• Jean-Marie Le Pen absent des 50 ans du RN : il n’a pas été invité !

    Dans un article paru ce vendredi 30 septembre, Le Parisien a révélé que Jean-Marie n’a pas été invité au colloque organisé pour célébrer les 50 ans du Rassemblement national.

    Pour Phillippe Olivier, la mission est claire : éviter les sujets épineux et un nouveau scandale au sein du parti"Va-t-on instruire notre propre procès ? Non, on n’est pas maso, d’autres le feront pour nous. Les dérapages de Le Pen, on les a déjà condamnés. Même sur l’Europe, nous avons infléchi notre position", a-t-il poursuivi, avant d’ajouter : "L’objectif du colloque est de montrer en dynamique ce que le mouvement national a apporté." Pour ce faire, l’événement a prévu trois conférences qui seront retransmises sur les réseaux sociaux.

    Jean-Marie Le Pen prépare sa propre fête

    Écarté de l’événement officiel, Jean-Marie Le Pen a pourtant bel et bien l’intention de célébrer les 50 ans du parti qu’il a cofondé. En effet, le papa de Marine Le Pen organisera une garden-party le 22 octobre prochain, a rapporté France InterIl n’y aura "que des amis, pas d’hypocrites", selon la radio publique, qui a relayé les propos de l’ancien eurodéputé. De son côté, un proche de Jean-Marie Le Pen a déclaré que l’événement a été baptisé "Rallumer la flamme", en opposition à ceux qui "veulent l’éteindre". "On veut tourner cette page-là, parmi nos élus aujourd'hui, beaucoup sont étrangers à cette histoire", a révélé la source à France Inter, le 8 septembre dernier. Et de conclure : "On va déjà avoir le droit aux émissions télé sur les 50 ans, avec des musiques inquiétantes... Pas besoin d'en rajouter." Des célébrations différentes qui semblent malgré tout se rejoindre sur un point : la sobriété.

    Gala


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  • “Le boomerang lui revient en pleine gueule” : Éric Zemmour se mord les doigts après avoir enfoncé Marine Le Pen

    Lancée dans une guerre contre Marine Le Pen tout au long de la présidentielle, Eric Zemmour en paie aujourd'hui le prix fort. En grande difficulté pour les législatives à venir, le leader de Reconquête est devenu le sujet de moqueries préféré au Rassemblement national...

     

    Marine Le Pen peut savourer sa revanche ! Cible numéro un d'Eric Zemmour, qui n'a cessé de marteler qu'elle ne "gagnerait jamais" la présidentielle durant la campagne, la leader du RN doit aujourd'hui sourire devant les déboires de son rival. Car à la suite de son échec retentissant dans la course à l'Élysée, avec seulement 7% des voix, l'ex-polémiste se retrouve en grande faiblesse pour les législatives. Au point d'être obligé de quémander une alliance au camp de Marine Le Pen, qui s'est fait un plaisir de le snober.

    “Le boomerang lui revient en pleine gueule” : Éric Zemmour se mord les doigts après avoir enfoncé Marine Le Pen

    La candidate pose fièrement avec les hommes de son parti : son ex-mari Louis Alliot et Jordan Bardella avec lors du congrès du Rassemblement National (RN) à Perpignan, en 2021.

     

    Résultat, du côté du RN, on jubile : "Son moment de gloire est passé. C'est une histoire de semaines avant qu'on n'entende plus parler de lui et de Reconquête !" se réjouit un élu interrogé par Le Point. Tandis que d'autres s'étonnent de voir le compagnon de Sarah Knafo se poser en victime de Marine Le Pen : "Le mec l'a pourrie pendant des mois, a fondé son projet politique sur sa haine de la “loseuse” Marine et s'étonne que le boomerang lui revienne aujourd'hui en pleine gueule."

    Éric Zemmour "très tenté" par une candidature aux législatives

    Il faut dire qu'Éric Zemmour n'a pas vraiment semblé regretter ses attaques. "Hélas, hélas, hélas, c'est la huitième fois que la défaite frappe le nom des Le Pen", a-t-il même encore taclé le soir du second tour. Pas le meilleur moyen de se rabibocher avec le RN avant des législatives qui s'annoncent désormais très compliquées pour Reconquête. Si Eric Zemmour reste "très tenté" par une candidature dans le Var ou à Paris, les espoirs de victoire seront minces faute d'accord avec le RN, et le parti pourrait n'avoir aucun député à l'Assemblée.

    GALA


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  • Très présent dans les médias, Jordan Bardella, député européen et membre du Rassemblement National, préfère la discrétion en ce qui concerne sa vie privée. Le jeune homme de 25 ans invité de TPMP ce mercredi 5 janvier 2022, file le parfait amour avec Nolwenn, la petite-fille de Jean-Marie Le Pen.

