• Visée par une enquête de Mediapart, la députée LREM Laetitia Avia dénonce des «accusations mensongères»

    L'Assemblée doit voter mercredi cette proposition, qui vise à "mettre fin à l'impunité" de la haine en ligne avec une série de mesures, dont certaines sont controversées.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/ce-que-contient-la-proposition-de-loi-avia-et-pourquoi-elle-est-controvers%C3%A9e/ar-BB141VhZ?ocid=msedgntp


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  • Cevher Toktas est passé aux aveux: le défenseur turc a étouffé son fils de cinq ans alors que celui-ci venait d’être admis en soins intensifs à cause du coronavirus.

     

    Un terrible drame s’est joué la semaine dernière en Turquie. Défenseur central de Bursa Yildirim, Cevher Toktas a en effet assassiné son fils, l’étouffant avec un oreiller alors que le petit garçon âgé de cinq ans venait d’être admis à l’hôpital avec des symptômes apparents du coronavirus. Les médecins ont d’ailleurs rapidement conclu que le garçonnet était décédé de causes naturelles, victime du Covid-19. Mais alors que la famille avait déjà organisé les funérailles de l’enfant, Cevher Toktas s’est spontanément présenté à la police pour avouer son crime, justifiant son geste par une crise de nerfs incontrôlée. "J'ai appuyé un oreiller contre le visage de mon fils qui était couché. Pendant 15 minutes, je l'ai serré sans jamais le retirer. C'est quand il a cessé de bouger que je l'ai relâché", a-t-il avoué, ajoutant pour expliquer son acte: "Je ne l'aimais pas . Je ne l'ai jamais aimé depuis qu’il est né." Après ses aveux, la justice turque à fait procéder à l’exhumation du cadavre de l'enfant pour pratiquer une autopsie et Cevher Toktas risque désormais la prison à perpétuité.

    Sports.fr

    Heureusement qu'il est allé se dénoncer !


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  • Incendie dans un aéroport de La Réunion : une centaine de véhicules brûlés

    Cent dix véhicules de location sont partis en fumée dans la nuit de mardi à mercredi. Une enquête est ouverte.

    Après l'impact économique de la crise sanitaire, c'est peut-être le coup fatal pour les deux entreprises de location de voitures situées dans la zone de l'aéroport Roland-Garros, sur l'île de La Réunion. Un violent incendie s'est déclaré dans la nuit de mardi à ce mercredi, aux alentours de 23h, heure locale : des voisins ont entendu des pneus éclater, et vu un immense nuage de fumée épaisse surplomber le parking des loueurs. Il a fallu plus de quatre heures aux pompiers pour maîtriser la propagation des flammes. Cent dix véhicules ont néanmoins brûlé, occasionnant la perte d'une bonne partie de la flotte des deux sociétés, qui devront désormais la reconstituer. Heureusement, aucune victime ni blessé n'est à déplorer. 

    L'incendie volontaire comme piste privilégiée

    La brigade de recherches de la gendarmerie de Saint-Benoît a été mobilisée, ainsi que les techniciens en identification criminelle de La Réunion. Car la piste privilégiée est bien celle d'un incendie volontaire, puisque le feu est parti de plusieurs foyers. Pour le moment, aucun suspect n'a été identifié mais les recherches se poursuivent pour déterminer qui a pu organiser ce méfait, et surtout quel est son mobile.

    Le JDD.fr


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  • En dehors de tout cadre juridique Brigitte Macron utilise l’argent des Français pour des « œuvres caritatives » qui servent plus la communication du couple présidentiel que l’intérêt national. C’est du népotisme, du vol et de l’hypocrisie : pendant que son mari détruit les services publics, elle fait croire que le couple se soucie du social… avec l’argent du contribuable. N’importe quelle femme d’élu local qui ferait de même serait immédiatement poursuivie pour détournement de fond et abus de bien social… qu’attendons-nous ?


