• Chine : Les images impressionnantes d’un carambolage géant impliquant plus de 200 voitures

    Une faible visibilité due au brouillard en serait à l’origine

    Les images sont impressionnantes. Un gigantesque carambolage dû au brouillard en Chine et impliquant plusieurs centaines de véhicules a fait un mort, ce mercredi a rapporté la télévision d’Etat.

    Des images aériennes montrent un nombre conséquent de voitures, de fourgonnettes et de camions sens dessus dessous, sur une section d’autoroute du centre du pays. La circulation y apparaît coupée. Des clichés ont immortalisé des voitures ayant fini leur course sur le toit des véhicules qui les précédaient.

    Au moins 200 véhicules impliqués

    Ce carambolage d’une rare étendue a impliqué au moins 200 véhicules, selon une estimation des médias officiels. D’après les autorités locales citées par la chaîne publique CCTV, une faible visibilité due au brouillard est à l’origine de cet accident, qui s’est produit mercredi matin près de Zhengzhou. La circulation sur le tronçon d’autoroute concerné a pu reprendre dans l’après-midi, a indiqué la police de Zhengzhou sur son compte officiel.

    En dépit d’infrastructures routières récentes et d’une législation plus stricte ces dernières années, les accidents de la route restent encore fréquents en Chine, du fait du non-respect du code de la route par certains conducteurs.

    20 Minutes


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  • En Chine, la police sauve 150 chats de la marmite

    Piégés grâce à des appâts vivants et entassés dans les cages : près de 150 chats destinés à la consommation humaine ont été sauvés par la police dans l’est de la Chine, a indiqué l’organisation de défense des animaux Humane Society International (HSI).

    Les félins étaient confinés dans des cages rouillées lorsqu’ils ont été découverts par les policiers dans la ville de Jinan, dans la province du Shandong, a déclaré l’association basée aux Etats-Unis dans un communiqué publié mardi. Des moineaux étaient placés dans des cages en guise d’appât et une télécommande était utilisée pour fermer les pièges dès qu’un chat entrait, a expliqué un militant de VShine, une association locale de défense des animaux. « C’était choquant de voir l’état dans lequel ils étaient. Beaucoup d’entre eux étaient émaciés », a déclaré M. Huang, un autre militant, cité dans le communiqué de HSI. « Notre découverte de dizaines de moineaux vivants utilisés comme appâts pour attirer les chats a également été un grand choc ». La plupart des félins sauvés seraient des animaux domestiques et ont été envoyés dans des refuges après leur sauvetage, selon le communiqué. Les militants ont également retrouvé 31 moineaux - une espèce protégée dans le pays - et les ont relâchés dans la nature. Des millions de chiens et chats mangés chaque année La Chine n’a pas de loi spécifique pour punir la cruauté envers les animaux. Mais les suspects pourraient être poursuivis pour avoir chassé les oiseaux, volé les chats ou encore pour avoir enfreint les règles de prévention des maladies animales. Selon HSI, environ 10 millions de chiens et quatre millions de chats sont tués pour la consommation humaine chaque année dans le pays. Chaque année en juin, la ville de Yulin, dans la province du Guangxi (sud), organise ainsi un festival de la viande de chien 

    à l’occasion du solstice d’été. Des chats y sont également vendus pour y être mangés. Ces viandes restent toutefois très peu consommées en Chine. Elles le sont principalement dans certaines zones des provinces méridionales du Guangdong et du Guangxi. La consommation connaît un déclin constant avec l’augmentation du nombre d’animaux de compagnie. La Chine a interdit la consommation et le commerce d’animaux sauvages en 2020. Les villes de Shenzhen et Zhuhai (sud) dans le Guangdong interdisent depuis avril la consommation de chiens et chats. Elles sont devenues les premières en Chine à prendre une telle mesure.
    Le Parisien

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  • Alors que les cas positifs au Covid 19 repartent à la hausse en Chine et que Shanghai a lancé une politique 0 cas très stricte, une femme sans abris a été obligée de se confiner un mois avec son chien dans une cabine téléphonique.

