• De nombreuses zones d’ombre restent à éclaircir dans le cadre de cette enquête pour comprendre les projets des suspects et déterminer le rôle joué par chacun. Trois hommes ont été interpellés la semaine dernière dans la banlieue lyonnaise dans le cadre d’une affaire «d'association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un délit », de « trafic d’armes » et de « vols de véhicules ».

    Ces interpellations ont été menées par les gendarmes de la section de la recherche de Lyon après une inquiétante découverte faite dans un box de Tassin-la-Demi-Lune, commune paisible du nord de Lyon.

    Des suspects connus de la justice

    Dans ce garage situé dans une artère calme de la ville, les gendarmes, qui enquêtaient depuis un an, sont tombés sur trois pistolets 9 mm, un fusil à pompe, un chargeur de kalachnikov, des munitions et des gilets pare-balles siglés « police », rapporte Le Progrès. 

    Dans la foulée, ils ont interpellé un homme, propriétaire du box, et domicilié dans le quartier des Etats-Unis à Lyon. Ce suspect, qui n’avait plus fait parler de lui depuis sa dernière condamnation en 2007, a été mis en examen vendredi pour « association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un délit », « trafic d’armes » et « vols de véhicules ».

    Dans le cadre des investigations, trois véhicules volés dans le Val de Saône ont en effet été découverts dans trois autres box appartenant au même propriétaire et 80.000 euros ont été saisis par les gendarmes. Le suspect a nié avoir dérobé les gilets pare-balles et aurait reconnu avoir servi d’intermédiaire et prêté son box.

    Deux autres hommes ont été interpellés la semaine passée et mis en examen pour association de malfaiteurs. L’un d’eux a été laissé libre et placé sous contrôle judiciaire. Mais le second, soupçonné d’être l’un des lieutenants du Lyonnais interpellé et condamné à de multiples reprises par le passé, a été placé en détention provisoire. Les investigations vont se poursuivre pour déterminer l’implication de chacun dans cette affaire.

    20 Minutes


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  • Ce sont au total neuf victimes qui ont été tuées dans le tragique accident d'hélicoptère qui a coûté la vie à Kobe Bryant et sa fille Gianna âgée de 13 ans. On en sait à présent plus sur certaines des personnes qui se trouvaient également à bord.

    Les autorités de Los Angeles ont tenu une conférence de presse tard ce dimanche 26 janvier pour évoquer le terrible accident d’hélicoptère qui a provoqué la mort de la légende de la NBA Kobe Bryant et de sa fille Gianna. Le sheriff du comté a confirmé la présence de neuf personnes à bord de l’appareil. Il y a quelques heures, l'identité de quatre autres victimes ont été dévoilées parmi lesquels John Altobelli, un entraîneur de baseball de Orange Coast College, la femme de ce dernier, Keri, ainsi que leur fille Alyssa, coéquipière de Gianna Bryant. 

    TMZ dévoile lui l’identité d’une autre victime, Christina Mauser, entraîneure de l’équipe de la fille de Kobe Bryant. Son décès a été confirmé par la maire de la ville de Costa Mesa, Katrina Foley, et par l’époux de Christina, Matt Mauser. Le chanteur des Tijuana Dogs a publié un déchirant message sur son compte Facebook : "Mes enfants et moi sommes dévastés. Nous avons perdu notre merveilleuse épouse et maman aujourd'hui dans un accident d'hélicoptère. Veuillez respecter notre vie privée. Merci pour tous mots bienveillants qui signifient tant."

    Au moment de l'accident, l’appareil que Kobe Bryant utilisait pour ses déplacements depuis de très nombreuses années transportait ses passagers vers l’académie de la star des Lakers, Mamba Sport Academy, où sa fille de 13 ans, Gianna évoluait.

