• La police a arrêté ce jeudi un homme de 27 ans qui conduisait, ivre, une trottinette électrique sur une autoroute à Cologne (Allemagne). La police a reçu de nombreux appels dans la nuit, signalant un homme qui circulait à trottinette électrique sur la bande d’arrêt d’urgence de l’autoroute A4.

    L’homme a été localisé « en quelques minutes » et les agents ont « mis fin à une situation dangereuse », précise un communiqué de la police. Selon l’agence de presse dpa, le conducteur tenait une bière à la main lorsqu’il a été arrêté, mais un porte-parole de la police n’a pas confirmé ce détail.

    Poursuivi pour conduite en état d’ébriété

    L’homme de 27 ans a expliqué s’être « retrouvé sur l’autoroute par accident ». Un test sanguin a montré qu’il avait un taux d’alcool équivalent à plus de deux fois la limite légale autorisée. Il va être poursuivi pour conduite en état d’ébriété.

    Comme dans d’autres pays, l’utilisation de trottinettes électriques a explosé ces derniers mois en Allemagne. Bridées à 20 km/h, elles sont interdites sur les autoroutes mais s’y retrouvent régulièrement. En août, un Français avait été tué après avoir été percuté par une moto pendant qu’il circulait sur une trottinette électrique sur une autoroute près de Paris.

    20 Minutes


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  • La Garde civile espagnole cherchait toujours à comprendre jeudi comment un Britannique et ses deux enfants se sont noyés sous les yeux de la maman la veille de Noël dans la piscine d’une résidence touristique du sud de l’Espagne.

    La mère a assisté à la scène

    « La fillette se baignait. Elle a eu du mal à sortir de l’eau. Son père et son frère se sont jetés dans la piscine pour la secourir mais tous trois se sont noyés. Un employé de la résidence a sorti les corps de l’eau », a déclaré un porte-parole de la Garde civile. La mère des deux enfants a assisté à la scène, qui a pu être reconstituée grâce à son témoignage et celle de cet employé, a-t-il ajouté.

    « Ce que nous cherchons à savoir, c’est pourquoi ils n’ont pas pu sortir de l’eau », a expliqué le porte-parole. La petite fille avait neuf ans, son père 52 ans et le frère, qui avait la nationalité américaine, était âgé de 16 ans. La famille était en vacances dans le club La Costa World de la ville côtière de Mijas, près de Malaga.

    La fillette aspirée par le système d’épuration ?

    L’alerte avait été donnée le mardi 24, quand l’adulte et les deux enfants étaient encore dans la piscine mais les secouristes dépêchés sur place n’ont pu les ranimer. Une autopsie devait être réalisée jeudi et les enquêteurs « n’écartent aucune hypothèse », selon le porte-parole.

    Une de ces hypothèses est que la fillette ait été aspirée par le système d’épuration et les enquêteurs ont examiné le filtre, a-t-il poursuivi. Cependant la petite piscine était rouverte jeudi, selon les images de la télévision nationale.

    Sur Facebook, La Costa World affirme que la Garde civile « a donné son autorisation formelle pour rouvrir la piscine, n’ayant rien trouvé à redire concernant la piscine ou les procédures en place ».

    20 Minutes


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  • Affaire France Télécom : Orange pourrait débourser 2 milliards d'euros de réparation

    Orange va-t-il devoir débourser deux milliards d'euros ? C'est en tout cas la somme minimale de laquelle le groupe pourrait devoir s'acquitter envers les victimes de l'affaire France Télécom, si toutes décident de demander réparation.

    La décision du 20 décembre, qui a condamné le groupe pour harcèlement moral, donne en effet la possibilité aux 130 000 salariés en postes du 1er janvier 2007 au 31 décembre 2008 d'obtenir réparation, sans avoir à démontrer l'exigence d'un préjudice particulier, relève Les Echos. La base de réparation retenue allant de 10 000 à 45 000 euros, le total pourrait grimper à deux milliards d'euros minimum, si tous entament cette procédure.

    La période concernée correspond à celle durant laquelle a été mis en place le plan de départ NExT, qui visait à transformer France Télécom en trois ans, avec notamment l'objectif de 22 000 départs et 10 000 mobilités. Si l'entreprise a affirmé qu'il s'agissait de départs volontaires, pour les parties civiles, les ex-dirigeants ont mis la pression sur les salariés pour les pousser à partir.

