• Ce n'est pas la première fois qu'une personne se fait avoir par une arnaque de ce genre mais le profil de la victime rend cette mésaventure particulière. En effet, il s'agit d'une femme de 75 ans, veuve de gendarme, qui habite à Tonneins, dans le Lot-et-Garonne. À cause de cette escroquerie, la septuagénaire a perdu plusieurs dizaines de milliers d'euros.

    "Elle avait des sentiments pour lui"

    La victime rencontre donc cet inconnu sur les réseaux sociaux et débute une relation à distance avec lui. Dans des propos recueillis par France 3 Nouvelle-Aquitaine, Frédéric Bonte, le commandant de la compagnie de gendarmerie de Marmande, affirme que la femme de 75 ans "pensait avoir trouvé l'âme sœur via internet".

    "Elle avait des sentiments pour lui et elle a accepté de lui envoyer de l'argent."

    L'escroc prétextait avoir besoin d'argent et la septuagénaire n'a pas hésité à faire un emprunt de presque 100.000 euros pour lui venir en aide. Pourtant, elle ne l'avait jamais rencontré. L'inconnu a disparu avec l'argent, laissant la pauvre victime dans une situation inconfortable, avec un prêt énorme à rembourser avec comme seul revenu sa pension de retraite.

    "Elle s'est retrouvée à manger pour seul repas 2 biscottes par jour"

    Le cauchemar a continué un moment pour la retraitée, qui n'en a pas parlé tout de suite et a même pensé au pire. Frédéric Bonte explique "qu'elle s'est retrouvée à manger pour seul repas 2 biscottes par jour et envisageait le pire pour mettre un terme à ses souffrances". Une proche a ensuite donné l'alerte, révélant qu'elle était "ruinée, sans ressource et rongée par le remord". La victime a été prise en charge par une assistante sociale et reçoit des paniers repas.

    Une enquête a été ouverte mais difficile de retrouver l'arnaqueur car les informations que possèdent la victime sont toutes fausses. Et même si le malfaiteur est retrouvé, s'il est à l'étranger, il sera difficile de le juger. Une situation complexe et malheureusement plutôt courante. Quand une personne que vous ne connaissez pas, méfiez-vous, même si vous avez établi une vraie relation de confiance.

    Gent Side

    Il fallait vraiment qu'elle soit stupide pour croire un mec qu'elle ne connaissait pas !


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  • Accusée d’avoir tué son fils et d’avoir caché son corps sous une pile  de vêtements

    Une mère est accusée d’avoir tué son fils de 19 ans et d’avoir caché son corps sous une pile de vêtements, durant deux mois, dans sa chambre.

    Dominic Allen était porté disparu depuis septembre lorsqu’il a été découvert deux mois plus tard. Le cadavre du jeune homme de 19 ans, qui habitait avec sa mère et son beau-père à Cincinnati, a été retrouvé dans sa propre chambre, sous une pile de vêtements, fermant ensuite la porte à clef. Kenya Stallworth, 39 ans, la mère du garçon, a été inculpée pour meurtre mardi. Elle est accusée de l’avoir tué et d’avoir ensuite caché le cadavre. La police a confirmé son implication grâce à des analyses ADN, rapporte FOX19.

     

    La mère et son mari – qui n’est pas le père de la victime – ont été arrêtés en décembre, après que le corps a été trouvé et avaient été aussitôt mis en examen pour dissimulation de preuves et atteinte à un cadavre.

    D’après Marcus Allen, le père de Dominic, son fils aurait été torturé. «La première chose qui m'est venue à l'esprit c’est : Qu'est-ce qui vous passait par la tête quand vous avez fait ce que vous avez fait? Que s’est-il passé lorsque vous ne l’avez pas juste caché sous une pile de vêtements sales mais l’avez scellé dans sa propre chambre? Vous n’avez pas juste volé la vie mon enfant. Vous avez emporté le cadeau que Dieu m'a donné. Vous avez emmené le meilleur ami de ma fille. Vous avez emmené le neveu de tous mes frères et sœurs. Vous l'avez tous enlevé à toutes les personnes qui l'aimaient… et pour quoi?», a-t-il commenté. Il a ajouté que son fils «adorait aider les autres, il était merveilleux et heureux. J’étais fier d’être son père». La prochaine audience de Kenya Stallworth devant le juge est prévue le 28 avril prochain.

    Paris Match


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  • L’homme qui a été exécuté à Paris dans le XVIe arrondissement ce lundi était bien connu des services de police et de justice. Hamza D. allait avoir 34 ans ce vendredi.

