• CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 22 06 2018

     

    Passez tout de même une bonne soirée


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  • La Légion étrangère dénonce


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  • Aquarius : la France traitera les demandes "au cas par cas", prévient Benjamin Griveaux

    Invité de l'émission Dimanche en politique sur France 3, le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, a déclaré que la France accueillera les migrants de l'Aquarius "s'ils répondent aux critères fixés dans la loi".

     

    La France accueillera-t-elle des migrants de l'Aquarius, qui a accosté dimanche 17 juin à Valence (Espagne)? La France traitera les situations "au cas par cas", a expliqué Benjamin Griveaux. "C'est impossible" de déterminer combien seront accueillis.

     

    "Ils viennent d'accoster, ça prend du temps de savoir de quelle nationalité ils sont, à quel titre ils demandent l'asile...", a fait valoir le porte-parole du gouvernement dans Dimanche en politique sur France 3. "On va voir quelles sont les différentes situations, les différentes nationalités, ils viennent d'accoster, ça prend du temps, on est sur de l'humain", a-t-il martelé. 

     

    Il faut selon lui "d'abord (régler) la question du traitement médical, de l'accueil, de remettre ces gens d'aplomb et ensuite l'examen" des situations, a précisé le porte-parole.

     

    "La France prendra sa part"

    "La France accueillera s'ils répondent aux critères que nous avons fixés dans la loi, la France prendra sa part", a-t-il assuré.

     

    La France a proposé d'accueillir une partie des migrants de l'Aquarius, avait annoncé samedi le gouvernement espagnol. Une offre saluée par le chef du gouvernement espagnol Pedro Sanchez comme un signe de la "coopération" et de la "solidarité" européennes nécessaires face à la crise migratoire.

     

    Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national (ex-FN), s'est dite dimanche "inquiète" que la France en accueille.

    M. Griveaux a par ailleurs répondu vertement aux députés, la marcheuse dont Sonia Krimi, qui ont critiqué la position de la France au sujet de l'Aquarius. : "un responsable politique doit d'abord ne pas céder à l'émotion (...) J'entends beaucoup d'émotion, pas beaucoup de solutions et d'action", a-t-il cinglé.

     

    "La France a toujours dit que s'il (l'Aquarius) avait été à proximité des côtes françaises, le droit s'imposerait. L'Espagne a pris ses responsabilités, il n'est pas question de concours", a-t-iil également déclaré.

    Orange


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  • Couacs en série : "On n’a pas été très bons", déplore-t-on à Matignon

    A Matignon, on reconnaît que la communication du gouvernement n'a pas été bonne ces dernières semaines.

    Un proche du Premier ministre Edouard Philippe en convient : "On n’a pas été très bons pendant dix jours. Ce n’est pas grave, ça arrive. Mais la communication a été moins bonne le mois dernier." Limitation à 80 km/h, baisse des aides sociales, glyphosate : les couacs n’ont pas manqué pour le premier anniversaire de l’élection de Macron. "Il y a eu un peu de fatigue, un peu de baisse de vigilance, donc on a pris un pion. Mais ça nous a réveillés", veut croire cet ami d’Edouard Philippe.

     

    Les aides sociales au coeur des débats

    Déclarations alambiquées, prises de position parfois contradictoires : le gouvernement a notamment soufflé le chaud et le froid sur la question des prestations sociales ces dernières semaines. "Ce qui est certain c'est qu'il y en a trop" et "qu'elles sont parfois contradictoires", avait notamment estimé sur RTL le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin, pointant l'existence de dispositifs nationaux et locaux nombreux et "complexes". Edouard Philippe avait dû intervenir fin mai pour mettre fin à la polémique : "La question n'est pas du tout de savoir s'il y a trop ou pas assez d'aides sociales. La question est de savoir si notre modèle fonctionne, s'il est efficace, s'il produit les résultats que nous espérons", avait-il expliqué.

    Le JDD.fr


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  • «Victime d'un nouvel ordre moral» : YouTube ferme la chaîne TV Libertés !

    Le compte YouTube de TVLibertés a été fermé pour «atteinte aux droits d'auteur». Un «prétexte juridique dérisoire» selon la chaîne, qui dénonce une décision «politique». La droite crie à la censure et s'inquiète pour la liberté d'expression.

    La chaîne de télévision marquée à droite TVLibertés a vu son compte YouTube fermé le 14 juin par la plateforme de vidéos, qui a invoqué une supposée atteinte aux droits d'auteurs. «La chaîne a été supprimée après trois avertissements pour atteinte aux droits d'auteur», a laconiquement expliqué à l'AFP un représentant de YouTube.

    Sur l'écran de l'ancienne adresse YouTube de TVLibertés, un message confirme que le compte a été clôturé en raison «des réclamations de tiers pour atteinte aux droits d'auteur concernant le contenu publié par cet utilisateur».

    Un argument qui ne tient pas selon Martial Bild, directeur de la rédaction de la chaîne, qui soutient dans une interview accordée au site Boulevard Voltaire qu'il s'agit d'une décision «arbitraire» et «politique», prise sous un «prétexte juridique dérisoire».

