• Selon les premiers éléments de l’enquête, la jeune femme aurait tenté de défendre sa mère face aux violences de son compagnon.

    L’adolescente a été placée en garde à vue. Âgée de 15 ans, la jeune fille est en effet soupçonnée d’avoir poignardé le compagnon de sa mère dans la nuit de vendredi à samedi à Saint-Raphaël.

     

    Selon Var-Matin, elle lui a asséné plusieurs coups de couteau, vers 2 heures, dans l’appartement familial. L’homme, âgé de 38 ans, dont on ignore s’il était connu des services de police, est décédé.

    Une information judiciaire bientôt ouverte pour « meurtre »

    Le motif de cette agression demeure encore très flou, mais selon le quotidien, ainsi que France Bleu, l’adolescente aurait tenté de protéger sa mère des violences que son beau-père était en train de lui infliger. Elle a été interpellée et est auditionnée dans le commissariat de Fréjus. Sa mère a également été interrogée.

    Le parquet de Draguignan, qui est saisi de l’affaire, a indiqué en fin de journée que l’adolescente avait elle-même contacté les secours après son acte. Une information judiciaire devrait être ouverte dimanche du chef de « meurtre », a précisé le parquet.

    Le Parisien

     


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  • Un homme de 44 ans a été tué, et trois autres personnes blessées, l'une d'entre elles grièvement, lors d'une rixe à l'arme blanche vendredi soir à Oloron-Sainte-Marie, dans les Pyrénées-Atlantiques. La bagarre, aux motifs non encore élucidés, est survenue vers 20h30 sur le parking d'un supermarché, mettant aux prises au moins quatre personnes, ont précisé les secours et des sources judiciaires.

    Trois hommes ont été hospitalisés à l'arrivé des secours, deux d'entre eux avec un pronostic vital engagé, porteurs de plaies multiples. L'un des blessés graves est décédé des suites de ses blessures, le pronostic vital de l'autre n'était plus engagé ce samedi, a indiqué le parquet de Pau. Une quatrième personne, qui avait initialement refusée d'être pris en charge par les secours, a finalement elle aussi été hospitalisée.  

    Une enquête a été ouverte et a été confiée à la gendarmerie.

    BFM.TV


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  • L'homme qui a tué Sarah Halimi, une sexagénaire juive, en 2017, a été déclaré jeudi pénalement irresponsable par la cour d'appel de Paris car il était en proie à une bouffée délirante liée à sa forte consommation de cannabis. Vendredi, le frère de la victime était sur Europe 1 pour témoigner de son indignation profonde.

     

    "C'est une injustice profonde et une décision incompréhensible". William Attal, le frère de Sarah Halimi, était sur Europe 1 vendredi pour commenter la décision de la justice au sujet de Kobili Traoré, jugé pénalement irresponsable du meurtre de sa soeur. La justice a jugé qu'il était en proie à une bouffée délirante aiguë liée à sa forte consommation de cannabis. Il a, le 4 avril 2017, roué de coups sa voisine, Sarah Halimi aux cris d'"Allah Akbar" avant de la précipiter dans la cour de leur immeuble parisien.

    Pour William Attal, la décision d'irresponsabilité pénale repose sur une expertise vieille d'un an et demi réalisée par un expert qui s'est dédit par la suite : "L'expert est arrivé au procès de la chambre d’instruction il y a trois semaines en disant 'je me suis trompé il n’a pas de maladie mentale, il n’est pas incurable, la consommation de cannabis n’était pas faible, elle était extrêmement forte’. C’est sur cette base que la justice a décidé de l’irresponsabilité pénale de l’assassin".

    Émotion et indignation

    La décision d'hospitalisation de Kobili Traoré "n'est qu'un leurre" dit encore le frère de Sarah Halimi. "Il est sans soin depuis un an et demi, sans médicament, sans traitement et il est parfaitement normal", explique William Attal avant de témoigner de son émotion et de sa profonde indignation : "Un individu qui a massacré ma sœur comme il l’a massacré à coups de poing et à coups de pied pendant une demi-heure et qui lui a cassé tous les os du visage va sortir et va être libre comme l’air".

    Europe 1


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  • Un coroner britannique a conclu cette semaine à une mort accidentelle après le dramatique décès d'une jeune femme handicapée, en juin dernier au Pays de Galles.