    Le site de TMZ indique que la météo de Los Angeles était très défavorable au moment du vol, et qu'un brouillard épais est sans doute en cause dans ce terrible accident. Les données de suivi des vols montrent que l'hélicoptère de Kobe semble avoir rencontré pour la première fois des problèmes météorologiques alors qu'il se trouvait au-dessus du zoo de L.A. Il a fait le tour de cette zone au moins 6 fois à très basse altitude - environ 875 pieds (275 mètres, ndlr) - attendant peut-être que le brouillard se dissipe. Une tentative qui hélas n'aura pas connu d'issue favorable...

    Voici


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  • Un différend entre quatre trentenaires aurait débuté sur fond d’alcool, dans un appartement du petit village de Saint-Geniez d’Olt près de Rodez (Aveyron), dans la nuit de vendredi à samedi. S’en est suivie une bagarre qui s’est terminée dans le sang, en pleine rue.

    Au cours de la rixe qui opposait trois hommes et une femme, un homme a reçu un couteau de couteau qui s’est avéré mortel. Les secours sont intervenus vers 2h30 ce samedi, après avoir été alertés par un riverain qui avait entendu des cris.

    Il décède à l’hôpital

    Les pompiers ont pris en charge la victime, âgée de 33 ans, qui avait reçu un coup de couteau à l’abdomen. Transporté au centre hospitalier de Rodez, l’homme y est décédé peu après son arrivée, relate Centre Presse Aveyron.

    Avisés des faits, les gendarmes de Saint-Geniez, la brigade de recherches de Rodez et le peloton d’intervention (Psig), sont intervenus rapidement sur les lieux du crime. Les trois suspects, deux hommes et une femme, ont été interpellés et placés en garde à vue. Dans le même temps, les techniciens de l’identification criminelle oeuvraient sur place.

    Suspects et témoins vont être auditionnés par les gendarmes en charge de l’enquête, pour déterminer les circonstances de ce meurtre.

    ACTU 17


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  • Un homme âgé de 47 ans a tenté de se suicider en s’immolant par le feu, sur un parking de Perpignan (Pyrénées-Orientales), vendredi soir. Vers 19h30, des passants ont aperçu des flammes puis vu un homme s’effondrer sur un passage piéton, dans le secteur du Pont-Joffre.

    Aidés d’un commerçant muni d’un extincteur, les témoins de la scène se sont précipités sur la victime pour éteindre le feu sur ses vêtements et sa peau. « L’homme est resté en flammes une quarantaine de secondes », a témoigné un intervenant auprès de Midi Libre.

    Brûlé au visage

    Alertés, les pompiers et le SAMU sont rapidement arrivés sur place pour prendre en charge le malheureux.

    Sérieusement brûlé sur la partie haute du corps et particulière au visage, la victime a été conduite au centre hospitalier de Perpignan. Le quadragénaire devait être transféré vers un service spécialisé.

    ACTU 17


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  • Un homme qui entraînait des jeunes au sein d’un club de football des Yvelines a été mis en examen et écroué vendredi, soupçonné de viols et agressions sexuelles sur mineurs, a indiqué le parquet de Versailles samedi. Agé de 46 ans, l’homme est également suspecté de « tentatives de viols, agressions sexuelles sur mineur de 15 ans et corruption de mineurs », a précisé la même source, confirmant une information du Parisien.

    Le quadragénaire, « entraîneur d’un club de foot à Magnanville et également tuteur d’apprentis dans son emploi, a profité de ces deux positions vis-à-vis des jeunes », a expliqué le parquet, soulignant que le suspect avait déjà été « condamné pour des faits correctionnels d’agression sexuelle en 2008 ».

    Le maire a réagi

    Certains faits ont eu lieu à son domicile où il disposait d’une salle de musculation dans laquelle il faisait venir les jeunes. A ce jour, cinq garçons, nés entre 2000 et 2003, sont concernés par la procédure, pour des faits remontant à 2016-2017 et 2019. Interpellé mercredi après la plainte déposée par l’un d’entre eux, le quadragénaire a reconnu les faits en garde à vue.