    À seulement 25 ans, Jordan Bardella est déjà une figure phare du Rassemblement National. Suite aux propos polémiques du président de la République révélés dans Le Parisien, le jeune député européen reviendra sur cette interview dans TPMP, ce mercredi 5 janvier 2022. Le jeune homme, qui a pris sa carte du parti en 2012, a rapidement intégré les codes de la politique mais prend soin de ne pas mêler sa vie privée à sa carrière, même si il y a un petit rapport ! Comme le rapporait L'Express, Jordan Bardella partage la vie de Nolwenn Olivier, qui n'est autre que la fille de Marie-Caroline Le Pen et Philippe Olivier, et donc la petite-fille de Jean-Marie Le Pen.

    Une histoire d'amour qui expliquerait son ascension fulgurante au sein du Rassemblement National ? Si ces moqueries ont fait le tour du parti, le jeune homme qui s'est offert un coûteux coaching n'en a que faire et vit son histoire d'amour à l'abri des regards. "Ces critiques sont ignobles. Marine Le Pen m'a choisi comme tête de liste alors que j'étais célibataire", s'est-il défendu auprès de nos confrères. Pour la première fois en novembre 2021, la France découvrait son visage dans Ambitions Intimes sur M6. La jeune femme y évoquait le parcours de sa tante, candidate à la présidentielle 2022. Fou amoureux, ni l'un, ni l'autre ne souhaite médiatiser cette relation

    Un quotidien simple et une passion pour la cuisine

    Quand il n'est pas sur les plateaux télévisés ou accaparé par la politique, le quotidien de Jordan Bardella est tout ce qu'il y a de plus simple. A 25 ans, il ne cache pas être passionné par la cuisine et ne se fait pas prier pour rejoindre les fourneaux pour reproduire les recettes de son enfance. "J’ai retrouvé un carnet sur lequel j’ai noté, année après année, avec ma petite écriture d’enfant – et pas mal de fautes d’orthographe! – les recettes que m’ont transmises mon oncle et ma grand-mère," confiait-il à Paris Match en août dernier. La cuisine, c'est sa passion, mais aussi celle de Nolwenn Olivier, sa compagne, qualifiée de "fine cuisinière" par nos confrères. Un joli couple qui a choisi la discrétion et qui partage des choses simples.

    GALA


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  • "Je sais que j'ai entamé la dernière ligne droite" : Jean-Marie Le Pen évoque "la mort qui rôde"

    À 93 ans, la santé déclinante de Jean-Marie Le Pen le fragilise peu à peu. Dans un entretien accordé à Vanity Fair, le père de Marine Le Pen évoque "la mort qui rôde" : "Je sais que j'ai entamé la dernière ligne droite", confie-t-il, ce vendredi 29 octobre.

    Jean-Marie Le Pen compte ses jours. Très affaibli par sa santé déclinante, l'ancien meneur du Front National, retiré de la vie politique évoque "la mort qui rôde" sans détour : "Je n'y pensais jamais, mais depuis que j'ai franchi le cap des 90 ans, je sais que j'ai entamé la dernière ligne droite", confie le père de famille, en froid avec sa fille, dans les colonnes de Vanity Fair, ce vendredi 29 octobre.

    Fragilisé par des difficultés physiquesle patriarche amer accuse ses 93 ans. "fatigué, presque las", l'ancien leader est franc : "Vous savez l'élection, c'est en avril, et avril, c'est loin. Je ne sais même pas si je serai encore là", avoue le cofondateur du Front Nationalretiré dans sa villa située à Rueil-Malmaison. Des problèmes de surdité le freine occasionnellement : "Jean-Marie Le Pen est en retard. Un souci de prothèse auditive a contraint le vieil homme à faire un détour chez le médecin", apprend-on dans les bonnes feuilles de nos confrères.

    "Le Pen fouille dans sa mémoire"

    Désormais, l'aide d'un collaborateur est devenue inévitable pour le "hisser péniblement au premier étage. L'ascension du majestueux escalier en bois est lente et incertaine. Rapide halte dans le bureau de son assistante pour reprendre son souffle", ajoutent nos confrères du Vanity Fair. Fortement diminué, Jean-Marie Le Pen marié depuis peu à Jany Le Pen, peine à se déplacer sans l'aide de son bâton de vieillesse : "Il s'appuie sur sa canne, respire bruyamment, avance à petits pas, et se laisse choir dans un fauteuil hors d'âge au pied de la cheminée", relèvent nos confrères.

    Durant l'entretien, sa fatigue se fait ressentir : "Long soupir. La fatigue le gagne. Le Pen fouille dans sa mémoire", remarquent nos confrères. Toutefois, l'ancien président du Front national en bisbille avec le fisc, n'épargne pas sa fille, qu'il torpille et ne mentionne plus par "Ma fille".

    GALA


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  • Selon Bardella, la théorie du "grand remplacement" pointe "une réalité"

    Le numéro deux du Rassemblement national, Jordan Bardella, a estimé dimanche que la théorie complotiste du "grand remplacement" (de la population européenne par une population immigrée) pointait "une réalité".

