

    En 2014, Uber avait été poursuivi en justice dans une affaire de discrimination à l'encontre d'utilisateurs non-voyants et des chiens guides. C'est un cas de figure similaire qui est passé devant les tribunaux il y a peu et le verdict est désormais connu. Ainsi, la société va devoir verser un montant de 1,1 million de dollars à la plaignante. Celle-ci a indiqué que des chauffeurs n'ont pas voulu la transporter à plusieurs reprises (14 pour être exact) à cause de son handicap.

    La victime précise que ces refus ont eu de lourdes conséquences sur sa vie. Elle a notamment raté les célébrations de Noël, un anniversaire et même son travail après avoir été laissée seule dans le noir et parfois sous la pluie par les chauffeurs qui ne voulaient pas la conduire à bon port. Le médiateur a expliqué que « Uber a permis aux chauffeurs qui discriminaient des utilisateurs de poursuivre leur activité sans la moindre sanction ».

    Les chiens guides d'aveugle également discriminés

    Durant le procès, la victime a expliqué qu'un conducteur s'était montré particulièrement énervé car il ne souhaitait pas voir le chien guide monter dans sa voiture. Il aurait ensuite menacé de les laisser sur le bord de la route. La plaignante a précisé avoir été refusée au moins 60 fois au moment de chercher un conducteur. Pourtant, la loi (Americans with Disabilities Act) stipule bien qu'un chauffeur est dans l'obligation de transporter la passagère non-voyante et son chien.

    Uber avait tenté de se désolidariser du comportement de ses chauffeurs en mentionnant le fait qu'ils ne sont pas directement employés par la société. Mais la justice n'a pas retenu cette défense. Pour autant, la victime ne va pas devenir millionnaire puisqu'elle touchera seulement 324 000 dollars des 1,1 million retenus. Le reste servira à régler les honoraires des avocats et les frais juridiques.

    Clubic


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  • Hérault : le corps retrouvé est «très probablement» celui d’Aurélie Vaquier, disparue en janvier

    Voilà deux mois qu’Aurélie Vaquier s’est volatilisée. Ce mercredi, un corps caché sous une dalle de béton, a été retrouvé par des gendarmes à son domicile, à Bédarieux dans l’Hérault, selon un communiqué du procureur de Béziers, Raphaël Balland. Un peu plus tard dans la journée, il a déclaré qu’il s’agissait «très probablement» de la dépouille de la femme disparue à la fin du mois de janvier. Raphaël Balland a notamment évoqué «la présence d’un tatouage très reconnaissable et d’un piercing». Le juge chargé de l’instruction depuis l’ouverture le 1er mars d’une information judiciaire pour «enlèvement et séquestration» est désormais également saisi «de faits de meurtre». Une autopsie et un scanner du corps seront pratiqués «probablement demain», ainsi que des prélèvements ADN, afin de «confirmer ultérieurement l’identification de la victime».

     

    Le compagnon, d’Aurélie, S., «réside toujours dans le domicile du couple» et a «été placé en garde à vue», précise le communiqué. C’est lui qui avait signalé sa disparition, le 23 février, en indiquant ne plus avoir de nouvelle depuis le 28 janvier. Immédiatement, le parquet de Béziers avait ouvert une enquête pour «disparition inquiétante», lancé un appel à témoins et perquisitionné l’appartement du couple.

    Son dernier message, «sujet d’inquiétudes»

    Dans un entretien publié le 16 mars par le quotidien local Midi Libre, S. expliquait qu’Aurélie était partie en lui laissant un message. Elle disait selon lui «en avoir marre» et vouloir «écrire un livre». «Elle avait aussi parlé à un ami de faire une retraite, je me suis dit : “Je vais la laisser tranquille.” Après, j’ai rappelé, rappelé, mais elle n’a pas répondu», avait-il déclaré. Dans un article du Parisien, un proche d’Aurélie affirmait que ce message était «un sujet d’inquiétude» car il «ne lui ressemblait pas» : «Il y a des fautes d’orthographe et la syntaxe est singulière. Or, Aurélie, passionnée d’écriture, apportait toujours beaucoup de soin à rédiger même les messages les plus insignifiants.»