    Une Britannique de 30 ans a trouvé la mort en voulant imiter les candidats d'une téléréalité, en juin dernier à Abersoch (Pays de Galles). Mia Austin, qui était en vacances avec sa mère et des amies, a profité d'une virée shopping pour s'acheter des marshmallows. Une fois rentrée, elle a voulu faire comme les stars de l'émission «Love Island», qui s'étaient amusées à mettre le plus de guimauve possible dans leur bouche.

    Le problème, c'est que depuis l'âge de 21 ans, Mia souffrait du syndrome d'enfermement, un état neurologique rare. La personne qui en souffre est éveillée et totalement consciente, mais elle ne peut ni bouger, ni parler, et n'a pas ou peu de contrôle sur ses membres. Alors, quand la trentenaire a commencé à s'étrangler, elle n'a pas été capable de recracher la guimauve et s'est mise à paniquer.

    Plusieurs alertes

    Les ambulanciers arrivés en catastrophe n'ont rien pu faire pour sauver la malheureuse, écrit le «Mirror». Lors d'une audience, la mère de la victime a expliqué qu'après son AVC en 2010, Mia n'avait longtemps pu consommer que du liquide, avant de pouvoir passer à de la nourriture molle. Mais la jeune femme avait frisé la mort plusieurs fois en manquant de s'étrangler, et sa famille avait reçu du matériel spécifique pour éviter un drame.

    Malgré son état de santé dramatique, Mia avait appris à communiquer grâce à un tableau alphabétique et un ordinateur. Elle était même parvenue à écrire un livre sur sa condition et avait été élue, à titre posthume, «femme de l'année» du Merseyside. Dans son verdict rendu cette semaine, le coroner a confirmé la mort par asphyxie de la Britannique et conclu à un décès accidentel.

    20 Minutes


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  • Un suspect a été interpellé mardi, dans le cadre du meurtre à l’arme blanche d’un paraplégique le 21 octobre dernier à Metz. L’homme, qui serait un voisin de la victime, a été mis en examen jeudi, après avoir « admis sa participation » aux faits, a annoncé à L’Est Républicain le procureur de Metz, Christian Mercuri.

     

    Michel Christ, un handicapé en fauteuil roulant âgé de 58 ans, avait été découvert le 22 octobre, gisant dans une mare de sang, dans son appartement du quartier de Metz-Borny, par l’infirmier qui le soignait.

    Une bagarre qui a dégénéré ?

    Le corps de la victime portait plusieurs plaies par arme blanche, dont une au moins au niveau du cou. L’arme n’a jamais été retrouvée.

    Pendant sa garde à vue, le suspect, âgé lui aussi de 58 ans, aurait expliqué à la police judiciaire de Metz qu’une bagarre aurait éclaté entre lui et la victime, qui ne se connaissaient que vaguement, avant de dégénérer.

    L’homme, au casier judiciaire vierge selon France Bleu Grand Est, a été placé en détention provisoire à Metz (Moselle) à l’issue de sa garde à vue.

    Le Parisien


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  • Chirurgien soupçonné de pédophilie : 349 victimes potentielles identifiées

    Le nombre de victimes potentielles du chirurgien Joël Le Scouarnec, suspecté de viols et agressions sexuelles sur des patients mineurs durant près de 30 ans de carrière, s'élève désormais à 349, a annoncé ce vendredi Laureline Peyrefitte, procureure de Lorient, lors d'une conférence de presse. Le dernier bilan s'élevait à 250.

    "Parmi ces faits, certains sont prescrits", a déclaré la procureure, précisant que "229 personnes ont été entendues dont 197 ont déposé plainte" dans ce dossier qualifié de "hors normes". Elle a également indiqué que les investigations, menées par la Section de recherches de Poitiers, étaient particulièrement difficiles en raison du nombre de données et par "la litanie souvent insoutenable des écrits".

    300 000 photos et 650 vidéos saisis

    "Après analyse de divers supports informatiques saisis, ce sont près de 300 000 fichiers photographiques, 650 fichiers vidéos, et un nombre considérable d'écrits, répertoriés dans différents fichiers classés par ordre chronologique qui ont été retrouvés et qui dont dû faire l'objet d'une analyse approfondie", a dit Laureline Peyrefitte.

    Ces faits, que Joël Le Scouarnec reconnaît partiellement, remontent aux années 1989 à 2017. Durant cette période, le chirurgien a travaillé en Touraine, à Loches (Indre-et-Loire), en Bretagne, à Vannes et Lorient (Morbihan) et en Charente-Maritime, à l'hôpital de Jonzac, lieu de son dernier domicile.

