• Une instagrameuse tombe d’une falaise en faisant un selfie

    Mannequin britannique de profession et influenceuse sur Instagram, Madalyn Davis, 21 ans, est morte en tombant d’une falaise près de Sydney en Australie.

    Selon la police locale, elle a fait une chute de trente mètres dans la réserve de Diamond Bay, vers 6h30 du matin, alors qu’elle voulait profiter d’un lever de soleil pour faire un selfie.

    D’après le quotidien The Sun, Madalyn Davis avait la fête avec quelques amis le samedi soir. En fin de nuit, ils ont décidé de passer la clôture de sécurité pour s’asseoir au bord des rochers dans l’idée de profiter de l’aurore et de faire quelques photos. C’est alors que le drame s’est produit. Son corps n’a été retrouvé que quatre heures plus tard par la police maritime.

    Cette jeune mannequin était arrivé en Australie à la fin de l’année dernière de Lincoln, en Angleterre, et prévoyait de commencer une nouvelle vie en Australie. En août 2019, une autre femme de 27 ans est également décédée en posant pour une photo au même endroit.

    Les responsables locaux pensent sanctionner les visiteurs qui risquent leur vie à Diamond Bay pour une simple photo. La maire Paula Masselos a déclaré au Daily Telegraph australien que son conseil municipal était dévasté d’apprendre cette mort.

    metro


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  • Trois jeunes ont été retrouvés morts dimanche 12 janvier au soir dans une voiture tombée dans l'Arvan, au niveau d'un barrage de Saint-Jean-de-Maurienne en Savoie, rapporte lundi matin France Bleu Pays de Savoie.

    Ces trois jeunes étaient portés disparus depuis dimanche matin, après avoir passé la nuit en discothèque, selon la préfecture de Savoie.

    Vraisemblablement une sortie de route

    D'après le maire de Saint-Jean-de-Maurienne, Pierre-Marie Charvoz, interrogé par France Bleu, les trois jeunes ont entre 18 et 20 ans et sont originaires de la vallée de la Maurienne. "Ne les voyant pas revenir, les familles ont signalé leur disparition (...), relate le maire. En fin de journée, quelques indices ont permis de faire des recherches au niveau du barrage du Tilleret, notamment une barrière qui était enlevée". "À priori, c’est un membre d’une des familles qui a trouvé des indices auprès du barrage et qui a amené à pousser plus loin les investigations. On n’a pas encore les circonstances de l’accident mais il semblerait que ce soit une sortie de route", ajoute-t-il.

    Leur véhicule a été retrouvé immergée dans le barrage du Tilleret dans la soirée. Il a fallu plusieurs heures pour sortir les corps et la voiture de la rivière. L'intervention s'est terminée peu après 1 heure du matin.

    franceinfo


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  • Un bras qui s’agite, dépassant péniblement des herbes folles poussant dans le fossé. Et enfin, une voiture qui s’arrête. Dimanche matin, un homme victime d'un accident a été secouru après avoir passé sept heures dans un fossé dans le Finistère, rapporte Ouest-France.

    L’accident s’est produit dans la commune de Saint-Thurien, non loin de Quimperlé, dans la nuit de samedi à dimanche. La victime, un homme âgé d’une vingtaine d’années, avait perdu le contrôle de son véhicule quelques heures plus tôt, terminant sa course dans un petit ravin en contrebas de la route.

    Il rampe jusqu’à la route

    Blessé après avoir effectué plusieurs tonneaux, l’homme a réussi à s’extraire de son véhicule avant de remonter péniblement jusqu’au bord de route. Il est ensuite resté sur le bas-côté dans le froid et la pluie pendant sept heures, jusqu’à ce qu’un automobiliste le repère.

    Pris en charge par les pompiers et la Samu, le jeune automobiliste a été transporté à l’hôpital du Scorff à Lorient (Morbihan).

    20 Minutes


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  • Un homme de 25 ans a été mortellement blessé après avoir été atteint de plusieurs balles à Stains (Seine-Saint-Denis) dans la nuit de vendredi à samedi, a-t-on appris dimanche de sources concordantes, confirmant une information du Parisien.

    Vendredi, vers 02H00, une voiture est déposée devant la clinique de l'Estrée à Stains, explique une source proche de l'enquête à l'AFP. A l'intérieur, un homme blessé de plusieurs balles. Touché à six reprises, notamment de trois balles au thorax, il est mort quelques heures plus tard.

    Connu pour trafic de stupéfiants

    Originaire de Bobigny, il était connu pour trafic de stupéfiants. Une enquête a été ouverte pour "homicide volontaire" et confiée à la brigade criminelle de Paris, a indiqué le parquet de Bobigny. Aucune interpellation n'a eu lieu pour l'heure.