    Aurélie avait 38 ans quand elle a disparu. Elle vendait des cosmétiques sur des marchés du département. Ni les battues ni les marches de soutien organisées par ses proches n’ont permis de trouver la moindre information sur sa disparition. «Les techniciens en investigation criminelle du groupement de gendarmerie de Montpellier procèdent actuellement à l’extraction méticuleuse du corps qui n’est pas encore formellement identifié et un médecin légiste se déplace sur les lieux», a précisé le parquet de Béziers.

    Libération


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  • 48 heures après le violent cambriolage dont ont été victimes Bernard et Dominique Tapie, leur fils Laurent apporte quelques détails sur les événements.

    Ce matin, Laurent Tapie, le troisième enfant de Bernard Tapie et l'aîné de Dominique Tapie, sa seconde épouse, est revenu dans l'émission L'Heure des pros sur CNews sur les circonstances de l'agression dont ont été victimes ses parents dans la nuit du samedi 3 au dimanche 4 avril. Les malfaiteurs sont entrés par la fenêtre de la chambre habituellement occupée par Sophie Tapie, la fille cadette de Bernard et Dominique Tapie, la seule pièce qui n'était pas équipée d'une alarme de sécurité. Selon Laurent Tapie, les agresseurs seraient « quatre personnes de couleur, trois Africains et un Nord-Africain ». L'agression a duré 45 minutes.

    Les quatre hommes ont d'abord assommé, ligoté et neutralisé Bernard Tapie avant de traîner son épouse Dominique dans toutes les pièces de la maison pour qu'elle leur indique les objets de valeurs à emporter. Ils cherchaient des bijoux, des montres, de l'argent liquide – qu'il n'y avait pas – et un coffre – qui n'existe pas ! Les malfaiteurs sont repartis avec quelques bijoux, deux montres et notamment les deux téléphones portables de l'homme d'affaires. « Ma mère a été la première a se défaire de ses liens, a précisé Laurent Tapie, 46 ans. »

    Enquête ouverte pour « vol aggravé »

    La famille Tapie a autorisé Pascal Praud à diffuser des photos portraits de Bernard et Dominique. On voit leurs visages tuméfiés, leurs paupières gonflées et leurs lèvres éclatées. Dominique Tapie a été brièvement hospitalisée en état de choc après cette agression. « Mon père s'est remis beaucoup plus vite que ma mère. Elle est encore sous le choc, a précisé le fils du couple. » La résidence secondaire des époux Tapie est située à Combs-la-Ville en Seine-et-Marne. Elle appartient à l'homme d'affaires depuis la fin des années 1990 et est le Saint des Saints du clan. Rares sont les proches qui y ont été invités. Cet ancien moulin situé près d'Évry est la résidence familiale et intime de Bernard Tapie, sa femme, ses quatre enfants et leurs descendants.

     

    La police judiciaire de Versailles est chargée d'une enquête pour « vol aggravé ». Une paire de gants a été retrouvée sur les lieux et le modus operandi des cambrioleurs laisse penser qu'ils connaissaient les lieux et les habitudes du couple.

    Le Point

    trois Africains et un Nord-Africain § Pourquoi on n'est pas surpris?


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  • Isère : La caserne de gendarmerie de Bourgoin-Jallieu cambriolée en pleine nuit

    Des individus ont cambriolé la caserne de gendarmerie de Bourgoin-Jallieu (Isère) au cours du week-end, en pleine nuit. Ces derniers sont repartis avec du matériel professionnel appartenant aux militaires, notamment des brassards, des gilets pare-balles ou encore des gyrophares.

