• Coronavirus: Sibeth Ndiaye affirme que "le gouvernement a été dans une transparence totale"

    Si la porte-parole du gouvernement "regrette" que certains Français pensent que des informations auraient été sciemment cachées, elle affirme qu'ils ont "confiance" dans les mesures sanitaires décidées par les autorités .

    Non, l’Etat n'a pas caché la moindre information durant la crise du coronavirus. C'est en tout cas ce que martèle ce vendredi matin Sibeth Ndiaye, invitée d'Europe 1. !

    Pour la porte-parole du gouvernement, lLe gouvernement a été depuis le début de cette crise dans une transparence totale, y compris quand cela pouvait politiquement nous desservir", a-t-elle affirmé en évoquant notamment la délicate et polémique question des masques !

    "Nous avons dit très clairement de quoi nous disposions comme quantité de masques, c'était 117 millions de masques non périmés à la date du début de la crise, nous en avons fait la communication."

    Sibeth Ndiaye a ensuite défendu la gestion de la crise par le gouvernement au sujet des dépistages. "Nous avons dit systématiquement le nombre de tests qui pouvaient être réalisés dans notre pays, et comment nous augmentions progressivement notre capacité de tests", avant d'ajouter: "Nous avons fait aussi, parfaitement, la transparence sur le nombre de décédés à la l'hôpital, en Ehpad, en ville." !

    "Les Français ont confiance" !

    Dans un sondage réalisé par l'Ifop et dévoilé le 10 avril, 81% des interrogés ont estimé que le gouvernement avait sciemment caché des informations face à la propagation du coronavirus. Un résultat que "regrette" et réfute la porte-parole du gouvernement, jugeant au contraire pouvoir s'appuyer sur le soutien des citoyens: "Il n'y a pas eu d'arrangements avec la vérité (...) nous avons systématiquement été dans la transparence vis-à-vis des Français, parce que nous estimons que la confiance qu'ils nous accordent est le bien le plus précieux que nous ayons pour gérer correctement cette crise." !

    Elle a poursuivi: "C'est parce que les Français ont confiance dans les mesures sanitaires qui sont prises, qu'ils considèrent que ce sont de bonnes mesures sanitaires, qu'ils sont capables de les respecter, et au fond d'avoir ce civisme et cette responsabilité individuelle qui feront qu'ensemble nous allons réussir ce déconfinement, comme nous avons réussi le confinement."

    Rappelant qu'"il y a aussi une vérité scientifique" en perpétuelle évolution" depuis le découverte du Covid-19, Sibeth Ndiaye a refusé pour autant de se défausser "d'aucune responsabilité" ce qui est "d'ailleurs la position du gouvernement". Mais, a-t-elle ajouté pour conclure, "il faut bien admettre que nos connaissances sur la maladie évoluent, qu'il faut bien s'adapter, et qu'il y a aujourd'hui encore des choses que nous ne connaissons pas".

    BFM.TV

    Quelle menteuse cette conne de meuf !

    Mais elle avait bien prévenu qu'elle était capable de mentir pour défendre son cher macron !


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  • Christine Kelly à nouveau victime de menaces, elle pousse un coup de gueule

     

    La chroniqueuse dans Balance ton post et animatrice de Face à l'info sur C News  a posté un message inquétant.

    "Qui que vous soyez, merci de bien vouloir arrêter vos intimidations personnelles par message, par courrier ou whatsapp pour me faire arrêter mon métier. La démocratie et l’éducation c’est le respect de l’autre avant tout. Merci à tous les autres". Ce message inquiétant a été publiée par Christine Kelly, chroniqueuse dans Balance ton post et animatrice de Face à l'info sur CNews, mercredi 6 mai. 

     

    Qui que vous soyez, merci de bien vouloir arrêter vos intimidations personnelles par message, par courrier ou whatsapp pour me faire arrêter mon métier.

    La démocratie et l'éducation c'est le respect de l'autre avant tout.

    Merci à tous les autres.

    — Christine KELLY (@christine_kelly) May 6, 2020

    Des propos qui ont fait réagir de nombreux internautes. Mais ce n'est hélas pas la première fois que Christine Kelly dénonce les menaces qu'elle reçoit : en novembre dernier, l'ancienne membre du CSA avait lancé un appel à l'aide : "Qui a déjà survécu à des mois ou semaines de menaces de mort en travaillant ? Merci pour vos #temoignages . Ça peut aider". Elle avait reçu notamment le soutien de Marlène Schiappa, secrétaire d'Etat pour l'égalité entre les femmes et les hommes & contre les discriminations : "Chère Christine, avez vous déposé plainte ? C’est inadmissible cette situation et pas tenable psychologiquement, pour personne". 

