• Un homme de 54 ans est mort lardé de coups de couteau, ce jeudi à Sevran. Le drame, dont l'enquête de police déterminera les circonstances exactes, s'est déroulé entre 17 heures et 18 heures dans le quartier des Beaudottes.

    Ce sont des riverains qui ont appelé le 17 à la vue d'un homme debout sur un balcon, couteau à la main, les mains et le visage en sang.

    Selon une source policière, les fonctionnaires ont interpellé le suspect dans la foulée et retrouvé la victime allongée au sol de l'appartement, « de multiples plaies à l'arme blanche sur le corps, dont au moins une au cou ». Les pompiers sont également intervenus pour réaliser un vain massage cardiaque.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, l'agresseur, âgé de 41 ans, était son voisin de palier. Il aurait accédé à l'appartement par le balcon.

     

    Le suspect a été placé en garde à vue pour homicide volontaire, d'après le parquet de Bobigny. Une autopsie devait être pratiquée ce vendredi matin sur le corps de la victime. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis.

     

    Le Parisien


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  • La patineuse française Laurine Lecavelier contrôlée positive à la cocaïne

    La Francilienne s'était classée 5e des Championnats d'Europe 2019. Elle risque jusqu'à quatre ans de suspension.

    Coup de tonnerre dans le patinage français. Selon le quotidien L’Equipe, Laurine Lecavelier a subi un contrôle antidopage qui s’est révélé positif à la cocaïne. Âgée de 23 ans, la patineuse francilienne, championne de France en 2017, risque quatre ans de suspension. La sanction pourrait diminuer si elle parvient à démontrer que la prise de produit interdit a eu lieu en dehors des périodes de compétition. 5edes derniers Championnats d’Europe de Minsk en janvier 2019, Laurine Lecavelier n’a pas été retenue par la Fédération française des sports de glace pour le rendez-vous continental programmé à Graz à la fin du mois. En son absence, Maé-Bérénice Méité, Maïa Mazzara et Léa Serna défendront les chances françaises chez les dames.

    Le Figaro Sports


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  • La mairie de Rome renonce à récupérer l'argent des pièces de la fontaine de Trevi

    Depuis deux ans, la municipalité romaine voulait conserver la manne financière des pièces jetées dans la fameuse fontaine de Trevi.

    Des pièces jetées dans la fontaine de Trevi à Rome, il y en a chaque seconde. Mauro vient des Pouilles dans le sud de l'Italie, il a sa petite idée sur la destination de ces fonds : "En théorie, cela devrait aller à l'église mais peut-être qu'avec la crise qu'il y a en ce moment, la maire garde cet argent pour elle ! Il vaut mieux que toutes ces pièces aillent à l'Église."

    L’argent devrait aller aux pauvres !

    Mauro, touriste italien à Rome

    à franceinfo

     

    L'Église va gérer les ressources pour deux ans

     

    Depuis deux ans la maire de Rome, Virginia Raggi (Mouvement 5 étoiles), tentait de récupérer la gestion de ce trésor mais, devant la polémique suscitée, elle a rendu les armes. Pour les deux années qui viennent, cet argent continuera à être versé à l'Église de Rome. Pour certains touristes, cet argent doit être surveillé. "Il faut qu’il y ait une clarification de l’argent de l’église. Il faut que l’Église soit claire sur la façon dont elle reverse l’argent aux associations", avance Maryse, une touriste venue de Paris.

    L'Église tiendra des comptes précis de ce trésor de 1,5 millions d'euros chaque année. Une manne financière due en grande partie à la légende liée à la pièce jetée de la main droite. "On lance une pièce pour se promettre de revenir à Rome. Parce qu'elle est tellement belle, tellement accueillante, c'est quelque chose de superbe !", s'enthousiasme la Vénitienne Manuela.