    L’intrusion a eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche. Les gendarmes ont découvert ce qui s’était produit au retour d’une patrouille raconte Le Dauphiné. En rejoignant leur base, la caserne de la gendarmerie départementale située rue de l’Etissey, vers 2 heures, les militaires ont découvert que le garage avait été forcé et que plusieurs personnes s’étaient introduits à l’intérieur.

    Des véhicules avaient été fouillés. Deux voitures de service et deux véhicules personnels. Par mesure de sécurité, la caserne, dans laquelle se trouvent plusieurs unités, a alors été entièrement passée en revue afin de s’assurer qu’il n’y avait plus aucun intrus présent. Les auteurs avaient déjà pris la fuite avec leur butin, composé de gilets pare-balles, gyrophares, menottes ainsi que des brassards et des chasubles fluo siglés Gendarmerie. Mais aucune arme.

    Une enquête ouverte

    Les voleurs étaient-ils venus chercher précisément ce type de matériel ? Il semble que oui. Ils n’ont en tout cas pas pénétré dans les bureaux et avaient vraisemblablement préparé leur action en amont. Ils se sont introduits par l’arrière de la caserne, en franchissant la clôture grillagée. Les malfaiteurs auraient pu être dérangés à tout moment, dans le cas d’une intervention urgente, ce qui n’a pas été le cas.

    Ont-ils effectué des repérages au préalable ? Ont-ils agi en laissant un complice à l’extérieur pour éviter d’être pris en flagrant délit ? L’enquête qui a été confiée conjointement à la brigade de recherches de Bourgoin-Jallieu et à celle de La Tour-du-Pin, devra le déterminer.

    Concernant le butin, il n’est pas du fait du hasard. Ce type de matériel pourrait servir aux malfaiteurs lors de vols à la fausse qualité – notamment de faux contrôles routiers – et ainsi tromper leurs victimes plus facilement en se faisant passer pour les forces de l’ordre.

    ACTU 17

    Il devrait rester au moins un gendarme dans la caserne pour surveiller !


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  • Au Texas, deux frères atteints de problèmes psychologiques ont assassiné quatre membres de leur famille puis ont mis fin à leur jour, a annoncé lundi 5 avril la police locale.

    Deux frères ont abattu quatre membres de leur famille au Texas avant de se suicider, exécutant un pacte sordide qu’ils avaient conclu, a annoncé lundi 5 avril la police locale.

    Les corps ont été découverts lundi matin par la police de la ville d’Allen, alertée par des proches qui s’inquiétaient de la publication par un des frères d’une lettre d’adieu sur Instagram, mais la tuerie par arme à feu se serait produite samedi soir, ont précisé les autorités.

    Les deux frères ont conclu un pacte

    Farhan Towhid, 19 ans, expliquait dans sa lettre avoir conclu un pacte avec son frère Tanvir Towhid, 21 ans, se promettant « de se suicider et tuant finalement toute leur famille », a expliqué aux médias locaux un porte-parole de la police d’Allen, le sergent Jon Felty.

    Les victimes, originaires du Bangladesh, ont été identifiées comme étant leur père Towhidul Islam, 54 ans, leur mère Iren Islam, 56 ans, leur grand-mère Altafun Nessa, 77 ans, et la soeur jumelle de Farhan, Farbin Towhid, 19 ans.

    Ils étaient atteints de troubles psychologiques

    Les deux frères étaient atteints de troubles psychologiques depuis plusieurs années, expliquait Farhan Towhid dans sa lettre citée par le Washington Post.

    Lui-même souffrait de dépression depuis le collège et malgré l’aide apportée par sa famille, son état de santé s’était récemment détérioré.

    L’étudiant en sciences de l’informatique à l’Université du Texas, à Austin, racontait qu’il avait été expulsé de son logement étudiant cet hiver après avoir dit qu’il allait tuer sa famille.

    « Déprimé et angoissé socialement »

    De retour à Allen, dans la banlieue nord de Dallas, il avait retrouvé Tanvir Towhid qui était « déprimé et angoissé socialement ».

