• Elle aurait laissé traîner de la poudre blanche qu’a ingurgitée le nourrisson, dont les jours ne sont pas en danger

    Une femme âgée de 40 ans a été placée en garde à vue au commissariat de Nîmes. Les policiers l’ont interpellé après une plainte des parents qui lui avaient confié la garde de leur bébé né en 2021. Lorsqu’ils ont récupéré leur enfant, ils ont été alertés par son comportement étrange. Ils l’ont alors amené au CHRU de la préfecture du Gard. Des analyses toxicologiques ont mis en évidence la présence de cocaïne dans son organisme.

    Lors de sa garde à vue, la nounou aurait reconnu consommer de la drogue et en avoir laissé traîner en la présence de l’enfant. Il aurait profité de son inattention pour en ingurgiter. Elle sera convoquée par la justice ultérieurement. L’enfant, pour sa part, est hors de danger.

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  • Des négociants et transporteurs étaient jugés devant le tribunal correctionnel de Bordeaux pour avoir importé l'équivalent de 4,6 millions de bouteilles de vins d'Espagne qu'ils revendaient ensuite comme de prestigieux vins français.

    Une tromperie "absolument indigne". Tels sont les termes employés par la procureure de la République pour qualifier le trafic de vin qui a été démantelé à Bordeaux et dont les auteurs étaient jugés ce jeudi 27 octobre. Cinq négociants et transporteurs, originaires de Gironde et de Charente, ont en effet comparu devant le tribunal correctionnel de Bordeaux, relate France Bleu Gironde, vendredi 28 octobre.

    Ils sont soupçonnés d'avoir importé l’équivalent de 4,6 millions de bouteilles de vin de table espagnol qu’ils revendaient ensuite comme du vin de France, de Bordeaux et même sous de fausses appellations d’AOC Saint-Émilion ou Pomerol. La procureure a requis jusqu’à deux ans de prison ferme à l'encontre "des deux chevilles ouvrières de la fraude". Le jugement a été mis en délibéré et sera rendu le 26 janvier prochain.

    Plusieurs millions d'euros de gains

    Grâce à des documents de transport douaniers falsifiés, ils auraient gagné plusieurs millions d'euros entre 2014 et 2016. Selon les enquêtes menées entre 2016 et 2019 par la brigade des vins et spiritueux de la Dreets (Directions régionales de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités) et les douanes, "la tromperie sur l'origine caractérisée" porte sur 131 camions-citernes, 34.587 hectolitres de vin. "C'est un record absolu dans la région, un schéma frauduleux à l'échelle industrielle", a estimé Frédéric Georges, avocat de la Fédération des grands vins de Bordeaux, partie civile au procès.

    Tout aurait commencé en 2013, cette année "a été terrible au niveau de la production, les demandes de vin étaient les mêmes donc nécessairement, ça a été compliqué", indiquait en 2016 Lucas Tabone, l'avocat de Michel Gilin, commercial des Celliers vinicoles du Blayais (CVB). Face à la crainte de ne pas pouvoir répondre aux commandes, le négociant décide de se rapprocher d'un courtier de Saint-Loubès, Jean-Sébastien Laflèche. Les deux hommes décident alors d'importer du vin bas de gamme d'Espagne. Un transporteur charentais, Trans BBP, se charge ensuite des 131 camions-citernes qui vont être acheminés dans le Sud-Ouest. Enfin, les négociants auraient maquillé les titres administratifs de transport pour franciser la marchandise.

    Capital


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  • Iran: l'homme "le plus sale du monde" est mort à l'âge de 94 ans

    Sur cette photo d'archive prise le 28 décembre 2018, l'Iranien Amou Haji est assis à la périphérie du village de Dezhgah, dans le sud-ouest de l'Iran

    Un Iranien surnommé l'homme "le plus sale du monde" pour ne pas avoir pris de douche pendant des décennies est décédé à l'âge de 94 ans, a annoncé mardi un média officiel.

    Amou Haji, qui ne s'est pas lavé pendant plus d'un demi-siècle, est mort dimanche dans le village de Dejgah, dans la province de Fars (sud), a rapporté l'agence Irna.

    Selon un responsable local cité par l'agence, il évitait de prendre un bain par crainte de "tomber malade".

    Un court documentaire intitulé "L'étrange vie d'Amou Haji", qui était célibataire, a été réalisé sur sa vie en 2013, d'après les médias locaux.

    "Pour la première fois il y a quelques mois, des villageois l'avaient emmené aux toilettes pour se laver", a souligné Irna.

    AFP


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  • Changement de formule du Levothyrox : le laboratoire Merck annonce sa mise en examen pour « tromperie aggravée »

    La filiale française du laboratoire pharmaceutique allemand Merck a annoncé ce mercredi 19 octobre sa propre mise en examen pour « tromperie aggravée » dans le dossier du changement de formule du médicament Levothyrox, en mars 2017.

    « Le président de Merck en France a été entendu » mardi à Marseille, explique le groupe dans un communiqué, audition à l’issue de laquelle « la juge d’instruction a décidé de mettre la société Merck en examen pour tromperie aggravée ».

    La mise en examen est liée aux « modalités d’information mises en place au moment de la transition de l’ancienne à la nouvelle formule en 2017 », pour ce médicament prescrit contre l’hypothyroïdie, précise l’entreprise.