    On vous racontait hier qu’à Shanghai, un homme avait été déclaré mort du Covid 19 le 1er mai dernier et qu’il s’était finalement réveillé dans une housse mortuaire . Aujourd’hui, alors que la mégalopole de 26 millions d’habitants contraint ses habitants à rester chez eux dans le cadre d’une très stricte politique 0 cas Covid 19 , on apprend sur la Toile qu’une femme sans abris a été obligée de se confiner dans une cabine téléphonique

    During Shanghai's lockdown, a woman and a dog lived in a phone booth in Shanghai for a month. She was expelled by police on April 29, 2022. Now she has been found by reporters, and she and her dog are safe.#shanghai #ChinaLockdown #china #COVID19 #Omicron pic.twitter.com/r2L74IN2KX

    Âgée d’une cinquantaine d’années, travailleuse immigrée sans abris, elle s'est confinée un mois avec son chien, avant d'être obligée de quitter son lieu de confinement. Comme le montrent des clichés du voisinage à travers lesquels on voit la police jeter ses affaires sur le trottoir et sceller la cabine téléphonique. Elle a ensuite été retrouvée par des journalistes de China Youth Daily, à qui elle a dit avoir déjà vécu dans une cabine téléphonique auparavant. L’histoire de cette femme a choqué les Shanghaïens, indignés par la sévérité de cette politique sanitaire renforçant fortement les inégalités.

    Public


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  • Cinquante-trois personnes ont été tuées dans l'effondrement d'un immeuble résidentiel survenu la semaine dernière dans la capitale de la province chinoise du Hunan, Changsha, rapporte vendredi la chaîne de télévision d'Etat chinoise CCTV.

    Les secours ont extrait dix survivants des décombres de cette "autoconstruction" de huit étages qui s'est effondrée le 29 avril dernier, a précisé CCTV.

    Les raisons de l'effondrement font encore l'objet d'une enquête et plusieurs personnes ont été arrêtées, indique la chaîne de télévision.

    (Reportage de la rédaction de Pékin, rédigé par John Geddie; version française Camille Raynaud)


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  • Le 1er janvier dernier, le chauffeur de ce semi-remorque a vécu une histoire vraiment terrifiante. Et cette fois c’est à cause de la technologie que ce dernier s’est retrouvé dans un véritable guêpier.

    Pendant son trajet, le chauffeur poids lourd a fait entièrement confiance à son GPS. Il n’aurait pas dû. En effet, le petit boîtier l’a emmené sur l'itinéraire le moins long, certes, mais sûrement pas le plus facile.

    Car oui, pour rallier sa destination finale, le GPS a envoyé le semi-remorque sur l’une des routes les plus difficiles de Chine. Une route de montagne située dans la région de Shanxi. Après quelques minutes sur ce tronçon, le conducteur réalise qu’il s’est fourré dans une belle galère. La route étant devenue trop étroite pour son camion, il décide d'enclencher la marche arrière pour retourner, coûte que coûte, sur son itinéraire d’origine.

    Seulement voilà, dans la manœuvre, une des roues glisse dans le vide et entraîne le poids lourd dans une situation plus que périlleuse.

    Heureusement, le conducteur va réussir à s’extirper de l'habitacle assez rapidement sans être blessé. Mais son camion, lui, va pendre dans le vide pendant près de 3 jours.

    Auto News


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  • L'Asie, une région où les animaux sont maltraités, ours enfermés pour leur bile, chiens mangés, éléphants tués pour l'ivoire, etc.  Je n'aime pas cette région du monde !


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  • L'Asie, une région où les animaux sont maltraités, ours enfermés pour leur bile, chiens mangés, éléphants tués pour l'ivoire, etc... Je n'aime pas cette région du monde


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  • Chine : peine de mort confirmée en appel pour un Canadien condamné pour trafic de drogue

    La peine de mort contre un Canadien condamné en Chine pour trafic de drogue, Robert Lloyd Schellenberg, a été confirmée mardi en appel par un tribunal local, sur fond de grave crise diplomatique entre Pékin et Ottawa.

    Déjà condamné à la peine de mort en première instance, en janvier 2019, le Canadien Robert Lloyd Schellenberg a vu sa peine confirmée en appel, mardi 10 août, par un tribunal local en Chine.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/chine-peine-de-mort-confirm%C3%A9e-en-appel-pour-un-canadien-condamn%C3%A9-pour-trafic-de-drogue/ar-AAN8qjG?ocid=msedgntp


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  • Chine : la souche Delta se propage et inquiète les autorités

    Trois nouveaux cas de Covid-19 ont été confirmés lundi dans la métropole de Wuhan, rattrapée elle aussi par la flambée de la souche Delta. Les précédents cas de Covid enregistrés dans la ville remontaient à mai 2020.

