• Lyon : un piéton de 22 ans tué par une voiture, un suspect en garde à vue

    Le conducteur du véhicule qui a fauché Azzedine, ce dimanche matin à l’aube, ne s’était pas arrêté et avait pris la fuite.

    Un jeune homme âgé de 22 ans est mort après avoir été renversé par une voiture  à Lyon, ce dimanche à l’aube. Le chauffard avait ensuite pris la fuite. Un suspect a rapidement été interpellé et placé en garde à vue, rapporte Le Progrès.

    Il était environ 5h45, ce dimanche matin, lorsque les sapeurs-pompiers ont été alertés pour un accident, à hauteur du 9 quai des Célestins, à Lyon. Azzedine, 22 ans, venait de se faire renverser par une voiture de type BMW alors qu’il traversait cette trois voies en sens unique avec son frère. Le jeune homme n’a pas pu être réanimé par les secours.

    Vers 8h30, une personne a été interpellée à Pierre-Bénite, à côté de Lyon. Il s’agirait d’une connaissance de la victime, selon le quotidien régional. La thèse de l’accident resterait néanmoins privilégiée, selon France 3 Auvergne Rhône-Alpes.

    Azzedine vivait à Pierre-Bénite, dans le quartier de Hauteroche.

    Le Parisien

    Une connaissance de la victime !

    Bizarre, vous avez dit bizarre, comme c'est bizarre !


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  • Un jeune homme de 22 ans a été tué par balles dans la nuit de samedi à dimanche dans une rue du 14e arrondissement de Marseille, a appris l'AFP auprès du parquet. La piste du règlement de compte est "privilégiée".

    La victime a été abattue à l'aide d'une arme de type Kalachnikov alors qu'elle sortait d'un restaurant, a précisé le procureur de la République de Marseille Xavier Tarabeux, confirmant une information du journal La Provence.

    "La piste du règlement de compte est privilégiée", a-t-il ajouté.

    Si cette thèse est confirmée, il s'agirait du premier décès de l'année lié à un règlement de compte autour du trafic de produits stupéfiants dans la région marseillaise. En 2019, dix hommes sont décédés pour ce motif, selon un décompte de la préfecture de police.

    Paris Match


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  • Toulouse : Il ouvre sa porte et reçoit des coups de couteau et de batte de baseball

    Un homme a été violemment agressé, dans la nuit de vendredi à samedi, en ouvrant la porte à un inconnu, à Toulouse. Selon La Dépêche du Midi qui rapporte les faits, l'agresseur a frappé à la porte de ce locataire, dans le quartier Saint-Agne, puis a fondu sur lui à peine la porte ouverte. S’en est suivi un déferlement de violence, avec une batte de baseball mais aussi avec une arme blanche. L’occupant du logement, situé dans un secteur du sud de la Ville rose, a ainsi reçu trois coups de couteau. 

    La victime, sérieusement touchée, a dû être hospitalisée.

    L’agresseur a été interpellé par la suite, en état d’ivresse. 

    20 Minutes

    Aucun renseignement sur l'attaquant, sûrement des problèmes psychiatriques happy


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  • Un travailleur frontalier soupçonné d'avoir tué avec une grande violence, fin 2016, une prostituée roumaine de 18 ans, rendue méconnaissable et identifiée près d'un an après, sera jugé en 2020 devant la cour d'assises du Doubs.

    Un travailleur frontalier soupçonné d'avoir tué avec une grande violence, fin 2016, une prostituée roumaine de 18 ans, rendue méconnaissable et identifiée près d'un an après, sera jugé en 2020 devant la cour d'assises du Doubs, a indiqué samedi le parquet. Une juge d'instruction de Besançon, qui a rendu son ordonnance de mise en accusation lundi, estime avoir "assez d'éléments probants pour renvoyer le suspect de 32 ans devant la cour d'assises pour homicide volontaire", a précisé à l'AFP le procureur Etienne Manteaux. Il prévoit un procès "courant 2020".

