• Les corps sans vie de deux mineurs de nationalité française, âgés de 9 et 13 ans, ont été découverts à l'intérieur d'une chambre d'hôtel de Marrakech. Leur père, un infirmier retraité, a été retrouvé près d'eux dans un état comateux. Une enquête a été ouverte.

     

    Selon la police marocaine, le père aurait tenté de mettre fin à ses jours après avoir tué ses deux jeunes enfants.   L'enquête, sous la supervision du parquet, vise à "élucider les causes et circonstances d'une tentative de suicide de ce touriste français de 72 ans, soupçonné d'avoir commis un homicide avec préméditation en injectant à ses deux enfants mineurs une substance suspecte", a précisé la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) dans un communiqué.

    D’après le premier constat, les cadavres de deux victimes ne portaient aucune trace de violence ni de résistance. Aucun signe de violence n'a non plus été observé sur le corps du père qui a été transféré dans un hôpital local, où il est soigné dans une unité de soins intensifs.

    Les officiers de police ont trouvé sur les lieux, une lettre dans laquelle sont expliqués les mobiles apparemment familiaux, du drame, a indiqué une source policière. Des seringues médicales usagées ont également été découvertes  sur les lieux. L'ex-épouse du retraité a été entendue par la police judiciaire marocaine dans le cadre de l'enquête. 

    Une autopsie est en cours afin de connaître les causes exactes des décès des victimes.

    Zinfos


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  • Deux amis se sont perdus de vue pendant un siècle. Leurs familles organisent les retrouvailles et ils décèdent finalement le même jour.

    Des retrouvailles aussi brèves qu'émouvantes. Deux amis qui s'étaient connus pendant leur enfance ont été séparés pendant 100 ans. Un siècle plus tard, ils se sont enfin retrouvés. Hasard du destin, ils sont décédés le même jour, la semaine dernière.

    C'est le journal Sud-Ouest qui a relaté cette histoire incroyable. Marie Lartigau et Albert Bareille sont tous les deux originaires du même petit village de Salies-du-Béarn, à une vingtaine de kilomètres d'Orthez, dans le département des Pyrénées-Atlantiques. Enfants, ils ont fréquenté la même école et étaient camarades de classe.

    100 ans après leur séparation, les deux amis se retrouvent enfin et décèdent le même jour

    Les aléas de la vie ont fait qu'ils se sont perdus de vue rapidement même s'ils sont restés finalement proches l'un de l'autre. Marie Lartigau qui était à 108 ans la doyenne du département, a passé sa vie dans la région bordelaise tout comme Albert Bareille. Mais ils ne s'étaient jamais revus jusqu'à il y a quelques mois.

    Une visioconférence est organisée pour qu'ils puissent se revoir

    En effet, en janvier dernier, leurs familles respectives ont décidé de les réunir à nouveau pour fêter conjointement leurs anniversaires comme le relatait le journal La République des Pyrénées. Avec l'aide du personnel des maisons de retraite, ils ont organisé une visioconférence. Et ont ainsi permis aux deux retraités de se voir et d'échanger à nouveau après un siècle de séparation. La rencontre avait été chargée d'émotion, la discussion s'effectuant principalement en béarnais, la langue de leur enfance.

    Une animatrice de l'EHPAD de Lormont où vivait Albert Bareille a ainsi raconté l'émotion du vieil homme : "Je me souviendrai toujours d’Albert en train d’envoyer des baisers à Marie à travers l’écran et Marie qui lui en envoie en retour. Albert lui dit alors qu’il ne l’oubliera jamais et qu’ils se retrouveront là-haut."

    Marie France


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  • Des traces de cannabis dans les urines et 0,15 g d’alcool dans le sang : c’est ainsi que les secours ont retrouvé un bébé de 11 mois, au mois d’octobre dernier, avec ses deux frères, âgés de 4 et 5 ans, seuls dans l’appartement de leur oncle. Celui-ci les avait laissés livrés à eux-mêmes pour aller faire une course. 

    Le bébé, dans un état comateux, avait consommé de l’alcool. Des traces de cannabis ont également été retrouvées dans ses urines. Ses frères présentaient aussi des signes de maltraitance. Leur oncle, qui s’était vu confier la garde des enfants de sa sœur début octobre, a comparu le 18 novembre 2022 devant le tribunal de Troyes, dans l’Aube, pour « négligence et privation de soins », indique le quotidien régional « L’Est Éclair » .

