• Une violence gratuite, souvent de Maghrébins, toutes les 40 secondes

    C’est ce que révèle le psychiatre pour enfant et adolescent Maurice Berger dans une interview récente à la radio.

    LIEN de l'article :

    https://ripostelaique.com/une-violence-gratuite-souvent-de-maghrebins-toutes-les-40-secondes.html 


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  • "Le président de la République n’écoute plus personne, ivre de sa toute-puissance dans cette séquence historique. Occuper la scène est devenu une obsession pour lui. Quitte à flinguer tous ceux qui lui font de l’ombre. À commencer, bien sûr, par Édouard Philippe."

     


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  • J'en ai pleuré à la fin mais ça finit bien !


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  • Un enfant âgé de 5 ans a été transporté à l’hôpital en état d’urgence absolue à l’hôpital alors qu’il venait d’être percuté par le conducteur d’une voiture, à Metz.

    Les faits se sont produits vers 20h30 dans la rue Pierre Chédeaux, dans le quartier de Queuleu, à Metz (Moselle). Le conducteur d’une voiture a renversé un enfant de 5 ans et a pris la fuite rapporte France Bleu.

    Grièvement blessé à la tête et à une jambe, le petit garçon a été évacué à l’hôpital de Mercy à Metz par les sapeurs-pompiers, alors qu’il était en état d’urgence absolue.

    Toutefois, ses jours ne sont pas en danger. Le véhicule lui aurait littéralement roulé sur la jambe selon les premiers éléments.

    Quant au conducteur, il a pris la fuite et était toujours recherché ce jeudi matin. La police a indiqué ne pas savoir si la victime se trouvait sur le trottoir ou sur la chaussée lorsqu’elle a été renversée. Une enquête a été ouverte.

    ACTU 17


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  • Sous couvert de paella et de pizzas, le gérant d’un snack proposait des produits stupéfiants à emporter. La mise au jour de son trafic a été facilitée par les mesures de confinement actuelles.

    Un restaurateur de Nice (Alpes-Maritimes) a été présenté à la justice, ce jeudi après-midi. Il est poursuivi pour avoir vendu de la drogue dans son établissement du quartier de La Madeleine, qui était resté ouvert pour la vente de pizzas et de paella à emporter, rapporte Le Figaro.

    Le suspect, âgé de 37 ans, était surveillé par la brigade des stupéfiants après plusieurs signalements effectués par des clients de son snack. « Des va-et-vient suspects tôt en matinée pour des achats ou des commandes de nourriture à emporter, et plus visibles durant le confinement » ont fini de convaincre les enquêteurs qu’un trafic se tenait dans ce restaurant.

    Du cannabis et 10 000 € en espèces

    Son gérant a totalement nié les faits. Toutefois, une perquisition a été menée par les enquêteurs dans le commerce, et a conduit à la saisie de 300 g de résine de cannabis et 10 000 euros en espèces dans l’arrière-boutique.

    Les policiers ont demandé une fermeture administrative de six mois de l’établissement. Outre ce trafic, le gérant ne respectait pas les règles du confinement en accueillant aussi des clients en salle. Le parquet a requis le placement en détention du mis en cause, déjà condamné pour trafic de stupéfiants, en attendant son procès.

     ACTU 17

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  • Une décision qui fait polémique. En Italie, la justice a décidé la libération de mafieux âgés ou en mauvaise santé durant la période de confinement instaurée en Italie pour endiguer le coronavirus

    Ils sont 373 a en avoir bénéficié depuis début mars. La justice examine 456 autres demandes de libération, selon le quotidien La Repubblica.

     

    Parmi les criminels autorisés à rentrer chez eux figurent notamment le boss de Cosa Nostra (la mafia sicilienne) Francesco Bonura, 78 ans, et Franco Cataldo, 85 ans, qui faisait partie du gang ayant tué le fils adolescent d'un repenti en 1996 et dissous son corps dans de l'acide.