    Cet agent de sécurité, père d'un enfant, qui vivait en couple à Mouthe (Doubs) et travaillait près de Lausanne (Suisse), "dit qu'il est innocent, qu'il n’a fait que se débarrasser du corps", a précisé le magistrat. Son ADN a été retrouvé sur la victime, Mihaela Miloiu, tuée en Suisse. Son corps dénudé avait été découvert par des bûcherons le 15 décembre 2016 dans la forêt communale du Frasnois (Jura), au-dessus des Cascades du Hérisson, à proximité de la frontière suisse. Il présentait 26 coups de couteau, dont aucun n'a été mortel. D'après l'autopsie, le décès a été causé par de multiples coups portés au visage, dont les os et les dents étaient brisés. La victime était méconnaissable.

    Pour l'identifier, l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) avait effectué une reconstitution faciale de la jeune femme afin d'établir son portrait-robot en 3D. Un appel à témoins avait été diffusé très largement en Europe. Des enquêteurs suisses travaillaient à l'époque sur un réseau de proxénètes roumains. Placés sur écoutes téléphoniques, ces derniers semblaient à la recherche d'une jeune prostituée, disparue entre le 29 et le 30 novembre 2016. Le rapprochement a été fait entre cette disparition, une carte d'identité au nom de Mihaela Miloiu retrouvée à Sullens (Suisse) et le corps découvert aux Cascades du Hérisson. Près d'un an après sa mort, celle qui était surnommée "l'inconnue du Frasnois" a été identifiée grâce au recoupement de son ADN avec celui de sa mère, retrouvée en Roumanie.Les enquêteurs sont ensuite remontés jusqu'à l'agent de sécurité, qui s'était rendu le 30 novembre 2016 à l'hôpital de Pontarlier (Doubs) pour faire soigner une main. "Il a admis avoir eu une relation sexuelle avec la victime. Il a expliqué que des individus l'auraient ensuite tuée", a précisé le procureur. "Mais il ne dit rien, ni sur leur signalement, ni sur leur véhicule, ni sur l'arme utilisée", note M. Manteaux, soulignant ses "multiples versions".

    Paris Match


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  • Un homme de 27 ans et sa compagne ont reconnu pendant leur garde à vue, samedi, avoir tué l’homme dont on avait découvert le corps la veille.

    Il est passé aux aveux samedi matin pendant sa garde à vue. Au lendemain de la découverte d’un corps dans l’étang du Crey, à Susville (Isère), un homme de 27 ans a reconnu être l’auteur du meurtre, selon France 3 Auvergne-Rhône-Alpes. Aux gendarmes, il a expliqué avoir tué l’homme âgé d’une cinquantaine d’années après lui avoir donné rendez-vous pour « s’expliquer ». À l’origine de ce différend, le harcèlement dont lui et sa conjointe, ancienne compagne de l’homme retrouvé mort, auraient fait l’objet.

    Placée en garde à vue vendredi soir tout comme son compagnon, cette femme de 33 ans a également avoué avoir participé au meurtre, mais des zones d’ombre demeurent quant au déroulement exact des faits. La garde à vue du couple a été prolongée, précise France Bleu Isère. Ils devraient être présentés dimanche à un juge d’instruction en vue d’une mise en examen pour assassinat et détention provisoire.

    Le corps émergé de la victime avait été découvert vendredi matin. Elle a pu être identifiée grâce à son véhicule retrouvé non loin du plan d’eau. Selon les premières constatations du médecin légiste communiquées par le procureur de la République Eric Vaillant, la mort du quinquagénaire pourrait avoir été causée par « des coups sur la tête ».

    Le Parisien


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  • Mamadou Diedhiou, 35 ans, a été tué à Besançon le 23 avril 2017

    Un homme de 26 ans a été condamné vendredi par la cour d’assises du Doubs à 15 ans de réclusion criminelle pour avoir mortellement poignardé un videur de discothèque qui avait refusé l’accès à l’un de ses amis, complice, qui a été condamné à dix ans de réclusion. Quatre autres accusés, reconnus coupables de « complicité de meurtre », ont écopé de peines allant de trois à huit ans de prison.

