• Le tireur n’a laissé aucune chance à sa victime. Les forces de l’ordre ont été alertées vers 19h15 ce lundi soir pour des coups de feu sur la voie publique au niveau de la rue Laennec, à Garges-lès-Gonesse. A leur arrivée, la victime était déjà décédée.

    Cette dernière a été touchée par au moins trois tirs, au niveau du thorax. Selon les premiers éléments de l’enquête et témoignages, l’homme qui a été tué et qui était âgé de 32 ans, a été sorti de force de sa Renault Twingo au cours d’une altercation avec un autre individu.

    Le trentenaire a alors été visé par plusieurs coups de feu. Le tueur aurait hurlé « tu sais pourquoi ! » avant de prendre la fuite à pied. Sur place, sept étuis de calibre 9 mm ont été saisies par les enquêteurs.

    Le défunt était muni d’une arme à feu

    Les policiers ont découvert une arme de poing dans la veste de la victime qui était déjà connue des services de police, pour des faits liés aux stupéfiants selon une source proche de l’enquête.

    Le travail des techniciens de la police technique et scientifique s’est poursuivi durant une partie de la soirée. La police judiciaire a été chargée des investigations.

    ACTU 17


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  • La justice reproche à un homme d’avoir poignardé une policière en intervention, sauvée par son gilet pare-balles. En raison d’un délai procédural expiré, les magistrats ont été contraints de le libérer sous contrôle judiciaire.

    C’est une situation qui passe mal dans les rangs policiers. Le syndicat Alliance Police Nationale n’a pas caché sa colère : « C’est scandaleux !« , a-t-il réagi dans un communiqué. Et pour cause, les faits reprochés à ce jeune homme, se disant de nationalité marocaine et sans domicile fixe, sont particulièrement graves.

    Interpellé en plein cambriolage, il porte un coup de couteau à une policière

    L’affaire a débuté le 11 décembre dernier, lorsqu’un témoin a alerté la police qu’un cambriolage était en cours dans un bar de Bordeaux (Gironde). Rapidement sur place, les policiers ont surpris le suspect qui était caché dans la cave du commerce.

    Au lieu de s’avouer vaincu, le voleur armé d’un couteau a sauté sur une policière et l’a poignardée, avant de se faire interpeller. La lame s’est fichée dans le gilet pare-balles de la fonctionnaire de police, lui évitant d’importantes blessures voire pire.

    Le mis en cause se dit « mineur non accompagné »

    L’homme a été placé en garde à vue pour « vol avec effraction » et « tentative d’homicide sur personne dépositaire de l’autorité publique ». Mais le crime a été finalement requalifié en délit : « violences volontaires aggravées », relate Sud Ouest.

    Sans document d’identité, le mis en cause a affirmé aux enquêteurs être un mineur non accompagné âgé de 17 ans. Après recherches, les policiers se sont rendu compte qu’il était connu défavorablement de leurs services sous d’autres alias, le donnant majeur.

    Une expertise osseuse qui n’arrive pas

    Alors qu’il faisait l’objet d’une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel le 12 décembre, son avocate a plaidé l’incompétence de la juridiction, réservée aux majeurs. Les magistrats ont ordonné une expertise osseuse pour déterminer son âge, puis l’ont placé en détention provisoire.

    Le 17 décembre s’est donc tenue la nouvelle audience, mais l’expertise n’avait toujours pas été versée au dossier. Le jugement a donc été une nouvelle fois renvoyé, à jeudi dernier, et le prévenu est retourné en détention provisoire.

    Le jour de cette troisième audience, l’expertise osseuse était encore manquante. Le parquet a requis une nouvelle fois un renvoi d’audience accompagné du placement en détention du prévenu, mais en vain : le délai maximum de six semaines de détention provisoire, prévu pour les jugements en comparution immédiate, était expiré.

    Laissé libre sous contrôle judiciaire

    Les magistrats n’ont pas eu d’autre choix que de libérer l’homme, peu importe les faits qui lui sont reprochés. C’est ainsi que le prévenu, dont l’identité n’est pas certaine, se disant de nationalité marocaine et sans domicile fixe, a été libéré sous contrôle judiciaire.