    « J’ai confiance en la justice pour faire toute la lumière dans cette affaire », a indiqué le maire de la ville Michel Lebouc sur sa page Facebook, soulignant que « ces accusations graves visent une personne dans sa sphère privée et ne sauraient en aucun cas impliquer nos structures ». L’enquête a été confiée à la Sûreté départementale des Yvelines.

    20 Minutes


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  • Vosges : 7 personnes interpellées par les gendarmes, de la drogue et des armes saisies

    Les gendarmes des Vosges ont donné un coup d’arrêt à un réseau de trafiquants de stupéfiants, ce mardi. De nombreuses armes ont été saisies.

    Une opération des gendarmes de Saint-Dié-des-Vosges a permis l’interpellation de sept suspects, au terme d’une enquête sur un trafic de stupéfiants. Outre de la drogue, les enquêteurs ont saisi des armes et de l’argent.

    33 armes à feu, de la drogue et de l’argent liquide

    Ils ont ainsi placé sous scellés 3 g d’héroïne, 63 grammes de résine de cannabis, 150 g d’herbe de cannabis, près de 100 g de cocaïne et 127 cachets d’ecstasy. Les gendarmes ont également saisi 33 armes de poing et d’épaule accompagnées de centaines de munitions. Enfin, lors d’une perquisition à Rambervillers, ils ont mis la main sur une importante quantité d’argent liquide.

    2 suspects incarcérés

    Dans un communiqué, le procureur de la République d’Épinal a indiqué que « sept personnes ont été présentées au magistrat instructeur puis mises en examen », ce jeudi, dans le cadre d’une information judiciaire ouverte pour « trafic et usage de produits stupéfiants » et « association de malfaiteurs en vue de commettre un délit ». Trois suspects ont été placés en détention provisoire.

    ACTU 17


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  • Les enquêteurs du commissariat de Stains en Seine-Saint-Denis ont passé plusieurs semaines sur ce dossier. Un groupe d’individus était soupçonné de voler des voitures puis de les revendre. Huit suspect ont été interpellés puis déférés. Le préjudice dépasse les 500 000 euros.

    Tout a débuté par la vigilance des policiers de la brigade anticriminalité (BAC) qui, en novembre dernier, ont repéré qu’un parking sous-terrain dans le quartier du Clos Saint-Lazare de Stains, servait à des voleurs de voiture. Ces derniers déposaient les véhicules qu’ils avaient dérobés dans les communes voisines, notamment à Pierrefitte-sur-Seine et à Saint-Denis mais également dans le Val-d’Oise, à cet endroit.

    Une surveillance a été mise en place et une enquête préliminaire ouverte. Les suspects ont rapidement été identifiés. Le groupe de voleurs présumés dérobait à chaque fois le même type de voiture : des Nissan Qashqai et X-Trail ainsi que des Peugeot 3008 et 5008.

    Les enquêteurs ont alors observé le mode opératoire des suspects et ont mené des investigations. A bord d’un véhicule, ils effectuaient des rondes pour repérer une cible. L’un descendait pour crocheter la porte du véhicule tandis que son complice faisait le guet à proximité.

    De fausses plaques d’immatriculation et des reventes

    La voiture choisie était alors dérobée à l’aide d’une clef de démarrage, fabriquée avec un boitier de ré-encodage. Une technique qui permettait de faire main basse sur les véhicules sans laisser de traces d’effraction. La voiture dérobée était alors amenée jusqu’au parking du Clos Saint-Lazare.

    De fausses plaques d’immatriculation étaient alors apposées sur le véhicule volé qui était revendu peu après. Les transactions s’effectuaient dans ce même parking, à l’abri des regards.