    Paris Match

    Un trafiquant de drogue en moins


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  • « Des actes inadmissibles. » Trois pompiers ont été agressés au couteau par une personne qu’ils venaient secourir dimanche matin dans la proche banlieue de Strasbourg (Bas-Rhin). L’un d’entre eux a été blessé, fait savoir le Sdis (service départemental d'incendie et de secours) du département sur son compte Twitter.

    « Vers 5 heures, les sapeurs-pompiers du Bas-Rhin sont appelés à Schiltigheim pour une personne ne répondant pas aux appels », avant d’être « agressés au couteau par l’individu » qu’ils étaient venus secourir et qui a tenté de les frapper à plusieurs reprises, blessant l’un d’entre eux au visage, relate le Sdis dans ce message.

    « Ces actes inadmissibles ne nous détournent pas de notre volonté de porter secours à nos concitoyens dans un esprit de bienveillance, mais en ayant la garantie indéfectible de pouvoir exercer notre profession dans des conditions optimales de sécurité », ajoute-t-il.

    Des plaintes déposées

    Le pompier blessé a été touché à la pommette et a dû être recousu, a expliqué le colonel Patrice Gerber, directeur départemental adjoint du Sdis, soulignant que ses deux collègues étaient également « psychologiquement très atteints » car tous trois avaient été poursuivis par cet homme armé d’un couteau et n’avaient « dû leur salut qu’à une porte ». Le service ainsi que les pompiers ont déposé plainte, selon le colonel Gerber.

    Cette agression s’est produite quelques jours après un début d’année mouvementé pour les pompiers du Bas-Rhin, pris pour cible lors des violences urbaines qui se sont produites lors du Nouvel An dans des quartiers sensibles de Strasbourg. Deux pompiers ont notamment été blessés à la suite d’un jet de projectile qui avait traversé une vitre de leur véhicule. Le Sdis avait alors dénoncé des « agressions violentes sans précédent » et de « véritables guet-apens ».

    L’agression de dimanche crée « de nouveau de l’émoi chez les sapeurs-pompiers » a réagi le président du conseil d’administration du Sdis, Thierry Carbiener. « On ne peut pas avoir tout le temps la police ou la gendarmerie avec nous quand on est sur du secours à personne, mais il va falloir se poser la question de la légitime défense des sapeurs-pompiers en intervention », a-t-il souligné.

    Le Parisien


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  • Lyon: ils filment la manifestation du 4e étage, un projectile explose à leur fenêtre

    À gauche le moment où le projectile frappe un étudiant, à droite le projectile après qu'il ait brûlé

    Lors de la mobilisation contre la réforme des retraites ce samedi après-midi à Lyon, des étudiants accoudés au quatrième étage d'un appartement observaient et filmaient la manifestation. Dans une vidéo de quatre secondes, devenue virale, on peut voir un objet, duquel s'échappe des étincelles, leur arriver droit dessus.

    "Une altercation a commencé entre des manifestants et des policiers, on était juste en train de la filmer et on a reçu une sorte de grenade lacrymogène qui est entrée dans l'appartement", raconte sur BFMTV Marie Caffin, étudiante, à l'origine de la vidéo.

    Emma, qui occupe le logement où la scène s'est déroulée, a raconté au Parisien que la scène s'est déroulée aux alentours de 15h30. Elle dit être encore sous le choc de cet événement: "Le truc a rebondi sur le bras de mon ami à la fenêtre et a fini sa course dans l'appartement. Il a eu de la chance il avait un gros pull qui a amorti le choc", raconte-t-elle, assurant tout de même avoir "reçu des éclats du projectile". Aucun d'entre eux n'a toutefois été blessé.

    "On a eu peur que ça crame"

    L'étudiante assure qu'elle et son groupe d'amis n'ont fait "aucun geste agressif" et observaient juste ce qui se passait sous leurs fenêtres. Une fois le projectile dans l'appartement, une fumée s'est répandue, obligeant le groupe à sortir, "on a eu peur que ça crame", raconte Emma.

    "On a réussi à récupérer [le projectile], après on a dû évacuer l'appartement parce qu'il était complètement enfumé de gaz lacrymogène et on avait les yeux qui pleuraient et la gorge qui brûlait", raconte également Marie sur BFMTV.

    Marie a ensuite posté sur son compte Twitter une photo de l'objet projeté au 4e étage, à l'aspect brûlé. Elle déclare également sur le réseau social avoir porté plainte, "l'enquête est en cours", écrit-elle. L'étudiante semble assez certaine que le projectile vient des forces de l'ordre: dans une vidéo, elle zoome sur un policier tirant en l'air, a priori dans sa direction.