    Le 23 avril 2017, vers 3 h 00 du matin, Mamadou Diedhiou, 35 ans, videur de la discothèque le Styl, au centre-ville de Besançon, avait été tué d’un coup de couteau porté au cœur. Une vingtaine de minutes plus tôt, il avait refusé l’entrée à Fahrat Cid, un habitué des lieux qui ne voulait pas s’acquitter des 5 euros réglementaires. S’estimant « humilié », après avoir été pris par le col par le videur, il avait appelé son frère, venu lui prêter main-forte avec quatre autres personnes.

    Jusqu’à vingt ans requis

    Les six hommes avaient encerclé et frappé Mamadou Diedhiou et l’un d’eux, Hichem Djebaïli, 26 ans, avait sorti un couteau de sa poche, frappant la victime au cœur. « Mamadou Diedhiou n’a, à aucun moment, eu la capacité de se défendre », a estimé l’avocate générale Margaret Parietti, avant de requérir des peines de dix-huit mois à vingt ans de réclusion criminelle.

    « Pourquoi j’ai eu ces gestes envers Mamadou Diedhiou ? Il ne m’avait rien fait… », s’est interrogé à l’audience l’auteur des coups de couteau, qui s’est dit « désolé ». Son avocat, Julien Charle, a plaidé « la bonne foi » et l’absence d’intention de tuer de son client, qui s’était rendu de lui-même au commissariat quelques heures après les faits. « Le geste, c’est le sien, il l’a reconnu, les conséquences sont involontaires », a-t-il assuré.

    Verdict sous tension

    Fahrat Cid est « l’instigateur », a relevé Margaret Parietti, « je le mets en tête des complices de meurtre, parce que c’est l’élément déclencheur », qui a appelé les autres pour « une expédition punitive » contre Mamadou Diedhiou. Pour l’avocate de la famille de la victime, Sandrine Arnaud, « toutes ces personnes ont contribué à la mort de Mamadou Diedhiou », un homme « si affectueux, si gentil, si doux », qui est tombé sous « un déchaînement de violence ».

    A l’énoncé du verdict, des policiers ont dû intervenir pour calmer les familles qui en sont presque venues aux mains, en se rejetant la responsabilité du drame.

    20 Minutes


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  • Etats-Unis : kidnappée, une jeune fille de 14 ans est sauvée grâce à Snapchat et ses amis

    Albert Vasquez, Antonio Salvador et Hediberto Avarenga. San Jose Police Department

    L’adolescente a pu être secourue par la police de San José, dans le nord de la Californie, grâce à l’application Snapchat qu’elle avait installée sur son téléphone.

    Elle peut remercier ses amis et… surtout Snapchat. Droguée et kidnappée, cette adolescente californienne de 14 ans a pu être secourue en grande partie grâce à cette application de partage de photos et de vidéos très prisée des plus jeunes. Sans Snapchat, qu’elle avait installé sur son téléphone, la police de San José, dans le nord de la Californie, n’aurait sans doute jamais pu localiser puis sauver cette jeune fille mardi dernier.

    « La victime avait utilisé son compte Snapchat pour prévenir des amis qu’elle avait été enlevée et ne savait pas où elle se trouvait. Les amis de la victime ont déterminé sa localisation grâce à l’application Snapchat et ont appelé les secours », a ainsi expliqué ce vendredi la police de San José dans un communiqué, cité par The Mercury News (lien en anglais).

    Droguée, kidnappée puis violée

    Lors de leur intervention dans un motel où l’adolescente était séquestrée, les policiers ont ainsi pu appréhender un suspect sortant d’une chambre et surtout y entrer pour découvrir la jeune adolescente retenue. L’enquête a ensuite révélé que l’homme, Albert Vasquez, 55 ans, avait rencontré un peu plus tôt la jeune fille dans la petite ville voisine de Capitola et qu’il l’avait droguée pour la rendre inconsciente.

