• “C’était beaucoup moins fun” : Elisabeth Borne pointée du doigt pour son “cocktail dînatoire”

    Ce mercredi 3 août, Elisabeth Borne a convié les ministres à un cocktail dînatoire avant de partir en vacances, trois semaines après le dîner informel donné par Emmanuel Macron. La petite fête de la Première ministre a beaucoup moins convaincu que celle du président, d’après ce qu’a rapporté Le Figaro.

    Les ministres aussi ont besoin de repos et de soleil… Pour marquer les départs en vacances des membres du gouvernement, Elisabeth Borne les a tous conviés ce mercredi 3 août au soir dans les jardins de Matignon pour une petite fête. "Pour marquer les vacances du gouvernement, Élisabeth Borne invite mercredi soir tous les ministres pour un 'cocktail dînatoire' à MatignonLes conjoints et conjointes sont également conviés", a révélé le journaliste de RTL Thomas Despre sur son compte Twitter ce lundi 1er août. Si cela partait d’une bonne attention de la part de la Première ministre, son initiative a été critiquée, selon les informations publiées par Le Figaro ce vendredi 5 août.

    La "fiesta" d'Elisabeth Borne critiquée sur Twitter

    En comparaison, le rendez-vous proposé par Elisabeth Borne a été pointé du doigt par de nombreux internautes sur Twitter. "On fait encore ce genre de gaspillage ? Économisez un peu (...) ! Pourquoi inviter les conjoints ? Moi, à mon boulot, les conjoints et conjointes ne sont pas invités pour des raisons de coûts !", a déploré un utilisateur du réseau social. "Et allez, aux frais du contribuable, honteux ! À moins que la Première ministre ne paie de sa poche ??? Est-ce le cas ? Bien sûr que non. En macronie, c’est un pognon dingue pour moi et mes amis….", a renchéri un autre. "Je ne sais pas jusqu'à quand nous allons accepter que ce gouvernement se goinfre avec l'argent du peuple. Ça suffit !!!", "La fiesta avec l’argent du contribuable pendant que certains Français se serrent la ceinture !!! Pitoyable", s’est insurgé un dernier.

    GALA


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  • Face à l'immigration et la délinquance, Christian Estrosi propose de renforcer les pouvoirs des maires

    Le maire de Nice, Christian Estrosi, a écrit au ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, pour demander de durcir le projet de loi sur l'immigration et de renforcer les pouvoirs de la police municipale.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/face-%C3%A0-l-immigration-et-la-d%C3%A9linquance-christian-estrosi-propose-de-renforcer-les-pouvoirs-des-maires/ar-AA10bjY7?ocid=msedgntp&cvid=8069ade60e574021a4573e51384593d5


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  • Damien Abad accusé de viols : 188 femmes réclament la "démission immédiate" du ministre dans une tribune

    188 femmes réclament la "démission immédiate" de Damien Abad, mis en cause pour violences sexuelles, dans une tribune parue dans Le Monde ce lundi 20 juin. Parmi les signataires, se trouvent notamment la députée Clémentine Autain et l'actrice Adèle Haenel.

    Damien Abad est dans la tourmente. Mardi 14 juin, Mediapart a rapporté de nouveaux témoignages qui mettent en cause le nouveau ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées. L’ancien patron des députés LR, déjà accusé par deux femmes de violences sexuelles, a réfuté catégoriquement ces allégations. Alors que l’affaire handicape la majorité, l’homme politique affrontait les urnes ce dimanche 19 juin. Avec 57,86% des voix sous l’étiquette divers-droite, Damien Abad a été confortablement réélu dans la 5e circonscription de l’Ain, lors du second des élections législatives. Malgré ce score, la question demeure : le ministre peut-il rester en fonction dans ce contexte de tensions ? Pour certaines, cela est inenvisageable. Ce lundi 20 juin, 188 femmes signent une tribune parue dans Le Monde et requièrent la démission du ministre des Solidarités.