     

    Depuis la rentrée 2019, Christine Kelly est la présentatrice de Face à l'info, sur CNews, où elle est notamment en compagnie du polémiste Eric Zemmour, victime d'une agression il y a quelques jours. L'émission est régulièrement pointée du doigt pour les propos tenus par l'ancien chroniqueur de On n'est pas couché.

    Victoire Chailloux  Télé 7 jours 


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  • Quelques dizaines de députés pourraient former ce 9e groupe, dénommé "Ecologie démocratie solidarité" autour de Matthieu Orphelin, ou encore Cédric Villani.

    L'hypothèse d'un prochain 9e groupe politique à l'Assemblée, composé de "marcheurs", d'ex-"marcheurs" et aussi d'élus attachés à l'écologie, a ressurgi vendredi, sur fond de risque pour LREM de perdre la majorité absolue. Selon Les Echos, quelques dizaines de députés seraient sur le point de former ce 9e groupe - un record - dénommé "Ecologie démocratie solidarité", autour de Matthieu Orphelin (ex-LREM proche de Nicolas Hulot), Aurélien Taché (LREM) et encore possiblement Cédric Villani (toujours membre du groupe LREM).

     

    La députée Martine Wonner, seule élue LREM à avoir voté contre la stratégie de déconfinement du gouvernement, a été exclue du groupe majoritaire mercredi, accélérant les spéculations autour de cette nouvelle formation, en pleine crise sanitaire. Mais cette membre de l'aile gauche a indiqué à l'AFP ne pas en être à ce stade.

    Après son exclusion, les députés LREM et apparentés, présidés par Gilles Le Gendre, comptent désormais 296 membres, contre 314 au début de la législature. La majorité absolue est à 289 sièges. Les départs ont été réguliers, sur fond de conflits sur la ligne ou de désaccord pour les municipales. L'initiative en gestation "soldera la mauvaise gestion politique et individuelle du groupe" LREM, tacle un député macroniste.

    "Ce n'est pas un coup dur pour Macron"

    Le nouveau groupe pourrait compter une vingtaine de membres, des non-inscrits, quelques LREM, Libertés et territoires voire PS, selon Claire Pitollat, une élue LREM pressentie, qui juge cependant qu'"en plein déconfinement, ça ne (lui) semble pas opportun" de le lancer. Selon elle, il s'agit par cette initiative de "faire vivre la diversité de la majorité", tandis que d'autres sont dans une ligne moins coopérative avec l'exécutif.

    Un cadre de la majorité éreinte déjà un "groupe de bric et de broc pour essayer d'exister, un groupe d'orphelins". Il y voit "finalement une clarification utile de députés qui ne s'étaient pas habitués au dépassement" droite-gauche promu par Emmanuel Macron.

    Et selon cette source, "la majorité absolue est un peu un faux sujet car avec le soutien constant du Modem (et) l'appui solide d'Agir, la majorité dans son ensemble est largement assurée". "Ce n'est pas un coup dur pour Emmanuel Macron", assure encore ce proche de l'Elysée, estimant que les dissidents potentiels "ne semblent pas dans l'opposition frontale".

    Rupture de confiance

    Dans un message adressé aux "marcheurs" peu après la parution de l'article des Echos, Gilles Le Gendre fait état d'une "émotion bien compréhensible" créée au sein du groupe majoritaire. Invitant à "la plus grande prudence" faute d'"annonce officielle", il juge toutefois que l'initiative, si elle se confirmait, "constituerait une double rupture de confiance" envers le président de la République et les électeurs, selon ce message consulté par l'AFP.

    "Neuvième groupe ou pas, le gouvernement pourra toujours compter sur une majorité forte pour conduire sa politique", ajoute-t-il, notant que "toute tentative de division ferait obstacle à ce que les Français attendent aujourd'hui de leurs dirigeants".