    Le prédateur a ensuite appelé deux complices présumés, Antonio Quirino Salvador, 34 ans, et Hediberto Gonzalez Avarenga, 31 ans, pour l’aider à transporter la jeune fille dans une voiture. D’après la police, Albert Vasquez l’a ensuite violée une première fois dans ce véhicule, avant de recommencer à l’hôtel.

    Les trois suspects ont été inculpés et incarcérés.

    Le Parisien


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  • USA : Le calvaire d’enfants enfermés dans des cages en bois

    C’est le 13 janvier dernier que la police a été informée. Ce jour-là, le bureau du shérif du comté de Lee, dans l’Alabama, a reçu un appel le prévenant d’un possible cas d’abus sur les enfants d’une famille de Smiths Station, une communauté rurale de la région. Les enquêteurs se sont rendus sur place et ont trouvé quatre enfants de 3, 4, 10 et 11 ans. Un cinquième, âgé de 8 mois, était absent à ce moment-là.

    Lors de leur fouille dans la maison, les agents ont découvert des cages en bois construites à la main sur lesquelles étaient installés des verrous. «L’enquête a permis de trouver la preuve que les enfants avaient été enfermés dans ces cages à plusieurs reprises», peut-on lire sur la page Facebook du bureau du shérif. Les petites victimes ont toute été placées sous la protection des services sociaux après que plusieurs personnes ont été arrêtées. Michelle Mann, 30 ans, a été interpellée aux côtés de Pamela Deloris Bond, 66ans et James H. Bond, 69 ans.

    La première serait selon la chaîne WTVM la mère des cinq enfants et les deux autres pourraient être soient leurs grands-parents soit les arrière-grands-parents. Ils ont tous été incarcérés et leur caution a été fixée à 122 000 et 123 000 dollars.

    Paris Match


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  • Ce mardi 14 janvier, un journaliste de 40 ans, Jérôme G, qui a commenté l’actualité footballistique sur plusieurs chaînes de télévision, a été interpellé à son domicile par la Brigade de protection des mineurs (BPM) révèle LCI.

    Faux agent de mannequins

    L’homme aurait commis une agression sexuelle sur un adolescent de 13 ans, le 4 décembre dernier, dans le VIIe arrondissement de la capitale précise le Parisien. Il aurait abordé sa victime à vélo en se faisant passer pour un agent de mannequins. Après avoir fait rentrer l’adolescent dans une cage d’escalier, il lui aurait promis un maillot de foot s’il enlevait ses vêtements. C’est à ce moment-là que le suspect aurait commis des attouchements sur le mineur, avant de s’arrêter brusquement détaille LCI qui ajoute que l’homme aurait commis des faits similaires sur un autre adolescent le 30 août dans le XVIIe arrondissement. Les familles des deux garçons ont déposé plainte.

    La BPM est remontée jusqu’au faux agent de mannequins grâce à des écoutes téléphoniques et de la vidéo-surveillance. Les policiers ont retrouvé plusieurs fichiers pédopornographiques dans son appartement ainsi que des recherches sur internet sur des destinations de tourisme sexuel  notamment en Thaïlande.                

     

    Lors de sa garde à vue, l’intéressé aurait avoué les faits d’agressions sexuelles. Jeudi 16 janvier, il a été mis en examen pour « agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans » et pour « détention d’images pédopornographiques » et placé en détention provisoire.

    La Voix du Nord

    Son employeur France 24 a fait savoir au «Parisien» qu'il avait été mis à pied à titre conservatoire.


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  • « T’es le fils d’un maton de la prison. Je vais venir chez toi, mettre ta famille dans un coffre et vous tuer ». Voici ce qu’aurait proféré un ancien détenu, juste avant d’agresser sa victime en compagnie d’un autre individu le 11 janvier dernier, lui infligeant une ITT de 5 jours, selon un communiqué du syndicat UFAP UNSA de la prison de Perpignan, repéré par L’Indépendant.

    Le père et son fils ont porté plainte. L’auteur des faits serait « connu », affirme le syndicat : « Le surveillant avait rédigé un rapport d’incident le 28 janvier 2019, après que l’ex-détenu est passé à son domicile pour intimider son fils ».