    « Cette mise en examen ne concerne en aucun cas la qualité de la nouvelle formule du Levothyrox »

    La nouvelle composition du médicament, modifiant certains de ses excipients afin d’apporter davantage de stabilité au produit, a été incriminée, entre mars 2017 et avril 2018, par quelque 31 000 patients souffrant notamment de maux de tête, insomnies ou de vertiges.

    Une enquête pénale pour tromperie aggravée, homicide et blessures involontaires a été ouverte en 2018.

    « Cette mise en examen ne concerne en aucun cas la qualité de la nouvelle formule du Levothyrox », assure le laboratoire, soulignant vouloir « apporter toute précision nécessaire afin de faire établir qu’aucune infraction pénale, de quelque nature que ce soit, n’a été commise. »

    Dans le volet civil du dossier, la Cour de Cassation avait rejeté en mars le pourvoi du groupe, condamné en 2020 à indemniser plus de 3 300 utilisateurs ayant souffert d’effets secondaires à la suite du changement de formule.

    Dans son arrêt, la plus haute juridiction française avait estimé que « lorsque la composition d’un médicament change et que cette évolution de formule n’est pas signalée explicitement dans la notice, le fabricant et l’exploitant peuvent se voir reprocher un défaut d’information », pouvant « causer un préjudice moral ».

    L'Obs

    Je prends du Levothyrox 25ug chaque matin ! Je n'ai souffert d'aucun effet secondaire !


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  • Les nitrites présents dans le jambon sont bien responsables de cancers

    Selon un article du Journal du dimanche , publié ce dimanche 10 juillet, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) aurait, pour la première fois, reconnu un risque de cancer lié aux nitrites du jambon. Les nitrites de sodium sont entre autres des conservateurs qui donnent au jambon sa couleur rose et préviennent la formation de bactéries toxiques. Or, le jambon n'est pas rose, mais gris, comme un rôti de porc.

    Un lien avec le cancer du sein

    Il y aurait un lien entre cancer du colon et consommation de nitrites. Le rapport de l'ANSES sera publié demain mais Guillaume Coudray, qui alertait sur la dangerosité des nitrites dans son livre Cochonneries, a eu accès à une synthèse en avant première.

    "Non seulement l'ANSES reconnaît qu'il y a un lien entre les charcuteries aux nitrites et le cancer du côlon", explique-t-il au micro d'Europe 1. "Dans la ligne qui suit, elle dit en plus qu'il y a des liens avec d'autres cancers, en l'occurrence avec le cancer de la prostate, sans doute un lien avec le cancer du sein". Selon Guillaume Coudray, cette note détaille aussi que la toxicité des nitrates vient de leur association avec d’autres composants. 

    Un couleur rose attirante mais très dangereuse

    "Le nitrate et le nitrite vont réagir avec le fer qu'il y a dans la viande et quand ils réagissent avec le fer, ce dernier prend une belle couleur rose appétissante qui est attirante pour le consommateur. Sauf que ce fer rose, il devient cancérigène", alerte-t-il. Après la remise du rapport par l'ANSES, ce sera au gouvernement de choisir quelles mesures prendre pour limiter les risques cancérogènes des nitrites.

    Europe 1


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  • Les semaines défilent et les rappels de produits défilent. Plusieurs semaines après le scandale impliquant la firme Buitoni ou encore Kinder, voilà que le supermarché Auchan se trouve également dans l'obligation de faire un rappel massif de produit. Et cette fois-ci, il s'agit de nouilles thaï.

    Plusieurs rappels de produits en quelques semaines

    Il ne se passe pas une semaine sans que des rappels de produit ne soient effectués en France. Les citoyens sont donc de plus en plus vigilants quant à leurs achats. La semaine dernière, Leclerc procédait au rappel de miettes de surimi saveur crabeCet aliment, pourtant très apprécié pendant la saison estivale, était suspecté d'être contaminé par la Listeria. Il y a quelques jours, c'était au tour de Lidl de mettre en garde sa clientèle concernant la dangerosité de l'une de ses marques de jambon, potentiellement contaminée par, encore une fois, la Listeria. Dernièrement, Auchan a également alerté sa clientèle concernant des "nouilles thaï" vendues dans son stand traiteur. Ces dernières sont suspectées d'être infectées par la bactérie Escherichia coli, plus communément appelée E. coli.


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  • Rappel produit : ce jambon vendu chez Lidl contient de la Listeria ! Il peut être mortel

    Après la mortadelle, c’est au tour du jambon d’être suspecté. Soyez prudent en achetant vos produits dans les supermarchés, ce jambon de chez Lidl subit un rappel pour suspicions de listéria. Dans la lignée des jambons contaminés, voici qu’un autre produit subit un rappel. Le produit suspecté depuis ce 25 mai 2022 est un jambon vendu chez Lidl. Il s’agit du "jambon cuit supérieur sans couenne Label rouge", vendu en 4 tranches, en barquette de 160 g. Un produit de la marque Saint-Alby.