    "Il n'y a pas assez d'éléments pour déterminer si c'est une grenade lacrymogène ou une fusée de détresse d'un manifestant, cela demande plus d'investigations", déclare au Parisien le service communication de la Direction Départementale de Sécurité Publique du Rhône, ajoutant qu'elles "sont en cours pour comprendre l'origine du tir".

    BFM.TV


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  • Dakar 2020: chute mortelle du motard portugais Paulo Gonçalves, «figure» du rallye

    Le motard portugais Paulo Gonçalves, 40 ans, est décédé dimanche lors de la 7e étape du rallye Dakar en Arabie saoudite après avoir été victime d'une chute, ont annoncé les organisateurs.

    Gonçalves, deuxième de l'édition 2015 et qui disputait son treizième Dakar, a chuté au km 276 de la spéciale. C'est le pilote australien Toby Price, tenant du titre, qui roulait derrière Gonçalves et qui a trouvé le pilote au sol, a précisé David Castera, le patron du Dakar. Le pilote était inconscient et en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée de l'équipe médicale missionnée sur place. Après une tentative de réanimation, il a été héliporté vers l'hôpital, où son décès a été constaté, ont précisé les organisateurs dans un communiqué.

    Le Portugais, sacré champion du monde de rallye tout terrain en 2013, avait effectué ses débuts sur le célèbre rallye en 2006 et avait terminé quatre fois dans le top 10.

    Après avoir cassé son moteur dans la troisième étape, il occupait la 46e place du classement général à l'issue de la sixième spéciale.

    « En moto, vous partez le matin la boule au ventre... »

    « Paulo était quelqu'un qui était là depuis bien longtemps, qu'on connaissait tous, qui était quand même une figure du rallye », a déclaré Castera. « Donc c'est des moments très difficiles ». Depuis la création du rallye, en 1979, 25 concurrents y ont trouvé la mort, dont 20 motards. Le dernier décès d'un pilote remontait à l'édition 2015 en Argentine.

     

    « On sait tous que la moto c'est dangereux », a déclaré Castera, interrogé sur les risques de la catégorie moto. « Vous partez le matin, vous avez la boule au ventre parfois parce qu'on n'a pas de protection, on a rien. Ils le savent tous ces pilotes-là », a ajouté le directeur du Dakar, qui a participé cinq fois à l'épreuve en moto. « En plus c'est un professionnel qui connaissait bien les risques. Ce sport-là est un sport dangereux et on le sait. »

    Gonçalves, pilote de l'écurie Hero, avait pu prendre le départ du Dakar cette année de justesse après avoir subi un accident qui lui avait causé une fracture de la rate en décembre dernier. « Pour moi, être au départ est déjà une victoire », avait-il déclaré.

    Le Parisien


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  • Les ouvriers chargés de l’entretien des espaces verts ont fait une macabre découverte, samedi matin. Alors qu’ils étaient chargés de détruire une grosse haie sur le parking de l’hôpital de Béziers (Hérault), ils ont trouvé un squelette d’humain.

    Selon les premiers éléments de l’enquête, il pourrait s’agir d’un ancien patient de l’établissement de santé.

    Pour Raphaël Balland, le procureur de la République de Béziers, les premiers examens réalisés sur les ossements par un médecin légiste de l’institut médico-légal de Montpellier ont permis « de faire un rapprochement hautement probable » avec un quinquagénaire disparu de l’hôpital depuis le 25 octobre 2018.

    L’homme, né en 1965, était parti du service de l’hôpital au petit matin où il était traité pour « une maladie grave ».

    Cette « fugue » avait aussitôt été signalée par l’établissement. Une enquête avait été ouverte pour disparition inquiétante. En juin 2019, les recherches étant infructueuses, le dossier avait été classé sans suite.

    Une nouvelle enquête a été ouverte samedi pour rechercher les causes du décès. Une autopsie est prévue mardi. « Elles permettront probablement de confirmer l’identité du défunt dans les prochains jours », ajoute le procureur.

    Le Parisien


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  • Après une nuit de recherche, trois kayakistes ont été retrouvés morts dans la nuit de samedi 11 à dimanche 12 janvier au Crotoy dans la baie de Somme, rapportent nos confrères de France Bleu Picardie.

    Les trois victimes sont deux hommes de 46 et 47 ans et une femme de 58 ans. Un adolescent de 15 ans a été retrouvé, dans le même secteur, en état d'hypothermie, à minuit. Il a été hospitalisé à Abbeville. Selon le témoignage du jeune homme auprès des gendarmes, le groupe de kayakistes a été retourné par une vague.

