• JURA

    Sur la route du retour de Dole où il avait passé l’après-midi, le fourgon d’un trentenaire de Poligny zigzaguait. C’est alors qu’il a percuté le rétro de la voiture d’un couple qui arrivait en sens inverse.

    Le couple a fait demi-tour pour arrêter, non sans mal, le conducteur de la dangereuse fourgonnette. Une fois le véhicule arraisonné à hauteur de Nevy-lès-Dole, c’est un conducteur manifestement en état d’ivresse qui en descendait, lequel, en attendant les gendarmes, a bu une gorgée de bière.

    A plus de 3 grammes d’alcool dans le sang, et en récidive, le tribunal de Lons-le-Saunier l’a condamné à huit mois de prison, dont quatre ferme.

    Le Progrès

    CHANTOUVIVELAVIE : Ivre, il se fait arrêter par les occupants de la voiture qu’il a percutée et… boit un coup

     


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Dunkerque. Un homme retrouvé pendu en pleine rue

    Un homme d'une quarantaine d'années a été retrouvé mort ce samedi à Dunkerque, pendu à un arbre, ayant vraisemblablement mis fin à ses jour , a-t-on appris de  source policière.

    C'est un passant qui a fait cette macabre découverte, dans le quartier de l'ancienne gare de Rosendaël, à proximité de la voie ferrée et à l'écart des maisons environnantes, a-t-on précisé de même source, confirmant une information de France 3. 

    « Selon les premiers éléments de l'enquête, il aurait mis fin à ces jours. Il n'y a pas d'indice de cause extérieure », a ajouté la source policière.

    « Un fait marquant »

    La pendaison a eu lieu dans la matinée et les secours prévenus par le passant n'ont pu que constater le décès.

    Le commissariat de Dunkerque a été chargé de l'enquête.

    « Une pendaison sur la voie publique, c'est toujours un fait marquant, même si ce n'était pas en plein centre », a commenté cette source.

    Ouest-France

    Comment a t-il pu se pendre tout seul ?


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Nîmes : Le bébé se comportait bizarrement, il avait absorbé de la cocaïne

     

    Le 14 mars, un couple avait amené leur bébé de 10 mois aux urgences à Nîmes : l’enfant était anormalement excité. Dans un premier temps, le personnel hospitalier n’avait rien décelé. Mais, devant l’insistance du couple, ils avaient effectué une prise de sang sur la petite fille. Les analyses s’étaient révélées positives à la cocaïne.

    Confondu, le père de famille avait avoué consommer de la drogue occasionnellement. Ce qu’il avait fait cet après-midi-là. Mais il en avait fait tomber un peu que la petite avait ensuite avalé, provoquant un état d’énervement inhabituel.

    La fillette placée en famille d’accueil

    Si l’enfant n’a conservé aucune séquelle de cet épisode, sa famille a en revanche connu des heures douloureuses. Le bébé leur a été enlevé plusieurs jours et placé dans une famille d’accueil avant que la justice ne décide de le rendre à la maman. Le père, lui, a été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de voir sa famille. Une mesure qui a été levée lors de son passage devant le tribunal correctionnel de Nîmes, mardi.

    20 Minutes

    Donc, rien de changé !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Hospitalisé pour se faire arracher une dent, il se fait amputer une jambe

    Alain D. a multiplié les malchances. Après une erreur médicale qui a conduit à une amputation, il y a subi une erreur dans son indemnisation.

     

    Arrivé à l'hôpital pour une opération bénigne, Alain D. en ressort avec une jambe en moins et de longues procédures administratives devant lui. Une indemnisation qui va le conduire à une seconde erreur, financière cette fois, rapporte Var-Matin

    D'une opération des dents à une amputation de la jambe. En 2002, lorsque Alain D. entre au CHU de Nice, il doit se faire arracher des dents pour se faire poser des implants plus tard. Pendant son hospitalisation, il contracte une méningite bactérienne qui conduit à l'amputation de sa jambe gauche, un recours extrême et remis en cause. À l'issue d'expertises, il est établi que "des lacunes au service des urgences ont retardé les soins nécessaires pour limiter l'infection". Une première erreur a donc été commise auprès de ce patient. 

