• Des violences urbaines se sont déroulées durant plusieurs heures dans la nuit de dimanche à lundi, à Argenteuil (Val-d’Oise), suite au décès de Sabri, 18 ans, après un accident de motocross

    Les forces de l’ordre ont été la cible de tirs de mortiers d’artifice à de nombreuses reprises au cours de la nuit, à Argenteuil. Les policiers ont répliqué par des moyens lacrymogènes et par l’intermédiaire de leurs lanceurs de balles de défense (LBD 40).

    Des abribus ont été saccagés et des conteneurs poubelles incendiés. La trentaine d’individus qui ont participé à ces violences ont également placé des barricades à plusieurs endroits.

    Il aurait perdu le contrôle de sa motocross après avoir croisé un véhicule de la BAC

    Ces événements font suite à un accident de motocross qui a coûté la vie à Sabri, 18 ans, ce dimanche vers 2 heures du matin. Le jeune homme roulait sans casque.

    Il a perdu le contrôle de son deux-roues et a percuté un poteau électrique dans une rue d’un quartier pavillonnaire d’Argenteuil. Ce dernier est décédé à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris (XIIIe), à 8 heures ce dimanche a précisé le parquet.

    Au moment de cet accident mortel, un équipage de la Brigade anticriminalité (BAC) d’Ermont se trouvait dans ce même quartier. Les policiers ont croisé le jeune homme à moto selon une source policière citée par 20 minutes« Les policiers n’avaient ni gyrophare, ni pare-soleil de police et ne comptaient pas le contrôler mais peut-être que le jeune homme les a identifiés et a paniqué », indique cette même source.

    Le véhicule de police a poursuivi son chemin et a entendu « un bruit fort », avant de faire marche arrière pour venir voir ce qu’il se passait. Aucun impact n’a été relevé sur la voiture banalisée des fonctionnaires qui doit être expertisée à la demande du parquet.

    Une enquête a été ouverte et confiée à la Direction départementale de la sécurité publique du Val-d’Oise (DDSP 95). Une autopsie va aussi être pratiquée.

    Le père du jeune homme décédé, Khalid Chouhbi, 50 ans, avait lancé un « appel au calme » dans la soirée avant ces violences urbaines, disant « avoir confiance en la justice », rapporte Le Parisien

     

    ACTU 17

    Encore des chances pour la France !


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  • Un adolescent de 17 ans a été tué par balle ce dimanche soir dans le quartier de Planoise à Besançon (Doubs). L’auteur de ce meurtre a pris la fuite.

    Le quartier de Planoise est une nouvelle fois frappé par un drame. Un adolescent âgé de 17 ans a été tué peu avant 20 heures sur l’avenue de l’Île-de-France, d’un coup de feu à bout portant indique L’Est Républicain. La victime a été prise en charge par les secours avant d’être transportée d’urgence à l’hôpital, en vain. Elle a été déclarée morte.

    Le jeune homme était connu des services de police et a été tué d’une balle dans le thorax, alors qu’il se trouvait au pied d’une barre d’immeuble, a indiqué la substitut du procureur de Besançon, Alexia Marquis, à BFMTV.

    Un homme interpellé

    Par ailleurs, un suspect a été interpellé. Il se trouvait dans une voiture avec l’auteur du tir mortel, qui est activement recherché. Les circonstances exactes de cet homicide restent encore à déterminer.

    La scène de crime a été « gelée » et un périmètre de sécurité a été mis en place, afin de permettre aux techniciens de la police technique et scientifique de procéder à des relevés, notamment dans un véhicule blanc resté sur place.

     

    Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la sûreté départementale et de la police judiciaire.

    Des affrontements violents et des fusillades à répétition

    Depuis le mois de novembre dernier, de nombreux affrontements armés entre bandes rivales et plusieurs fusillades sur fond de trafic de drogues se sont produits dans le quartier de Planoise. A la mi-mars, la préfecture du Doubs a instauré un couvre-feu pour les moins de 16 ans, pour lutter contre ces phénomènes.

    Le 8 mars dernier, un homme de 23 ans avait également été abattu en plein centre-ville de Besançon alors qu’il se trouvait au volant d’une voiture. Son passager avait été grièvement blessé. Il s’agirait d’un règlement de compte lié au trafic de stupéfiants.