    Dans son communiqué, le syndicat policier dénonce cette situation et insiste sur la nécessité « que le législateur se penche sur cette problématique et que les textes soient modifiés« .

    ACTU 17


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  • Un homme âgé de 38 ans a fait irruption au domicile de son ex-compagne à Ecquevilly (Yvelines) dans la nuit de mardi à mercredi avant de la poignarder à mort. Deux autres personnes ont été gravement blessées.

    Un homme est activement recherché par les forces de l’ordre depuis quelques heures. Peu avant 4 heures du matin dans la nuit de mardi à mercredi, le mis en cause âgé de 38 ans s’est présenté au pavillon de son ex-petite amie situé à Ecquevilly avant d’y pénétrer et de poignarder cette dernière.

    La victime de 34 ans est décédée peu après, malgré l’intervention des secours. L’agresseur a ensuite poignardé le nouveau compagnon de la victime ainsi que la sœur de cette dernière qui étaient présents dans le logement selon une source proche de l’enquête. Ils ont été conduits à l’hôpital alors qu’ils étaient en état d’urgence absolue.

    L’auteur de cette attaque au couteau avait entre temps pris la fuite avec la voiture de son ex-compagne. La gendarmerie et la police sont à sa recherche. Ce dernier est déjà connu des forces de l’ordre pour des faits de violences conjugales en 2015 selon cette même source.

    Une enquête a été ouverte et confiée à la Section de recherches de Versailles.

    ACTU 17


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  • Laissée libre, elle doit être jugée en mai 2020 devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Une femme de 41 ans a été placée en garde à vue mercredi, près d’un an après la plainte déposée par la famille de la nonagénaire qui l’employait, en centre-ville. Les proches de cette femme âgée, hospitalisée à l'époque et décédée depuis, ont constaté des mouvements étranges sur ses comptes bancaires, desquels 15.000 euros avaient disparu.

    L’enquête des policiers de la Brigade de répression de la délinquance astucieuse s’est orientée vers cette aide ménagère, qui travaillait depuis quatre ans chez la vieille dame. La quadragénaire aurait détourné la somme en l’espace de trois mois : 3.500 euros de retraits auprès de distributeurs automatiques, 4.500 euros de paiements en carte bancaire et 7.000 euros de chèques.

    Ordinateur, produits multimédias et vêtements

    La perquisition au domicile de cette femme, qui a en grande partie avoué les faits, s’est révélée fructueuse : les enquêteurs ont ainsi retrouvé un ordinateur payé grâce à la carte bleue de la victime, mais aussi d’autres appareils multimédias et des vêtements achetés avec l’argent de la nonagénaire.

    20 Minutes


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  • C’est la banque, alertée par des mouvements suspects, qui a donné l’alerte. Une sexagénaire et son mari ont été interpellés et placés en garde à vue le lundi 20 janvier par les gendarmes de Castelginest​, dans la banlieue de Toulouse, rapporte La Dépêche du Midi. La femme est soupçonnée d’avoir anticipé son héritage en captant en quelques mois 120.000 euros sur l’épargne de sa mère affaiblie et résidant depuis peu en maison de retraite.

    Le couple, qui avait obtenu procuration sur les comptes bancaires, procédait par petits virements anodins, transférant progressivement les économies de l’aïeule. La victime présumée a pourtant un deuxième enfant, forcément lésé par ces opérations.

    Toujours selon le quotidien régional, les comptes de la vieille dame ont été gelés en attendant le procès du couple, prévu pour novembre devant le tribunal correctionnel de Toulouse.

    20 Minutes


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  • Une femme de 26 ans a été interpellée lundi à Toulouse. L’auxiliaire de vie a reconnu avoir détourné l’argent de deux personnes vulnérables. Elle avait parié sur du foot avec la carte bancaire d’une des victimes

    Elle a reconnu les faits en garde à vue, et passera ultérieurement devant la justice, dans le cadre d’une procédure de plaider-coupable. Une auxiliaire de vie de 26 ans a été interpellée lundi chez elle, à Toulouse, à la suite d’une enquête pour abus de faiblesse conduite par la brigade territoriale centre.