    Mais tous ne font pas le même vœu. Il y a aussi des Français qui pensent déjà au retour au bureau. "J'ai envie d’avoir un train lundi prochain, c’est possible ?", se demande Stéphane. Mais pas sûr que son souhait soit exaucé, car il n'a pas tourné le dos à la fontaine en lançant sa pièce.

    franceinfo


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  • Doubs : un père ivre égare sa fille la nuit du réveillon, des dizaines de gendarmes mobilisés

    Cette soirée de la Saint-Sylvestre, les gendarmes du Doubs et des alentours s’en souviendront. Un père et sa fille de 11 ans ont dîné le 31 décembre dans un restaurant de Morteau, une ville de Franche-Comté célèbre pour sa savoureuse saucisse fumée.

    La soirée avançant, le père a tenu à célébrer la nouvelle année avec force breuvages alcoolisés. Mais il lui restait un peu de jugeote : il a demandé un couple qui avait également choisi ce restaurant pour passer d’une année à l’autre de prendre soin de sa fille, rapporte l’Est Républicain. Ce qui fut fait.

    Un avis de recherche lancé

    Mais, de verre en verre, il ne s’est plus souvenu de cette précaution prise. Ivre et inquiet, il s’est mis à chercher sa fille puis a averti les gendarmes, qui ont mobilisé des « collègues de Pontarlier ainsi qu’une équipe cynophile venue de Vesoul (Haute-Saône) », selon le Journal de Saône-et-Loire. Au total, des dizaines d’hommes ont ainsi travaillé aux recherches.

    Au petit matin, la jeune fille était toujours introuvable. Un avis de recherche a été lancé, notamment sur les réseaux sociaux. L’enfant a finalement été retrouvée en sécurité, chez le couple qui l’a recueillie la veille, et le dispositif de recherche a pu être levé.

    L’histoire en rappelle une autre. Une mère qui avait « oublié » ses enfants dans un bar de Pontarlier (Doubs) en juin 2019 avait été poursuivie pour « délaissement de mineur », avant d’être relaxée par le tribunal, indique l’Est Républicain.

    Le Parisien


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  • Des morceaux de corps ont été découverts mercredi à Saint-Léonard-de-Noblat (Haute-Vienne), dans le congélateur d’une maison où un incendie venait de se déclarer.

    Il était aux alentours de 17h30 lorsque les pompiers ont été appelés pour un feu d’appartement dans un hameau isolé, au lieu-dit Beynat, à environ 20 km à l’est de Limoges. Ils ont rapidement maîtrisé le sinistre, cantonné à une chambre.

    L’occupante des lieux, une femme âgée de 83 ans, restant introuvable, les pompiers et les gendarmes ont fouillé de fond en comble la maison. C’est dans le congélateur qu’ils ont découvert le cadavre, qui serait selon toute vraisemblance celui de l’octogénaire.

    Propos incohérents

    Les techniciens en investigations criminelles de la gendarmerie et le parquet de Limoges se sont rendus sur les lieux et ont bouclé le périmètre pour débuter leurs investigations.

    Le petit-fils de l’octogénaire, âgé d’une trentaine d’années, a été interpellé et placé en garde à vue. Il tenait des propos incohérents, selon une source proche de l’enquête.

    Les investigations ont été confiées à la brigade de recherches (BR) de Limoges, épaulée par la Section de recherches (SR) de Limoges.

    Le Parisien


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  • Arrêté par des policiers de la brigade anti-criminalité (Bac), l'homme était recherché depuis le 24 novembre 2019, explique France Bleu Armorique. Cette nuit-là, vers trois heures du matin, une femme d'une vingtaine d'année est violée au bas de son immeuble, près de la tour les Horizons dans le quartier Bourg-l'Evesque de Rennes. A la suite des faits, la jeune femme dépose plainte.

    Identifié grâce à l'ADN

     

    Les policiers relèvent ensuite des traces ADN qu'ils comparent avec celles prélevées sur une autre femme, victime d'un viol à Brest. Le 15 décembre, une autre femme d'une quarantaine d'années a été violée vers quatre heures du matin, toujours au pied de la tour les Horizons de Rennes. L'agresseur réussit à prendre la fuite mais grâce au portrait-robot dressé à partir du signalement des victimes, les policiers de la Bac parviennent à repérer l'homme samedi 28 décembre au matin, vers quatre heures, et l'interpellent.