    ACTU 17

    Trafiquant de drogue est un métier dangereux et leur justice plus expéditive !


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  • Un drame a eu lieu ce samedi en fin d’après-midi, dans une propriété familiale de Garentreville (Seine-et-Marne). Un enfant est tombé accidentellement dans la piscine de ses parents et a été retrouvé inanimé.

    Ce samedi vers 18h45, un petit garçon de 3 ans a été découvert par son père alors qu’il se trouvait inconscient dans la piscine familiale de leur domicile de Garentreville, près de Nemours, rapporte Le Parisien. Immédiatement, le père l’a sorti de l’eau et lui a prodigué un massage cardiaque, tout en alertant les secours.

    Lorsque les sapeurs-pompiers sont arrivés, ils l’ont pris en charge avant qu’il ne soit plongé dans coma artificiel. L’enfant a été héliporté en urgence vers l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). Son pronostic vital était alors engagé.

    Un accident dramatique

    D’après les premières constatations, la piscine était sécurisée par un grillage récemment installé. Le garçonnet faisait la sieste au rez-de-chaussée de la maison pendant que ses parents effectuaient des travaux à l’étage.

    À son réveil, il serait sorti seul dans le jardin de la propriété et serait passé par-dessus le grillage entourant la piscine, à l’aide de l’échelle d’un toboggan disposé à proximité.

     

    ACTU 17

    Pas de la faute des parents, mais c'est un enfant imaginatif !


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  • Le directeur d'un hôpital algérien a été démis de ses fonctions ce dimanche après le décès des suites du Covid-19 d'une médecin de 28 ans, enceinte de huit mois, à qui il avait refusé un congé, une affaire qui a suscité une vive émotion.

     

    A la suite du décès de la docteure Wafa Boudissa et de l'enfant qu'elle portait, le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid a mis fin aux fonctions du directeur de l'hôpital de Ras el Oued (est), une sanction administrative, a indiqué une source proche du dossier qui a requis l'anonymat. Le nom du directeur n'a pas été divulgué.

    Enquête administrative

    Abderrahmane Benbouzid avait ordonné samedi l'ouverture d'une enquête administrative pour déterminer les circonstances du décès de la Dr Boudissa, chargeant, de manière exceptionnelle, l'inspecteur général du ministère de la Santé de mener les investigations. A l'issue de l'enquête, le dossier est susceptible d'être transmis à la justice et, si une faute grave est avérée, le ou les responsables risquent d'être poursuivis pour homicide par négligence, a précisé cette source.

    Agée de 28 ans, cette docteure, morte vendredi, était employée aux urgences chirurgicales de l'établissement public hospitalier de Ras El Oued à Bord Bou Arreridj, à 170 kilomètres au sud-est d'Alger. Dans un reportage télévisé, le ministre de la Santé - en visite à l'hôpital, puis au domicile de la jeune femme - a manifesté son incompréhension devant le fait d'avoir laissé travailler une femme enceinte de huit mois. 

    Vif émoi

    Les collègues de la victime ont fustigé, devant les caméras, les responsables de ce décès et exigé leur départ. Une de ses consoeurs a expliqué que la demande de congé de la Dr Boudissa avait reçu l'appui de tous ses collègues qui avaient signé en bas de sa requête. Son décès a provoqué un vif émoi et un tollé sur les réseaux sociaux, d'autant que la jeune médecin était prioritaire pour bénéficier d'un congé exceptionnel.

    Un décret présidentiel, visant à lutter contre la propagation du Covid-19, stipule que "sont considérées comme prioritaires au titre du congé exceptionnel les femmes enceintes et les femmes élevant des enfants ainsi que les personnes atteintes de maladies chroniques et celles présentant des vulnérabilités médicales".

    Plus de 542 décès ont été recensés en Algérie, selon le Comité scientifique de suivi de l'évolution de la pandémie, dont 19 parmi le personnel médical et paramédical, selon le ministre de la Santé. Quelque 6821 cas de contamination ont été officiellement déclarés.

    BFM.TV

    Pour ce directeur, ce n'était qu'une meuf !