    Une erreur du Conseil d'État. Une fois cette faute reconnue, commence le long processus d'indemnisation de la victime. En mars dernier, le Conseil d'État valide les réparations dues par le CHU pour le préjudice subi par Alain D. L'institution fixe l'indemnité à 389.787 euros. Or le Conseil d'État a enlevé, par erreur, 50.000 euros dus par l'hôpital de Nice en se trompant dans les sommes avancées avant sa décision définitive.

    Alain D. a donc saisi, la semaine dernière, la haute juridiction d'une requête en vue "d'une rectification d'erreur matérielle", fait assez rare. Après vérification, le CHU de Nice a été condamné à verser 439.979 euros à Alain D. pour le préjudice qu'il a subi lors de son hospitalisation quatorze ans auparavant. 

    Europe 1


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  • CHANTOUVIVELAVIE Var : Nolan, 8 mois, n'a toujours pas d'identité

    Installés dans le village de Saint-Paul-en-Forêt (Var), les parents du petit Nolan, 8 mois, sont désespérés. « J'ai accouché à la maternité de Grasse (Alpes-Maritimes) un vendredi et nous avons voulu déclarer la naissance de notre fils après le week-end, vu que la mairie était fermée. Nous y sommes allés le mardi. C'était un jour trop tard... » raconte Aymeline Roche, la maman. La loi stipule que trois jours pleins constituent le délai maximal pour déclarer un nouveau-né. Nolan se retrouve donc sans identité... « et sans couverture de Sécurité sociale. Tout est bloqué ! » ajoute-t-elle.

    Depuis, le couple a consulté un avocat pour saisir les tribunaux et pouvoir faire reconnaître son enfant au plus vite. Mais la procédure est longue et la famille s'impatiente. « Impossible de l'inscrire en crèche. On ne peut pas non plus prétendre à la prime de naissance. On le garde à la maison et son prénom n'est connu que de nous. »

    « Quand de tels cas surviennent, nous essayons de joindre les familles le lundi suivant pour leur rappeler le délai qui court », précise le service état civil de la mairie de Saint-Paul-en-Forêt. Cette fois, les parents n'ont pas pu être alertés à temps mais « nul n'est censé ignorer la loi », dit l'adage. A présent, des mois d'attente vont donc s'écouler pour que Nolan cesse d'être un « bébé fantôme ».

    Le Parisien

    La maternité pourrait confirmer la naissance du bébé !

    Encore des fonctionnaires bornés.


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Seine-et-Marne: un détenu s'évade pendant son transfert vers un hôpital

    Un détenu du centre pénitentiaire de Réau (Seine-et-Marne) s'est évadé lors de son transfert vers un hôpital psychiatrique, en s'échappant à pied de l'ambulance qui l'y transportait, a-t-on appris dimanche de sources concordantes. 

    Vendredi en fin de journée, ce détenu, originaire des DOM-TOM , condamné pour trafic de stupéfiants, a fait "une crise nerveuse au centre pénitentiaire", a indiqué une source policière.

    A la suite à cette crise, un sédatif lui a été administré avant son transport vers l'hôpital psychiatrique de Melun.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, "il a fait une autre crise lors de son transfert et l'ambulance a dû s'arrêter. Il s'est alors échappé", a-t-on ajouté.

    Le détenu est "parti à pied" et a disparu, a précisé une source proche de l'enquête. Il était toujours recherché dimanche après-midi !

    Condamné à sept ans de prison pour trafic de stupéfiants et vols notamment, le détenu devait sortir en 2017.

    Le parquet de Melun a ouvert une enquête confiée à la police judiciaire.

    Le Figaro

    Mieux vaut en rire !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Seine-Saint-Denis: ils font descendre les passagers avant d'incendier le bus

    Un bus de la RATP a été incendié dans une cité de Seine-Saint-Denis, ce samedi soir, par au moins deux personnes qui avaient au préalable fait descendre les passagers et la conductrice, ont révélé des sources concordantes consultées par l'Agence France-Presse (AFP), confirmant une information du Parisien.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, vers 21h30 dans une rue de la cité des 4.000 de La Courneuve, les auteurs, deux ou trois individus selon les sources, "sont montés dans le bus, ont menacé la conductrice et les quelque passagers qui s'y trouvaient avec un bidon d'essence, avant de les faire descendre et d'incendier le véhicule", a détaillé une source policière.