    Au total, dix-neuf d'entre eux se sont suicidés, douze ont tenté de le faire, et huit ont subi un épisode de dépression ou un arrêt de travail. "Ces 39 victimes ne sont que la partie émergée de l'iceberg, car ce ne sont pas seulement 39 personnes qui ont été affectées par cette politique", selon Sylvie Topaloff, avocate de SUD-PTT, citée par Les Echos.

    Une interprétation différente du jugement

    Mais malgré la décision du tribunal, Orange tente de minimiser le jugement : "Les juges considèrent que toute personne faisant partie de l'entreprise en 2007-2008 pourrait agir, mais en démontrant un préjudice direct et personnel. De plus, tous les salariés de l'époque n'attaqueront pas l'entreprise".

    Une interprétation différente de celle de la justice, qui affirme que "tout personnel en poste et ayant appartenu à la collectivité des employés de France Télécom, pendant tout ou partie de la période de prévention retenue par le tribunal" "a qualité pour intervenir au procès pénal, indépendamment de l'appréciation de son droit à réparation du dommage qui en aurait résulté".

    Reste à savoir si tous les anciens salariés feront valoir cette décision de justice, à laquelle le groupe a décidé de se plier. Dès le verdict rendu le 20 décembre, Orange avait annoncé ne pas faire appel. France Télécom a été condamné à payer une amende de 75 000 euros, la peine maximale, et ses trois ex-dirigeants (PDG, DG et DRH) à un an de prison, dont huit mois avec sursis, et 15 000 euros d'amende.

    L'Express


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  • Intoxication au monoxyde de carbone pendant la messe de Noël : "La chaudière posait problème depuis un moment", explique le prêtre

    Leur Noël a tourné court : maux de tête, malaises... Environ 150 fidèles ont été intoxiqués au monoxyde de carbone pendant la messe de minuit de Carlepont, dans l'Oise, causant l'hospitalisation de 21 personnes. La chaudière à gaz pourrait être en cause, selon le prêtre Guy-Marie Tavignot, responsable de la communauté paroissiale de Carlepont et interrogé au micro d'Europe 1. 

    "La chaudière posait problème depuis un moment", explique-t-il. Vendredi, alors que la préparation de la crèche pour le soir de Noël était effectuée par les fidèles, ces derniers ont senti une émanation de gaz en mettant en route le chauffage, poursuit le prêtre. "J'ai dit 'prévenez la mairie', ce qui a été fait. Le technicien est venu et n'a constaté aucune fuite de gaz. Nous l'avons donc utilisé. Hélas, il y a eu des émanations de monoxyde de carbone", raconte alors Guy-Marie Tavignot.

    Aucun pronostic vital engagé

    Le bilan aurait pu être dramatique. "Quelques enfants se sont évanouis, des grandes personnes ont eu des malaises. Les pompiers ont donné ordre d'évacuer l'église", explique le prêtre. Une femme a été héliportée à Lille. Heureusement, aucun pronostic vital n'a été engagé. "Je suis désolé pour les personnes qui ont subi cela, et pour la fête que les enfants se réjouissaient de vivre et ce qu'ils pensaient vivre après en famille. Pour moi, c'est un échec", conclut le prêtre Guy-Marie Tavignot.

    La cause de la pollution n'a pas encore été identifiée, mais une enquête de flagrance a été ouverte par le parquet de Compiègne. Elle devra déterminer "s'il y a eu négligence ou dysfonctionnement", a précisé le substitut du procureur, Antoine Perrin. Il a évoqué la présence d'une chaudière à gaz dont "on ne sait pas si elle était en état de fonctionner". Le maire de Carlepont doit rencontrer ce jeudi l'entreprise en charge de l'entretien du matériel.

    Europe 1

    Dieu aurait quand même pu éviter cela ! happy


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  • Sœurs siamoises séparées à Lyon : les petites filles de retour dans leur famille d’accueil

    Elles ont pu passer les fêtes de Noël ensemble hors de l’hôpital. Les deux sœurs Bissie et Eyenga Merveille, qui étaient reliées par l’abdomen, sont rentrées dans leur famille d’accueil. Elles devraient pouvoir retourner au Cameroun en janvier.