    Les prélèvements ADN ont confirmé qu'il s'agit de l'agresseur des deux rennaises et de la brestoise. Présenté à un juge, l'homme a été mis en examen et écroué.

    franceinfo


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  • Pétards du Nouvel An : Un jeune homme tué par un « mortier » dans le Bas-Rhin

    Un homme de 27 ans a été tué par un « mortier » à Haguenau (Bas-Rhin) au cours de la nuit de la Saint Sylvestre, dans une région où l’usage des pétards entraîne de graves blessures à chaque Nouvel An, a-t-on appris ce mercredi auprès de la préfecture.

    Cet accident s’est déroulé « hors de tout contexte de violence urbaine​ », a précisé la préfecture, alors que les mortiers et autres gros pétards sont souvent dirigés contre les forces de l’ordre.

    20 Minutes


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  • Une petite fille de neuf mois a perdu la vie ce dimanche dans le Nord, près de Valenciennes, après avoir ingéré une décoration de Noël. L’accident s’est produit dans une famille domiciliée à Beuvrages, comme le relate La Voix du Nord.

    Le nourrisson aurait avalé les débris d’une guirlande ou d’une boule tombée par terre. En arrêt cardiaque à l’arrivée des pompiers, il n’a pas pu être sauvé malgré les tentatives de réanimation.

    Une enquête a été ouverte la police locale. L’autopsie devrait préciser les circonstances de ce drame et notamment la matière ingérée. Toujours selon La Voix du Nord, le club de football de la ville de Beuvrages s’apprête à organiser une collecte en soutien à la famille endeuillée.

    À l’instar des figurines de crèche, ou des branchages décoratifs, les boules de Noël sont chaque année à l’origine d’incidents plus ou moins graves. Cela va du risque de coupure jusqu’à la blessure digestive. Il est ainsi conseillé de choisir des boules en plastique incassables, surtout en présence de jeunes enfants.

    Le Parisien

     


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  • "J’ai tué Jennifer" : l’ancien joueur de football américain avoue le meurtre de sa sœur enceinte

    Un abominable drame familial. Un Américain de 25 ans, ancien joueur de football à l’Université du Texas de San Antoni, est accusé d’avoir tué sa sœur. Cette dernière, âgée de 32 ans et enceinte, a été poignardée à plusieurs reprises et retrouvée morte gisant dans une mare de sang dans la cuisine.

    Le site Internet du magazine «People» rapporte que le Jennifer Ebichi a envoyé un message à leur autre frère, Martin, pour lui demander de venir chez elle parce que «Michael était là, en train de faire une crise». Martin Egwuagu a d’abord tenté de parler à son frère Michael par téléphone, en vain. C’est lui qui a découvert le corps de leur sœur sans vie, à côté duquel sa fille pleurait. Lorsqu’il est sorti de la maison avec l'enfant, Martin Egwuagu a trouvé Michael en train de prier dans la rue, genoux au sol, recouvert de sang. Il a immédiatement appelé la police.

    Sur place, les agents ont pu interroger Martin Egwuagu mais également une amie de la victime qui se trouvait là. Elle a raconté que Jennifer l’avait elle aussi appelée à l’aide pour qu’elle vienne chez elle le plus vite possible. Lorsqu’elle est arrivée dans la maison, elle a entendu des cris venant de la cuisine. Elle a ensuite vu Michael en sortir, un couteau à la main. «J’ai tué Jennifer», a-t-il dit. Une scène et des propos filmés par la caméra de surveillance se trouvant à l’entrée du domicile. Inculpé pour meurtre, sa caution a été fixée à 500 000 dollars.

    Paris Match

    Mais pourquoi ?


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  • Violences urbaines : des dizaines de véhicules incendiés en Alsace et dans l'agglomération lyonnaise

    Ces violences urbaines ont eu lieu dans la nuit de lundi à mardi dans la l'agglomération lyonnaise et en Alsace, a appris franceinfo, mardi matin.