    La ville chinoise de Wuhan (centre), où le Covid-19 avait fait son apparition fin 2019, va à nouveau dépister ses habitants après la découverte de quelques cas, ont annoncé mardi les autorités locales.

    Trois nouveaux cas de Covid-19 ont été confirmés lundi dans la métropole de 11 millions d'habitants, rattrapée à son tour par une flambée de la souche Delta apparue le mois dernier dans l'est du pays. Les précédents cas de Covid enregistrés dans la ville remontaient à mai 2020.

    La cité des bords du Yangtsé "est en train de lancer rapidement un dépistage PCR généralisé de tous ses habitants", a annoncé Li Tao, un responsable de la mairie, lors d'une conférence de presse.

    Le virus de retour dans le pays

    Au total, sept travailleurs originaires d'autre provinces ont été testés positifs au Covid-19, ont annoncé lundi les autorités. Quatre d'entre eux ne montrent toutefois pas de symptômes de la maladie.

    La Chine, qui a pratiquement éradiqué l'épidémie dès le printemps 2020, est confrontée depuis quelques semaines à la résurgence la plus étendue du virus depuis l'an dernier.

    Une douzaine de province touchées

    Avec au moins 300 nouvelles infections confirmées au total en juillet dans tout le pays, ce regain de contamination reste toutefois très limité par rapport aux chiffres enregistrés dans d'autres pays.

    Mais ce foyer est important en termes d'étendue géographique: plus d'une douzaine de provinces sont désormais touchées ainsi que Pékin, la capitale, qui a appelé dimanche ses habitants à ne pas quitter la ville sauf raison impérieuse.

    BFM.TV


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  • Inondations en Chine centrale : le bilan triple brutalement à plus de 300 morts

    © AFP Des voitures prises dans les inondations, le 21 juillet, à Zhengzhou.

    Le bilan des inondations du 20 juillet dans le centre de la Chine a été revu à la hausse ce lundi 2 août. Il a même carrément triplé, les autorités locales faisant désormais état de 302 morts et 50 disparus.

    Des précipitations s’étaient abattues, en Chine, sur la métropole de Zhengzhou, capitale de la province très peuplée du Henan, le 20 juillet. Elles avaient englouti une rame de métro et un tunnel routier, emportant des dizaines d’automobiles.

    Le précédent bilan pour l’ensemble de la province faisait état d’une centaine de morts. Il a été revu très nettement à la hausse, ce lundi 2 août, par les autorités locales qui font désormais état de 302 morts et cinquante disparus.

    Devant la presse, la maire de Zhengzhou, Hou Jong, a précisé que 39 personnes avaient perdu la vie dans des parcs de stationnement en sous-sol.

    Au moins 14 personnes avaient péri dans un métro englouti à l’heure de pointe, où quelque 500 passagers d’une rame s’étaient retrouvés piégés.

    Du jamais vu en six décennies

    Les autorités locales ont été critiquées pour n’avoir pas ordonné la fermeture des transports publics en dépit des alertes météo.

    En trois jours était tombé l’équivalent de près d’une année de précipitations à Zhengzhou – du jamais vu en six décennies de relevés météorologiques, et de quoi alimenter l’inquiétude sur l’impact du changement climatique.

    Mme Hou a évalué les dégâts dans sa ville à 53,2 milliards de yuans (près de 7 milliards d’euros).

    Ouest-France


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  • La cité de Dunhuang, située le long de l’ancienne route de la Soie dans la province du Gansu, a été engloutie dimanche par un impressionnant nuage de sable

    La scène est digne d’un film catastrophe. Un immense vague de sable haute d’une centaine de mètres a enveloppé les parcs, habitations et immeubles d’une ville de Chine située à proximité du désert de Gobi, dans le nord-ouest du pays.

    Connue pour sa riche histoire, la cité de Dunhuang, située le long de l’ancienne route de la Soie dans la province du Gansu, a été engloutie dimanche par un impressionnant nuage de couleur brun-ocre.