    Il s’agirait de la « troisième fois que les enfants de surveillants font l’objet de représailles à cause de la profession de leur père ou de leur mère », dénonce encore le syndicat. Il demande à l’administration pénitentiaire de « tout mettre en œuvre pour que [les deux agresseurs] soient mis hors d’état de nuire ».

    Le Parisien


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  • Limoges : quatre blessés dans l'explosion d'une maison due à une fuite de gaz

    Deux des quatre blessés ont été transportés samedi matin en urgence absolue à l’hôpital, mais leurs jours ne sont pas en danger. Un important périmètre de sécurité a été mis en place autour de l’habitation effondrée, située près du centre-ville de Limoges, tandis que les équipes de secours cherchent encore à déterminer s'il peut y avoir d'autres victimes.

    Quatre personnes ont été blessées, dont deux grièvement, samedi par l'explosion d'une habitation à Limoges consécutive à une fuite de gaz, a indiqué la préfecture de la Haute-Vienne. Les deux blessés graves ont été transportés en urgence absolue vers un centre hospitalier mais leur pronostic vital n'est pas engagé. Les deux autres personnes, plus légèrement blessées, ont également été hospitalisées.

    Des équipes cynophiles et de déblaiement doivent intervenir à l'intérieur des restes de la maison - qui a été littéralement soufflée par l'explosion - pour déterminer s'il y a d'autres victimes. Un périmètre de sécurité de 200m2 autour de l'habitation a été mis en place par la police en raison de fuites de gaz résiduelles. Les riverains ont reçu ordre de rester confinés chez eux.

    L'explosion s'est produite à 8h36, selon la préfecture, dans une rue du quartier Marceau, près du centre-ville de Limoges.

    Europe 1


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  • Le bar La Rotonde, où Macron avait organisé une fête en 2017, partiellement incendié

    Une enquête a été ouverte après le déclenchement dans la nuit de vendredi à samedi d’une alerte intrusion et d’un départ de feu dans la brasserie parisienne « La Rotonde », prisée du président Emmanuel Macron, a-t-on appris auprès de la préfecture de police de Paris.

    Vers 5 heures du matin, une alerte intrusion s’est déclenchée dans la brasserie, située dans le quartier de Montparnasse à Paris. A leur arrivée, les policiers ont découvert un départ de feu sur la terrasse fermée. Le feu a été rapidement circonscrit, a précisé la préfecture de police.

    Environ « 10m2 ont été brûlés » et le feu a été éteint « au moyen d’une lance », a précisé un porte-parole de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris.

    Le parquet de Paris a confirmé qu’une enquête avait été ouverte pour déterminer les causes de l’incendie.

    « Dégâts considérables »

    Les intrus ont « cassé une vitre de la terrasse au rez-de-chaussée » puis ont mis le feu, a déclaré à l’AFP Serge Tafanel, co-gérant de la brasserie.

    « Les dégâts sont considérables. On ne pourra pas ouvrir avant plusieurs jours, voire plusieurs semaines » a-t-il affirmé, précisant qu’une précédente tentative d’incendie avait échoué le 9 janvier à l’extérieur de l’établissement. Auprès du « Parisien », l’autre responsable du restaurant indique avoir « senti de l’essence ».

    Entre les deux tours de la présidentielle, Emmanuel Macron avait organisé un dîner dans cette brasserie où il avait ses habitudes, avec ses soutiens et amis pour fêter sa qualification au second tour face à Marine Le Pen. Ce dîner lui avait valu une volée de critiques.

    Vendredi soir, quelques heures avant cet incendie, un rassemblement de manifestants contre la réforme des retraites devant le théâtre des Bouffes du Nord, dans le 10e arrondissement, avait perturbé une sortie du couple Macron qui y assistait à un spectacle.

    L'OBS


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  • Un malaise mortel, en pleine séance de sport. Stupeur dans le lycée Turgot de Roubaix (Nord), après le décès d’un élève, qui a succombé à un malaise cardiaque en début de semaine, a-t-on appris ce vendredi.