    Pas de blessé, le bus "détruit"

    Aucun blessé n'était à déplorer selon cette source, qui a ajouté que le bus était "détruit" et qu'un véhicule situé à proximité avait également pris feu. Les individus étaient "cagoulés" selon une source proche de l'enquête.

    "Ils n'ont rien dit d'autre qui pourrait expliquer leur acte", a-t-elle précisé.

    La situation était calme samedi vers 23 heures dans cette ville de banlieue parisienne, où "des patrouilles ont été envoyées en renfort", a indiqué la source policière. La RATP "condamne fermement cet acte et assure la conductrice de son soutien", a déclaré à l'AFP un porte-parole de l'entreprise.

    BFM.TV

    Il faut bien que ces sauvageons s'occupent le samedi soir !


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  • Deux hommes ont été retrouvés tués par balle dans une voiture vendredi soir, à Marseille (Bouches-du-Rhône).

    La découverte a eu lieu vers 23h15 sur le parking d'une chaîne de fast-food dans le quartier de Plombières, dans le 3e arrondissement de la ville, selon La Provence. Les victimes sont décédées avant l'arrivée des marins-pompiers. Un troisième homme se trouvait également dans le véhicule, a-t-on appris auprès des marins-pompiers et de source policière. Installé sur le siège du passager avant, il a pu sortir et prendre la fuite. Blessé légèrement, il a été pris en charge par la police.

    De source policière, les deux victimes de 21 et 22 ans auraient été abattues dans leur voiture, une Golf noire, immatriculée dans l'Hérault, par deux individus à scooter, l'un armé d'un fusil de type kalachnikov, l'autre d'une arme de poing. Un scooter brûlé a été trouvé à un autre endroit, sans qu'un lien puisse être établi pour l'heure entre ces deux événements.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, la piste du règlement de compte est privilégiée. Le préfet de police Laurent Nunez et un adjoint du procureur de la République se sont rendus sur place et le parking a été évacué par les forces de l'ordre.

    Le Parisien 

    Justice expéditive !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Paris: frappée et dépouillée, une lycéenne est jetée dans la Seine

    Mercredi soir, vers 21 heures, une jeune fille a été brutalement prise à partie par une bande de cinq adolescents. L'adolescente, âgée de 17 ans, pique-niquait sur un banc, non loin de l'île Saint-Louis à Paris, quand quatre garçons et une fille à peine majeurs l'ont abordée, rapporte Le Parisien.

    Ils lui demandent d'abord une cigarette, puis de l'argent. De plus en plus agressifs, ils lui assènent des gifles dans la tête, des coups de poing et des coups de pied et finissent par lui arracher les cheveux. Mais le pire est encore à venir: il la jettent à terre pour lui arracher son sac à main avant de la pousser par-dessus bord, dans la Seine.

    "J’ai fait le 18 pour appeler la police. Les policiers ont décroché mais ils ne m’entendaient pas car mon portable avait pris l’eau", a raconté la jeune lycéenne au quotidien régional.

    Mathilde est secourue par une passante qui appelle les secours avec son téléphone portable. Elle est ensuite transportée à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière. Dans le même temps, la bande de malfaiteurs a disparu avec son sac à main et son porte-feuille, qui contenait ses cartes bancaires et papiers d'identité. Ce jeudi, la jeune fille a porté plainte puis s'est rendue aux urgences médico-judiciaires pour établir une incapacité totale de travail (ITT).

    BFM.TV


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Calais: un lycéen casse la mâchoire de son professeur en classe

    Un élève de terminale d'un lycée professionnel de Calais a cassé la mâchoire et plusieurs dents de son professeur ce vendredi lors d'une altercation, a-t-on appris mardi de sources concordantes.

    Le professeur d'électrotechnique du lycée Coubertin à Calais demandait une ultime fois à deux élèves de se mettre au travail lorsque ceux-ci l'ont coincé dans un angle avec des armoires, rapporte la secrétaire académique du syndicat de l'enseignement professionnel Action et Démocratie CFE-CGC, confirmant une information du quotidien Nord-Littoral.

    Le parquet de Boulogne-sur-Mer souhaite se saisir de l'affaire

    Le professeur a été immédiatement emmené à l'hôpital de Calais, avant d'être transféré au service ORL d'un hôpital de Boulogne-sur-Mer, où il a été opéré de la mâchoire lundi. "Il s'agit d'une altercation entre le professeur et un élève. Une enquête est en cours, menée par les autorités académiques, nous en saurons plus à son issue", a confirmé le rectorat de l'académie de Lille, sans plus de précisions.     