    Les enfants placés, l’oncle incarcéré 

    L’oncle des trois enfants, conduisant ivre, a causé un accident. Il a dit aux secours que ses neveux étaient seuls chez lui. Les forces de l’ordre ont découvert, dans une maison à l’état lamentable, trois enfants complètement abandonnés. « Le plus petit est dans un cosy, ses deux frères sont prostrés par terre, l’un d’eux en position fœtale serre son doudou contre lui », étaye « Ouest France ». Les examens mettent en évidence le taux d’alcool dans le sang du bébé : 0,15 gramme, soit un coma éthylique. 

    « L’état du bébé était si inquiétant qu’il a été envoyé aux urgences pédiatriques de Reims. Une ITT de 30 jours pour un bébé ! », s’est indigné le substitut du procureur de la République de Troyes lors du procès. « On ne peut pas compter sur monsieur pour comprendre. Ni sur les proches, d’ailleurs. Il était temps que ces enfants soient placés. » Selon l’oncle des enfants, qui souffre d’addictions, ce sont les aînés qui ont donné de l’alcool à leur petit frère. Il a été condamné à trois ans de prison, dont neuf mois avec sursis probatoire renforcé. Il devra en également indemniser ses trois neveux à hauteur de 1 500 € pour le plus jeune et 1 000 € pour chacun des deux autres enfants. La mère comparaîtra quant à elle devant le tribunal en février 2023 : elle avait confié ses trois enfants pour trois semaines à son frère, dont elle connaissait les problèmes d’addiction, afin de rejoindre un ami au Portugal. 

    Elle


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  • Un chasseur a été blessé par un tir de fusil samedi 26 novembre en Dordogne, rapporte France Bleu Périgord. L'homme de 64 ans a reçu une balle dans la hanche, tirée par un autre chasseur. Le parquet de Périgueux a ouvert une enquête pour "blessures involontaires", afin de déterminer les circonstances précises de l'accident et identifier les éventuels manquements aux règles de chasse.

    L'accident s'est produit en fin de matinée lors d'une chasse aux sangliers et aux chevreuils dans les bois du Pouzet à Rudeau-Ladosse, en Périgord vert. Le chasseur a été gravement blessé et transporté en urgence à l'hôpital de Périgueux pour être opéré dans la soirée. Ses jours ne sont toutefois pas en danger.

    L'auteur du coup de feu s'est rendu à la gendarmerie

    Selon les premiers éléments de l'enquête, c'est un chasseur de 34 ans qui est à l'origine du coup de feu. Il a tiré en direction d'un sanglier qui avait surgi non loin, face à eux. D'après France Bleu, l'enquête ne permet pas encore de savoir si la balle a ricoché pour atteindre la victime. L'auteur du coup de feu s'est présenté en début de soirée à la gendarmerie pour être interrogé. Il n'a pas été placé en garde à vue.

    "Tout le monde est en état de choc", assure Yves Noirt, le président de la société de chasse de Rudeau-Ladosse, joint par France Bleu, qui dit être pour la première fois confronté à un accident de chasse. Il se rendra sur les lieux de l'accident avec les gendarmes en début de semaine prochaine.

    Franceinfo

    Bien fait !


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  • Un chasseur de 72 ans a tiré sur son frère lors d’une battue aux sangliers organisée dimanche 20 novembre 2022 à Chanat-la-Mouteyre (Puy-de-Dôme), rapporte La Montagne . Sérieusement blessée au bras, la victime âgée de 76 ans a été hospitalisée au CHU de Clermont-Ferrand. Ses jours ne sont pas en danger. Une enquête a été ouverte pour blessures involontaires.

    Les investigations sont menées conjointement par les gendarmes de la brigade de Chamalières et par l’Office français de la biodiversité, précise le quotidien régional. D’après les premières constatations, le tireur de 72 ans se trouvait à moins de 50 m de son frère lorsqu’il a tiré. « La victime était dans un fourré, le fourré a bougé et le chasseur a fait feu pensant qu’il s’agissait d’un animal », a précisé le parquet de Clermont-Ferrand, cité par nos confrères.

    Infirmité permanente

    Le permis de chasse du tireur a été retenu. Aucune trace d’alcool n’a été détectée dans son organisme, précise La Montagne. Son arme a été saisie. Relayé par France 3 Auvergne Rhône-Alpes , le parquet estime que la victime pourrait faire l’objet d’une amputation du bras et donc souffrir d’une infirmité permanente.

