• Les téléspectateurs de Quotidien deviennent complètement fous en voyant cette femme en talons aiguilles sortir fièrement d’un Decathlon avec son nouveau vélo et faire une chute monumentale

    Visiblement, les téléspectateurs de “Quotidien” ne regardent pas “Famille nombreuses : la vie en XXL”. Car dans sa séquence “Le Canap”, Étienne Carbonnier est revenue sur cette émission qui cartonne sur TFX, chaîne du groupe TF1, avec des images qui datent du début du mois d'avril. Mais cela a tout de même fait son effet. Dans “Famille nombreuses : la vie en XXL”, on suit les aventures de plusieurs familles qui ont beaucoup d'enfants. Comme les Gonzalez qui en ont en sept. C'est effectivement beaucoup et les parents ont donc besoin de moments d'évasion pour souffler un peu. Lesdits parents, Mélanie et Franck, qui vivent à Saint-Gervais et emmènent leurs enfants à toutes leurs activités sportives, avaient décidé de s'acheter des vélos à Decathlon

    Un bien bonne idée car faire du vélo est bon pour tout le monde, et pas seulement pour les parents d'une famille nombreuse. Sauf que les choses ne vont pas vraiment se passer comme prévu. Les téléspectateurs de “Quotidien” vont en effet voir le couple sortir fièrement du magasin Decathlon avec les nouveaux vélos. Ils décident de les chevaucher illico, pour s'offrir une balade au grand air, quand bien même ils ne sont pas vraiment équipés pour cela. La maman, Mélanie, est en effet en jupe et talons aiguilles. Mais ce n'est pas ça qui va la perdre. Tout à sa joie, elle oublie comment freiner lorsque l'on est sur un vélo. Du coup, elle appuie sur le frein qui bloque la roue avant et fait un superbe soleil alors qu'elle ne porte pas casque. La chute est monumentale et magnifique, ce que confirment les personnes qui sont devant “Quotidien” qui n'en croient pas leurs yeux. Ils seront rassurés d'apprendre que la femme n'a eu que quelques égratignures. Le séquence n'en devient que plus mythique.

    GQ

    LIEN pour voir la chute :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/insolite/les-t%C3%A9l%C3%A9spectateurs-de-quotidien-deviennent-compl%C3%A8tement-fous-en-voyant-cette-femme-en-talons-aiguilles-sortir-fi%C3%A8rement-d-un-decathlon-avec-son-nouveau-v%C3%A9lo-et-faire-une-chute-monumentale/ar-BB1g8ah7?ocid=msedgntp

     


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  • Un article de "La Croix" revient sur le témoignage d'un enfant de 5 ans qui a vu, en 2017 près de Cholet, mourir sa mère sous les coups de son père.

    "Ce mardi matin, j'étais plutôt partie pour vous parler de patrimoine ou de sport. J'avais une bien bonne histoire à vous raconter, des histoires qui donnent le sourire. Et puis j'ai été happée par un article du journal La Croix et par ce titre : "Papa a fait une grosse bêtise et ma maman est morte". Et pour une fois, j'ai rangé mon sourire parce que cet article à hauteur d'enfant, je ne pouvais pas l'ignorer. Il m'a bouleversée pour tout vous dire". 
     
    La Croix revient sur un féminicide qui a été jugé la semaine dernière aux assises du Maine-et-Loire. Un homme qui a tué sa femme il y a quatre ans d'une dizaine de coups de pied en plein visage, sous les yeux de ses enfants. Ils avaient 5 ans et 18 mois. Elle s'appelait Séverine, elle avait 29 ans. C'était une chic fille apparemment, une fan de foot, surtout l'OM. 

     

    Avec Grégory, tout était allé très vite : le premier enfant Kylian, la maison près de Cholet. puis le deuxième bébé, Elie. Grégory travaillait beaucoup, chef d'équipe dans une entreprise de volaille. Séverine s'occupait de tout dans la maison. Les amis témoignent : "Il lui parlait mal, la rabaissait". Le couple part à la dérive. 

    Toi, tu aimes beaucoup tata parce que tu ne la tapes pas et tu ne lui tire pas les cheveux"

    Et puis, un jour, Grégory découvre que sa femme a une liaison. Alors, ils se séparent. Lui plonge dans la dépression, mais refuse de se soigner. Malgré tout, Séverine continue à lui amener les enfants. Il faut bien qu'ils voient leur père. C'est là qu'il commence à la frapper une première fois sur les cuisses. Puis, deux semaines plus tard, il lui fracture le nez. Elle porte plainte, mais aucune mesure de protection n'est mise en place. 

     

    Alors, Séverine commence à avoir peur. Un jour, Kylian, son petit garçon, lui raconte que papa a dit "qu'il allait tuer maman". Alors, elle prend une assurance-vie pour ses enfants. Le petit garçon parle aussi au mari de sa nounou : "Toi, tu aimes beaucoup tata parce que tu ne la tapes pas et tu ne lui tire pas les cheveux". Un soir qu'il veut donner des coups de pied à sa mère, la nounou lui explique qu'on ne tape pas sa maman. Il lui répond que "si, papa le fait". 

    Finalement, au fil des semaines, Séverine reprend confiance. Tout va bien, apparemment. Elle reprend confiance à tort. Le 4 avril 2017, dans la cuisine familiale, la discussion dégénère et Grégory s'acharne à coups de pieds. "Sept fractures au niveau du visage", dit l'expert médico-légal. Du sang partout sur le sol, les placards, les murs, au plafond. Kylian jouait dehors au tracteur, mais à ce moment-là, il est rentré pour retrouver son petit frère. Il voit tout. 

    "J'ai tapé papa"

    Au procès, une vidéo a été diffusée, un entretien réalisé entre un gendarme et le petit garçon le lendemain de la mort de sa mère. Le petit bonhomme de presque 6 ans est assis sur une chaise. Avec ses mots d'enfant, il raconte l'impensable. "Maman, elle était à la maison et papa, il a poussé maman, et puis lui a donné un coup de pied. Il y avait plein de sang partout et après, je dis que j'aurai plus de maman".