    Affaire Damien Abad : une tribune signée par 188 femmes pour réclamer la démission du ministre

    Qu’elles soient élues, journalistes, féministes ou artistes, elles sont 188 à réclamer la "démission immédiate" de Damien Abad et de "toute personne mise en cause pour violences sexuelles ayant un mandat politique". Cette tribune publiée dans Le Monde est à l’initiative de l’Observatoire des violences sexistes et sexuelles en politique et de Nous toutes. "La question est simple : Damien Abad peut-il, comme ses fonctions le requièrent, incarner l’intérêt général ?", se demandent les signataires. "Le peut-il, alors que trois femmes l’accusent de viol ou de tentative de viol et que de nombreuses personnes, y compris des élus de la République, ont témoigné de comportements tout à fait inappropriés ?", peut-on lire par la suite.

    Adèle Haenel et Clémentine Autain font partie des signataires

    Pour les signataires, le maintien au sein du gouvernement de Damien Abad est "le symptôme de la grande résistance qu’opposent les réactionnaires aux femmes qui prennent la parole depuis des années et peinent à être entendues". Puis, elles ajoutent : "En reléguant à la justice le pouvoir unique de trancher, le gouvernement fait preuve d’une grande lâcheté. Ce n’est pas une décision judiciaire que nous lui demandons de prendre, mais bien une décision politique. Ce n’est pas la justice qui décide de la nomination des ministres, ce n’est pas à elle d’en décider la démission.Parmi les signataires, l’actrice Adèle Haenel, connue pour son engagement pour la cause féministe, a répondu présente. Côté représentantes politiques, Clémentine Autain (LFI), Alice Coffin (conseillère de Paris EELV) et Laurence Rossignol (vice-présidente PS du Sénat) figurent dans la liste des 188 signataires.

    Télé Loisirs


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  • La coalition des partis qui soutiennent Emmanuel Macron est passée de 350 à 245 députés en cinq ans. De quoi passer d'une majorité absolue à une majorité très relative.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/cartes-r%c3%a9sultats-des-l%c3%a9gislatives-2022-visualisez-la-d%c3%a9gringolade-de-la-majorit%c3%a9-pr%c3%a9sidentielle-qui-perd-105-d%c3%a9put%c3%a9s/ar-AAYE5Y5?li=AAaCKnE

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  • «Je ne regarderai plus jamais de ma vie TF1!»: Jean Lassalle très en colère de ne pas être invité au débat du 14 mars

    Lundi 14 mars, face la détérioration de la situation internationale et les multiples questions que pose la guerre en Ukraine, TF1 organise une soirée spéciale réunissant huit des douze candidats à l’élection présidentielle. Seront présents Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Marine Le Pen, Emmanuel Macron, Jean-Luc Mélenchon, Valérie Pécresse, Fabien Roussel et Éric Zemmour. Chacun des invités interviendra à tour de rôle. L’exercice consistera en une «profession de foi» puis des questions des journalistes et enfin un droit de réponse.

    Un choix partial qui ne plaît, évidemment, guère aux absents: Nicolas Dupont-Aignan, Philippe Pouton, Nathalie Arthaud et Jean Lassalle. Ce dernier n’a pas hésité à s’en plaindre ce samedi matin sur CNews. «Je ne le mérite pas», a d’abord répondu le candidat de Résistons à Jean-Pierre Elkabbach avant de dire tout le mal qu’il pense de TF1: «Il y a un profond mépris dans cette décision, un mépris de classe. Je croyais que Bouygues [groupe à qui appartient la chaîne, NDR] avait mieux vieilli que ça. L’institution de Bouygues, mise en place par Mitterrand, Chirac... du temps où on faisait encore bien les choses en France.»

    Visiblement très remonté, il a poursuivi: «Ils m’ont signifié, contrairement à vous qui m’invitez, que moi je ne l’étais donc pas,  je leur dis “Bravo” et je ne regarderai plus jamais de ma vie TF1!». Et de conclure avec une violente charge: «Ils me considèrent comme un candidat de merde et inutile! De merde, oui! Comme s’il pouvait y avoir en France des candidats réels et des candidats de merde dont on n’a pas besoin!».

    Le Figaro


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  • Remplacé par le drapeau européen, l’étendard français sera « évidemment réinstallé » à l’Arc de Triomphe

    Tout le monde se calme et boit un grand verre d’eau

    La polémique est partie comme un bouchon de champagne. Plusieurs personnalités d'extrême-droite ont profité de l’installation du drapeau européen sous l’Arc de Triomphe, à Paris, pour lancer une controverse. Ce remplacement du traditionnel drapeau tricolore marque le début de la présidence française de l'Union européenne.