    La voix du Nord rapporte qu’une enquête de police a été ouverte afin de déterminer les circonstances de ce décès. Le lycéen se trouvait en séance de sport lundi dans son établissement scolaire, quand il a été victime d’un malaise cardiaque.

    Une cellule d’aide psychologique ouverte

    Son état a été jugé très grave et l’adolescent a été transporté en urgence à l’hôpital de Lille après que les sapeurs-pompiers et le Smur lui ont apporté les premiers soins dans son lycée.

    Le quotidien local, qui a appris son décès ce vendredi, précise qu’une cellule d’écoute, animée par des soignants et un psychologue, a été ouverte dès lundi, pour apporter de l’aide aux lycéens et enseignants confrontés à ce drame.

    Le Parisien


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  • Sept malfaiteurs dont deux frères ont été interpellés mardi dans la capitale par la police. Ils se livraient à un trafic régulier de drogue et d’armes

    Très méfiants, les deux frères Samir et Mohamed R., âgés de 28 ans et 37 ans, utilisaient des téléphones cryptés et changeaient de voitures très régulièrement. Interpellés mardi dans la capitale sur commission rogatoire d’un juge avec 5 autres malfaiteurs âgés de 22 à 37 ans, ces deux caïds parisiens se livraient depuis au moins un an à un trafic régulier d’armes de guerre et de drogue.

    Lors d’une perquisition au domicile d’une nourrice dans le XXe arrondissement (NDLR : personne qui cache de la drogue ou des armes), les policiers de l’Office central de lutte contre le crime organisé (O.C.L.C.O.) ont découvert un véritable arsenal : deux fusils d’assaut, un fusil à pompe, un autre vingt deux long riffles, 3 pistolets automatiques, 2 gilets pare-balles, une cagoule et plusieurs centaines de munitions. Certaines des armes, dont un fusil-mitrailleur, étaient soigneusement emballées dans du plastique, pour ne laisser aucune trace ADN, et prêts à la revente. Trois pistolets automatiques dont un 7.62 et un revolver gomme-cogne [balles en plastique] ont été saisis chez une seconde nourrisse et un des frères. Des ecstasy, drogue très prisée dans les milieux festifs, et de la cocaïne en faible quantité ont également été retrouvés.

    Casier long comme le bras

    C’est un renseignement qui a conduit les policiers de l’OCLCO à Samir et Mohamed R, détenteurs de casier long comme le bras : vols avec violence, extorsion de fonds, association de malfaiteurs, transport de stupéfiants, vol de véhicules… En avril 2019, le parquet de Paris ouvre une enquête préliminaire, puis en juin une information judiciaire pour « infraction à la législation sur les armes et les stupéfiants ainsi que pour association de malfaiteurs ».

    Des investigations techniques permettent rapidement de déterminer que les deux frères se livrent à un trafic de cocaïne et d’ecstasy, au près de clients parisiens et de Seine-Saint-Denis. De la drogue venue des Pays-Bas par livraison de 500 cachets ou d’un kilo. Les écoutes téléphoniques confirment aussi l’existence du trafic d’armes.

    « Un gage de crédibilité dans le milieu du banditisme »

    « Le commerce de ces armes, revendues entre 2 500 et 3 000 € pièce, représente un commerce moins lucratif que celui de la cocaïne mais s’est par contre un gage de crédibilité dans le milieu du banditisme car c’est une denrée rare », observe Yann Sourisseau, le N° 2 de l’OCLCO. En garde à vue, les deux « nourrisses » qui ont été mises en examen et incarcérées hier avec deux malfaiteurs ont reconnu avoir entreposé régulièrement des armes et de la drogue pour les deux frères.

    « C’est assez rare d’arrêter des trafiquants d’armes qui en font un commerce régulier. Habituellement ce sont des transactions ponctuelles entre un client et un vendeur », relève le commissaire divisionnaire. Les deux frères R ainsi qu’un 3e malfaiteur ont été écroués ce vendredi soir.

