• Devant les juges, Alexandre Benalla contre-attaque et accuse un haut-fonctionnaire

    Un inspecteur général proche du ministère de l'intérieur est particulièrement visé.

    Alexandre Benalla, ancien chargé de mission d'Emmanuel Macron à l'Elysée, n'est pas décidé à se taire. Entendu le 5 octobre dernier par les juges Carine Rosso, Aïda Traore et Emmanuelle Gendre, il a, selon Le Journal du Dimanche qui a pu consulter des documents du Monde, pointé du doigt plusieurs hauts fonctionnaires lors de son audition.

    Pour lui, les événements du 1er mai place de Contrescarpe auraient uniquement dû provoquer la saisie "du parquet en vue de l'ouverture d'une enquête préliminaire". Au contraire, toujours selon Benalla, les faits ont été livrés à la presse par "un haut-fonctionnaire du ministère de l'intérieur au grade d'inspecteur général".

    En filigrane, il estime que sa proximité avec le président de la République et sa nouvelle place dans l'organisme de l'Elysée "agaçait policiers et gendarmes". 

    "J'aurais eu une médaille"

    Ce haut-fonctionnaire, don le nom n'a pas été communiqué, n'est pas le seul visé par les accusations. Alain Gibelin, directeur de l'ordre public et de la circulation (DOPC) à la préfecture de police de Paris, est quant à lui accusé de "déclarations mensongère". Interrogé par la commission d'enquête de l'Assemblée Nationale, il avait contredit Benalla et expliqué ignorer sa présence avec les policiers le 1er mai: 

    "Il y a bien eu un déjeuner avec le général Eric Bio Farina (commandant militaire de l'Elysée, NDLR) où il m'a dit 'tu viens toujours le 1er mai?'(...) Il était parfaitement au courant."

    Provocateur, Alexandre Benalla conclut avec une ultime pirouette:

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    "Si cette affaire était sortie à ce moment-là (au moment du 1er mai), il n'y aurait jamais eu d'affaire (...) A ce moment-là, j'aurais eu une médaille."

    BFM.TV 


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  • Macron l'anti-France.

    Encore trop nombreux sont ceux qui n'ont pas compris que l'élection présidentielle n'était plus un choix entre des candidats de gouvernance nationale mais un choix restreint entre des candidats VRP d'une Europe fédérale ou ceux d'une Europe des nations.

    En mai 2017, un choix désastreux a conduit de nouveau un VRP à la tête de l'Etat avec pour conséquences : Immigration forcée, privatisation du service public, CSG, gel des retraites, baisse des APL, nouveau contrôle technique, le compteur Linky, sans compter le racket fiscal pour compenser les dépenses dues à la migration tout en tentant stérilement de rester dans le niveau de la dette imposé par Bruxelles.

    Les prochaines élections européennes revêtent une importance particulière.

    Si on veut se débarrasser des mesures néfastes de macron, il faut étêter le parlement européen en faisant le choix de candidats souverainistes, macron ne pourra plus exercer une feuille de route devenue caduque et la France, et les autres pays d'Europe retrouveront leur souveraineté nationale perdue.

    Attention, Mélenchon, le Jean Bedel Bokassa de la France insoumise, est un faux candidat souverainiste, en plus de toutes ses tares génétiques issues du socialisme, c'est un immigrationiste forcené, il est pour une Europe élargie à l'Afrique...ou l'inverse.

     

    Article pris chez Stan : http://pauvrefrance.centerblog.net/


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  • URGENT — Exigeons un Référendum - Pétition à signer !

    Signez la pétition de Laurent Obertone pour un référendum

    URGENT — Exigeons un Référendum

     

    LIEN de l'article : https://damocles.co/referendum-immigration/

     

    Pour signer la pétition, remplir votre prénom, votre nom, votre e mail en bas à droite et cliquez sur ENVOYER.


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  • TV Libertés - Excellente video !