    Les juges ont été autorisés à libérer les détenus âgés de plus de 70 ans souffrant de pathologies les rendant particulièrement vulnérables au coronavirus, mais sans recevoir d'instructions particulières sur une éventuelle distinction entre mafieux et prisonniers ordinaires.

    Des détenus à l'isolement

    Cette décision a été prise après plusieurs émeutes en mars dirigées par des détenus ayant peur d'être contaminés dans les prisons surpeuplées, alors que le virus a fait près de 30.000 morts en Italie.

    Le procureur antimafia Federico Cafiero s'est étonné jeudi de la libération de prisonniers pourtant déjà placés en isolement. Ce régime particulièrement sévère empêche les boss de diriger leur clan depuis leur cellule. "S'ils sont en isolement, il est évident qu'ils ne peuvent pas attraper (le virus) ou être contagieux", a-t-il observé.

    Réagissant à ces critiques, le ministre de la Justice Alfonso Bonafede a affirmé qu'il élaborait un décret pour permettre aux juges de réviser les décisions de libérations maintenant que la pandémie est en partie endiguée, et que désormais toutes les nouvelles demandes de libérations seraient également contrôlées par des juges antimafia.

    ACTU 17


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  • Un adolescent de 14 ans a porté plusieurs coups de couteau à sa sœur au terme d’une dispute. La victime a été sérieusement blessée et hospitalisée en urgence.

    Le drame s’est noué lundi vers 20 heures, dans un petit village de la Dombes dans l’Ain. Les secours ont pris en charge une enfant âgée de 12 ans, qui présentait d’importantes blessures.

    Elle venait d’être frappée d’un coup de couteau à la gorge et d’autres au thorax, rapporte Le Progrès. Conduite en urgence au centre hospitalier Fleyriat de Bourg-en-Bresse, elle a subi une opération chirurgicale. Son pronostic vital ne serait pas engagé.

     

    Les gendarmes se sont rendus sur les lieux du drame et ont procédé à l’interpellation du frère de la victime, âgé de 14 ans. D’après les premières informations recueillies par les enquêteurs, tous deux jouaient ensemble avant qu’une dispute éclate. C’est à ce moment-là que l’adolescent se serait emparé d’un couteau et en aurait fait usage.

    Adoptés par une famille

    Les deux mineurs ont grandi ensemble dans un contexte difficile. Ils avaient été retirés à leurs parents toxicomanes et confrontés à la prison, pour être placés très jeunes par les services sociaux. Ils ont ensuite été adoptés par une même famille, il y a environ dix ans.

     

    L’adolescent turbulent n’avait jamais eu affaire à la justice pour son comportement, mais se faisait remarquer dans le village. « Visiblement, ce gamin a des problèmes psychiques ou psychiatriques, et il était très perturbé », a déclaré mercredi Christophe Rode, le procureur de la République de Bourg-en-Bresse.

    Une information judiciaire ouverte pour « tentative d’homicide »

    Au terme de sa garde à vue ce mercredi matin, l’adolescent a été déféré au parquet de Bourg-en-Bresse qui a ouvert une information judiciaire pour « tentative d’homicide ». L’enquête est désormais dirigée par un juge d’instruction.

    Le garçon doit être placé dans un Centre éducatif fermé (CEF), une alternative à l’incarcération, sous le contrôle de la Protection judiciaire de la Jeunesse (PJJ), précise le quotidien régional. Une expertise psychiatrique est envisagée pour tenter de comprendre un peu mieux les circonstances de ce drame, a indiqué le procureur.

    ACTU 17


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 07 05 2020

     

    Bonne soirée


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  • Les policiers du commissariat de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) ont réalisé deux belles prises ce mercredi. Deux hommes ont été placés en garde à vue à quelques heures d’intervalles.

     Le travail de terrain, d’observation et de renseignements a porté ses fruits. Les policiers de Saint-Ouen ont procédé au contrôle d’un homme au volant d’une Volkswagen Polo vers 20h30 ce mercredi soir, sur la place de la République. Ce dernier était notamment soupçonné d’être armé.