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  • Tout le monde s’interroge sur Macron, il est notre Président et nous sommes en droit de le savoir. Vous allez voir que le doute s’amplifie après le visionnage de cette vidéo. Il a le comportement et les habitudes d’un cocaïnomane, toujours à renifler, se toucher le nez, partir dans des sortes d’hallucinations ou des idées délirantes. Vous allez voir que Macron peut se comparer à un dictateur pour ses tendances à la drogue. A cette époque la cocaïne n’était pas répandue alors mais une autre drogue similaire imitait les effets. C’est vraiment choquant. Nous devons tous réagir au plus vite…..Partagez cette vidéo au maximum pour que tout le monde réagisse, c’est une urgence….


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  • Mexique : un journaliste menacé assassiné en pleine rue

    Un journaliste mexicain, Jorge Armenta, a été assassiné samedi dans le nord du pays, ainsi qu'un policier municipal, portant à trois le nombre de journalistes tués au Mexique depuis le début de l'année, a-t-on appris de source judiciaire.

     

    Le journaliste, directeur de Medios Obson, un média en ligne, a été victime d'une attaque armée à Ciduad Obregon (nord) au cours de laquelle un policier a également été tué et un autre blessé, ont précisé sur Twitter les services du procureur local.

    Jorge Armenta avait reçu des menaces et bénéficiait d'un programme de protection pour les personnes menacées, défenseurs des droits de l’Homme et journalistes, a indiqué à l'AFP Balbina Flores, la représentante au Mexique de Journalistes dans Frontières, une ONG qui chiffre à trois le nombre de journalistes assassinés depuis janvier dans ce pays, un des plus violents de la planète.

    En avril, un journaliste porté disparu avait été retrouvé mort à Acapulco (sud-ouest), et fin mars, une journaliste avait été abattue dans l'Etat de Veracruz (est). Cette journaliste avait dénoncé de multiples menaces de mort et d'agressions de la part de responsables politiques locaux.

    Le Mexique est l'un des pays les plus dangereux de la planète pour les journalistes. Plus d'une centaine d'entre eux ont été assassinés depuis 2000, dont 10 en 2019, selon Reporters sans Frontières.

    "Environ 92% des homicides de journalistes restent impunis dans ce pays", a dénoncé Mme Flores.

    Vendredi, l'ONG avait dénoncé des "négligences" et des "retards" dans le processus judiciaire autour de l'assassinat en 2017 de Javier Valdez, journaliste mexicain et collaborateur de l'AFP.

    "Les négligences des autorités et les retards dans le processus font craindre qu'une fois de plus, les responsables du crime soient impunis", a dénoncé dans un communiqué l'organisation française de défense de la liberté de la presse.

    "Même s'il y a eu quelques avancées, la justice est rendue au compte-gouttes", a-t-elle ajouté.

    Le meurtre du cofondateur de l'hebdomadaire Riodoce et collaborateur du quotidien La Jornada, salué pour ses enquêtes sur le trafic de drogue, avait provoqué une vague d'indignation internationale.

    Javier Valdez a été tué à la sortie de son bureau, après des enquêtes sur l'influence dans sa région natale de réseaux de trafiquants de drogue comme celui d'El Chapo (Joaquin Guzman), qui purge désormais une peine de prison à perpétuité aux Etats-Unis.

    Paris Match

    Population : 126,2 millions (2018) d'origine espagnole !

    Il ne faut pas embêter les trafiquants de drogue !

    Le programme de protection n'a pas été efficace


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  • L’ambassadeur de Chine en Israël retrouvé mort dans sa résidence

    Une enquête est ouverte depuis que le corps du diplomate de 57 ans a été découvert ce dimanche dans sa résidence, près de Tel-Aviv. 

    Du Wei, 57 ans, avait pris ses fonctions en février dernier. L’ambassadeur de Chine en Israël a été retrouvé mort dimanche matin dans sa résidence d’Herzliya, en banlieue de Tel-Aviv.

    Des policiers s’affairent sur place, dans cette villa protégée d’un muret et ornée d’une plaque indiquant qu’il s’agit de la « résidence officielle » de l’ambassadeur. Pour l’instant, les enquêteurs ne disent rien sur les causes possibles ou les circonstances du décès du diplomate, dont la femme et le fils n’étaient pas en Israël avec lui.