     

    Kylian lui explique qu'il s'est mis à pleurer avec son petit frère. "J'ai tapé papa parce que moi, je voulais l'arrêter. Je voulais aussi appeler l'hôpital pour qu'on la mette dans le lit de l'hôpital. Comme ça, après, elle sera plus morte", dit-il alors.

    C'était il y a quatre ans. Depuis, les deux gamins vivent avec leur grand-mère maternelle. Ils travaillent bien à l'école, d'après ce qu'elle dit. Ils ont des copains, mais il lui réclame parfois sa mère et il continue à faire des cauchemars. Aujourd'hui encore, il éprouve de la culpabilité parce qu'il n'a pas réussi à empêcher son père de tuer sa mère. Il n'y a rien à dire. Il faut juste lire l'article de La Croix et essayer de ne pas pleurer. 

    RTL - Isabelle Choquet édité par Thomas Pierre


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  • La fête a complètement dégénéré dans la nuit de samedi à dimanche, dans un appartement de Savigny-sur-Orge (Essonne). Des images montrant des traces de sang au sol et sur les murs du logement ont été diffusées sur les réseaux sociaux.

    C’est au petit matin que les policiers ont été appelés. Il était 06h40 ce dimanche. Les forces de l’ordre ont été alertées qu’une violente bagarre entre une vingtaine de personnes était en cours, dans un appartement de la rue Claude-Monet à Savigny-sur-Orge, détaille une source policière, confirmant une information du Parisien.

    En arrivant dans cet appartement situé au 7ème étage, les policiers ont compris que la bagarre avait été violente. Des taches de sang étaient visibles sur les murs et par terre. Il y avait également des morceaux de verres.

    Huit policiers à l’hôpital après des projections de sang

    Trois femmes étaient sous le choc et une quatrième personne – en état de crise – était blessée aux bras, semble-t-il par des coups donnés avec des tessons de bouteille. Âgée de 25 ans, elle a dû être maîtrisée par les policiers avant d’être prise en charge par les sapeurs-pompiers et transportée à l’hôpital. Huit policiers ont reçu des projections de sang à ce moment-là et ont subi des examens au centre hospitalier sud-francilien (CHSF) de Corbeil-Essonnes.

    Des vidéos amateurs ont circulé sur les réseaux sociaux. On y aperçoit d’abord des images de la soirée qui semble se dérouler dans le calme. Sur la séquence suivante, l’ambiance est tout autre. « Y’a du sang, y’a du sang ! », crie une femme. Un homme se met aussi à hurler. Les traces de sang sont nombreuses et l’appartement est sens dessus dessous.

    Une enquête a été ouverte et confiée à la sûreté urbaine du commissariat de Juvisy-sur-Orge.
     
    ACTU 17

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  • Un homme est activement recherché par la police après avoir poignardé sa compagne avec un couteau de boucher, à Alençon (Orne). Ce dernier qui est bien connu de la justice, est porteur d’un bracelet électronique.

    Une violente agression dans l’appartement familial. Un homme âgé de 28 ans a poignardé sa compagne au niveau des bras et de la tête vers 18 heures ce dimanche soir, dans leur logement situé à l’est de la ville, dans une zone résidentielle. Des terribles faits qui se sont produits sous les yeux de leur enfant âgé de 5 ans selon une source proche du dossier.

    Les policiers et les secours sont rapidement arrivés sur place. La mère de famille âgée de 29 ans a été prise en charge. Sérieusement blessée, elle a été conduite à l’hôpital. Ses jours ne sont pas en danger. Les forces de l’ordre ont découvert dans le salon, l’arme utilisée par l’agresseur, un couteau de boucher.

    Condamné à un an de prison en 2017

    L’auteur présumé des faits, qui n’est autre que le compagnon de la victime, avait pris la fuite à l’arrivée des policiers. Âgé de 28 ans et bien connu des services de police, il est porteur d’un bracelet électronique suite à une condamnation pour des faits de violences avec arme, sur une autre personne.

    Le mis en cause était toujours activement recherché ce lundi matin. Les policiers de la sûreté départementale ont été chargés des investigations.

     

    Par ailleurs, cet homme avait déjà été visé par d’autres procédures judiciaires pour des violences et des menaces de mort à l’encontre de sa compagne, en 2016, 2017 et 2018, précise cette même source. En mars 2017, il avait écopé d’une peine d’un an de prison, qu’il avait purgée.

    ACTU 17


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  • Un homme âgé de 35 ans a été assassiné par balles à Cavaillon (Vaucluse) ce dimanche après-midi, alors qu’il était au volant de sa voiture. Les auteurs ont pris la fuite et leur véhicule a été retrouvé brûlé peu après. La police judiciaire a été chargée de ce dossier.

    Les tueurs ne lui ont laissé aucune chance. Cet homme de 35 ans a été touché à quinze reprises indique une source proche de cette enquête, qui confirme une information du Dauphiné. Il était 17h15 lorsqu’une série de coups de feu a été tirée dans le quartier des Condamines, à Cavaillon. Les tirs visaient un automobiliste, seule dans sa Volkswagen Golf.

    La victime a appuyé sur l’accélérateur, dans un dernier réflexe de survie. Sa voiture a terminé sa course en percutant des murs, arrachant des panneaux, avant de s’arrêter sur un rond-point, sur le flanc droit. Le conducteur a été criblé de balles. Les secours n’ont pu que constater son décès.

    Une vingtaine de tirs

    Le ou les tireurs se trouvaient dans un autre véhicule qui a rapidement disparu. Cette Peugeot 2008 a été retrouvée peu avant 18 heures, à Caumont-sur-Durance par les gendarmes, alors qu’elle était en flamme. Le véhicule avait été volé le 11 avril dernier.