    Le tueur ne lui a laissé aucune chance. Il a fait feu à plusieurs reprises sur sa victime, notamment au niveau de la tête, après qu’elle se soit effondrée au sol. Un assassinat qui s’est produit vers 13h40, dans la rue Michel-Ange, devant l’hôpital Henry-Dunant. L’auteur a pris la fuite à pied puis sur un scooter de type Xmax sans plaque d’immatriculation, sur lequel un complice l’attendait. Il est toujours en fuite ce mardi.

    La piste d’un règlement de comptes ne fait que peu de doute. Selon nos informations, le défunt, Hamza D., 33 ans, né aux Comores et originaire de Vitrolles (Bouches-du-Rhône), était bien connu des services de police et de justice. Son nom apparaissait dans l’affaire du meurtre de Saufiane Hammami, 36 ans, sur le parking de la discothèque « Le Hot Brass », à Aix-en-Provence, le 2 novembre 2014. Il était accusé d’avoir trainé et tué la victime en utilisant une Audi A3.

    Interpellé en Espagne puis mis hors de cause

    Après trois ans de cavale, Hamza D. avait été interpellé en Espagne en octobre 2017 alors qu’il était visé par un mandat d’arrêt international. Il avait alors été placé en détention provisoire aux Baumettes, à Marseille. Plus tard, le suspect a finalement été mis hors de cause puis remis en liberté précise une source proche de l’enquête. Les autres personnes présentes au moment du drame ont écarté sa responsabilité dans cette affaire.

    Hamza D. aurait également été impliqué dans une affaire d’assassinat en 2011. Ce lundi, une source proche du dossier citée par plusieurs quotidiens avait indiqué qu’il était « très connu, notamment pour meurtre en bande organisée, trafic de stupéfiants et association de malfaiteurs ».

    « Une balle perdue »

    Une femme de 33 ans a également été grièvement blessée lors des coups de feu ce lundi. Cette agente de sécurité a été transportée à l’hôpital en état d’urgence absolue. Son pronostic vital était toujours engagé en fin de journée. Elle aurait été victime d’une balle perdue a expliqué Francis Spizner, le maire du XVIe arrondissement de Paris. Cette femme n’aurait aucun lien avec le défunt.

    L’enquête ouverte des chefs d’assassinat et tentative d’assassinat a été confiée à la brigade criminelle de la Direction régionale de la police judiciaire (DRPJ).

    ACTU 17


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  • Drôme : Quatre CRS sauvent un automobiliste de sa voiture en feu sur l’autoroute A7

    Les policiers ont été témoins d’un accident de la route sur l’autoroute A7 ce lundi matin et sont rapidement intervenus pour extraire le conducteur, juste avant que son véhicule ne s’embrase entièrement.

    Le pneu d’un poids lourd s’est retrouvé sur les voies de l’autoroute A7 à hauteur de l’échangeur de Loriol-sur-Drôme, au sud de Valence, ce lundi matin vers 09h45. Les automobilistes sont parvenus à l’éviter mais un conducteur ne l’a pas vu explique Le Dauphiné.

    Avec le choc, ce dernier a perdu le contrôle de son véhicule qui est parti en tonneau, avant de s’immobiliser sur ses roues. Un équipage de CRS qui arrivait au même moment a vite porté secours à ce jeune homme.

    La victime transportée à l’hôpital

    De la fumée commençait à s’échapper de la voiture qui prenait feu. Les quatre policiers ont rapidement extrait le conducteur de son véhicule et l’ont sauvé.

    La victime a ensuite été prise en charge par les sapeurs-pompiers, qui ont également éteint l’incendie. Le jeune homme n’est que légèrement blessé et a été amené à l’hôpital de Valence pour y subir des examens.

    ACTU 17


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  • Dans la nuit du lundi 12 au mardi 13 avril 2021, alors qu’il participait à une fête interdite en raison du couvre-feu, un jeune homme d’une vingtaine d’années, originaire du pays de Quimperlé, a fait une chute de 15 mètres d’une falaise en bord de mer, à Moëlan-sur-Mer (Finistère). Il est très sérieusement blessé.

    Les faits se sont déroulés dans le secteur de Port-Baly, en bord de mer, dans la commune de Moëlan-sur-Mer (Finistère), vers 2 h 30 du matin, dans la nuit du lundi 12 au mardi 13 avril 2021.

    Un jeune homme d’une petite vingtaine d’années, demeurant dans le pays de Quimperlé, participait, avec une vingtaine de personnes, à une fête interdite en raison d’un couvre-feu actuellement en vigueur. Le jeune garçon serait parti récupérer un ballon. Ne le voyant pas revenir au bout de quelques minutes, ses camarades sont partis à sa recherche.