    Les quatre kayakistes du club de Saint-Valery-Sur-Somme faisaient partie d'un groupe de huit qui ont fait une sortie en mer samedi depuis le Hourdel. Les conditions météorologiques étaient clémentes. Une partie du groupe est retournée à la base alors que les quatre kayakistes ont décidé de continuer la sortie jusqu’à Cayeux-sur-Mer. Ils ne sont pas rentrés vers 17 heures, comme ils avaient prévu. Leur club de kayak a alors prévenu les gendarmes.

    Le parquet d'Amiens a ouvert une enquête. Une première autopsie des trois corps va avoir lieu en urgence dimanche, ainsi que des auditions des quatre kayakistes qui ont fait demi-tour et sont rentrés sains et saufs.

    franceinfo


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  • Le jeune Ivoirien retrouvé mort dans le train d'atterrissage d'un avion à Roissy avait 14 ans

    Au lycée Simone Gbagbo de Yopougon, grand quartier populaire d'Abidjan, les enseignants sont sous le choc après l’annonce de la mort de Laurent Barthélémy Ani Guibahi. L’adolescent de 14 ans a été retrouvé mort mercredi 8 janvier dans le train d'atterrissage d'un avion reliant Abidjan à Paris.

    Comme des milliers d'Ivoiriens qui tentent l'émigration clandestine chaque année, Laurent Barthélémy a voulu rejoindre l'Europe sans prévenir ses parents. Aveuglé par ce rêve d'El Dorado, il est mort à l'âge de 14 ans, n'imaginant pas que le froid et l'altitude le tueraient à coup sûr.

    "Je suis affolé. Je me sens perdu. Le choc est brutal. On pensait à une fugue... C'est terrible à supporter !", assure Antoine Mel Gnangne, éducateur, qui encadrait régulièrement le jeune garçon.

    Au lycée Simone Gbagbo de Yopougon, 7 000 élèves s'entassent dans des salles bondées. 115 élèves par classe. Trois ou quatre enfants par banc prévu pour deux... Le lycée pratique en outre la "double vacation" : la moitié des élèves viennent le matin, l'autre l'après-midi. Laurent Barthelemy était en 4e2, le matin. Les derniers à l'avoir vu étaient avec lui dimanche, selon une surveillante qui a parlé à ses "camarades de quartier".

    Laurent Barthelemy a disparu lundi. Ce jour-là, "l'enfant a pris ses affaires. Il était censé venir au cours. Ce n'est que le soir que les parents ont constaté l'absence de l'élève", se souvient Liliane NGoran, la censeure du Lycée.

    "Le mardi matin ils sont venus à l'école parce qu'il n'a pas dormi à la maison. Nous avons constaté avec eux qu'il n'était pas en cours et c'est ainsi qu'ils ont fait l'avis de disparition que nous avons affiché partout dans et autour de l'établissement", raconte-t-elle.

    "On a fait le rapprochement"

    L'affiche montre un jeune homme frêle et pensif en tenue traditionnelle. Bon en maths et physique mais très faible en sciences humaines et français, Laurent Barthélémy "n'était pas un enfant à problèmes. Il n'est pas mauvais. Il n'y a pas de grief d'un professeur ou d'un autre élève à son égard. Sur le plan disciplinaire, je ne lui reproche rien", souligne Antoine Mel.

    Après avoir traversé toute la ville – l'aéroport se trouve à une trentaine de kilomètres de son quartier –, le jeune homme a "accédé au train d'atterrissage de l'aéronef en s'agrippant à celui-ci au moment où celui-ci s'apprêtait à s'élancer pour son décollage vers 22 h 55" mardi soir, selon le communiqué du ministère des Transports.

    Le ministre Amadou Koné a précisé que "sur la vidéo (de surveillance) on aperçoit un individu vêtu d'un tee-shirt (...) Nous pensons qu'il a eu accès à l'espace aéroportuaire en escaladant le mur. Ensuite, il s'est caché dans les espaces verts et s'est agrippé au train d'atterrissage de l'avion au moment du vol".

    "Jeudi, la gendarmerie de l'aéroport est venue avec une sacoche (trouvée près du tarmac) où il y avait des affaires d'un enfant. Ils nous ont demandé si on reconnaissait le t-shirt. C'était le tricot d'EPS qui portait l'effigie de l'établissement... Il s'agit du t-shirt des élèves de 4e. On a fait le rapprochement", explique Liliane NGoran qui a eu confirmation de l'identité vendredi après-midi.

    Parmi les 25 millions d'Ivoiriens, des milliers tentent d'immigrer clandestinement chaque année. Selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), en nombre de migrants clandestins, la Côte d'Ivoire se situe en 3e position des pays d'Afrique de l'Ouest.

    France 24


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  • Marseille : l’auteur présumé d’un double meurtre remis en liberté !!!