    Les enquêteurs de la PJ d’Avignon ont été chargés de l’enquête. La piste d’un règlement de compte ne fait pas de doute, ni même celle d’un assassinat bien préparé. Sur le lieu des tirs, les policiers ont découvert pas moins de 19 étuis de calibre 9 mm.

     

    Le défunt, Tarik M., était bien connu des services de police, notamment pour des faits en lien avec le trafic de drogue. Originaire de la ville, son nom apparaissait également dans une affaire de tentative de meurtre en 2018 précisent nos confrères. Il avait néanmoins été laissé libre dans ce dossier, le temps de l’avancée des investigations.

    ACTU 17

    Il aurait mieux valu pour lui qu'il soit en prison !

    Des frais en moins pour l'Etat !


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  • Elijah, 3 ans, tué par balle pendant sa fête d’anniversaire

    Un petit garçon de trois ans a été tué samedi soir au cours de sa fête d’anniversaire. Les autorités offrent une récompense à quiconque mènerait à une arrestation.

    Le petit Elijah allait avoir quatre ans. Samedi, il célébrait son anniversaire, entouré de ses proches, dans une maison de Miami. Au cours de la fête, des coups de feu ont retenti, touchant mortellement le petit garçon et blessant une femme de 21 ans. Si cette dernière devrait s’en sortir, l’enfant, lui, a succombé à l’hôpital, rapporte CBS. Les autorités ont expliqué que les tirs avaient éclaté après une dispute se déroulant devant la propriété où la fête avait lieu – une habitation AirBnB que la famille avait spécialement louée pour la fête d’anniversaire de l’enfant.

     

    «Quelqu’un a sorti une arme et a commencé à tirer, tuant l’enfant de 3 ans», a commenté le directeur du Miami-Dade Police Department, Alfredo Ramirez III. «Ils l’ont tué. Oh mon dieu, je l’ai toujours en tête. Je me vois jouer avec lui. Ce petit était si mignon», a commenté l’oncle de la victime, Adrian Annestor, qui se trouvait sur les lieux au moment du drame. Il a expliqué avoir couru vers l’enfant lorsqu’il a entendu les tirs. «J’aurais aimé que ce soit moi, parce que j’ai déjà vécu assez longtemps», a-t-il glissé.

    15 000 dollars de récompense

    «Nous avons entendu des bruits très forts, très sporadiques», a déclaré, une voisine, Lindsey Hibbert. Elle a dit avoir entendu des dizaines de coups de feu provenant de plusieurs voitures. «Je n’avais jamais entendu d’armes semi-automatiques en personne. Il y a peut-être eu 20 coups. Mais comme il y avait trois voitures qui sont venues, je parle même de 20 coups par personne. Je pense qu'il y a peut-être plus d'une personne qui a tiré», a-t-elle ajouté. «Dès que je suis sorti, j'ai vu ce camion blanc rouler lentement. Je n’ai pas fait attention à cela parce que c’est normal. Ma sœur était dehors avec moi et ensuite, nous avons entendu les coups de feu. Un arbre a bloqué ma vue, mais mon voisin d'en face a tout vu», a raconté un autre voisin. Les autorités ont annoncé une récompense de 15 000 dollars contre toute information menant à l’arrestation d’un ou de plusieurs suspects dans cette affaire.

    Paris Match

    Pauvre petit gamin victime d'une balle perdue.


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  • Une personne a coché tous les bons numéros lors du tirage du Loto®, samedi 24 avril 2021. Elle a décroché le jackpot de 4 millions d’euros. Le ticket gagnant a été émis dans le Finistère.

    Depuis samedi 24 avril 2021, une personne du Finistère est devenue millionnaire. Lors du tirage du Loto® de la Française des jeux, samedi soir, son ticket s’avérait contenir tous les bons numéros, à savoir : 12, 26, 36, 41, 42 et le 07. De quoi empocher la somme de 4 millions d’euros !

    Le gagnant est invité à se faire connaître

    Le centre de paiement de la FDJ, à Plougastel-Daoulas, confirme que le ticket gagnant provient bien du Finistère. Sans pouvoir indiquer le nom de la commune émettrice. « Nous attendons que le ou la gagnante se manifeste », précise-t-on à la FDJ.

    L’heureux détenteur du ticket est donc invité à se faire connaître. Il pourra choisir de retirer son gain à Plougastel-Daoulas ou à Paris.

    Les Finistériens sont plutôt vernis dans les jeux de hasard. En août 2020, un joueur régulier du Loto® avait remporté 2 millions d’euros à Quimper. Plus récemment, en mars 2021, un client d’un bar-tabac à Ergué-Gabéric a gratté un ticket à 500 000 € au Cash.

    Ouest-France


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  • Les photos de trois fonctionnaires de police, accompagnées de la mention "mort ou vif", ont été placardées sur un mur dans la commune d'Échirolles (Isère), à côté de Grenoble. Une enquête est ouverte.

    C'est une passante qui a prévenu les forces de l'ordre, samedi en fin d'après-midi. À Échirolles, une commune d'Isère qui jouxte Grenoble, trois policiers grenoblois ont vu leur portrait placardé sur un mur, accompagné d'un message : "morts ou vifs", selon des sources concordantes à BFMTV.

     

    Sur l'affiche, ils sont en uniforme et reconnaissables. Selon France Bleu, ils appartiennent au groupe de sécurité de proximité de Grenoble.

    Une enquête a été ouverte pour menace de crime ou délit contre les personnes ou les biens à l’encontre de dépositaires de l’autorité publique, une infraction punie d’une peine de trois ans de prison.

    L’enquête a été confiée à la direction départementale de la sécurité publique de Grenoble.