    Le mis en cause a rapidement avoué aux forces de l’ordre qu’il transportait une arme de poing, qui était dissimulée dans le plafond de l’habitacle de sa voiture. Le pistolet semi-automatique de calibre 9mm, de marque Sig Sauer a été saisi. De plus, un chargeur garni à 10 cartouches se trouvait à l’intérieur. L’homme a été interpellé avant d’être placé en garde à vue.

     

    Une perquisition a ensuite été réalisée à son domicile. Les enquêteurs du commissariat de Saint-Ouen ont découvert 5,410 kilos de résine de cannabis, un peu moins d’un kilo d’herbe de cannabis ainsi que plusieurs liasses de billets pour un total atteignant 19 365 euros. Les investigations se poursuivent.

    Plus de 5 kilos de drogue dans un autre logement

    Quelques heures plus tôt, les enquêteurs avaient déjà réalisé une saisie de drogue. Une patrouille avait assisté à une transaction de cannabis en pleine nuit vers 01h40 du matin, dans la rue Madame de Staël, près de la mairie. L’acheteur avait pris la fuite mais les fonctionnaires étaient parvenus à intercepter le dealer qui a été interpellé. Ce dernier avait environ 400 grammes de résine de cannabis sur lui. Il a été placé en garde à vue.

     

    Lors de le perquisition de son domicile à 6 heures, les enquêteurs ont découvert 3,105 kilos d’herbes de cannabis ainsi qu’un peu plus 2 kilos de résine.

    En outre, un pistolet d’alarme avec six cartouches à blanc ont été saisis, tout comme plusieurs téléphones portables qui vont être exploités. Les deux hommes sont poursuivis pour trafic de stupéfiants notamment.

    65 kg de cannabis et 385 000 euros dans un appartement à Bagnolet

    Dans le même département, à Bagnolet, les policiers ont saisi près de 65 kilos de résine de cannabis et 385 000 euros dans l’appartement d’un homme au cours du week-end. Un an plus tôt, 50 kilos avaient été saisis dans cette même commune.

    ACTU 17

    Les prénoms de ces trafiquants !


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  • Une habitante de Taussac (Aveyron) avait été abattue dans son jardin, à l’automne 2017. Un chasseur avait tiré au fusil sur elle en pensant avoir vu l’ombre d’un cerf bouger.

     

    Un accident de chasse a coûté la vie à une femme, âgée de 69 ans et qui habitait à Taussac, le 14 octobre 2017. La victime se trouvait dans le jardin de sa propriété lorsqu’un chasseur avait ouvert le feu sur elle, la tuant sur le coup. Il a affirmé par la suite qu’il croyait avoir tiré sur un cerf dont il avait vu l’ombre en mouvement, derrière une haie « très épaisse » et mesurant 6 mètres de haut.

    Trois ans après ce drame, cet homme de 50 ans, membre de la société de chasse locale, a été condamné ce mercredi par le tribunal correctionnel de Rodez, relate Centre Presse Aveyron. Il a écopé de douze mois de prison avec sursis. 

    Interdiction de détenir une arme

    L’homme était rongé par les remords et la peine, rapporte le quotidien local. Il avait été mis en examen pour « homicide involontaire par manquement délibéré à une obligation de sécurité ».

    Outre sa condamnation à une peine de prison avec sursis, il s’est vu interdire de détenir une arme pendant cinq ans et son permis de chasse lui a été retiré pour une durée de 10 ans. Enfin, il a été condamné à verser aux ayants droit de la défunte 8 000 euros au titre de dommages et intérêts.

     ACTU 17
    Saloperie de chasseur ! Il a cru voir un cerf, connard !

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  • Brigitte Bardot poursuivie pour injures raciales et renvoyée en correctionnelle

    Chien servant d'appât pour attraper requins à la Réunion ! Si ce n'est pas de la sauvagerie !