    Richesse, chance, opportunité pour l’avenir, les qualificatifs sont pléthore pour habiller l’immigration en France. Pourtant, les informations objectives, les chiffres, sans parler des statistiques ethniques sont de plus en plus invisibles…
    Y aurait-il quelque chose à cacher ?
    Avec LA FRANCE INTERDITE (Ed. Ring), Laurent Obertone livre la vérité sur l’immigration.
    Bienvenue dans la réalité !


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  • Montreuil: la justice évacue des migrants logés par le maire

    Le maire de Montreuil avait réquisitionné des locaux appartenant à l'État pour reloger des travailleurs migrants.

    Expulsés.

    Vendredi, le tribunal administratif de Paris a "suspendu l'exécution de l'arrêté" pris par le maire de Montreuil (Seine-Saint-Denis). Il avait réquisitionné des locaux appartenant à l'État, afin de reloger des travailleurs migrants. Un communiqué de la préfecture de Seine-Saint-Denis enjoint "tous les occupants présents sur le site d'évacuer ces locaux, d'enlever tous les matériels entreposés et de remettre les lieux en état dans un délai de 8 jours" après notification de l'ordonnance, ajoute la préfecture.

    Le 26 septembre à l'aube, le maire de cette commune de banlieue parisienne, Patrice Bessac (PCF), avait procédé à la réquisition administrative de 15 000 m2 de bureaux vides anciennement occupés par l'Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes (Afpa). Environ 200 travailleurs immigrés qui vivaient jusque-là dans un foyer de la ville, que le maire juge "indigne", s'y étaient alors installés.

     

    "J'ai mal pour mon pays"

    "Même si je prends acte des décisions du tribunal administratif de Paris, ce soir j'ai mal pour mon pays et pour ses institutions qui décident de mettre des centaines de travailleurs à la rue, ferment les yeux sur les conditions de vie indignes et dangereuses de centaines d'autres et laissent des milliers de mètres carrés vides en attendant des projets qui ne verront le jour que dans 6 ans", a dit Patrice Bessac dans un communiqué.

    Il a demandé à "toutes les parties d'accepter de renouer le dialogue au plus vite" et a annoncé faire appel de la décision du tribunal. Un appel "non-suspensif" qui "a priori" ne permettra pas d'empêcher la procédure d'expulsion, a précisé la municipalité.

    Après la réquisition, le préfet avait fustigé une "opération d'occupation comportant des actes d'une violence particulière" et "des modes d'action contraires aux règles d'emploi de la police municipale". Selon le préfet, les anciens locaux de l'Afpa "totalement inadaptés à une telle occupation" et présentant de "sérieux risques pour la sécurité et la santé des occupants", doivent être réhabilités pour accueillir la Cour nationale du droit d'asile et un tribunal administratif. 

    L'Express


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  • Bruxelles menace Paris d'un carton jaune sur le budget 2019

    Il ne marche plus, il vole (dans les 2 sens du mot !)

    La Commission européenne a officiellement demandé vendredi 19 octobre "des précisions" à la France sur son budget 2019, susceptible de ne pas respecter à la lettre les règles européennes.

    Dans un courrier adressé à Paris, Bruxelles craint que les efforts entrepris pour réduire le déficit français soient insuffisants et réclame "de plus amples informations".

    Certes, les finances françaises devraient s'améliorer dans les années à venir. Le déficit public de la France, qui est sortie l'an passé de la "procédure pour déficit excessif", devrait se situer en 2019 à 2,8% de son Produit intérieur brut (PIB), c'est-à-dire sous le fameux seuil de 3,0% imposé par l'UE.