    Ses camarades donnent l’alerte

    Ils l’ont découvert quinze mètres plus bas, sur les rochers, après une chute accidentelle. Quatre d’entre eux ont aussitôt donné l’alerte et sont restés sur place à attendre les secours. Les autres ont pris la poudre d’escampette.

    Les pompiers de Moëlan-sur-Mer, les pompiers spécialisés en secours aquatique de Moëlan-sur-Mer, Quimperlé et Concarneau avec deux embarcations, le SMUR et les gendarmes de la communauté de brigades de Moëlan-sur-Mer et Pont-Aven se sont rendus sur place. La vedette de la SNSM de Doëlan, à Clohars-Carnoët, a également été engagée.

    Polytraumatisé

    Les secours ont réussi à récupérer le garçon polytraumatisé et en état d’hypothermie. Et ils l’ont conduit, par la mer, au port de Merrien, à Moëlan-sur-Mer.

    Là, l’hélicoptère de Dragon 29 de la Sécurité civile les attendait. Il a pris en charge le blessé, pour le transférer immédiatement à l’hôpital de La Cavale-Blanche, à Brest. En état d’urgence absolue.

    À noter que les quatre jeunes présents ont été verbalisés, pour non-respect du couvre-feu.

    Ouest-France


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  • Les douaniers du Perthus, à la frontière franco-espagnole, ont saisi 390.000 euros mardi 13 avril, ainsi que sept chargeurs pour armes. Tout ceci était caché dans des chaussettes, a fait savoir Bercy.

    La cachette n'était pas si ingénieuse. Près de 390.000 euros dissimulés dans des grandes chaussettes et sept chargeurs pour armes à feu ont été saisis par les douaniers du Perthus, à la frontière franco-espagnole, a annoncé mardi 13 avril le ministère de l'Economie.

    "L’enquête en flagrance confiée au service d’enquêtes judiciaires des finances (SEJF) a permis d’établir le lien entre cette découverte et un réseau criminel organisé de blanchiment du produit d'infractions diverses", précise le communiqué du ministère.

    Mardi 13 avril, peu avant 10h00, c'est sur l'aire du Boulou, sur l'A9, en direction de l'Espagne, que les douaniers du Perthus (Pyrénées-Orientales) ont contrôlé un fourgon immatriculé en Allemagne.

    59,5 millions d'euros saisis en 2020

    Grâce à un chien dressé pour détecter les stupéfiants, ils ont découvert une double paroi dans laquelle étaient cachés l'argent et les chargeurs. Le conducteur du fourgon a été placé "en détention provisoire dans l’attente de sa comparution prévue le 3 mai", précise le ministère. Sa nationalité n'a pas été précisée.

    Le ministre délégué chargé des Comptes publics, Olivier Dussopt, s'est félicité de l'opération, rappelant qu'en 2020, "les douaniers français ont intercepté 59,5 millions d'euros pour manquement à l'obligation déclarative et blanchiment".

    En novembre 2020, 1,4 tonne de cannabis avait été saisie par les douaniers du Perthus à la frontière franco-espagnole.

    Capital


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  • Alerte enlèvement : Mia, fillette de 8 ans, a été enlevée dans les Vosges

    Le dispositif Alerte enlèvement a été déclenché mardi pour une petite fille de huit ans, enlevée par trois hommes alors qu'elle était chez sa grand-mère dans les Vosges, ont indiqué la gendarmerie et le procureur de la République d'Epinal.

    "Mia Montemaggi, fillette de 8 ans, de type européen, mesur(e) 1m30, yeux bruns, cheveux longs et bruns avec une frange", détaille l'alerte.

    Elle est "porteuse de petites boucles d'oreilles en or avec un dessin rouge, habillée d'un pantalon noir, d'un t-shirt, d'un gilet gris zippé avec des points dorés, d'une doudoune blanche avec des pois noirs et doublure en fourrure blanche".

    La petite fille "a été enlevée à Les Poulières (Vosges) le 13 avril 2021 vers 11h30 par trois hommes de type européen, deux âgés entre 25 et 35 ans, dont l'un serait porteur d'un tatouage en forme de croix au niveau du cou, et un troisième âgé de 45 à 50 ans", poursuit le texte diffusé.

    Ces hommes "sont susceptibles de circuler à bord d'un véhicule Volkswagen de type transporter gris anthracite", ajoute-t-il.

    "La fillette a été enlevée alors qu'elle était confiée à sa grand-mère maternelle désignée tiers de confiance par le juge des enfants", a précisé à l'AFP le procureur de la République d'Epinal Nicolas Heitz qui prévoit de tenir une conférence de presse mercredi.