    Huit suspects de 16 à 23 ans interpellés

    Les policiers sont parvenus à récolter de nombreux éléments mettant en cause les huit suspects durant près de deux mois. Ce lundi après-midi, un dispositif a donc été mis en place afin d’interpeller les voleurs présumés. Ces derniers venaient à nouveau de voler une Peugeot 3008 lorsque plusieurs d’entre eux ont été arrêtés. Les autres ont été interpellés dans un second temps, peu après.

    Au total, huit auteurs présumés dont deux mineurs, âgés de 16 à 23 ans ont été placés en garde à vue. Le boitier de ré-encodage a été saisi par les enquêteurs, tout comme du matériel pour effacer les empreintes et une tige de crochetage. Les six majeurs sont déjà bien connus des services de police et de la justice pour des faits de vols, violences et séquestration. L’un a été déjà condamné dans une affaire de meurtre selon une source policière.

    Les enquêteurs ont estimé que le préjudice total dépassait les 500 000 euros. Les huit mis en cause ont été déférés au parquet ce jeudi soir.

    ACTU 17


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  • Var : Disparue depuis le Nouvel an, le corps sans vie de Laëtitia retrouvé

    Laëtitia Hemery, 31 ans, était mère de 4 enfants. Elle était portée disparue depuis la nuit du Nouvel an. Son ex-concubin a reconnu l’avoir tué et a indiqué aux enquêteurs l’endroit où il avait abandonné le corps de la victime.

    Triste dénouement dans l’affaire de la disparition de Laëtitia Hemery. La jeune femme de 31 ans avait disparu la nuit de la Saint-Sylvestre, qu’elle avait passée avec son ex-compagnon à Toulon (Var).

    Ce dernier avait été rapidement placé en garde à vue puis mis en examen pour « homicide volontaire par concubin » avant d’être placé en détention provisoire. De nouveau interrogé ce jeudi matin par la juge d’instruction, le mis en cause est passé aux aveux et « a proposé de désigner l’endroit où il s’était débarrassé du corps. Le corps a été retrouvé sur ses indications par les gendarmes », a annoncé le procureur de la République Benard Marchal.

    Le corps sans vie de Laëtitia a été découvert dans le secteur du Mont-Faron, sur les hauteurs de Toulon a indiqué le magistrat. Une autopsie sera pratiquée ce vendredi afin de déterminer les causes de la mort de la défunte qui était la mère de quatre enfants.

    Déjà condamné par la justice dans le passé

    Le mis en cause âgé de 36 ans qui habite La Crau était la dernière personne à avoir vu Laëtitia vivante. La jeune femme avait appelé son fils aîné vers 2 heures du matin pour lui souhaiter la bonne année, ce dernier étant resté à Brignoles cette nuit-là, où elle vivait. L’homme avait déjà été condamné par la justice dans le passé et avait des précédentes de violences conjugales.

    Dans ses premières explications, le trentenaire avait indiqué qu’après avoir quitté le restaurant où ils avaient passé la soirée, ils auraient eu un différend concernant la suite de la nuit : alors qu’elle souhaitait la poursuivre, lui voulait rentrer. Des explications que les enquêteurs vont devoir vérifier.

    La famille de Laëtitia avait lancé un appel à témoins peu après sa disparition tout comme la gendarmerie du Var. En outre, une cagnotte sur la platerforme Leetchi a été ouverte pour venir en aide aux quatre orphelins.

    ACTU 17


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  • Une cellule psychologique a été ouverte dans le collège où la jeune fille était scolarisée. Ses parents en état de choc ont été pris en charge par les médecins.

    Terrible drame en Dordogne, à Saint-Germain-du-Salembre. Une adolescente de 12 ans a été retrouvée morte dans sa chambre ce mercredi en fin d’après-midi raconte Sud-Ouest. Cette dernière s’est suicidée en se pendant. Elle était une élève de 5e au collège Henri-Bretin de Neuvic.

    Le parquet de Périgueux a ouvert une enquête afin de déterminer les causes et les circonstances du décès de la petite fille. Les gendarmes de Périgueux ont été chargés de mener les investigations.