    Les services de police n'ont pas enregistré de plainte, mais des agents ont été envoyés ce mardi au chevet du professeur pour l'entendre, a indiqué le parquet de Boulogne-sur-Mer, qui a dit son intention de se saisir de l'affaire.

    L'élève a été exclu de l'établissement à "titre conservatoire"

    L'élève a été exclu à titre conservatoire, en attendant son passage en conseil de discipline. La syndicaliste demande son exclusion définitive car un changement d'établissement "permet à un élève de réfléchir et de mûrir, de redémarrer sur une page vierge".     

    Ce lundi, la proviseure d'un lycée de Tremblay-en-France, en Seine-Saint-Denis, a été frappée à la grille de son établissement, sur lequel plusieurs cocktails Molotov ont été lancés par des jeunes qui s'en sont également pris aux forces de l'ordre. C'était le troisième épisode de violences qui se produisait aux abords de cet établissement

    BFM.TV

    Autrefois, on apprenait dès la primaire le respect des instituteurs et des professeurs !


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  • Jets de cocktails Molotov et projectiles : la soirée de samedi 15 octobre a été très troublée, à Mantes-la-Jolie (Yvelines). Appelée vers 22h30 dans la cité du Val-Fourré, dans l'ouest de la ville, pour une fausse alerte à une "voiture brûlée", des policiers ont été pris dans un guet-apens suivi d'échauffourées avec une centaine de jeunes de ce quartier sensible. La mairie annexe du quartier a également été la cible de jets de pierres, rapporte France 3 Ile-de-France.

    Ces incidents n'ont pas fait de blessé, ni entraîné d'interpellation dans l'immédiat, selon la police, citée par l'AFP.

    Cocktails Molotov contre tirs de Flash-Ball

    Arrivés sur place, les agents de la brigade anticriminalité (BAC) se sont retrouvés face à une centaine de jeunes, qui s'en s'ont pris à leur véhicule à coups de cocktails Molotov et de jets de projectiles. "Heureusement, sans parvenir à y mettre le feu", d'après une source policière, cité par l'AFP. A leur arrivée, les renforts appellés par les policiers ont reçu le même traitement.

    Alors que les échauffourées se déroulaient dans l'obscurité, puisque les lampadaires sur la voie publique avaient préalablement été cassés, la cinquantaine de policiers mobilisés est parvenue à repousser le groupe de jeunes avec des tirs de Flash-Ball et de grenades lacrymogènes.

    Les jeunes ont alors décidé de se rendre sur la dalle du Val-Fourré, pour s'en prendre au bâtiment annexe de la mairie, brisant des vitres à coups de jets de projectiles, comme le montrent les images de nos confrères de France 3 Ile-de-France. Le calme est finalement revenu vers une heure du matin, après la dispersion des assaillants.

    Déjà un guet-apens tendu la veille

    Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a salué dimanche le "professionnalisme", le "courage" et le "sang-froid" des policiers mobilisés, "qui ont su rétablir l'ordre public face à une centaine d'individus violents" et "repousser les assaillants" sans faire de blessé. "Les auteurs de ces violences inacceptables à l'égard des policiers sont activement recherchés", a-t-il précisé. L'enquête à été confiée au commissariat de Mantes-la-Jolie.

    La semaine dernière, trente-cinq kilos de résine de cannabis avaient été saisis dans ce quartier. "Les violences urbaines sont peut-être en lien avec ça", selon la source policière citée par l'AFP.

    Durant la nuit de vendredi à samedi, les policiers et les pompiers étaient déjà tombés dans un guet-apens, a rappelé Le Parisien. "Vers 21 heures, square du Mantois, les pompiers interviennent pour éteindre un feu de poubelles. En arrivant sur les lieux, quatre hommes leur lancent des bouteilles de verre et des pierres. La police arrive en renfort et essuie aussi des tirs de projectiles lancés dans leur direction et disperse les trublions", a précisé le quotidien, qui ajoute que "les forces de l’ordre ont constaté que l’appel téléphonique passé aux pompiers était un leurre et qu’il n’y avait pas d’incendie."

    Franceinfo

    Pauvres pompiers, pauvres  flics!


