• CHANTOUVIVELAVIE : BONJKOUR -  VENDREDI 15 05 2020

     

    Bonne journée


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  • CHANTOUVIVELAVIE ; BONSOIR - 14 05 2020

     

    avant passez une bonne soirée


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  • Quels salauds ces humains qui abandonnent leur chien !


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  • Neuvième groupe à l'Assemblée? Ndiaye fustige un "contresens politique"

    La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a déploré mercredi "le ferment de la division" et fustigé "un contresens politique" face aux informations évoquant la formation d'un neuvième groupe de députés qui pourrait priver La République en marche (LaRem), le parti présidentiel, de la majorité absolue à l'Assemblée nationale.

    "Si tel était le cas, je ne peux que regretter que le ferment de la division soit à l'oeuvre dans une période qui est exceptionnelle" compte tenu de l'épidémie de coronavirus, a-t-elle déclaré lors du compte rendu du conseil des ministres à l'Elysée.

    "Alors même", a-t-elle poursuivi, "que nous aurons des discussions à avoir à l'intérieur de la majorité évidemment sur ce que sera la fin du quinquennat, sur la manière dont nous relancerons l'activité dans notre pays, sur les réponses que nous aurons à apporter dans la suite de cette crise."

    "Il m'apparaît donc que c'est véritablement là un contretemps, pour ne pas dire un contresens politique", a-t-elle ajouté.

    Selon les Echos qui a révélé l'information vendredi dernier, ce neuvième groupe - baptisé "Ecologie démocratie solidarité" - pourrait compter 58 membres venant d'horizons divers, animés par le désir de "répondre à l'urgence écologique, moderniser la démocratie, réduire les inégalités sociales et territoriales".

    Les députés de l'aile gauche de LaRem Aurélien Taché et Guillaume Chiche pourraient en faire partie, de même que les anciens députés LaRem Matthieu Orphelin et Cédric Villani, candidat dissident à la mairie de Paris, ou encore l'ex-ministre socialiste Delphine Batho, présidente de Génération Ecologie.

    Après l'exclusion du parti la semaine dernière de la députée Martine Wonner, qui n'avait pas voté en faveur du plan de déconfinement, le nombre d'élus LaRem et apparentés à l'Assemblée s'élève désormais à 296 - ils étaient 314 en juin 2017 - au Palais Bourbon où la majorité absolue est fixée à 289.

    Depuis le début du quinquennat, le camp présidentiel a toutefois pu compter sur le soutien des 46 députés du groupe MoDem, mais certains de ses membres pourraient être eux aussi tentés par l'aventure d'un nouveau groupe.

    Reuters


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  • Les abeilles - L'hilarante version dansée et chantée par Bourvil et sa troupe


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  • Le tribunal correctionnel de Béziers (Hérault) a condamné un homme qui a tenté de tuer son animal de compagnie en le noyant dans le canal du Midi, après l’avoir ligoté et drogué.

    L’audience s’est tenue ce mercredi, au tribunal correctionnel de Béziers. Un homme de 48 ans a été jugé pour avoir commis des actes de cruauté envers un animal domestique. Il a écopé de quatre mois de prison avec sursis, relate Midi Libre. La justice lui reprochait d’avoir tenté de noyer sa chienne en la jetant dans le canal du Midi, à Agde, après l’avoir droguée à l’aide de somnifères.

    Les faits remontent au mois de mars 2019. L’enquête a démontré que le mis en cause avait préalablement ligoté l’animal avec du ruban adhésif, mais la chienne s’était réveillée au contact de l’eau froide. Un cycliste, qui passait par là, l’avait alors repérée grâce à ses aboiements et lui avait sauvé la vie.

     

    La chienne, Daisy, appartenait au fils du suspect. Au lieu de la confier à une association, il avait tenté de la tuer, sous prétexte qu’elle perdait ses poils. Le prévenu était encore sur place quand la chienne avait été ramenée en sécurité. Il s’était fait passer pour un passant et avait conduit l’animal chez un vétérinaire.

    Neuf parties civiles au procès

    Avec l’aide de la Société protectrice des animaux (SPA), les enquêteurs du commissariat d’Agde étaient parvenus à identifier son propriétaire, auteur des faits. Outre sa condamnation à une peine de prison avec sursis, le quadragénaire n’a plus le droit de posséder d’animal durant cinq ans.