    Les parents de la défunte sont sous le choc et ont été pris en charge par l’équipe médicale. Dans le même temps, la direction du collège a ouvert une cellule psychologique afin que les élèves qui auraient besoin de s’exprimer après ce drame, puissent le faire.

    ACTU 17


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  • Au Japon, la police a découvert une montagne de courrier chez un ancien postier. Poursuivi par la justice, il a expliqué qu’il trouvait trop « barbant » de le distribuer.

    L’ancien facteur a été « entendu par le procureur pour violation présumée de la loi postale », a déclaré vendredi à l’AFP un porte-parole de la police. Les médias japonais ont rapporté que l’homme, âgé de 61 ans, avait, dans son domicile de Kanagawa, près de Tokyo, quelque 24.000 pièces envoyées entre 2003 et 2019.

    « Moins capable que les jeunes »

    Il a dit à la police, selon les médias japonais, qu’il trouvait « trop barbant de les distribuer ». « Je ne voulais pas que mes collègues pensent que j’étais moins capable que les jeunes », avait-il ajouté. S’il est reconnu coupable, il risque une peine de prison de moins de trois ans et jusqu’à 500.000 yens (4.100 euros), a précisé le porte-parole de la police.

    Japan Post l’a limogé lorsque l’affaire a été découverte fin 2019 et a présenté ses excuses pour la non-distribution du courrier, promettant de faire en sorte que les lettres et paquets découverts arrivent finalement à destination.

    20 Minutes


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  • USA : La professeure avait des relations sexuelles avec ses élèves

    Son procès s’apprêtait à débuter, mais Nicole Dufault a préféré passer un accord avec la justice américaine. Cette professeure employée dans un lycée du New Jersey a été arrêtée en septembre 2014 pour avoir eu des relations sexuelles avec des adolescents âgés de 14 et 15 ans. L’enquête avait révélé qu’entre 2013 et 2014, elle a eu plusieurs rapports inappropriés avec les jeunes garçons. Elle avait même été vue sur une vidéo en plein acte avec l’une de ses victimes, pendant qu’un autre garçon se trouvait à côté, rapporte le "New York Post".

    Les poursuites déposées contre la professeure en 2017 et 2018 réclamaient «des dommages-intérêts pour les actions de Nicole Dufault» et affirmaient que l’accusée avait contraint les élèves à pratiquer du sexe oral et leur avait mis la pression grâce à son autorité en tant qu'enseignante. Les plaintes faisaient également état d’une détresse émotionnelle et des blessures psychologiques des victimes.

    Nicole Dufault leur parlait régulièrement de sexe mais collait également son corps à eux tout en leur touchant les parties intimes, devant d’autres élèves. Elle connaîtra sa peine le 8 juin prochain. Dans son accord passé avec la justice, elle doit déjà s’inscrire en tant que délinquante sexuelle et n’a évidemment plus le droit d’exercer.

    Paris Match

    Si les nanas s'y mettent aussi ! happy


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  • Selon les premiers éléments communiqués par la police locale, la fusillade est probablement liée à un "différend personnel".

    Six personnes ont été tuées vendredi dans une fusillade à Rot am See, dans le sud-ouest de l'Allemagne, selon plusieurs médias, tandis que la police a annoncé qu'il y avait "vraisemblablement" eu plusieurs morts.

    La fusillade, dont l'auteur présumé a été arrêté, s'est produite à la mi-journée dans la région proche de Stuttgart. Plusieurs personnes ont également été blessées, selon la police locale, qui a déployé sur place un important dispositif.

    Des membres d'une même famille?

    Les victimes sont toutes membres de la même famille, assure le quotidien Bild sur son site internet alors que la police s'est contenté d'indiquer que les personnes impliquées dans la fusillade se connaissaient.

    Le tireur présumé est un homme né en 1983, selon Bild. Il a agi seul et il n'y a aucun indice de l'éventuelle existence d'un complice, d'après l'agence de presse allemande dpa.