    L’enquête devra déterminer la provenance des armes. Europol estime qu’il y a entre 3 et 6 millions d’armes à feu actuellement en circulation dans les Balkans occidentaux. Une part significative des armes à feu – et notamment des armes de guerre – circulant sur le territoire national provient aujourd’hui des Balkans, en particulier de Serbie.

     Le Parisien


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  • Trois habitants de l'Île d'Oléron ont été interpellés en début de semaine et seront prochainement jugés pour le vol d'huîtres entre juillet et août derniers, rapporte vendredi 17 janvier France Bleu La Rochelle.

    Les suspects ? Des ostréiculteurs !

    Cet été 2019, un ostréiculteur de Saint-Pierre-d'Oléron alerte les gendarmes, assurant que six tonnes d'huîtres lui ont été dérobées. Trois ostréiculteurs sont suspectés du vol. Dans le parc de leur entreprise, 2,4 tonnes d'huîtres ont été retrouvées, ainsi que 150 poches vides. Les enquêteurs pensent qu'ils ont revendu le reste de la marchandise. Les trois voleurs présumés comparaîtront le 16 mars prochain devant le tribunal correctionnel de La Rochelle.

    A la fin du mois d'août, le producteur reconnaît directement ses propres huîtres dans ce parc. Il faudra par contre quatre mois aux gendarmes pour identifier l'origine de ces huîtres. Ces derniers refusent de livrer leur technique à France Bleu La Rochelle.

    Selon une ostréicultrice de la région, contactée par France Bleu La Rochelle, chaque producteur peut facilement reconnaître ses huîtres, car chacun a sa façon de fermer les poches : avec des liens, des élastiques ou des crochets. L'on peut aussi observer la forme des huîtres : les huîtres cultivées au sol ont une coquille frisée, celles qui sont élevées dans un bassin qui brassent beaucoup de courant ont une coquille plus lissée.

    franceinfo


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  • Finistère : Le troisième enfant de la fratrie est décédé après la chute d’une voiture dans une rivière

     

    Finistère : Le troisième enfant de la fratrie est décédé après la chute d’une voiture dans une rivière

    La voiture est tombée dans une rivière mercredi. Seule la mère qui conduisait le véhicule a survécu

    Le bilan de l’accident survenu mercredi à Lampaul-Guimiliau (Finistère) s’est encore alourdi avec désormais trois enfants qui sont morts après la chute d’une voiture dans une rivière. Transféré jeudi depuis Brest au CHU de Nantes alors qu’il se trouvait dans un état critique, un garçon de 8 ans est décédé dans la journée, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

    Le même jour, on avait déjà appris le décès dans la nuit de sa sœur de 4 ans. Le corps de leur frère, âgé de 10 ans, avait été retrouvé sans vie mercredi par des plongeurs dans la rivière à plusieurs centaines de mètres du lieu de l’accident. En arrêt cardio-respiratoire, les deux plus jeunes enfants avaient été transférés au CHU de la Cavale Blanche, à Brest.

    Les dépistages d’alcool et de stupéfiants négatifs

    L’accident s’est produit en ligne droite peu avant midi sur une route départementale. Le véhicule, conduit par la mère des enfants qui a pu s’extraire seule de l’habitacle, a plongé dans la rivière Quillivaron au niveau d’un petit pont et s’est retrouvé sur le toit.

    Les dépistages d’alcool et de stupéfiants pratiqués sur la conductrice se sont révélés négatifs. Aucun autre véhicule n’a été impliqué dans l’accident.

    20 Minutes

    Aucun autre véhicule, c'est vite dit, un autre véhicule pouvait venir en face et  elle a braqué pour l'éviter. Il faudrait plutôt dire aucun autre véhicule accidenté.

    Ou bien, elle a voulu se suicider avec ses enfants. Où est le père ?


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  • Bouches-du-Rhône : Lidl condamné en appel pour le suicide d'un de ses salariés

    L'entreprise Lidl a été condamné en appel pour « faute inexcusable » dans le suicide d'un de ses salariés, Yannick Sansonetti, sur son lieu de travail en 2015

    Ce vendredi, la cour d’appel d'Aix-en-Provence​ a confirmé la peine envers l’enseigne Lidl, condamnée pour « faute inexcusable » dans le suicide d’un de ses salariés, Yannick Sansonetti, en 2015, a appris 20 Minutes auprès de la famille de Yannick Sansonetti.