    Un jambon à ne surtout pas manger

    Quant au lot suspecté, il s’agit du 20421400006. Sa date limite de consommation est affichée au 12 juin 2022. D’après Rappel Conso, ce jambon aurait été commercialisé du 23 mai au 24 mai 2022. Les départements concernés sont l’Aube, la Meurthe-et-Moselle, la Moselle, la Meuse, la Haute-Marne, les Vosges, la Côte-d’Or, la Haute-Saône et la Marne. Faites très attention à ne pas manger ce fameux jambon, son rappel concerne des risques de Listeria. Une bactérie dangereuse pour les adultes, mais surtout pour les enfants.

    Les personnes qui auraient consommé la charcuterie et qui présenteraient "de la fièvre, isolée ou accompagnée de maux de tête, et des courbatures, sont invitées à consulter leur médecin traitant en lui signalant cette consommation ", précise Rappel Conso. "La listériose est une maladie qui peut être grave et dont le délai d’incubation peut aller jusqu’à huit semaines ", précise le site du gouvernement.

    D'autres jambons contaminés

    Les autorités alertent les consommateurs sur la présence de listeria également dans le jambon traditionnel de la marque Le Père Champain, commercialisé à Auchan. Ce sont ceux vendus entre le 5 et le 17 mai dans l’Auchan Super de Vouvray, situé en Centre-Val de Loire. En cas de doute sur une éventuelle contamination, un numéro d’information est disponible pour répondre aux questions des consommateurs. Il s’agit du 02 47 52 60 68.

    Attention ce jambon vendu chez Lidl contient de la Listeria, il est rappelé d'urgence

    Oh My Mag


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  • Claudine, auditrice d'Estelle Midi sur RMC et RMC Story, a raconté l'histoire de son mari, décédé après avoir attendu onze heures aux urgences, en mars dernier, à l'hôpital de Rambouillet (Yvelines).

    C'est un témoignage fort sur l'état de nos hôpitaux que RMC a reçu ce vendredi. Dans un débat sur le manque de personnel de santé, Claudine, auditrice de RMC a appelé le standard d'Estelle Midi pour témoigner de sa tragique expérience personnelle.

    Le 17 mars dernier, à l'hôpital de Rambouillet (Yvelines), son mari va aux urgences pour un mal persistant au dos et au ventre qui l'avait déjà conduit à aller la veille dans ce même hôpital, pendant cinq heures.

    "Il est resté onze heures aux urgences sans être pris par un médecin ou une aide soignante, et ils l'ont retrouvé mort par terre aux urgences", raconte cette retraitée.

    Cet homme en mauvaise santé qui avait fait "quatre infarctus, qui n'avait plus qu'un rein, qui avait eu une hernie aortique" était très suivi par des cardiologues. L'hôpital de Rambouillet avait refusé qu'il soit amené à l'hôpital où il était suivi habituellement par ses cardiologues, le centre hospitalier André Mignot, à Versailles, explique sa femme, parce que son épouse habite Rambouillet.

    Six heures, seul, le soir, aux urgences

    Amené sur place, sans possibilité d'avoir un accompagnateur, il est donc resté six heures de plus sur place avant de décéder, soit onze heures au total entre le matin et le soir.

    "Il est mort tout seul comme un chien. C'est horrible !", explique en larmes sa femme.

    L'hôpital de Rambouillet s'est "juste excusé" auprès de sa femme depuis 47 ans, dit celle qui se demande pourquoi le centre hospitalier ne l'a pas pris en charge.

    "Ils l'avaient vu la veille, ils savaient son état de santé. Pourquoi ils ne l'ont pas pris?"

    "Je ne sais pas de quoi est mort mon mari"

    Elle explique aussi que des "gens personnes se sont proposées pour lui céder leur place", mais les infirmières ont, selon son épouse, dit qu'il "attendra son tour". "Il a tellement attendu qu'il en est mort."

    "Ils m'ont prévenu que le lendemain à 10h du matin qu'il était mort, alors qu'il était mort depuis 0h05."

    La direction de l'hôpital a vu sa femme le lendemain, ils ont diligenté une enquête mais depuis "pas de nouvelles": "J'ai porté plainte, son corps a été emmené pour une autopsie. Mais je ne sais pas de quoi est mort mon mari." Son seul souhait, c'est "que ça ne se reproduise plus jamais".

    RMC


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  • Pizzas contaminés: des rongeurs découverts dans l'usine Buitoni

    Le préfet du Nord a interdit la production de pizzas au sein de l'usine Buitoni à Caudry, après plusieurs cas graves de contamination d'enfants par la bactérie Escherichia coli et des décès, possiblement liés à la consommation de ces produits, a indiqué mercredi la préfecture du Nord.

    Dans son arrêté, la préfecture du Nord qui rappelle que deux inspections d'hygiène ont été réalisées les 22 et 29 mars derniers fait état de "nombreuses anomalies graves en matière de nettoyage et d'entretien général des locaux et matériel au niveau de deux lignes de production de l'usine (ligne pâtes crues et ligne pâtes cuites)."

    Surtout, elle précise que les inspecteurs ont constaté la présence de rongeurs au niveau de l'atelier boulangerie et "l'absence de moyens de protections contre l'entrée de nuisibles et de lutte contre les nuisibles efficaces et adaptés à une activité alimentaire."

    Constatant un état général de l'outil de production fortement dégradé, la préfecture n'autorise pas l'usine de Caudry (groupe Nestlé) à relancer sa production avant la mise en conformité du site avec la règlementation en vigueur que ce soient les locaux, les équipements et les denrées alimentaires.