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Yvelines : flambée de violence dans le quartier du Val-Fourré à Mantes-la-Jolie

    Flambée de violence durant la nuit de samedi à dimanche au Val Fourré à Mantes-la-Jolie (Yvelines). Une centaine d’émeutiers s’en sont pris aux forces de l’ordre et ont tenté de détruire la mairie annexe dont toutes les vitres ont été brisées par des jets de pierres.

    Vers 22h20 dans le secteur des rues Marie-Laurencin et Paul-Gaugin, une voiture de la brigade anticriminalité a essuyé un jet de cocktail Molotov. « L’engin incendiaire a atteint le véhicule mais ce dernier ne s’est pas embrasé », précise une source proche de l’affaire. Une trentaine de trublions ont jeté différents projectiles sur les forces de l’ordre. Les policiers se sont repliés et ont appelé du renfort. Au total, une cinquantaine de fonctionnaires ont dû faire face à une centaine d’assaillants.

    « Ils ont bombardé la mairie annexe de pierre et toutes les vitres ont été brisées, ajoute une autre source. Mais les policiers ont réussi à les contenir pour éviter que le bâtiment ne soit détruit ». Fort heureusement aucun policier n’a été blessé. Aucune arrestation n’a pu être effectuée lors de l’affrontement. Le calme est revenu vers 1 heure du matin.

    Durant la nuit de vendredi à samedi les policiers et les pompiers sont tombés dans un guet-apens. Vers 21 heures, square du Mantois, les pompiers interviennent pour éteindre un feu de poubelles. En arrivant sur les lieux, quatre hommes leur lancent des bouteilles de verre et des pierres. La police arrive en renfort et essuie aussi des tirs de projectiles lancés dans leur direction et disperse les trublions. Les forces de l’ordre ont constaté que l’appel téléphonique passé aux pompiers était un leurre et qu’il n’y avait pas d’incendie.

    Et déjà le week-end dernier, d’inquiétants faits de violence s’étaient produits. Pour l’heure aucune explication ne peut être avancée. Mais la saisie de 35 kilos de cannabis qui représente une perte financière importante pour les dealers et leurs familles pourrait expliquer cette animosité contre les policiers et les institutions.

    Le Parisien

    Pauvre France !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Une guerre de territoires dans les quartiers nord de Clermont-Ferrand

    LIEN DE L'ARTICLE : http://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand/faits-divers/2016/10/13/une-guerre-de-territoires-dans-les-quartiers-nord-de-clermont-ferrand_12109178.html

     Il semble que le trafic de drogue prospère partout en France ! 


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  • Chantouvivelavie : Vidéo d'1 père annonçant à son fils mort de sa mère par overdose devient virale

    C'est une façon abrupte de faire de la prévention, mais le but a sans doute été atteint. Un Américain s'est filmé en train d'annoncer à son fils de huit ans que sa mère était morte la veille d'une overdose. La vidéo, postée lundi sur sa page Facebook, a déjà été vue plus de 33 millions de fois, commentée plus de 100.000 fois et partagée à plus de 700.000 reprises. Des images très dures, mais qui ont le mérite de mettre en lumière le destin d'une famille abîmée par la drogue.

    "Maman est morte la nuit dernière", explique-t-il à son fils dans la vidéo. "Quoi?", lui répond le petit garçon, sous le choc, "tu veux dire ma mère?", répète-t-il, avant d'éclater en sanglots quand son père lui répond par l'affirmative. 

    Voici la vidéo, reprise par le site de WKBN, une chaîne de télé locale qui a pris soin de flouter le visage du petit garçon.

    >> Voir la vidéo

    Une démarche personnelle et pédagogique

    L'auteur de la vidéo, un ancien toxicomane resté sobre depuis plus de trois mois, comme il le précise lui-même, a tenu à alerter les autres toxicomanes ayant des enfants. Une démarche très personnelle, donc, qu'il a longuement expliquée en postant la vidéo.

    "Aujourd’hui j’ai dû annoncer à mon fils de huit ans que sa mère était morte d’une overdose la nuit dernière. C’est la réalisation et la réalité de notre maladie", peut-on lire dans son message. "Ne laissez pas cette maladie faire que des gens doivent dire à votre enfant que vous êtes mort à cause de la drogue. C’est l’une des choses les plus dures que j’ai eues à faire. Mon fils n’a plus de mère à cause de l’héroïne (...). S’il vous plaît, faites-vous aider afin que nos enfants n’aient pas à souffrir", écrit ce père de famille.  "Ce n’était pas mis en scène", poursuit-il. "C’était réel. J’ai demandé à quelqu'un de filmer cela pour que les toxicomanes qui ont des enfants puissent voir la gravité de notre épidémie. Je me remets moi-même de mon addiction avec 94 jours de sobriété aujourd'hui. Partagez s’il vous plaît et aidez peut-être à sauver la vie du parent d’un enfant."