    En effet, de nombreux Youtubeurs ont recours à l'utilisation d'extraits d'œuvres qui ne leur appartiennent pas et qu'ils utilisent à des fins d'analyse ou de commentaire, sans pour autant être inquiétés. Le fait que sa chaîne soit attaquée à ce motif ne peut donc s'expliquer, selon lui, que par une volonté politique. «En réalité, nous avions utilisé le droit à l’emploi de courtes citations, prévu dans le droit français et donc inattaquable», note d'ailleurs Martial Bild.

    Il précise dans cet entretien que l'ensemble des 5 000 vidéos de la chaîne ont été supprimées par la plateforme alors qu'elle n'avaient jamais posé problème, ce qui constitue selon lui une spoliation de ses 100 000 abonnés.

    Recul massif de la liberté d’expression

    Cette décision a suscité l'indignation de nombreuses personnalités politiques de droite, qui s'en sont émues sur le réseau social Twitter.

    Pour Marine Le Pen, la suppression de la chaîne TV Libertés s'inscrit dans un mouvement plus large visant à réduire les libertés d'opinion et d'expression. «Comptes Twitter ou Facebook suspendus ou fermés sans aucune justification, loi sur les "Fake news", fermeture de la chaîne YouTube de @tvlofficiel... : le mandat d'[Emmanuel] Macron marque un recul massif de nos libertés d’opinion et d’expression. Ça commence vraiment à faire peur !», a tweeté  la présidente du Rassemblement national (RN).

    L'ancien ministre Les Républicain (LR) Thierry Mariani a de son côté apporté son soutien à la chaîne, «victime d'un nouvel ordre moral qui interdit de remettre en cause le kit du "prêt à penser" de notre société».

    «Censure scandaleuse, qui sera le prochain ?», s'est insurgé le président de Debout la France (DLF), Nicolas Dupont-Aignan, apportant lui aussi son soutien à la chaîne.

    Le président du Parti chrétien-démocrate (PCD), Jean-Frédéric Poisson, a dans la même veine dénoncé «les prémices de la censure», qui préfigurent selon lui la future loi sur les fake news voulue par le gouvernement Macron.

    RT FRANCE

    Bientôt la dictature macronienne !

     


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  • Migration: près de 90% des Allemands veulent plus d'expulsions  

    © Christof STACHE, AFP/Archives Des demandeurs d'asile au centre de transit bavarois de Manching, le 15 mai 2018 en Allemagne 

     

    La politique migratoire d'Angela Merkel est vivement critiquée pour les conséquences de sa décision de 2015 d'ouvrir le pays à plus d'un million de migrants.

    Près de 90% des Allemands veulent une accélération des expulsions de migrants en situation irrégulière, selon un sondage publié ce vendredi en pleine fronde gouvernementale sur la politique migratoire de la droite conservatrice contre la chancelière Angela Merkel.

     

    Accélérer les expulsions

    Le président de la chambre basse du Parlement Wolfang Schäuble, ancien ministre et personnage respecté dans la classe politique, doit par ailleurs, selon des médias allemands, tenter de négocier une sortie de la crise opposant Angela Merkel à son ministre de l'Intérieur, Horst Seehofer, le chef de file de l'aile la plus à droite de la fragile coalition gouvernementale qui veut imposer un tour de vis drastique à la politique d'accueil des demandeurs d'asile.

    Quelque 86% d'Allemands sont favorables à l'accélération des expulsions des migrants déboutées de leur demande d'asile, selon le sondage de référence de la chaîne publique ARD, le Deutschlandtrend, réalisé en début de semaine, au début du conflit politique menaçant la chancelière.

     

    Le bras de fer de Merkel

    Et 62% des personnes interrogées considèrent que les étrangers sans papiers arrivant aux frontières de l'Allemagne doivent être refoulés, une mesure voulue par Wolfang Seehofer et rejetée par Angela Merkel dans le conflit politique qui les oppose.

    Angela Merkel, critiquée pour les conséquences de sa décision de 2015 d'ouvrir le pays à plus d'un million de migrants, joue son avenir politique dans un bras de fer qui l'oppose à son ministre de l'Intérieur.

    Ce dernier veut refouler à la frontière les demandeurs d'asile sans papiers et ceux arrivant en Allemagne bien qu'ils ont été enregistrés par un autre pays dans la base de données de l'UE. La chancelière refuse cette mesure unilatérale et prône une solution coordonnée à l'échelle européenne lors du sommet de la fin juin.

     

    Former une coalition

    Lundi, la CSU, le parti de Wolfang Seehofer, doit décider si le ministre imposera ses vues par décret, ce qui pourrait amener à son limogeage voire à une chute du gouvernement Angela Merkel.

    Après les législatives de septembre, marquées par le score historique de l'extrême droite, la chancelière a mis six mois à former une fragile coalition réunissant son parti, la CDU, les conservateurs bavarois de Wolfang Seehofer et les sociaux-démocrates du SPD.

    Le vice-chancelier Olaf Scholz, un social-démocrate, a appelé ses partenaires à mettre fin au conflit: "la tâche de gouverner notre pays n'est pas un nouvel épisode de Games of Thrones mais une mission bien réelle", a-t-il twitté.

    BFM.TV


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  • Migrants: Rome veut des "excuses officielles" de Paris

    Les propos d'Emmanuel Macron sur le "cynisme" et l'irresponsabilité" de l'Italie, qui a refusé d'accueillir le navire transportant 629 migrants secourus en mer, a provoqué la colère du gouvernement italien.