    Les policiers ont travaillé sur deux affaires remontant à fin 2018. La jeune femme travaillait alors notamment pour une personne handicapée, qui lui confiait sa carte bancaire afin de faire les courses. La suspecte en aurait profité pour faire des paris en ligne sur des matchs de football.

    Une seconde victime identifiée

    Le montant du préjudice ? 700 euros, auxquels on peut ajouter 400 euros soutirés à une autre victime, sous curatelle. Dans ce second cas, l’auxiliaire de vie aurait retiré l’argent à des distributeurs automatiques, après avoir subtilisé la carte bancaire, remise ensuite en toute discrétion dans sa « cachette » initiale.

    20 Minutes


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  • Perdus dans la jungle amazonienne, une mère et ses enfants survivent 34 jours en se nourrissant de baies

    © LUIS ROBAYO / AFP C'est près du fleuve putamayo que la mère s'est perdue

    Une femme colombienne et ses trois enfants ont été retrouvés par des autochtones péruviens alors qu'ils étaient perdus dans le nord du Pérou depuis 34 jours, a relaté la BBC lundi. 

    Sans vivres, ils ont survécu en se nourrissant de graines, plantes et baies trouvées dans la jungle où ils se sont perdus après avoir rendu visite à des proches près de la frontière entre la Colombie et le Pérou. 

    "On s'évanouissait"

    "Lorsque nous ne pouvions pas boire toutes les 30 minutes, on s'évanouissait, nous devions nous arrêter tout le temps et les filles ne pouvaient plus marcher", détaille la mère. 

    Après 34 jours, la mère et les enfants âgés de 10, 12 et 14 ans ont rencontré  des membres du groupe indigène Secoya, qui ont averti la marine péruvienne. Finalement secourue en aéroglisseur par la marine colombienne, la famille a été hospitalisée en Colombie.

    Souffrant de malnutrition et de déshydratation, les quatre membres de la famille ont été retrouvés couverts de piqûres. Ils seront testés pour les maladies transmises par les moustiques, comme la malaria ou la fièvre jaune. 

    BFM.TV


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  • Un adolescent de 18 ans a été interpellé puis placé en garde à vue ce dimanche soir à Argenteuil (Val-d’Oise). Il venait de donner plusieurs coups de couteau à son père en hurlant « Allah Akbar ».

    Les policiers ont été alertés vers 23 heures par la victime. Ce père de famille venait de se réfugier chez un voisin après avoir quitté précipitamment l’appartement familial raconte Le Parisien.

    Âgé de 55 ans, il a raconté aux forces de l’ordre que son fils de 18 ans lui avait porté plusieurs coups de couteau avant de se retrancher dans le domicile. L’homme a aussi précisé que son agresseur avait hurlé « Allah Akbar » à plusieurs reprises au moment des faits.

    Les policiers se sont rendus sur place, rue de Poirier-Fourrier à Argenteuil. Ils sont intervenus en prenant un maximum de sécurité, ne connaissant ni la profil ni les motivations du mis en cause, ce dernier pouvant potentiellement disposer de plusieurs armes.

    Un couteau avec une lame de 16 cm

    En arrivant au 2ème étage, les forces de l’ordre ont aperçu un jeune homme qui était immobile. Ce dernier a été immédiatement interpellé. A la ceinture, le suspect avait un couteau avec une lame de 16 cm. Une arme qui a été appréhendée par les policiers.

    Le père de l’agresseur a expliqué qu’il était parvenu à parer le premier coup de couteau porté par son fils au niveau de son abdomen mais qu’il avait été touché par le second, au niveau de la tête. Souffrant d’une plaie au cuir chevelu, il a été pris en charge par les pompiers et conduit à l’hôpital.