    La fusillade s'est produite vers 12h45 près de la gare de Rot am See, une localité de 5200 habitants proche de la ville de Heidelberg, dans l'Etat régional du Bade-Wurtemberg.

    BFM.TV


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  • Pérou: un camion explose en ville, au moins quatre morts

    L'explosion d'un camion transportant du gaz a fait jeudi au moins quatre morts, 49 blessés et détruit 14 maisons dans un quartier sud de Lima, a indiqué le ministère de la Santé.

    Deux des quatre victimes sont un enfant de neuf ans et une jeune homme de 18 ans, tous deux décédés à l'hôpital où ils avaient été transportés pour des brûlures graves, a indiqué le ministère.

    "La majorité des blessés ont des brûlures sur environ 80% de leur corps", a précisé la ministre de la Santé, Maria Luisa Hinostroza. Sept enfants blessés sont dans un état grave, a indiqué de son côté le directeur de l'Institut de la Santé, Ricardo Zopfi, interrogé par une radio.

    L'accident, très spectaculaire, a eu lieu peu avant 7h00 locales (12h00 GMT), quand la majorité des 500.000 habitants de Villa El Salvador sortaient pour aller travailler.

    L'explosion s'est produite à la suite d'une fuite de gaz, provoquée par le décrochage d'un tuyau du camion à la suite d'un cahot sur la route.

    Quelque 13 camions de pompiers ont été nécessaires pour venir à bout de l'incendie, qui a détruit au moins 14  habitations autour du lieu de l'explosion.

    "Il faut enquêter sur les causes" de l'accident, a déclaré à la presse le président Martin Vizcarra.

    AFP

    La cause, un mauvais état de la route !


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  • Cet homme de 34 ans a été arrêté mercredi à Rilleux-la-Pape pour avoir harcelé et agressé son ex-compagne. Il a proféré à de multiples reprises des menaces de mort.

    En moyenne, cela représente une vingtaine d'appels par jour. Un homme de 34 ans a été arrêté mercredi à Rillieux-la-Pape, près de Lyon, après avoir notamment harcelé son ex-compagne. Entre la fin du mois d'août et le mois de janvier, il l'a appelé près de 3.000 fois.

    Une agression le 1er janvier

    Lors de ces appels, il aurait proféré plusieurs menaces de mort. Outre le harcèlement, il pouvait lui arriver de la suivre. Le 1er janvier, il l'a également agressé, la blessant et lui occasionnant 10 jours d'interruption totale de travail (ITT).

    Le couple était séparé depuis 2016 et il n'a "pas supporté qu'elle refasse sa vie", précise la police. En garde à vue, il n'a reconnu que le harcèlement. Il devait être présenté vendredi au parquet en vue de sa probable mise en examen.

    BFM.TV


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  • Un ado de 16 ans massacre sa famille, "petit à petit", pendant 5 heures

    Le massacre a duré cinq heures. Le 17 janvier dernier, un adolescent de 16 ans a tué sa mère, ses trois frères et sœurs et blessé son père à Grantsville, dans l’Utah.

    Mercredi, le procureur a dévoilé les détails de ce crime familial d’une rare violence. «Il a fait ça sur une durée de 5 heures, petit à petit. Cela n’a pas été un horrible acte qui ne s’est passé qu’en une minute», a-t-il expliqué.

    Colin Jeffery «CJ» Haynie a été officiellement inculpé, comme un adulte, mercredi pour meurtres, tentative de meurtre et possession d’arme à feu, rapporte le «Desert News». S'il est reconnu coupable, l’adolescent pourrait écoper de la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle. Parce qu’il est mineur, il évite la peine de mort.

    Il a avoué les meurtres à un voisin

    Les autorités n’ont pas encore de mobile à ce crime. «Nous n’avons pas de réponse concernant ses motivations ni sur son état mental à ce moment-là. Il refuse de parler à la police. Nous avons tous les mêmes questions. Pourquoi ? Nous ne savons pas. Nous espérons que nous développerons ça plus tard», a fait savoir le procureur.