    Le 29 mai 2015, Yannick Sansonetti était retrouvé pendu dans l’entrepôt Lidl de Rousset, dans les Bouches-du-Rhône, dans lequel il était embauché en CDI depuis plusieurs années.

    « Une pression managériale très forte »

    En 2018, le tribunal des affaires sociales de Marseille avait déjà condamné Lidl pour « faute inexcusable ». L’entreprise était reconnue responsable dans ce décès pour ne pas avoir agi alors même qu’elle avait été alertée par l’Inspection du travail des « risques psychosociaux » que courait le salarié. Un suicide très médiatisé, notamment après la diffusion d’un numéro du magazine Cash Investigation sur le harcèlement au travail.

    Dans sa décision, la cour d’appel d’Aix-en-Provence rappelle que, selon des « témoignages précis et circonstanciés de divers collègues de travail de Yannick Sansonetti », « les cadres et agents de maîtrise étaient soumis à une pression managériale très forte depuis l’arrivée d’un nouveau directeur », peu avant le suicide de ce salarié. La cour d’appel a condamné Lidl au versement d’une indemnité de 2.000 euros chacune à la mère et la compagne de la victime.

    20 Minutes

    Lidl   est une entreprise de  distribution allemande

    Wikipédia :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Lidl - voir à la fin Conditions de travail !


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  • Torcy : un motard décède après avoir percuté un bus scolaire, cinq blessés dont un grave

    Un bus scolaire et une moto se sont percutés ce jeudi vers 17 h 15 sur la D601 à Torcy. Le motard est décédé.

    Face au bus scolaire, la moto n’a pas pesé lourd

    17 élèves du collège Anne-Frank de Montchanin étaient à bord, en plus de la conductrice. Un collégien grièvement blessé a été pris en charge par le Smur et conduit au centre hospitalier de Montceau-les-Mines, alors que trois collégiens et la conductrice blessés ont été conduits au centre hospitalier du Creusot.

    Les 13 autres sont rapatriés chez eux par un autre bus ou par leurs parents venus les chercher. La circulation a été coupée sur la route.

    Le bus desservait la commune de Saint-Eusèbe et revenait du collège. 21 pompiers, dont un chef de colonne, et 15 policiers se sont rendus sur place, ainsi que Marc Makhlouf, sous-préfet d’Autun.

    le Journal de Saône-et-Loire,


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  • Quelque 35 salariés présents sur le site ont été confinés dans le bâtiment principal de l'entreprise Prodec Métal à Mérignac, dans la banlieue de Bordeaux

    Une fuite de cyanure s’est produite ce jeudi en milieu d’après midi, au sein de l’entreprise Prodec Métal à Mérignac, spécialisée dans le traitement de surface (métaux), annonce ce jeudi soir la préfecture de la Gironde.

    « Les 35 salariés présents sur le site ont été immédiatement confinés dans le bâtiment principal et un périmètre de sécurité a été mis en place par les sapeurs-pompiers autour du site, avec l’appui de la direction départementale de la sécurité publique » explique la préfecture.

    « Situation maîtrisée », assure la préfecture

    Le bilan fait état de huit salariés « incommodés par le dégagement gazeux lié à la fuite (maux de tête et vomissements). » Cinq salariés ont été évacués vers un établissement hospitalier.

    Une quarantaine de sapeurs-pompiers était toujours sur place dans la soirée, pour identifier l’origine de la fuite et procéder au pompage du produit qui s’est répandu dans un bac de rétention. Toutefois, « la situation est maîtrisée, les conséquences se limitant au périmètre de l’établissement, sans gêne pour la population avoisinante » assure la préfecture.

    L’établissement, soumis à autorisation préfectorale, avait fait l’objet d’une inspection des installations classées le 17 juillet dernier.

    20 Minutes


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