    Ce caïd du narco-banditisme, âgé de 35 ans, a été remis en liberté mardi par la cour de cassation suite à plusieurs erreurs de procédure qui ont émaillé son parcours judiciaire.

    C’est une décision judiciaire qui risque de faire du bruit. Selon nos informations, la Cour de cassation a, le 7 janvier, tranché en faveur d’un homme mis en examen dans deux affaires de meurtre sur fond de rivalités sanglantes dans le milieu du narco-banditisme marseillais. Un individu libéré mardi.

    Originaire de Vitrolles, Christopher A., 35 ans, avait été remis en liberté, une première fois, par la cour d’appel d’Aix-en-Provence (Bouche-du-Rhône) pour un problème de procédure, en septembre 2019 alors qu’il avait été placé en détention provisoire un an plus tôt. Mais alors qu’il allait sortir de prison, il avait été placé en garde à vue pour être entendu dans une seconde affaire criminelle. À l’issue de son audition, il avait été de nouveau placé en détention. C’est dans le cadre de cette deuxième incarcération que les magistrats de la plus haute juridiction de l’ordre judiciaire ont estimé que le droit n’avait pas été respecté.

    Le «clan de Marignane »

    Cette décision s’ajoute à plusieurs erreurs de procédure qui ont émaillé le parcours judiciaire, chargé, de Christopher A. Déjà condamné à douze reprises, principalement pour des braquages, il a été interpellé, en septembre 2018, à l’issue de plusieurs mois d’enquête menés par les policiers de la brigade criminelle de la police judiciaire de Marseille. Le nom de ce père de famille, décrit comme appartenant au « clan de Marignane », était parvenu aux oreilles de la police après le meurtre de Saci L., 30 ans, abattu dans un local associatif, en mars 2018, dans la cité Consolat dans le 15e arrondissement de la cité phocéenne.

    Le 3 septembre 2018, les hommes de la brigade de recherche et d’intervention (BRI) de la PJ marseillaise le surprennent alors qu’il se rend dans un cabinet médical pour y faire soigner une vilaine blessure par balle. Les policiers font aussitôt le rapprochement avec une autre affaire, celle d’une course-poursuite, entrecoupée de coups de feu, le matin même entre un automobiliste pris en chasse par deux autres voitures sur l’autoroute reliant Aix-en-Provence à Marseille. Placé en garde à vue, Christopher A. confirme avoir été atteint à l’épaule par un projectile tiré par ses agresseurs au cours de cette fusillade, avant d’être mis en examen pour le meurtre de Saci L., puis incarcéré.

    Un commando de tueurs

    Quelques heures avant cette arrestation, les policiers marseillais étaient intervenus sur la scène de ce qui s’apparente alors à un règlement de comptes entre narco-trafiquants. Vers 7 h 25, Bilal B., 33 ans, accompagne sa femme sur le point d’accoucher à l’accueil de l’hôpital de Martigues. Dans le parking de l’établissement hospitalier, deux hommes de « grande taille », gantés et le visage dissimulé, se glissent derrière le couple avant de faire feu au pistolet-mitrailleur Skorpio. Bilal B. est atteint de plus d’une dizaine de projectiles de calibre 7,65 mm avant de succomber.

    Des renseignements anonymes parvenus à la police laissent entendre que Christopher A. faisait partie du commando de tueurs. Et les coups de feu dont il a été lui-même victime, quelques heures après cet assassinat à l’hôpital, serait la vengeance des proches de la victime, indiquent les mêmes sources anonymes.

    Le 11 septembre 2019, Christopher A. voit son placement en détention annulée par la cour d’appel d’Aix-en-Provence. Un vice de procédure a été soulevé par son avocat, Me Amar Bouaou. Mais alors qu’il s’apprête à être élargi de la prison de Draguignan, plusieurs policiers se présentent pour le conduire aussitôt à l’Evêché, siège de la PJ marseillaise où il est placé, à nouveau, en garde à vue.

    Cette garde à vue a lieu, cette fois, dans le cadre de l’assassinat de Bilal B. sur le parking de l’hôpital de Martigues. Christopher A. réfute avoir un lien quelconque avec cette affaire. Pour autant, il est mis en examen avant d’être finalement reconduit dans sa cellule. Ses avocats font aussitôt appel de cette nouvelle incarcération avant de se pourvoir en cassation après avoir vu leur demande rejetée par la chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence.

    «Plusieurs erreurs »

    « Tous ces meurtres semblent s’inscrire dans une lutte entre deux factions de la bande dite de Marignane, éclaire un haut fonctionnaire. Le point de départ de cette guerre entre ex-comparses, c’est le double assassinat, au début du mois de février 2018, de Antonio Martinez, surnommé Tonio et Oussama Slimane, dit l’Ours. Les corps carbonisés de ces deux victimes avaient été découverts devant l’entrée du parc d’attractions Ok Corral à Cuges-les-Pins ».