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  • Un homme âgé de 27 ans est décédé à l’hôpital de Besançon (Doubs). Il avait été très violemment frappé à la tête à coups de hachette, dans la nuit de dimanche à lundi. Le tueur présumé de 40 ans a été écroué.

    Les policiers ont découvert une terrible scène de crime lors de leur intervention dans un appartement situé dans le quartier de Montboucons, à Besançon. Ce dimanche soir, le propriétaire du logement avait décidé de faire une fête raconte L’Est Républicain. Le voisinage a expliqué avoir entendu de la musique mais également du passage dans le hall de l’immeuble.

    Dans des circonstances qui restent encore à déterminer, une dispute a éclaté entre la victime et le propriétaire des lieux qui hébergeait cette dernière depuis plusieurs jours. L’hôte de 40 ans s’est saisi d’une hachette pour frapper très violemment cet homme de 27 ans, au niveau du crâne 

    La victime avait les mains attachées

    L’auteur présumé de ce meurtre a lui-même contacté la police au petit matin. A l’arrivée des forces de l’ordre, il était recouvert de sang. La victime gisait au sol avec la boîte crânienne brisée par les violents coups de hachette.

    Le jeune homme de 27 ans avait également les mains liées et n’a donc pas été en mesure de se défendre. Armel H., qui avait été conduit à l’hôpital dans un état critique, est décédé.

    Il évoque la légitime défense

    Le mis en cause a été interpellé et placé en garde à vue. Il avait 0,8 gramme d’alcool par litre de sang au moment de son arrestation. Lors de son audition, il a affirmé aux enquêteurs avoir agi en état de légitime défense, car la victime qui squattait chez lui depuis plusieurs jours, avait dégradé son appartement.

    Inconnu des services de la justice, il a été mis en examen et placé en détention provisoire. En outre, le parquet a annoncé l’ouverture d’une information judiciaire pour meurtre. Les investigations se poursuivent afin de déterminer ce qu’il s’est précisément passé au cours de cette soirée, qui s’est terminée dans un bain de sang.

    ACTU 178


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  • Manche : un bénévole aidant des migrants tué chez lui, un Afghan en garde à vue

    Un homme de 64 ans, actif dans une association d’aide aux migrants, a été mortellement agressé mardi à son domicile à Bretteville (Manche).

    Un suspect, de nationalité afghane, a été placé en garde à vue, a indiqué le parquet de Cherbourg.

     

    Vers 11 heures, les secours sont intervenus dans la maison d’un homme présentant une importante plaie à la tête dans cette commune proche de Cherbourg et qui décédera quelque temps après.

    « Les personnes présentes, un groupe d’environ sept personnes, de nationalité étrangère, avaient interpellé l’individu et avaient retenu cet homme de nationalité afghane susceptible d’être l’auteur de l’agression », a déclaré Yves Le Clair, procureur de Cherbourg. L’homme tué était impliqué « dans une association d’aide aux migrants », a précisé le procureur.

    Pas de traces de lutte

    Le suspect, âgé de 21 ans et inconnu des services de justice, portait des traces de sang sur lui et sur ses vêtements. Il aurait frappé l’homme avec un objet contondant, sans qu’il n’y ait de traces de lutte. Il a été placé en garde à vue et n’a pas été encore entendu par les enquêteurs, selon la même source.

    Une autopsie doit être réalisée ces prochains jours. L’enquête a été confiée à la Section de recherches de la gendarmerie de Caen.

    Le Parisien

    Cet afghan l'a tué en remerciement !


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  • Comment n'est-il pas mort, pauvre chien !


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  • En pleine crise sanitaire liée au coronavirus, un stock d'un million et demi de masques chirurgicaux entreposés dans la Marne a été brûlé entre janvier et mars 2020, sans que leur état n'ait été vérifié auparavant ! Une destruction stoppée par le gouvernement sur le tard, au mois d'avril dernier.

    Cela s'apparente à un immense gâchis. Fin mars, alors que la France fait face à une importante pénurie de masques en pleine épidémie de coronavirus, le gouvernement découvre qu'il en possède en réalité un stock astronomique caché dans la Marne. Mais selon nos informations, il va falloir quatre semaines pour que l'Etat sache si ces masques sont utilisables ou pas.