    Le ton monte entre Rome et Paris. Le ministre italien de l'Intérieur Matteo Salvini a estimé ce mercredi que sans "excuses officielles" de la France il valait mieux annuler la rencontre prévue vendredi entre le président français Emmanuel Macron et le chef du gouvernement italien Giuseppe Conte.

    "Si les excuses officielles n'arrivent pas, le Premier ministre Conte fera une bonne chose en n'allant pas en France" pour ce sommet, a déclaré à des journalistes Matteo Salvini, qui est aussi le patron de la Ligue (extrême droite).

    De son côté, le ministre italien de l'économie, Giovanni Tria, a annulé sa rencontre prévue  ce mercredi en fin d'après-midi avec son homologue français Bruno Le Maire. La rencontre devait avoir lieu à 17h30 à Paris. 

     

    Des propos "inacceptables"

    Emmanuel Macron avait dénoncé mardi la "part de cynisme et d'irresponsabilité du gouvernement italien", qui a refusé d'accueillir le navire Aquarius avec 629 migrants à son bord, tandis que le porte-parole de son parti La République en marche, Gabriel Attal, a déclaré que la position de l'Italie était "à vomir".

     

    "Le gouvernement italien considère inacceptables les paroles utilisées dans des déclarations publiques hier à Paris", ajoute ce mercredi un communiqué du ministre italien des Affaires étrangères Enzo Moavero Milanesi, qui avait convoqué dans la matinée l'ambassadeur de France en Italie.

     

    C'est finalement la numéro deux de l'ambassade, Claire Anne Raulin, qui s'est rendue à cette convocation, l'ambassadeur ne se trouvant pas à Rome. Selon Enzo Moavero Milanesi, "de telles déclarations compromettent les relations entre l'Italie et la France".

     

    "Réparer la situation"

    "Les tons utilisés sont injustifiables" et même si Enzo Moavero Milanesi "comprend qu'un Etat ami et allié puisse être en désaccord avec les positions d'un autre Etat, le désaccord doit être exprimé d'une manière et dans des formes cohérentes avec un tel rapport d'amitié".

    Dans un ton très diplomatique, Enzo Moavero Milanesi réclame lui aussi des excuses de la part de la France.

    "Le gouvernement italien souhaite que les autorités françaises, une fois faites les réflexions opportunes, assument rapidement des initiatives de nature à réparer la situation qui s'est créée", a conclu Enzo Moavero Milanesi.

     

    La France "attachée au dialogue et à la coopération"

    De son côté la France s'est dite "attachée au dialogue et à la coopération" avec l'Italie sur la gestion de la crise migratoire qui frappe l'Europe, selon un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, alors que le ton monte entre Paris et Rome sur cette question.

     

    "Nous sommes parfaitement conscients de la charge que la pression migratoire fait peser sur l'Italie et des efforts que ce pays fournit. Aucun des propos tenus par les autorités françaises n'a bien entendu remis cela en cause", a ajouté le porte-parole dans une déclaration écrite peu avant la demande d'excuses formulée par Rome. 

    BFM.TV

    Pour qui il se prend macaron pour juger et insulter l'Italie ! 

    Matteo Salvini  a plus de c. que macaron ! 


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  • Pour Danièle Obono, les députés "pourraient avoir les moyens de se loger s'ils avaient une indemnité suffisante pour le faire"

    La députée La France insoumise souligne la charge supplémentaire que représente le logement à Paris pour un élu en région !

     

    Les propos de Danièle Obono font réagir. Les députés "pourraient avoir les moyens de se loger s'ils avaient une indemnité suffisante pour le faire", a lâché la députée La France insoumise de Paris, lundi 11 juin, sur BFMTV.

    "Le problème pour les députés qui sont dans les autres régions par rapport aux députés parisiens, c'est que ça leur fait une charge en plus", a fait valoir l'élue, invitée de Jean-Jacques Bourdin.

     

    Une députée "totalement hors-sol" !

    Son collègue de La République en marche Damien Adam pointe sa "grosse déconnexion vis-à-vis de la réalité". Tout comme l'élu local parisien Les Républicains, Pierre Liscia, qui dénonce une parlementaire "totalement hors-sol".

    Des frais de logement déjà pris en charge

    A l'heure actuelle, les députés perçoivent déjà au minimum 7 209,74 euros bruts mensuels. Cette enveloppe comprend une indemnité de base de 5 599,80 euros, une indemnité de résidence de 3% de 167,99 euros et une indemnité de fonction, représentant 25% du total, de 1 441,95 euros, comme l'indique le site internet de l'Assemblée nationale.

    Pour se loger, les députés ont plusieurs options. Au Palais-Bourbon, "242 députés disposent d’une possibilité de couchage dans leur bureau",. Pour les autres, 51 chambres sont disponibles dans une résidence de l'Assemblée. Seuls les élus de Paris et de la petite couronne ne peuvent en bénéficier. Si jamais cette résidence est complète, l'Assemblée rembourse en partie les nuitées d’hôtel à Paris, "dans la limite de 200 euros". Et "les frais de petit déjeuner et de parking sont remboursés intégralement, en sus." L’Assemblée dispose en outre d’un accord avec cinq hôtels dans lesquels la nuitée est remboursé intégralement.

