• Coronavirus : Julie Gayet défend la cause animale avec le chien de François Hollande

    Le monde a été bouleversé par la pandémie de coronavirus... Pour tenter de lutter contre la propagation de ce terrible virus, la France a été placée en confinement le 17 mars dernier. Tous les univers ont été impactés par cette crise sanitaire et il a fallu apprendre à vivre avec. Le monde de la télé n'a pas été épargné. De nombreux tournages d'émissions télé ont été annulés, mais certaines chaînes ont réussi à s'adapter au confinement. Cyril Hanouna a décidé d'animer chaque soir "Touche pas à mon poste" depuis son salon pendant que Cyril Lygnac préparait de bons plats de chez lui dans "Tous en Cuisine" diffusée sur M6. De son côté, France 2 a créé un programme court le 19 avril dans le but de divertir les Français, confinés chez eux. La chaîne a proposé une série de sketchs qui mettait en scène deux experts d'un centre d'appels, campés par Alice Belaïdi et Loïc Legendre, chargés de répondre aux questions incessantes concernant au confinement... De nombreux artistes se sont prêtés au jeu et ont fait une apparition comme Marina Foïs, Jean-Paul Rouve ou encore Elie Semoun. D'ailleurs, ce vendredi 8 mai, Julie Gayet a surpris de nombreux téléspectateurs en apparaissant aux côtés du chien de François Hollande pour faire passer un message !

    "on arrête d'abandonner les chiens"

    Julie Gayet est apparue dans "Au secours, bonjour" afin de défendre la cause animale. Pour cette occasion, elle était accompagnée par le chien de François Hollande, prénommé Philae et elle avait un message fort à transmettre. Dans son sketch, l'actrice de 47 ans s'est exprimée : "J'appelle parce qu'il paraît que de nombreuses personnes abandonnent leurs chiens en pensant qu'ils peuvent transmettre le virus. Alors qu'en fait les chiens ne transmettent pas le virus. A la limite, c'est nous qui pourrions leur transmettre. Et pourtant, ils ne nous abandonnent pas eux.". La compagne de François Hollande a conclu avec humour : "Donc petit message, on arrête d'abandonner les chiens, on les laisse tranquilles. A la limite, on abandonne les pangolins et les chauve-souris.". Son constat est alarmant et malheureusement bien réel.

    Non Stop Zapping


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  • PBLV avec Emmanuel Micron, la série réservée aux adhérents du MEDEF 


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  • Deux hommes ont été interpellés à Vannes (Morbihan) ce mardi soir après une course-poursuite avec la police. L’un, fiché S pour radicalisation, était sorti de prison prématurément en raison de la crise du coronavirus. Il n’aura passé qu’une quinzaine de jours en liberté.

    Le ministère de la Justice a décidé de libérer près de 10 000 détenus entre le 15 mars et le 15 avril, pour faire face à la pandémie de Covid-19. Une mesure qui a fait baisser le taux de population carcérale à 103%.

    Un homme âgé de 18 ans, fiché « S » (sûreté de l’État) pour radicalisation, qui a fait partie de ces détenus ayant bénéficié d’une libération anticipée, a été interpellé ce mardi avant de retourner derrière les barreaux rapporte Le Télégramme. Il était incarcéré à la prison de l’Hermitage à Brest depuis début janvier, dans une affaire de stupéfiants et avait été libéré à la mi-avril.

     

    Ce dernier a dans le passé était écroué pour des faits de violences, et avait été condamné en 2018 pour apologie du terrorisme. C’est lui qui était au volant d’une Renault Modus ce mardi en fin d’après-midi, dans le quartier de Kerihouais, à Hennebont, près de Lorient. Il a refusé de s’arrêter lorsque les policiers lui ont ordonné et a accéléré pour prendre la fuite.

    Une course-poursuite à pleine vitesse durant 50 km

    Une course-poursuite a alors débuté. Le fuyard s’est engagé sur la RN 165 où il a roulé jusqu’à 180 km/h pour tenter de se débarrasser des forces de l’ordre. La course folle du mis en cause et son passager s’est terminée près de 50 km plus loin, sur un rond-point à Vannes.