    Après l’incroyable opération réalisée le 13 novembre qui avait permis de séparer les sœurs siamoises, Bissie, l’une des jumelles, avait dû subir une lourde intervention au cœur le 6 décembre dernier.

    « Bissie va bien. Si la maladie avait un temps mis ses jours en danger, la petite fille a repris du poids et se remet bien de son intervention. L’équipe médicale et soignante était présente aux côtés de leur maman vendredi dernier pour faire un dernier bisou aux petites filles, peluches en renfort ! », écrivent les HCL et la Chaîne de l’Espoir dans un communiqué cité dans Le Progrès et publié ce mardi.

    Un retour au Cameroun en janvier

    Depuis vendredi dernier, Bissie et Eyenga sont donc dans leur famille d’accueil, dans le Val-de-Saône. Elles ont pu y passer les fêtes de Noël. Après une dernière visite de contrôle, les deux fillettes pourront retourner dans leur pays.

    « Une visite médicale de contrôle aura lieu après les vacances à l’HFME, avant que la famille ne reprenne la route du Cameroun dans le courant du mois de janvier », précisent les HCL et la Chaîne de l’Espoir.

    Nées le 6 novembre 2018 au Cameroun, Bissie et Eyenga Merveille, qui étaient reliées par l’abdomen avec une partie du foie en commun, ont été séparées durant une opération très technique, menée durant cinq heures par les experts du service de chirurgie pédiatrique de l’hôpital Femme-Mère-Enfant, dont le Pr Pierre-Yves Mure.

    Il s’agissait d’une première pour cet établissement, l’un des plus grands hôpitaux pédiatriques de France. C’est la Chaîne de l’Espoir qui a assuré la logistique autour de la venue des fillettes en France.

    Le Parisien


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  • Trois personnes ont été blessées, dont deux grièvement, dans une fusillade survenue mercredi soir dans un quartier sensible de Besançon, a appris l'AFP de sources policières. La fusillade a eu lieu vers 19H30, sur fond de trafic de stupéfiants, dans le quartier de Planoise, selon l'une de ces sources. Des hommes cagoulés ont ouvert le feu sur un groupe, blessant grièvement deux hommes de 30 et 31 ans, a-t-on ajouté.

    Un adolescent de 14 ans a également été légèrement blessé, a-t-on précisé. Il sera entendu très prochainement par la police judiciaire, qui a été saisie, a ajouté une source policière. Les deux trentenaires ont été opérés mercredi dans la soirée, a-t-on ajouté. Selon le quotidien L'Est Républicain, les tireurs auraient utilisé des "armes automatiques, voire de armes de guerre" et auraient eux aussi essuyé des tirs en retour. Les assaillants ont ouvert le feu avec des armes "genre Kalachnikov", a confirmé une source policière.

    Une grenade a également été retrouvée par les policiers sous une voiture, selon cette même source, qui précise que ces incidents sont "assez fréquents" à Planoise. Fin novembre, un homme de 22 ans a été touché à quatre reprises par des tirs d'arme à feu dans le quartier sensible de Planoise à Besançon lors d'un possible règlement de comptes.

    Paris Match


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  • Un massicotier de 45 ans de la société E Lomag est décédé dans la nuit du 25 au 26 décembre, peu après être intervenu sur une machine et avoir ingéré une grande quantité de poussière.

    Un ouvrier de la société de façonnage d’impression E Lomag, à Pontault-Combault, est décédé dans la nuit du 25 au 26 décembre après une intervention sur une machine. Le drame s’est déroulé en deux temps, rue de Bruxelles, dans la ZAC de Pontillault.

    Ce massicotier de 45 ans est intervenu sur une presse à balles, une machine qui sert à comprimer des matériaux pour en faire des paquets. La machine était bloquée, et il était chargé de la « débourrer ».

    Vers 1 h 20, il a reçu une grande quantité de poussière dans le visage, mais cela ne l’a pas empêché de continuer son travail.

    Une vingtaine de minutes plus tard, il est soudainement tombé au sol dans l’atelier. Une fois sur place, les secours lui ont prodigué un massage cardiaque. En vain… Les pompiers et le Samu ont déclaré son décès moins d’une heure plus tard.