    La petite Mia "pourrait être accompagnée de sa mère Lola Montemaggi qui n'a pas le droit de la voir seule, âgée de 28 ans, 1m70, très mince, cheveux châtains clairs mi-longs, deux tatouages +étoiles+ à l'intérieur d'un poignet", ajoute le texte de l'alerte enlèvement.

    Cette femme pourrait circuler "à bord d'un véhicule Peugeot 207 noir, immatriculé BZ 370 GZ".

    Si l'enfant était localisée, la gendarmerie conseille de ne pas intervenir soi-même mais d'appeler immédiatement le 0 800 36 32 68 ou d'envoyer un courriel à alerte-enlevement@gendarmerie.interieur.gouv.fr

    La section de recherche de Nancy et la brigade de recherche de Saint-Dié sont chargés de l'enquête, a indiqué M. Heitz.

    Le plan "Alerte enlèvement" est un dispositif d'alerte massive et immédiate déployé pour aider à la recherche d'un enfant présumé enlevé. Il est largement inspiré du plan "Amber Alert", créé au Texas en 1996, après l'enlèvement et l'assassinat de la petite Amber Hagerman.

    Adopté en France en février 2006, il consiste à lancer une alerte massive en cas de rapt d'enfant mineur pour mobiliser la population dans la recherche de l'enfant et de son ravisseur.

    Il n'est activé que si plusieurs critères sont réunis: il faut un enlèvement avéré et pas une simple disparition, la victime doit être mineure, son intégrité physique ou sa vie doivent être en danger et des éléments d'information doivent permettre de la localiser.

    Sa précédente activation remonte à février 2020 pour Vanille, une petite fille de 1 an, enlevée à Angers. La fillette avait été retrouvée morte le lendemain dans une benne à vêtements et sa mère, qui souffrait de troubles psychiatriques, avait reconnu avoir tué son enfant.

    Paris Match

    J'ai déjà vu deux fois l'annonce de cet enlèvement à la télé


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  •  L’agression s’est produite dimanche après-midi à Blagnac. Un enfant dans une poussette a été retrouvé près de la victime. Cette dernière a été conduite à l’hôpital dans un état très grave

    Que s’est-il passé dimanche après-midi, rue des Saules à Blagnac, dans la banlieue de Toulouse ? Vers 16 heures, les secours, prévenus par des passants, ont retrouvé une jeune femme – « d’environ 25 ans » selon les pompiers – gisant par terre et présentant plusieurs plaies profondes à l'arme blanche. Elle a été transportée dans un état très grave au CHU de Purpan.

    Le drame s’est produit sous les yeux d’un enfant que la victime promenait dans sa poussette. Ce dernier a été confié aux services sociaux.

    Drame familial ? Règlement de comptes ? Agression gratuite ? Y avait-il un plusieurs auteurs ? Le parquet a confié les investigations aux enquêteurs de la police judiciaire. De source policière, la victime n’avait pas encore pu être interrogée ce lundi matin. Et aucune interpellation n’était intervenue à ce stade.

    20 Minutes


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  • Vendredi 9 avril 2021, nos confrères de L'Est Républicain ont révélé d'un habitant de Tours avait traversé la France pour se venger d'un arnaqueur dont il avait été victime, suite à l'achat d'un ordinateur. Une histoire qui les a conduit tous les deux face à la justice...

    Une arnaque qui tourne au règlement de comptes... En avril 2020, un homme habitant à Tours achète un ordinateur sur le site de ventes de particuliers à particuliers, Leboncoin. Il le paie un peu plus de mille euros et s'entend avec le marchand pour le recevoir par la poste. Mais voilà, l'ordinateur n'arrive jamais. Le vendeur vivant à Scey-sur-Saône (Haute-Saône) prétexte dans un premier temps un problème de taille du colis proposé par les services postiers, comme le rapportent nos confrères de L’Est Républicain, vendredi 9 avril 2021.

    Les semaines passant, le vendeur explique finalement à l'acheteur que la machine est cassée et nécessite des réparations. Des informations qu'il n'avait pas mises à disposition de l'acheteur avant la vente. Quelques jours plus tard, l'acheteur a eu la confirmation que cette vente avait en fait été une arnaque quand il a vu réapparaître l'annonce du vendeur pour l'ordinateur... Très contrarié, l'acheteur a tenté de se faire aider par des avocats et des associations. Mais il ne décolérait pas et a décidé de se rendre directement chez le vendeur le 25 mai 2020. "Il voulait trouver une solution à l’amiable", assure son avocat, Me Glaive.