    Sécurité renforcée

    Ces faits surviennent deux jours après la mort d'une fonctionnaire de police à Rambouillet (Yvelines), suite à une attaque au couteau ainsi que dans un contexte d'hostilité croissante envers les forces de l'ordre, cibles privilégiées des terroristes et victimes d'attaques dans le cadre de leur travail.

    Après l'attaque de Rambouillet, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a demandé aux préfets de renforcer la sécurité aux abords des commissariats et des brigades de gendarmerie.

    BFM.TV


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  • Poursuivi par la police depuis le Val-de-Marne, un chauffard a percuté la voiture d'une famille à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), dans la nuit de samedi à dimanche. Le bilan est lourd : deux personnes ont perdu la vie dans la collision, a indiqué le parquet de Bobigny. Deux autres personnes ont été grièvement blessées. Le jeune homme avait été « pris en chasse par une brigade anticriminalité depuis Champigny-sur-Marne » (Val-de-Marne) à la suite d'un refus d'obtempérer, a expliqué cette source, confirmant une information du Parisien.

     

    Vers 1 heure, le chauffard a quitté l'autoroute et a emprunté le rond-point des Droits-de-L'homme à Aulnay-sous-Bois. « Il a brûlé un feu rouge et percuté un véhicule qui contenait quatre personnes » d'une même famille, a poursuivi le parquet. La femme et son fils, âgé de 3 ans, sont décédés sur place, tandis que le père et une petite fille de 7 ans ont été transportés à l'hôpital dans un état grave.

    Sous l'empire de l'alcool et de stupéfiants

    L'accident, très violent, s'était déjà produit lorsque la BAC est arrivée à son tour sur les lieux, a également dit le parquet, précisant que le chauffard avait été interpellé par d'autres effectifs de la police nationale. Âgé de 27 ans et inconnu de la justice, il était sous l'empire de l'alcool et de stupéfiants au moment des faits. Une enquête pour homicide involontaire a été ouverte et confiée au commissariat local.

    Le Point


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  • Le véhicule a été arrêté mercredi au péage de Chatuzange-le-Goubet (Drôme) alors qu'il remontait du Sud-Ouest. La somme de 680.000 euros a également été saisie.

    Après plusieurs mois d'enquête, les enquêteurs de l'antenne lyonnaise de l'Office anti-stupéfiant (OFAST) et du commissariat de police de Vénissieux (Rhône) ont procédé mercredi à l'interpellation d'un convoi contenant 150 kg de résine de cannabis, a indiqué ce vendredi la Direction Départementale de la Sécurité Publique (DDSP) du Rhône dans un communiqué.

    Le véhicule a été arrêté au péage de Chatuzange-le-Goubet (Drôme) alors qu'il remontait du Sud-Ouest. La somme de 680.000 euros a également été saisie, a ajouté la DDSP du Rhône.

    Quatre personnes ont été arrêtées. Parmi elles se trouvent des malfaiteurs déjà connus des services de police pour des affaires d'importation de stupéfiants. Elles ont été présentées à un juge d'instruction ce vendredi en vue de leur mise en examen.

    BFM.TV


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  • Violences urbaines à Bourgoin-Jallieu : tirs de mortiers d’artifice et jets de pavés, deux policiers blessés

    Deux policiers ont été blessés au cours de violences urbaines qui se sont déroulées dans la nuit de jeudi à vendredi, à Bourgoin-Jallieu (Isère). Les sapeurs-pompiers et les policiers ont été visés par des tirs de mortiers d’artifice notamment.

    Des violences dans deux quartiers de Bourgoin-Jallieu. Tout a débuté lorsqu’un équipage de police-secours et un second de la police municipale sont intervenus pour mettre fin à un rodéo sauvage à moto, sur l’avenue du Dauphiné dans le quartier Champaret.

    Un homme a été interpellé. Au moment où la moto, abandonnée sur place, allait être récupérée par un dépanneur, des individus ont caillassé les policiers. Un fonctionnaire de la police municipale a reçu l’un des projectiles au niveau de la tête. Il a été conduit à l’hôpital pour que sa plaie saignante soit soignée et s’est vu attribuer 5 jours d’Incapacité totale de travail (ITT), après s’être fait posé plusieurs points de suture. Un second policier a été légèrement blessé à un poignet.

    Ce sont ensuite des feux de conteneurs poubelles qui ont été signalés, à plusieurs reprises. Dans ce même quartier, les sapeurs-pompiers sont intervenus vers 19h20, sous la protection des policiers. Ces derniers ont été visés par des tirs de mortiers d’artifice.

    A 22h40, ce sont des policiers de la Brigade spécialisée de terrain (BST) qui ont été pris pour cible par des engins pyrotechniques du même type. Ces derniers ont répliqué par quatre grenades lacrymogènes. Les sapeurs-pompiers sont également intervenus pour de nouveaux feux de conteneurs poubelles.

     

    C’est ensuite dans le quartier de Champfleuri que des poubelles ont été incendiées. Une fois encore, les policiers et les pompiers ont essuyé des tirs de mortiers d’artifice. Le calme est revenu dans les deux quartiers peu avant 1 heure.

    « Nous ne laisserons pas ces bandes dégrader la qualité de vie des Berjalliens »

    Sur Facebook, le maire de la ville, Vincent Chriqui, a réagi à ces violences envers les représentants de l’État. « Je condamne fermement les violences insupportables commises hier soir dans le quartier de Champaret », écrit l’édile. « Ces violences sont intolérables. Une nouvelle fois, les habitants du quartier sont pris en otage par une bande de délinquants. Ces actes ne doivent pas rester impunis : les bandes de vidéo-surveillances seront étudiées pour identifier l’ensemble des individus. J’espère que la justice se montrera ferme ».