     

    Le 25 mars dernier, au 12e jour de confinement, le gouvernement apprend qu'un stock de 362 millions de masques chirurgicaux est entreposé dans un hangar secret du département de la Marne. Mais trop vieux ou jugés plus fonctionnels, ces masques avaient été considérés comme désuets avant le début de l'épidémie. Ils sont donc voués à être détruits. 

    85 millions de masques sauvés in extremis

    Entre janvier et mars 2020, pas moins d'un million et demi de masques sont donc brûlés. Or selon nos informations, bien qu'ils soient officiellement jugés "périmés", leur état n'a pas réellement été vérifié. Lorsque le gouvernement l'apprend au mois de mars, il fait immédiatement cesser leur destruction. 

    Un état des lieux est alors demandé, mais son verdict ne tombe qu'un mois plus tard, soit le 20 avril dernier. Au final, il s'avère que 85 millions de ces 362 millions de masques sont encore utilisables et pourraient être utiles au grand public. Ils devraient très bientôt être distribués.

    Au ministère de la Santé, on assure qu'on ne savait pas que ces masques chirurgicaux périmés étaient encore conservés quelque part. Le ministère affirme n'en avoir découvert l'existence qu'au mois de mars, car il pensait qu'ils avaient déjà tous été brûlés. Et pour cause, dès 2018, un audit avait préconisé leur destruction.

    Si Santé Publique France, qui gère ce stock, a continué de brûler ces vieux masques chirurgicaux, c'est qu'à l'époque (entre janvier et mars 2020), la doctrine n'était pas d'équiper la population en masques ! L’Agence nationale de santé publique se défend en expliquant que les masques ne sont alors destinés qu'aux soignants. Et que les masques sont, de toute manière, trop vieux pour pouvoir être utilisés: il n'y a donc pas de raison de les garder. Personne, pendant cette période, ne songe donc à les mettre de côté au cas où.

    BFM.TV

    Quelle bande d'incapables et de nuls !


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  • Intervention de Mathilde Panot, la France Insoumise


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  •  La vidéo qui fait plus de 10 millions de vues sur Facebook 


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  • Des gendarmes qui patrouillaient à Nesle (Somme) pensaient qu’une bagarre de rue se tenait devant eux. En intervenant au milieu de l’attroupement, ils ont découvert qu’une fillette était en détresse respiratoire et lui ont sauvé la vie.

    C’est une histoire peu banale, qui se racontera sans doute longtemps dans cette petite commune située dans la Somme. Vendredi après-midi, une patrouille composée de deux gendarmes mobiles de Chauny (Aisne) était en surveillance sur le secteur de la communauté de brigades de Ham.

    Vers 16h30, le maréchal des logis chef Richard L. et le gendarme Goran T. se trouvaient à Nesle lorsque leur attention a été attirée par un attroupement suspect, rapporte Le journal d’Abbeville.

     

    Rapidement, ils se sont rapprochés et ont constaté qu’une enfant de 4 ans était en train de s’étouffer, entourée de témoins paniqués. Immédiatement, les deux militaires ont prodigué les gestes de premiers secours à la fillette en lui donnant des claques dans le dos.

    Elle perd connaissance

    Ces tentatives étant restées vaines, ils ont usé de la méthode de Heimlich, qui consiste en la pratique de fortes pressions dans le creux de l’estomac de la victime. Malheureusement, là encore la technique est restée sans effet. Privée d’oxygène, l’enfant a perdu connaissance, mais les militaires n’ont pas abandonné.

    En dernier recours, le maréchal des logis-chef Richard L. a tenté de sortir l’aliment qui empêchait la victime de respirer et il y est parvenu, sauvant la vie de l’enfant. Très peu de temps après l’acte héroïque des gendarmes, le SMUR est arrivé sur place et a confirmé que leur action avait permis de sauver la fillette.