    Pas de commentaires côté chinois pour l’instant

    Le ministère chinois des Affaires étrangères a indiqué de son côté qu’il ne ferait de commentaires que lorsqu’il serait en possession d’« informations solides ».

    Du Wei avait été ambassadeur en Ukraine avant de prendre ses fonctions en Israël. A son arrivée en février, il était resté en quarantaine à son domicile en raison de la pandémie de nouveau coronavirus, avait-il indiqué dans un entretien publié début mai dans un journal israélien.

    Sa mission s’inscrivait dans le cadre d’un accroissement des investissements chinois en Israël, contraignant l’Etat hébreu à un difficile exercice d’équilibre en pleine guerre commerciale entre Pékin et Washington, son principal allié. Les Etats-Unis font notamment sentir avec insistance à Israël leurs inquiétudes devant la part grandissante des investissements chinois dans le domaine des infrastructures et dans des secteurs sensibles comme la haute technologie.

    Le Parisien

    On a l'impression que les chinois veulent diriger le monde !


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  • Nord : Trente gendarmes mobilisés pour mettre fin à une rixe entre voisins

    Un conflit de voisinage a dégénéré près de Cambrai, on compte sept blessés dont un dans un état grave

    Premier samedi de déconfinement sous tension au Cateau-Cambrésis, dans le Nord. Les secours sont intervenus en fin d’après-midi pour une rixe entre voisins. Plusieurs personnes ont été blessées a-t-on appris auprès des pompiers.

     

    L’alerte a été donnée peu après 19h, samedi. Selon la gendarmerie, un violent conflit de voisinage s’est transformé en une bagarre opposant de nombreux individus. Les raisons de cette animosité entre voisins n’ont pas encore été déterminées. En revanche, le bilan de l’intervention est lourd.

    Un homme héliporté au centre hospitalier de Lille

    Selon les pompiers, sept personnes ont été blessées. Un homme, plus sérieusement touché, a dû être médicalisé sur place avant d’être héliporté au centre hospitalier de Lille dans un état grave.

    Pour calmer la tension, ce ne sont pas moins de trente gendarmes qui ont été dépêchés sur place. En plus des militaires du Cateau, des renforts sont venus de Valenciennes, du Quesnoy, de Landrecies et d’Avesnes-sur-Helpe.

    Une enquête a été ouverte pas la brigade de gendarmerie du Cateau-Cambrésis pour tenter de comprendre les motivations des belligérants et déterminer les responsabilités. Les gendarmes appellent aussi au calme après une « soirée particulièrement mouvementée dans tout l’arrondissement. »

    20 Minutes


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  • En intervenant pour un feu de véhicule, les pompiers ont fait une macabre découverte à Beaufort-en-Vallée (Maine-et-Loire), ce samedi.

    Une dizaine de pompiers de Beaufort-en-Vallée près d’Angers ont été déployés, ce samedi vers 7 heures du matin, pour éteindre l’incendie d’une camionnette dans le jardin d’une maison située route de l’Izenelle. Mais sur place, ils ont constaté qu’elle était aménagée en camping-car et ils ont découvert trois corps inanimés à l’intérieur, rapporte Ouest-France.

    « Deux personnes, dont les sexes et les identités sont encore à déterminer, ainsi qu’un chien ont été retrouvés à l’intérieur », a indiqué la substitut du procureur de la République de Saumur Caroline Labbé.

     

    Les gendarmes ont été dépêchés sur place et ont débuté les investigations. Les techniciens de l’identification criminelle ont procédé aux constatations et ont évalué que les causes de ce drame pourraient être accidentelles.

    En attente des conclusions de l’expert incendie

    Une soirée festive avait eu lieu la veille, dans l’enceinte de la propriété où se trouvait la camionnette, a déclaré la magistrate, ajoutant : « Pour l’heure, nous ignorons si les victimes étaient propriétaires du véhicule ».

    Les enquêteurs sont en attente des conclusions de l’expert incendie. Les corps ont été pris en charge et transportés à l’Institut médico-légal (IML) d’Angers. Les résultats des autopsies ne devraient pas être connus avant lundi.

