• Vive Edith Piaf, la plus grande chanteuse de tous les temps. Elle n'avait pas besoin de se mettre à poil !!!


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  • CHANTOUVIVEAVIE : BONJOUR et AU REVOIR 02 09 2021

    J'ai décidé d'arrêter mon blog !

    Je remercie ma fidèle Fripouille, caramel, Nath, Poumo-thorax et toutes celles et ceux qui sont venu(e)s de mettre quelques commentaires.

    Je vous souhaite le meilleur pour l'avenir.


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    Passez une bonne soirée


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  • Pérou : un autocar plonge dans un ravin, plus de 30 morts

    Au moins 32 personnes ont été tuées, dont deux enfants, et 22 autres blessées lorsqu’un autocar a plongé dans un ravin tôt mardi dans le centre du Pérou, ont annoncé les secours et la police. Un premier bilan faisait état de 17 morts, rapidement porté à 26 puis à 29 décès.

    C’est le troisième accident faisant un nombre important de victimes ces quatre derniers jours au Pérou. L’autocar transportait 63 passagers et avait quitté Huanuco (nord-est) pour se rendre à Lima.

    « Malheureusement, nous avons dégagé 32 corps », a annoncé le commandant de la police César Cervantes, selon lequel « l’imprudence » est à l’origine de l’accident, le conducteur « roulait à grande vitesse ». Parmi les victimes figurent deux enfants de trois et six ans. Le chauffeur qui conduisait au moment de l’accident est décédé, le second chauffeur a été placé en garde à vue.

     

    Plus tôt, le major Freddy Loarte, qui dirige les secours, avait annoncé qu’une grue était attendue pour déplacer le bus et désincarcérer des victimes.

    Accidents très fréquents

    Dimanche, 22 personnes, selon un nouveau bilan diffusé également mardi, sont mortes et un nombre inconnu de personnes sont toujours portées disparues après la collision de deux bateaux sur une rivière de l’Amazonie péruvienne. Un des bateaux transportait plus de 80 personnes alors que sa jauge maximale était de 30 places.

    Deux jours plus tôt, un autocar avait plongé dans un ravin dans le sud-est du pays, tuant 17 personnes.

    Les accidents de la circulation sont très fréquents au Pérou en raison des excès liés à la vitesse, du mauvais état des routes, de l’absence de signalisation et des faibles contrôles par les autorités.

    Le Parisien


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  • Romane Bohringer : que devient son père Richard Bohringer ?

    Affaibli par un cancer ces dernières années, Richard Bohringer va mieux. Le père de Romane, attendue dans "Ils étaient dix" mardi 31 août sur M6, sera même au théâtre et à la télévision à la rentrée.

    Sa voix rocailleuse, reconnaissable entre mille, s'était faite plus discrète. Mais après quelques années d'ombre et de lutte contre un cancer du système lymphatique, Richard Bohringer peut enfin retrouver pleinement sa vie de comédien. "Il a été vaillant, a récemment salué sa fille Romane, au casting de la série Ils étaient dix diffusée mardi sur M6. On avait une certaine inquiétude à cause de son âge (79 ans), etc. Mais il s'est bien sûr protégé", a-t-elle confié à Télé Star, où elle a raconté avoir tourné avec son père dans l'adaptation en série de son film L'Amour flou, durant l'épidémie de Covid.

     

    Cette rentrée s'annonce donc comme une forme de renaissance pour Richard Bohringer : en plus de jouer son spectacle Traîne pas trop sous la pluie, dans plusieurs villes de France en septembre, l'acteur césarisé est attendu dans la série policière Syndrome E, inspirée du roman de Franck Thilliez, avec Vincent Elbaz et Emmanuelle Béart sur TF1, et dans le film Les Héroïques au mois de novembre. De quoi ravir ses admirateurs et bien sûr sa fille Romane, sa fan numéro un.

    D'autant que c'est le travail qui lui a aussi permis de vaincre la maladie. "Je crois énormément aux vertus du théâtre, confiait l'ex de Philippe Rebbot à Gala en 2019. Quand il était en voie de rémission, on jouait ensemble dans J'avais un beau ballon rouge. Lors des premières représentations, je l'ai vu très fragile, puis se déployer, retrouver toute sa force. Il était porté par son courage, sa force, la médecine et le public", avait-elle expliqué à l'époque, fière de ce "sacré combattant."

    Gala


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  • Un vautour disparaît dans la Vienne, il est retrouvé deux jours plus tard à près de 400 km

    Illustration

    Jeudi 26 août, un vautour a disparu dans la Vienne. Il a été retrouvé sain et sauf deux jours plus tard, à près de 400 km dans les Landes, notamment grâce à un appel lancé sur les réseaux sociaux.

    Alors qu’il participait à un spectacle de fauconnerie à Chauvigny (Vienne), un vautour a disparu jeudi 26 août. « On l’a cherché toute la nuit du mercredi et une partie de la journée du jeudi mais il n’était plus là, alors on a mis un post sur Facebook », a expliqué Simon Thuriet, le gérant du spectacle de fauconnerie, à Sud Ouest.