    L’Inspection du travail sur place

    Il s’agirait, selon les premiers éléments de l’enquête du commissariat de Pontault-Combault, d’un accident du travail. Une autopsie doit être réalisée.

    Ce jeudi en milieu de matinée, l’Inspection du travail était présente dans la société pour déterminer les causes de l’accident et notamment si la machine présentait un problème et si le process utilisé était approprié.

    La société E Lomag produit sept millions de magazines par semaine comme Voici, Telestart, l’Obs, l’Equipe Mag, Marianne. Elle appartient au Groupe France Routage. Elle compte quatre-vingts salariés et ses trente machines tournent en continu toute la semaine, sauf le dimanche.

    Créée en 1957, France Routage, indique sur son site Internet avoir investi, depuis sa reprise en 2003, « près de 25 M€ dans la modernisation de son outil industriel d’origine ». Implanté essentiellement en Seine-et-Marne, le Groupe est composé de plusieurs entreprises intervenant sur les différentes activités du marché : presse, marketing, colisage, conditionnement, etc.

    Le Parisien


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  • Un homme poignardé à mort aux abords du casino de La Rochelle

    Une personne a été tuée mardi soir aux abords du casino de La Rochelle (Charente-Maritime). La victime est un jeune homme de 24 ans, employé de l’établissement, rapporte Europe 1.

    Il a été poignardé vers 21h30. Il est mort quelques heures après les faits. L’arme du crime a été retrouvée sur place. Une enquête est confiée à la sûreté départementale.

    France bleu précise que la victime venait de finir sa journée de travail. C’est un passant qui l’a découverte. Aucune interpellation n’a encore eu lieu. La justice laisse ouvertes toutes les hypothèses dans cette affaire. Une autopsie aura lieu dans les prochains jours.

    Le Parisien

    Coluche dirait : Quand on en sait si peu, on ferme sa g. !


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  • Etats-Unis : il braque une banque puis distribue des billets en criant «Joyeux Noël !»

    Etats-Unis : il braque une banque puis distribue des billets en criant «Joyeux Noël !»

    Vers 12h30, lundi, David Oliver, un homme âgé de 65 ans à la barbe blanche, entre dans l’Academy Bank à Colorado Springs. Il sort une arme, menace le personnel et emporte avec lui une somme dont le montant n’a pas été précisé.

    Une fois dans la rue, le braqueur a décidé de jouer le Père Noël. Il ouvre son sac et commence à jeter des billets en l’air en criant « Joyeux Noël ! ».

    Après sa distribution, notre homme a voulu aller faire une pause dans un café voisin. C’est là que la police est venue le cueillir en douceur. Aucune arme n’a été retrouvée.

    Si certains passants ont fait preuve d’honnêteté, d’autres sont partis avec des liasses dans les poches. Selon les médias locaux, cela pourrait se chiffrer à plusieurs milliers de dollars…

    Le Parisien


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  • Loire: deux enfants se noient dans une rivière

    Deux jeunes enfants sont morts noyés dans une rivière au bord de laquelle ils jouaient en présence de leur mère, mardi en fin de journée à Montbrison (Loire), a-t-on appris auprès de la gendarmerie et de la préfecture du département.

    Les deux victimes, frère et sœur, sont nés en 2014 et 2017. Le drame est survenu dans Le Moingt, dont les eaux ont été gonflées dernièrement par d'abondantes pluies.

    La mère, âgée de 35 ans et originaire du Kosovo, avait mangé avec les enfants dans un fast-food, avant de les emmener en fin d'après-midi jouer au bord de la rivière qui passe non loin de la zone commerciale de Montbrison.

    D'après ses déclarations, le plus jeune est tombé à l'eau. Sa sœur a essayé de le rattraper avant d'être emportée à son tour par le courant. La mère a réussi à les rejoindre mais sans pouvoir les ranimer. Elle a alors alerté des personnes pour qu'ils préviennent les secours. Arrivés sur place, ceux-ci n'ont rien pu faire, selon les mêmes sources.

    La mère, sous le choc, a été hospitalisée. Le parquet de Saint-Étienne a ouvert une enquête, confiée à la brigade de recherches de Montbrison, et ordonné l'autopsie des deux corps.