    Les deux frères ont finalement décidé de tuer toute leur famille avant de se suicider.

    Tanvir Towhid avait récemment acheté légalement une arme, selon la police. Dans sa lettre, il tournait en dérision les mesures censées encadrer les ventes d’armes, disant avoir menti et affirmé ne pas souffrir de troubles psychologiques pour pouvoir en acquérir une.

    Ouest-France

    Ces deux types auraient dû être enfermés dans un hôpital psychiatrique !


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  • Un jeune de 17 ans, soupçonné d’avoir cambriolé une dizaine de cabanons dans le même quartier de Toulouse, a été placé en détention provisoire

    C’est une alarme extérieure qui a trahi ce voleur à la main verte. Le 1er avril, à 2h30 du matin, les policiers de Toulouse ont surpris un jeune de 17 ans en flagrant délit de vol dans un cabanon de jardin dans le quartier résidentiel de la Côte Pavée.

    Le mode opératoire, mais aussi des images de vidéosurveillance, ont amené les enquêteurs à le soupçonner d’une dizaine de cambriolages de ce type commis dans le secteur depuis la mi-mars. Avec une prédilection pour de l’outillage varié mais aussi pour les vélos, souvent électriques – donc onéreux.

    Prison pour mineurs

    De source policière, le mineur, déjà connu et qui se présente comme étant sans domicile fixe, a nié l’intégralité des faits durant sa garde à vue. Il a tout de même été déféré au parquet et placé en détention provisoire dans la prison pour mineurs de Lavaur, en attendant de passer devant le juge des enfants. Son butin n’a pas été retrouvé

    20 Minutes

    Encore un étranger !


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  • Le véhicule a effectué plusieurs tonneaux sur une route départementale

    Il était environ 3 h 30 dimanche matin quand les pompiers du Maine-et-Loire ont été appelés. Sur la RD53, deux adolescents venaient d’avoir un accident de la route à hauteur de Saint-Philbert-du-Peuple, à l’est d’Angers. A leur arrivée sur place, les secours ont découvert un véhicule accidenté, qui avait effectué plusieurs tonneaux après une sortie de route inexpliquée dans une courbe. Au volant, les pompiers ont découvert le corps sans vie d’un adolescent de 16 ans. A ses côtés, le passager est à peine plus vieux. Agé de 17 ans, il est gravement blessé, comme le rapporte Ouest-France.

     

    Pris en charge par les pompiers, le jeune homme a été hospitalisé dans un état grave. D’après la gendarmerie, citée par le quotidien, son pronostic vital ne serait pas engagé. Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les circonstances du drame. Des analyses toxicologiques sont en cours.

    20 Minutes


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  • Un groupe a été condamné à plus de 400 euros d'amende, ce dimanche, pour avoir consommé de l'alcool sur une plage de la Grande-Motte dans l'Hérault.

    En ce week-end de Pâques particulièrement ensoleillé, certains Français ont choisi de passer outre les règles du nouveau confinement entré en vigueur samedi dernier. Le journal Midi Libre rapporte par exemple, ce lundi, qu'un couple et ses enfants, ainsi que leurs deux amies ont été verbalisés par la gendarmerie dimanche, alors qu'ils étaient en train de boire du rosé sur la plage du Grand Travers, à la Grande-Motte.

     

    La consommation d'alcool sur l'espace public est en effet interdite depuis samedi, comme l'a annoncé le Premier ministre Jean Castex devant l'Assemblée nationale jeudi dernier. Le groupe a donc écopé de trois amendes de 135 euros chacune (pou run montant total de 405 euros) pour avoir consommé une boisson alcoolisée sur cette plage de l'Hérault.

    Bien qu'une tolérance ait été accordée ce week-end pour se déplacer avant la mise en place des nouvelles restrictions, les forces de l'ordre se sont attelées tout au long du week-end à des contrôles intensifiés dans "un but pédagogique", notamment au sujet du port du masque sur les plages.

    BFM.TV

    Il y a vraiment de l'exagération !