    Dans le Bas-Rhin, en Alsace, une trentaine de véhicules ont été incendiés. Les faits se sont déroulés dans la nuit du lundi 30 au mardi 31 décembre, vers 21 heures, a appris franceinfo. Les incidents se sont notamment concentrés sur Strasbourg et dans la commune d'Illkirch-Graffenstaden, au sud de l'agglomération strasbourgeoise. Par ailleurs, 18 véhicules ont été brûlés près de Lyon, dont 12 dans la seule commune de Vénissieux (Rhône).

    A Strasbourg, des violences ont été signalées dans les quartiers du Neuhof, Hautepierre, Cronenbourg et Port du Rhin. Dans le Haut-Rhin, neuf véhicules ont été brûlés dans les communes de Rixheim, Illzach, Petit-Landau et Issenheim. Roland Ries, le maire de Strasbourg, a condamné ces agissements et a demandé, dans un post Facebook, "aux forces de l'ordre de faire preuve de la plus grande fermeté à l'encontre de tous ceux qui mettraient à mal la tranquillité et la sécurité publiques".

    franceinfo


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  • Le Grau-du-Roi : le mystère du scooter des mers

    Illustration

    Plus de deux jours après leur sortie du port du Grau-du-Roi (Gard), trois personnes (dont un mineur de 13 ans) sont portées disparues et leur scooter des mers est toujours introuvable.

    La météo était superbe, la Méditerranée à peine agitée. Mais de là à s'embarquer, fin décembre, pour une virée à scooter des mers un peu avant la tombée de la nuit… C'est pourtant vers 16h30, samedi 28 décembre, qu'un trio a quitté le port du Grau-du-Roi (Gard) en direction du large.

    Sur les images fournies par les caméras de vidéosurveillance du port, on aperçoit Zyan A., 24 ans, au guidon de l'engin rouge et blanc. Le jeune homme porte un gilet de sauvetage rouge et à ce qui peut ressembler à une combinaison en néoprène. Les deux autres passagers, vêtus de la même manière, sont sagement assis derrière lui. Il s'agit de Joséphine R., 40 ans, et de son fils, âgé de 13 ans. Depuis samedi après-midi -et jusqu'à ce lundi soir- ces trois personnes n'ont plus donné aucun signe de vie.

    Recherches arrêtées depuis lundi midi

    L'alerte n'est donnée qu'environ vingt-quatre heures après leur sortie en mer, soit dimanche en début d'après-midi, par la famille de Joséphine. Après une première phase de recherches à terre effectuées par la brigade de gendarmerie du Grau-du-Roi, qui permet de retrouver la voiture de Zyan et des affaires appartenant à Joséphine, deux hélicoptères sont engagés par le Cross Méditerrannée sur le secteur du golfe d'Aigues-Mortes jusque dans la soirée de dimanche.

    Les investigations reprennent ce lundi matin avec l'appui d'un Falcon 50, un avion de patrouille maritime chargé d'inspecter une zone qui s'étend d'Agde (Hérault) jusqu'à Gruissan (Aude), à 40 km au sud. Sans succès. À la mi-journée, le préfet maritime ordonne l'arrêt des recherches, « en raison de l'absence d'éléments nouveaux permettant de réorienter les recherches. » Dans le même temps, le groupement de gendarmerie du Gard poursuit son enquête, à terre, dans l'espoir de retrouver la trace d'un scooter échoué sur la côte. Sans plus de succès pour le moment.

    L'hypothèse de l'enlèvement écartée pour le moment

    « Il s'agit à ce stade d'une enquête pour disparition inquiétante, nous indique Eric Maurel, le procureur de la République de Nîmes. Aucun élément nous laisse à penser que l'une ou l'autre des personnes ait été contrainte de monter à bord de ce scooter. Il n'est donc pas question d'un enlèvement pour le moment. Toutes les autres possibilités sont à l'étude, celle d'un accident en mer comme celle d'un retour sur la terre ferme à un autre endroit. Mais chaque heure qui passe ne fait qu'augmenter l'inquiétude. »

    Désemparés, les enquêteurs de la gendarmerie ont étudié les profils des personnes portées disparues. La femme est installée dans la commune gardoise de Saint-Laurent-d'Aigouze. Elle et son fils font partie de la communauté des gens du voyage, traditionnellement sédentaires dans cette région. Célibataire, Joséphine aurait fait connaissance de Zyan, garagiste à Lunel (Hérault) lui-même en concubinage, au fil de plusieurs rendez-vous pour des réparations automobiles. Une histoire sentimentale se serait-elle nouée ensuite ?