    L'Express


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  •  L’homme a été tué par arme à feu en pleine journée alors qu’il faisait son jogging

    P. Diddy, Justin Timberlake, Taylor Swift, LeBron James, Olivia Wilde, Ava DuVernay, Pedro Pascal, Snoop Dogg… C’est la liste – non exhaustive – des célébrités à avoir mis en lumière l’assassinat d’Ahmaud Arbery, un afro-américain de 25 ans, survenu en pleine rue alors qu’il faisait son jogging. Deux hommes blancs lui ont tiré dessus dans la journée du 23 février dernier dans la ville de Brunswick, en Géorgie (Etats-Unis).

    regory McMichael, 64 ans, et son fils, Travis, 34 ans, avaient argué dans un premier temps l’avoir pris pour un cambrioleur, avoir pris leurs armes et être montés dans leur pick-up pour l’arrêter. Ils auraient agi, selon eux, en état de légitime défense. Une explication suffisante pour la police qui n’avait alors pas engagé de poursuites contre eux.

    Comme le relaye la BBC, les officiers ont annoncé à la mère de la victime, Wanda Cooper Jones, que son fils avait été impliqué dans un cambriolage et était décédé. Seulement, une vidéo de l’assaut et des derniers instants de la victime, prise avec un téléphone portable par un voisin, a fait surface.

    Inculpés pour meurtre

    Sur cette vidéo, on peut voir le père et le fils attendre Ahmaud Arbery qui faisait son jogging en plein jour dans la rue. En arrivant au niveau du pick-up par l’arrière, la victime est semble-t-il prise à partie par l’un des deux assaillants armé qui lui tire dessus.

    Cette vidéo est devenue virale, notamment lorsque des célébrités, comme P. Diddy qui l’a diffusée sur son compte Instagram, se sont emparées de l’affaire cette semaine. D’autres ont inondé les réseaux sociaux de messages demandant « justice pour Ahmaud Arbery ».

    Hier, soit plus de deux mois après les faits, Gregory et Travis McMichael ont été placés en garde à vue et inculpés pour meurtre et voie de fait grave, ainsi que l’a annoncé dans un communiqué le Bureau d’Investigation de Géorgie. L’avocat de la famille d’Ahmaud Arbery, Benjamin Crump, a dénoncé une « exécution horrible ». Il a également affirmé que les deux inculpés n’ont pas été inquiétés en premier lieu, parce que Gregory McMichael a servi en tant que policier puis inspecteur pour le procureur pendant plus de 30 ans.

    20 minutes


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  • "Lors de la séance des questions à l'Assemblée, le Gouvernement, champion des Fake News, a été embarrassé par l'interpellation d'une députée concernant le "Ministère de la vérité" qu'il vient de mettre en place pour trier les informations ! Si le ridicule tuait, il n'y aurait plus de gouvernement depuis longtemps...."


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  • CHANTOUVIVELAVIE ; BONJOUR - SAMEDI 09 05 2020


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  • Bravo le chat


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  • Un nourrisson de 5 mois est mort empoisonné dans le courant du mois d’avril. Sa mère a avoué lui avoir mortellement administré ses propres médicaments pour le cœur, tout en affirmant ne pas avoir eu de mauvaises intentions.

    Une habitante de Chaumont-en-Vexin (Oise) a été mise en examen le 27 avril pour « empoisonnement » après la mort de son bébé de 5 mois, relate Le Parisien. La jeune femme âgée de 23 ans a été placée en détention provisoire.

    Le procureur de la République de Senlis, Jean-Baptiste Bladier, a indiqué que « les examens ont démontré que l’enfant est décédé des suites de l’administration d’un médicament destiné aux pathologies cardiaques et qui était prescrit à la mère ». L’autopsie a mis en évidence la présence d’une concentration importante de ce médicament dans l’organisme du nourrisson. Une concentration qui aurait été létale pour un adulte.

    La mère assure avoir été animée de bonnes intentions

    Le drame s’est produit à la mi-avril au sein d’un établissement hospitalier de Rouen (Seine-Maritime). Le nourrisson y était hospitalisé, et l’administration de la substance médicamenteuse aurait été effectuée durant une visite de la mère, a précisé le magistrat. Le bébé est décédé à l’hôpital.

    Lors de ses auditions par les enquêteurs, la mère de l’enfant a affirmé avoir procédé à une automédication en voulant « bien faire », étant elle-même atteinte d’une maladie génétique.

     

    Toutefois, la personnalité de la mise en cause et le nombre de doses administrées ont poussé les autorités à douter de sa version des faits. L’enquête se poursuit pour faire la lumière sur ce drame. En attendant, la mère de famille a été incarcérée.

    ACTU 17

    La salope, 10 ou 20 ans de prison !