    Et comme l'avait rapporté L'Opinion, depuis le 1er janvier, les députés peuvent également louer un logement à Paris, dont le loyer est pris en charge par l'Assemblée nationale à hauteur de 1 200 euros par mois.

    France info

    Danièle Obono, née le 12 juillet 1980 à Libreville (Gabon),  ‎française depuis 2011 !

    Si elle n'est pas contente, qu'elle retourne au Gabon !

     


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  • Intégration des étrangers : les heures de cours de français doublées

    © Twitter Matignon (Paris), le 5 juin. Le Premier ministre Edouard Philippe, Jean-Michel Blanquer et Muriel Pénicaud à l’issue du premier Comité interministériel à l’intégration.

    Edouard Philippe a plaidé pour une politique « digne de notre République pour tous ceux à qui nous donnons le droit de séjourner en France ».

    Edouard Philippe a annoncé mardi que le nombre d’heures de cours de français proposées aux étrangers s’installant légalement en France serait doublé. Ils passeront « à 400 heures », voire à 600, dans le cadre d’une réforme de la politique d’intégration qui jusque-là « manque d’ambition ».

    « La qualité de notre politique d’intégration est au cœur de l’équilibre général de notre politique d’immigration et d’asile », a affirmé le Premier ministre à l’issue du premier Comité interministériel à l’intégration, en présence notamment des ministres Jean-Michel Blanquer (Education), Muriel Pénicaud (Travail) et Gérard Collomb (Intérieur). Il a appelé à une politique « digne de notre République pour tous ceux à qui nous donnons le droit de séjourner en France ».

    Le Premier ministre n’a pas chiffré le coût des mesures annoncées, inspirées du rapport remis en février par le député de La République en marche Aurélien Taché. Ce dernier avait évalué à 607 millions d'euros le coût de ses 72 ambitieuses propositions.

    La formation civique dispensée aux étrangers venant s’installer durablement en France (réfugiés notamment), souvent jugée indigeste, sera réformée et étalée sur « 24 heures » au lieu de 12 actuellement, a ajouté Edouard Philippe, en martelant qu’en matière de valeurs républicaines, « leur respect n’est pas une option mais une obligation ».

    « Concentrer les moyens au tout début du parcours »

    Garde d’enfants pour les jeunes parents pendant les cours de langue, accès au « Pass culture » pour les jeunes… le Premier ministre a rappelé que donner les moyens de l’intégration est un enjeu « de cohésion sociale et nationale ». « Il faut concentrer les moyens au tout début du parcours d’intégration », notamment dans le Contrat d’intégration républicaine (CIR) proposé aux étrangers primo-arrivants et qui « inclura désormais une dimension professionnelle » afin de « lever les différents freins qui bloquent l’accès à l’emploi », a-t-il ajouté, alors que l’insertion sur le marché du travail est l’un des points noirs de l’intégration des étrangers en France. Pour cela, des dispositifs tels que le programme Hope (Hébergement, orientation, parcours vers l’emploi), qui propose formation linguistique et apprentissage dans des secteurs en tension, seront développés. Il a aussi annoncé « des parcours spécifiques correspondant aux besoins des jeunes primo-arrivants ».

    Le Premier ministre a aussi rappelé la mobilisation de 20 000 logements demandée aux préfets en décembre dernier. « C’est indispensable » pour que les réfugiés « ne perdent pas toute perspective d’intégration », a-t-il dit.

    Le Parisien

    Dépensons pour les étrangers, les français de souche peuvent bien crever !!!

    C'est vrai que Mamoudou va avoir besoin d'apprendre le français ! (rire)


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  • Plainte contre Alexis Kohler : le parquet national financier ouvre une enquête

    Le parquet national financier a ouvert une enquête lundi suite à une plainte de l'association Anticor contre le secrétaire général de l'Élysée Alexis Kohler.

    Le parquet national financier confirmé lundi matin avoir ouvert une enquête suite à la plainte déposée par Anticor contre le secrétaire général de l'Élysée Alexis Kohler, vendredi. L'association anticorruption le soupçonne de "prise illégale d'intérêt", "trafic d'influence" et "corruption passive".

    Vérifications.

    Des investigations sont menées afin de "vérifier si les règles relatives à la mise en disponibilité des agents publics ont bien été respectées" dans ce dossier, indique le PNF dans son communiqué, expliquant qu'Alexis Kohler "aurait pu traiter des dossiers intéressant" MSC lorsqu'il était à l'Agence des participations de l'État et à Bercy. Cette enquête a été ouverte "à la suite de la publication de plusieurs articles de presse", précise le PNF sans faire référence à la plainte de l'association anticorruption Anticor.

    "Soupçons infondés" !

    L'Élysée a indiqué lundi que son secrétaire général avait "pris note" de la plainte déposée contre lui par l'association Anticor, qui repose sur "des soupçons totalement infondés jetés sur lui à l'évidence en raison de ses fonctions". "C'est bien volontiers qu'Alexis Kohler communiquera au parquet l'ensemble des documents prouvant sa conduite respectueuse du droit dans toutes les circonstances de son parcours professionnel", précise la présidence.