     

    « Même si cet ami était un amour caché, elle ne serait pas partie sans donner de nouvelles, d'autant plus qu'elle a d'autres enfants », a déclaré un cousin de Joséphine auprès de la radio locale France Bleu Gard Lozère. Zyan, lui, est connu de la justice. Il a notamment écopé en 2018 d'une peine de deux mois de prison avec sursis pour violences sur sa conjointe.

    Le Parisien


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  • Mexique : sept arrestations après le massacre d’une famille de mormons américains

    Début novembre, neuf membres d’une communauté mormone américaine étaient tombés dans une embuscade à Rancho de la Mora, près de la frontière.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/faits-divers/mexique-sept-arrestations-apr%c3%a8s-le-massacre-dune-famille-de-mormons-am%c3%a9ricains/ar-BBYuawQ?li=AAaCKnE&ocid=PerDHP


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  • Un policier s'est suicidé dans la nuit de dimanche à lundi au sein de l'état-major de la police des Hauts-de-Seine, a indiqué le parquet de Nanterre. Ce décès porte à 59 le nombre de policiers qui se sont donné la mort depuis le début de l'année. "C'est avec émotion que la @prefpolice apprend le décès survenu cette nuit de l'un de ses gardiens de la paix affecté dans les Hauts-de-Seine", avait twitté plus tôt dans la matinée la préfecture de police de Paris.

    Le fonctionnaire de police, né en 1980, qui travaillait comme opérateur radio dans le Centre d'information et de commandement de l'état-major situé à Nanterre, s'est suicidé vers 2 heures du matin, a précisé la procureure de la République de Nanterre Catherine Denis. Il s'est éloigné de la salle où se trouvaient ses collègues, s'est "mis à l'écart dans l'entrée, s'est assis dans un fauteuil et a tiré avec son arme de service", selon la magistrate.

    Trois lettres

    Le trentenaire a laissé trois lettres, "l'une pour son épouse, une autre pour ses collègues et une troisième pour sa hiérarchie, dans laquelle il fait état des difficultés générales de la police dans la société actuelle", a ajouté Catherine Denis, précisant que le fonctionnaire n'avait cependant "pas mis en cause sa hiérarchie".

    Le sous-brigadier, qui était aussi délégué syndical Alliance, était père de deux jeunes enfants, selon la même source. Une enquête en recherche des causes de la mort a été ouverte, confiée au Service départemental de la police judiciaire des Hauts-de-Seine et à l'IGPN, la "police des polices".

    Depuis le début de l'année, 59 agents ont mis fin à leurs jours selon un décompte de la police nationale, contre 35 en 2018. Début octobre, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner avait annoncé la mise en place d'un nouveau numéro vert (0805 230 405) pour lutter contre le phénomène.

    L'Express


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  • Une Roumaine est morte après avoir été grièvement brûlée sur la table d'opération d'un hôpital transformée en brasier par l'utilisation inappropriée d'un bistouri électrique avec un désinfectant à base d'alcool, a annoncé lundi le ministère roumain de la Santé.

    La patiente, âgée de 66 ans, est décédée dimanche soir des brûlures subies une semaine plus tôt, lors de l'intervention qui s'est déroulée le 22 décembre dans le cadre de son traitement pour un cancer du pancréas. Le secrétaire d'Etat roumain à la Santé Horatiu Moldovan a mis en cause "les chirurgiens", lesquels "devraient savoir qu'il est interdit d'utiliser un désinfectant à base d'alcool lors d'interventions chirurgicales effectuées avec un bistouri électrique".