    "Je n’aime pas ce mot de 'grand remplacement' parce qu'il n’est pas clair, c’est un slogan très intellectuel, mais il pointe une réalité qui est juste. Allez vous balader dans tous les quartiers où j’ai grandi, en Seine-Saint-Denis", a déclaré sur BFMTV l'eurodéputé, qui doit prendre prochainement la présidence du RN pendant la campagne présidentielle de sa cheffe actuelle Marine Le Pen.

    Oui il y a un basculement démographique qui pourrait faire craindre que la France change de visage dans quelques années et c’est déjà en train d’arriver", a-t-il insisté. Alors qu'on lui demandait si la notion de "visage" faisait référence à la couleur de peau, il a répondu qu'il "parlait de culture, de l'importation sur notre sol d’une civilisation avec qui nous ne partageons rien".

    "J’ai un problème avec les gens qui viennent aujourd'hui dans notre pays pour le changer"

    "J’ai un problème avec les gens qui viennent aujourd'hui dans notre pays pour le changer, pour en changer la langue, pour en changer la culture, pour imposer le burkini sur les plages, pour imposer le voile à des fillettes de 5,6, 10 ans, pour imposer des horaires séparés dans les piscines, pour imposer des régimes confessionnels dans les cantines", a développé le responsable d'extrême droite.

    Au sujet des Afghans qui fuient le régime des talibans, il a répété son opposition à leur accueil en France parce qu'une "grande partie du peuple afghan souhaite vivre sous le régime et sous la loi islamique, sous le règne de la charia". Il a suggéré que les demandes d’asile soient traitées "dans des pays tiers" et proposé pour les réfugiés afghans la mise en place de "camps sécurisés dans les pays frontaliers".

    Dans le mensuel Causeur, Marine Le Pen soutient cette idée de "sanctuaires humanitaires" sur des terres "louées pour 30 ans" par la communauté internationale, où "rien n’y serait gratuit" pour les réfugiés qui n'ont "pas vocation à vivre éternellement de l’assistanat mondial". Jordan Bardella a promis à nouveau "un moratoire" sur l'immigration et la fermeture des "pompes aspirantes" que sont à ses yeux "les soins gratuits pour les clandestins", ou la régularisation des étrangers en situation irrégulière "au motif qu’ils ont un contrat de travail".

    Paris Match


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  • Marion Maréchal, prophète de malheur

    La nièce de Marine Le Pen avait prédit les mauvais résultats du RN aux élections régionales.

     « Ça va être très décevant pour le RN […]. Je pense qu’on va reculer de plusieurs points dans les régions les plus fortes pour nous. »

    Ces prédictions étaient signées Marion Maréchal. L’ex-députée les a confiées, le 1er mars, aux journalistes François-Xavier Bourmaud et Charles Sapin. Elle a aussi fait part de ses doutes sur la stratégie présidentielle de sa tante et demeure partisane de l’union des droites.

    Les confrères du « Figaro » rapportent ses confidences dans « Le tango des fossoyeurs » (éd. L’Archipel, à paraître le 2 septembre), consacré au duel à distance entre les finalistes de la présidentielle, Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Et la façon dont ils se font la courte échelle depuis plus de quatre ans pour se retrouver face à face en 2022. Un essai bien informé dans lequel la famille Le Pen (père, fille et nièce) s’exprime abondamment.

    Paris Match


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  • Selon Jean-Marie Le Pen, le RN doit retrouver sa "virilité"

    Jean-Marie Le Pen a souhaité mercredi que son ancien parti le Rassemblement national, présidé par sa fille Marine Le Pen et qui tient son congrès samedi et dimanche, retrouve sa "virilité", ou bien ce sera sa "disparition".

    "Aujourd’hui, ou Marine Le Pen revient aux fondamentaux, qui ne consiste pas seulement à les énoncer mais à les faire vivre, sur l’immigration, l'insécurité", avec "une reprise de la virilité, de la netteté des positions", ou bien ce sera sa "disparition", a déclaré celui qui a dirigé près de 40 ans le FN, dans son Journal de bord vidéo diffusé mercredi.

    "Ou bien Marine Le Pen retrouve les accents des combats précédents ou bien elle va progressivement s’effacer", a ajouté le co-fondateur du FN. Il estime que ce parti n’a "de chances de succès que sous une forme alternative au système".

     

    Le changement de nom "déjà une forme de recul"

    Au congrès du RN qui se tient samedi et dimanche à Perpignan, la cheffe du RN a "une obligation, de préciser ses positions et de revenir aux positions qui avaient fait la force et l’espérance de croissance du FN", a insisté Jean-Marie Le Pen. Pour lui, "le congrès devrait être le moyen d’afficher un redressement politique, intellectuel, moral". L'ancien patron du FN a redit que la "délepénisation" du parti duquel il a été exclu en 2015 avait été "une faute politique" qui s'est "traduite par un échec électoral" aux régionales "et peut-être des échecs électoraux (à venir) si cette position était maintenue".