    ACTU 17


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  • Plutôt que de filer après leur cambriolage, deux voleurs ont fait le choix de rester tranquillement dans la réserve du commerce pour boire de l’alcool. Ils ont été interpellés sur le fait.

    Dans la nuit de mercredi à jeudi, deux cambrioleurs ont pénétré par effraction dans une station-service située sur l’avenue Gabriel-Péri, à Vaulx-en-Velin (Rhône). Pour accéder à la réserve, ils ont employé les grands moyens. Le duo a détruit une cloison et une porte, avant d’accéder à la marchandise convoitée, rapporte Le Progrès.

    Mais contre toute attente, une fois leur sombre projet accompli, ils se sont accordés une petite pause sur place et ont commencé à consommer de l’alcool. Comme ils auraient dû le prévoir, vers 4h40 des policiers sont arrivés et les ont interpellés. Pourtant, tous deux ont une liste impressionnante d’antécédents judiciaires, qui montrent qu’ils ne sont pas des débutants.

    36 antécédents pour l’un des deux voleurs

    L’un des deux hommes, un sans domicile fixe de 41 ans, avait déjà eu affaire à la police à 36 reprises. L’autre, un habitant de Rillieux âgé de 36 ans, était déjà connu pour dix faits.

    Lors de leurs investigations, les policiers ont constaté que l’ADN du quadragénaire avait déjà été retrouvé sur les lieux de deux autres cambriolages, commis à Lyon en septembre 2019 et en juin 2016. Il devra s’en expliquer également

    Les deux acolytes devaient être déférés au parquet ce vendredi, en vue d’une comparution immédiate.

    ACTU 17


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  • Une dispute s’est terminée à coups de couteau à Longpont-sur-Orge (Essonne). Un homme a été grièvement blessé par son voisin. Des problèmes de tapage seraient à l’origine des faits.

    La situation a dégénéré entre deux voisins d’une maison divisée en six petits studios, qui se situe dans la rue du Perray, à Longpont-sur-Orge. Un homme âgé de 29 ans a porté au total 18 coups de couteau à la victime qui est son voisin de palier raconte Le Parisien. Des faits qui se sont déroulés le week-end dernier, dans la nuit de samedi à dimanche, vers 00h50.

    La victime a été retrouvée dans la rue. Grièvement blessée, elle a été prise en charge par les secours et conduite d’urgence à l’hôpital Georges-Pompidou à Paris (XVe). Son pronostic vital n’est plus engagé. L’homme a été touché au thorax et à un bras notamment.

     

    L’auteur des coups de couteau s’est présenté de lui-même au commissariat d’Arpajon. Il a reconnu les faits et a présenté le couteau qu’il avait utilisé aux forces de l’ordre. Lors de sa garde à vue, il a détaillé aux enquêteurs que cette violente agression faisait suite à deux mois durant lesquels il avait subi du tapage de la part de la victime.

    « Ce n’était pas le voisin avec qui il s’était le plus disputé »

    Selon une voisine interrogée par le quotidien, le mis en cause ne supportait pas les bruits du voisinage, comme la musique ou le bruit du déplacement des meubles. « Depuis le confinement, les disputes se sont nettement accentuées », détaille-t-elle. L’homme aurait également menacé les résidents à plusieurs reprises. Des altercations se produisaient parfois sur le parking privé. « Ce n’était pas le voisin avec qui il s’était le plus disputé », ajoute l’habitante.

     

    Dans ses déclarations aux enquêteurs, le mis en cause a affirmé qu’il avait été « bousculé par la victime », indique le parquet. Il a aussi raconté que les « coups seraient partis alors qu’il tentait de se défendre ».

    Placé sous contrôle judiciaire

    L’homme de 29 ans, qui n’a jamais été condamné par le passé, a été déféré au parquet d’Evry-Courcouronnes ce mardi. Il a été remis en liberté sous contrôle judiciaire, avec pour obligation de s’installer loin du département de l’Essonne. Une information judiciaire pour tentative de meurtre a été ouverte.

    En outre, il a également l’obligation de soigner ses problèmes liés au cannabis et a interdiction d’entrer en contact avec la victime et les témoins.