     

    La voiture des fuyards en a percuté une autre et a fait plusieurs tonneaux. Ce sont les motards de la police qui ont interpellé les deux hommes, qui n’étaient que légèrement blessés.

    Muni d’une arme de poing de calibre 7,65

    Durant cette course-poursuite, le fuyard a jeté par sa fenêtre une arme de poing de calibre 7,65 qui s’est encastrée dans le radiateur de la moto de l’un des policiers. Son deux-roues n’a pas été endommagé « mais cela tient d’un miracle » insiste une source judiciaire citée par le quotidien.

    Les deux mis en cause ont été placés en garde à vue. Le conducteur récemment sorti de prison conduisait sans permis de conduire. Il est également poursuivi pour refus d’obtempérer aggravé par la mise en danger d’autrui, violences sur personne dépositaire de l’autorité publique et transport d’arme de catégorie B. Il a été placé en détention provisoire.

    Son passager est quant à lui poursuivi pour transport d’arme de catégorie B. L’homme a lui aussi été écroué : il devait purger deux peines de prison.

    ACTU 17

    Des noms !

    La honte pour avoir libéré un ficher S ! Pauvre France !


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  • Un drame s’est noué dans la nuit de vendredi à samedi dans le huis clos d’un appartement de Douai (Nord). Un homme a été tué d’au moins un coup de couteau lors d’une altercation dont les contours sont encore flous.

    Deux hommes âgés d’une trentaine d’années se sont affrontés dans un logement du premier étage d’une maison de ville, située dans la rue des Ferronniers à Douai, ce samedi vers 2 heures du matin. L’un a porté au moins un coup de couteau à l’autre, apparemment au niveau de la carotide, qui lui aurait sectionné une artère, relate La Voix du Nord.

    D’après des informations recueillies dans le voisinage, un couple de Brésiliens occupe ce logement. Il sont mariés depuis un an environ et la femme est enceinte. L’auteur du coup de couteau serait l’homme du couple.

     

    Alertés, les policiers sont intervenus et ont découvert la victime inconsciente, qui gisait dans une mare de sang. Ils lui ont prodigué les premiers secours, en attendant l’arrivée des sapeurs-pompiers.

    Des couteaux ensanglantés saisis sur place

    Ces derniers ont pris le relais pour tenter de réanimer le trentenaire, mais en vain, il a succombé à ses blessures. L’auteur présumé du coup de couteau mortel a été interpellé. Il était blessé au visage, et semblait ivre, précise Lilleactu. Les secours l’ont transporté sous escorte policière à l’hôpital. Il a été placé en garde à vue différée dans le cadre d’une enquête criminelle.

     

    Sa compagne est restée chez elle, sous la surveillance d’un médecin du Samu. La scène de crime a été préservée pour que des constations soient effectuées par les techniciens de l’identité judiciaire. Sur place, les enquêteurs ont découvert et saisi des couteaux ensanglantés.

    Le domicile placé sous scellé

    Samedi matin, la rue piétonne était interdite d’accès pour faciliter le travail des agents de la police technique et scientifique et des enquêteurs. Les opérations se sont poursuivies jusqu’à 15h30. Un peu avant le départ des policiers, deux employés d’une entreprise de pompes funèbres sont venus enlever le corps du défunt.

    Le logement a été placé sous scellé judiciaire. L’épouse du suspect devrait être auditionnée dès que possible par les policiers de la Sûreté urbaine de Douai, en charge de l’enquête.

    ACTU 17


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  • Le légendaire pianiste Little Richard est mort samedi 9 mai.

    Tutti Frutti, Long Tall Sally, Lucille, Good Golly, Miss Molly... Little Richard, l'un des pionniers du rock'n'roll, est mort à 87 ans à Los Angeles, a annoncé samedi 9 mai le magazine Rolling Stone, citant son fils, Danny Penniman, qui n'a toutefois pas révélé la cause de son décès.