    Hospitalisé sous contrainte

    Le mis en cause a été placé en garde à vue pour tentative d’homicide. Il a ensuite fait l’objet d’un examen de comportement puis a été hospitalisé sous contrainte pour des problèmes psychiatriques.

    ACTU 17


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  • Ce sont des enquêteurs de la police judiciaire qui ont mis la main sur cette importante quantité de drogue. Sa valeur marchande avoisine les 25 millions d’euros.

    L’enquête était menée par l’Ofast (l’Office anti-stupéfiants, anciennement nommé OCRTIS), sous la direction des magistrats de la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS). Les enquêteurs ont mis au jour un important trafic de produits stupéfiants qui les a conduit à la saisie de 700 kg de cocaïne et trois interpellations.

    La drogue venait d’être livrée à une entreprise à Montussan (Gironde) dissimulée dans un chargement de bois, révèle Le Point. Trois individus de nationalité française ont été interpellés alors qu’ils avaient été mandatés pour récupérer la cocaïne. Ces « logisticiens » âgés d’une trentaine d’années ont été placés en garde à vue.

    Fusils d’assaut, armes de poing, gilets pare-balles

    Les trois hommes étaient défavorablement connus de la justice pour des faits de violence et de trafic de stupéfiants. Ils auraient agi à l’insu du directeur de l’entreprise.

    Les enquêteurs ont également saisi deux fusils d’assaut, trois armes de poing, des gyrophares, des gilets pare-balles, et plusieurs dizaines de milliers d’euros.

    Une précédente saisie importante de cocaïne

    Vendredi au Marché d’intérêt national de Rungis (Val-de-Marne), une autre saisie de cocaïne a eu lieu. Cette fois c’est un employé qui a découvert 500 kg de drogue cachés dans un chargement de bananes en provenance de Colombie.

    ACTU 17


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  • Une autopsie et des analyses ADN ont été requises par le parquet pour identifier avec certitude la victime.

    Une enquête est en cours après la découverte du cadavre carbonisé d’une femme âgée d’une soixantaine d’années, ce lundi après-midi. Le corps se trouvait dans un cellier fermé de l’intérieur, au domicile de la victime situé à Luxeuil-les-Bains (Haute-Saône).

    Ce sont des proches de la sexagénaire qui ont fait la macabre découverte, relate France Bleu. Elle n’avait pas donné de nouvelles depuis vendredi. Le procureur de la République de Vesoul a indiqué que, d’après les premiers éléments recueillis par les gendarmes en charge de l’enquête, la piste du suicide est privilégiée.

    Un rendez-vous pour vendre l’habitation ce vendredi

    La victime avait rendez-vous chez le notaire pour vendre cette maison, dans laquelle elle vivait seule. La sexagénaire était mère de deux enfants âgés d’une vingtaine d’années.

    Un bidon d’essence se trouvait près du corps. Les gendarmes de la brigade de recherches de Lure sont en charge de l’enquête pour « recherche des causes de la mort ».

    ACTU 17


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  • Un équipage de police est intervenu à l’arrivée d’un TER qui reliait Marseille à Gardanne (Bouches-du-Rhône), après l’appel de détresse d’une voyageuse. Elle venait de subir des attouchements sexuels de la part d’un homme qui était assis à côté d’elle.

    Munis de la description de l’agresseur sexuel, les policiers l’ont identifié dès sa descente du train et l’ont interpellé. Le jeune homme de 22 ans, un Algérien en situation irrégulière sur le territoire national et défavorablement connu des services de police, a été placé en garde à vue. Il a d’abord nié avant de reconnaître les faits reprochés.

    De la cocaïne bien dissimulée

    Au commissariat, le suspect a dégradé la porte des toilettes. Il a ensuite été trouvé porteur de pochons de cocaïne qu’il dissimulait « dans des cavités naturelles« , rapporte La Provence. Lorsqu’il a fallu procéder à une seconde audition, le gardé à vue s’est mis à insulter l’interprète et à lui proférer des menaces.