    « Plusieurs erreurs de procédure ont été commises dans les dossiers concernant mon client, rappelle de son côté Me Amar Bouaou. Il n’y a donc rien de choquant quant à sa libération et, je tiens à rappeler, qu’il est présumé innocent. Le titre de détention de mon client était manifestement entaché d’irrégularités. La cour d’appel d’Aix a voulu modifier les règles de droit en cours de route, certainement au regard des enjeux majeurs de cette affaire, mais quand on veut les changer, c’est qu’il n’y en a plus ! Le principe de sécurité juridique, l’égalité des justiciables devant la loi, les droits de la défense ne sont pas des concepts pour embellir une procédure, ce sont des principes qu’il faut appliquer de manière effective. Les juges de la Cour de cassation n’ont fait que rappeler les principes ».

    Le Parisien

    Les policiers se sont donné de la peine pour rien !

    Mais bon, on peut se consoler car il a tué deux truands happy


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  • Les salariés se mettent en grève, le patron déménage l’entreprise la nuit suivante

    En se rendant sur leur lieu de travail vendredi 10 janvier, les 25 salariés de ce sous-traitant d'Amazon ne s'attendaient certainement pas à trouver le rideau baissé. Pourtant, leur patron venait de déménager l'entreprise.

    Mauvaise surprise pour les salariés du sous-traitant d'Amazon, B2S. Ce vendredi 10 janvier en arrivant sur leur lieu de travail, situé sur la zone d’activité de Torremila, à Perpignan, les 25 employés ont trouvé porte close. Pire, la trentaine de camions qui leur servent pour les livraisons de colis pour le compte du géant du e-commerce ont carrément disparu. La réalité est bien sombre : leur patron a déménagé l'entreprise dans la nuit, en réponse à la grève de la veille de ses salariés, relate France Bleu Pyrénées-Orientales.

    En effet, pour dénoncer les cadences "infernales" imposées par leur patron, les salariés de l'entreprise ne sont pas venus travailler jeudi. Ils avaient alors reçu des menaces, sans penser une minute qu'il les mettrait à exécution. "Vers midi, nous avons pu échanger avec le patron par téléphone. Il a proféré des menaces contre nous : 'Si vous ne reprenez pas le travail, ce n'est pas la peine de revenir demain'. Nous n'avons pas voulu céder. Et ce matin, nous découvrons que notre entreprise a déménagé dans la nuit", raconte un salarié à France Bleu. Et d'ajouter que le responsable d'équipe a même reçu par SMS : "Tu pourras aller pointer au chômage demain".

    Une nuit agitée

    Dans la nuit, certains salariés s'étaient aperçus que quelque chose clochait. Des employés se sont même interposés pour empêcher le transfert des camions, déclenchant au passage une violente bagarre, selon plusieurs sources au média régional. Vendredi matin, un huissier de justice s'est rendu sur le site, où étaient réunis syndicats et salariés, pour constater les faits. "Cet événement est symptomatique de l’état du dialogue social aujourd’hui en France. Plutôt que de négocier avec ses salariés, le patron préfère vider les locaux de l’entreprise et déguerpir en catimini'", dénonce Alexandre Pignon, secrétaire départemental de la CGT-FAPT.

    L'entreprise est également accusée d'avoir enfreint le Code du travail en licenciant avant Noël pas moins d'une vingtaine de salariés en CDI. "Aucun n’a été conservé à l’issue de sa période d’essai. Il s’agissait de CDD déguisés", dénonce la CGT. 

    Joint par France Bleu Pyrénées-Orientales, le patron de B2S, qui souhaite garder l'anonymat, a assuré qu'il ne rouvrirait pas le site. "J'ai perdu toute autorité sur les salariés. Une véritable mafia s’est montée dans l’entreprise et j'ai été pris en otage. Le plus triste dans l'histoire, c'est pour moi : eux ont juste perdu un travail, mais moi j'ai perdu 25 tournées", explique-t-il. Un rendez-vous avec l'inspection du travail a d'ores et déjà été pris par la CGT pour jeudi prochain.

    Capital


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  • Un policier de 45 ans est mort ce samedi matin après avoir été renversé par un fourgon lors d'une opération à Bron, en banlieue de Lyon, peu avant 2 heures du matin dans la nuit de vendredi à samedi, selon des sources concordantes consultées par BFMTV.

    Alors qu'il était encore en urgence absolue à l'hôpital, Christophe Castaner avait annoncé que l'"état" du policier ne laissait "que peu d'espoir".