    Toujours hospitalisée ce mardi, elle n’a pas encore pu être entendue. Très choqué, le tireur a fait l’objet d’une première audition sans pour autant être placé en garde à vue, précise le média local. Les investigations se poursuivent.

    Ouest-France


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  • Un garçon de 4 ans qui pèse plus de 55 kg, une jeune fille avec une incroyable marque de naissance, ou encore, un enfant sans bras ni jambes qui adore pourtant jouer à la Playstation, voici donc les 9 enfants aux caractéristiques uniques au monde, et que vous verrez tres certainement pour la première fois de votre existence !


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  • C’est une infirmière qui a surpris l’auteur des faits. Ce samedi, à  Toulouse (Haute-Garonne), dans le quartier de la gare Matabiau, une femme de 96 ans a été violée, chez elle, en tout début de matinée. Peu avant 8 heures, l’infirmière à domicile de la nonagénaire se rend sur place et tombe sur un homme à son arrivée. Elle le met en fuite et prévient rapidement les forces de l’ordre et c’est la Brigade anticriminalité (BAC) qui parvient à l’interpeller quelques instants plus tard, indique France Bleu Occitanie. L’homme est placé en garde à vue, tandis que la victime affirme avoir été violée. « J’ai entendu des petits bruits, comme des oiseaux. C’était des bruits bizarres. Puis il y a eu du raffut et j’ai entendu la grand-mère qui disait À l’aide. Je suis sorti de chez moi », raconte Rémi, un voisin cité par La Dépêche. Le témoin explique : « Ça a sonné chez moi vers 7 heures. Comme je le fais toujours, j’ai ouvert la fenêtre pour regarder qui c’était. C’était un homme. Quand il m’a vu, il m’a dit d’une voix douce qu’il était désolé, qu’il s’était trompé ». L’homme aurait donc ensuite sonné chez la personne âgée, qui, attendant son infirmière, lui aurait ouvert. « Elle ouvre trop facilement. Il y a quinze jours on a retrouvé quelqu’un qui prenait le petit-déjeuner chez elle », a déploré sa fille, qui s’occupe d’elle, auprès de La Dépêche. Une enquête pour viol aggravé a été ouverte, indique le parquet de Toulouse. La victime a été transportée à l’hôpital de Rangueil pour subir des examens. À ce stade, les médecins confirment des traces de violences, précise le parquet.

    Le Parisien


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  • Un enfant de sept ans a été retrouvé mort dans une machine à laver, au Texas. Ce mardi, les parents adoptifs ont été arrêtés et sont accusés de meurtre.

    Un couple de parents vient d’être arrêté, ce mardi, au Texas. Le père de famille, Jemaine Thomas, est accusé de meurtre sur son fils adoptif, sept ans, décédé en juillet dernier. Sa femme est mise en examen pour blessure sur mineur.

    D’après les documents judiciaires, le corps ensanglanté de l’enfant a été retrouvé à l’intérieur d’une machine à laver, au domicile familial. Les faits remontent au 28 juillet dernier. Les policiers du comté de Harris sont appelés pour intervenir dans une maison concernant un enfant disparu. En arrivant sur place, le père de famille explique aux agents que son fils adoptif a disparu vers quatre heures du matin et qu’il s’en est aperçu au moment de se préparer pour partir au travail. Il leur précise qu’il a vu le petit garçon pour la dernière fois entre 19h30 et 20h30, la veille.

    Une enquête est alors ouverte et les enquêteurs ordonnent une perquisition au domicile du couple. Les fouilles sont rapidement arrêtées lorsqu’un des agents découvre le corps de l’enfant à l’intérieur d’une machine à laver, située dans le garage de la maison qui sert aussi de buanderie.

    Selon les informations provenant des documents judiciaires, l’enfant avait du sang autour du nez et de la bouche, une grosse bosse sur le front, ses vêtements sentaient l’urine et son pantalon était baissé au niveau des genoux révélant des hématomes au niveau des cuisses.

    Des messages révèlent l’horreur

    Une autopsie a été pratiquée sur le corps du petit garçon relatant les sévices qu’il a subi avant sa mort:

    “L’examen du corps a révélé de multiples ecchymoses et des cicatrices sur tout le corps, ainsi que des blessures au visage”, ajoutant que l’enfant était sûrement mort “d’asphyxie et de noyade”.