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  • Confinement : Les policiers municipaux piégés par un épouvantail sur la plage de Cabourg

    Après la poupée gonflable installée sur une plage de l’Hérault, c’est à Cabourg (Calvados) que les forces de l’ordre ont été trompées par un plaisantin.

    Lorsqu’ils ont aperçu cet homme en train de pêcher tranquillement, installé sur la plage de Cabourg ce jeudi, les policiers municipaux sont intervenus. Mais le contrôle du confinement s’est arrêté tout net. Les fonctionnaires n’avaient pas affaire à un pêcheur mais à un épouvantail déposé là pour les piéger.

    Taquin, l’habitant qui a fait cette blague aux policiers avait pensé à tout : canne à pêche, chaise et même canettes de bière. Le piège, qui a parfaitement fonctionné, a bien fait rire les amis du plaisantin, mais pas uniquement. Publiées sur les réseaux sociaux, les photos sont devenues virales et ont redonné le sourire à nombre d’internautes.

    Une poupée gonflable sur une plage de l’Hérault

    Cette blague n’est pas sans rappeler la poupée gonflable installée sur la plage de Carnon (Hérault) qui avait attiré une patrouille de motards de la gendarmerie, qui pensait avoir affaire à une contrevenante, dimanche dernier.

    Pas rancuniers, les gendarmes de l’Hérault avaient publié une photo de la poupée gonflable, à leur tour sur leur compte Twitter officiel, avec un commentaire : « En surveillance des plages, les gendarmes ont porté secours à une poupée abandonnée par son propriétaire ».

    ACTU 17


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  • C’est une décision de justice qui a irrité les syndicats de policiers

    Deux jeunes hommes âgés de 19 et 20 ans qui habitent à Villeurbanne, dans la métropole de Lyon, ont été jugés par le tribunal correctionnel ce mercredi. Le 30 avril dernier, les deux prévenus avaient décidé de ne pas respecter les mesures de confinement et s’étaient rendus dans la chambre d’un de leur ami, dans un foyer, raconte LyonMag.

    Une fête bruyante avait débuté et la direction de l’établissement avait alors décidé de faire appel à la police. Lorsqu’ils étaient arrivés dans la chambre, les policiers avaient été insultés, frappés et avaient aussi reçu des crachats ainsi que des projectiles, de la part des deux visiteurs qui avaient été interpellés. Leur ami âgé de 17 ans avait pour sa part tenter d’arrêter les deux agresseurs.

    6 mois de sursis étaient requis

    Les deux prévenus ont présenté leurs excuses aux fonctionnaires au cours de l’audience. L’un a affirmé qu’il était « tendu » à cause du ramadan. Des paroles qui n’ont pas convaincu la procureure de la République qui a requis 6 mois de prison avec sursis à l’encontre des deux jeunes hommes.

    Le tribunal en a décidé autrement et a infligé un stage de citoyenneté aux deux prévenus, qui n’avaient jamais été condamnés auparavant. Ces derniers sont ressortis libres.

    « C’est avec des décisions aussi désastreuses que le lien se fissure entre les policiers et la justice« 

    Une décision difficile à comprendre pour les syndicats de policiers. « Énième agression contre des forces de l’ordre non sanctionnée. Petit à petit, les policiers ne croient plus en la justice, impitoyable uniquement avec eux… », a réagi la déléguée nationale du syndicat Unité SGP Police FO, Linda Kebbab, sur Twitter.

    « C’est avec des décisions aussi désastreuses que le lien se fissure entre les policiers et la justice« , s’est exclamé le syndicat Synergie-Officiers sur le même réseau social. De son côté, le syndicat des cadres de la sécurité intérieure (SCSI) évoque une « dramatique banalisation des violences contres les forces de l’ordre »

    ACTU 17


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  • Une violence gratuite, souvent de Maghrébins, toutes les 40 secondes

    C’est ce que révèle le psychiatre pour enfant et adolescent Maurice Berger dans une interview récente à la radio.

    LIEN de l'article :

    https://ripostelaique.com/une-violence-gratuite-souvent-de-maghrebins-toutes-les-40-secondes.html 


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  • "Le président de la République n’écoute plus personne, ivre de sa toute-puissance dans cette séquence historique. Occuper la scène est devenu une obsession pour lui. Quitte à flinguer tous ceux qui lui font de l’ombre. À commencer, bien sûr, par Édouard Philippe."

     


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  • J'en ai pleuré à la fin mais ça finit bien !


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