    Trois mois de prison ferme

    L'arnaqueur n'a pas été difficile à retrouver. Vivant dans un village de 200 habitants, son domicile a été vite repéré par l'acheteur en colère, qui s'est introduit chez lui en cassant une vitre. Ce dernier a retrouvé l'ordinateur qu'il avait acheté, mais en a aussi profité pour partir avec une tablette numérique et le chéquier de l'arnaqueur. Si l'arnaqueur n'en était pas à son coup d'essai, l'acheteur n'était pas un habitué des services de police. Le premier a ainsi été condamné à trois mois de prison ferme, et l'acheteur à quatre mois de prison avec sursis. Une histoire qui pourrait rappeler à plus d'un qu'il faut parfois faire attention aux bonnes affaires...

    Femme actuelle


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  • À Rivarolo Canavese, une commune de Turin, en Italie, un homme de 83 ans a tiré sur sa femme, son fils handicapé et un couple de personnes âgées, propriétaires de son appartement. Il a ensuite tenté de mettre fin à ses jours. Son pronostic vital est engagé.

    C’est la fille du couple de victimes qui a donné l’alerte

    Renzo Tarabella, 83 ans, a utilisé une arme à feu pour mettre fin aux jours de Rosaria Valovatto, sa femme âgée de 79 ans, de son fils Wilson, 51 ans, et de ses voisins, également propriétaires de l’appartement dans lequel il vivait, Osvaldo Dighera, 74 ans et sa femme Liliana Heidempergher, 70 ans. Les victimes ont été tuées dans la nuit de samedi à dimanche et c’est la fille du couple de propriétaires qui a donné l’alerte. Cette dernière, qui habite l’immeuble en face de celui de ses parents, n’arrivait pas à les joindre au téléphone. Elle a alors traversé la rue pour aller sonner chez eux et s’assurer qu’ils allaient bien. Face à l’absence de réponse, elle a appelé, inquiète, les carabiniers.

    Un geste inexpliqué

    Ils se sont rendus sur les lieux et ont compris que quelque chose se tramait quand ils ont sonné à l’interphone de Renzo Tarabella, pour savoir s’il avait des nouvelles de ses voisins, et que l’homme de 83 ans a cessé de répondre. Les carabiniers ont tenté de rentrer par la fenêtre de son appartement et c’est en les voyant que l’homme s’est tiré une balle, se blessant grièvement. Ils ont alors découvert les quatre cadavres sans comprendre pour autant ce qui avait pu conduire à ce terrible geste. Alberto Rostagno, le maire de la ville a parlé d’ « un événement dramatique auquel personne ne pouvait s’attendre ». L’enquête est en cours.

    Public


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  • Les arnaques à la vaccination se multiplient en France. La cible des escrocs : des personnes âgées ou vulnérables.

    Depuis le lancement de la campagne de vaccination contre le Covid-19 en France, les arnaques se multiplient. Alors que la prise de rendez-vous peut s'avérer fastidieuse, en raison du manque de doses, des personnes malveillantes ont mis en place plusieurs types d'escroqueries. Des pièges dans lesquels sont tombées plusieurs personnes âgées, cibles préférées des arnaqueurs. L'une d'elles, originaire du Doubs, en a fait les frais, comme le relatait L'Est Républicain, le 9 avril dernier. "J’étais tellement pressée de me faire vacciner que je ne me suis pas méfiée", reconnaît l'octogénaire.

     

    Tout a commencé par un coup de téléphone, lui indiquant que son rendez-vous pour une première dose de vaccin était fixé. "Aussi m’invite-t-elle à raccrocher et à rappeler immédiatement un numéro à 12 chiffres et à demander un certain Monsieur Bernard. Elle me presse d’ailleurs de le faire à l’instant, au prétexte qu’il y a beaucoup de monde en attente pour les prises de rendez-vous. Je suis tombée dans le panneau tête baissée", explique l'habitante d’Arcey (Doubs), dans les colonnes du quotidien régional.

    L'octogénaire se presse alors de composer ce numéro à 12 chiffres et tombe sur le soi-disant Monsieur Bertrand en question, qui dispose de son identité, ainsi que de sa date de naissance. "Comment ? Je n’en sais rien. Toujours est-il qu’il me met en attente. Sous aucun prétexte, me dit-il, je ne dois raccrocher. Une minute passe, puis deux, puis trois", poursuit-elle. Flairant finalement l'escroquerie, l'octogénaire finit par raccrocher. Après quelques recherches, son petit-fils a découvert que l'appel provenait du Guatemala. Prix de la communication : 14 euros.

    Mais cette octogénaire n'est pas la première à tomber dans le panneau. Depuis janvier dernier, les escrocs s'en donnent à cœur joie à coup de mails et appels frauduleux, ou même via du porte-à-porte. Comme le relate le Huffington Post, à Cesson-Sévigné, deux femmes se faisant passer comme membres d'une association pro-vaccin en ont profité pour s'introduire chez une dame âgée et lui dérober toutes ses économies. Du côté du ministère de la Santé, on assure néanmoins que ces arnaques restent, marginales" et qu'elles sont "sévèrement punies par la loi".