     

    Marine Le Pen s’est dite « outrée que le drapeau français ait été remplacé par celui de l’Union européenne sous l’Arc de Triomphe, au-dessus de la tombe du soldat inconnu », dénonçant une « provocation ». L’autre candidat de l’extrême-droite à la présidentielle, Eric Zemmour, a aussi parlé d'« outrage ».

    « Présider l’Europe oui, effacer l’identité française non ! », a lancé pour sa part la candidate des Républicains Valérie Pécresse qui a demandé « solennellement » à Emmanuel Macron de rétablir le drapeau tricolore à côté de celui de l’Europe.

    Même dispositif que sous Nicolas Sarkozy

    Le secrétaire d’Etat aux Affaires européennes Clément Beaune a déclaré samedi que le drapeau français, remplacé par celui de l’Europe sous l’Arc de Triomphe pour le début de la présidence française de l’UE, allait « évidemment » être réinstallé. « Il est aberrant de voir la droite tout mélanger et courir désespérément après les polémiques stériles de l’extrême-droite », a ajouté Clément Beaune en référence notamment à Valérie Pécresse.

    Pour marquer le début de la présidence française du Conseil de l’UE («PFUE ») le 1er janvier pour six mois, la Tour Eiffel a aussi été illuminée en bleu, couleur de l’Europe. Des dizaines de monuments le seront aussi à travers toute la France durant la première semaine de janvier.

    « Le dispositif (à l’Arc de Triomphe) a été mis en place pour quelques jours, avec les illuminations », a souligné Clément Beaune dans une déclaration à l’AFP, en rappelant que la dernière présidence française tournante de l’UE, sous Nicolas Sarkozy, en 2008 avait aussi opté pour ces illuminations. « Le drapeau français sera évidemment réinstallé. C’est une initiative symbolique et temporaire. », a-t-il conclu.

    20 Minutes


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  • La France a rappelé vendredi 17 septembre ses ambassadeurs aux Etats-Unis et en Australie, une décision sans précédent vis-à-vis de deux alliés historiques, après le torpillage d’un mégacontrat de sous-marins français à Canberra.

    « A la demande du Président de la République, j’ai décidé du rappel immédiat à Paris pour consultations de nos deux ambassadeurs aux Etats-Unis et en Australie », a annoncé le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian dans un communiqué. « Cette décision exceptionnelle est justifiée par la gravité exceptionnelle des annonces effectuées le 15 septembre par l’Australie et les Etats-Unis », a-t-il ajouté.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/affaire-des-sous-marins-la-france-rappelle-deux-ambassadeurs/ar-AAOzJKz?ocid=msedgntp#image=1


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  • «Voilà, c’est fini...» : le député LREM Mustapha Laabid, condamné pour abus de confiance, démissionne

    Le député LREM Mustapha Laabid, condamné à trois ans d’inéligibilité pour abus de confiance, a démissionné de son mandat de député, a-t-on appris lundi dans un courriel adressé au patron des députés LREM, Christophe Castaner, dont l’AFP a eu copie.

    Le ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti, avait saisi le 21 juillet le Conseil constitutionnel d’une demande de déchéance du mandat du député.

    Dans un arrêt rendu le 16 juin, la cour de cassation avait rejeté un pourvoi du député de la 1ère circonscription d’Ille-et-Vilaine, âgé de 52 ans, rendant définitive sa condamnation en novembre 2020 par la cour d’appel de Rennes à huit mois de prison avec sursis, 10.000 euros d’amende et trois ans d’inéligibilité. Un parlementaire condamné à une peine d’inéligibilité peut continuer à siéger tant que le Conseil constitutionnel n’a pas prononcé la déchéance de son mandat. Le député a choisi de démissionner avant la décision du Conseil constitutionnel, qui ne sera donc pas rendue, a-t-il confirmé à l’AFP.

    Président de l’association rennaise Intermède, qui oeuvrait pour l’insertion des jeunes sur le marché de l’emploi, cet ancien chef d’entreprise, père de cinq enfants, avait été reconnu coupable d’avoir utilisé 21.545 euros de fonds de l’association à des fins personnelles.