     

    En 2019, Brigitte Bardot tenait des propos outranciers contre les Réunionnais. Mise en examen pour "injures raciales", BB vient d'être renvoyée devant le tribunal correctionnel, où elle devrait être entendue dans les prochains mois.

    Brigitte Bardot va devoir s'expliquer devant les tribunaux. Attachée comme chacun sait à la cause animale, la militante adressait en mars 2019, en tant que présidente de sa fondation une lettre à destination de la préfecture et de plusieurs médias de La Réunion. L'idée première de Brigitte Bardot est d'alerter sur le traitement des animaux dans l'île, pointant du doigt le sort réservé aux chiens et aux chats, mais également des "fêtes indiennes Tamoul avec décapitations de chèvres et boucs en offrande à leurs Dieux et dont les abats jetés à la mer attirent les requins"En voulant se poser en défenseure des animaux, Brigitte Bardot a aussi complètement dérapé.

    "L'île du diable"

    Dans cette lettre, elle traite les Réunionnais de "population dégénérée", aux "traditions barbares". Elle surnomme l'endroit "l'île du diable" où les habitants seraient des "autochtones ayant gardé leurs gènes de sauvages". Dès la médiatisation de la lettre, les propos font polémique. Malgré des excuses quelques jours plus tard, Brigitte Bardot est mise en examen pour injures raciales, comme son communicant, pour complicité. Le 11 mars dernier, le réquisitoire du procureur de Saint-Denis est sans appel, comme l'indique Le Parisien : "Nul ne niera que Mme Bardot a mené des combats légitimes pour qu'il soit mis fin à certaines pratiques qui n'étaient plus tolérables […] La force de l'engagement de Mme Bardot ne saurait cependant justifier qu'elle ait injurié de façon globale des êtres humains en laissant croire que les sévices à animaux étaient le fait de l'ensemble des habitants de la Réunion". Un réquisitoire suivi par le juge d'instruction, qui vient de renvoyer Brigitte Bardot devant le tribunal correctionnel. Déjà condamnée à cinq reprises pour incitations à la haine raciale, BB va devoir de nouveau se confronter à un tribunal dans les prochains mois.

    Voici

    Les chiens sont maltraités à la Réunion, BB a raison !


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  • Ce matin, en me levant, tout mon dos douloureux enfin  à droite. Et une douleur terrible à droite sous la taille !

    Après deux cris, j'ai pris un Dafalgan paracétamol qui m'a  soulagé un peu.

    Quand mon infirmier est venu, il a vu mon mollet gonflé, il a eu peur d'une phlébite et a téléphoné de suite à mon médecin traitant. Rendez-vous à 14h40, exceptionnellement car le jeudi après-midi, il ne fait pas de visites car il va à la maison de retraite.

    Le docteur n'a rien trouvé, pas de phlébite et mon mollet avait dégonflé suite aux bas de contention.

    Pour mon dos, il m'a donné un gel.

    Mon gentil voisin m'a donc ramené à la maison rassurée ! Plus de peur que de mal !


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  • Décembre 2019. Wuhan est en proie à un étrange virus qui décime sa population et va bientôt se répandre comme une traînée de poudre sur toute la planète. L'ambassadeur de France à Pékin, Laurent Bili, aurait averti l'Élysée et le Quai d'Orsay dès décembre de l'émergence du coronavirus, selon « Le Canard enchaîné ». Des « informations alarmantes », dont ni Emmanuel Macron ni Jean-Yves Le Drian n'auraient tenu compte. Face à cette révélation, le ministère des Affaires étrangères a confirmé mercredi avoir été informé le 31 décembre de l'apparition du Covid-19 en Chine. Le Quai d'Orsay a toutefois démenti qu'Emmanuel Macron ait été alerté directement par l'ambassadeur de France à Pékin. https://www.lepoint.fr/sante/coronavi...