     

    De son vrai nom Richard Penniman, le pianiste américain bondissant et hurlant était en mauvaise santé depuis de longues années. Né en 1932, il avait connu le succès dans les années 1950 des deux côtés de l'Atlantique, inspirant plusieurs générations d'artistes, dont les Beatles et les Rolling Stones, qu'il avait parfois accompagnés sur scène, mais aussi David Bowie, Elton John ou Prince.

    "J'ai entendu Little Richard et Jerry Lee Lewis, et ça suffisait", avait ainsi déclaré Elton John à Rolling Stone en 1973. "Enfant, je me souviens de Little Richard miaulant Tutti frutti comme un chat de gouttière", témoignait de son côté Sting à L'Express en 2009.

    Même inspiration dans un autre genre pour Lemmy Kilmister le chanteur bassiste de Motörhead : quelques mois avant sa mort en 2016, il classait dans VSD Little Richard parmi ses deux artistes favoris, avec Buddy Holly. "J’ai vu Little Richard à Green Bay, dans le Wisconsin. En plein milieu de Good Golly, Miss Molly, il s’est arrêté pour brandir une Bible et raconter des anecdotes édifiantes sur sa vie", se souvenait-il.

    En 2006, Little Richard avait enregistré un titre avec Johnny Hallyday et Eddy Mitchell pour l'album de ce dernier, Jambalaya.

    Gala


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  • Un homme au guidon d’un scooter a pris la fuite après avoir violemment percuté un homme et son petit-fils. Grièvement blessé, le grand-père est entre la vie et la mort.

    Le drame s’est produit ce vendredi vers 15 heures sur l’avenue de l’URSS, dans le quartier Saint-Agne à Toulouse (Haute-Garonne). Un scooter lancé à vive allure a très violemment fauché un grand-père de 72 ans et son petit-fils de 2 ans, rapporte La Dépêche. L’homme aurait perdu le contrôle de son deux-roues.

    Rapidement, une foule s’est massée sur les lieux du drame et les secours sont arrivés, tandis que l’homme impliqué dans l’accident prenait la fuite. Les deux victimes ont été prises en charge par les secours et transportées en urgence à l’hôpital Purpan.

     

    Le garçonnet de 2 ans est sain et sauf. Il présentait des brûlures cutanées. Son grand-père, en revanche, a été grièvement blessé. Il a subi plusieurs opérations chirurgicales et son pronostic était toujours engagé ce samedi matin.

    Le fuyard interpellé aux Izards

    Très vite, les policiers se sont déployés à la recherche du fuyard. Ce jeune homme de 28 ans, défavorablement connu des services de police pour des délits routiers, a rapidement été identifié. Une patrouille de la brigade anticriminalité (BAC) l’a repéré et interpellé dans le quartier des Izards, 45 minutes après la terrible collision.

    Le suspect, dont le permis de conduire avait déjà été retiré par le passé, a été placé en garde à vue. L’enquête a été confiée à la brigade accidents et délits routiers (BADR) du commissariat central.

    ACTU 17


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  • La victime est descendue du tramway et a vraisemblablement tenté de rejoindre le métro sans remonter dans la gare.

    Un homme de 38 ans est mort électrocuté ce vendredi après-midi à Lyon. Il était en train de marcher au niveau des rails de la ligne A du métro, à la station Perrache. Vraisemblablement inconscient du risque encouru, le trentenaire avait quitté le tramway et cheminait en direction du métro sans remonter dans la gare.

    Pourtant une signalétique explicite est bien présente à cet endroit car les rails sont parcourus par 750 volts et le danger est absolu, relate Le Progrès.

    Les secours ne parviennent pas à le réanimer

    Les sapeurs-pompiers sont rapidement intervenus et ont tenté de le réanimer. En vain, il est mort électrocuté. D’après les premiers éléments recueillis, la victime vivait en foyer.

    La société Keolis, organisateur des transports pour le compte du Sytral, a indiqué que peu de personnes tentaient ainsi de traverser les voies du métro, et que les quelques usagers qui tentent de le faire y renoncent généralement.

    ACVTU 17

    Il pensait gagner du temps mais y a perdu le vie !