    C’est finalement l’analyse des téléphones portables des parents qui va permettre aux enquêteurs de les impliquer dans la mort de l’enfant. Par message, la mère explique à son mari qu’elle a menacé de mettre l’enfant dans la cuisinière et de l’allumer s’il n’assumait pas d'avoir mangé des tartes à la crème. Jemaine, lui, a dit à Tiffany:

    “Je vais finir par le tuer. Tu vas rentrer à la maison et il va être pendu à l’arbre”.

    D’autres messages datant du 25 juillet, quelques jours avant la mort de l’enfant, montrent la violence dans laquelle l’enfant vivait. “Je ne veux rien faire pour son anniversaire, j’en ai tellement marre de ce garçon. Je ne veux plus de lui dans cette maison. Ce garçon a foutu ma vie en l’air”.

    En attendant leur procès, le couple est détenu sous caution.

     RMC Crime

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  • Une adolescente de 14 ans a été retrouvée morte dans le Lot-et-Garonne, après avoir disparu vendredi en sortant à pied de son collège, rapportent plusieurs sources du dossier. Cette disparition avait été signalée par ses parents et la piste de l’enlèvement s’est confirmée grâce à la vidéosurveillance. La jeune fille a été aperçue vers 13 heures sur le trottoir d’une rue peu passante, avant de - vraisemblablement - monter dans la voiture d’un homme, identifié comme vivant dans le secteur (à Marmande) et connu pour des faits de viol sur mineur, d’après nos informations. Signalement des parents Les investigations des gendarmes ont permis de remonter jusqu’à cet individu trentenaire, de nationalité française. Il a été interpellé à son domicile et placé en garde à vue pour « enlèvement et séquestration ». Il a ensuite avoué aux enquêteurs avoir étranglé la jeune fille après l’avoir violée, puis s’être débarrassé du corps. Celui-ci a ensuite été retrouvé vers 1 heure du matin dans une bâtisse abandonnée, à Gontaud-de-Nogaret, à quelques kilomètres de Tonneins. L’association de défense et protection de l’enfant La Mouette s’est rendue aux chevets de ses proches pour passer la nuit,

    Le Parisien


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  • Le braqueur et le braqué s’entretuent

    La fusillade a eu lieu dans cette épicerie de Chicago.

    Un homme de 24 ans a tenté de dévaliser une épicerie à Chicago mais l’épicier lui a tiré dessus et il a riposté. Les deux sont décédés.

     

    Vendredi 11 novembre dernier, vers 18 h 20, un homme a sorti une arme de poing dans une épicerie du quartier de South Shore, à Chicago. L’individu de 24 ans voulait le contenu de la caisse. Sauf que l’employé du magasin ne s’est pas laissé faire et a sorti une arme de sa ceinture et ouvert le feu sur l’assaillant.

    Le voleur a été touché à la poitrine mais a riposté, explique CBS, atteignant l’employé, un ressortissant palestinien de 63 ans, à la poitrine et dans le dos. Quand la police est arrivée sur les lieux, elle a découvert ce dernier blessé et il a été transporté à l’hôpital où il est décédé.

    L’assaillant, lui, était parvenu à sortir de l’épicerie, au nom mal porté de El Barakah (la bénédiction) mais s‘est effondré à un pâté de maisons de là, où il a été retrouvé mort.

    Le Matin


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  • La famille a témoigné de sa frayeur quand elle a vu la balle traverser le double vitrage de la cuisine

    Depuis cinq ans qu’ils habitent cette maison installée dans le vignoble de Nantes, ils n’avaient jamais eu un problème avec les chasseurs. Dimanche matin, un couple et ses deux enfants ont pourtant eu la frayeur de la vie quand ils ont vu une balle de gros calibre traverser la fenêtre en double vitrage de leur cuisine. A quelques centimètres du papa et de son bébé âgé de 11 mois. La scène rapportée par Ouest-France s’est déroulée à Divatte-sur-Loire, petite commune de Loire-Atlantique coincée entre Nantes et la frontière du Maine-et-Loire.