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  • Covid-19 : l'ambassadeur de France à Pékin a-t-il alerté Macron dès le mois de décembre?

    Selon "Le Canard Enchaîné", le Quai d'Orsay et l'Elysée ont reçu "en décembre" des informations "alarmantes dont ils n'ont tenu aucun compte". Paris dément.

    Le chef de l'Etat était-il au courant de l'apparition d'un nouveau coronavirus dès le mois de décembre ? C'est en tout cas ce que suspecte Le Canard Enchaîné paru mercredi, qui affirme que l'ambassadeur français à Pékin, Laurent Bili, a mis en garde Emmanuel Macron sur la dangerosité du virus dès la fin de l'année 2019.

     

    Selon l'hebdomadaire satirique, le Quai d'Orsay et l'Elysée ont reçu "en décembre" des informations "alarmantes dont ils n'ont tenu aucun compte". Une information que dément le palais Bourbon : cette information est remontée au Quai d'Orsay via le consul de France à Wuhan et en aucun cas le président n'a été directement saisi, relève le ministère des Affaires étrangères.

    Un bilan d'abord loin d'être alarmant

    "Dès que les autorités de Wuhan ont annoncé la nouvelle pneumopathie le 31 décembre 2019, le consul général à Wuhan a alerté, le jour même, le Centre de crise et de soutien du ministère et l'ambassade", à Pékin, précise le Quai. "Plusieurs actualisations de la fiche des Conseils aux voyageurs seront alors effectuées à partir de début janvier", sur la base des informations transmises par le consulat à Wuhan, ajoute le ministère des Affaires étrangères.

    Les autorités chinoises ont fait état le 5 janvier de 59 personnes contaminées, dont sept dans un état grave, poursuit-on au Quai d'Orsay, faisant observer que le bilan est alors loin d'être alarmant. L'ambassade, le consulat et le ministère à Paris ont alors eu des échanges réguliers sur l'évolution de la situation sanitaire à Wuhan, poursuit-on.

    Le 23 janvier, la Chine a fait état de 614 cas de contamination, dont 17 décès, et annoncé la mise de Wuhan sous quarantaine. "Avec le confinement généralisé de la ville de Wuhan le 23 janvier 2020, les opérations de retour des ressortissants français et de leurs ayants droit sont organisées et mises en place dans des délais très rapides, dès le 30 janvier", souligne encore le ministère.

    Plus de 300 personnes ont alors été rapatriées vers la France sur différents vols et placées en quatorzaine dans des centres de vacances en France.

    L'Express

    macron le roi des menteurs !


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  • Les deux hommes, condamnés respectivement à 4 ans et 18 mois de prison, ont abandonné un jeune réfugié afghan dans un terrain vague où il affirme avoir été frappé.

    Deux policiers ont été condamnés mercredi en comparution immédiate à Marseille à quatre ans et à 18 mois de prison pour l'arrestation illégale d'un jeune réfugié afghan, abandonné 30 km plus loin dans un terrain vague où il affirme avoir été frappé.

    Ils ont été incarcérés après le prononcé de cette condamnation pour enlèvement et séquestration, faux et violences volontaires.

     

    Le troisième membre de cet équipage de la CRS autoroutière, une jeune femme, adjointe de sécurité, a écopé d'un an de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Marseille.

    « Le tribunal est parfaitement assuré de la loyauté, de la compétence, du dévouement de la police, nous lui faisons confiance […] mais la contrepartie, c'est que cela ne peut pas souffrir de dérogations et de commissions d'infractions », a déclaré la présidente Céline Ballérini.

    Des caméras de vidéosurveillance avaient filmé l'interpellation musclée de Jamshed, un Afghan de 27 ans, porteur d'un titre de séjour, le 12 avril sur le Vieux-Port de Marseille.

    Soupçonné d'avoir craché sur deux passants

    Les policiers, qui intervenaient dans le cadre du contrôle du confinement, le soupçonnaient d'avoir craché sur deux passants qui lui auraient refusé une cigarette. Il avait été projeté contre le véhicule de police après une clé de bras, puis placé à l'intérieur.