    AFP


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  • Un homme disparu dimanche soir a été retrouvé mort enterré dans un parc aux Mureaux (Yvelines) dans la nuit de lundi à mardi, a annoncé le parquet de Versailles, précisant qu'un suspect avait été placé en garde à vue.

    Le voisin, principal suspect ?

    Le corps a été retrouvé dans le parc du Sautour en bordure de l'autoroute A13 autour de minuit par la famille de la victime qui avait lancé des recherches, s'inquiétant de ne pas voir cet homme de 44 ans rentrer chez lui.

    Il aurait été tué à coups de couteau, a rapporté une source proche du dossier, confirmant une information du Parisien. Un suspect âgé de 23 ans et voisin de la victime a été interpellé lundi matin à son domicile. C'est sa famille qui a alerté la police selon une source policière car il serait rentré chez lui dimanche soir en annonçant à ses proches qu'il avait tué quelqu'un. 

    Une "querelle de voisinage sur fond d'histoire de coeur

    Le suspect a été placé en garde à vue au commissariat des Mureaux, chargé de l'enquête avec la Sûreté départementale des Yvelines. Une "querelle de voisinage sur fond d'histoire de coeur avec la fille de la victime" pourrait être à l'origine du geste du jeune homme, rapporte une source policière. 

     Selon Le Parisien, le suspect avait eu une altercation début décembre avec la victime dont la fille adolescente se plaignait d'être harcelée par le jeune homme. Il aurait ainsi décidé de se venger. 

    BFM.TV


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  • La stratégie était astucieuse et originale, mais elle n'a pas fonctionné. Le service des douanes de Poitiers a saisi la semaine dernière 373 kg d'herbe de cannabis cachés dans des salades lors du contrôle d'un camion frigorifique espagnol sur l'autoroute A10 à Coulombiers (Vienne), à une quinzaine de kilomètres de Poitiers.

    La drogue était conditionnée dans des sachets thermoformés cachés dans 26 palettes de caisses de salades fraîches et sa valeur à la revente a été estimée à 3,7 millions d'euros, selon les douanes. La drogue saisie a ensuite été détruite.

    Les deux chauffeurs du poids lourd, un Espagnol et un Roumain âgés de 52 et de 58 ans habitués aux transports internationaux, préciseLa Nouvelle République, ont été contrôlés le 18 décembre sur l'autoroute A10, dans le sens Espagne-Paris.

    Le procès des deux chauffeurs renvoyé en février

    Jugés en comparution immédiate lundi devant le tribunal correctionnel de Poitiers, les deux quinquagénaires ont affirmé ne pas savoir qu'ils transportaient de la drogue. L'un des deux chauffeurs a demandé un délai pour préparer sa défense.

    Leur procès a été renvoyé en février et ils ont été maintenus en détention provisoire. Le service des douanes de Poitiers a indiqué avoir saisi 1,2 tonne d'herbe et de résine de cannabis en 2019.

    L'Express


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  • Affrontements à Grasse entre des dizaines de jeunes et les forces de l’ordre

    Affrontements à Grasse entre des dizaines de jeunes et les forces de l’ordre

    De violents affrontements se sont produits lundi soir à Grasse (Alpes-Maritimes) dans le quartier de Fleurs, anciennement La Blaquière. BFMTV rapporte qu’une cinquantaine de jeunes se sont opposées aux forces de l’ordre.

    Vers 21 heures, des caméras de surveillance ont été sciées à l’aide de disqueuses. Une fois les forces de police sur place, elles ont été violemment prises à partie, notamment à renfort de tirs de mortiers de feux d’artifice.

    Grosse livraison de drogue ?

    Alors qu’elle essuyait des jets de projectiles, de pétards et que du mobilier urbain était incendié, la BAC (brigade anticriminalité) a reçu des renforts. Le calme est revenu vers minuit sans qu’aucune interpellation n’ait lieu. Personne n’a été blessé.

    «Là, ça fait 18 ans qu'on habite dans le quartier. C'est vrai que ça s'est calmé depuis une bonne dizaine d'années. Il y a eu des tas de caméras mises en place par la mairie qui ont porté leurs fruits», témoigne un riverain.