    « Nous ne laisserons pas ces bandes dégrader la qualité de vie des Berjalliens. Les habitants ont droit à la sécurité. Nous ne baisserons pas les bras », prévient Vincent Chriqui. « Tous nos moyens seront mobilisés pour que la tranquillité soit de retour. À la fin, c’est toujours la République qui l’emporte. »

    ACTU 17


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  • Il oublie le frein à main : sa Ferrari termine dans un lac

    Le propriétaire, dont la 812 GTS bleue a glissé d'une pente, venait tout juste d'acheter son véhicule.

    Quand on voit l'image, on a du mal à y croire. Une Ferrari avec le nez dans l'eau. C'est la mésaventure qu'a subie un automobiliste italien le 19 avril dernier près du lac de Garde à Sirmione (vers Brescia), nous raconte Formulapassion. Selon nos confrères italiens, le propriétaire de la supercar, qui venait de l'acheter, l'aurait garée au point mort sans mettre le frein à main. Mais en légère pente, il n'avait pas pensé qu'elle aurait pu glisser. C'est pourtant bien le destin qu'a connu ce modèle de Ferrari 812 GTS, qui s'est engouffré jusqu'à mi-roues dans le lac.

    Sur la photo publiée par nos confrères, le propriétaire semble hagard, assis sur la vitre arrière de sa voiture, coincée entre les roseaux. Il faut dire qu'il a sans doute cru au pire en voyant une partie du capot sous l'eau, qui renferme, on le rappelle, un moteur V12 de 6,5 litres qui développe plus de 800 chevaux.

    Une voiture à 350.000 euros

    Mais selon Formulapassion, les dégâts pourraient être limités puisque la police est arrivée très rapidement sur place et une dépanneuse a enlevé la voiture de l'eau dans un laps de temps réduit également. Le véhicule a été remorqué hors de l'eau et le moteur était vraisemblablement éteint indiquent nos confrères. Cependant, Auto Plus qui se base sur le site spécialisé The Drive, fait état d'incohérences quant au fait d'avoir laissé la voiture au point mort. Principalement parce que sur une Ferrari 812, il serait, en effet, très compliqué de la laisser dans cette position sans le frein à main. Dans les détails, le conducteur aurait dû passer son véhicule en mode "lavage de voiture", passer au point mort, l'éteindre et "activer le mode accessoires dans les trois secondes".

     

    Quoi qu'il en soit, grosse frayeur pour le propriétaire qui devrait faire nettement plus attention la prochaine fois, car comme le rappelle Auto Plus, ce modèle de Ferrari est estimé autour des 350.000 euros. Sur les réseaux sociaux, cette petite mésaventure a, en tout cas, bien amusé les internautes.

    Capital


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  • Déféré devant le juge le 14 avril 2021, il s'est retrouvé en comparution immédiate le 20 avril au tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis). Les deux fois pour trafic de stupéfiants.

     

    « Aujourd’hui on fait tir groupé et on juge tout », s’esclame la présidente de la cour. Mardi 20 avril 2021, une jeune homme de 21 ans s’est retrouvé devant les magistrats du tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour la deuxième fois en seulement six jour« 

    Pourquoi prendre ce risque ? »

    Déjà condamné par la justice en février 2020, ce lycéen en terminale, a été interpellé à deux reprises pour détention et trafic de stupéfiants en un mois à peine. La première fois remonte au 13 mars 2021. Des policiers en surveillance remarquent un échange entre le récidiviste et un individu. « Des billets contre un sachet avec une matière brunâtre à l’intérieur », raconte la juge. 

    Les fonctionnaires l’interpellent et retrouvent 37 grammes de résine cachés dans un buisson à proximité. Le jeune homme au survêtement rouge Ferrari explique faire ça trois jours dans la semaine, de 13h à 18h pour 60 euros la journée. « C’est le salaire d’un travail légal, pourquoi ne pas servir au Macdo ou être livreur, demande un magistrat. Vous avez 11 de moyenne en terminale, pourquoi prendre ce risque ? « . 

    Scénario identique 

    Il répond qu’il n’a pas le choix et qu’on l’oblige à vendre : « Ils savent où me trouver, c’est pour ça que je continue ». La juge précise qu’il n’a pas « balancé » ni le fournisseur ni celui qui récupère l’argent par peur des représailles. Placé en détention, il sera déféré au tribunal le 14 avril. Il devait être jugé en décembre 2021. Mais quatre jours plus tard, rebelote.

     

    Cette fois-ci, c’est la BAC du Pré-Saint-Gervais qui le repère en train de transporter de la résine avant d’identifier une transaction avec un client. Le jeune prend la fuite au moment de l’interpellation. Il est finalement rattrapé et arrêté avec 320 euros en liquide et 13 grammes de résine de cannabis sur lui. 

    Dernière chance

    « Je ne comprends pas, il faut faire quoi, 8-10 mois de dépôt pour que ça s’arrête ? s’interroge la présidente de la cour. Là, vous galopez vers le mandat de dépôt, alors que vous avez déjà quatre mois de sursis, forcément ça va tomber, c’est mathématique. Lorsque l’on passe devant la justice, que l’on prenne du sursis ou du ferme, on s’arrête, qu’est-ce que vous faites là alors que vous étiez au même endroit le 14 avril et que vous devez passer le bac dans trois mois ? ».

    « On m’oblige à vendre mais là, ça y est, je vais changer de numéro de téléphone, j’arrête », lui répond le jeune homme qui vit chez son oncle. Il est appuyé par son avocat qui tente de persuader le tribunal qu’il peut être « sauvé », que les « barbelés ne sont pas une solution ».  

     

    Un discours qui ne convint pas la procureure : « Le prévenu se fiche des décisions de la justice, il a été attrapé alors qu’il avait quatre mois au-dessus de la tête et continue son parcours de délinquant ». Il a été condamné à un an de prison dont six mois de sursis probatoire. Il a également l’obligation de travailler, de soigner sa consommation de stupéfiants et il lui est interdit de se rendre en Seine-Saint-Denis. « Si jamais on vous reprend à faire vos bêtises, le bilan des courses, ça sera la prison, vous savez ce qu’il vous reste à faire », a commenté la présidente de la cour.