    Jean-Marie Le Pen attribue aussi ce revers électoral au changement de nom, "qui était déjà une forme de recul". "La politique d’adaptation, de rapprochement du mouvement par rapport au pouvoir, à la droite ordinaire même, a été sanctionnée sévèrement" par les électeurs, selon lui.

    Paris Match


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  • La gauche a conservé la majorité absolue des sièges dans les Pyrénées-Orientales, lors du 2e tour des élections départementales de dimanche, alors que le RN ne remporte aucun canton. 

    La majorité PS-PC-PRG l'emporte dans au moins 9 des 17 cantons du département qu'elle dirige depuis 1998.

    Le RN, qui tablait sur une dynamique créée par la victoire aux municipales de 2020 à Perpignan de Louis Aliot, n'obtient aucun conseiller départemental. Il était pourtant arrivé en tête dans cinq des 17 cantons, et au second tour dans 14, lors du premier tour de ces élections, le 20 juin.

    Dans le canton des Pyrénées catalanes, celui du Premier ministre Jean Castex, le binôme de droite sortant est battu par la gauche.

    Sur la canton de Perpignan 3, le binôme du tête de liste LR et sénateur Jean Sol a battu celui du tête de liste RN Alain Cavalière, venu de LREM.

    Alors que la direction des Républicains excluait tout compromis avec l'extrême droite, M. Sol n'avait pas exclu de travailler avec des élus RN après le second tour, déclenchant une vive polémique.

    Après avoir conquis la ville de Perpignan, le RN nourrissait de grandes ambitions dans ce département frontalier de l'Espagne, classé parmi les plus pauvres de France et présidé par la gauche depuis 1945, avec un intermède de la droite UDF (1982-1998).

    L'élection à la présidence du département aura lieu jeudi.

    Paris Match


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  • "Ça n'est pas extrêmement loyal !" : Marine Le Pen attaque Éric Zemmour qu'elle accuse d'être en campagne cachée pour l'élection présidentielle de 2022

     

    Titre / "Ça n'est pas extrêmement loyal !" : Marine Le Pen attaque Éric Zemmour qu'elle accuse d'être en campagne cachée pour l'élection présidentielle de 2022

    Invitée sur France Inter ce mercredi, Marine Le Pen a appelé Éric Zemmour à clarifier ses intentions, et à se déclarer officiellement candidat.

    Y aura-t-il une candidature Éric Zemmour à l'élection présidentielle de 2022 ? La question enfle depuis quelques semaines, et les prises de positions de plus en plus nombreuses de l'éditorialiste de CNews et de ses soutiens. À tel point qu'elle fait désormais réagir des personnalités politiques de premier plan, c'était par exemple le cas de Marine Le Pen ce mercredi matin, invitée de la matinale de France Inter présentée par Léa Salamé et Nicolas Demorand"Permettez-moi de vous dire que je trouve particulièrement désobligeants les commentaires d'Éric Zemmour, qui démontrent qu'il est devenu candidat et qu'il n'est plus un éditorialiste. Je les trouve désobligeants et injustes", lance d'ailleurs la finaliste malheureuse de 2017, au détour d'une réponse.

    "Être éditorialiste et se comporter comme un candidat à la présidentielle, ce n'est pas extrêmement loyal !"

    Une pique qui va attirer l'attention de Nicolas Demorand : "Une candidature Éric Zemmour vous inquiète, Marine Le Pen ?". Si l'abcès est crevé, autant y aller... C'est exactement ce que va faire l'invitée de la matinale du service public. "Non, elle ne m'inquiète pas, mais je ne fais pas de politique fiction ! Si Éric Zemmour veut être candidat qu'il le soit, mais que les choses soient loyalement dites ! Parce qu'être éditorialiste et se comporter comme un candidat à la présidentielle, ce n'est pas extrêmement loyal !". Quitte à franchir une marche supplémentaire, et demander à comptabiliser son temps de parole, embraye Léa Salamé, reprenant une proposition du député européen Stéphane Séjourné, proche d'Emmanuel Macron ? Si elle ne va pas jusque-là, la présidente du Rassemblement National ne paraît pas fermée à l'idée...

    "Il considère le RN non plus comme un élément de la vie politique française, mais comme un concurrent"

    "Il faudrait surtout qu'il dise ce qu'il souhaite faire ! Voilà ! Qu'il le dise !". La perche est tendue, Léa Salamé s'en empare : "Vous trouvez qu'il manque de clarté ? Pour vous il est candidat sans le dire ? Jusqu'à aujourd'hui, il est éditorialiste, point !". Et la réponse de Marine Le Pen ne va pas la décevoir. "Oui, oui oui, oui ! La violence de ses propos à l'égard du Rassemblement National démontre qu'il considère le RN non plus comme un élément de la vie politique française, mais comme un concurrent politique ! Ça change les choses, quand même !"