    Le premier meurtre a eu lieu à 13 heures, lorsque la mère de CJ Haynie, Consuelo Alejandra Haynie, 52 ans, et sa sœur de 12 ans, Milan, sont revenues de l’école. Il leur a tiré dessus à plusieurs reprises, dans la tête, le cou, et le haut du corps. Une heure plus tard, Alexis Haynie, 15 ans, a également reçu plusieurs balles dans la tête et le corps en rentrant de l’école. Vers 17h15, Matthew Haynie, 14 ans, a été tué d’une balle en pleine tête. Le père de famille, Colin Haynie, est arrivé vers 18 heures et a été blessé à la jambe une première fois. En essayant de désarmer son fils, il a reçu un coup à la tête avec un objet pas encore identifié. Le père a finalement réussi à maitriser la situation. Fait étonnant, le fils a ensuite accepté de le suivre à l’hôpital.

    Les autorités ont fait savoir ne pas comprendre comment l’adolescent a pu passer de l’envie de tuer toute sa famille à aider son père jusqu’aux urgences. C’est un voisin qui a conduit le père et le fils à l’hôpital. Sur le chemin, CJ Haynie a déclaré avoir tué sa famille. Le voisin a alors immédiatement prévenu la police. Les funérailles des victimes auront lieu vendredi. Le père, qui a survécu, sera accompagné de l’ainé de la famille, Danny Haynie, étudiant à l’Université de Utah Valley.

    Paris Match

    Mais pourquoi ?


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  • Affaire dos Santos : un banquier portugais retrouvé mort

    L’homme était le gestionnaire des comptes de la fille de l’ancien président de l’Angola, elle-même mise en cause pour une série de délits présumés.

    Il se serait suicidé. Un banquier portugais, visé par la justice d’Angola dans le cadre de l’affaire Isabel dos Santos, a été retrouvé mort chez lui à Lisbonne (Portugal). « Le corps [de Nuno Ribeiro da Cunha] a été retrouvé hier soir et tous les indices portent à croire qu’il s’agit d’un suicide », a indiqué un porte-parole de la police portugaise. Il « se serait suicidé par pendaison dans son garage », a précisé la police dans un communiqué.

    L’homme de 45 ans, qui travaillait pour la banque Eurobic, dont Isabel dos Santos est l’actionnaire principale, a été, comme elle, mis en cause mercredi par la justice angolaise. Le nom de Nuno Ribeiro da Cunha apparaît dans les documents des « Luanda Leaks », l’enquête du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) publiée dimanche et qui accuse Isabel dos Santos d’avoir « siphonné les caisses du pays » africain.

    Fraude, détournement et blanchiment

    Selon les médias portugais, le banquier était le responsable de la banque privée au sein d’Eurobic et le gestionnaire des comptes d’Isabel dos Santos. La fille de l’ancien président angolais, José Eduardo dos Santos, a été formellement accusée en Angola de toute une série de délits, parmi lesquels fraude, détournement de fonds et blanchiment d’argent. Elle devra également répondre d’accusations de trafic d’influence, d’abus de biens sociaux et faux en écritures durant son mandat à la tête du groupe pétrolier public Sonangol.

    Le procureur général angolais Helder Pitta Gros est arrivé jeudi à Lisbonne où il doit rencontrer son homologue portugais, a confirmé le ministère public, sans donner plus de précisions.

    Après la mise en cause d’Isabel dos Santos dans l’enquête du Consortium, Eurobic a annoncé sa décision de mettre fin à toute « relation commerciale » avec sa principale actionnaire. Mercredi, Eurobic a indiqué que la femme d’affaires va vendre ses parts au sein de la banque. Selon les médias portugais, elle aurait transféré des fonds d’origine douteuse au Portugal par l’intermédiaire de cette banque.