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  • Des français ont dansé dans la rue, d'autres ont envahi les trottoirs pour des balades etc se moquant du confinement et de ses règles. Mais si le relâchement continue, ET PAS QU'A PARIS, nous ne sommes pas prêts d'être déconfinés le 11 mai, alors soyons tous responsables


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  • Enrico Macias évite le drame : "J'ai été sauvé par les médecins"

     

    Joint par téléphone ce 8 mai par Pascal Praud sur CNews, le chanteur Enrico Macias a révélé qu'il était sorti du coronavirus.

    A l'affiche de la série Netflix "Family Business ", en 2019, Enrico Macias a beau affiché une énergie enviable, il est à 81 ans, très vulnérable, pendant l'actuelle épidémie de coronavirus. Confinée avec son petit-fils depuis 50 jours maintenant, il a confié dans l'émission "L'Heure des pros" sur CNews qu'il avait été malade.

     

    En effet, le chanteur des "Filles de mon pays" a révélé : "J'ai attrapé ce fameux Covid, j'ai eu des symptômes qui ne correspondaient pas à tout ce qu'on disait. Je n'ai pas eu de fièvre, je ne toussais pas, mais j'ai eu des douleurs abdominales terribles". 

    "J'ai été sauvé par les médecins"

    Le mendiant de l'amour a également expliqué : "Heureusement, je n'ai pas été hospitalisé et j'ai été sauvé par les médecins". Parce que d'autres n'ont pas eu sa chance, dit-il. C'est pourquoi le chanteur a eu une pensée émue à "tous ces gens-là qui sont partis", comme Manu Dibango , Christophe ou encore Idir , a-t-il cité.

    Sorti d'un calvaire de 15 jours, Enrico Macias assure : "J'ai fait une IRM des poumons et le coronavirus était dans mes poumons. On m'a donné un traitement d'antibiotiques dont j'ai oublié le nom. Heureusement, c'est parti après. J'ai refait une prise de sang et tout allait bien". Tout est bien qui finit bien.

    Public


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  • Paraguay : une Française de 7 ans disparue, sa mère incarcérée

    L’enquête porte sur une éventuelle séquestration ou un homicide. La fillette est portée disparue depuis la mi-avril.

    Une Française âgée de 7 ans, Juliette Le Droumaguet, est portée disparue au Paraguay depuis mi-avril et sa mère paraguayenne est incarcérée, de même que son beau-père allemand, a-t-on appris vendredi auprès de la police. « La recherche de Juliette s’est transformée en cause nationale », a affirmé le vice-ministre de la Sécurité, Carlos Altenburger. « Nous y consacrons notre meilleure équipe ».

    Quelque 200 policiers, militaires et pompiers, aidés de chiens étaient ainsi mobilisés pour ces recherches vendredi autour du domicile de la fillette, à Emboscada, petite ville proche de la capitale Asuncion. « Nous n’avons rien trouvé », a affirmé à la presse le directeur d’enquête, le commissaire César Silguero, au terme d’une journée d’efforts qui avait commencé à 6 heures.

    « Nous avons effectué quelques prélèvements qui seront comparés à d’autres. Je souhaite ne pas faire de commentaire avant le rapport que nous allons présenter la semaine prochaine », a expliqué la procureure Irene Alvarez. Les recherches doivent se poursuivre ce week-end, avec plus de chiens et de moyens technologiques, a indiqué le parquet.

    Comportement suspect

    Juliette Le Droumaguet, surnommée « Yuyu », est la fille de Stéphane Le Droumaguet, Français de 37 ans qui s’est séparé de la mère il y a un an. La fillette a disparu le matin du 15 avril, avec deux chèvres qu’elle appréciait et qu’elle était allée voir dans une ferme. Les deux caprins ont été retrouvés à 10 km de là, mais pas Juliette.

    L’enquête porte sur une éventuelle séquestration ou un homicide. La mère, Lilian Zapata, 33 ans, et son compagnon, Reiner Oberüber, 55 ans, ont été interpellés le 5 mai pour ces motifs et pour manquements à leurs obligations parentales.