     

    Il doit également indemniser les neuf parties civiles, dont l’association 30 millions d’amis et la fondation Brigitte Bardot. Le mis en cause, qui encourait jusqu’à deux ans de prison, a été condamné à quatre mois de prison avec sursis. Jugeant la sanction trop légère, plusieurs associations de défense d’animaux ont fait état de leur déception. Elles espéraient une interdiction de détenir un animal à vie.

    Un jugement en CRPC refusé par le président

    Fait notable, l’affaire devait initialement être jugée en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), et le parquet avait requis 60 heures de travail d’intérêt général contre le prévenu. Mais le président de l’audience avait refusé de se prononcer, estimant que l’affaire devait être jugée en audience au tribunal correctionnel.

    ACTU 17

    4 mois avec sursis, c'est faire peu de cas de la vie d'un chien, honte aux juges !

    Merci au cycliste qui l'a sauvé.

    Ce salaud, faut le ligoter et le jeter à l'eau !


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  • Une octogénaire victime d’une agression sexuelle est décédée d’une autre cause avant le jugement de son agresseur. Ce dernier a écopé d’une peine de prison avec sursis et de 1 000 euros au titre du préjudice moral, à verser à la fille de la victime.

    L’affaire qui vient d’être jugée par le tribunal correctionnel de Boulogne-sur-Mer remonte au 12 septembre dernier. Elle a eu lieu à Montreuil dans le Pas-de-Calais, relate La Voix du Nord. Ce jour-là, un jeune homme avait sonné à la porte d’une octogénaire, et s’était présenté en tant que fils d’une voisine.

    Il lui avait proposé de l’aider aux travaux domestiques et avait ainsi été invité à entrer dans le logement. Faisant preuve de beaucoup d’attention envers la vieille dame, cet inconnu s’était ensuite placé derrière sa proie, avant de lui retirer ses vêtements et de lui faire subir des attouchements sexuels.

     

    Il s’était subitement arrêté et lui avait demandé de l’argent. La victime lui avait alors donné dix euros qu’elle possédait dans son porte-monnaie. L’inconnu avait ensuite ramassé ses vêtements pour les déposer dans la salle de bain, avant de disparaître.

    Plusieurs tentatives dans l’immeuble

    Les gendarmes ont mené une enquête de voisinage qui s’est révélée fructueuse. Ils ont appris que cet individu avait sonné à d’autres portes de l’immeuble où vivent des personnes âgées. L’octogénaire a pu reconnaître son agresseur sur des planches photographiques qui lui ont été présentées par les enquêteurs.

    Il s’agit d’un habitant de la commune, âgé de 19 ans. Interpellé et placé en garde à vue, il a reconnu s’être rendu chez la vieille dame, mais a nié l’avoir agressée sexuellement. Aux questions insistantes des gendarmes, le jeune homme a répondu qu’elle avait chaud et que c’est elle-même qui lui avait demandé de lui retirer ses vêtements.

    Son ADN sur le soutien-gorge de la victime

    Ses déclarations n’ont convaincu ni les enquêteurs, ni les magistrats. Et pour cause, son ADN a été relevé sur l’agrafe du soutien-gorge de l’octogénaire. Lors de son procès qui vient de se tenir au tribunal de Boulogne-sur-Mer, le prévenu n’a pas eu à faire face à sa victime : elle est décédée d’une autre cause avant la tenue de l’audience.

    Toutefois, sa fille était présente. À la barre, le jeune homme de 19 ans a affirmé qu’il ne se souvenait plus de ce qu’il s’est passé, affirmant qu’il était alcoolisé. « Une amnésie de circonstance », a déclaré le procureur de la République, au sujet de la ligne de défense du prévenu.

    Ce dernier, qui aurait souffert de carences éducatives et affectives dans son enfance, et qui a des problèmes d’alcoolisme, a été reconnu coupable et écopé de 12 mois de prison avec sursis probatoire. Il devra justifier de soins et d’un travail. En outre, le jeune homme doit verser 1 000 euros à la fille de la victime au titre du préjudice moral. Enfin, il est désormais inscrit au Fichier des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (Fijais).

     

    ACTU 17

    Quelle honte de la prison avec sursis et 1000 euros d'amende !


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  • Un homme âgé de 19 ans a été interpellé par les policiers ce mardi soir. Évadé de prison, il venait de se réfugier dans la salle de bain d’une habitante pour échapper à son arrestation.