    Une ville recouverte en « cinq ou six minutes »

    Un habitant a indiqué au média local Jimu News que la tempête de sable est arrivée subitement et a recouvert la ville en seulement cinq ou six minutes. « Je ne voyais plus le soleil », a-t-il déclaré, soulignant que Dunhuang n’avait pas connu pareil phénomène depuis plusieurs années. « Au début, j’ai été entouré par la poussière jaune de la tempête de sable, et ensuite ça a viré au rouge et puis finalement au noir. »

    Dunhuang est connue pour les Grottes de Mogao, un ensemble de chapelles et fresques bouddhistes, classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Les tempêtes de sable sont courantes dans la région au printemps, mais plus rares en été, selon l’agence de presse China News Service.

    20 Minutes


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  • D’où provient le Coronavirus ? A-t-il des origines naturelles ? A-t-il été développé en laboratoire ? C’est ce que cherche à savoir l’Organisation Mondiale de la Santé. Mais la Chine, soupçonnée d’être le “berceau” du virus, rejette catégoriquement toute responsabilité et se montre même hostile à tout embryon d’enquête.

    “Un manque de respect pour le bon sens”

    Un temps taxée de théorie du complot mais jamais totalement écartée, la thèse selon laquelle le Coronavirus s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan refait surface et semble de plus en plus prise au sérieux par la communauté scientifique.

    Insatisfaite de sa première enquête, qui s'est avérée infructueuse notamment à cause du manque de coopération de la Chine, l’OMS projetait d'envoyer à nouveau ses experts à Wuhan.

    Sauf qu'au cours d’une conférence de presse, le vice-ministre chinois de la Santé a répondu de manière plutôt violente à la demande de l'Organisation : “Nous n’accepterons pas un tel plan de traçage des origines qui, à plusieurs égards, est un manque de respect pour le bon sens et défie la science.”

    Se débarrasser de toute interférence politique

    Pour la Chine, la demande d’audit de l’OMS frôle l’accusation et répond à un agenda politique.

    Nous espérons que l’OMS va prendre en compte les considérations et les suggestions des experts chinois, qu’elle traitera véritablement la recherche de l’origine du Covid-19 sous le prisme de science, et qu’elle fera fi de toute interférence politique”, ajoute le vice-ministre.

    Aux yeux du monde, la Chine veut paraître innocente... Il n’empêche que Wuhan fut l’un, si ce n’est le premier foyer épidémique du virus, et que le refus de coopération de la Chine n’invalide pas pour autant la possibilité d'une fuite.

    Gent Side


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  • La Chine est confrontée mercredi 21 juillet à des pluies torrentielles qui ont fait au moins 12 morts dans le métro de Zhengzhou, une grande ville du centre du pays. 

    Près de 200 000 personnes y ont été évacuées ont annoncé les autorités municipales. Ces inondations sont "extrêmement graves" a commenté le président Xi Jinping.
     

    La ville "a connu une série d'orages rares et violents, provoquant une accumulation d'eau dans le métro de Zhengzhou", ont déclaré mercredi des responsables de la municipalité dans un message publié sur le réseau social Weibo, ajoutant que 12 personnes avaient péri et que cinq autres avaient été blessées. La métropole a été placée mardi en alerte rouge. Il s'agit du niveau d'alerte le plus élevé pour la météorologie en Chine. L'armée a été appelée en renfort dans la ville, capitale de la province très peuplée du Henan, qui a reçu en trois jours presque l'équivalent d'une année de pluie.

    Un barrage menace de céder

    La télévision nationale CCTV a montré des rues de la ville submergées par un immense courant d'eau boueuse, tandis que des habitants avec de l'eau jusqu'aux genoux poussaient leur véhicule dans des artères inondées. Mais c'est dans le métro que la situation a paru la plus dramatique. Des vidéos sur les réseaux sociaux, dont l'authenticité n'a pas été vérifiée, ont montré des passagers suspendus aux poignées d'une rame, alors que l'eau leur arrive aux épaules, et d'autres debout sur les sièges.

    Les scènes de chaos dans cette ville de 10 millions d'habitants ont semé l'inquiétude dans le pays. Toujours dans le Henan, près de Luoyang, l'armée a annoncé qu'un barrage menaçait de s'écrouler, après l'apparition d'une brèche longue de 20 mètres dans la structure. La ville de Luoyang, à l'ouest de Zhengzhou, compte quelque 7 millions d'habitants.