    Le contact du produit inflammable avec le bistouri a entraîné une combustion et la patiente "s'est enflammée comme une torche", a écrit sur sa page Facebook le député Emanuel Ungureanu, qui affirme citer les témoignages du personnel médical de l'hôpital des urgences Floreasca de Bucarest où se sont déroulés les faits. Alors qu'il menaçait de se propager, l'incendie a été éteint par une infirmière qui a jeté un seau d'eau sur la malade, ont raconté des témoins cités par les médias. La patiente a subi des brûlures sur 40% du corps. Le ministère de la Santé a promis de faire la lumière sur cet "incident malheureux" dont il affirme n'avoir été mis au courant que par les informations de presse parues très récemment.

    La famille de la victime a pour sa part affirmé que le personnel médical lui avait fait part d'un "accident" survenu durant l'opération mais s'était refusé à donner des détails sur la gravité des brûlures et leurs causes. Malgré quelques améliorations permises par une hausse du budget de la santé, le système hospitalier roumain pâtit toujours d'équipements vétustes et d'une pénurie de médecins, se retrouvant au coeur de scandales à répétition.

    Paris Match


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  • Une collision spectaculaire a eu lieu à Frontenex en Savoie. Un TER a percuté une voiture prise au piège entre les barrières d’un passage à niveau près de la gare de la ville. Trois autres personnes sont blessées légèrement.

    Une femme de 43 ans a été gravement blessée samedi après-midi en Savoie lors d’un choc survenu sur un passage à niveau entre sa voiture et un TER qui arrivait en gare, selon les pompiers du département.

    L’accident a eu lieu vers 15h30 à Frontenex, dans le sens Albertville-Chambéry, alors que la mère de famille circulait en compagnie de son compagnon de 46 ans, de sa fille de 5 ans et du grand-père de l’enfant, âgé de 73 ans.

    Les trois autres victimes souffrent de blessures légères et ont été transportées, avec la quadragénaire, à l’hôpital d’Albertville. Les pompiers et les gendarmes sont rapidement intervenus sur place pour sécuriser les lieux et les victimes.

    Le train circulait à 80 km/h au moment du choc

    Le TER, qui circulait à une vitesse de 80 km/h au moment du choc, est resté immobilisé pendant une heure mais a « rapidement pu reprendre sa route », selon les pompiers.

    Aucune victime n’est à déplorer à bord du train, expliquent des sources policières, qui ont précisé à France Bleu qu’aucun passager du train n’a ressenti la secousse avec la voiture.

    Une enquête a été ouverte par le parquet d’Albertville pour déterminer les circonstances exactes de l’accident.

    Le Parisien


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  • La rue. Un sprint pieds nus. Et la banque, enfin. Jeudi après-midi, une jeune femme de 21 ans a trouvé refuge dans une banque de Vertou (Loire-Atlantique), dans la banlieue nantaise, et mis fin au calvaire qu’elle endurait depuis des mois.

    En avril dernier, selon son récit, contesté par l’auteur présumé, la jeune femme emménage chez son compagnon à Vertou. Les débuts sont difficiles, l’homme, âgé de 36 ans, la bat régulièrement. Lundi, il lui demande de se prostituer pour elle. Elle refuse. Pendant trois jours, il l’empêche de sortir, la frappe à de multiples reprises, et la viole plusieurs fois. Trois jours d’enfer. Jeudi après-midi, le couple sort faire des courses. En quittant la boulangerie, la jeune femme enlève ses chaussures, se met à courir, et se réfugie dans une agence bancaire.

    Mis en examen pour violences, viols et séquestration

    La gendarmerie, appelée, ne peut que constater les blessures de la jeune femme et entendre son récit. En garde à vue, l’homme conteste les reproches qui lui sont faits, affirme que les relations sexuelles avec sa compagne ont toutes été consenties et, selon Presse Océan, et que les bleus qui couvrent son corps lui ont été infligés par quelqu’un d’autre, dont il ignore l’identité.

    Samedi il a été mis en examen pour violences, viols et séquestration. Le parquet a requis son placement en détention provisoire, il a été incarcéré. Cet homme avait déjà été condamné pour des violences conjugales sur une précédente compagne.