    Tout est parti du contrôle d’une voiture par les policiers de la Brigade anticriminalité (BAC) du XIIe arrondissement de Paris, vers 22h20 ce mardi soir. Une Volkswagen Polo avec cinq individus à l’intérieur venait d’attirer leur attention, sur l’avenue Daumesnil, à hauteur du numéro 242.

    Un contrôle a débuté et les policiers ont reconnu l’un des individus qui se trouvait dans le véhicule. Âgé de 19 ans, il faisait l’objet d’une fiche de recherches depuis le 3 mars dernier après ne pas avoir réintégré la prison de la Santé, suite à une permission de sortie.

     

    Des renforts ont été appelés alors que la situation commençait à se tendre. Comprenant ce qui allait se passer, deux des occupants de la voiture sont sortis et se sont opposés à l’intervention des forces de l’ordre, pendant que le suspect prenait la fuite à pied. Les policiers sont partis à sa poursuite.

    Il rentre dans un appartement par une fenêtre

    Le fuyard a alors pénétré dans un appartement de la rue de Toul, en passant par une fenêtre restée ouverte. Les fonctionnaires ont entendu l’habitante qui hurlait et se sont dépêchés d’accéder au logement pour mettre fin à la course du fugitif.

    Ce dernier s’était caché dans la petite salle de bain de l’appartement. Il s’est violemment rebellé mais a été maîtrisé puis interpellé, après avoir brisé la porte coulissante de la douche. Le mis en cause a été placé en garde à vue et va prochainement rejoindre sa cellule de prison.

    Un second individu interpellé

    L’un des deux occupants de la voiture qui s’était opposé à l’intervention de police, a lui aussi été interpellé par les renforts arrivés rapidement sur place. Sa soirée s’est terminée en garde à vue.

    Le conducteur de la voiture a pu repartir, son véhicule étant en règle. Les deux autres occupants du véhicule ont pris la fuite. Le commissariat du XIIe arrondissement est en charge des investigations.

    ACTU 17


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  • Pour échapper à la violence de son père, un jeune homme a pris de gros risques. Il a sauté du troisième étage et a terminé à l’hôpital.

    La police a été alertée lundi vers 13h30, par un habitant de la rue du Fresche-Blanc, près de l’hippodrome​ à Nantes (Loire-Atlantique). Il venait de voir que son propre balcon supportait des traces de sang, et qu’un jeune homme blessé se trouvait dans la rue en contrebas, rapporte 20 minutes.

    Policiers et pompiers se sont rapidement rendus sur place. La victime, âgée de 22 ans, souffrait de multiples plaies saignantes au visage.

     

    Le jeune homme a expliqué qu’il avait reçu plusieurs coups de poing de la part de son père et qu’il avait tenté de le fuir en sautant du troisième étage de l’immeuble. Il a été conduit au CHU de Nantes. Son pronostic vital n’était pas engagé.

    Le suspect, père de la victime âgé de 45 ans, a été interpellé peu de temps après. Les investigations se poursuivent pour déterminer les circonstances de ces faits.

     

    ACTU 17


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  • Un simple regard posé sur une femme a failli coûter la vie à un jeune homme. Le petit ami de cette dernière ne l’a pas supporté et a poignardé cet inconnu au thorax.

    Un homme de 40 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire pour « tentative de meurtre », ce mardi à Pontoise (Val-d’Oise), rapporte Le Parisien. Il est poursuivi pour avoir poignardé un jeune homme au thorax, dans la nuit de samedi à dimanche, à Sarcelles.

    Le drame s’est noué dimanche vers minuit et demi, dans la rue de Chaussy. Plusieurs détonations ont été entendues par des riverains, qui ont alerté les policiers. Sur place, les fonctionnaires ont découvert un jeune homme de 23 ans ensanglanté qui gisait au sol. 

    Des tirs à blanc

    Les policiers ont retrouvé des cartouches de pistolet d’alarme près de la victime. Il s’est avéré que le jeune homme prenait l’air avec un ami lorsque l’agression a eu lieu, et que ce dernier avait tiré pour faire fuir l’agresseur armé d’un couteau.

    Le SAMU a pris en charge la victime qui a été transportée à l’hôpital Beaujon, à Clichy (Hauts-de-Seine) dans un état critique. Le jeune homme a subi une intervention chirurgicale dans la foulée et ses jours ne sont plus en danger. L’enquête a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire de Versailles.