    Compte tenu du fait qu’il n’a pas de domicile connu et qu’il se trouve sur le territoire national de manière irrégulière, le suspect a été placé en détention en attente de son procès. Il est poursuivi pour « agression sexuelle », « détention de produits stupéfiants », « dégradations volontaires de bien public » et « menace de crime ou de délit à l’encontre d’un chargé de mission de service public » !

    ACTU 17

    Qu'est ce que ce type fait encore en France ???


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  • L’accident s’est produit sur le parking d’un supermarché de Briec, près de Quimper dans le Finistère, ce vendredi peu avant 13 heures. Une jeune femme âgée de 19 ans, travaillant dans les environs du supermarché, prenait une pause cigarette dans sa voiture.

    Brûlée au visage et aux mains

    Elle venait d’utiliser du déodorant en spray dans l’habitacle, relate Le Télégramme. Au moment où la jeune femme a allumé sa cigarette, elle a été grièvement brûlée au visage et aux mains par un retour de flammes.

    Un hélicoptère Dragon 29 de la Sécurité civile a été dépêché sur place pour la prendre en charge et la conduire au service des grands brûlés du CHU de Nantes.

    ACTU 17


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  • La ruse est connue, mais continue de faire des ravages. Ce vol à la fausse qualité a été particulièrement lucratif pour les trois malfaiteurs.

    Le manège bien rôdé de trois voleurs a débuté ce dimanche après-midi, devant le domicile d’une habitante de Saint-Maur dans le Val-de-Marne. Peu après 14 heures, un inconnu s’est présenté devant la porte du pavillon d’une vieille dame qui vit seule. Sans se méfier, elle lui a ouvert le portail via l’interphone, pensant qu’il s’agissait d’un couple qu’elle connaissait.

    Elle a fait face à un homme qui lui a affirmé être un agent des eaux de chez Véolia, et qui lui a demandé à vérifier ses robinets, sous un prétexte fallacieux : une canalisation aurait cédé dans la rue. La vieille dame a accepté qu’il entre chez elle.

    Le piège se referme

    Le faux agent s’est mis à inspecter l’habitation au pas de course, en visitant toutes les pièces qui accueillent un point d’eau, rapporte Le Parisien. Il en a profité pour dérober des objets sans valeur. Soudain, deux autres hommes ont déboulé en déclinant leur qualité de policiers, carte professionnelle à l’appui. « Nous venons d’interpeller un faux agent des eaux » ont-il affirmé.

    Il ont désigné à la vieille dame les objets que l’agent des eaux venait de s’approprier chez elle. Un acte qui a eu pour effet de rassurer la victime de ce scénario bien huilé. Mais c’est à partir de là que les choses ont mal tourné pour elle.

    50 000 euros en espèces

    Le duo a alors invité l’habitante à vérifier que ses biens de valeur se trouvaient toujours à leur place. Convaincue qu’il s’agissait de vrais policiers, elle s’est exécutée. La victime a alors sorti les 5 000 euros dissimulés dans son réfrigérateur, puis 3 000 euros entreposés dans une boîte dans la cuisine, ainsi que 5 000 euros qui étaient cachés dans la hotte aspirante.

    Habitués à s’attaquer aux personnes âgées, les faux policiers ont insisté pour vérifier la chambre à coucher de la victime. En confiance, elle a ouvert une trappe située près de son lit, contenant 25 000 euros. D’autres liasses de billets ont aussi été retrouvées dans l’habitation, pour un montant total avoisinant les 50 000 euros.

    « C’est Al-Qaïda. Bouge pas sinon je te tue »

    Face à l’insistance des deux hommes, le doute quant à leur qualité professionnelle s’est immiscé dans l’esprit de la vieille dame. Elle a alors entrepris de téléphoner à sa fille, par sécurité. Les deux malfaiteurs l’ont immédiatement menacée de mort : « C’est Al-Qaïda. Bouge pas sinon je te tue » lui a lancé l’un d’eux.

    Sous le choc, la malheureuse leur a finalement désigné une cloison, derrière laquelle se trouvaient cinq lingots d’or d’un kilo, d’une valeur d’environ 45 000 euros chacun.