    Macron a besoin d'argent !


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  • Sa compagne et un autre enfant du couple n'ont rien pu faire

    Une banale sortie canoë en famille, dimanche sur le Doubs, a viré au drame. L’embarcation s’est retournée en début d’après-midi à proximité de Baume-les-Dames et le père s’est noyé, rapporte L'Est Républicain.

     

    L’homme, âgé de 44 ans et qui n’avait pas enfilé de gilet de sauvetage, n’a pu être ranimé à temps par les pompiers. Son petit garçon de 3 ans et demi, lui, a été sauvé d’une eau à 10 °C grâce à son gilet de sauvetage et l’intervention des secours. Il a été transporté à l’hôpital, alors que la mère et un autre enfant du couple, âgé de 11 ans, ont assisté, impuissants, au drame.

    20 Minutes


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  • Rhône: un corps retrouvé dans une camionnette de prostituée

    Macabre découverte dans la nuit de dimanche à lundi à Meyzieu près de Lyon, rapporte Le Progrès. Un corps a été retrouvé dans un véhicule qui était en feu sur le bord d'une route.

    Il s'agirait d'une camionnette habituellement utilisé pour de la prostitution. On ignore pour l'heure l'identité de la victime et si c'est une affaire criminelle ou accidentelle. "Une enquête a été ouverte en recherche des causes et des circonstances de ce décès. Elle a été confiée à la Brigade des recherches de Mions" indique le Parquet de Lyon.

    BFM.TV


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  • Un homme âgé de 35 ans a fait une chute mortelle de 80 mètres près du viaduc de Millau en Aveyron. Ce dernier faisait du base-jump, mais la voile de son appareil ne s’est pas ouverte correctement.

    Dramatique accident ce dimanche vers 13 heures. Un base-jumper s’est jeté d’un point de vue panoramique situé sur la route de la Cavalerie, en sortant de Millau rapporte France Bleu. Durant la descente, la voile de son parachute ne s’est pas ouverte et cet homme âgé de 35 ans a fait une chute de 80 mètres.

    Son corps sans vie a été retrouvé dans un endroit difficile d’accès. Les secours ont dû faire appel aux pompiers spécialisés du Groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux (GRIMP) pour pouvoir le récupérer précise Centre Presse Aveyron.

    La victime n’était pas originaire de la région ont indiqué les pompiers. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes du drame.

    Le base-jump est un sport extrême consistant à sauter en parachute à partir de points hauts comme des immeubles, des ponts ou des falaises. Un sport qui fait plusieurs morts chaque année dans le monde.

    ACTU 17


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  • Un homme âgé de 32 ans a été poignardé à mort à Besançon (Doubs) ce samedi soir. Le tueur présumé, bien connu de la justice, a été interpellé ce dimanche matin avant d’être placé en garde à vue.

    La victime a été découverte dans la rue de la Liberté à Besançon ce samedi soir raconte L’Est Républicain. Cet homme de 32 ans venait d’être poignardé à mort, au niveau du thorax, alors que plusieurs témoins avaient signalé une violente rixe. Il est décédé sur place peu après l’arrivée des secours. L’arme blanche du crime a été retrouvée à quelques mètres du lieu des faits.

    Les policiers du commissariat de la ville ont mené de premières investigations qui ont conduit à l’interpellation d’un homme ce dimanche matin. Il a été placé en garde à vue. Né en 1996 et bien connu des services de police, il a déjà été condamné à plusieurs reprises par la justice pour des faits de violences selon nos confères.

    Les circonstances exactes de ce meurtre et les motivations du mis en cause restent encore à éclaircir. Une autopsie doit être pratiquée sur le corps du défunt, qui est rapidement décédé. Une informations judiciaire pourrait être ouverte dès lundi.

    ACTU 17

    Ce type aurait dû être en prison !

    Ou expulsé si c'est un étranger ! Mais en France, on expulse pas comme en Suisse !


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