    Une source syndicale policière interrogée par France bleu met en avant le trafic de drogue comme explication à cette soirée de violence. «Les caméras gênaient tout simplement la livraison d'un important stock de stupéfiants prévue avant Noël.»

    Le Parisien

    Personne n'a été interpellé ! Pourquoi ???


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  • L'accident s'est produit dimanche 22 décembre, dans la soirée. Selon les gendarmes, la conductrice, une femme de 85 ans, a fait demi-tour sur l'autoroute A10, environ 500 mètres après avoir manqué la sortie Saint-Avertin, dans le sens Paris-Bordeaux, se retrouvant ainsi à contre-sens.

    Sa voiture a été percutée presque immédiatement, de plein fouet, par un véhicule dans lequel se trouvaient quatre personnes, qui n'ont pas été blessées, rapporte France Bleu Touraine.

    Cette octogénaire est la 24e victime d'un accident de la route, en Indre-et-Loire, depuis début 2019.

    franceinfo


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  • Indonésie: au moins 24 morts après la chute d'un bus dans un immense ravin

    Le bus est tombé dans une rivière, après avoir fait une chute de 150 mètres. L'accident s'est produit dans une zone escarpée et isolée, ce qui complique les opérations des secours.

    Au moins 24 personnes sont mortes sur l'île de Sumatra en Indonésie dans l'accident d'un bus, ont indiqué les forces de l'ordre ce mardi. Le bus de transport régional a chuté de 150 mètres dans un ravin lundi soir peu avant minuit pour terminer dans une rivière, a expliqué Dolly Gumara, le porte-parole de la police locale.

    "Il a percuté une barrière en béton et a plongé dans le ravin. Plusieurs victimes sont toujours bloquées dans le bus", a indiqué le responsable. Aucun autre véhicule n'a été impliqué.

    Une cinquantaine de passagers à bord?

    L'accident s'est produit à proximité de la ville de Pagar Alam, dans une zone escarpée et isolée, ce qui complique les opérations des secours. Des équipes étaient sur place mardi pour récupérer les victimes et des blessés ont été transportés à l'hôpital.

    Ce bus de transport régional était parti avec 27 passagers, mais d'autres sont montés en cours de trajet, et des survivants ont indiqué à la police qu'une cinquantaine de personnes se trouvaient à bord au moment de l'accident.

    Des tragédies fréquentes sur les routes de l'archipel

    Les tragédies sont fréquentes sur les routes de l'archipel, du fait de la vétusté des véhicules et des infrastructures, et de l'impéritie des conducteurs. En septembre, au moins 21 personnes étaient mortes après la chute d'un autre bus dans un ravin, dans la région de Sukabumi (ouest de l'île de Java).

    Quelques mois auparavant dans la même région, 12 personnes avaient trouvé la mort et plusieurs dizaines été blessées dans un accident causé par un passager qui avait tenté de prendre le contrôle du volant d'un bus, provoquant une collision avec deux voitures.

    BFM.TV


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  • Strasbourg : Interpellé pour avoir exhibé son sexe au marché de Noël

    Des passants ont filmé un exhibitionniste au marché de Noël avant d’alerter la police

    Scène choquante pour des visiteurs du marché de Noël, à Strasbourg. Les faits remontent au 21 décembre. En fin de soirée, au moins trois personnes voient un homme sortir son sexe en public et déambuler ainsi devant les chalets en bois.

    Alertée, la police interpelle rapidement l’individu. L’exhibitionniste est un touriste américain âgé de 66 ans. Les policiers ont pu s’appuyer sur la vidéo d’un passant qui a filmé la scène avec son téléphone.

    Placé en garde à vue, le sexagénaire a reconnu les faits. Il a été examiné par un psychiatre qui l’a déclaré accessible à une sanction pénale. Il devrait comparaître prochainement devant le tribunal correctionnel. L’exhibition sexuelle est punie d’un an d’emprisonnement et de 15.000 euros d’amende.

    20 Minutes


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  • Un automobiliste a percuté une famille de sept personnes ce dimanche à Francheleins dans l'Ain, avant de prendre la fuite sur la départementale D88, rapporte France 3 Auvergne-Rhône-Alpes.