    Son calvaire aurait pu se terminer ici. Mais les voleurs lui ont intimé l’ordre de se déshabiller, avant de l’asperger sur tout le corps d’un liquide inconnu. Il lui ont ensuite ordonné de rester immobile durant dix minutes afin qu’ils puissent disparaître.

    La police judiciaire en charge de l’enquête

    Lorsque les policiers de Saint-Maur sont arrivés sur place, le trio de malfaiteurs était déjà loin. Les spécialistes de l’identité judiciaire ont procédé aux constatations d’usage et aux relevés d’indices.

    Vu le montant du préjudice, qui s’élève à près de 275 000 euros, le parquet de Créteil a ouvert une enquête qu’il a confiée au Service départemental de la police judiciaire du Val-de-Marne.

    ACTU 17


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  • Le corps sans vie d’un gendarme de 38 ans a été retrouvé dans son logement de service à Valenciennes (Nord), dans la nuit de vendredi à samedi. Ce dernier s’est donné la mort en utilisant son arme.

    La gendarmerie nationale a perdu l’un des siens. Benjamin B. était un maréchal des logis âgé de 38 ans. « Le corps sans vie d’un gradé de 38 ans affecté à la brigade de gendarmerie de Valenciennes a été découvert dans son logement de service, peu après minuit », dans la nuit de vendredi à samedi explique la gendarmerie des Hauts-de-France dans un communiqué.

    « Seul au moment des faits, ce gradé qui était en instance de séparation aurait utilisé son arme de service pour mettre fin à ses jours », peut-on également lire. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances de la mort de ce militaire. La police nationale a été chargée de l’enquête par le parquet.

    « Face à ce terrible drame, nos pensées sont tournées vers la famille de ce gradé et vers ses camarades », a écrit la gendarmerie pour conclure son communiqué.

    Il s’agirait du premier gendarme à se suicider depuis le 1er janvier alors qu’au moins 17 ont mis fin à leurs jours en 2019. Dans le même temps, au moins 4 policiers nationaux ont commis l’irréparable depuis le début de l’année. 59 autres se sont ôter la vie l’année dernière.

    ACTU 17


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  • C'est un agent recenseur qui a alerté les secours. La semaine dernière, lors de son passage chez une habitante de Ménéac (Morbihan), il trouve porte close, mais entend des bruits à l'intérieur du logement, rapporte Ouest France. Il regarde alors par une fenêtre de la petite maison et aperçoit le corps inanimé d'une femme. L'agent alerte alors les gendarmes.

    Des chiens affamés 

    À leur arrivée, ils découvrent le corps sans vie de la sexagénaire, décédée  depuis plusieurs jours vraisemblablement. Âgée d'environ 70 ans, la dame vivait seule en compagnie d'une dizaine de chiens, affirme France Bleu Armorique. Affamés, les animaux ont, pour survivre, mangé en partie le visage de leur maîtresse.

    D'après les premières constations, la mort serait d'origine naturelle. Les chiens ont, de leur côté, été pris en charge par un chenil.

    BFM.TV


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  • L’agression a été terriblement violente. Une enquête pour « tentative de meurtre » a été ouverte et confiée à la brigade criminelle de la Sûreté départementale de Loire-Atlantique.

    Un adolescent de 17 ans, qui se trouvait en compagnie de son frère, a été poignardé à plusieurs reprises, dans la nuit de samedi à dimanche à Rezé près de Nantes. Un homme s’est attaqué à lui pour lui voler son sac, mais la victime a résisté.

    Plusieurs coups de couteau au thorax

    Face à la réaction de l’adolescent qui ne s’est pas laissé faire, l’agresseur lui a porté plusieurs coups de couteau en plein thorax, relate Ouest-France. Grièvement blessé, il a été pris en charge par les secours et transporté au CHU de Nantes, sans que son pronostic vital ne soit engagé.