    La disparition a eu lieu quand la fillette est allée voir les chèvres, d’après la mère. Le comportement de cette dernière a semblé suspect aux enquêteurs, puisque ce n’est pas elle qui a alerté la police, mais des habitants du coin, 24 heures après. Juliette a une sœur aînée de 10 ans qui est retournée vivre avec son père en France après la disparition.

    Le Parisien


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  • Trois jeunes dont un mineur aurait utilisé l’appartement de la victime comme point haut pour surveiller un « plan stups ».

    Le « mirador ». C’est ainsi que les trois suspects surnommaient l’appartement d’un locataire d’une tour de la rue Alexandra David-Néel à Lille (Nord). Mardi matin, les policiers ont été alertés par cet homme, qui venait de se réfugier dans un commerce. Il affirmait avoir été séquestré durant trois jours à son domicile et avoir été victime de violences par des dealers de la cité, rapporte La Voix du Nord.

    Immédiatement, une patrouille de police est venue le récupérer alors qu’il était visiblement choqué. Sa peau laissait apparaître des traces de brûlures de cigarette. Le malheureux assurait également avoir été tondu.

    Un appartement situé au 15ème étage d’une tour

    Une opération de police a été préparée et déclenchée au domicile du plaignant. L’appartement, situé au 15ème étage d’une tour, donne une vue imprenable sur l’immeuble d’en face connu pour être un « plan stups ». Le trafic de drogue y est si bien implanté que la rue Alexandra David-Néel, appelée « ADN », abrite deux immeubles surnommés « les tours de la mort ».

    Dans l’appartement, les fonctionnaires ont surpris trois individus, deux jeunes de 19 et 25 ans, et un mineur. Ils ont été interpellés et placés en garde à vue. Plusieurs téléphones portables et une tondeuse ont été découverts et saisis dans le « mirador », tel que l’appellent les suspects.

    Séquestré et réduit à l’esclavage

    Le plaignant a expliqué aux enquêteurs que les trois mis en cause le maintenaient chez lui sous la contrainte et l’avaient réduit à l’esclavage. Il a affirmé avoir profité d’une course qu’ils avaient exigée, après trois jours de séquestration, pour demander de l’aide.

    Au terme de leur garde à vue, le mineur qui a reconnu les violences a été confié à la justice des enfants, et les deux majeurs ont été déférés devant la justice. Ces derniers nient totalement les accusations portées à leur encontre. L’un des deux a même assuré aux policiers avoir empêché l’habitant de se jeter par la fenêtre.

    2 suspects écroués

    Les enquêteurs vont devoir faire la lumière sur la présence régulière de ces suspects, au casier judiciaire particulièrement chargé pour certains, dans le domicile du plaignant. L’avocate de ce dernier, Stéphanie Dumetz, a assuré qu’il craignait maintenant des représailles et que son appartement avait été dégradé de manière importante.

    Les avocats de deux mis en cause ont demandé aux magistrats de ne pas s’en tenir qu’à la version policière de cette affaire. Leurs clients, majeurs, ont été placés en détention provisoire en attendant leur jugement.

    Actu 17

    Sûrement des chances pour la France !


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  • Hospitalisé à Amiens (Somme) ce jeudi, l’enfant n’a pas survécu malgré les soins prodigués par les médecins.

    Un enfant de 2 ans a échappé à la vigilance de ses parents, ce jeudi, alors qu’il se trouvait dans la propriété familiale de Seboncourt (Aisne). Lorsqu’ils se sont rendu compte de l’absence de leur enfant, les parents ont entamé des recherches dans la maison et dans le jardin, en vain. C’est finalement en allant vérifier vers la piscine qu’ils ont compris le terrible drame qui venait de se nouer.

    Ils l’ont immédiatement sorti de l’eau, avant qu’il ne soit pris en charge par les sapeurs-pompiers de Bohain-en-Vermandois, relate L’Aisne Nouvelle. L’enfant a ensuite été évacué par hélicoptère au centre hospitalier régional d’Amiens.