    D’après la maman, le père se serait jeté à terre avec son enfant quand il a entendu la déflagration. La balle de calibre 12 a été retrouvée sous le radiateur de la maison. Un groupe de chasseurs qui se trouvait à à environ 250 mètres de la maison, selon Ouest-France. D’après les gendarmes, la balle d’ordinaire utilisée pour les battues aux sangliers aurait pu ricocher. La famille a décidé de porter plainte et une enquête a été ouverte.

    La question de la sécurité des populations a été maintes fois posée au gouvernement ces derniers mois, notamment en raison de la hausse des accidents mortels constatée en France. Dans sa « feuille de route pour améliorer et garantir la sécurité à la chasse », la majorité souhaite notamment sévir sur la question de la consommation d’alcool. « Il n’y a actuellement aucun cadre concernant l’alcoolémie à la chasse, nous voulons changer cela », a récemment indiqué la secrétaire d’Etat à l’Écologie Bérangère Couillard.

    20 Minutes


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  • Ardennes: un père et sa fille meurent percutés par un train

    La gare de Donchery (Ardennes)

    L'incident s'est déroulé en gare de Donchery, qui n'est pas dotée de tunnel souterrain, obligeant les voyageurs à traverser les voies.

    Un père et sa fille sont morts lundi soir percutés par un train de marchandises dans la gare de Donchéry, dans les Ardennes. Une enquête a été ouverte et confiée à la brigade de recherche de la gendarmerie de Sedan.

    Le drame s'est déroulé peu après 19 heures, alors que venaient d'arriver en gare une dizaine de voyageurs de la ligne de TER reliant Charleville-Mézières à Sedan. Parmi ces voyageurs, une adolescente de 16, que son père était venu récupérer sur le quai.

    "La gare ne dispose pas de passage souterrain, il faut traverser les voies pour passer de l’autre côté du quai. C’est ce que tous les voyageurs ont fait ce lundi soir", a indiqué à L'Union Christian Welter, maire de Donchery.

    "J'ai entendu un train klaxonner à plusieurs reprises"

    Alors qu'une première partie des voyageurs traversent la voie sans encombre, le père et sa fille ne parviennent pas à éviter un train de marchandises qui passe au même moment. Ils sont percutés de plein fouet, et tués sur le coup. Un jeune homme qui se trouvait derrière les deux victimes a miraculeusement réussi à échapper au train, qui reliait Metz à Dunkerque.

    "Peu après 19 heures, j'ai entendu un train klaxonner à plusieurs reprises et de façon très inhabituelle. Je n'ai pas compris ce qu'il se passait", a déclaré à L'Union une riveraine.

    Dépêchées sur place, les forces de l'ordre ont établi un périmètre de sécurité, et ont cherché des indices sur les voies, mais également sur les corps des victimes ainsi que sur le train. La mère de la jeune victime a été prise en charge par les pompiers. Inquiète de ne pas voir rentrer son mari et sa fille, elle s'était rendue sur place.

    Une enquête qui sera "déterminante"

    La SNCF a indiqué que la gare était éclairée, et que les deux victimes avaient emprunté le chemin destiné à la traversée des voies. "Le bilan humain aurait pu être bien plus lourd encore", a indiqué Christian Welter.

    L'enquête "sera déterminante pour comprendre ce qu'il s'est passé", a ajouté la préfecture des Ardennes.

    La circulation des trains sur la ligne concernée a été interrompue lundi. Ce mardi matin, le trafic restait perturbé.

    BFM.TV


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  • Un homme vient de plaider coupable du meurtre de sa femme et ses deux enfants, ce vendredi, au Texas (Etats-Unis). A la suite de ces aveux, Michael Paton, âgé de 38 ans, a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle, selon un communiqué de la police de Celina.

    “Je me suis réveillé et ils étaient morts”

    Les faits remontent à la nuit du 19 février 2021 quand l’homme a appelé les secours pour leur prononcer ces mots tragiques: “Je viens de tuer toute ma famille”. Michael a ensuite donné des informations confuses et contradictoires. Il leur a d’abord expliqué que sa femme était dans un placard et ne respirait plus et que ses enfants se trouvaient dans la maison, mais ne répondaient pas quand il les appelait. Il a ensuite indiqué au répartiteur des urgences: “Je me suis réveillé et ils étaient morts. Le pistolet était dans ma main”. Michael Paton a ensuite quitté le domicile avec l’arme à la main et a indiqué aux services d’urgence que sa maison prenait feu. Les policiers et les pompiers sont rapidement intervenus à son domicile pour éteindre l’incendie de sa maison. Après avoir calmé les flammes, les corps de sa femme et ses deux enfants ont été retrouvés, sans vie. Dans la foulée, Michael Paton a été arrêté et inculpé pour le triple meurtre.