    Il était reproché à Mustapha Laabid d’avoir utilisé la carte bancaire de l’association pour régler des fast-food, des achats en grandes surfaces, des hôtels à Paris -alors qu’il venait d’être élu à l’Assemblée nationale- et Marrakech pour des vacances avec sa famille. Ses frais de téléphonie étaient aussi réglés par l’association. Financée uniquement par des subventions publiques, l’association a depuis été dissoute.

    « Un traitement expéditif et hors norme »

    « Voilà, c’est fini... », explique le député dans son courriel où il retrace son parcours judiciaire depuis « une dénonciation anonyme auprès de TRACFIN intervenue le 20 octobre 2017, soit 4 mois après mon élection », évoquant « un traitement expéditif et hors norme ». « Que les élus doivent être exemplaires pendant l’exercice de leur mandat, nul n’en doute ! », assure l’ex-député. « Mais, à coup de dénonciations anonymes, il semble se dessiner une notion floue et dangereuse de rétroactivité de la probité et de la transparence », estime-t-il.

    « Il y a eu l’affaire Laabid, parce que Mustapha Laabid est devenu député », écrit-il. « Resté simple responsable associatif, le contrôle fait par les financeurs publics, aurait abouti à des réécritures comptables et à une remise au clair des comptes de l’association que je présidais. Ou, au pire, il y aurait eu un rappel à la loi, une infraction constatée, réparée et faisant l’objet d’une remontrance judiciaire », commente Mustapha Laabid.

    Le Parisien


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  • Bertrand reproche à Macron une "naïveté confondante" face à l'islamisme

    Le président des Hauts de France et candidat à la présidentielle Xavier Bertrand le 27 juillet 2021 à Thouaré-sur-Loire

    Xavier Bertrand, président du Conseil régional des Hauts-de-France et surtout candidat à la présidentielle pour la droite, a accordé un entretien au JDD dans l'édition de ce dimanche. Il s'est montré cinglant envers la politique mise en place par le chef de l'Etat contre l'islamisme, ainsi qu'à l'égard de ses options en Afghanistan.

    Xavier Bertrand, candidat (ex-LR) à la présidentielle, accuse Emmmanuel Macron de "naïveté confondante" sur l'islamisme, et estime que "la France a manqué de leadership" après l'arrivée des talibans au pouvoir en Afghanistan, dans une interview au JDD. "Depuis cinq ans, Emmanuel Macron a fait preuve d'une naïveté confondante" et "n'a absolument pas pris la mesure de la menace que fait peser l'islamisme radical sur notre sécurité et nos valeurs", affirme-t-il dans le numéro de l'hebdomadaire ce dimanche.

    Appelant à "dissoudre immédiatement toutes les organisations islamistes qui propagent une idéologie politique incompatible avec les valeurs que nous portons", il promet aussi qu'en cas d'élection à la présidence de la République, "les financements provenant directement ou indirectement d'États étrangers seront interdits".

    Afghans: la France doit "se préparer à un choc migratoire"

    Concernant l'Afghanistan, il estime que "compte tenu des conditions dramatiques du retrait américain, la France a manqué de leadership" et appelle à "être très clairs avec les nouveaux dirigeants afghans : si l'Afghanistan redevient la base arrière du terrorisme anti-occidental (...), des sanctions massives et rapides devront être déclenchées". Il faut également selon lui "nous préparer sérieusement au choc migratoire qui arrive. Nous devons prendre notre part à ce drame, mais pas dans n'importe quelles conditions, et pas tous seuls".

    À huit mois de la présidentielle, le président des Hauts-de-France juge "centrale" la question "du niveau de vie de ceux qui travaillent et ont des salaires modestes". Il prône aussi une "reconquête républicaine" qui passe "par la reprise en main de notre politique migratoire, le retour des forces de l'ordre et des services publics dans les quartiers, et à nouveau la possibilité de promotion sociale pour les jeunes de toutes origines".

    Enfin sur la question du candidat de la droite à la présidentielle, Xavier Bertrand répète qu'il ne sera "pas candidat à une primaire". Mais "je tendrai la main", à "Valérie Pécresse, comme à Laurent Wauquiez, comme à tous les autres. J'ouvrirai mon équipe à tous les talents, pour mener campagne comme pour diriger le pays", assure-t-il.