    Déficit structurel

    Dès lors, un autre critère devient déterminant aux yeux de Bruxelles: la réduction du déficit structurel -c'est-à-dire le déficit calculé sans les effets de la croissance- car cet effort structurel contribue à la réduction de la dette. Celle-ci atteindra encore 98,6% du PIB en 2019, selon Paris. Les règles européennes imposent à la France de réduire ce déficit structurel à hauteur de 0,6 point de PIB en 2019. Or, selon le projet budgétaire présenté par Paris, cet effort ne dépassera pas 0,3 point l'an prochain. "Nous souhaiterions donc recevoir de plus amples informations sur l'effort structurel et l'évolution des dépenses envisagés dans le projet de budget pour 2019", écrit Bruxelles dans sa lettre. "Les divergences, mineures, sont de nature essentiellement technique et les services échangent avec ceux de la Commission à ce sujet", a réagi le Trésor français dans un communiqué. La réponse de Paris permettra à la Commission d'affiner sa propre évaluation des finances françaises.

    Rejet du budget italien?

    Bruxelles doit présenter ses perspectives économiques sur les pays de la zone euro le 8 novembre, puis ses opinions sur les budgets deux semaines plus tard. Outre l'Italie et la France, Bruxelles a aussi envoyé vendredi des courriers à la Belgique, l'Espagne, le Portugal et la Slovénie.

    Le cas français est différent de celui de l'Italie, dont le budget, épinglé jeudi dans un courrier bien plus virulent de Bruxelles, pourrait lui être bientôt rejeté. La coalition populiste au pouvoir en Italie a volontairement présenté à Bruxelles un budget largement en dehors des clous: il ne s'agit pas d'un effort insuffisant, mais d'une aggravation délibérée des dépenses et du déficit.

    BFM.TV


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  • La jeunesse de Castaner !

    À 18 ans, il quitte le foyer familial et reste deux ans à Marseille, où il gagne de l'argent notamment en jouant au poker. Il se lie avec Christian Oraison, un caïd des Alpes-de-Haute-­Provence de la Dream Team abattu de plusieurs balles en 2008 ; il déclare à ce sujet : « C'était mon grand frère, mon protecteur. Il m'appelait l'étudiant »


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  • Le nouveau « secrétaire d’État à la transition écologique » est un dirigeant et lobbyiste de Danone

    Plus c’est gros, plus ça passe ! En l’occurrence, c’est tout simplement énorme : suite au remaniement ministériel de ce mardi, Emmanuelle Wargon a été « nommée secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire ».

    Fille de Lionel Stoléru (ancien ministre de Valéry Giscard d’Estaing), Emmanuelle Wargon était à l’ENA, dans la même promotion qu’un certain Édouard Philippe… Nommée à la Cour des comptes après son cursus, elle devint par la suite conseillère technique dans le cabinet de son coreligionnaire Bernard Kouchner, à l’époque ministre de la Santé de Chirac. Passée par le Haut-commissariat aux Solidarités de Martin Hirsch sous Nicolas Sarkozy et le ministère du Travail sous François Hollande, elle est depuis 2015 « directrice générale des affaires publique et de la communication » (lobbyiste en chef) de Danone – géant mondial de l’agro-alimentaire (pour lequel Muriel Pénicaud, ministre du Travail, a exercé la fonction de directrice des ressources humaines). 
     

    CONTRE INFO.com


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  • Qui est Jacqueline Gourault, la nouvelle ministre de la Cohésion des territoires ?

    Qui est Jacqueline Gourault, la nouvelle ministre de la Cohésion des territoires ?

    Qui est Jacqueline Gourault, la nouvelle ministre de la Cohésion des territoires ?

    Jacqueline Gourault a été nommée ce mardi à la tête d’un grand ministère de la Cohésion des territoires - en remplacement de Jacques Mézard, qui quitte le gouvernement - et sera épaulée par Sébastien Lecornu et Julien Denormandie, a annoncé l’Élysée dans un communiqué.

    Jacqueline Gourault est connue pour être très proche du président du MoDem François Bayrou. Sénatrice MoDem du Loir-et-Cher entre 2001 et 2017, elle fut également vice-présidente du Sénat lors de ses trois dernières années de mandat. Après les législatives de 2017, elle a été nommée à un poste aux contours flous, « ministre auprès du ministre de l’Intérieur ».