    Sa condamnation à perpétuité sonne la fin d’une tragédie familiale.

    RMC crime


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  • Entre douleur et sidération, quelque 200 fidèles de la paroisse du prêtre écroué à Paris pour viol aggravé sur un adolescent, ont assisté dimanche à la messe. L’archevêque de Rennes a évoqué « sa confiance trahie ».

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/pr%C3%AAtre-rennais-accus%C3%A9-de-viol-les-fid%C3%A8les-sous-le-choc/ar-AA1455sc?ocid=msedgntp&cvid=f83d229ee57e485f8bfc6a6ae7621cb7


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  • Attaquée au chalumeau à Lausanne, ses jours sont en danger

    L’agression a été perpétrée contre une réceptionniste du Swiss Wine Hôtel.

    Ce mercredi peu après midi, une agression décrite comme d’une «extrême violence» a eu lieu au centre de Lausanne. Une femme a brûlé la réceptionniste d’un hôtel au chalumeau, révèle «24 heures». Elle est gravement blessée. L’assaillante a pris la fuite mais a été arrêtée peu après.

    L’agresseuse serait connue dans le milieu hôtelier de Lausanne. Ce serait une squatteuse qui dormirait à l’occasion dans les cages d’escalier, les locaux à bagages et s’inviterait aux petits-déjeuners. 

    Mardi, elle s’est introduite dans le Swiss Wine Hôtel. Elle a été repérée et refoulée. «En partant, elle s’est retournée et elle a lancé «Toi, je te tuerai» à mon employée», raconte Eric Fassbind, le propriétaire de l’établissement au quotidien vaudois.

    Cette femme a donc tenté de mettre ses menaces à exécution. Elle a agressé la jeune réceptionniste, lui brûlant le haut du corps avec un chalumeau de cuisine. La malheureuse a fui dans la rue, enlevant son pull et appelant au secours en soutien-gorge, selon un témoin.

    La victime, une ressortissante estonienne de 38 ans, a été prise en charge. Elle est grièvement brûlée au visage, ainsi qu’au haut du corps, a communiqué la police municipale lausannoise. Ses jours sont actuellement en danger.

    L’agresseuse, une Allemande de 44 ans, a été arrêtée peu après les faits, en possession du matériel ayant servi à commettre son acte. Il s’avère qu’elle avait aspergé la trentenaire de liquide inflammable avant de la brûler au chalumeau.

    Une enquête est menée par les inspecteurs de la police judiciaire lausannoise pour déterminer le déroulement exact et les causes de cette agression

    Le Matin


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  • Le jury a suivi les réquisitions.

    Ouest-France rapporte qu’un homme âgé de 40 ans a été condamné mardi à 17 ans de prison dans une affaire d’inceste s’étant produite dans le département du Maine-et-Loire. Le condamné est reconnu coupable d’avoir violé sa propre fille. Des rapports sexuels qu’il lui a imposés est né un enfant, en 2017. Il demande d’ailleurs à pouvoir exercer ses droits parentaux. A la barre, il n’a pas nié et a au contraire complètement assumé l’inceste. « Je ne l’ai jamais caché que j’avais une relation de couple. Si vous tapez sur Google, vous verrez le nombre de pères qui sont en couple avec leurs filles. » « Une manipulation, une emprise » Confondu par son ADN, le père incestueux a d’abord nié les viols. En détention préventive, il a écrit à sa fille pour lui mettre la pression. Il lui a demandé de se rappeler une « promesse », à savoir « dire qu’elle était consentante pour lui permettre de sortir le plus vite possible. » L’avocat général a dénoncé un père qui a privé sa fille « de tout repère » en « conscience ». Les experts psychiatriques considèrent que cet homme ne se remet pas en cause. Son avocat a expliqué qu’« il est amoureux de sa fille. C’est un enfant dans un corps d’adulte. » L’avocate de la victime a, elle, dénoncé, « une manipulation, une emprise ».

    Le Parisien

    17 ans, ce n'est pas assez, il devrait rester en prison le reste de ses jours !