    L'affaire Le Scouarnec a débuté au printemps 2017, après le témoignage de sa petite voisine, âgée de 6 ans. Elle a alors rapporté à ses parents un viol, commis par le médecin et dont elle aurait été victime dans son jardin. L'enquête a ensuite permis d'identifier trois autres très jeunes victimes dans l'entourage du mis en cause. Joël Le Scouarnec, 68 ans, est incarcéré depuis sa mise en examen il y a deux ans dans ce volet du dossier. Le procès aura lieu à Saintes du 13 au 17 mars 2020.

    Les investigations des gendarmes ont cependant donné lieu à un autre volet, avec la découverte à son domicile de plusieurs carnets intimes dans lequel Joël Le Scouarnec décrit ses fantasmes pédophiles et cite 200 prénoms de jeunes patients. "On est face à une affaire de pédophilie de grande envergure, jamais vue dans l'histoire de France, observe l'avocate Francesca Satta qui défend les intérêts d'une dizaine de personnes.

    L'Express


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  • Alors que la police a découvert le mois dernier le corps d’une femme chez elle, elle a également trouvé le cadavre de son mari, mort il y a dix ans, dans un congélateur. Une troublante lettre écrite des mains de l’époux a également été récupérée par les autorités.

     

    Un enchaînement d’évènements macabres. Le mois dernier, la police de l’Utah a découvert le corps d’une femme de 75 ans, à son domicile, après que des proches ont appelé, inquiets de ne pas avoir de nouvelles. Mais ce 22 novembre dernier, les autorités ont aussi trouvé un autre corps au même endroit. Le site Internet du magazine «People» indique qu’en fouillant la maison de Jeanne Souron-Mathers, les enquêteurs ont découvert le cadavre de Paul Mathers, son mari, dans un congélateur. 

    L’homme s’y trouvait depuis plus de dix ans. Fait encore plus troublant, les agents de police ont mis la main sur une lettre manuscrite et vérifiée par un notaire, datant du 2 décembre 2008, dans laquelle il affirme que sa femme n’est en rien responsable de sa mort. D’après la police, la notaire en charge de ce courrier n'aurait pas lu le document avant d’y apposer son tampon.

    Alors que les causes de la mort de Jeanne Souron-Mathers sont encore à déterminer et que la chronologie des faits est à établir, les enquêteurs souhaitent aussi comprendre de quoi est mort Paul Mathers. Les premiers éléments du dossier laissent penser qu’il souffrait peut-être d’une maladie incurable et qu’il était en phase terminale. Il serait mort entre février et mars 2009. C’est à cette période qu’il aurait vu son médecin pour la dernière fois, alors qu’il avait 58 ans. Les autorités cherchent également à savoir si, entre le moment de sa mort et celui de la découverte du corps, l’homme recevait encore des indemnités en tant qu’ancien combattant. Cette somme pourrait s’élever à 177 000 dollars.

    Paris Match


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  • Record : le plus vieux couple du monde fête ses 80 ans de mariage

    Record : le plus vieux couple du monde fête ses 80 ans de mariage

    A 106 et 105 ans, John et Charlotte Henderson viennent d’entrer dans le livre Guinness des records. Ces centenaires américains sont officiellement le plus vieux couple en vie dans le monde.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/famille/record-le-plus-vieux-couple-du-monde-f%c3%aate-ses-80-ans-de-mariage/ar-BBY9aAh?li=AAaCKnE&ocid=PerDHP


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  • Une femme sortant de garde à vue a réclamé que ses billets de 10 et 20 euros restitués soient passés au détecteur de faux billets. Le policier a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire.

    De faux billets au lieu de coupures de 10 ou 20 euros, une Rolex remplacée par une imitation. Un policier de Nîmes (Gard) qui subtilisait les effets des personnes placées en garde à vue et les remplaçait par des contrefaçons a été mis en examen début décembre.

     

    Le fonctionnaire a été mis en examen le 4 décembre pour « vol par dépositaire de l’autorité publique, recel de vol, détention et utilisation de faux billets et association de malfaiteurs », a déclaré une source judiciaire, confirmant une information du Canard Enchaîné. Il a été placé sous contrôle judiciaire, suspendu de ses fonctions et sa hiérarchie a demandé sa radiation.

    L’affaire éclate fin novembre quand une jeune femme, placée en garde à vue pour vol au commissariat de Nîmes, demande que les billets de 10 et 20 euros, qui lui avaient été restitués à sa sortie, soient passés au détecteur. La machine confirme alors ce qu’elle soupçonnait. Il s’agit de faux, plutôt grossiers, utilisés lors de tournages de cinéma.