    "Alors qu'il tentait d'appréhender un véhicule suspect dans le cadre d'une enquête pour vol de fret et vols à main armée, un policier a été volontairement percuté par le conducteur", selon le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, lors d'une allocution en ouverture de "la conférence citoyenne".

    Un groupe de malfaiteurs surveillé depuis plusieurs mois

    Ce fonctionnaire de la Sûreté départementale et d'autres policiers surveillaient depuis plusieurs mois un groupe de personnes suspectées de commettre des vols et des car-jacking. Ils avaient décidé cette nuit d'interpeller plusieurs membres de ce groupe après avoir constaté un vol.

    Les forces de l'ordre ont alors décidé de placer deux voitures banalisées autour du fourgon dans lequel se trouvaient les malfaiteurs afin de les encercler. Le groupe n'obtempère pas et décide de prendre la fuite en réalisant plusieurs marches avant et arrière. L'un des policiers, en sortant du véhicule banalisé situé à l'avant, s'est fait percuter par le fourgon des fuyards.

    Il a été transféré à l'hôpital avant de mourir.

    BFM.TV


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  • Empoisonné par un collègue, un Allemand de 26 ans est mort après plus de trois années de coma, a indiqué vendredi le tribunal régional de Bielefeld, une ville située au nord-est du pays.

    La victime était dans un état végétatif depuis 2016. Employé dans une usine, il avait mangé un sandwich saupoudré par un collègue d’une poudre mélangeant plomb, mercure et cadmium.

    Des lésions cérébrales irréversibles

    Atteint de lésions cérébrales lourdes et irréversibles, l’homme est finalement décédé, a annoncé un porte-parole du tribunal de Bielefeld.

    Âgé de 57 ans, l’auteur de l’empoisonnement, connu sous le nom de Klaus O., avait été surpris en train d’empoisonner d’autres repas de collègues et avait été condamné en 2019 à la réclusion à perpétuité. Une peine exceptionnellement dure en Allemagne pour tentative de meurtre, précise le site de la radio allemande Deutsche Welle. L’homme a fait appel de cette condamnation.

    Boissons et nourriture empoisonnées

    Il aurait empoisonné la nourriture et les boissons de ses collègues pour étudier, « à la manière d’un scientifique », les effets de ces éléments chimiques sur le corps humain, selon des médias allemands, citant des entretiens en prison avec des psychologues.

    Au procès, la famille de la victime avait témoigné des souffrances endurées depuis 2016 : l’homme s’était plaint d’engourdissements dans les doigts et disait ressentir une intense fatigue, avant de ne plus pouvoir marcher puis de tomber dans le coma.

    Vingt-et-un autres décès dans l’entreprise

    Selon la Deutsche Welle, deux autres collègues de l’entreprise située dans la ville de Schloss Holke-Stukenbrock à l’ouest du pays, souffraient de graves lésions rénales.

    La police enquête également sur les circonstances de 21 autres décès prématurés survenus dans la même société, précise encore le média.

    Le Parisien


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  • Frappé de dix coups de couteau, notamment au cou et à l’abdomen, un chauffeur de bus belge a poursuivi sa tournée pendant une heure avant d’être hospitalisé dans un état grave, a rapporté le parquet d’Anvers (nord), ce vendredi.

    Jeudi, peu après 17 heures, à Kontich, un chauffeur de la société de transports publics De Lijn, en avance sur son service, a profité d’une pause cigarette derrière son volant, en laissant les portes du bus ouvertes. C’est à ce moment-là qu’un homme a surgi de l’extérieur et s’est précipité vers lui en sortant un objet, « vraisemblablement un couteau », pour lui porter des coups.

    Une enquête ouverte pour tentative de meurtre

    L’agresseur s’est enfui immédiatement après son geste, le chauffeur a refermé les portes, et « probablement en état de choc », a repris la route et roulé jusqu’au terminus, à Lierre, à une quinzaine de kilomètres de là. Ce n’est que lors du retour au dépôt de bus, à Willebroek, qu’il a réalisé avoir été poignardé. Ses collègues ont alors prévenu les secours, toujours d’après le parquet.

    Au total le trajet entre le moment de l’agression et le retour au dépôt a duré une heure, selon les médias belges. Le parquet d’Anvers a ouvert une enquête​ pour tentative de meurtre. Le conducteur du bus, âgé de 58 ans, présentait en effet des blessures potentiellement « mortelles » : « Dix coups de couteau dans la région abdominale, près du cou, dans la partie supérieure de la jambe droite et aux bras ».