    Mis en examen et écroué

    Les policiers ont notamment interrogé les riverains et procédé à des investigations qui leur ont permis d’identifier l’homme au couteau. Âgé de 40 ans, il était déjà connu des services de police, pour des violences volontaires.

    Les enquêteurs l’ont interpellé chez lui, à Sarcelles, et l’ont placé en garde à vue. Lors de ses auditions, il a affirmé que cette nuit-là, il avait consommé des produits stupéfiants et était très énervé. Il a reconnu avoir poignardé le jeune homme parce qu’il avait osé regarder sa petite amie.

    Au terme de sa garde à vue, il a été mis en examen dans le cadre d’une information judiciaire ouverte pour « tentative de meurtre » et incarcéré en attendant son procès.

    ACTU 17


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  • Une fillette aurait été tuée par étouffement. Grièvement brûlée, sa mère a été secourue alors qu’elle venait de s’extraire d’un véhicule en feu à Saint-Jean-d’Angély (Charente-Maritime).

    Les secours ont été alertés ce mardi vers 8 heures du matin, par des témoins qui venaient d’apercevoir une femme grièvement brûlée, sortir d’une voiture en feu. La scène s’est déroulée sur un parking à hauteur du péage de l’autoroute A10 à Saint-Jean-d’Angély, relate France Bleu.

    Les pompiers sont intervenus et ont pris en charge cette femme âgée de 50 ans. Elle présentait des brûlures sur 40% du corps. Ils l’ont transportée à l’hôpital de la commune, dans un état critique. La victime a été ensuite évacuée vers un centre hospitalier plus important.

    La fillette probablement étouffée à mort par sa mère

    En charge de l’enquête, les gendarmes de la brigade de recherches ont fait une macabre découverte au domicile familial. Ils ont retrouvé le corps sans vie d’une enfant de cinq ans et demi, ainsi que des écrits concernant ces faits, qui auraient été rédigés par la mère.

    D’après les premières constatations, la fillette serait morte par étouffement. Sa mère, veuve depuis 2017, est décrite par le parquet de Saintes comme intégrée socialement mais fragile psychologiquement. Une autopsie doit avoir lieu ce jeudi matin. Les enquêteurs, qui privilégient la thèse de l’infanticide, n’ont pas pu auditionner la mère de famille en raison de son état de santé. 

    ACTU 17


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  • La douane a intercepté un camion transportant 1 031 kg d’herbe de cannabis, répartis dans des cartons. Le conducteur, originaire des Vosges, était déjà connu pour trafic de stupéfiants.

    Au premier jour du déconfinement ce lundi, la douane a procédé au contrôle d’un camion sur l’A36, au niveau de Miserey-Salines, a indiqué le parquet de Besançon (Doubs). L’opération s’est révélée payante. Le véhicule transportait plus d’une tonne d’herbe de cannabis répartie dans une centaine de cartons, relate L’Est Républicain.

    La valeur marchande de ce chargement est estimée entre 20 et 30 millions d’euros. Les fonctionnaires ont interpellé le conducteur du camion, un habitant des Vosges, déjà connu pour des infractions à la législation sur les stupéfiants. Le suspect a été remis à la police judiciaire de Besançon, qui l’a placé en garde à vue.

    Une incinération qui a duré plus de 3 heures

    La drogue saisie a été détruite dès le lendemain à l’usine d’incinération de Planoise, sous le contrôle d’officiers de police judiciaire. Cette opération a duré plus de trois heures, au vu de la quantité d’herbe à détruire.

    « Il est nécessaire de brasser le tout avec d’autres combustibles hétérogènes, car le pouvoir calorifique de l’herbe de cannabis est trop important et risquerait de provoquer un coup de chaud dans le four », a expliqué au quotidien régional Stéphane Mayer, responsable de l’usine de valorisation énergétique de Besançon.

    Une saisie record l’année précédente sur cette autoroute

    Il y a un an, le 10 mai 2019, les fonctionnaires de la police judiciaire avait découvert et saisi pas moins de 11 tonnes de résine de cannabis dans un poids lourd sur l’A36, dans le secteur de Besançon. Un record dans l’hexagone depuis 1999, qui avait été annoncé par la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Nancy. Quatre suspects, dont un ressortissant italien, avaient été interpellés.

    La plus importante saisie recensée en France a été effectuée en 1999 à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). Elle portait sur 23,5 tonnes de cannabis.

    ACTU 17


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  • CHANTOUVIVELAVIE: BONSOIR - 13 05 2020

     

    avant une bonne soirée


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