    Selon l'adjointe de sécurité qui a procédé au menottage, le chef de bord, le brigadier Michel Provenzano, 46 ans, « s'est énervé à partir de là ». Les fonctionnaires évoquent des doigts d'honneur et des invectives.

     

    « La première grosse erreur, c'est qu'on aurait dû laisser tomber et le laisser repartir mais on a décidé qu'il ne fallait pas qu'il reste là », a reconnu le conducteur, Mathieu Coelho.

    Devant le tribunal correctionnel où ils comparaissaient à l'issue de leur garde à vue dans les locaux de l'Inspection générale de la police nationale, les policiers ont reconnu les faits, soulignant qu'en raison de la crise sanitaire, ils se seraient « fait rire au nez » s'ils avaient transporté le jeune homme devant un officier de police judiciaire pour outrage.

    « J'ai pété un câble »

    « J'ai pété un câble, on a fait une énorme boulette », a reconnu Michel Provenzano : « On avait ce gars sur les bras, on ne savait pas quoi en faire ».

     

    Le jeune homme avait ensuite été transporté sur un terrain isolé à Châteauneuf-les-Martigues, à une trentaine de kilomètres de Marseille. Sur place, Michel Provenzano dépose dans le vide-poche ses lunettes de soleil et son arme de service « pour ne pas faire de conneries », a-t-il déclaré au tribunal. Derrière une butte, le jeune Afghan aurait alors reçu « un coup de poing ou une gifle », selon l'adjointe de sécurité, mais ces violences sont contestées par ses deux collègues.

    Une fois Jamshed abandonné, Michel Provenzano lâchera : « Ça fait du bien, ça soulage », toujours selon l'adjointe de sécurité. Les deux hommes prennent alors la décision de rédiger un faux procès-verbal indiquant avoir laissé le jeune réfugié à l'Hôtel de police.

    « Un quasi-suicide professionnel »

    La peine de quatre ans de prison, à l'encontre de Michel Provenzano, est supérieure aux trois ans requis par la procureure Virginie Tavanti selon laquelle ces policiers « n'ont pas été dignes de leur uniforme ». La peine de 18 mois de prison ferme infligée à son collègue Mathieu Coelho est quant à elle conforme aux réquisitions.

    Les trois policiers se sont excusés auprès de la victime, à l'audience.

    Me Nicolas Berthier, défenseur de Michel Provenzano, avait évoqué un « quasi-suicide professionnel », appelant le tribunal à « ne pas réduire ce policier à 33 minutes de folie, hors cadre, après 20 ans passés dans les CRS sans aucun incident ».

    Le Parisien

    Faut pas toucher un gentil migrant, il a tous les droits !


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  • Montélimar : Un chat vivant ramassé à la pelle et jeté dans une poubelle, la vidéo fait scandale

    Une vidéo amateur montre un chat vivant mais blessé, qui est ramassé à la pelle par un agent de propreté avant d’être jeté à la poubelle, à Montélimar (Drôme). Des associations de défense des animaux ont annoncé qu’elles allaient déposer plainte.

    Ces images ont été diffusées sur les réseaux sociaux ce mardi après-midi et ont scandalisé de très nombreux internautes. La séquence d’une trentaine de seconde a été tourné depuis un appartement situé dans la rue Quatre Alliances, à Montélimar, vers 6h du matin, rapporte France Bleu.

    Dans cette vidéo, on aperçoit un chat allongé au sol qui semble blessé. Deux agents de propreté s’approchent de l’animal. L’un d’eux utilise alors sa pelle pour le prendre, puis le jette dans la benne à ordures d’un camion.

    Le maire annonce « des mesures disciplinaires »

    « Je viens de prendre connaissance d’une vidéo qui circule. Cette dernière est tout bonnement scandaleuse. Les agents concernés sont en cours d’identification et seront convoqués dans les plus brefs délais afin de prendre des mesures disciplinaires », a réagi le maire de Montélimar, Franck Reynier, sur Twitter ce mardi.