    Selon les autorités chinoises, les pluies dans la région ont été les plus fortes jamais enregistrées depuis que les phénomènes météorologiques ont été compilés il y a 60 ans. La ville de Zhengzhou a vu tomber en trois jours l'équivalent d'un an de pluies, selon ces mêmes sources. Les inondations frappent régulièrement la Chine durant l'été, avec un bilan qui avait atteint plusieurs milliers de morts en 1998 dans la région du Yangtsé, plus au sud.

    franceinfo


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  • La basketteuse Zhang Ziyu, 2m26 à 14 ans, fait sensation en Chine

    Il y a des performances qui marquent plus que d'autres. Mais celle réalisée par Zhang Ziyu, à seulement 14 ans, est impressionnante. Vainqueure de la finale des moins de 15 ans à Jingzhou (Chine), la joueuse de 2,26m a marqué la rencontre avec ses 42 points, 25 rebonds et six contres. Originaire de la province du Shandong, à l'est de la Chine, la basketteuse est rapidement devenue un sujet de discussions sur les réseaux sociaux.

     

    Le Global Times a d'ailleurs partagé ses exploits sur Twitter. Sur les différentes vidéos, Zhang Ziyu est facilement reconnaissable de par sa taille, les autres joueuses arrivant à peine à ses épaules. Présente aux rebonds offensifs et défensifs, la jeune adolescente n'a même pas besoin de sauter pour récupérer le ballon et scorer. Sous le panier, celle qui fait dix centimètres de plus que Rudy Gobert peut facilement toucher le cercle en levant simplement les bras.

    2,11m en sixième

    Devenue la nouvelle coqueluche du basket chinois, Zhang Ziyu a le ballon orange dans le sang, son père (2,13m) et sa mère (1,98m) ayant évolué dans le monde professionnel. Cette dernière, Yu Ying, a même porté le maillot de la sélection chinoise. Sa fille est bien partie pour marcher sur ses traces, elle qui mesurait déjà 2,11m lors de son entrée en sixième.

    Si elle est encore amenée à grandir lors des prochaines années, Zhang Ziyu s'est déjà fait un nom en Chine, qui espère voir en la jeune adolescente la relève de Yao Ming (2,29m), célèbre basketteur chinois des Rockets de Houston (2002-2011), retraité depuis 2011.

    RMC Sports


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  • Au Pakistan, au moins 13 personnes, dont neuf Chinois, sont mortes dans l'explosion d'un bus qui a ensuite versé dans un ravin. Le véhicule transportait des personnels chinois travaillant à la construction d'un barrage. La Chine dénonce un attentat et appelle à châtier sévèrement les responsables. 

    L'explosion a eu lieu ce mercredi vers 7h, heure locale, dans le district du Kohistan. Le véhicule transportait une quarantaine d'ingénieurs, géomètres et personnels de maintenance mécanique chinois travaillant à la construction du barrage hydroélectrique de Dasu, dans la province du Khyber Pakhtunkhwa (nord-ouest).

    La Chine et le Pakistan, deux alliés proches, ont séparément indiqué que 13 personnes, dont neuf ressortissants chinois, ont été tuées. Vingt-huit Chinois ont également blessés. Les interprétations de l’événement divergent en revanche fortement. Le ministère pakistanais des Affaires étrangères a affirmé dans un communiqué que le car « avait plongé dans un ravin après un incident mécanique, qui a résulté sur une fuite de gaz à l'origine de l'explosion ». Il a souligné qu'une enquête avait été ouverte.

    À Pékin, un porte-parole de la diplomatie chinoise a condamné un « attentat ». Il a exhorté le Pakistan à « châtier sévèrement » ses auteurs et « à protéger sérieusement » la sécurité des Chinois dans le pays. L'ambassade chinoise au Pakistan a également évoqué une « attaque » et appelé toutes les sociétés chinoises dans le pays à renforcer leurs mesures de sécurité.

    La sécurité des employés chinois travaillant sur les différents projets d'infrastructure au Pakistan est depuis longtemps une préoccupation pour Pékin, qui a investi des milliards de dollars ces dernières années dans ce pays. En avril, le Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP), les talibans pakistanais, avait revendiqué un attentat suicide contre un hôtel de luxe de Quetta (ouest), capitale de la province du Baloutchistan, dans lequel séjournait l'ambassadeur de Chine, qui n'avait pas été blessé.