    Des liasses de faux billets à son domicile

    Quelques heures plus tôt, une autre personne s’était plainte de la même chose. Renseignement pris, le même policier s’était chargé de la fouille, de la saisie et de la restitution des effets des deux personnes en garde à vue.

    Une enquête de la police des polices de Marseille est alors lancée. Elle permet notamment de découvrir que neuf mois plus tôt, un troisième homme placé en garde à vue avait saisi la justice, affirmant qu’il était entré au commissariat avec une Rolex au poignet et s’était vu rendre une contrefaçon à sa sortie, selon une source proche du dossier.

    Ces accusations n’avaient d’abord pas été prises au sérieux jusqu’à ce que les enquêteurs découvrent que le même gardien de la paix était intervenu dans cette affaire. Une perquisition à son domicile a permis de retrouver d’autres objets et des liasses de faux billets, selon les mêmes sources.

    Le Parisien


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  • Considéré comme "une des valeurs montantes du grand banditisme gardois", l'homme de 25 ns était recherché depuis le 2 juin 2018. Il a été arrêté mardi matin à Avignon, en possession d'une arme de poing par la Brigade régionale d'intervention (BRI) au terme d'une enquête menée notamment par le groupe des fugitifs de la police judiciaire

     

    Un détenu âgé de 25 ans, en cavale depuis juin 2018, a été arrêté et incarcéré à nouveau à Avignon, a indiqué mercredi à l'AFP le patron du service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier.

    "Considéré comme plutôt dangereux"

    L'homme, considéré comme "une des valeurs montantes du grand banditisme gardois" et condamné notamment pour trafic de stupéfiants, était recherché depuis le 2 juin 2018, a précisé le commissaire divisionnaire Jean-Philippe Fougereau. A cette date, il n'avait pas réintégré la prison du Pontet (Vaucluse) et "continuait depuis son business entre Avignon et Nîmes", selon le patron du SRPJ de Montpellier. "Considéré comme plutôt dangereux", il a été arrêté mardi matin à Avignon, en possession d'une arme de poing par la Brigade régionale d'intervention (BRI) au terme d'une enquête menée notamment par le groupe des fugitifs de la police judiciaire, a ajouté Jean-Philippe Fougereau. 

    L'homme a été déféré au parquet du tribunal de grande instance d'Avignon mardi et incarcéré à nouveau au centre pénitentiaire du Pontet.

    Europe 1

    Condidéré comme dangereux, il avait eu une permission de sortie !

    Mieux vaut en rire !


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  • Rouen : un homme grièvement blessé par des chiens

    Illustration

    Un homme a été « grièvement blessé » dans l’agglomération de Rouen par des chiens qui l’ont mordu, a-t-on appris mercredi de source policière. « Un ouvrier de 57 ans a été mordu à de multiples reprises aux mains et au visage par un groupe de trois chiens type pitbull en liberté, (mercredi) matin, à Saint-Étienne-du-Rouvray », dans l'agglomération de Rouen, a indiqué une source policière.

    « La victime, grièvement blessée, a été transportée au CHU de Rouen », a poursuivi cette source précisant que les chiens avaient fait » deux autres victimes moins gravement touchées, une femme de trente ans et une adolescente de douze ans ».

    Une enquête a été ouverte pour « blessures involontaires avec une incapacité n’excédant pas trois mois d’incapacité totale de travail par agression d’un chien », a-t-elle ajouté.

    Contacté, le parquet de Rouen n’a pas donné suite. « Les chiens ont été récupérés par leur propriétaire. À cette heure, personne n’a été placé en garde à vue », a fait savoir une source policière.

    Le Parisien

    Bizarre que l'on ait rendu les chiens de suite à leur propriétaire !


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  • À peine sorti de chez sa mère pour aller prendre son bus scolaire, l’adolescent a été abattu. Un garçon de 13 ans a été tué par arme à feu ce mercredi matin à Plouarzel, dans le Finistère. Son père, l’auteur présumé du tir, a été retrouvé mort dans sa voiture, garée sur un parking de ce village de la pointe de Corsen, à une vingtaine de kilomètres de Brest.

    Au moment de son décès, vers 7h45, l’élève de 4e sortait de ce petit pavillon où ses parents s’étaient installés avant de se séparer en octobre 2018. Selon le Télégramme, la mère de l’adolescent aurait pris la fuite par l’arrière de la maison lorsqu’elle a entendu la voix du père et le coup de feu. C’est elle qui a alerté les gendarmes.