    Incompréhension et insultes

    Sans surprise, la vidéo et son message ont effectivement été partagés. Mais pas à la hauteur de ce qu'il avait imaginé. Après avoir reçu une pluie de messages, faits d'insultes autant que d'encouragements, ce père originaire de l'Ohio s'est exprimé à nouveau vendredi, dans un second message.

    Il y explique que sa démarche a provoqué beaucoup d'incompréhension, au sein même de sa famille, et précise que son fils était d'accord pour qu'il poste la vidéo. 

    "Je veux juste dire que mon fils va bien. Il s’en sort très bien. Ce que j’ai fait a déchiré ma famille. La majeure partie de ma famille m’a renié. Littéralement. S’il vous plaît, laissez ma famille et mes amis tranquilles. J’ai pris cette décision tout seul. Ils n’ont rien à voir avec ça", explique-t-il. "Je n’avais aucune idée des réactions et partages et vues que j’aurais avec cette vidéo. A ceux que j’ai offensés, je veux dire que vous ne nous connaissez pas moi, ou mon fils, et vous ne savez pas ce que nous avons traversé. Alors arrêtez de juger. Mon fils s’en sort très bien et était tout à fait d’accord avec tout ça et m’a donné son accord pour que je poste la vidéo après que je lui en ai expliqué le but. A tous ceux qui nous soutiennent moi ou mon fils et ma décision d’essayer de sensibiliser d’autres toxicomanes, MERCI BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP (…) Je veux juste continuer à mener une vie normale. C’est ce que ma guérison m’a permis d’avoir. Une vie normale", conclut-il. 

    BFM.TV


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  • Un train reliant Granville (Manche) à Paris a percuté un bloc de béton déposé sur la voie, à hauteur de Nonancourt (Eure), sans faire de blessés, a indiqué jeudi la gendarmerie qui a ouvert une enquête.

    Les faits se sont produits mercredi en fin d'après-midi, près d'un passage à niveau. Le train Intercités n'a pu éviter le bloc de béton servant habituellement à l'évacuation d'eaux usées, qui avait été déposé sur la voie.

    Cette collision n'a pas fait de blessés mais a entraîné des retards de plusieurs dizaines de minutes dans les deux sens.

    Le train Granville-Paris, qui n'a pas subi de dommages importants, a pu repartir à petite vitesse.

    Un train Paris-Granville, qui circulait dans le sens inverse, a dû s'arrêter pour dégager des éléments disloqués du cube de béton. Cela a entraîné pour ses passagers un retard de 20 mn sur l'horaire habituel.

    Ce type d'incident n'est pas le premier dans l'Eure. Le 15 septembre dernier, dans le même secteur et à proximité d'un pont, des grosses pierres avaient été disposées sur les voies de cette même ligne.

    Dans le même département, mais sur la ligne Paris-Deauville, un train avait été caillassé au niveau de la gare de La Bonneville-sur-Iton, à quelques kilomètres d'Évreux. Deux vitres avaient volé en éclats, sans faire de blessé.

    Les gendarmes de Nonancourt ont ouvert une enquête pour dépôt d'objets pouvant entraver la circulation des trains. Un délit passible de 6 mois de prison et 3.750 € d'amende.

    La semaine dernière, un train Intercités reliant Alençon au Mans avait lui failli percuter des plaques de caniveau en béton et des planches en bois posées sur la voie, sans faire de blessé.

    "Pour nous, il s'agit d'un acte de malveillance", avait déclaré à l'AFP un responsable de la communication de la SNCF des Pays-de-la-Loire. Selon lui, trois ou quatre jeunes ont été aperçus à proximité du lieu de l'incident. "On observe des actes de malveillance de cette nature plus fréquemment pendant les vacances scolaires", avait indiqué de son côté un responsable de la communication du groupe au niveau national.

    AFP

    Peut-être des "sauvageons" !


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