    BFM.TV


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  • Xavier Bertrand : ses rares confidences sur ses nombreux divorces

    Xavier Bertrand a accordé une interview à Paris Match, pour son édition du mercredi 18 août 2021. L'homme politique a accepté de se confier sur sa belle relation avec Vanessa Williot, mais également sur ses nombreux divorces qui ont précédé.

    Le mercredi 24 mars 2021, Xavier Bertrand annonçait sa candidature à la présidentielle de 2022 durant un entretien au journal Le Point : "Je serai candidat à l'élection présidentielle de 2022", avait commencé par annoncer le président de la région Hauts-de-France avant d'en dévoiler un peu plus sur ses motivations : "Je le fais par devoir, parce que j'estime qu'au moment où nous sommes, le choix ce sera entre le déclin et le redressement du pays. Je veux conduire le redressement de notre pays, et réconcilier les Français. Je place ma candidature au-dessus des partis", avait-il ensuite expliqué. Depuis ce jour, l'homme politique est en campagne. Tout l'été, il a sillonné la France pour aller à la rencontre des Français, n'hésitant pas, au passage, à tacler Emmanuel Macron. Dans une interview accordée à Corse Matin lundi 16 août 2021, il avait abordé le sujet de l'Afghanistan et n'avait pas été tendre avec le chef de l'État, affirmant que, selon lui, le plus grand échec de son mandat était en matière de sécurité : "Il n’a jamais pris la mesure de la situation du pays et de ses besoins. En outre, un Président ne peut pas être aussi clivant. Il y a dans l’ADN d’une présidence, le rassemblement. Il ne s’agit pas de faire croire qu’on peut faire l’unanimité, mais de respecter tout le monde.”

    "J’ai trouvé mon équilibre"

    Pour mettre toutes les chances de son côté, Xavier Bertrand n'hésite pas à se laisser aller à quelques confidences un peu plus personnelles. Mercredi 18 août 2021, il s'est entretenu avec nos confrères de Paris Match et a fait des révélations sur sa relation avec sa nouvelle compagne, Vanessa Williot, dont il se dit fou amoureux : "Avec elle, j’ai trouvé mon équilibre. On forme un couple fusionnel et il est rare de passer un long moment l’un sans l’autre". Un équilibre trouvé suite aux nombreux divorces qui ont précédé; comme il l'a confié un peu plus tard dans l'interview : "Je n'ai pas fait assez attention lors de mes mariages précédents", avouait-il en faisant référence à son couple avec Isabelle Dubois mais aussi avec Emmanuelle Gontier. Outre l'échec sentimental, ce qui a été le plus dur pour ce père de quatre enfants a été "de ne plus dormir sous le même toi qu'eux", a-t-il conclu.

    Femme Actuelle


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  • Valérie Pécresse candidate à la présidentielle de 2022 : ce que Nicolas Sarkozy lui a "appris"

    Après l'annonce de sa candidature à l'élection présidentielle de 2022, Valérie Pécresse a accordé une interview au JDD, dimanche 25 juillet 2021. Pour devenir "la première femme présidente de la République", la présidente de la région Île-de-France s'inspire de Nicolas Sarkozy.

    Valérie Pécresse est plus déterminée que jamais. La présidente de Libres ! s'est lancée dans la course à l'Élysée, a-t-elle annoncé dans les colonnes du Figaro, jeudi 22 juillet 2021. En se portant candidate à l'élection présidentielle de 2022, la présidente de la région Île-de-France espère bien écarter ses adversaires les plus redoutés, à savoir Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Dans une interview accordée au Journal du dimanche, en kiosque le dimanche 25 juillet 2021, elle envoie un message clair : "Je n'y vais pas pour faire un tour de piste. Je veux être la première femme présidente de la République". Et pour décrocher la victoire, elle s'inspire de l'un des prédécesseurs du président sortant : Nicolas Sarkozy.