    L’ex « super-adjointe » de Gérard Collomb

    Malgré son expérience de « super-adjointe » de Gérard Collomb au ministère de l’Intérieur, Jacqueline Gourault demeure peu connue du grand public. Son objectif était de « faire de la pédagogie » en évitant que le fossé d’incompréhension ne se creuse entre les élus de terrain et l’exécutif, que ce soit à propos des dotations globales de fonctionnement ou l’abaissement de la vitesse à 80 km/h.

    Son assise politique s’est en outre renforcée lorsque Matignon lui a demandé de prendre en charge le dossier corse, devenant l’interlocutrice privilégiée des turbulents présidents nationalistes de l’exécutif et de l’assemblée de l’île, Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni.

    Réputée pour sa bonhomie et un certain franc-parler, Jacqueline Gourault s’est toutefois vu reprocher de mémorables bourdes. En juillet dernier notamment, elle parle de « prisonniers politiques » corses, avant de faire un spectaculaire rétropédalage.

    Engagement avec Giscard, adversaire de Jack Lang, figure du Modem

    Professeure d’histoire-géographie pendant plus de 20 ans, Jacqueline Gourault s’est d’abord engagée en politique auprès de Valéry Giscard d’Estaing. Elle deviendra ensuite maire de la commune de La Chaussée-Saint-Victor (Centre-Val de Loire).

    En 1993, elle se présente aux législatives, notamment face à Jack Lang - alors responsable politique de premier plan. Battue d’une courte tête, Jacqueline Gourault parvient « à faire invalider la réélection du député, coupable d’avoir dépassé le plafond de 500 000 francs de dépenses électorales autorisées de quelque 90 000 francs » comme l’explique L’Obs. Le ministre devient alors inéligible pendant un an et Jacqueline Gourault se fait un nom au niveau national, malgré sa défaite.

    Jacqueline Gouraud est également une figure historique du MoDem, faisant notamment partie de l’équipe dirigeante aux débuts du parti, en 2007. Enfin, lors de la dernière élection présidentielle, Jacqueline Gourault s’est engagée avec une petite dizaine de sénateurs centristes en faveur d’Emmanuel Macron.

    Opposée au mariage pour tous

    Catholique pratiquante selon l’Obs, Jacqueline Gourault est également connue pour s’être opposée au mariage pour tous. « Le mariage est un héritage de notre histoire qui, je crois, devrait être préservé en ce qu’il a de symbolique » déclarait-elle sur Radio Plus FM.

     

    Elle avait en outre laissé planer le doute lorsqu’elle était interrogée, en mars dernier, sur l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes, pourtant promesse de campagne du candidat Macron.

    Ouest-France


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  • Allez, on va voir ce qui se passe du côté de l'Elysée, encore un pastiche sur une superbe chanson de Charles Aznavour dont je suis un inconditionnel : "Comme ils disent"
    J'espère qu'il me pardonnera ce sacrilège, c'est plus fort que moi, je ne sais pas résister !

    Leumas


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  • Remaniement : ces tweets critiques contre Macron que les nouveaux ministres ont oublié d'effacer

    © Montage via Figaro Photos Didier Guillaume, Marc Fesneau et Franck Riester ne sont pas des macronistes de la première heure. 

    Souvent perçu comme un bon outil de communication, Twitter peut aussi avoir des inconvénients pour les personnalités politiques. Le réseau social n'oublie rien. Il ne suffit que de quelques clics pour retrouver d'anciens tweets égarés et parfois vieux de plusieurs années. En période de remaniement, certaines archives peuvent être cruelles. Nouvelle démonstration ce mardi. Pour composer sa nouvelle équipe de ministres, Emmanuel Macron a pioché à gauche, avec l'ancien sénateur PS Didier Guillaume, au centre, avec le député MoDem Marc Fesneau, et au centre avec le député Agir, ancien LR, Franck Riester. Les trois hommes ne sont pas des convertis au macronisme de la première heure. 