    Il se trouvait toujours à l’hôpital ce lundi matin, et n’avait pas pu être auditionné par les enquêteurs, selon cette même source. Des investigations sont en cours pour faire toute la lumière cette tentative de meurtre, qui a eu lieu dans le quartier de La Houssaie.

    Les faits se sont déroulés sous le regard impuissant du frère de la victime. C’est ce dernier qui a pu communiquer les circonstances de l’agression aux policiers. La brigade criminelle de la Sûreté départementale de Loire-Atlantique recherche activement l’assaillant qui est parvenu à prendre la fuite.

    ACTU 17


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  • Mulhouse : une auto-école proposait l'obtention du code en échange de 1.500 euros

    Une vaste escroquerie au passage du code de la route a été démantelé à Mulhouse. Trois hommes ont été mis en examen, jeudi 22 janvier, dont les gérants d'une auto-école à Mulhouse. Ils proposaient, avec la complicité du centre technique de Rixheim, l'obtention de l'examen, moyennant 1.500 euros.

    Tout part de dénonciations anonymes fin 2018, auprès de la brigade de recherches de Mulhouse, du parquet de Mulhouse et de la préfecture du Haut-Rhin. Les anomalies, constatées sur le profil de personnes ayant passé le code de la route (devenu aujourd'hui "examen théorique général") débouchent sur une enquête.

    Les investigations montrent alors que des candidats ayant échoué à leur examen, réussissaient à coup sûr à l'auto-école Franklin de Mulhouse. Les candidats versaient, en fait, la somme de 1.500 euros en espèce, au bénéfice de trois personnes mises en examen la semaine dernière, soupçonnées d'être les acteurs principaux de cette fraude au code de la route. 

    Une escroquerie bien organiséeLe 4 février 2019, le parquet de Mulhouse saisit la brigade mobile des recherches (BMR) et, une information judiciaire pour faux administratifs est ouverte. Les services de la BMR, avec l'appui technique du GIR Alsace (groupe d’intervention régional) ont réussi à établir qu’il s'agissait d'une escroquerie organisée au faux code. 

    Les investigations ont mené à l'interpellation de 8 personnes, le mardi 21 janvier. Trois d'entre elles ont été présentées devant le juge d'instruction. Ces trois hommes, inconnus jusqu'alors des services de la police, ont été mis en examen pour corruption active et blanchiment d’escroquerie en bande organisée pour le gérant actuel de l'auto-école et pour son père, l'ancien gérant ; de corruption passive pour le gérant du centre de contrôle technique de Rixheim. Ils ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire. Une partie de leurs biens a été saisie, pour une valeur de 400.000 euros. 
     

    Des candidats venant de toute la France

    Les enquêteurs ont identifié une centaine de candidats ayant bénéficié de ce système de triche. L’un des gérants passaient l’examen à la place du candidat ou se plaçait à côté de lui, pour lui souffler les résultats. Il s'agit pour la plupart, selon les informations fournies par la procureure de la République de Mulhouse, Edwige Roux-Morizot, de personnes illettrées ou ne parlant pas couramment le français, venant de toute la France. Ces personnes, ayant obtenu leur permis à la suite d'une fraude, verront leur permis annulé. La brigade mobile de recherche continue ses investigations pour tenter d'identifier d'autres candidats fraudeurs.

    franceinfo 3

    Mulhouse : une auto-école proposait l'obtention du code en échange de 1.500 euros


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    Affaire Grégory: victime d'un corbeau, Murielle Bolle porte plainte après des menaces de mort

    Le 16 janvier a marqué un nouveau tournant dans l'affaire Grégory Villemin, dont la mort reste non-élucidée depuis maintenant plus de 35 ans.

    Ce jour-là, la cour d'appel de Paris a en effet annulé les déclarations de Murielle Bolle lors de sa garde à vue des 2 et 3 novembre 1984, au cours de laquelle elle avait déclaré aux gendarmes que son beau-frère, Bernard Laroche, avait kidnappé en sa présence, le petit garçon. Elle avait à l'époque retiré ses propos quelques jours plus tard, arguant de la pression des gendarmes à son endroit. 