    "C'est Nicolas Sarkozy qui me l'a appris : une élection se gagne sur les idées", explique Valérie Pécresse auprès de nos confrères. En effet, pour succéder à Emmanuel Macron, l'épouse de Jérôme Pécresse mise sur le contenu de son programme, en "rupture" avec celui du président actuel, selon elle : sécurité, immigration, intégration, éducation, politique familiale et écologie. D'ailleurs, la femme politique n'hésite pas à tacler le chef de l'État. Invitée sur le plateau du 20 Heures de TF1 jeudi 22 juillet 2021, elle dénonçait "l'enfer bureaucratique qui est la caractéristique de l'État technocratique macronien". Et de lâcher : "Je suis beaucoup plus réformatrice qu'Emmanuel Macron et moi je n'ai pas peur de la sanction. Et par ailleurs, j'ai beaucoup plus d'autorité que Marine Le Pen".

    "Affection" et "respect" envers Nicolas Sarkozy

    Ce n'est pas la première fois que l'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy lui témoigne sa sympathie. Le dimanche 7 mars 2021, cinq jours après la condamnation en justice de l'ex-président de la République dans l'affaire des écoutes, la mère de famille s'était ainsi exprimée sur le plateau de BFMTV : "Je lui ai redit toute mon affection et mon respect. Je l'ai exprimé publiquement".

    Femme actuelle

     


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  • Jean Castex, traité de "plouc" à l'Elysée et à l'Assemblée : sa réponse cinglante

    Dimanche 18 juillet, Le Monde dédiait un article à Jean Castex, installé à l'Elysée depuis maintenant un an au rang de Premier ministre. Une année marquée par la pandémie de Covid-19, mais aussi par les nombreuses critiques faites à son sujet à son arrivée.

    Un bras droit imperturbable. Le 3 juillet 2020, Edouard Philippe, lessivé par trois ans de mandat et quatre mois de pandémie de Covid-19, souhaitait "bon vent" à son successeur Jean Castex, nommé Premier ministre. Un choix étonnant pour la majorité des Français, qui s'étaient finalement attaché à la bonne humeur et à la barbe bicolore de l'ancien maire du Havre. Pourtant, dans les coulisses de l'Elysée, cette nomination ne doit rien au hasard. Surnommé "Monsieur déconfinement", Jean Castex, mari et père de famille exemplaire, avait tout les atouts pour séduire les Français mais aussi ses confrères de l'Elysée. Pourtant, en interne, le bras droit d'Emmanuel Macron ne faisait pas l'unanimité... Au début du moins.

    "La politique n’est pas un univers de bisounours"

    En effet, comme le rappellent nos confrères du Monde le 18 juillet 2021, Jean Castex a été mis à l'essai pendant de longs mois avant de convaincre ses camarades de l'Elysée. Une période difficile durant laquelle le père de quatre enfants a tout entendu à son sujet, y compris de la part des membres de la majorité. Un "accent de chef de gare", un homme politique "mal sapé", un "idiot" qui "parle comme un plouc", pouvait-on chuchoter dans les couloirs de l'Elysée et à l'Assemblée, toujours selon le quotidien. Interrogé à ce sujet, Jean Castex s'est montré digne : "La politique n’est pas un univers de bisounours. C’est aussi une façon de vous tester. Si vous vous laissez ébranler, c’est que vous n’êtes pas fait pour ça", a-t-il répondu.

    Trois mois après l'arrivée de son nouveau Premier ministre, Emmanuel Macron s'était d'ailleurs exprimé au sujet des nombreuses critiques qui pleuvaient à son sujet : "Tous ces propos sont indécents au moment où le pays doit affronter la crise que nous connaissons. Le premier ministre est quelqu'un de très expérimenté ; il agit avec une sincérité et un engagement remarquables, comme Édouard Philippe avant lui", avait-il glissé à une source proche de l'Elysée, comme le relatait Le FigaroEmmanuel Macron, révolté, avait conclu en qualifiant ces attaques d'"injuste".

    Femme Actuelle


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  • Branle-bas de combat dans l’exécutif pour faire passer le projet de loi sanitaire le plus rapidement possible. À 16 heures ce lundi, le gouvernement s’est réuni pour finaliser le texte final sur la base de l’avis du Conseil d’État. La plus haute juridiction administrative française s’est beaucoup interrogée lundi matin sur la question des sanctions contre les réfractaires à la vaccination.