    Télé-Loisirs.fr

    Marine Le Pen perd la boule !


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  • Il était environ 11 heures du matin vendredi à Arles. La « RNmobile » d’Enzo Alias, candidat du Rassemblement national aux prochaines élections départementales dans le canton, s’était arrêtée peu de temps avant. Accompagné d’un militant du parti, il était venu coller des affiches en son nom dans le centre-ville. C’est là qu’ils auraient été violemment agressés par deux habitants, annonçait dans un premier temps France Bleu Provence.

    Dans une vidéo publiée par le candidat sur Twitter, on voit l’agresseur invectiver le candidat et le militant, un bidon d’huile à la main. Il finit par jeter du liquide sur les victimes avant de se rapprocher d’elles semblant vouloir mettre un coup.

    La situation aurait dégénéré ensuite. L’agresseur, armé d’une matraque, aurait porté plusieurs coups sur le candidat et le militant. Tous les deux ont été pris en charge à l’hôpital. Les blessures constatées témoignent de la violence de l’agression. Le militant aurait un tibia fracturé et une commotion cérébrale « importante ». Il a dû passer une nuit en observation à l’hôpital. Le candidat, quant à lui, a eu un traumatisme crânien.

    Plusieurs responsables RN ont apporté leur soutien public au candidat sur les réseaux sociaux. Jordan Bardella, candidat en Île-de-France, interpelle le Premier ministre : « Faut-il attendre un drame avant que Jean Castex ne demande de la retenue à ses ministres ? ». Le numéro deux du RN fait ici allusion aux déclarations de certains membres du gouvernement. Éric Dupond-Moretti avait ainsi justifié sa candidature dans le Nord par sa volonté de chasser le « Rassemblement national ». Sa collègue Olivia Grégoire, secrétaire d’État à l’Économie sociale, solidaire et responsable, désignait le RN comme « ennemi à abattre ».

    Le Parisien

    Blessés, les deux hommes ont porté plainte


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  • ¨Marine Le Pen veut que les étrangers, condamnés en France, exécutent leur peine dans leur pays d’origine

    Face au manque de prisons en France, Marine Le Pen propose de créer des structures à part pour les primo-délinquants et les mineurs et souhaite que les peines de prison prononcées en France à l'encontre d'un étranger puissent être exécutées dans son pays d’origine.

    La candidate à la présidentielle a dévoilé quelques-unes de ses mesures, mardi matin sur l’antenne de CNews. Face au problème de surpopulation carcéral et de manque de prisons, Marine Le Pen indique qu’il peut «y avoir pour les primo-délinquants, pour les mineurs des structures beaucoup plus légères qu’une prison traditionnelle». «On pourrait très simplement aller chercher des bâtiments qui appartiennent à l’Etat et qui sont désaffectés ou en train d’être vendus», a-t-elle poursuivi prenant l’exemple d’anciens hôpitaux ou casernes. Il s’agirait alors de les «transformer à moindre coût en des centres semi-fermés», «plus légers en terme de surveillance mais qui permettent d’augmenter le nombre de places de prison». Selon elle, il faudrait un centre de ce type par département.

     

    Pour récupérer des places de prison, la présidente du Rassemblement national propose également que les étrangers condamnés en France exécutent leurs peines dans leurs pays d’origine. «Si on se refuse à renvoyer dans leur pays des gens venus dans le nôtre et qui y ont commis des délits et des crimes, ce sont 20 à 22% des places qui sont bloquées», a-t-elle martelé.

    "Nous avons aussi des mesures de rétorsions possibles"

    Elle évoque l’idée «d’engager des pourparlers avec un certain nombre de pays dont sont issus les étrangers dans notre pays pour que, dans le cadre d’accords bilatéraux, les peines de prison prononcées en France puissent être exécutées dans le pays d’origine. Je crois qu’il y a là moyen de récupérer rapidement un nombre de places de prison non négligeable», a-t-elle fait valoir.

    Elle assure également que la France a «des moyens de faire comprendre aux pays d’origine qu’ils ont tout intérêt à reprendre leurs ressortissants, comme le droit international les oblige à le faire. Nous avons aussi des mesures de rétorsions possibles. Il est un temps que si la demande de respect du droit international n’aboutit pas il faut mettre en place des mesures de rétorsions», a-t-elle indiqué évoquant la délivrance de visas ou les aides internationales versées par la France.

    Paris Match


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  • Déçu par la gauche, Jacques se dit prêt à voter pour la candidate du Rassemblement nationale plutôt que pour Emmanuel Macron.

    Ce n’est pas un choix de cœur, mais un choix par défaut. Jacques, retraité qui habite dans le Var, a confié qu’il était aujourd’hui prêt à voter pour Marine Le Pen lors de la prochaine présidentielle. 

     

    Un choix qui lui pèse, lui qui a toujours été de gauche. Mais face à l’état de son parti, il ne voit pas d’autres possibilités.