    ACTU 17


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  • Armé un pistolet et d’un couteau à cran d’arrêt, un adolescent a attiré l’attention des agents de sécurité du centre commercial Bay 2 à Collégien (Seine-et-Marne). Avant que la police ne puisse intervenir, il a eu le temps de braquer un retraité pour tenter de s’emparer de son véhicule.

    L’adolescent de 16 ans n’était pas venu au centre commercial Bay 2, situé à Collégien, pour faire ses courses. Ce lundi vers 12h45, son comportement suspect a attiré l’attention des opérateurs vidéo chargés de la sécurité.

    Il déambulait sur le parking, à l’affût, vraisemblablement pour commettre un méfait. Sur ces suppositions, les agents de sécurité ont alerté les policiers du commissariat de Noisiel, relate Le Parisien. Et ils ont bien fait. À peine cinq minutes plus tard, l’adolescent a jeté son dévolu sur un SUV Mercedes-GLC, dont le propriétaire, âgé de 78 ans, était en train de mettre ses courses dans le coffre. 

    Les policiers le surprennent en flagrant délit

    Soudain, le voleur a sorti un pistolet et l’a pointé vers le retraité, sous les yeux des policiers arrivés sur place. Mais la présence des fonctionnaires l’a mis en fuite, stoppant net l’agression.

    Poursuivi par les policiers, l’agresseur a été rattrapé et interpellé au niveau du restaurant Burger King. Il a été trouvé porteur d’un pistolet d’alarme et d’un couteau à cran d’arrêt. L’adolescent, qui n’était pas connu des services de police, a été placé en garde à vue au commissariat de Noisiel.

    Un autre adolescent auteur d’un vol à l’arraché

    Ce jeune voleur n’est pas le seul de la journée à avoir été placé en garde à vue dans ce commissariat, pour un tel vol commis aux abords d’un centre commercial. Moins de deux heures plus tôt, un autre adolescent a été interpellé après avoir arraché le sac à main d’une femme de 64 ans, sur le parking du magasin Carrefour, à Champs-sur-Marne.

    Il a été arrêté peu après le vol, qui a eu lieu vers 10h45. Le mis en cause a refusé de communiquer son identité aux policiers. Au terme de sa garde à vue, il a été pris en charge par le service départemental de l’Aide sociale à l’enfance.

    La sexagénaire victime du vol n’a pas été blessée. Elle a pu récupérer son sac, dont le voleur s’était débarrassé en le jetant durant sa fuite. Une personne bien intentionnée l’avait ramassé et rendu.

    ACTU  17

    Aux âmes mal nées, la perfidie n'attend pas le nombre des années  !


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  • La dame a contracté le coronavirus le mois dernier dans une maison de retraite près de Barcelone, où elle vit depuis plus de vingt ans

    Résidente d'une maison de retraite où plusieurs résidents infectés par le coronavirus sont décédés, une femme de 113 ans, présentée comme la doyenne d'Espagne, a guéri de la maladie, a annoncé l’établissement, ce mardi.

    « Elle a 113 ans. Elle a surmonté la maladie et va très bien », a affirmé une responsable de communication de l’établissement. Maria Branyas a contracté la maladie en avril dans une maison de retraite d'Olot située à une centaine de kilomètres au nord de Barcelone (Catalogne, nord-est).

    Un confinement de plusieurs semaines

    Les symptômes auront été discrets : « En réalité la seule chose qui a été détectée, c’est une infection urinaire et un peu de fièvre associée, mais ensuite elle a passé un test de dépistage (du coronavirus) qui s’est révélé positif », a assuré la responsable de communication. « Maintenant, elle se sent bien, et elle a passé la semaine dernière un test dont le résultat a été négatif », a-t-elle dit.

    La centenaire est restée confinée plusieurs semaines dans sa chambre de la Résidence Santa Maria del Tura. Une seule employée y entrait, vêtue d’une tenue de protection, selon la télévision régionale TV3, qui a diffusé des images de la vieille dame. On entend Maria Branyas y expliquer que « les personnes sont très aimables, très attentives » avec elle dans l’établissement. Quand l’employée lui demande le secret de sa longévité, elle répond simplement qu’elle a la chance de jouir d'« une bonne santé ».