    "Cette plainte s'appuie sur des articles de presse de Médiapart qui contiennent de nombreuses et graves erreurs factuelles", selon la présidence. "Alexis Kohler a toujours tenu sa hiérarchie informée de ses liens personnels avec l'entreprise MSC. Il s'est systématiquement déporté de toutes les décisions ayant trait à cette entreprise et sa hiérarchie informée a naturellement veillé au conflit d'intérêt potentiel. Dans toutes les fonctions qu'il a occupées à l'Agence des participations de l'État (APE), à Bercy et à l'Élysée", ajoute-t-elle. Âgé de 45 ans, Alexis Kohler est le bras droit d'Emmanuel Macron à l'Élysée depuis l'élection présidentielle de mai 2017.

    Europe1 .fr avec AFP
    Il va sortir blanc comme neige, c'est le meilleur soutien de macaron !

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  • Angela Merkel mise en cause dans un scandale sur les migrants en Allemagne

    IMMIGRATION - Une antenne de l’Office allemand des migrants et réfugiés est accusée d’avoir validée validé au moins 1.200 demandes d'asile par des migrants, en échange de divers avantages. 

    Angela Merkel et son gouvernement ont été mis en cause dimanche dans un vaste scandale qui secoue depuis des semaines l'office chargé de gérer les centaines de milliers de migrants arrivés en Allemagne depuis 2015.

    «L'échec se situe dans l'inaction (du gouvernement) dès lors que les défis auxquels l'Allemagne allait être confrontée avec l'arrivée des réfugiés étaient clairs», a déclaré l'ancien président de l'Office national des migrants et réfugiés (Bamf), Frank-Jürgen Weise, à l'hebdomadaire Der Spiegel.

     

    Des demandes d’asile validées contre divers avantages

    «La crise aurait pu être évitée», a-t-il ajouté. Il a indiqué avoir personnellement informé Angela Merkel à deux reprises des problèmes en 2017, sans que des mesures soient prises. Un rapport confidentiel établi par ses soins, dans lequel il s'en prend durement au gouvernement, a également fuité dans les médias.

    Depuis plusieurs semaines, le gouvernement de la chancelière Angela Merkel est sous pression, à la suite de la découverte d'une affaire de corruption présumée dans une des antennes à Brême du Bamf, un organisme dépendant du ministère de l'Intérieur. La responsable de l'antenne, des avocats et interprètes ont été mis en examen pour corruption notamment. L'antenne est accusée d'avoir validé au moins 1.200 demandes d'asile par des migrants, en échange de divers avantages. Sa responsable conteste les accusations et affirme qu'elle était juste débordée.

     

    Des mises en garde ignorées voire étouffées par le gouvernement allemand

    Depuis, le gouvernement vérifie plusieurs milliers d'autres dossiers, pour voir si le scandale n'est pas plus étendu. Il doit surtout se défendre d'accusations d'avoir au mieux ignoré des mises en garde en interne sur les malversations et problèmes qui étaient en cours, voire de les avoir étouffés.

    Le partenaire social-démocrate de la coalition gouvernementale d'Angela Merkel demande désormais des «explications» à la chancelière. “C'est tout simplement un échec de la chancelière«, a dénoncé dimanche un des dirigeants sociaux-démocrates, Ralf Stegner, au quotidienTagesspiegel. »On ne peut pas dire aux gens « On va y arriver » (le slogan de Merkel lors de l'arrivée des migrants en 2015, ndlr) et ensuite rester les bras croisés quand l'organisme chargé du dossier échoue faute de moyens", a-t-il ajouté.

    20 Minutes


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  • A Matignon, stress au travail et renvois à la pelle des petites mains d'Edouard Philippe

    Il ne fait visiblement pas bon vivre au cabinet du Premier ministre. Des employés témoignent des rudes conditions de travail rue de Varenne.

    À Matignon, des employés interchangeables ? Entre réaffectations soudaines et stress au sein du cabinet, les départs ne sont pas rares. En une année, quatre conseillers ont quitté Matignon. Quatorze secrétaires ont été réaffecté(e)s. Huit autres ont quitté l’équipe, ou ont été envoyé(e)s dans l'un des secrétariats d’État qui dépend du Premier ministre, parfois du jour au lendemain.

    Au sein du secrétariat particulier d’Edouard Philippe, quatre personnes travaillent en horaires décalées. Trois ont été écartées, trois autres ont claqué la porte. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Ils racontent des conditions de travail d’une dure intensité et d’une grande âpreté.

    En témoignent aussi les confessions faites à BFMTV de Marie*, employée actuellement en poste à Matignon. "On n’est jamais sûr de garder son poste. On ne sait pas si on finira la semaine."

     

    Travail de nuit

    Marie supporte difficilement cette peur constante d’être mise à la porte, véritable et pesante épée de Damoclès : "Quand un conseiller dit à une personne qu’elle peut sauter à tout moment, qu’il décide si elle sera encore là le mois prochain, la semaine prochaine, comme ça en face-à-face, je pense que c’est quelque chose qui n'est pas facile à encaisser." Au-delà des hautes exigences qu'implique sa fonction, Paul*, collègue de Marie lui aussi dépassé par les conditions de travail, regrette de travailler "beaucoup plus sans compensation, c’est anormal. C’est actuellement le cas du cabinet."