    Didier Guillaume narquois

    En pleine campagne présidentielle, Didier Guillaume lâchait ses coups contre le candidat d'En Marche. «Emmanuel Macron aurait dû faire le choix de la primaire de gauche. S'il était si sûr de lui, il l'aurait gagné», certifiait en novembre 2016 le président du groupe PS au Sénat et futur directeur de campagne de Manuel Valls pour la primaire de la gauche. Quelques jours plus tard, il enchaînait: «Si Emmanuel Macron continue dans son aventure personnelle, il fait le choix de la victoire de la droite». En janvier 2017, il n'hésitait pas à narguer le futur chef de l'État. «Le vainqueur de la primaire [de la gauche] fera plus de voix que de personnes aux meetings d'Emmanuel Macron», avait-il assuré. En janvier dernier, le vallsiste avait également annoncé qu'il «quittait la vie politique», en concluant: «Pour savoir où l'on va, il faut savoir d'où l'on vient». Savoureuse maxime aujourd'hui...

    Marc Fesneau pas convaincu

    Certains tweets de Marc Fesneau démontrent que le député du MoDem n'était pas forcément en phase avec la politique portée par Emmanuel Macron lorsqu'il était encore ministre de l'Économie. En septembre 2014, le centriste lui donnait même une «triste et désagréable impression de hors-sol». Avant de métaphorer: «quand les politiques manquent même jusqu'aux mots pour dire les maux...». Lors de l'examen de la loi Macron en avril 2015, Marc Fesneau ne semblait pas plus convaincu. «Ce texte n'est pas une révolution. Ce n'est pas la loi Macron qui libérera l'économie», avait-il déclaré.

    Franck Riester sévère

    Alors député LR, Franck Riester n'affichait pas non plus un grand enthousiasme après la promulgation de la loi. Il ne semblait pas non parier sur l'avenir du futur candidat En marche. «Emmanuel Macron c'est plutôt flou. Sa grande loi, on en retient la libéralisation des bus. Ce n'est pas extraordinaire», constatait-il fin octobre 2016. Franck Riester estimait par ailleurs que la démission d'Emmanuel Macron de son poste de ministre de l'Économie était «bien logique vu son bilan catastrophique comme conseiller et ministre».

    le Figaro.fr


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  • Après Marine Lepen, au tour de Jean-Luc Mélenchon ! C'est bien le dictateur jupiter qui agit pour essayer de supprimer ses concurrents ! Il a peur !


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  • Devant une gendarmerie du Finistère fermée depuis peu et dans laquelle vont être installés des dizaines de clandestins, qui ne fuient pas la guerre et qui vont bénéficier de nombreux avantages avec l'argent des Français qui, eux, n'ont le droit à rien si ce n'est d'être totalement abandonnés par nos dirigeants, Gilles Pennelle - Membre du Bureau National du Rassemblement National et Président du groupe RN en Bretagne, s'est rendu sur place pour dire stop à ce scandale et demander, avec le Conseiller régional Patrick le Fur, au Préfet de renoncer à cet accueil imposé d'immigrés !


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  • Bientôt un crédit d'impôt pour les Français hébergeant des réfugiés ?

    Il est entraain de vomir ses idioties ! (rire)

    Un amendement du député de La République en marche Aurélien Taché, soutenu par une cinquantaine de ses collègues, propose d'introduire dans le Budget 2019 "un crédit d'impôt pour les Français qui acceptent d'héberger des réfugiés". Cette déduction pourrait aller jusqu'à 1.500 euros par an.

     

    C'est le "monsieur intégration" de la majorité. Après un rapport remis en début d'année sur le sujet, le député La République en marche (LREM) Aurélien Taché entend profiter de l'examen du Budget 2019 pour améliorer les conditions d'accueil des personnes ayant reçu un titre de séjour. Cela passerait selon lui par une baisse de la fiscalité. "Je vais proposer dans le projet de loi de finances un crédit d'impôt pour les Français qui acceptent d'héberger des réfugiés. Je pense que l'affaire de l'accueil et de l'intégration, c'est l'affaire de toute la société", a déclaré samedi à France Inter l'élu du Val d'Oise.