    Grippe espagnole et coronavirus

    Sa fille, Rosa Moret, n’a pu lui rendre visite pendant le confinement, mais a conclu au sujet de sa mère, sur TV3 : « Maintenant elle va bien, elle est en forme, avec l’envie de parler, d’expliquer, de faire ses réflexions, elle redevient elle-même ». Les journalistes ne sont pas autorisés à pénétrer dans la maison de retraite et la famille ne souhaite plus communiquer avec la presse, selon la responsable de communication.

    Différents articles avaient été publiés ces dernières années sur cette « super centenaire », mère de trois enfants, grand-mère et arrière-grand-mère, née le 4 mars 1907 aux Etats-Unis où son père travaillait comme journaliste à San Francisco. Selon la presse, elle conserve notamment le souvenir du voyage retour de sa famille, de l’Amérique vers l’Europe, à bord d’un paquebot transatlantique pendant la Première Guerre mondiale (1914-18). Elle aura également connu l’époque de la pandémie grippale de 1918, surnommée «grippe espagnole», ainsi que la guerre civile dans son pays, entre 1936 et 1939.

    20 Minuts


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  • Une rébellion contre les vaccins parcourt les réseaux sociaux africains

     

    Le mouvement est certes encore marginal, mais il illustre une défiance envers une politique de santé jugée aux mains des pays développés.

    En Afrique, sur Twitter, se propage en ce moment une campagne anti-vaccins saisissante. Elle illustre la défiance d'une partie du continent africain envers les Occidentaux.

     

    Le message est de refuser une science qui prendrait les Africains pour des cobayes, s'enrichirait sur leur dos et, in fine, en ferait même mourir des centaines. Le mot d'ordre est à la résistance, comme cette illustration où l'on voit une femme africaine menacer d'une machette un infirmier qui s'apprête à vacciner un jeune homme.

    franceinfo


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  • Déconfinement: le gilet jaune Christophe Chalençon en garde à vue à Paris

    Le gilet jaune Christophe Chalençon a été placé en garde à vue en ce premier jour de déconfinement alors qu'il avait appelé à un soulèvement populaire dans une vidéo sur les réseaux sociaux, a-t-on appris de source proche du dossier. Dans celle-ci, l'homme appelait notamment à "assiéger Paris lundi jour du déconfinement".

     

    Une enquête avait été ouverte par le parquet de Carpentras (dans le Vaucluse) après l'appel au soulèvement de cet homme qui se revendiquait comme gilet jaune. Il n’avait pas répondu aux différentes convocations.

    Des moyens "disproportionnés", pour son avocat

    Selon nos informations, un mandat de recherche a donc été émis et c’est dans ce cadre que les policiers de la police judiciaire (l'office central de lutte contre le crime organisé, OCLCO) ont interpellé Christophe Chalençon ce lundi en début de soirée, porte d’Italie à Paris. L'homme se trouve actuellement en garde à vue à Nanterre.

    Son avocat Me Philippe de Veulle, contacté par BFMTV, déplore un dispositif  d’interpellation et un mandat d’arrêt "disproportionnés" contre Christophe Chalençon. "C'est une façon à lui de s’exprimer qui semble forte, qui semble disproportionnée, mais qui reflète une volonté de changement, une angoisse populaire. Il souhaiterait une transition politique avec des gens crédibles", défend l'avocat. 

    "Il est venu tranquillement sur Paris, il n’avait pas du tout d’arme sur lui. Je ne vois pas comment il pourrait faire avec un couteau de chasse ou une dague pour venir sur Paris ça n’a pas de sens", ajoute-t-il.+

    BFM.TV

    C'est plus facile d'arrêter un gilet jaune que les trafiquants des banlieues qui brûlent des voitures, caillassent les pompiers et les flics ! Quelle belle justice !


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