    Travailler "beaucoup plus" ? Dans les bureaux de la rue de Varenne, quand l’une des secrétaires est en congé, l’autre travaille de 8h30 à 20h, "ce qui est tout à fait illégal et anormal", dénonce Paul. Ces secrétaires, qui assistent les conseillers dans leur "travail intensif" sortent du bureau à "3 heures, 4 heures du matin". Le lendemain, rebelote.

    Une ambiance pesante  

    Un jour, le directeur de cabinet d’Edouard Philippe, Benoît Ribadeau-Dumas, a vu l’une de ses secrétaires arriver au bureau à 7h30. Aussitôt arrivée, aussitôt repartie. À 9 heures, ses cartons étaient faits.

    Marie assiste, désolée, à ce turn-over caractéristique de Matignon. Au ministère, les départs ont toujours été nombreux. Mais l’ère Philippe est une première en la matière. "C’est étonnant qu’un gouvernement arrive et que plus personne ne fasse l’affaire sachant qu’elles ont 10, 15, 20 ans d’expérience. [...] On a eu aussi des anciens Premiers ministres qui étaient difficiles mais non, ce n’était pas aussi dur. Ce n’était pas aussi malsain comme ambiance." Depuis un an, le phénomène "s’est amplifié" même si "les secrétaires de cabinet ont souvent changé de poste au gré de l'arrivée et des départs des conseillers", constate un représentant du syndicat autonome des personnels des services du Premier ministre (SAPPM), officiellement saisi du sujet.

    Au gré des changements de conseillers, les petites mains du ministère peuvent donc être renvoyées, déplacées, recasées à l’envi. L’ambiance à l’Hôtel de Matignon n’en sort pas indemne. Elle est au stress, à la mauvaise entente entre collègues, et à une dureté qui relève parfois de l’absurde. Le membre du SAPPM fait part d’une anecdote ironique à "l’Express" : lorsqu’un jour, la cheffe du secrétariat particulier - l’un des plus hauts postes du cabinet -  demande à ce que soient décalés les rendez-vous d’Edouard Philippe, il a été reproché à une assistante d’avoir exécuté les ordres de sa hiérarchie, malgré les instructions. Peu de temps passe avant que l’assistante soit mise à la porte. Le syndicaliste s’interroge : "Comment peut-on honnêtement être préparé à cette violence ?"

     

    La "peur d’être virée à tout moment"

    "L’Express" révèle que, pour comprendre cet état de tension, le cabinet a eu recours à une société de conseil en entreprise, Reor. Envoyée pour dresser un audit, sorte d’état des lieux du cabinet, elle synthétise les réponses de 40% des conseillers du Premier ministre et de 90% des assistantes.

    Résultat : le travail en décalé, la fréquence des interactions avec leur conseiller ou le travail en brigades satisfont les assistantes. Mais beaucoup de "stress" dû à la  "peur d’être virée à tout moment" a été reporté. Auquel s’ajoutent l’absence totale de "considération de la hiérarchie et aucune marque de confiance, plus aucune source de satisfaction". Les assistantes se sentent comme des "pions" que l’on "manipule au gré non pas des besoins mais des humeurs de chacun".

     

    Le coach bien-être du cab'

    Qu’importe le stress pourvu qu'on ait une coach bien-être. Dans une optique managériale favorable aux employés, une solution a été trouvée : la visite d’une masseuse, Bernadette Arnaud. Des séances "regénérantes dans le but de lâcher-prise, de mieux se centrer, être ancré dans un chemin positif afin de libérer les parasites", selon un document consulté par "l’Express".

    Le cabinet lui a, selon BFMTV, demandé de "rester discrète". Il ressort que Bernadette Arnaud a effectué quatre interventions en mars. Une heure de relaxation à 230 euros la séance pour un groupe de 10 à 12 personnes.

     

    Une situation assumée par Philippe 

    Interrogé mercredi par BFMTV, Edouard Philippe a réagi au sujet de ces conditions de travail. La réponse est simple : "À Matignon, on travaille beaucoup." Il "y veille" personnellement.

    Le Premier ministre justifie le rythme effréné et les changements de main d’œuvre à répétition. "La pression est considérable, notamment parce que les attentes des Français sont considérables. Compte tenu de cette pression, compte tenu de l’intensité du travail,  on ne peut pas dès lors que quelque chose ne va pas, espérer que ça va s’arranger ou attendre." À la détresse d’une partie de ses employés, il oppose son "engagement total auprès des Français".

    * Les prénoms ont été modifiés

    L'OBS


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  • Donald Trump confirme que le sommet avec Kim Jong-un aura lieu le 12 juin à Singapour

    Le président américain a rencontré le bras droit du dirigeant nord-coréen à la Maison Blanche, vendredi 1er juin.

    Le face-à-face devrait finalement avoir lieu. Donald Trump a confirmé, vendredi 1er juin, la tenue du sommet avec Kim Jong-un à Singapour le 12 juin. Une semaine plus tôt, le président amérciain avait annulé sa rencontre historique avec le dirigeant nord-coréen, en raison de "l'hostilité" de la Corée du Nord. "Je prense que ce sera finalement un processus couronné de succès", a affirmé Donald Trump, à l'issue d'une discussion avec le bras droit de Kim Jong-un à Washington.

    Le président américain a ajouté que, selon lui, Kim Jong-un était "résolu à dénucléariser" la Corée du Nord. "Je sais qu'ils veulent le faire Ils veulent se développer en tant que pays. Cela va se faire, je n'ai aucun doute", a-t-il assuré.