     

    « Nous sommes tous sous le choc »

    Malgré les soins dont il a pu bénéficier, l’enfant a succombé à ses blessures ce vendredi, au lendemain de l’accident. « Nous sommes tous sous le choc », a témoigné le maire de Seboncourt, Hugues Legrand, particulièrement ému.

    ACTU 17

    Quand on a un enfant en bas âge et une piscine, on le surveille !


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  • Plusieurs chiens ont attaqué une passante et l’ont grièvement blessée. Elle ne doit son salut qu’à de courageux témoins qui lui ont porté secours.

    La terrible attaque s’est produite dimanche vers 18 heures, sur l’esplanade qui longe l’avenue des promenades à Conches-en-Ouche (Eure), relate France Bleu. Un chiot s’est rué sur une femme de 73 ans qui allait acheter son pain. Il l’a mordue au mollet, puis deux autres chiens, des molosses, l’ont attaquée.

    La malheureuse a lourdement chuté au sol et les trois chiens l’ont mordue et grièvement blessée, notamment à la nuque. « Elle a clairement vu la mort » raconte la petite fille de la victime, qui partage sa colère sur les réseaux sociaux en publiant des photos impressionnantes des blessures de sa grand-mère.

     

    Plusieurs témoins, dont un policier hors service, sont intervenus et ont fait fuir les trois molosses, qui auraient rejoint le domicile de leur propriétaire situé non loin de là.

    10 jours d’ITT

    Blessée aux jambes, aux bras et à la nuque, la septuagénaire a été prise en charge par les secours et hospitalisée à Evreux. Dix jours d’Incapacité totale de travail (ITT) lui ont été délivrés.

     La victime a fait parvenir un écrit à la procureure de la République d’Evreux pour signaler les faits, avant de finalement déposer plainte à la brigade de gendarmerie de Conches-en-Ouche, ce vendredi matin.
     
    « Nous ne laisserons pas cela impuni ! » a affirmé le premier adjoint au maire, Jérôme Pasco. Identifié, le propriétaire des animaux en cause ne disposerait pas des autorisations nécessaires pour détenir des chiens de première catégorie. Ceux-ci ne sont d’ailleurs pas déclarés. Ils pourraient être euthanasiés, a indiqué Jérôme Pasco, et devraient faire l’objet d’un examen vétérinaire et comportemental.
     
    ACTU 17

     


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  • Les enquêteurs de la police judiciaire viennent de débuter leur enquête après la découverte du corps d’une femme âgée de 76 ans, qui a vraisemblablement été tuée dans son domicile, situé dans un quartier tranquille de Lille (Nord).

    Les secours ont été alertés vers 19h45 ce jeudi. Une femme de 76 ans venait d’être retrouvée inanimée dans son appartement de la rue des Pénitentes dans le Vieux Lille, par l’une de ses voisines raconte La Voix du Nord. Cette dernière avait remarqué que la porte du logement était entrouverte et souhaitait s’assurer que tout allait bien

    Les pompiers et une équipe du SMUR se sont déplacés mais n’ont rien pu faire : la septuagénaire était déjà décédée. Le corps de cette retraitée présentait des traces de strangulation et son logement situé au rez-de-chaussée, avait été fouillé. Des objets avaient été dérobés.

    « Elle vivait seule chez elle »

    Une enquête a été ouverte par le parquet de Lille qui l’a confiée aux enquêteurs de la brigade criminelle de la police judiciaire. Une autopsie va être pratiquée afin d’en savoir plus sur les circonstances de la mort de cette femme. Les policiers ont réalisé une enquête de voisinage en espérant trouver quelqu’un qui a entendu ou vu quelque chose de suspect.

    « Cette dame, je la croisais souvent quand elle allait faire ses courses. Elle vivait seule chez elle. Ce qui s’est passé, c’est catastrophique », a réagi un voisin auprès de nos confrères.

     

    Les enquêteurs vont désormais chercher à comprendre les motivations du ou des auteurs. Cambriolage qui a mal tourné ou homicide suivi d’un vol ? Les deux pistes sont étudiées.

    ACTU 17


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