    La peine sera aménagée avec un bracelet électronique pour lui permettre de passer son baccalauréat. 

    Actu Seine-St-Denis


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  • Comme les 22 membres de son équipage, Morgane Lescot, chargée de communication sur l’Ocean Viking, navire humanitaire de l’association SOS Méditerranée, est encore sous le choc de ce «sinistre spectacle». Mercredi, les équipes présentes sur le bateau de sauvetage ont repéré au large de la Libye une dizaine de corps près d’une embarcation pneumatique retournée.

    Le drame commence dans la nuit de mardi à mercredi. Alerté par AlarmPhone, une structure de volontaires équipée d’une ligne d’écoute qui repère les cas de migrants en difficulté, l’équipage de l‘Ocean Viking apprend que trois embarcations, situées au large de la Libye à plus de dix heures de navigation de leur position, ont été signalées en détresse.

    Course contre la montre

    Après avoir appris l’interception de la première embarcation par les autorités libyennes et échoué à localiser la deuxième, l’association se lance à la recherche de la troisième : un petit bateau pneumatique gris avec 130 personnes à son bord. Luttant contre des vagues de «plus de six mètres de haut», l’équipage du bateau à la coque rouge se lance dans une course contre la montre pour atteindre la zone identifiée.

    «Au petit matin, nous sommes informés par un des navires patrouillant sur place que trois cadavres ont été repérés près de l’embarcation», relate Morgane Lescot. Mais quand l’Ocean Viking arrive sur les lieux, il ne reste presque plus rien du bateau pneumatique, dont la proue pique du nez et dont les boudins flottent à la surface. «Nos équipes ont repéré des dizaines de corps qui flottaient à proximité de ce qui restait de l’embarcation»relate Morgane Lescot. «Il n’y a plus d’espoir de retrouver des survivants, selon Emmanuelle Chaze, journaliste française embarquée sur le navire humanitaire, dont les propos sont rapportés par l’AFP. Si le bateau a chaviré la nuit dernière dans les conditions météorologiques qu’il y a eu, c’est impossible que quelqu’un ait survécu.»

    Absence de coordination internationale

    Au téléphone, Morgane Lescot peine à contenir sa colère : «Aucune coordination n’a été accordée par les autorités libyennes.» Une fois de plus, Frontex, l’agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes, est pointée du doigt par SOS Méditerranée. Alors qu’elle affirme l’avoir contactée, l’association regrette qu’aucun patrouilleur ne se soit déplacé et qu’aucune instruction n’ait été donnée par les autorités maritimes.

    Contacté par Libération, Frontex s’en défend : «Frontex n’a pas de bateaux dans la zone. Frontex ne coordonne pas non plus les opérations de sauvetage. Cette tâche est entre les mains des centres de sauvetage nationaux.»

    Fosse commune à ciel ouvert»

    «Il y a trop peu de navires de sauvetage en mer Méditerranée. Actuellement, on est tout seuls et ce n’est pas suffisant, s’insurge Morgane Lescot. La Méditerranée devient une fosse commune à ciel ouvert, des gens se noient à la porte de l’Europe et les autorités ne font rien.»

    Une attitude que l’organisation juge contraire au droit international. La convention SAR (Search and Rescue), signée à Hambourg en 1979, impose par exemple aux Etats de mettre en œuvre des zones placées sous le contrôle de centres régionaux opérationnels de surveillance et de sauvetage (Cross) et d’assurer le cas échéant le sauvetage et le débarquement du navire sur son littoral ou celui d’un Etat voisin avec son accord. Un sujet délicat dans le cas de la Libye, qui n’a pas créé de centre de surveillance.

    Ce nouveau drame intervient une semaine après que le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) et l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) ont annoncé la découverte de 41 corps de migrants au large des côtes tunisiennes. Selon un recensement effectué par l’OIM, au moins 453 migrants sont morts en mer Méditerranée depuis le début de l’année.

    Pour l’heure, l’équipage reprend ses patrouilles : «On se concentre sur ce qu’on fait de mieux : essayer de sauver des vies», reprend Morgane Lescot.

    Libération


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  • Une randonneuse a glissé dans un précipice, jeudi 22 avril à Besançon (Doubs). Mais un passant qui a assisté à sa chute l’a rattrapée de justesse et tenue à bout de bras jusqu’à l’arrivée des secours. Il a ainsi sauvé la femme de 61 ans qui aurait pu chuter de plusieurs dizaines de mètres dans le vide.

    Il lui a sauvé la vie. Un homme de 66 ans a rattrapé de justesse une randonneuse qui avait basculé dans un ravin, jeudi 22 avril à Besançon (Doubs). L’incident s’est déroulé dans les bois de Chailluz, dans l’après-midi, relate L’Est Républicain. Durant de très longues minutes, le sexagénaire a tenu à bout de bras la femme de 61 ans, au-dessus d’un précipice d’une trentaine de mètres.

    La randonneuse hélitreuillée

    Alertés, les secours se sont rendus sur place à bord d’un hélicoptère Dragon 25. Les sapeurs-pompiers du Groupes de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux (GRIMP) sont venus en aide aux deux marcheurs en difficulté. La randonneuse a été hélitreuillée puis évacuée vers le CHRU de Besançon.

    Son sauveur, exténué par les efforts fournis pour retenir la victime, a lui aussi été pris en charge sur place avant d’être conduit à l’hôpital. Un témoin de la scène, une femme de 55 ans, a également été assisté par les pompiers. Elle a été fortement choquée par l’incident, précisent nos confrères.

    Ouest-France


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  • Un homme a tué à coups de couteau une fonctionnaire de police, vendredi au commissariat de Rambouillet, dans les Yvelines, avant d'être interpellé et blessé par balles par d'autres agents. Il est décédé des suites de ses blessures. Le parquet national antiterroriste s'est saisi de l'enquête, alors que trois proches de l'assaillant ont été placés en garde à vue. Le Premier ministre Jean Castex, qui s'est rendu sur place, a dénoncé un "geste barbare et d'une infinie lâcheté". 