    Le père retrouvé à une centaine de mètres

    Le suspect a immédiatement pris la fuite. Ce salarié de Thalès a été découvert peu après dans sa voiture, à une centaine de mètres du lieu où est tombé son fils unique.

    Le mobile du meurtre n’est pas encore connu, selon le procureur de la République qui a évoqué un conflit familial. Les gendarmes, un médecin légiste et un magistrat sont sur place, a indiqué Jean-Philippe Récappé.

    L’homme n’était pas connu de la justice, précise France Bleu. Aucune violence intrafamiliale n’avait été signalée aux autorités auparavant.

    Le Parisien

    Peut-être que le père ne supportait pas que l'enfant soit chez sa mère ?

    Comment peut-on en arriver à tuer son propre enfant !


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  • Une dizaine de jeunes filles ont été victime de ce trentenaire qui a reconnu l'intégralité des faits

    Un trentenaire a été condamné à 10 mois de prison avec sursis, ce vendredi à Besançon, pour s’être rendu coupable d’ exhibitionnisme en Suisse.

     

    L’enquête a démarré après le signalement d’une adolescente, qui avait eu le réflexe de relever la plaque d’immatriculation de l’homme qui l’avait abordée, rapporte L'Est Républicain.

    Une dizaine de jeunes filles sont concernées

    Le conducteur se masturbait au volant tout en prétextant de demander son chemin à ses victimes. Au total, une dizaine de jeunes filles sont concernées. Les enquêteurs ont également découvert une centaine d’images pédopornographique sur son ordinateur.

    À la barre, il a reconnu l’intégralité des faits, toute en les justifiants pour des soucis d’ordre professionnel, selon le quotidien régional.

    20 Minutes

    10 mois de prison avec sursis : il pourra donc recommencer rapidement !


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  • Une adolescente de 13 ans a été retrouvée morte dans sa baignoire, chez elle, à Vitrolles (Bouches-du-Rhône). Selon les premiers éléments de l’enquête, révélés par La Provence, la jeune fille se serait électrocutée avec son téléphone portable en train de charger, qui aurait glissé dans l’eau.

     

    La cause du décès doit encore être confirmée par une autopsie, a précisé une source policière à France 3 Provence-Alpes-Côte d’Azur. Les investigations ont été confiées à la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP).

    Si les circonstances de ce drame étaient confirmées, il ne s’agirait malheureusement pas d’une première. En octobre, une femme de 30 ans est morte après avoir été électrocutée dans son bain par son téléphone branché sur secteur dans les Ardennes.

    Alerte de la DGCCRF en 2018

    En novembre 2018, une adolescente avait perdu la vie dans des circonstances similaires à Outreau (Pas-de-Calais). Après ce drame, la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) avait émis une alerte sur le danger d’utiliser un téléphone en cours de chargement dans une salle de bains.

    De manière générale, la DGCCRF recommande de ne pas charger d’appareil électrique dans les pièces humides, ni de manipuler un appareil électrique branché avec les mains ou les pieds mouillés.

    Le Parisien


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  • Quelques jours après qu’une jeune fille de 13 ans a asséné des coups de couteau à ses parents, l’incompréhension règne dans le petit village de Coupiac, dans le Sud-Aveyron.

    Le drame s’est noué dans la nuit de dimanche à lundi, et son maire, Jean-Claude Souyris, est toujours sous le choc. "Cette famille est arrivée il y a quatre, cinq ans dans la commune. Les parents travaillent dans une entreprise du village… Ils n’ont jamais posé de problèmes, je ne comprends pas", souffle l’édile

    La mère réfugiée chez des voisins

    Ces dernières heures, en revanche, l’enquête avance. Et le scénario de cette soirée se dessine petit à petit aux yeux des gendarmes de la brigade de recherche de Millau, en charge des investigations.

    Selon nos informations, les parents de la jeune fille auraient bel et bien confisqué son portable dans la soirée. De quoi faire entrer l’adolescente dans une colère noire. Elle se serait alors emparée d’un couteau pour asséner plusieurs coups dans le dos de sa mère.

    Blessée, cette dernière se serait réfugiée chez des voisins en attendant l’arrivée des secours et des forces de l’ordre… Elle est hospitalisée au centre hospitalier de Saint-Affrique depuis dimanche. Par la suite, dans des circonstances qui restent là encore à déterminer, le père aurait tenté de raisonner sa fille mais une fois de plus sans succès. Également blessé, il a lui aussi été admis à l’hôpital Emile-Borel. Le pronostic vital des deux parents ne serait toutefois pas engagé.