    L'accident est survenu vers 18 heures, à la sortie du village, d'après Le Progrès. Parmi les sept piétons, quatre ont été gravement blessés et transportés à l'hôpital. L'une des personnes, se trouvant actuellement en urgence absolue, a été évacuée au CHU de Lyon par hélicoptère.

    Dix véhicules de pompiers ont été dépêchés sur place. Une enquête a été ouverte et confiée aux gendarmes de Thoissey (Ain). Le délit de fuite constitue la première infraction routière en France. Plus de 172.000 délits de fuite après accident ont été commis en France en 2017, d'après les derniers chiffres disponibles.

    BFM.TV


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  • Nîmes : les pompiers sauvent un étudiant coincé… dans un poteau

    Les pompiers du Gard ont dû procéder dimanche matin à une intervention bien singulière : sauver un homme coincé dans… un poteau métallique. Selon une information de France Bleu Gard Lozère, cet étudiant de 23 ans aurait fait tomber une petite enceinte à l’intérieur d’un poteau du kiosque de l’esplanade de Nîmes, et serait tombé vers 8h30 du matin en tentant de la récupérer.

    Pour sortir le jeune homme coincé, les pompiers ont dû utiliser une disqueuse thermique afin d’agrandir l’ouverture. Ils ont dû tirer des cordes sur le toit du kiosque pour parvenir à extirper le malheureux.

    C’est un témoin qui, voyant les deux pieds du jeune homme sortir du poteau, a prévenu les pompiers, a précisé le SDIS 30 au Parisien. Après être resté plus d’une heure la tête en bas, l’étudiant, conscient, a été conduit à l’hôpital pour effectuer des examens, mais ne présentait aucune blessure apparente.

    Le Parisien


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  • Les deux adolescents soupçonnés d'un viol et de sa diffusion en vidéo sur les réseaux sociaux ont été placés en garde à vue samedi dans l'Essonne. La secrétaire d'Etat à l'égalité femmes-hommes Marlène Schiappa a appelé Twitter à prendre ses "responsabilités" et a réagi dans une interview accordée au "Parisien".

     

    Deux jeunes mineurs sont soupçonnés d'avoir violé jeudi 19 décembre une adolescente dans l'Essonne, puis d'avoir diffusé la vidéo sur les réseaux sociaux. Ils ont été placés en garde à vue samedi, a-t-on appris de sources policières. La secrétaire d'Etat à l'égalité femmes-hommes Marlène Schiappa a appelé Twitter à prendre ses "responsabilités". La victime, mineure également, habitant Grigny, a été identifiée. 

    Que s'est-il passé ?

    Les adolescents âgés de 16 et 17 ans sont soupçonnés d'avoir violé jeudi une adolescente dans une cage d'escalier à Morsang-sur-Orge dans l'Essonne. Ils sont également accusés d'avoir diffusé la vidéo sur les réseaux sociaux vendredi, vidéo qui a été massivement signalée à la Plateforme d'harmonisation, d'analyse, de recoupement et d'orientation des signalements (Pharos).

    La police nationale a donc diffusé vendredi un message sur Twitter appelant à ne pas relayer cette vidéo, et a assuré que les enquêteurs étaient mobilisés pour "identifier les auteurs de cet acte". Plus rapides que la police, des internautes ont reconnu les agresseurs, diffusant au passage leurs photos, noms et adresses. 

    A 22 heures 30 à Morsang-sur-Orge dans l'Essonne, un groupe de jeunes s'est présenté chez celui qui a violé la jeune fille; un portable filme les négociations sur le pas de la porte, le père tient une batte de baseball mais accepte d'accompagner son fils au commissariat. Il a 17 ans et aucun antécédent. Le second adolescent en a 16 et a, selon les informations d'Europe 1, déjà été mis en cause dans une affaire de viol. Aux policiers venus l'arrêter un peu plus tard, il a dit qu'il n'avait rien fait, qu'il avait "juste" filmé.

    "Ce sont des adolescents mais cela n'excuse rien", a réagi Marlène Schiappa dans une interview publiée samedi soir sur le site du Parisien. "Le respect des femmes doit s'appliquer à tous les âges et à tous les territoires de la République."

    Europe 1


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