    “J’ai voté pour monsieur Hollande en 2012. En 2017, je voulais voter au premier tour pour Benoît Hamon. Mais il a été lâché en catastrophe par tous les socialistes, c'était honteux. Il me restait donc Mélenchon. La France Insoumise, oui. Quatennens, Ruffin, d’accord. Mais Mélenchon certainement pas. J’ai quand même voté pour lui au premier tour, mais au second, c’était hors de question pour moi de voter pour Macron qui n’est absolument pas un homme de gauche, c’est une fantaisie”, détaille-t-il au micro des Grandes Gueules.

    Un programme économique qui fait la différence

    Ce sont des chiffres qui ont orienté son choix vers la candidate du RN. 

    “J’ai entendu que Marine Le Pen est arrivée en tête partout où le taux de pauvreté était au-dessus de la moyenne nationale et Macron partout où le taux de pauvreté était en dessous. Ça a résolu mon problème, je me suis dit que je n’allais pas voter pour un candidat mais je vais voter en solidarité pour les laisser pour compte de la société”, appuie-t-il.

    Il estime que son programme économique est notamment plus favorable aux gens de conditions modestes. Un programme que n’est plus capable de proposer la gauche. “Les socialistes sont catastrophiques, je suis extrêmement déçu”, ajoute-t-il.

    RMC


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  • Un préfet pour mener la campagne de Marine Le Pen

    Christophe Bay, ancien préfet de l’Aube et de la Dordogne, organisera la campagne électorale de Marine Le Pen.

    Qui mieux qu’un préfet pour organiser une campagne présidentielle ? En 2022, Marine Le Pen devrait avoir le sien. Christophe Bay, ancien préfet de l’Aube et de la Dordogne, qui conseillait secrètement la candidate en 2017, sera cette fois dans la lumière avec sans doute le titre de directeur de campagne, comme Le Figaro l’a évoqué. La nouvelle aurait dû être annoncée début avril, mais un décret a reporté au 1er juillet l’ouverture des comptes de campagne et tout le staff de la candidate d’extrême droite sera dévoilé après cette date.

    En attendant, Christophe Bay continue de travailler pour le groupe des eurodéputés RN où il est officiellement chargé, depuis près d’un an, de "faire la liaison avec les élus nationaux". Pratique, son bureau, situé au 288 boulevard Saint-Germain dans le viie arrondissement de Paris, est à deux pas de l’Assemblée nationale où se trouvent les équipes de la députée Marine Le Pen. "Il est en particulier chargé de structurer les groupes de travail pour l’élaboration du programme présidentiel, décrit l’eurodéputé Hervé ­Juvin, et de s’assurer de la cohérence des prises de position des uns et des autres sur les sujets d’actualité." Un poste-clé qui suscite des jalousies. "Après Florian Philippot, c’est le nouvel énarque de Marine Le Pen, persifle un cadre du parti. Elle est persuadée qu’il est omniscient et lui commande des notes sur tout et n’importe quoi."

     

    Agé de 58 ans, Christophe Bay est sorti de l’ENA en 1990, dans la même promo que Martin Hirsch, le patron de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, ou Odile Renaud-Basso, ex-directrice du Trésor. "Il a eu un parcours de haut niveau dans la préfectorale", relève un ancien de la Place Beauvau. Politiquement, il a été plutôt volatil. Au début des années 2000, il était conseiller des ministres de l’Intérieur, Jean-Pierre Chevènement, puis de Daniel Vaillant, sous le gouvernement de Lionel Jospin. Sept ans plus tard, il sera le directeur adjoint de cabinet du très sarkozyste Brice Hortefeux. Avant de finalement atterrir au RN.

    Challenges


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  • Présidentielle 2022: le sondage choc qui confirme l'implacable poussée de Marine Le Pen

    SONDAGE - Elle s'impose désormais en tête des intentions de vote dans toutes les franges de l'électorat français. Selon notre sondage exclusif Harris Interactive-Challenges, Marine Le Pen incarne un nouveau vote utile contre le président sortant qu'aucun autre opposant ne semble pouvoir défier pour le moment.

    LIEN de l'artcle :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/politique/pr%C3%A9sidentielle-2022-le-sondage-choc-qui-confirme-l-implacable-pouss%C3%A9e-de-marine-le-pen/ar-BB1gUnu5?ocid=msedgntp


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  • Marine Le Pen, exprimant son "soutien" aux policiers, a demandé mercredi à Bordeaux plus de fermeté à l'encontre des agresseurs des forces de l'ordre, pour "qu'on ne puisse plus toucher à un policier sans que les conséquences pénales soient extrêmement dures".

    "Le message qui doit être lancé aux délinquants et aux criminels c'est : si vous touchez à un policier, vous risquez de rester de longues années en prison", a déclaré la présidente du Rassemblement National à des journalistes devant l'Hôtel de police de Bordeaux, avant un déplacement électoral en Gironde.