    Tests négatifs selon Nestlé

    La semaine dernière des images révélées par RMC montraient un environnement à l'hygiène fortement dégradé avec notamment des mégots de cigarettes, des vers de farine et des règles d'hygiène personnelles pas toujours respectées par les salariés travaillant sur le site.

    Nestlé qui a effectué 75 prélèvements sur la ligne de fabrication concernée et dans toute l'usine, assure qu'ils sont "tous négatifs" à la bactérie E.coli avait indiqué Pierre-Alexandre Teulié, le directeur général de la communication de Nestlé France.

    La France connaît depuis fin février une recrudescence de cas d'insuffisance rénale chez des enfants liés à une contamination à E.coli. Plusieurs de ces cas sont liés à la consommation de pizzas Fraich'Up de Buitoni, produites sur le site de Caudry, ont confirmé les autorités sanitaires.

    BFM Business


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  • A quelques jours de Pâques, l’une des fêtes les plus attendues par les fabricants et les consommateurs de chocolats, le groupe italien Ferrero a annoncé le rappel volontaire de certains de ses produits fabriqués en Belgique en raison de suspicions de salmonelles.

    Au moins 15 cas de salmonelloses suspects ont déjà été détectés en France, chez des personnes ayant consommé des produits Kinder, indique ce mardi 5 avil la Direction générale de la Santé (DGS) dans un communiqué relayé par Franceinfo. Parmi ces quinze personnes, « dont l’âge médian est de 4 ans », huit ont été hospitalisées.

    Ne pas consommer le produit

    « Aucun de nos produits Kinder mis sur le marché français n’a été testé positif à la salmonelle, nous n’avons reçu aucune plainte de la part de consommateurs », déclarait Ferrero lundi soir peu de temps après avoir annoncé un rappel « volontaire » d’une série de produits fabriqués en Belgique. Le rappel, à deux semaines de Pâques, porte sur l’équivalent de centaines de tonnes de chocolats, a précisé une porte-parole.

    Sont concernés des Kinder Surprise 20 g (par un, par trois, par quatre et par six) et 100 g avec des dates de péremption comprises entre fin juin 2022 et fin octobre 2022 ; des Kinder Schoko-Bons avec des dates de péremption comprises entre fin avril et fin août 2022 ; des Kinder Mini Eggs avec des dates de péremption comprises entre fin avril et fin août et enfin Kinder Happy Moments, Kinder Mix : 193 g, Panier 150 g, Peluche 133 g, Seau 198 g, avec des dates de péremption à fin août 2022.

    Ferrero conseille de ne pas consommer le produit, de le conserver et de contacter son équipe d’assistance aux consommateurs au 08 00 65 36 53 et à l’adresse contact.fr@ferrero.com.

    En Belgique, l’Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (AFSCA) a appelé lundi les consommateurs à ne pas consommer ces produits « à la suite d’une série de foyers de salmonelles déclarés dans différents Etats membres ». Aucun cas n’a toutefois été confirmé dans le pays. Les autorités britanniques ont fait état d’un rappel dès samedi pour la même raison.

    L'OBS


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  • Jeudi 31 mars 2022, l'émission Apolline Matin est revenue sur le scandale des pizzas Buitoni. De nombreux enfants ont été contaminés par la présence de bactéries E-coli dans la pâte de pizzas surgelées. Un ancien salarié témoigne et livre un récit glaçant des dessous des usines.

    C'est un scandale sanitaire. Les rappels produits sont fréquents dans l'agroalimentaire, particulièrement sur les produits qui peinent parfois à respecter les règles en vigueur. Cette fois, c'est la marque Buitoni qui est dans le collimateur. Le géant italien de l'alimentaire a potentiellement distribué des pizzas contaminées par des bactéries E-coli, très dangereuses pour le système digestif. Jeudi 31 mars 2022, Apolline Matin est revenu sur cette affaire qui agite les médias et le public depuis quelques jours. Et pour cause, plus de 70 enfants sont tombés malades, dont au moins un plongé dans le coma. Un salarié de l'entreprise a par ailleurs tenu à partager des images exclusives de l'envers du décor. Un témoignage peu reluisant pour l'enseigne qui a admis dans un communiqué qu'elle va tout faire pour assumer ses responsabilités.

    "Il y a des vers sur les tapis où les pizzas passent"