    Le Parisien


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  • Accident de motoneige au Québec : un Canadien mort, cinq touristes français disparus

    Un guide canadien est mort et cinq touristes français qui participaient à une randonnée en motoneige dans le nord du Québec sont portés disparus après que la glace a cédé sous le poids de plusieurs engins dans un secteur non balisé, a annoncé la police mercredi 22 janvier.

    L'accident est survenu mardi en début de soirée dans la région du lac Saint-Jean, lors d'une balade en motoneige avec un guide et huit touristes français qui a viré au drame.

    La police a été alertée par deux des touristes qui venaient de récupérer l'un des leurs dans les eaux glacées. Son engin avait percé la glace alors qu'ils traversaient une zone "hors piste" sur une rivière se jetant du lac Saint-Jean, à environ 225 km au nord de la ville de Québec, a précisé un porte-parole de la Sûreté du Québec, Hugues Beaulieu.

    Cinq touristes français manquent à l'appel

    La police et l'armée ont immédiatement été appelées en renfort. Elles ont secouru le guide de l'expédition, un Québécois de 42 ans qui était lui aussi tombé dans l'eau, mais l'homme est mort dans la nuit à l'hôpital, selon la même source."Cinq touristes français manquent toujours à l'appel", a indiqué le porte-parole.

    Huit plongeurs de la Sûreté du Québec sont arrivés sur place en début de matinée pour participer aux recherches et tenter de retrouver d'éventuels survivants. Le porte-parole n'écarte pas la possibilité que ces cinq touristes aient pu trouver refuge dans un chalet pendant la nuit, même si cette hypothèse est "assez improbable" selon lui.

    franceinfo


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  • Un collégien de 15 ans a été placé en garde à vue lundi après avoir poignardé un camarade de classe du collège Paul Jean Louis de Saint-Laurent de Maroni (270 km à l'ouest de Cayenne), a appris l'AFP auprès du procureur de la République de Cayenne, confirmant une information de Guyane la 1ère. "Dans une classe de Segpa (section d’enseignement général et professionnel adapté) de ce collège, un élève de 15 ans exclu du cours par le professeur, a fait irruption dans la classe, à la fin de ce même cours et a poignardé à deux reprises au niveau de l’abdomen un élève de sa classe également âgé d’une quinzaine d’années», a relaté à l'AFP le procureur de Cayenne Samuel Finielz.

    La victime a été transportée aux urgences du Centre hospitalier de l’Ouest guyanais (CHOG) de Saint-Laurent du Maroni mais ses jours sont hors de danger. Selon le magistrat du parquet, l’auteur présumé du double coup de couteau a été placé en garde à vue à la gendarmerie de Saint-Laurent du Maroni pour "tentative de meurtre". La brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie de Saint-Laurent du Maroni est saisie de l’enquête.

    Les élèves de la classe concernée et le professeur devaient être entendus sur les faits, toujours selon le numéro un du parquet. "Si la victime est hors de danger, il est très probable qu’elle gardera des séquelles des coups portés à l’abdomen avec l'arme, un couteau de cuisine", a indiqué lundi soir à l'AFP, une source judiciaire.

    Paris Match


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  • La douane a réussi une belle prise, la semaine dernière sur l'A31, au niveau du péage de Gye, en Meurthe-et-Moselle. Ils ont découvert 26 kilos de cocaïne, cachés sous un chargement de bananes. La cargaison a évidemment été saisie. Le chauffeur du camion, qui reliait Barcelone à Luxembourg, doit lui être jugé ce mercredi, a-t-on appris mardi auprès du parquet de Nancy.

    « Le chauffeur est turc et domicilié à Rotterdam », aux Pays-Bas, a indiqué le procureur de la République de Nancy, François Pérain, confirmant une information de L'Est Républicain. Selon le quotidien, la drogue saisie mardi dernier représente une valeur marchande de deux millions d'euros.

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