    Donald Trump, à qui le général Kim Yong Chol a remis une "très sympathique lettre" de Kim Jong-un, a également promis que les Etats-Unis n'imposeraient pas de nouvelles sanctions à la Corée du Nord pendant les négociations. "Je ne veux plus utiliser le terme 'pression maximale'. (...) Nous nous entendons bien", a-t-il déclaré aux reporters, sur la pelouse de la Maison blanche.

    franceinfo


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    Un élu condamné à de la prison ferme reçu à l'Élysée

    © afp.com/BERTRAND LANGLOIS Le Guyanais Léon Bertrand, ancien ministre délégué au Tourisme de Chirac entre 2002 et 2007, sera rejugé dans une affaire de marchés publics

     

    Des consignes auraient été données à la police aux frontières pour laisser passer Léon Bertrand, maire LR de Saint-Laurent-du-Maroni, venu assister au lancement de la Mission Patrimoine.

     

    Condamné pour corruption en 2017, Léon Bertrand, accompagné de son épouse, a traversé sans encombre l'Atlantique pour venir assister au lancement de l'opération Mission Patrimoine à l'Élysée, jeudi soir. Le maire de Saint-Laurent-du-Maroni (Guadeloupe) faisait partie des dizaines d'élus conviés sous les ors de la République pour présenter ce dispositif. 269 sites, dont 18 prioritaires, vont bénéficier de l'argent retiré de la vente des lotos et tickets à gratter bientôt disponibles. Parmi eux : la maison du receveur des douanes de Saint-Laurent-du-Maroni.

    Selon les informations de BFM Paris, l'élu, condamné l'an dernier à trois ans de prison ferme par la cour d'appel de Basse-Terre pour "corruption passive" et "favoritisme" dans la passation d'un marché public et placé sous mandat de dépôt, n'a eu aucun problème à entrer en métropole. Et pour cause : la police aux frontières de l'aéroport d'Orly avait reçu la consigne du parquet de Créteil de ne pas faire de zèle avec l'édile.

    Inscription au fichier des personnes recherchées

    En théorie, lors du contrôle des passeports, son cas aurait dû être signalé à la police aux frontières. Sous le coup d'un mandat de dépôt délivré lors de l'audience à laquelle il ne s'est pas présenté, Léon Bertrand avait été automatiquement inscrit au fichier des personnes recherchées. Jamais transformé en mandat d'arrêt, ce qui aurait pu permettre d'appréhender le maire, le mandat de dépôt permettait à Léon Bertrand d'être libre de ses mouvements en Guyane mais pas en métropole.

    "En l'absence de mandat d'arrêt, on interpelle l'individu, et l'on avise le tribunal qui a prononcé la condamnation pour connaître les suites à donner", raconte dans Le Parisien un officier de la police aux frontières interrogé. Mais dans le cas du maire de Saint-Laurent-du-Maroni, les agents de la police aux frontières ont dû laisser passer. Une pratique vraisemblablement assez fréquente, notamment "pour des people en délicatesse avec le fisc", confie l'officier de police !

    L'Express

    Difficile à croire !


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  • La nouvelle affiche de LR a-t-elle vraiment le slogan : « Pour que la France reste la France »?

    À l'occasion d'un week-end de portes ouvertes dans les fédérations locales des Républicains les 9 et 10 juin prochains, le parti a dévoilé une affiche portant le slogan «Pour que la France reste la France». Le message rappelle à certains internautes les idées de l'extrême droite.

    Question posée par Alexandre T. le 30/05/2018

    Bonjour,

    Nous avons raccourci votre question pour la simplifier. La voici dans son intégralité : «Bonjour ! Sur Twitter, beaucoup décrient une nouvelle affiche «Les Républicains» ayant pour slogan «Pour que la France reste la France». Le signal rappelle la politique xénophobe du Front National et le slogan «La France aux Français». Cette affiche est-elle une nouvelle affiche LR ou un faux ? Si c’est un vrai, qu’en disent les moins extrémistes Raffarin, Pécresse, Larcher ?»

    Sur Twitter, de nombreux internautes fustigent un slogan rappelant celui du FN «La France aux Français». 

    L’affiche a également suscité la réaction du conseiller municipal LR à Paris Pierre Liscia 

    Contacté par Checknews, LR confirme qu’il s’agit «bien d’une affiche faite par le parti» à l’occasion d’un week-end «de portes ouvertes des fédérations locales», qui se tiendra les 9 et 10 juin prochains dans toute la France. Dans un article du Figaro daté du 22 mai, Les Républicains indiquaient déjà que les élus et les cadres du mouvement auront à leur disposition «un tract, une affiche et un kit complet pour les actions de terrain», avec un slogan: «Pour que la France reste la France».

    Selon LR, l’équipe de communication du parti, qui a conçu l’affiche, n’a pas effectué de consultations auprès des adhérents avant la publication de l’affiche.

    Par ailleurs, le journaliste de l’AFP Paul Aubriat a rappelé dans un tweet que le slogan «Pour que la France reste la France» avait déjà été utilisé par un candidat du Front national pour les élections législatives de 2017… mais aussi par le Parti socialiste à l’occasion de la Belle Alliance Populaire, organisée par le PS en 2016.