    ACTU 17


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  • Un syndicat de police réclame des poursuites après les insultes d’une candidate des «Marseillais»

    Le syndicat de police Unité SGP-FO a saisi le ministre de l’Intérieur ce samedi dans un communiqué, suite à la diffusion d’une vidéo d’une candidate de l’émission «Les Marseillais», dans laquelle elle insulte des policiers. L’organisation syndicale souhaite que Christophe Castaner dépose plainte.

    La séquence n’est pas passée inaperçue. Alix Desmoineaux, candidate de l’émission «Les Marseillais» sur la chaîne W9, a diffusé cette semaine sur son compte Instagram, suivi par 1,8 million de personnes, une vidéo où on l’aperçoit dans une voiture.

    Sur ces images publiées dans sa « story », cette dernière qui est âgée de 26 ans s’en prend verbalement à des policiers qui sont en train de réaliser un contrôle : « C’est fou de toujours contrôler des Noirs et des Arabes, bande de fils de pute. Désolée pour la vulgarité ». 

    La jeune femme fait actuellement partie du casting de la dernière saison de la téléréalité diffusée en ce moment sur W9, intitulée « Les Marseillais aux Caraïbes ».

    « Ce sont avant tout des propos délictueux à l’encontre de notre institution »

    Dans un communiqué, le syndicat Unité SGP-FO demande à Christophe Castaner de déposer plainte. « Je ne peux pas accepter la diffusion de tels propos sur les réseaux sociaux, ces derniers mettant en exergue la haine à l’encontre des forces de l’ordre, laissant ainsi penser que ce ne sont que des propos vulgaires alors que ce sont avant tout des propos délictueux à l’encontre de notre institution et de celles et ceux qui la représentent », a écrit le Secrétaire général de l’organisation syndicale de gardiens de la paix et gradés, Yves Lefebvre.

    Ce dernier demande au ministre « de tout mettre en œuvre pour rechercher et interpeller les auteurs de ces publications absolument intolérables » et de déposer plainte pour qu’ils soient « traduits devant la justice pour outrage et incitation à la haine contre les représentants des forces de l’ordre ».

     ACTU 17


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  • En quelques mois de relations, c'est au moins la troisième fois qu'il s'en prend physiquement à sa compagne...

    Et dimanche dernier, il aurait même pu la tuer. Ce vendredi après-midi, un homme de 33 ans a été déféré devant le parquet de Meaux pour violence avec arme par destination, en l'occurrence une voiture, et doit être placé, dans la soirée, en détention provisoire en attendant son jugement prévu en juillet.

    Dimanche dernier vers minuit, le couple circule en voiture rue Pierre-Brasseur, à Meaux, et stationne à proximité de l'entreprise BASF. Une dispute éclate et ils sortent de la voiture. Là, l'homme s'en prend violemment à sa compagne. Coups de poings et coups de pieds pleuvent sur cette femme de 25 ans, domiciliée dans une commune voisine de Meaux.

    Interpellé dans l'Eure

    L'homme remonte même dans sa voiture et fait une marche arrière pour percuter sa compagne à faible allure. Elle chute une première fois au sol. Il réenclenche la marche avant et percute à nouveau la femme au niveau des jambes. Elle est cette fois projetée à trois mètres. Des témoins préviennent la police et l'homme prend la fuite. A l'arrivée des forces de l'ordre, la femme, sonnée, souffre de plusieurs hématomes. Une ITT de moins de huit jours lui a été prescrite.

     

    Le lendemain, elle dépose plainte et les policiers du commissariat de Meaux se mettent sur la piste du compagnon violent, qui n'a pas d'adresse connue et se trouve en situation irrégulière. Il est finalement identifié grâce à la téléphonie et interpellé mercredi, dans le département de l'Eure, par des gendarmes.

    Placé en garde à vue à Meaux, il ne reconnaît d'abord les faits avant d'avouer du bout des lèvres face aux images vidéo qui l'incriminent. Deux autres faits de violences conjugales sur la même victime lui ont aussi été imputés ces deux derniers mois. Il est déjà connu de la justice pour des faits similaires. La victime, placée sous curatelle renforcée, était elle déjà connue en tant que victime de violences conjugales.

    Le Parisien

    Ce type devrait etre expulsé !


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