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  • Un automobiliste de 20 ans a poignardé un conducteur suisse dans une station-service de Saint-Julien-en-Genevois (Haute-Savoie) car il l'avait doublé. L'assaillant a été placé en détention provisoire ce vendredi 7 octobre.

    Un conducteur suisse d'une trentaine d'années victime d'au moins six coups de couteau pour avoir doublé un automobiliste dans une station-service de Saint-Julien-en-Genevois, en Haute-Savoie. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie, rapporte France Bleu Pays de Savoie

    La scène se déroule ce mercredi 5 octobre dans une longue file de véhicules à l'entrée d'une station-service, en proie à des tensions en raison d'une grève de la CGT dans les raffineries de TotalEnergies. Un jeune homme de 20 ans patiente, et se fait alors doubler par un autre conducteur, immatriculé en Suisse. Les deux conducteurs se disputent. Très énervé, le premier sort un couteau et poignarde l'automobiliste helvète d'au moins six coups de couteau, devant les deux enfants de la victime, âgée de 33 ans.

    Il est alors conduit en urgence absolue au centre hospitalier de Genève. Depuis, son pronostic vital n'est maintenant plus engagé. L'assaillant prend, lui, la fuite, mais est rapidement interpellé par les gendarmes. En garde à vue, il reconnait avoir porté les coups de couteau. Le mis en cause est poursuivi pour tentative de meurtre et placé en détention provisoire ce vendredi 7 octobre à la maison d'arrêt de Bonneville.

    franceinfo


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  • Le bébé a été pris en charge et placé dans une structure d’accueil

    Une jeune femme, âgée de 33 ans, a été arrêtée mercredi par les policiers municipaux, à Alès (Gard), ivre et sous l’emprise de cocaïne, relate France Bleu Gard Lozère.

    Les agents ont été intrigués par l’attitude de cette trentenaire, qui parvenait difficilement à se tenir debout, à côté de sa voiture, stoppée au milieu de la gare routière de la ville.

    Dans sa voiture, était assise sa fille, âgée de trois semaines à peine. Les policiers municipaux l’ont prise en charge, ont changé sa couche, et lui ont donné un biberon. Une place dans une structure d’accueil spécialisée lui a été trouvée, à Uzès, poursuit le site de la station. Sa maman devra prochainement s’expliquer devant la justice.

    20 Minutes


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  • Une jeune femme, originaire de Floride, a admis avoir tué sa soeur en la poignardant en plein coeur par jalousie.

    Deux sœurs pour un seul homme. Une femme, âgée de 21 ans, est accusée d’avoir tué sa soeur cadette en la poignardant en plein coeur. Fatiha Marzan a été arrêtée le 26 septembre dernier et aurait avoué être l’auteur de ce crime atroce. Selon les informations transmises par le bureau du shérif du comté d’Orange, en Floride, les policiers sont intervenus ce jour-là après un appel concernant une “agression aggravée au couteau”.

    Au téléphone, la jeune femme explique qu’elle a “poignardé sa soeur” et “ne croit pas qu’elle soit en vie”. Les forces de l’ordre se sont rendues à sa résidence et ont découvert le corps sans vie de Sayma, sa petite sœur âgée de 20 ans. La jeune femme à l'origine du coup de poignard a été arrêtée et placée en garde à vue.

    “Elle n’avait jamais respecté ses sentiments”

    Interrogée, Fatiha explique aux enquêteurs qu’elle avait planifié l’assassinat de sa soeur depuis plusieurs semaines parce qu’elle flirtait avec son petit ami. D’après sa déposition, relayée par la police du comté, l’homme et sa petite sœur jouaient à un jeu de tir en ligne où une fonction messagerie était intégrée. Ils se seraient alors envoyés des messages et seraient devenus intimes.

    “Fatiha a dit qu’elle avait parlé à plusieurs reprises avec Sayma et son petit ami pour leur dire ce qu’elle pensait de leur relation. La jeune femme a dit que Sayma n’avait jamais respecté ses sentiments”, indiquent les documents.

    Selon les enquêteurs, elle avait acheté un ensemble de couteaux sur Amazon, deux semaines avant les faits. La jeune femme a également indiqué qu’elle avait prévu de la tuer au moment où sa famille dormait. “Fatiha a admis l’avoir poignardé trois à quatre fois spécifiquement dans le cœur”.

    La jeune femme est actuellement placée en détention provisoire à la prison du comté d’Orange, sans caution, en attendant son procès.

    RMC


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