    Cordialement,

    Marie-Perrine Tanguy - Libération

    Elle est très bien cette affiche ! (sourire)


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  • "Une vingtaine" de détenus condamnés pour terrorisme va sortir de prison cette année

    © BFMTV François Molins, le procureur de la République de Paris.

    Le procureur de la République a qualifié "d'enjeu majeur" la sortie prévue d'une quarantaine de détenus condamnés pour terrorisme d'ici 2019.

    "On court un risque majeur de voir sortir de prison à l'issue de leur peine des gens qui ne seront pas du tout repentis, qui risquent même d'être encore plus endurcis compte tenu de leur séjour en prison." La mise en garde vient du procureur de la République de Paris. François Molins, figure de la lutte contre le terrorisme en France, a indiqué sur BFMTV qu'une quarantaine de détenus, condamnés pour des faits en lien avec du terrorisme, seront libres d'ici 2019.

     

    "Une vingtaine en 2018, une vingtaine en 2019", a indiqué le représentant du parquet.

     

    Cette situation redoutée par le monde policier et judiciaire découle d'une situation jusqu'alors inédite en France. "Avant 2016 on ne criminalisait pas parce qu’on avait pas tout à fait pris conscience du danger de Daesh", précise le procureur. En clair, les prévenus étaient jugés par un tribunal correctionnel et encourraient des peines moins lourdes. "Depuis les attentats, on considère que tous ceux qui ont rejoint la zone irako-syrienne pour rejoindre Daesh se rendent coupables d’une association de malfaiteurs terroristes criminelle ce qui les rend passible d’une cour d’assises", poursuit François Molins, confirmant des peines plus "sévères".

     

    Menace terroriste endogène

     

    Anticipant ces sorties de prison, le parquet de Paris demande à l'administration pénitentiaire les dates de sorties 18 mois à l'avance pour "saisir les juges d'application des peines et éviter les sorties sèches". Ces sorties vont également nécessiter "un suivi beaucoup plus approfondi et attentif en détention par le renseignement pénitentiaire pour évaluer au mieux les profils de dangerosité". "Ca nécessite un travail de fond entre l'administration pénitentiaire, les services de renseignement, les préfectures, les acteurs judiciaires", poursuit le représentant du parquet.

     

    Et d'ajouter, en guise de mise en garde: "Je pense qu'il faut que l'on fasse face à ça, parce que c'est vraiment un risque majeur et on a une responsabilité collective par rapport à ce phénomène si l'on veut prévenir les risques de récidive."

     

    La sortie de possibles récidivistes viendrait accentuer une menace terroriste endogène forte en France. Ce risque vient de deux phénomènes, selon le procureur: "un vivier de frustrés du jihad irako-syrien", inspiré par Daesh pour passer à l'acte de manière isolée, mais aussi une menace venant des prisons alors que "plus de 500 détenus terroristes" côtoient "plus de 1200 détenus radicalisés de droit commun".

     

    "Le milieu pénitentiaire fait office d’incubateur, dans la mesure où vous avez une interaction dans les prisons entre ces terroristes islamistes et ces détenus radicalisés de droit commun", conclut le procureur de la République.

    BFM.TV

    La France est mal barrée !!!


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  • «Le salaud». La réponse d'une députée à Stéphane Travert sur le glyphosate

    Stéphane Travert !

    L'agricultrice du Finistère avait déposé un amendement au sujet du désherbant...

    Sandrine Le Feur est agricultrice bio dans le Finistère. Depuis un peu plus d’un an, elle est aussi députée. Inconnue du monde politique il y a peu, la jeune femme a été élue avec l’étiquette de La République en marche. Mais elle n’a pas perdu son franc-parler. Dans un extrait de l’émission C Politique, diffusée sur France 5, la députée s’est émue de la réaction du ministre Stéphane Travert au sujet du glyphosate. « Le salaud », a-t-elle lâché en marge d’un rassemblement militant.

    Engagée pour la démarche bio, la députée a déposé un amendement « signé par 70 députés » proposant l’interdiction de l’utilisation du glyphosate d’ici trois ans. Ce que le ministre a tenté de minimiser dans un tweet : « L’interdiction du glyphosate n’a jamais figuré dans le projet de loi. Il existe un amendement, déposé par un député, qui n’a pas été adopté en commission ».

     

    L’interdiction pas inscrite dans la loi

    L’interdiction du glyphosate n'a pas été gravée dans la loi par les députés​, alors qu’il s’agissait d’un engagement du candidat Emmanuel Macron. Le porte-parole du Gouvernement Benjamin Griveaux a cependant affirmé que le produit disparaîtra d'ici trois ans.

    20 Minutes

    Un engagement de Macron de plus non tenu !


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  • Heureusement qu’Anne Hidalgo a fait supprimer la circulation automobile… On voit tout de suite la baisse de pollution !

    Paris, la plus belle ville du monde !


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  • Aide à la presse - Les journaux les plus aidés par l'Etat

    Les montants des subventions versées aux journaux de la presse écrite ont été publiés par le ministère de la Culture en mars 2018. Les chiffres concernent les aides versées en 2016.

     

    LIEN de l'article :

    https://droit-finances.commentcamarche.com/faq/33224-aide-a-la-presse-les-journaux-les-plus-aides-par-l-etat

     


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