    La ville de Montélimar va également « s’associer » au dépôt de plainte de l’association 30 millions d’amis « afin de faire toute la lumière sur cet acte », indique la commune ce mercredi. « La collectivité va déposer également plainte en son nom », peut-on également lire sur Twitter.


    Le conseiller municipal d’opposition, Salim Bouziane, a dénoncé quant à lui sur Facebook « la cruauté envers un animal, ou maltraitance, alors que nos services disposent des outils pour prendre soin de ce chat en détresse »« En tant qu’élu de la Ville de Montélimar, je condamne fermement cet acte odieux et inhumain », a-t-il ajouté.

    « Il a eu peur de le prendre avec les mains (…) Il aurait du appeler les services vétérinaires »

    Les deux agents concernés par cette vidéo sont des salariés de Véolia, société qui s’occupe du ramassage des ordures dans la commune.

    Le directeur du secteur de la société, Bruno Bertini, explique qu’il « ne cherche pas d’excuse » mais qu’il faut « remettre du contexte »« Il était 6h30, en pleine période de confinement, avec des équipes qui travaillent tous les jours depuis le 17 mars et l’agent ne savait pas comment attraper ce chat agonisant, surement après avoir été percuté par une voiture. Il a eu peur de le prendre avec les mains, parce qu’on parle aussi de transmission du coronavirus par les chats. Donc il n’aurait pas dû faire ça. Il aurait du appeler les services vétérinaires », admet-il à France Bleu.

    « L’agent est très touché, bouleversé par la teneur que ça a pris », ajoute le responsable du secteur qui précise que le félin est décédé quelques minutes après avoir été découvert par les deux agents.

     

    Une pétition récolte près de 50 000 signatures

    L’association L214 a également réagi sur Twitter : « Honteux ! Blessé par une voiture, ce chat agonisant au milieu d’une rue de Montélimar est traité comme un simple déchet ». De son côté, l’association One Voice a annoncé qu’elle souhaitait déposer plainte, tout comme l’association SOS 4 pattes en détresse.

    Une pétition en ligne réclamant « une sanction exemplaire à l’encontre de l’agent municipal » en cause, a déjà récolté près de 50 000 signatures.

    ACTU 17


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  • Après être revenu de cueillette, un Alsacien a consommé pendant plusieurs jours de la colchique cuisinée avec du pesto. Il pensait qu’il s’agissait d’ail des ours et a été intoxiqué mortellement.

    Un Alsacien âgé d’une cinquantaine d’années est mort intoxiqué par la plante qu’il avait cueillie lors d’une sortie en forêt. Il avait ramassé de la colchique en pensant qu’il s’agissait d’ail des ours, rapporte L’Alsace.

    Avec la plante, le quinquagénaire avait cuisiné du pesto qu’il a consommé durant plusieurs jours, sans se douter qu’il était en train de s’intoxiquer gravement. « Cette personne n’avait pas de problèmes de santé particuliers » a précisé la docteure Christine Tournoud, du Centre antipoison Est basé à Nancy, ajoutant que l’homme est décédé le week-end dernier malgré son placement en réanimation.

    Un goût amer qui doit alerter

    Les feuilles de la colchique et de l’ail des ours se ressemblent lorsque les plantes viennent de sortir de terre et qu’elles ne sont pas très hautes, indique l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). En outre, la colchique et l’ail des ours poussent souvent aux mêmes endroits.

    La colchique contient de la colchicine. Il s’agit d’un médicament, employé pour traiter les crises de goutte, qui est toxique en cas de surconsommation, causant alors des troubles digestifs, puis des défaillances cardiaques et respiratoires.

     

    À la différence de l’ail des ours, la colchique présente une amertume notable. Si la plante goûtée est amère, il ne faut pas l’ingérer.

    ACTU 17


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