    Sentiment antichinois

    Le TTP a aussi revendiqué récemment plusieurs attaques de moindre ampleur dans les zones tribales pakistanaises, dans le nord-ouest du pays, à la frontière avec l'Afghanistan, mais aussi dans quelques villes, dont la capitale Islamabad.

    Les projets financés par la Chine ont souvent créé un fort ressentiment au Pakistan en particulier auprès des groupes séparatistes, qui estiment que la population locale n'en tire aucun bénéfice, la plupart des emplois revenant à de la main d'œuvre chinoise.

    En mai 2019, l'hôtel de luxe surplombant le port en eaux profondes de Gwadar, projet phare du Corridor économique Chine-Pakistan (CPEC), pour lequel Pékin devait dépenser plus de 50 milliards de dollars (42 milliards d'euros), avait été attaqué, causant la mort d'au moins huit personnes.

    Six mois auparavant, un assaut contre le consulat de Chine de Karachi, la plus grande ville du Pakistan et sa capitale économique et financière, avait coûté la vie à au moins quatre personnes.

    RFI


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  • Les asiatiques sont vraiment dégoûtants !


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  • Selon plusieurs médias, selon lesquelles la Chine est en train de construire plus de cent nouveaux silos pour des missiles balistiques intercontinentaux

    A la suite d’informations sur un important renforcement par la Chine de son arsenal nucléaireles Etats-Unis ont fait part de leur grande préoccupation, ce jeudi, appelant Pékin à un dialogue en vue d’éviter une nouvelle course aux armements.

    « Il est de l’intérêt de tout le monde que les puissances nucléaires discutent directement entre elles de la réduction des dangers nucléaires et (de la façon) d’éviter les mauvais calculs », a déclaré aux journalistes Robert Wood, l’ambassadeur américain à la Conférence de Genève sur le désarmement. Il réagissait à des informations de presse parues la semaine dernière selon lesquelles la Chine est en train de construire plus de cent nouveaux silos pour des missiles balistiques intercontinentaux.

    Des missiles au « grand potentiel »

    Le Washington Post, citant une analyse effectuée par le Centre James Martin pour les études sur la non-prolifération – dont le siège est en Californie – d’images satellites, a écrit que 119 silos étaient en construction dans un désert près de Yumen, une ville du nord-ouest de la Chine. C’est « très préoccupant », a commenté Robert Wood. « Tant que la Chine ne s’assiéra pas avec les Etats-Unis de manière bilatérale, le risque d’une course aux armements dévastatrice continuera à augmenter et ce n’est de l’intérêt de personne », a-t-il poursuivi.

    Ce pays, a ajouté le diplomate américain, prétend être « une puissance nucléaire responsable » et que son « très, très petit (arsenal) n’a qu’un but défensif » : « Mais quand vous voyez beaucoup de ce que la Chine fait, cela est en contradiction avec ce qu’elle dit ». Robert Wood a évoqué une série de nouveaux systèmes d’armements que la Chine chercherait à développer, y compris des missiles capables d’atteindre les Etats-Unis, qui ont le « grand potentiel de modifier l’entière dynamique de la stabilité stratégique mondiale ».

    « Difficile de dire ce que la Chine fait réellement »

    Pour lui, l’un des principaux problèmes est le manque de transparence dans ce domaine de la Chine, qui ne donne aucun détail sur son arsenal nucléaire. Dans sa première évaluation rendue publique l’année dernière de la capacité nucléaire de ce pays, le Pentagone estimait qu’il avait plus de 200 têtes nucléaires et qu’il semblait vouloir en doubler le nombre dans la prochaine décennie.

    « Nous disons que le programme d’armements nucléaires (chinois) est en mesure de doubler son stock ces dix prochaines années mais cela pourrait être plus que ça », a à cet égard dit Robert Wood. « Si elle ne s’assied pas à la table (des négociations), il est difficile de dire ce que la Chine fait réellement », a-t-il souligné. Il n’en demeure pas moins que le nombre estimé des têtes nucléaires détenues par les Chinois est de très loin inférieur aux plus de 11.000 dont les Etats-Unis et la Russie disposent ensemble.

    20 Minutes


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