    Les autorités sanitaires pointent du doigt la responsabilité des pizzas Fraîch’Up® de la marque Buitoni dans les nombreuses contaminations d'enfants. Dans son communiqué, le groupe Nestlé assure avoir retiré la totalité des pizzas concernées de la vente, interrompu les livraisons et suspendu la production à durée indéterminée. "A ce jour, la provenance de la bactérie présente dans la pizza reste indéterminée. Toutes nos équipes se mobilisent pour mener jusqu’au bout nos recherches et les autorités poursuivent les tests et prélèvements nécessaires à leur enquête", a déclaré la marque dans son communiqué. C'était sans compter sur la révélation exclusive d'un ancien salarié d'usine [l'usine de Caudry, dans le Nord, ndlr.], dont le témoignage a été diffusé en direct sur RMC Story, photos à l'appui. Pendant 18 mois, cet homme a travaillé dans des conditions bien éloignées des normes de sécurité alimentaires. "Quand on voit des champignons au mur, quand il y a des vers sur les tapis où les pizzas passent, quand la peinture s'écaille sous les barres en métal, ça ne va pas. Des bouts de nourriture restaient à certains endroits pendant plusieurs jours, plusieurs semaines. [...] Là où la farine est envoyée, sur les tapis, pour ne pas que la pâte colle, des vers de farine pouvaient tomber régulièrement. Et la plupart des gens ne se lavaient pas les mains, même en revenant des toilettes", explique-t-il. Le constat est catastrophique. Les photos effroyables. Malgré ses plaintes à la direction, rien ne change. Pourtant ils promettent des améliorations que l'employé ne constatera jamais. "Tout est censé être parfait, mais ce n'est pas la réalité. On nous cache beaucoup de choses", déclare-t-il.

    Deux enfants sont morts

    En tout, ce sont 75 enfants, de 1 à 18 ans, qui sont tombés malades, d'autres hospitalisés avec des reins qui ne fonctionnent plus, et deux enfants sont morts après avoir consommé ces pizzas surgelées. Le petit Mathis, 6 ans, est dans un hôpital bordelais depuis deux semaines, après avoir mangé sa pizza préférée. Sa maman raconte qu'il est sous dialyse, avec vérification régulière de son rythme cardiaque, "car cette bactérie attaque tous les organes", raconte-t-elle, toujours sur RMC. Une petite fille, de 6 ans elle aussi, a vu sa vie basculer le dimanche 20 mars 2022, quelques heures après avoir déjeuné. La fillette est dans le coma depuis un peu plus d'une semaine. Tous les jours, ses parents se rendent à l'hôpital, au chevet de leur enfant dont les reins ne fonctionnent plus et dont le cœur a été attaqué par des toxines. Hallucination, amnésies... "Là a eu lieu le premier arrêt cardiaque", confie le papa. Intubée au départ, elle est désormais sous traitement médicamenteux. La Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et des Fraudes (DGCCRF) est en pleine enquête sur ce scandale. Alors que certains parents ont porté plainte contre X, le groupe Nestlé risque de faire face à des accusations pour mise en danger de la vie d'autrui et homicide involontaire. Ces dernières sont répréhensibles pénalement et passibles de 7 ans d'emprisonnement, ainsi que de lourdes amendes ponctionnées sur le chiffre d’affaires de l'entreprise.

    Femme Actuelle


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  • Un homme atteint d'un cancer terminal des poumons sauvé aux Etats-Unis par une double greffe

    © - Photo fournie par l'hôpital Northwestern Medicine de Chicago sur laquelle figure Albert Khoury (à droite) avec son chirurgien Ankit Bharat, le 12 janvier 2022

    Des médecins américains ont annoncé jeudi être parvenus à réaliser une double greffe de poumon sur un patient atteint d'un cancer pulmonaire en phase terminale, suscitant l'espoir d'autres malades avancés.

    Le patient en question, Albert Khoury, un non fumeur de 54 ans, a passé sept heures sur la table d'opération pour recevoir ses nouveaux poumons, à l'hôpital Northwestern Medicine de Chicago, le 25 septembre 2021.

    Six mois plus tard, ses nouveaux poumons fonctionnent bien et il n'a été trouvé aucune trace de cellules cancéreuses dans son corps.

    "Les greffes de poumons sont extrêmement rares dans le cas de cancers du poumon, avec très peu d'exemples recensés", a expliqué dans un communiqué Ankit Bharat, le chirurgien thoracique en chef à Northwestern Medicine.

    "Pour les patients avec un cancer de stade 4, la greffe de poumon est considérée comme absolument exclue, mais étant donné que le cancer d'Albert était cantonné à sa poitrine, nous étions convaincus de pouvoir le débarrasser de toutes les cellules cancéreuses lors de l'opération et sauver sa vie."

    Les chirurgiens se montrent en général réticents à pratiquer ce type de greffes car le risque de rechute, chez un patient qui doit prendre des médicaments immunosuppresseurs afin d'empêcher un rejet du transplant, est très élevé s'il subsiste ne serait-ce que quelques cellules cancéreuses dans l'organisme.

    Les rares premières opérations de ce genre ont échoué, mais les médecins en savent désormais davantage sur la façon dont les cancers se propagent.

    Les symptômes d'Albert Khoury sont apparus début 2020: douleurs dorsales, éternuements, frissons, toux... 

    Cet ouvrier du bâtiment de Chicago a d'abord cru qu'il s'agissait du Covid-19, avant de commencer à tousser du sang et d'appeler son médecin.

    Les examens révèlent un cancer de stade 1. "Mais à cause de la vague de Covid-19, je n'ai pas pu commencer de traitement immédiatement", raconte-t-il dans un communiqué.

    En juillet 2020, son cancer s'était aggravé, au stade 2. Et la chimiothérapie ne l'a pas empêché de progresser encore, aux stades 3 puis 4.

    On lui avait annoncé qu'il n'y survivrait pas, quand sa soeur lui a parlé des greffes de poumons de l'hôpital de Northwestern Medicine, pionnier dans ce domaine.