    Capital


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  • Alors qu’elle effectuait une palpation de sécurité sur une jeune femme à Périgueux, elle a été agrippée au niveau du cou par le petit ami de celle-ci

    Samedi 10 avril aux alentours de 21 heures, les policiers de Périgueux (Dordogne) ont été appelés par des riverains de la rue Cronstadt, près de l’église Saint-Martin, à cause d’une soirée en appartement un peu trop bruyante.

    Sur place, une quinzaine de jeunes, nés entre 1999 et 2002, faisaient la fête. Effectuant une palpation de sécurité sur la locataire des lieux, une policière a eu la surprise d’être étranglée par un homme de 20 ans.

    Alcool et drogue

    L’agresseur s’est révélé être le petit ami de l’organisatrice de la soirée. Il avait 1 gramme d’alcool dans le sang lorsqu’il a saisi la représentante de l’ordre par le cou. Selon les policiers présents, ils n’auraient desserré son étreinte que sous la contrainte et après leur intervention physique. Sur lui, ils ont retrouvé du cannabis et de la cocaïne.

    La fonctionnaire, choquée, s’est vu prescrire six jours d’incapacité totale de travail (ITT). Ce dimanche 11 avril, un médecin lui a enjoint d’aller passer une IRM. Le jeune homme avait tellement serré que des hématomes étaient bien visibles. La quinzaine de jeunes présents sur place feront l’objet d’une amende pour non-respect des mesures de confinement.

    Sud-Ouest


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  • Un homme et une femme ont été visés par des coups de feu dans le XVIe arrondissement de Paris ce lundi à la mi-journée. L’une des victimes est décédée. Les auteurs sont en fuite.

    Un homme a été tué de plusieurs balles au niveau de la tête ce lundi vers 13h40, à hauteur du 98 rue Michel-Ange à Paris (XVIe) selon nos informations. Une seconde victime est très grièvement blessée. Il s’agit d’une femme qui accompagnait le défunt. Elle a été prise en charge par les secours alors qu’elle était en arrêt cardio-respiratoire. Son pronostic vital est engagé.

    Les faits se sont produits devant l’hôpital Henry Dunant qui accueille un centre de vaccination contre la Covid-19. La victime qui est dans un état grave, est une agent de sécurité de cet établissement privé appartenant à la Croix-Rouge française.

    Deux individus en fuite

    Le tireur a pris la fuite avec un complice, sur un deux-roues de type XMax. L’auteur aurait fait feu avec une arme longue, toujours selon nos informations. La police a mis un large périmètre de sécurité en place.

    Les policiers du 1er District de police judiciaire (DPJ) ont été saisis de l’enquête.

    ACTU 17


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  • Une jeune femme a été victime d’une agression particulièrement violente en pleine rue, à Blagnac, près de Toulouse (Haute-Garonne) ce dimanche après-midi. Elle est dans un état grave.

    Elle se promenait avec son enfant âgé de 3 ans dans une poussette, lorsqu’elle a été attaquée. Une jeune femme de 25 ans a été poignardée à trois reprises vers 16 heures, à proximité de la rue des Saules à Blagnac, rapporte La Dépêche. Elle s’est effondrée et des passants ont donné l’alerte.

    Lorsque les sapeurs-pompiers ont pris en charge la victime grièvement blessée, ils ont constaté qu’elle présentait plusieurs plaies importantes, à l’abdomen, au dos ainsi qu’au niveau des cervicales.

    Évacuée en état d’urgence absolue

    La mère de famille a été transportée à l’hôpital Rangeuil à Toulouse, en état d’urgence absolue. Ses jours sont en danger. Son enfant a été confié à un service d’urgence du conseil départemental.

    Une enquête a été ouverte par le parquet de Toulouse qui a chargé la police judiciaire des investigations. Le ou les auteurs sont en fuite et on ne connait pas leurs motivations pour l’heure.

    ACTU 17


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  • Cinq jeunes individus ont été interpellés la semaine dernière à Saint-Cyr-l’École (Yvelines) par les policiers municipaux d’Élancourt. Ces derniers se trouvaient à bord d’un véhicule volé conduit par un adolescent de 14 ans.