    L'élu macroniste, qui avait déjà avancé cette proposition en début d'année dans son ambitieux rapport au gouvernement, va ainsi porter un amendement au projet de budget, cosigné par 58 députés de son groupe. Aurélien Taché y détaille ce "crédit d'impôt solidarité" sous forme d'une "incitation financière" de 5 euros par nuitée, dans la limite de 1.500 euros par an et avec un encadrement par des associations agréées. "L'idée serait de dire - on a déjà beaucoup de Français qui font ça - que les Français qui hébergent des réfugiés qui ont été protégés par la France, qui ont un titre de séjour, peuvent déduire (de leurs impôts) jusqu'à 1.500 euros par an pour les frais que cela peut occasionner d'avoir cet acte de solidarité", a détaillé le député de 34 ans, issu de la gauche et membre de la jeune garde de fidèles au chef de l'Etat.

     

    Un dispositif lancé en 2016 

    Selon lui, cette mesure serait "un bon signal qu'on enverrait dans des moments un peu troublés". "L'immigration peut être une chance pour ceux qui viennent comme pour le pays qui accueille", a-t-il ajouté. Fin 2016 lors du quinquennat Hollande, un programme expérimental d'hébergement des réfugiés chez les particuliers avait déjà été lancé en novembre 2016, via un appel à projets pour les associations lancé par la ministre du Logement d'alors, Emmanuelle Cosse, dont Aurélien Taché fut le conseiller. Les associations participantes pouvaient toucher une aide allant jusqu'à 1.500 euros par personne prise en charge et par an.

    Emmanuel Macron a fait de l'intégration des réfugiés l'un des deux piliers de sa politique migratoire, à côté d'une plus grande fermeté affichée dans la lutte contre l'immigration irrégulière. Cette intégration passe notamment par l'hébergement, un point délicat alors que le foncier manque dans de nombreuses régions, avec une difficulté particulière pour les jeunes hommes isolés.

    Le JDD.fr

    Taché porte bien son nom !


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  • Un livre de François Mitterrand dédicacé retrouvé dans les poubelles du PS

    Un livre de François Mitterrand dédicacé retrouvé dans les poubelles du PS

    Le Parisien


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  • Delphine Gény-Stephann est la ministre la plus riche du gouvernement (et de loin !)

    La secrétaire d'Etat, peu connue du grand public, possède un patrimoine de près de 16 millions d'euros.

    Son nom n'a jamais fait la Une des journaux. Pourtant, cette secrétaire d'Etat inconnue du grand public, qui ne siègera peut-être plus à la table du conseil des ministres à l'issue du remaniement prochain, détient un record que l’équipe Macron et elle-même se sont bien gardés de claironner : elle est – et de loin – la ministre la plus riche des ministres du gouvernement Philippe et même de tous ceux nommés depuis 2014, année où la Haute Autorité de Transparence de la Vie Publique (HATVP) a commencé à rendre publiques les déclarations de patrimoine des membres du gouvernement. Voici pourquoi vous ne le saviez pas.

    Elle s’appelle Delphine Gény-Stephann. A l’occasion d’un mini-remaniement, en novembre 2017, elle a été nommée secrétaire d’Etat auprès de Bruno Le Maire à Bercy. Un mois plus tard, ses collègues ministres ont dû faire connaître le montant de leur patrimoine. Mais comme elle venait juste d’arriver, elle a été autorisée à transmettre ses documents plus tard. De fait, elle a tardé. Elle a rendu sa copie au cœur de l’été, le 29 juillet 2018. Pour éviter d’attirer l’attention ?

    Haute fonctionnaire et secteur privé

    Le montant total du patrimoine de cette Polytechnicienne, ingénieur des Ponts, qui aura 50 ans dans quelques jours, s’élève à un peu plus de 16 millions d'euros. Soit le double du ministre le plus riche jusqu’à présent, le propriétaire de la "Dépêche du Midi" et ex-ministre des collectivités locales de François Hollande : Jean-Michel Baylet (8 millions). Bien plus que Nicolas Hulot (7,2) millions), Nicolas Pénicaud (7,5 millions) ou Laurent Fabius (5 millions).