    En 2020, une équipe dirigée par le chirurgien Ankit Bharat avait déjà effectué une double greffe sur une jeune femme dont les poumons avaient été ravagés par le Covid-19.

    - "Sourire" -

    Après d'autres tentatives de traitement, Albert Khoury, dont l'état se détériorait, a été jugé éligible à cette transplantation car son cancer, bien que de stade 4, ne s'était pas propagé à d'autres organes.

    L'équipe qui l'a opéré a dû, en six heures, enlever des "milliers de milliards" de cellules cancéreuses de ses poumons, en prenant soin de ne pas les laisser entrer en contact avec sa poitrine ni son système sanguin.

    "Ça a été une nuit palpitante", a résumé Ankit Bharat.

    Albert Khoury peut désormais mener une existence normale, travailler ou faire du sport sans assistance respiratoire.

    "Je n'ai pas souri pendant plus d'un an, mais maintenant je ne peux plus m'arrêter", a-t-il dit.

    Après sa réussite, l'équipe d'Ankit Bharat a entrepris de développer de nouveaux protocoles pour déterminer qui d'autre pourrait être éligible à un tel traitement.

    "Nous sommes désormais convaincus qu'il est possible de proposer une greffe dans le cas d'un cancer. Je pense que cela aura des effets plus importants que ce qu'on peut envisager à l'heure actuelle", a lancé le chirurgien.

    Le cancer du poumon est de loin le plus mortel aux Etats-Unis, avec près d'une mort liée à cette maladie sur quatre.

    AFP


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  • Diabétique et gravement blessée au pied droit, une quinquagénaire a finalement été amputée après ne pas avoir reçu les soins nécessaires à temps.

    Déjà habituellement surchargés, les hôpitaux sont désormais saturés depuis le début de la crise sanitaire. Le nombre abondant de patients infectés par le Covid-19 réduit considérablement les places disponibles pour les autres urgences. Une quinquagénaire en a malheureusement fait les frais. Ce vendredi 4 février, son médecin généraliste, Hermann Neuffer, a dénoncé dans les colonnes de Sud Ouest le triste événement qui est arrivé à sa patiente. Admise aux urgences à l’hôpital Saint-André de Bordeaux pour guérir une plaie au pied, elle a finalement été renvoyée chez elle par manque de place. Une conséquence terrible.

    La plaie de la quinquagénaire diabétique a immédiatement inquiété Hermann Neuffer : "Le diabète fait que la chair est très mal irriguée et que la cicatrisation est compliquée", a-t-il expliqué à nos confrères. Malgré cet élément primordial, les membres de l’hôpital n’ont pas pu la prendre en charge. Trois jours plus tard, en consultant l’évolution de son pied, le médecin généraliste a constaté que l’infection avait gagné du terrain. De nouveau hospitalisée, cette fois-ci la femme a été gardée. Mais il était trop tard, la jambe a dû être amputée pour éviter la gangrène.

    La dangereuse saturation des hôpitaux

    Depuis, la quinquagénaire est toujours hospitalisée au service de diabétologie pour surveiller l’évolution de son état de santé. Du côté du CHU de Bordeaux, la direction n’a pas nié les faits : "Nous devons reconstituer l’histoire de cette dame. Et, s’il le faut, la commission de conciliation pourra être saisie", a-t-elle raconté à Sud Ouest. Par ailleurs, l’établissement a précisé que le médecin traitant n’était pas présent le jour de la première admission de la patiente.

     

    Cette triste histoire a surtout soulevé les nombreux problèmes au sein du système de santé selon Hermann Neuffer : "Les urgences sont trop encombrées par des problèmes de toux, de diarrhées ou de petites plaies qui devraient être traités ailleurs", a-t-il déploré. En effet, la femme étant diabétique, sa plaie aurait dû être traitée dans les plus brefs délais pour éviter l’amputation. Chez un patient non diabétique, la plaie aurait été évidemment moins dramatique. En revanche, le médecin généraliste à Bordeaux-Bastide n’a rien reproché à ses collègues urgentistes : "Ils sont complètement débordés. Mais je trouve que la situation devient inquiétante."

    Capital


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  • La crise des opiacés aux Etats-Unis touche même les plus jeunes . Mi-janvier, un adolescent de 13 ans a été retrouvé mort au collège après avoir succombé à une overdose. L’enquête vient de révéler qu’au moins 100 sachets de fentanyl - un opioïde synthétique jusqu'à 100 fois plus fort que la morphine - avaient été découverts dans sa chambre dans le Connecticut. Une quarantaine de sachets avait déjà été trouvée dans l’établissement où le jeune garçon est mort, s’effondrant dans le gymnase. «Ce fentanyl a été emballé de la même manière que les sacs trouvés à l'école, avait le même tampon d'identification et testé à un niveau de pureté encore plus élevé», a déclaré la police de Hartford dans un communiqué, obtenu par le «New York Post ». «Nous pouvons dire avec confiance que le fentanyl qui a causé l'overdose était le même fentanyl qui se trouvait dans la chambre du mineur». Les autorités ont ajouté qu’après avoir analysé ce fentanyl, elles ont découvert que son niveau de pureté était particulièrement élevé, situé entre 58% et 60% alors que la moyenne de cette drogue est généralement autour de 2%. Avec une drogue pure à un tel niveau, «cela devient très, très dangereux et mortel, surtout pour un enfant léger», ont commenté les autorités.