    L’intervention a commencé par un refus d’obtempérer à Trappes. Une patrouille de la police municipale d’Élancourt, commune voisine, a aperçu un conducteur circulant à pleine vitesse à bord d’une Renault Twingo et lui a ordonné de s’arrêter relate Le Parisien. Le chauffard a pris de nombreux risques pour échapper aux policiers. Ce même véhicule – signalé volé – avait déjà commis un refus d’obtempérer dans le VIIIe arrondissement de Paris ainsi qu’à Fontenay-le-Fleury, les jours derniers.

    Une dizaine de kilomètres plus loin, le fuyard a perdu le contrôle de son véhicule, sur la commune de Saint-Cyr-l’École. Le conducteur et les quatre passagers ont alors été interpellés. Ils n’ont pas été blessés dans l’accident.

    Les fonctionnaires se sont rendu compte que le chauffard n’était âgé que de 14 ans. En outre, il avait consommé du cannabis (en plus de conduire sans permis). Cette Twingo avait été signalée volée le 23 mars dernier à Maurepas. Lors de leur garde à vue, aucun des cinq suspects n’a donné de précision sur ce vol.

    Quatre des cinq interpellés, âgés de 15 et 16 ans, ont été présentés à un juge des enfants pour être mis en examen, avant d’être laissés libres sous contrôle judiciaire. Le chauffard a quant à lui été placé dans un centre éducatif fermé.

    Un autre chauffard quelques jours plus tôt

    Deux motards de cette même police municipale avaient essuyé un autre refus d’obtempérer quelques jours auparavant, à Guyancourt, racontent nos confrères. L’automobiliste de 21 ans avait accéléré avant de perdre le contrôle de son véhicule et de percuter un poteau. Il avait finalement pris la fuite à pied après s’être débarrassé d’un sachet de cannabis.

    L’homme s’est finalement présenté au commissariat le 30 mars. Jugé dans le cadre d’une comparution immédiate, il a écopé d’une peine de 16 mois de prison ferme et a été écroué à l’issue de l’audience.

    ACTU 17


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  • Une adolescente de 13 ans et son père ont été violemment agressés par deux mineurs en situation irrégulière sur le territoire français ce jeudi après-midi à Mions, dans la métropole de Lyon (Rhône). La jeune fille a reçu des coups, elle est blessée.

    L’agression a eu lieu route de Corbas à Mions. Deux mineurs s’en sont violemment pris à une adolescente de 13 ans pour lui voler son téléphone rapporte Le Progrès. La victime a résisté et a alors été frappée à coups de poing puis avec un scalpel a précisé son père, à nos confrères.

    L’adolescente a alerté ses parents, puis son père a été agressé à son tour. Il affirme avoir reçu des coups de poing et des coups de pied au visage et aux jambes. L’homme explique au Progrès qu’il a aussi reçu un coup de scalpel au niveau du ventre et qu’il a « une entaille de 10 cm ».

    Interpellés par les policiers municipaux

    La mère de famille a dans le même temps prévenu la police et les secours. Les policiers municipaux se sont rapidement déplacés. Les deux agresseurs ont tenté de s’enfuir mais ont été rattrapés et interpellés. Les deux victimes ont été amenées à l’hôpital. La jeune fille s’est vu attribuer 5 jours d’Incapacité totale de travail (ITT).

    Les deux mineurs en situation irrégulière ont été placés en garde à vue dans les locaux de la brigade territoriale de Mions. Le scalpel qu’ils ont utilisé a été retrouvé sur le lieu de l’agression.

    Sur Facebook, le maire de Mions Mickael Paccaud a félicité les policiers municipaux pour leur intervention qui a conduit à cette double interpellation en flagrant délit. « Je souhaite un prompt rétablissement aux deux victimes prises en charge rapidement par les sapeurs-pompiers », écrit l’édile. « Je salue le grand professionnalisme, la qualité et la rapidité d’intervention de nos forces de sécurité ».

     

    ACTU 17

    Hélas, ces deux jeunes seront vite remis en liberté et pourront continuer leurs "conneries" 


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  • La gendarmerie nationale a saisi onze armes à feu et 214 000 euros. Au total, huit personnes ont été mises en examen.

    La gendarmerie nationale annonce ce samedi avoir démantelé "une équipe spécialisée dans le trafic d'armes et de matériels balistiques". A l'issue de trois ans d'enquête dans le Rhône, les enquêteurs ont notamment saisi 214 000 euros, onze armes à feu, des milliers de munitions et des gilets pare-balle, dont certains étaient siglés "Police".

    Huit personnes mises en examen

    L'enquête, menée par la Section de recherches de Lyon, a débuté fin 2018, précise la gendarmerie. Au total, huit personnes ont été mises en examen, dont cinq ont été incarcérées.