    Les informations à retenir : 

    Un homme de nationalité tunisienne a poignardé et tué une fonctionnaire de police, vendredi à Rambouillet Blessé par balles par d'autres agents, il est décédé Trois personnes de son entourage ont été placées en garde à vue Le parquet national antiterroriste s'est saisi de l'enquête La sécurité est renforcée devant les commissariats et les gendarmeries 

    Un Tunisien de 36 ans arrivé en France en 2009

    Les faits se sont produits vers 14h20 dans le sas de ce commissariat. La fonctionnaire administrative, touchée à la gorge et qui était d'abord en arrêt cardio-ventilatoire, est décédée sur place, malgré l'intervention des pompiers. Âgée de 49 ans et mère de deux enfant, elle a été attaquée alors qu'elle venait de reprendre son service après être sortie pour changer son disque de stationnement.

    D'après les documents retrouvés sur lui, l’auteur était un Tunisien de 36 ans, arrivé en 2009 en France, en situation irrégulière. Il aurait obtenu un titre de séjour grâce à un emploi de chauffeur-livreur, valable jusqu'à la fin de l'année 2021. Il n’est pas fiché au FSPRT (Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste) et inconnu au traitement des antécédents judiciaires.

    Le parquet national antiterroriste se saisit de l'enquête 

    En fin d'après-midi, le parquet national antiterroriste a annoncé se saisir de l'enquête. Le Pnat a ouvert "une enquête de flagrance des chefs d'assassinat sur personne dépositaire de l'autorité publique en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste", confiée conjointement à la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), a-t-on indiqué. Selon une source proche de l'enquête citée par l'AFP, l'assaillant a crié "Allah Akbar" au cours de l'attaque. C'est au vu de ces propos et des repérages effectués par l'auteur avant les faits que le parquet national antiterroriste s'est saisi. 

    Trois proches de l'assaillant en garde à vue 

    Trois personnes ont été placées en garde à vue dans l'enquête sur cet assassinat. Ces trois personnes appartiennent à l'entourage de l'assaillant. Deux perquisitions étaient également en cours vendredi après-midi au domicile de l'assaillant, à Rambouillet, ainsi qu'au domicile d'une personne l'ayant accueilli à son arrivée en France en 2009, selon une source proche de l'enquête, confirmant une information du Point.

    La sécurité renforcée devant les commissariats et gendarmerie 

    Selon les informations d'Europe 1, le directeur de cabinet de Gérald Darmanin a envoyé un télégramme à tous les préfets vendredi soir pour leur demander de "renforcer la vigilance et les mesures de sécurité dans et aux abords des commissariats de police et brigades de gendarmerie, notamment s'agissant des accueils" et de "renouveler aux fonctionnaires de police et aux militaires de la gendarmerie les consignes d'attention à observer pour leur propre protection [...] en dehors du service". 

    La sécurité doit également être renforcée aux abords des lieux ouverts au public et des lieux de culte. 

    Castex dénonce un "geste barbare" 

    Le Premier ministre Jean Castex et le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin ont annoncé se rendre dans l'après-midi au commissariat de cette ville de près de 26.000 habitants, situé à une soixantaine de kilomètres au sud-ouest de Paris. "La République vient de perdre l'une de ses héroïnes du quotidien, dans un geste barbare et d'une infinie lâcheté", a déclaré le Premier ministre sur Twitter. 

    "A ses proches, je veux faire part du soutien de la Nation tout entière. A nos forces de sécurité, je veux dire que je partage leur émotion et leur indignation", a poursuivi le chef du gouvernement. 

    Le président de la République Emmanuel Macron a également rendu hommage à la policière tuée dans un tweet. "Du combat engagé contre le terrorisme, nous ne céderons rien", a-t-il écrit. 

    Plusieurs attaques de policiers ces dernières années 

    Ces dernières années, plusieurs membres des forces de l'ordre ont été attaqués, le plus souvent au nom du djihad. Ce drame survient alors que les forces de police des Yvelines ont en mémoire le souvenir douloureux de l'assassinat d'un couple de fonctionnaires de police, tué à coups de couteau en juin 2016 dans son pavillon de Magnanville, par un homme se revendiquant de l'organisation Etat islamique.

    Le 16 octobre 2020, le même département avait été marqué par l'attaque au couteau d'un professeur de collège, Samuel Paty, assassiné et décapité par un jeune homme de 18 ans originaire de la république russe de Tchétchénie. 

    Europe 1


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  • Un homme a tué à coups de couteau une fonctionnaire de police au commissariat de Rambouillet (Yvelines), avant d'être interpellé et blessé par balles par d'autres agents, a indiqué le parquet de Versailles et une source policière à l'Agence France-Presse, ce vendredi 23 avril. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, doit se rendre dans l'après-midi au commissariat de cette ville de près de 26 000 habitants, située à une soixantaine de kilomètres au sud-ouest de Paris. « J'ai évidemment, face à ce drame terrible, une pensée pour cette femme et ses collègues », a déclaré Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement. Le Premier ministre, Jean Castex, et la présidente de l'Île-de-FranceValérie Pécresse, sont également attendus. « Je me rends sur place pour témoigner mon soutien à nos forces de l'ordre encore une fois endeuillées », a fait savoir la cheffe de l'exécutif francilien sur Twitter.