    Une menace pour quiconque entre en contact avec cette drogue

    Les Etats-Unis traversent une grave crise liée aux opiacés. En novembre dernier, le pays a enregistré un record de plus de 100 000 décès par overdose sur un an durant la pandémie, les autorités américaines s'alarmant des ventes illégales de fentanyl. Entre avril 2020 et avril 2021, le pays a dénombré 100 306 overdoses fatales, soit une augmentation de 28,5% par rapport à la même période l'année précédente (78 056 décès), selon des chiffres provisoires des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC). C'est la première fois que la barre symbolique des 100 000 décès est dépassée. Cela signifie un décès toutes les 5 minutes.

    Suite à ce décès, les autorités, aidées de chiens renifleurs, ont fouillé tout l’établissement à la recherche d’autres drogues. Le chef de la police a expliqué que tous les élèves et employés des lieux avaient dû décontaminer leurs chaussures au cas où elles contenaient encore des traces de drogue, rapportait CNN . «Tout le monde dans l'établissement a dû passer sous une solution d'eau de Javel et d'OxiClean qui dissout et neutralise le fentanyl avant d'être autorisé à quitter le bâtiment», a expliqué le chef Jason Thody. La chaîne américaine rappelait que le fentanyl peut représenter une menace pour quiconque entre en contact avec cette drogue. Il peut être absorbé par la peau ou accidentellement inhalé, et un quart de milligramme peut déjà être mortel. Le collège a ensuite été fermé afin d’être nettoyé.
    Paris Match

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  • @ tous

    découvert sur FB...

    Les masques commencent à tomber ! *« Le laboratoire biologique chinois de Wuhan appartient à GlaxoSmithKline, qui possède (accidentellement) Pfizer ! »* (celui qui fabrique le vaccin contre le virus qui a (accidentellement) commencé au laboratoire biologique de Wuhan et qui a été (accidentellement) financé par Dr Fauci, qui fait (accidentellement) la promotion du vaccin ! �*« GlaxoSmithKline est (accidentellement) géré par la division financière de Black Rock, qui gère (par accident) les finances de l’Open Foundation Company (Fondation Soros), qui gère (par accident) la société française AXA ! »*Soros possède (par accident) la société allemande Winterthur, qui a (par accident) construit un laboratoire chinois à Wuhan et a été rachetée par l’Allemand Allianz, qui (par coïncidence) a comme actionnaire Vanguard, qui (par coïncidence) est actionnaire de Black Rock, qui (par coïncidence) contrôle les banques centrales et gère environ un tiers du capital d’investissement mondial. « Black Rock » est également (par coïncidence) un actionnaire majeur de MICROSOFT, détenu par Bill Gates, qui (par coïncidence) est actionnaire de Pfizer (qui - rappelez-vous ? vend un vaccin miracle) et (par coïncidence) est maintenant le premier sponsor de l’OMS !Vous comprenez maintenant comment une chauve-souris morte vendue sur un marché humide en Chine a infecté TOUTE LA PLANÈTE !" Maintenant, vous savez, transmettez-le jusqu’à ce que le monde entier le sache..."

    La pandémie sort du puits, les serpents sortent la tête.

    Olivier Cabanel


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  • Moselle : Une fillette croque dans un biscuit Milka et tombe sur des morceaux de plastique

    Les gâteaux au chocolat ont été fabriqués en Pologne

    L’hypermarché Auchan de Semécourt (Moselle) a retiré de ses rayons tous les biscuits Milka « choco suprême » après que des morceaux de plastique bleus et souples ont été retrouvés dans un des gâteaux ce samedi.

    Une fillette d’Amnéville (Moselle), a eu la mauvaise surprise de tomber sur les petits débris en croquant dans un de ces sablés au chocolat, raconte France Bleu Lorraine Nord. Elle n’a pas été blessée par les bouts de plastique.

    Risque d’étouffement

    Sa mère a cependant estimé qu’une autre de ses filles, plus jeune, aurait pu s’étouffer. « Heureusement, elle a eu le réflexe de recracher », a-t-elle commenté sur Facebook au sujet de la fillette ayant consommé le gâteau. Après que l’incident a été relayé par le magasin auprès de la centrale qualité, Mondelez, propriétaire de Milka, a lancé des investigations.

    Le numéro de lot du paquet a permis d’établir que les biscuits avaient été fabriqués dans une usine polonaise du groupe où « aucune autre anomalie, ni incident n’ont été relevés sur le lot le jour de la production du biscuit », a assuré un représentant de Mondelez. Le Républicain Lorrain indique que la cliente se verra offrir des bons d’achat par l’entreprise.

    20 Minutes


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  • Du saucisson sec Label Rouge, commercialisé dans toute la France, est actuellement rappelé par la marque Leader Price. En cause, sa contamination par la Listeria monocytogenes. Medisite vous aide à identifier les produits contaminés et la marche à suivre si vous en avez acheté ou consommé.

    Vous grignotez régulièrement de la charcuterie pour l’apéritif ? Si vous avez récemment acheté du saucisson sec Label Rouge, de la marque Leader Price, vérifiez bien les références du produit avant de le consommer. En effet, plusieurs lots font actuellement l’objet d’un rappel, pour cause de contamination à la Listeria monocytogenes - bactérie responsable de la listériose.