    Selon sa déclaration, Delphine Gény-Stephann possède notamment deux très grands appartements à Paris (240 et 117 m2), deux propriétés de 280 et 120m2 en Bretagne, plus de 7 millions d'instruments financiers et 68% du capital de la start-up Alcméon dont son mari, Bertrand Stephann, est le président co-fondateur. Elle a omis ces 68% dans sa déclaration d'intérêts qu'elle a rendue, quelques mois plus tôt, à la HATVP.

    Outre son mariage avec un entrepreneur à succès, sa carrière, qu'elle qualifie elle-même d'"hybride", celle d’une haute fonctionnaire de Bercy passée dans le privé, explique sa fortune. Elle entre à la direction du Trésor en 1994 pour travailler pendant six ans à l’Agence des Participations de l’Etat – institution où elle a probablement croisée l’actuel secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler. A ce titre, elle siège, au nom de l’Etat, dans plusieurs conseils d’administration, dont la Françaises de Jeux. En 2005, elle "pantoufle" dans le groupe français Saint-Gobain, dont elle deviendra la directrice de la stratégie, où elle percevra 197.000 euros nets par an (selon sa déclaration d’intérêts déposée, elle, en mars 2018). Elle siègera aussi, mais cette fois en son nom, aux conseils d’administration de plusieurs grandes entreprises dont Thalès ou Giat Industrie.  De retour à Bercy en novembre dernier comme secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Economie et des Finances, elle est notamment en charge de la loi Pacte sur les entreprises. Une carrière comme on les aime en Macronie.

    L'OBS


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  • Michel Onfray déprogrammé de France 5 après une lettre polémique contre Emmanuel Macron

    Sous la forme d'une satire, le philosophe lance une violente charge contre le président de la République en filant une métaphore sexuelle avec pour toile de fond les photos polémiques aux Antilles. Les uns dénoncent une lettre vulgaire, voire homophobe, les autres la censure dont ferait l'objet l'intellectuel.

    Censure pour les uns, dérapage pour les autres. Michel Onfray, critique sévère et récurrent d'Emmanuel Macron, a été déprogrammé de France 5, où il devait être interviewé ce lundi 8 octobre sur son dernier livre dans Le Magazine de la santé, après la publication sur son site d'une satire intitulée «Lettre à Manu sur le doigté et son fondement».

    «Après France Culture, c'est donc France 5 qui me prive de micro. Cela confirme la censure dont je fais l'objet de la part du service public audiovisuel et dont je parlais dans ma satire», lance le philosophe sur son site. Il y a une semaine, Michel Onfray avait déjà reproché à France Culture ne plus diffuser les cours qu'il donnait à l'Université populaire de Caen, association d'éducation populaire qu'il a quittée dans la foulée et dont il était le fondateur.

    Cette lettre sur «le doigté et son fondement», qui évoque les fautes commises, selon Michel Onfray, par Emmanuel Macron, a suscité ce dimanche de vives réactions sur les réseaux sociaux, soit pour défendre le philosophe et partager son constat d'une «censure», soit pour s'indigner du contenu de cette lettre, les reproches faites à celle-ci allant de la simple vulgarité jusqu'à l'homophobie latente.

    En voici les principaux éléments. «Votre Altesse, Votre Excellence, Votre Sérénité, mon cher Manu, mon Roy, mais aussi: mon Chéri», écrit Michel Onfray en ouverture dans une référence à Pierre Desproges et au Tribunal des flagrants délires.