    La jeune fille a été interpellée. À ce jour, le parquet de Rodez n’a engagé aucune poursuite mais est resté très discret sur la suite de cette affaire hors norme.

    La Dépêche du Midi


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  • Alpes-de-Haute-Provence : Un chasseur tué par le coup de feu d’un autre chasseur au Castellet

    Le drame s’est produit ce samedi en début d’après-midi. Les secours ne sont pas parvenus à sauver le chasseur qui est décédé après ce tir qui serait accidentel.

    Un chasseur de 41 ans a été tué ce samedi vers 13 heures au Castellet dans les Alpes-de-Haute-Provence. Ce dernier a été touché par le tir d’un autre chasseur raconte Le Dauphiné.

    Les pompiers d’Oraison et de Volx sont rapidement arrivés sur les lieux, tout comme l’hélicoptère du SMUR de Digne-les-Bains et les gendarmes. Rien n’a pu être fait pour sauver la victime qui est décédée.

    La gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer ce qu’il s’est exactement passé et dans quelles conditions cet accident s’est produit.

    ACTU 17


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  • Angleterre :  Ivre, il ne réalise pas qu’il lui manque un pneu

    Un conducteur qui a accumulé les infractions a été décrit comme «incroyablement saoul».

    Avait-il eu un accident? Ou percuté quelque chose? L’histoire ne le dit pas. Mais dans la nuit de vendredi à samedi, à Rotherham, en Angleterre, un conducteur a été interpellé circulant tellement ivre qu’il n’avait pas réalisé qu’il roulait sur trois roues.

    Publiant sur Twitter la photo de la voiture en question, la police du Yorkshire du Sud a indiqué que l’homme arrêté a accumulé les infractions. Il n’avait plus de permis valable, pas d’assurance, ne s’était pas présenté (deux fois) à la justice et «a conduit tellement incroyablement saoul qu’il n’avait pas réalisé qu’il lui manquait un pneu»…

    La distance parcourue – probablement en produisant des étincelles – n’a pas été précisée. Ni le taux d’alcool exact de l’aviné. Mais il risque une belle amende et même théoriquement jusqu’à six mois de prison, note «Metro»

    Le Matin.ch - 16 12 2019


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  • Le couple de quinquagénaires a été retrouvé dimanche soir baignant dans une mare de sang par une de leurs deux filles à Izon, près de Libourne

    Dimanche soir, une des filles d’un couple de quinquagénaires a découvert ses parents sans vie, baignant dans une mare de sang à leur domicile d’Izon, à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux, rapporte Sud-Ouest. 

    Le couple a été égorgé et lardé de coups de couteau dans une des chambres de la maison. La gendarmerie, aidée d’experts en identification criminelle, a passé les lieux du crime au peigne fin et enquête pour retrouver le ou les auteurs des faits. La maison ne semble pas avoir été fouillée et le mobile de ce crime violent est encore inconnu. Les corps des victimes vont être autopsiés, ce mardi, à l’institut médical de Bordeaux.

    20 Minutes


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  • Nantes : Une explosion se produit devant la mairie Nantes-sud

    Une détonation a été entendue vers 00h25

    La détonation a été entendue dans tout le quartier, voire au-delà. Une explosion s’est produite dans la nuit de lundi à mardi au niveau du bâtiment d’une mairie annexe de Nantes, située quartier Clos-Toreau, sans faire de blessé, a-t-on appris auprès de la mairie. « Il y a eu une explosion. La porte de la mairie de quartier de Nantes sud a volé en éclat. Surtout il n’y a pas de blessé », a indiqué la mairie. Selon les premiers éléments, l’explosion dont l’origine était inconnue dans l’immédiat, s’est produite dans la nuit vers 00h25.

    La police judiciaire ouvre une enquête

    « L’enquête est confiée à la police judiciaire », selon la mairie. La maire PS de Nantes, Johanna Rolland doit se rendre sur les lieux « dans la matinée », a ajouté la mairie qui ne disposait pas d’autres éléments. Ce matin, de nombreux riverains sont venus constater les dégâts, et les nombreux bris de verre qui jonchent encore le sol. « Plusieurs habitants ont entendu un bruit de souffle cette nuit. Mais n’ont pas su d’où ça venait. » Olivier Château, élu de quartier qui s’est lui aussi rendu sur place.

    La réouverture des locaux est prévue pour mercredi.

    20 Minutes


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