    "Je suis navrée de dire à ceux qui nous gouvernent, que la fermeté dans ce domaine, ça marche !", a poursuivi Mme Le Pen, qui venait d'être reçue, en sa qualité de députée, par le Directeur départemental de la sécurité publique de la Gironde, a-t-on précisé de source policière.

    "Avant, policier, on risquait sa vie quand on était dans des services très difficiles, l'antiterrorisme, le grand banditisme, aujourd'hui on risque sa vie quand on va arrêter un petit dealer dans une banlieue, quelle qu'elle soit. Y compris (...) dans des quartiers qui étaient jusqu'à présent totalement préservés", a-t-elle déclaré en référence au policier d'Avignon Eric Masson, qui "a été tué dans un quartier plutôt huppé, en tout cas pas détecté dans un quartier dit difficile".

    Evoquant la justice qui, lors de la manifestation parisienne, a été cible de syndicats de police, Mme Le Pen a estimé que "la justice continuera d'être laxiste tant que la justice n'aura pas les moyens de pouvoir mettre à l'ombre ceux qui doivent être mis à l'ombre".

    "Il faut en bout de chaîne créer des places (...) de prison mais également des places de centres éducatifs fermés, ou semi-fermés, ou ouverts, en fonction de la gravité et de la qualité de primo-délinquant ou de mineur ou non, du délinquant", a précisé Mme Le Pen.

    "Si on ne fait pas ça, alors les juges n'oseront pas condamner à de la prison ferme. Ils abaisseront le niveau des peines en permanence parce qu'ils savent qu'il n'y a rien de pire qu'une peine qui est prononcée et pas appliquée", a-t-elle conclu.

    Mme Le Pen effectuait mercredi un déplacement en Gironde, au Cap Ferret, en soutien d'Edwige Diaz, tête de liste à l'élection régionale en Nouvelle-Aquitaine. Un récent sondage a crédité le RN de 24 % d'intention de vote au premier tour, deuxième juste derrière la liste du président sortant PS Alain Rousset (25 %).

    Le Point


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  • Propos sur les bracelets anti-rapprochement: Marine Le Pen renvoie la balle à Éric Dupond-Moretti

    Invitée sur LCI ce dimanche, la présidente du Rassemblement national a relativisé ses propos de samedi matin, estimant que l'indécence venait plutôt de l'incapacité du gouvernement à protéger les femmes victimes de violences conjugales.

    "J'ai répondu par le sourire au harcèlement dont Monsieur Dupond-Moretti fait preuve à mon égard." Invitée ce dimanche soir sur LCIla présidente du Rassemblement national a réagi aux accusations d'indignité qui ont fleuri après ses propos sur les bracelets anti-rapprochement.

    Samedi matin, alors que le ministre de la Justice, qui s'est porté candidat pour les élections régionales dans les Hauts-de-France, était en déplacement à Loos-en-Gohelle, dans le Pas-de-Calais, Marine Le Pen avait déclaré trouver "étrange l'obsession portée à son égard" par le garde des Sceaux.

    "Il paraît qu'il reste quelques bracelets anti-rapprochement en rab, je suis preneuse", avait-elle ajouté, suscitant les vives critiques de la majorité qui a dénoncé son indécence, quelques jours après le féminicide d'une mère de famille à Mérignac, en Gironde et les failles de la justice suspectées.

    63 bracelets attribués sur 1000, "elle est là l'indécence"

    "On ne peut pas me faire dire quelque chose que je n'ai absolument pas dit", a-t-elle nuancé ce dimanche, estimant que "l'indécence se situait dans le fait que sur les 1000 bracelets anti-rapprochement disponibles (un dispositif mis en place en septembre 2020 pour lutter contre les violences conjugales, NDLR), seuls 63 avaient été attribués". Un chiffre évoqué par Eric Dupond-Moretti samedi.

     

    "L'indécence se situe ici, dans l'incapacité qu'ils ont à mettre en place les mesures de protection des femmes battues. L'indécence est de ne pas permettre à ces femmes de s'arracher à l'obscurantisme, c'est d'avoir laissé les islamistes se développer dans nos territoires. Elle est là l'indécence", a martelé la candidate à la présidentielle de 2022.

    "J'ai essayé de répondre par le sourire à quelque chose dont je peux parler avec gravité", a-t-elle ajouté à la suite du récit "qui glace et fait monter les larmes aux yeux" de la mort de Chahinez.

    Un ministre "insultant, injurieux"

    Marine Le Pen a par ailleurs déploré le manque de "courtoisie républicaine" d'Eric Dupond-Moretti qui a déclaré vouloir "virer le Rassemblement national" des Hauts-de-France.