    Plus de lettres à venir

    «Des photos t'ont récemment montré partout sur la toile aux Antilles enlaçant un beau black, bodybuildé en prison et luisant de sueur tropicale, ce qui semblait te ravir jusqu'au plus profond - si tu me permets l'expression (...) Décidément, tu sembles n'aimer que ceux qui te font savoir leur amour d'une façon qui ne prête pas à confusion: il faut t'enlacer torse nu pour te plaire, essuyer sa transpiration sur ta chemise blanche, et passer plus de temps en salle de sport qu'en bibliothèque», poursuit Michel Onfray, évoquant les photos d'Emmanuel Macron aux Antilles, qui ont fait polémique la semaine passée car l'un des deux jeunes torse nu avec qui il posait dressait face à la caméra un doigt d'honneur.

    Dans sa lettre, Michel Onfray s'interroge sur le destinataire de ce doigt d'honneur, glissant, entre deux allusions sexuelles, une référence à la théorie «des deux corps du roi» de l'historien Ernst Kantorowicz: «Le doigt, on voit bien à qui il appartient, le cul, on se tâte - si je puis dire! Est-ce le tien personnellement? Auquel cas c'est ton affaire, mais n'en fais pas un étalage public: un président, ça ne devrait pas faire ça comme dirait l'autre… Ce cul, est-ce le nôtre en tant que tu incarnes la souveraineté populaire? Est-ce celui de la France dont tu es le corps mystique? On ne sait».

    «Mettre ou ne pas mettre, là est la question… Or, cette question, tu l'as franchement résolue. Car, depuis quelque temps, tu montres en effet que, toi ou tes services, vous n'avez pas grand souci de la légalité (...) En adoptant cet angle de vue, on voit bien comment tu nous la mets, tu nous le mets, tu nous les mets…», ajoute Michel Onfray. Sans s'arrêter de filer la métaphore, il évoque ensuite «les cinq doigts». Le philosophe énumère en effet les cinq fautes dont le président de la République se serait selon lui rendu coupable à l'égard des Français. La première concerne les revenus qu'il aurait touchés en tant que banquier et qui, selon le philosophe, se seraient évaporés. Deuxièmement, l'affaire de la levée de fonds à Las Vegas pendant la campagne présidentielle pour laquelle une information judiciaire est ouverte. Troisièmement, l'affaire Benalla pour laquelle Michel Onfray s'interroge plus particulièrement sur la disparition des éléments présents dans le coffre-fort de l'ancien collaborateur du président de la République. Quatrièmement, le personnage de Mimi Marchand, souvent décrite comme la reine des paparazzis et proche du couple Macron, dont une biographie non autorisée sera bientôt publiée - l'auteur de celle-ci ayant été mystérieusement cambriolé. Cinquièmement et dernièrement, les intellectuels qui feraient selon leur position à l'égard du président l'objet d'une censure - Michel Onfray s'incluant dans le lot - ou de récompenses - il cite le cas de l'écrivain Philippe Besson nommé consul à Los Angeles

    Et Michel Onfray de conclure: «Voilà un an que Votre Altesse (...), tu es au pouvoir. Et tu nous régales chaque semaine avec de nouvelles aventures. Il te reste quatre ans de règne». Le philosophe, qui a quitté l'Université populaire de Caen, annonce alors ce qu'il nomme une «bonne nouvelle»: «Comme je dispose de plus de temps pour moi (...), je me réjouis de pouvoir t'annoncer que je t'écrirai plus souvent que je ne l'avais prévu lors de ma première lettre (...) On sait que le sage montre la lune et que l'imbécile regarde le doigt: pour ma part, j'en prends le ferme engagement, je ferai part égale entre la lune et le doigt…

    Pourfendeur d'Emmanuel Macron depuis la campagne présidentielle, le penseur athée et libertaire, classé à gauche et devenu au fil des années volontiers politiquement incorrect, devrait donc continuer d'alimenter en polémiques le monde politique et médiatique. 

    Le Figaro.fr

    Onfray va rejoindre Zemmour !


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  • A écouter attentivement, doucement pour en jouir pleinement (sourire)

    Onfray adresse une lettre ouverte aux accents homophobes à Macron  


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