    Les faits se sont produits vers 14 h 20 dans le sas de ce commissariat, a précisé la source policière. La fonctionnaire administrative, qui était d'abord en arrêt cardiorespiratoire, est décédée sur place, malgré l'intervention des pompiers. Elle rentrait de sa pause déjeuner quand l'assaillant lui a porté deux coups de couteau à la gorge. De source policière, le meurtrier présumé, qui était également blessé, est mort sous les balles d'un seul et même policier. Il s'agit d'un ressortissant tunisien de 36 ans, inconnu des services de police et des renseignements territoriaux et en situation régulière. « Une évaluation est en cours par la Sdat (sous-direction antiterroriste) », a indiqué à l'AFP le Parquet national antiterroriste (Pnat). Le parquet des Yvelines a été saisi.

    « Un drame pour la police nationale »

    Le département des Yvelines a été lourdement endeuillé, avec la mort des deux policiers à Magnanville, en juin 2016, puis l'assassinat du professeur Samuel Paty, en pleine rue à Conflans-Sainte-Honorine, en octobre 2020. « Tous les services d'enquête sont sur place », a réagi François Bersani, secrétaire départemental du syndicat Unité-SGP Yvelines, qui évoque « un drame pour la police nationale ». Pour l'heure, on ignore s'il s'agit ou non d'une attaque à caractère terroristeC'est la police judiciaire (PJ) de Versailles qui est saisie de l'affaire et non le Parquet antiterroriste. Les forces de l'ordre, lourdement armées, sont sur place.

    Le Point

    Entendu sur France 3 il y a quelques minutes (19h00), ce tunisien aurait crié allah ou akbar avant de donner ses coups de couteau !

    Après Zemmour et Manuel Valls sur C News, j'écoute une émission qui parle de la mort de cette policière mère de 2 enfants, tuée par un tunisien djihadiste!


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  • À Perpignan, un homme a perdu son porte-monnaie qui contenait la somme de 4300 euros... À peine trois jours plus tard, les policiers sont parvenus à le retrouver et à lui restituer l'argent !

    C’est ce qui s’appelle avoir de la chance ! À Perpignan, dans les Pyrénées-Orientales, un homme risque de se rappeler longtemps de cette journée qui n’avait pas forcément commencé sur les chapeaux de roues. Et pour cause, en se rendant à la boulangerie, ce dernier s’était rendu compte qu’il avait égaré son porte-monnaie qui contenait 4 300 euros en liquide. Une grosse somme liée à la vente de sa voiture quelques jours plus tôt. Une perte énorme qui a poussé ce Perpignanais a porté plainte,"sans grande conviction", précise la Police. Pourtant, une enquête des forces de l’ordre à bel et bien permis à cet homme de retrouver son portefeuille… Et surtout la somme qu’il contenait !

     

    En visionnant les caméras de surveillance de la boulangerie où l’homme s’est rendu avant de perdre son porte-monnaie, la police a remarqué que c’était la cliente derrière lui qui l’avait trouvé. Sur les images en question, on peut en effet voir cette dernière sortir du magasin et récupérer l’accessoire tombé dans le caniveau. "Sans l’identification du bien, cette cliente reste un instant devant la boulangerie, guettant une éventuelle réaction d’une personne qui se manifesterait", rapportent les services de police qui ont contacté la jeune femme afin que l’argent soit restitué au propriétaire. Cette dernière avait gardé la précieuse somme chez elle, sans y toucher. Heureusement, le Perpignanais a donc pu récupérer son argent… Une histoire qui finit étonnamment bien !

    Public


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  • Les restes humains d’une jeune amish disparue découverts 10 mois plus tard

    Linda Stoltzfoos rentrait de l’église lorsqu’elle a disparu. Les restes de la jeune fille de 18 ans ont été découverts, dix mois après le début des recherches, ont annoncé les autorités mercredi. Ils se trouvaient dans une zone rurale du comté de Lancaster, en Pennsylvanie et vont être analysés afin d’établir les causes exactes de la mort de Linda.

    Cette jeune amish s’était volatilisée le 21 juin 2020 alors qu’elle était sur le chemin de chez elle, où elle voulait se changer avant de ressortir pour retrouver un groupe de jeunes afin de participer à un rassemblement. «La police pense que cette personne peut être exposée à un risque particulier de danger ou de blessure», avait à l’époque déclaré la police dans un communiqué. «Il n'y a aucune raison de croire qu'elle voulait partir. Vous savez, elle n'a indiqué à personne qu'elle voulait aller faire un voyage, donc c'est très insensé pour Linda de faire ça», avait ajouté Matt Hess, officier de police du canton d'East Lampeter.

    Un suspect arrêté en juillet

    Toute la communauté s'était mobilisée pour tenter de retrouver la jeune fille. Les recherches s'étaient mises en place à travers toute la zone, sans donner de résultats. «Merci à tous ceux qui sont disposés à apporter de l'aide aujourd'hui. À ce stade, les plans de recherche d'aujourd'hui seront à plus petite échelle avec plus de surveillance et seront exécutés uniquement par des équipes de recherche formées et dédiées. Si le besoin de bénévoles change, une demande d'aide sera affichée. Merci de continuer à prier pour la famille, les équipes de recherche et surtout pour Linda», était-il écrit sur la page Facebook ouverte pour tenter de retrouver Linda.

    Un mois plus tard, un homme de 35 ans, Justo Smoker, avait été arrêté et inculpé pour enlèvement. Puis, en décembre, il avait été officiellement mis en examen pour meurtre. Les enquêteurs avaient à son encontre une série de preuves montrant qu’il était impliqué dans la mort de la jeune fille. Il avait été vu par plusieurs témoins dans la zone de sa disparition à bord d'une voiture dans laquelle se trouvait une jeune fille amish. Il avait ensuite été filmé par des caméras de vidéosurveillance, conduisant ce véhicule, rapporte «People». Suite à ces informations, une zone en particulier avait été fouillée par la police, qui avait retrouvé les vêtements traditionnels de la victime, mais pas encore son corps. Sur ceux-ci se trouvait l’ADN du suspect qui aujourd’hui plaide non coupable.

    Paris Match

    Les restes humains d’une jeune amish disparue découverts 10 mois plus tard


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