    Le projet de loi a ensuite été présenté en conseil des ministres à 18h30. Dans la foulée, les ministres sont restés à l’Élysée pour le traditionnel dîner de fin d’année avec les conjoints respectifs des membres du gouvernement. Une parenthèse amicale en pleine crise sanitaire.

    Apaiser les esprits

    Plusieurs dispositions qui ont hérissé les opposants vont être modifiées par l’exécutif. C’est le cas notamment des sanctions prévues pour les restaurateurs et autres patrons de petits établissements recevant du public qui n’auraient pas fait appliquer les mesures de contrôle du pass sanitaire. Une amende revue et corrigée autour de 1500 euros devrait s’appliquer. C’était l’option qui tenait la corde en milieu de journée.

    Plus question donc d’une amende pouvant aller jusqu’à 45 000 euros comme évoquée initialement. Elle a été jugée disproportionnée. Cette amende élevée ne serait conservée que pour les directeurs d’hôpitaux qui n’auraient pas imposé les mesures de contrôle auprès de leur personnel médical.

    Autre mesure d’assouplissement destinée à apaiser les esprits : les sanctions prévues contre les salariés d’établissement accueillant du public non vaccinés seront moins mécaniques. Ceux qui ne présenteraient pas de pass sanitaire en règle après le délai de tolérance du 30 août pourraient faire l’objet d’une sanction allant jusqu’au licenciement à compter du deuxième mois sans pass sanitaire. Une sanction disciplinaire était dans la version initiale automatiquement enclenchée. Désormais, avec cette modification, la menace du licenciement dépendra de la volonté du supérieur hiérarchique qui pourra décider de n’en rester qu’à une suspension du salarié (et de son salaire).

    Enfin, l’isolement obligatoire de dix jours pour les contaminés a fait l’objet d’intenses discussions en interne, certains ministres la jugeant trop contraignante. Cette mesure, qui avait fait l’objet d’intenses contestations de la part des antivax, devrait s’appliquer.

    Mercredi, un Conseil de défense sanitaire examinera enfin le tour de vis sanitaire prévu pour les départements où l’épidémie flambe, sur fond de variant Delta. Le Premier ministre Jean Castex s’exprimera à 13 heures à la télévision pour dévoiler les décisions prises à cette occasion.

    Le Parisien


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  • Vendredi sur Franceinfo, le premier secrétaire du parti socialiste a raillé le discours "variable" de "Docteur Manu et Mister Macron", sur la démission de ministres mis en examen, sur les retraites ou encore sur le pass sanitaire.

    Le premier secrétaire du parti socialiste Olivier Faure a raillé vendredi sur Franceinfo, le discours "variable" de "Docteur Manu et Mister Macron", sur la démission de ministres mis en examen, sur les retraites ou encore sur le pass sanitaire.

    Interrogé pour savoir si le Ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti devait démissionner s'il était mis en examen ce vendredi, Olivier Faure a rappelé qu'Emmanuel Macron avait, "quand il était candidat à l'élection présidentielle", prôné cette doctrine: quand un ministre est mis en examen, il doit démissionner.

    "Ce que j'observe, sur ce sujet-là (Eric Dupond-Moretti, ndlr), comme sur les retraites, comme sur le pass sanitaire, c'est qu'il y a Docteur Manu et Mister Macron", a souligné Olivier Faure.

    "Si on veut que les Françaises et les Français s'intéressent à nouveau à la vie politique, si on veut que la défiance ne l'emporte pas, il faut tenir ses engagements", assure-t-il, déplorant, de la part d'Emmanuel Macron, un "discours variable selon les circonstances et l'intérêt du chef de l'Etat". Sur les retraites, Olivier Faure rappelle qu'au moment de la campagne présidentielle, Macron disait "62 ans, on y reste, on n'y touchera pas". Après le grand Débat, "il redit la même chose, que ce serait même hypocrite que de vouloir décaler l'âge légal de départ à la retraite", insiste le premier secrétaire.

    "Et aujourd'hui, on apprend que finalement, si, il fera cette réforme des retraites, et qu'il faudra reculer l'âge légal de départ à la retraite" à 64 ans, s'insurge-t-il.

    Paris Match

    Retraites, pass sanitaire... Faure raille le double discours de "Docteur Manu et Mister Macron"


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