    Pour autant, la vie de la quinquagénaire, qui n'a jamais quitté la vallée de la Vologne, ne semble pas empreinte de tranquillité. Comme le révèle Le MondeMurielle Bolle a porté plainte auprès de la gendarmerie après avoir reçu deux lettres d'un ou plusieurs mystérieux corbeaux, dont certaines la menaçaient directement de mort.

    "En 2020, vous passerez aux aveux"

    Selon le quotidien, l'arrivée de ces missives est intimement liée avec la diffusion en novembre dernier sur la plateforme Netflix d'un documentaire, intitulé Grégory, qui revient en détail sur ce qui reste comme l'un des faits divers les plus connus en France.

    Ce n'est toutefois pas la première fois, depuis les années 1980, que Murielle Bolle est victime de corbeaux. Celle qui est considérée par beaucoup comme complice de Bernard Laroche, l'un des principaux suspects du dossier, voit toutefois la menace se préciser. 

    "Je vous laisse passer les fêtes, mais il n’y en aura pas d’autres", "En 2020, vous passerez aux aveux", est-il par exemple écrit dans plusieurs des courriers reçus, tous deux signés d'un dessin représentant un réveil, illustrant un compte-à-rebours. 

    "Quelqu'un qui me connaît" 

    Toujours selon Le Monde, Murielle Bolle a assuré auprès des enquêteurs que l'expéditeur des courriers est, si non un proche, du moins un inconnu qui connaît bien son quotidien et sa vie. 

    "Un certain nombre de détails me font penser que c’est quelqu’un qui me connaît", a-t-elle dit. Parmi ces éléments, il est mentionné dans ces courriers la marque de son véhicule ainsi qu'un établissement de sa commune de résidence, dans lequel Murielle Bolle a ses habitudes. 

    De plus, bien que les lettres soient destinées à Murielle Bolle, elles ont été envoyées à l'adresse de Yannick Jacquel, qui fut son compagnon plusieurs années. 

    Quelques jours après l'annonce de la nullité de la garde à vue de Murielle Bolle, l'avocat des parents de Grégory Villemin avait lancé un appel à témoin aux Vosgiens pour faire "éclore la vérité".

    "J’invite ces gens à briser le silence, à sortir du silence et à nous aider à faire éclore la vérité. Parce que je rappelle quand même qu’il s’agit de l’assassinat d’un petit enfant de quatre ans et je dis que c’est moralement monstrueux de se taire alors que peut-être on a des révélations à faire", avait martelé Me Thierry Moser.

    BFM.TV

    Saura t-on un jour qui a tué ce pauvre petit garçon de 4 ans, un acte bien lâche !


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  • Un épicier de Perpignan, dans les Pyrénées-Orientales, est soupçonné de s’être livré à un trafic de drogue, indiquent les services de police du département. Le commerçant est notamment accusé d’avoir dissimulé sa marchandise illégale dans des boîtes de conserve à double fond.

    C’est dans le cadre d’une opération de contrôle des commerces, menée le 21 janvier, que l’attention des policiers s’est portée sur une petite épicerie de quartier : ils auraient surpris le gérant du magasin, et deux « clients », « attablés dans l’arrière-boutique en train de fumer un joint », soulignent les services de police.

    Cannabis et cocaïne

    Le chien des policiers aurait permis de détecter la présence de stupéfiants et d’argent en espèces. « Étaient ainsi découverts, astucieusement dissimulés dans des boîtes de conserve à double fond, 296 grammes d’herbe de cannabis, 243 grammes de résine de cannabis, 12 grammes de cocaïne, le tout conditionné en doses individuelles, ainsi que 1.500 euros », poursuivent les policiers.

    Les mis en cause ont été interpellés, et l’épicerie perquisitionnée. L’un d’eux a été mis hors de cause. Une enquête a été ouverte. Le gérant de l’épicerie, défavorablement connu des services de police, ainsi qu’un « acolyte », devront répondre des faits qui leur sont reprochés devant le tribunal correctionnel de Perpignan, le 30 avril prochain.

    20 Minutes


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