    20 Minutes


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  • Un couple de quadragénaires est en garde à vue à Toulouse pour avoir agressé un conducteur d’autocar et provoqué un accident

    Jeudi à Toulouse, la manifestation contre la réforme des retraites a eu des conséquences inattendues. En se terminant non loin de Matabiau vers 14 heures, elle a obligé un autocar à faire un détour pour accéder à la gare routière. A bord, deux passagers, qui voyageaient en couple, ont commencé à parlementer avec le conducteur pour se faire déposer ailleurs. Le chauffeur a refusé, pour des raisons de sécurité. Et la situation s’est envenimée.

    De source policière, la femme s’est mise à vociférer, puis l’homme a empoigné le conducteur par le col faisant voler ses lunettes. La victime a, par la force des choses, donné des coups de volant et a fini par percuter un autre véhicule.

    Le couple de quadragénaires a été interpellé par le Groupe de sécurité et de proximité du quartier Jolimont. Il a été placé en garde à vue pour « violences en réunion sur personne chargée d’une mission de service public » et « mise en danger de la vie d’autrui ». Il se trouvait toujours au commissariat central ce vendredi après-midi.

    20 Minutes


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  • Il y a 64 ans, Bill et Nancy Schafrath se sont promis de s'aimer jusqu'à ce que «la mort (les) sépare». Ces Américains originaires de l'Ohio sont morts tous les deux à la veille de Noël 2019 en se tenant la main. Mari et femme, âgés de 88 et 85 ans, sont décédés à la maison de retraite où ils vivaient à Wooster.

    Quelques jours avant leur disparition, l'état de santé de Bill Schafrath s'est détérioré et l'octogénaire ne pouvait plus bouger de son lit. Celui de son épouse a donc été transporté à côté du sien et ils ont pu passer les derniers jours de leur existence côte à côte, à se tenir la main, a fait savoir leur nièce Pat Cornelius au «Wooster Daily Record», cité par la chaîne Fox

    Ils n'ont jamais eu d'enfant

    Bill Schafrath s'est est allé de causes naturelles le 24 décembre aux alentours de 7 heures du matin et sa femme l'a suivi dans la mort quelques heures plus tard, vers 11 heures.

    Le couple n'a jamais fondé de famille. Le mari, vétéran de la guerre de Corée, exerçait le métier de maçon et adorait cuisiner. Son épouse -décrite par ses proches comme une femme «pétillante et énergique»- a quant à elle été directrice de banque pendant plus de 30 ans et bénévole dans plusieurs associations. Ils s'étaitent dit «oui» en 1955. 

    Paris Match


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  • Il s’agit d’être vigilant, comme avec n’importe quel autre appareil électrique branché. Une habitante de Dole (Jura) est décédée ce vendredi matin alors qu’elle consultait son téléphone portable qui était en train de charger à côté de la baignoire rapporte France Bleu Franche-Comté.

    Cette femme âgée de 45 ans a été découverte inanimée, jeudi soir, aux alentours de 20 heures, par son compagnon et son fils, dans la salle de bain de leur habitation. Ils ont aussitôt alerté les secours.

    En arrêt cardiaque, la victime a été transportée en urgence au CHU de Besançon. Ce vendredi matin, l’habitante de Dole a malheureusement succombé à ses blessures.

    Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat de Dole.

    Alerte de la DGCCRF en 2018

    En novembre 2018, une adolescente avait perdu la vie dans des circonstances similaires à Outreau (Pas-de-Calais). Après ce drame, la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) avait émis une alerte sur le danger d’utiliser un téléphone en cours de chargement dans une salle de bains.

    De manière générale, la DGCCRF recommande de ne pas charger d’appareil électrique dans les pièces humides, ni de manipuler un appareil électrique branché avec les mains ou les pieds mouillés.

    Le Parisien


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  • Le gardien, qui a tenté de faire croire à un suicide de son patron, a été écroué jeudi

    Il voulait récupérer sa maison. Un gardien a tué un opérateur économique français travaillant à Bouaké, dans le centre de la Côte d’Ivoire, le 25 décembre, a déclaré jeudi à l’AFP le procureur de la République de Bouaké.

    Jacky Charles Schaeffer, 65 ans, qui travaillait dans le secteur de la boulangerie à Bouaké depuis de nombreuses années, a été tué par son gardien qui lui a « administré deux coups au cou avec un chevron alors qu’il était assis à sa terrasse », a indiqué le procureur Braman Koné. Le gardien, Serges Konan Koffi, a été écroué jeudi.

    « Donnez ma maison à Serges »

    Après le meurtre, il a « écrit dans un carnet de reçus " Donnez ma maison à Serges " pour tenter de faire croire que son patron lui avait légué sa maison avant de se donner la mort », a précisé Braman Koné. L’assassin a aussi volé 37.000 francs CFA (50 euros), a précisé le procureur.

    20 Minutes


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