    "Je pense que le président de la République s'honorerait à expliquer au ministre de la Justice que quand on a cette charge si lourde dans un moment si compliqué de notre pays, on ne peut pas habiter cette fonction sans impartialité ni courtoisie républicaine, sans décence, dignité et réserve", a-t-elle déclaré ce dimanche, dénonçant un ministre "insultant et injurieux"

    BFM.TV


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  • Forte progression de Marine Le Pen dans l'opinion, selon un sondage

    La présidente du RN marque une hausse de huit points, selon le baromètre mensuel du Figaro Magazine.

    À un an de la prochaine élection présidentielle, Marine Le Pen semble s'ancrer encore davantage dans l'opinion publique. Finaliste du dernier scrutin face à Emmanuel Macron, la présidente du Rassemblement national (RN) marque ce mois-ci une forte hausse dans le baromètre mensuel Kantar-OnePoint publié par Le Figaro Magazine.

    La députée du Pas-de-Calais apparaît comme la deuxième personnalité, après Édouard Philippe (46%) que les Français aimeraient "voir jouer un rôle important au cours des mois et des années à venir", avec 34%, soit une augmentation de 8 points depuis la précédente enquête similaire, parue le mois dernier.

    Hausse au sein de tous les électorats

    L'hebdomadaire pointe le possible rôle de l'actualité dans cette hausse, avec le verdict du procès de Viry-Châtillon, la décision rendue par la Cour de cassation dans l'affaire Sarah Halimi ou encore l'attaque au couteau survenue au commissariat de Rambouillet, au cours de laquelle une fonctionnaire de police a été tuée.

    Dans le détail, Marine Le Pen marque une progression au sein de plusieurs électorats, de gauche comme d'extrême gauche, ainsi que de droite et chez les personnes qui se déclarent sans opinion.

    Dernièrement, plusieurs sondages portant spécifiquement sur la présidentielle à venir ont été publiés. Une enquête Elabe, réalisée pour BFMTV et publiée le 14 avril, la donnait au second tour face à Emmanuel Macron, au coude-à-coude, avec une victoire in fine du président sortant, avec 56% des voix contre 44% pour la députée d'extrême droite.

    Samedi, un sondage Ipsos-Sopra Steria en partenariat avec le Cevipof et la Fondation Jean-Jaurès publié par Le Mondelaissait présager également un second tour entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, quel que soit le candidat de la droite. Le président sortant l'emportait là aussi, avec 57% des voix, contre 43% pour son adversaire.

    Un an avant la prochaine présidentielle

    Lors de la présidentielle de 2017, Emmanuel Macron l'avait emporté avec 63,86% des suffrages. Si ces présents sondages devaient se révéler prophétiques, cela marquerait une baisse notable pour le chef de l'État.

    La parution du baromètre du Figaro Magazine coïncide avec le lancement de la campagne pour les régionales de Marine Le Pen, le 1er mai. Un lancement qui sera numérique, avec un discours sur les réseaux sociaux qui risque de prendre une tournure nationale, un an avant la course à l'Élysée.

    BFM.TV


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  • Philippe Ballard : le présentateur de LCI devient tête de liste du Rassemblement National

    Présentateur sur LCI depuis de longues années, Philippe Ballard se retire de l'antenne pour devenir la tête de liste du Rassemblement national à Paris aux élections régionales. Non Stop People vous en dit plus.

    Philippe Ballard, présentateur sur LCI, se retire de l'antenne pour rejoindre les rangs politiques. Ce mardi 27 avril, Philippe Ballard a annoncé qu'il serait la tête de liste du Rassemblement national en Ile-de-France, lors des prochaines élections régionales. "C'est avec un immense honneur que je serai tête de liste du Rassemblement National", a écrit le journaliste sur Twitter. Il sera en soutien à la liste au niveau régional de Jordan Bardella, numéro 2 du RN. Ce dernier brigue la présidence de la région. Le journaliste salué par Marine Le Pen, s'est expliqué sur Twitter : "L'état de mon pays m'a décidé à sauter le pas". Après cette annonce, LCI a indiqué qu'"en conséquence", Philippe Ballard se retirait "naturellement de l'antenne dès ce jour". 

    Un passé politique

    Adhérent du RN depuis septembre 2020, Philippe Ballard a assuré dans le Figaro avoir voulu s'engager "pour [ses] enfants et [ses] petits-enfants" et "l’état du pays". "Pour ne pas leur laisser ce pays archipélisé, où des pompiers se font caillasser et où l’économie est à genoux à cause de cette prétendue mondialisation heureuse qu’on nous a vendue toutes ces années", a-t-il déclaré. Présent sur la chaîne d'information depuis 1994, Philippe Ballard s'était déjà lancé en politique il y a plusieurs années. Entre 1989 et 2008, il a été maire adjoint sans étiquette de la ville de Plessis-Trévise (Val-de-Marne). Un élu du MoDem dirigeait alors la ville, précise Franceinfo. Le présentateur, apparu pour la dernière fois sur LCI ce dimanche 25 avril, a confié avoir toujours voté pour le RN, sauf en 1981. 

    Non Stop People


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