    Les saucissons concernés par ce rappel sont issus de deux lots en particulier, commercialisés entre le 29 octobre et le 3 décembre dans toute la France, et conditionnés dans des sachets de 225 grammes. Voici les références qui vous permettront de les identifier :

    N° de lot : 20713000035 ; code-barres : 3263858674428 ; date de durabilité minimale : 26 décembre 2021. N° de lot : 20713070032 ; code-barres : 3263858674428 ; date de durabilité minimale : 2 janvier 2022.

    Listériose : les symptômes à surveiller

    Si vous avez acheté l’un de ces saucissons contaminés à la Listeria, il est recommandé de ne pas les consommer et de les rapporter au point de vente, afin de vous faire rembourser. Dans le cas où vous l’auriez déjà mangé, surveillez l’apparition d’un ou plusieurs symptômes caractéristiques de la listériose, dans les huit semaines qui suivent l’ingestion (la période d’incubation pouvant être relativement longue) :

    fièvre plus ou moins élevée ; maux de tête ; courbatures ; troubles digestifs (nausées, diarrhées, vomissements).

    Il peut aussi arriver que vous soyez contaminé sans présenter de symptôme : on parle de forme asymptomatique. Ou, au contraire, que vous développiez une forme grave avec des complications neurologiques, telles que la méningite ou l’encéphalite, pouvant mettre en jeu votre pronostic vital du patient. Ce risque est plus élevé chez les personnes âgées ou immunodéprimées.

    Femmes enceintes : un risque grave pour l’enfant à naître

    “Dans le cas particulier de la contamination de la femme enceinte, l’infection peut passer inaperçue ou se réduire à des symptômes similaires à ceux de l’état grippal. Cependant, les risques et conséquences peuvent être graves pour l’enfant à naître : avortement, accouchement prématuré, formes septicémiques avec détresse respiratoire du nourrisson dans les jours qui suivent la naissance”, précise le ministère des Solidarités et de la Santé.

    Au moindre de doute, consultez votre médecin traitant. Le diagnostic de cette infection bactérienne repose sur des analyses microbiologies, effectuées à partir d’une prise de sang, voire d’autres prélèvements (placenta, liquide céphalo-rachidien, liquide d’ascite, ponction articulaire ou prélèvements périnataux).

    Des aiguillettes de poulet rappelées par Casino

    En parallèle, des aiguillettes de poulet jaune issues de l’agriculture biologique sont actuellement rappelées par la marque Casino Bio. Cette fois, aucune contamination par des bactéries n’est en cause ; il s’agit simplement d’une erreur d’étiquetage, mais qui peut néanmoins vous rendre très malade.

    En effet, la date limite indiquée sur le produit est le 15 janvier 2022… au lieu du 12 décembre 2021. Le risque est donc que vous consommiez de la viande avariée, ce qui peut aussi vous causer une toxi-infection alimentaire. Les produits concernés par ce rappel portent le numéro de lot 5041065303 et le code-barres 3265080006633.

    Medisite


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  • Pesticides. Rappel massif de soupes de nouilles asiatiques chez Carrefour, Leclerc, Auchan et Casino

    Des soupes asiatiques vendues dans de très nombreuses enseignes font l’objet d’un rappel massif depuis le jeudi 2 décembre 2021. Les produits présentent un « dépassement des limites autorisées de pesticides » et doivent être ramenés en points de vente.

    Plusieurs marques de soupes asiatiques font l’objet d’un rappel de la part de Rappel Conso, depuis le jeudi 2 décembre 2021. Les produits présentent une « concentration de 2-chloroéthanol supérieure à la réglementation dans l’un des ingrédients », soit un « dépassement des limites autorisées de pesticides ».

    Les soupes de nouilles (aussi connues sous la terminologie de « noodles », N.D.L.R.) ont été vendues sur tout le territoire français et dans de très nombreuses enseignes comme Carrefour, Cora, Leclerc, Auchan, Géant Casino ou encore les magasins U. Elles ont également été proposées dans des épiceries spécialisées.

    Il ne faut pas les consommer

    Le site de Rappel Conso préconise de ne pas consommer les soupes et de les ramener en points de vente pour un remboursement. La liste des aliments concernés est la suivante : Vermicelles instantanés de riz 70 g Oh Ricey, Soupe de nouilles instantanées DE NHAT, Soupe pho 70 g Oh Ricey, Soupe de nouilles instantanées MI LAU, Soupe de nouilles instantanées HAOHAO, Nouilles de riz sautées instantanée 77 g Oh Ricey, Soupe pho 56 g ACECOOK, Hello Cup-Wok nouilles de riz saveur poulet 76 gr ACECOOK par 12, Hello Cup-Wok nouilles de riz saveur ail et oignon 76 gr ACECOOK et Hello Cup-Wok nouilles de riz saveur bœuf 76 gr ACECOOK par 12.

    Le 2-chloroéthanol est un polluant organique qui se présente sous une forme liquide. Ce composé chimique est incolore et a l’odeur de l’éther. En grande quantité, il peut être dangereux s’il est ingéré par voie orale ou absorbé par voie cutanée ou par inhalation.

    Ouest-France


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