    A la suite de l'ouverture d'une information judiciaire en mai 2019, cinq personnes ont d'abord été interpellées le 25 janvier 2020. Trois ont été mises en examen et deux incarcérées. Puis, le 30 juin 2020, six individus assurant des fonctions de "logisticiens" au sein de ce réseau ont été interpellés. Trois ont été mis en examen et deux écroués. Enfin, le 30 mars dernier, trois personnes ont été interpellées, précise la gendarmerie.

    franceinfo


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  • Atteint d'une grave maladie cardiaque, un Espagnol était sur le point d'assister à la naissance de son premier enfant quand un cœur s'est révélé disponible et lui a été greffé pendant que sa femme accouchait, a annoncé vendredi un hôpital de Madrid.

    "Quand je suis entré en chirurgie, je n'étais pas encore père. J'ai parlé à ma femme par appel vidéo et nous nous sommes tous deux souhaité bonne chance. Quand je me suis réveillé, j'étais doublement satisfait", a témoigné Antonio Salvador, 39 ans, cité dans un communiqué de l'hôpital Gregorio Marañón où il a été opéré mi-mars.

    Atteint d'une insuffisance cardiaque héréditaire, "la greffe était l'unique solution" pour ce patient, a expliqué l'hôpital.

    "J'ai pris quelques minutes pour prendre la décision car cela signifiait manquer la naissance de mon premier enfant", a ajouté Antonio.

    Pour sa femme Ana María González, âgée de 44 ans, ce fut un énorme soulagement. 

    "Je n'arrivais pas à croire qu'après 10 ans" d'attente pour avoir un enfant, "nous allions recevoir la chose la plus merveilleuse de notre vie, au moment même où Antonio recevait la vie dont il avait besoin. Notre fils Samuel est venu avec un cœur sous le bras pour son père", a-t-elle raconté.

    Victime d'un arrêt cardiaque en 2002 en sortant du métro à Madrid, Antonio avait été réanimé par une infirmière du même hôpital. 

    "Désormais, il pourra mener une vie relativement normale", a assuré son cardiologue, le Dr Eduardo Zatarain.

    Depuis 2002, Antonio estimait avoir "deux anniversaires", celui de sa naissance et celui de sa réanimation, car "ils m'ont sauvé la vie ce jour-là".

    Avec "la transplantation cardiaque et la naissance de mon fils le même jour, nous allons célébrer trois anniversaires", s'est-il réjoui.

    AFP


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  • Trois mineurs ont été interpellés à Lormont, dans la banlieue de Bordeaux (Gironde), après des violences envers les policiers ce jeudi. Un enfant de 8 ans a également été blessé.

    La présence des policiers de la brigade anticriminalité (BAC) n’était pas au goût de tout le monde. Vers 16h30 ce jeudi alors qu’ils étaient en patrouille, ils ont été la cible de jets de projectiles de la part de trois adolescents, dans le quartier Genicart à Lormont, au niveau de la rue Michel-de-Montaigne.

    Une opération de sécurisation a été mise en place dans le quartier, peu après, avec le renfort d’une section de CRS. Cette fois, les forces de l’ordre ont fait face à une vingtaine d’individus hostiles, en majorité des mineurs, qui leur ont jeté des pierres. Les fonctionnaires ont riposté par deux tirs de LBD ainsi qu’en utilisant une dizaine de grenades lacrymogènes.

    Les trois adolescents à l’origine des premiers projectiles ont pu être interpellés. Ils ont été placés en garde à vue. Durant les violences, un enfant âgé de 8 ans a été légèrement blessé par une pierre qu’il a reçu au niveau du thorax. Pris en charge par les secours, il a été transporté à l’hôpital où il n’a pas été admis. Sa mère envisage de déposer plainte.

    « Les jeunes deviennent de plus en plus violents »

    Il n’y a pas de blessé à déplorer du côté de la police. « On fait de gros efforts sur la lutte contre les stupéfiants, on gêne le business et les jeunes deviennent de plus en plus violents », réagit Bruno Vincendon, délégué du syndicat Alternative police, à France 3.

    Ce dernier réclame des effectifs de police supplémentaires. En janvier dernier, la Brigade spécialisée de terrain (BST) de Cenon, une commune voisine, qui était constituée de 15 policiers, a été supprimée puis remplacée par une Brigade anticriminalité (BAC) de 10 fonctionnaires. « C’est pas assez, mes collègues interviennent sur du trafic de stupéfiants sans aucun soutien. Ils sont tout seuls », constate le syndicaliste.

    Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé il y a une quinzaine de jours le renfort de 140 policiers à Bordeaux, dont 70 à la rentrée de septembre puis 70 autres en avril 2022.

    ACTU 17

    Ces jeunes trafiquants de drogue devraient mis en prison quelques années !


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