    Le Parisien


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  • Une Française de 73 ans a été retrouvée morte dans la ville de Santa Cruz, dans l’est de la Bolivie. La septuagénaire aurait été tuée chez elle par au moins deux personnes, selon la police bolivienne.

    Sur sa page Facebook Clave300 Diario Digital publie une reproduction du passeport de la victime. La septuagénaire s’appelait Brigitte Epivent. Elle était originaire de Trémuson, dans les Côtes-d’Armor.

    Elle « serait morte le 24 décembre, avant le réveillon de Noël […] ils l’ont poignardée à quatre reprises », a déclaré vendredi Esteban Cortez, de la division des homicides de la Force spéciale de lutte contre le crime (FELCC) à Santa Cruz.

    Son corps a été découvert le lendemain de Noël, à son domicile où elle « vivait seule ». Selon l’enquête de police, le mobile probable du crime serait le vol, et au moins deux personnes seraient impliquées. « Elle a un fils avec lequel nous sommes entrés en contact. Il vit en France et a déjà été informé », a-t-il poursuivi.

    Selon l’enquête, la défunte était adepte de l’organisation religieuse des Témoins de Jéhovah dans la ville de Santa Cruz, où elle résidait depuis 18 ans. Ce sont des membres de l’organisation, inquiets de son absence, qui ont alerté la police.

    Le Parisien


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  • Une femme tuée par un crocodile, une autre portée disparue en Indonésie

    Cette année au moins quatre personnes sont mortes après avoir été attaquées par des crocodiles dans la région, selon l'agence locale de gestion des catastrophes.

    Une femme a été tuée par un crocodile et une autre est portée disparue après une autre attaque dans la province de Célèbes en Indonésie, ont indiqué les autorités locales vendredi. Les deux incidents séparés ont eu lieu jeudi et vendredi dans deux rivières voisines du département de Konawe Nord, dans le sud de l'île de Célèbes.

    La première victime, Nurgaya, une femme de 48 ans, a été attaquée par un crocodile jeudi soir alors qu'elle lavait des vêtements avec sa fille. Son corps a été retrouvé dans la rivière de Lalindu quelque deux kilomètres plus loin. "Il y a eu une autre attaque vendredi et nous recherchons toujours la victime", a indiqué Djasmidin, l'un des responsables de l'agence locale de gestion des catastrophes, qui comme de nombreux Indonésiens ne porte qu'un nom. Les secours recherchent la dépouille de la deuxième victime le long de la rivière Lasolo, qui est connectée à la rivière Lalindu.

    Europe 1


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    Dans la vidéo tournée dans une cité de Lormont, une voiture et quatre motos sont incendiées. L’enquête a pu établir qu’elles avaient été volées.

    Un jeune majeur et un mineur ont été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire, à la suite de la diffusion d’un clip de rap, tourné dans la banlieue bordelaise, où figurent des véhicules volés puis incendiés, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.

    Les mises en examen de l’adolescent de 14 ans et d’un jeune homme de 19 ans font suite à une ouverture d’information judiciaire pour recel de vols et dégradations de biens, et sont intervenues le 12 décembre, a indiqué le parquet de Bordeaux, confirmant une information du quotidien Sud-Ouest.

    Le rappeur marseillais La Crapule à l’origine de la vidéo

    Les faits incriminés ont été liés à un clip vidéo, mis en ligne le 13 novembre, et tourné dans une cité de Lormont, dans la banlieue de Bordeaux. Dans le clip de 2'37" d’un rappeur originaire de Marseille, nommé La Crapule, on voit celui-ci et une vingtaine de jeunes figurants évoluer dans la cité. Le clip a été visionné plus de 64 000 fois, ce jeudi.

    On y voit aussi des scènes avec une voiture et quatre motos incendiées, dont l’enquête a pu établir qu’elles avaient été volées. Les deux mis en examen sont suspectés d’avoir joué un rôle actif dans ces actes.

    L’enquête de police se poursuit afin d’identifier d’autres participants au vidéo clip et leur degré d’implication dans les faits reprochés, a-t-on précisé de source policière.

    Le Parisien


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