    Finalement, Mescal a été retrouvé deux jours plus tard, bien loin de chez lui, à près de 400 km. Un jeune homme en service civique au Centre de soins de la faune sauvage Alca Torda, à Pouydesseaux (Landes), a reçu un appel des pompiers, lui indiquant qu’une femme venait de découvrir un vautour sur son toit, racontent nos confrères.

    « Ça a été un soulagement »

    Le jeune homme a ensuite alerté son cercle de relations proches et a réussi à entrer en contact avec une personne du site de Chauvigny. Photo à l’appui, l’identité du vautour a été confirmée et Simon Thuriet s’est ensuite précipité sur place pour récupérer l’animal.

    « Ça a été un soulagement de le voir. Comme il a un rapport de confiance avec nous, dès qu’il nous a vus, il est venu vers nous », a affirmé le gérant du spectacle au quotidien régional. Selon lui, le vautour a été pris dans un courant d’air chaud et était déjà loin de son territoire quand il en est sorti.

    Ouest-France


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  • Intervention spéciale ce mardi 31 août à Saint-Malo-de-Guersac (Loire-Atlantique), près de Saint-Nazaire. Une équipe spécialisée de pompiers a récupéré douze serpents, dont huit boas.

    Surprise pour un huissier venu procéder à l’expulsion d’un locataire de la petite commune de Saint-Malo-de-Guersac (Loire-Atlantique), ce mardi 31 août. En entrant dans l’appartement, il découvre que le locataire est propriétaire d’un vivarium abritant une joyeuse colonie.

    Douze serpents dont la réputation n’est plus à faire : huit boas constrictors, trois pythons et un serpent « Roi ». Les gendarmes qui accompagnaient la démarche de l’huissier ont sollicité l’intervention du service spécialisé dans la prise en charge des « nouveaux animaux de compagnie », une cellule du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis).

    Les reptiles confiés au Muséum d’histoire naturelle de Nantes

    Trois pompiers ont récupéré sans difficulté les animaux, qui ont été confiés au Muséum d’histoire naturelle de Nantes. Une enquête a été ouverte pour identifier avec précision les spécimens et les conditions de leur acquisition. Selon les premiers éléments, il ne s’agit pas d’espèces protégées, mais les conditions d’acquisition et leur nombre pourraient valoir au propriétaire des contraventions.

    Pour le Sdis, cette opération particulière est l’occasion de rappeler la spécificité de cette équipe spécialisée : « composées de trente sapeurs-pompiers répartis sur tout le département et d’un vétérinaire sapeur-pompier en astreinte, ils assurent une permanence 24h/24h. »

    Ouest-France


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  • Emmanuel Macron à Marseille : quels « dossiers chauds » va-t-il mettre sur la table ?

    Le président de la République passe trois jours à Marseille, du 1er au 3 septembre, pour dévoiler un plan d’urgence dont l’ambition est de guérir les maux de la deuxième ville de France et en faire une « capitale de la Méditerranée ».

    Emmanuel Macron pose ses valises à Marseille. Du mercredi 1er au vendredi 3 septembre, le président de la République vient au chevet de la cité phocéenne, qui fait régulièrement parler d’elle pour des affaires de trafic de drogue et de règlements de comptes.

    De l’éducation à la sécurité, en passant par les transports, la rénovation urbaine ou l’environnement, le chef de l’État va se pencher sur « les fragilités » de Marseille durant sa visite, la plus longue dans une seule ville depuis le début de son quinquennat, en mai 2017.

    Mais « Paris ne vient pas gérer Marseille », assure l’Élysée, en faisant allusion à la rivalité traditionnelle entre les deux cités. « L’État vient appuyer les projets des collectivités territoriales », représentées par le nouveau maire socialiste de Marseille Benoît Payan et la présidente de la métropole Martine Vassal (LR).

    « L’État a un rôle à jouer, pas pour venir nous faire l’aumône, aider ou sauver Marseille, mais pour qu’on fabrique quelque chose ensemble », selon Benoît Payan, qui avait présenté ses priorités en mars à l’Élysée.

    Sept membres du gouvernement avec le Président

    Accompagné par sept membres du gouvernement, Emmanuel Macron devrait donc annoncer jeudi un engagement financier de l’État de plusieurs centaines de millions d’euros, en particulier dans le plan de rénovation de plus de 200 des 472 écoles de la ville.

    Préfabriqués parfois installés depuis des années, ou, dans certains établissements, rats dans les salles de classe, toit qui s’effondre ou punaises de lit dans les dortoirs : « Les écoles sont indignes de la République », résume Benoît Payan, qui évalue à 1,2 milliard d’euros les besoins de financement de la première tranche.

    Emmanuel Macron s’exprimera sur le dossier en participant jeudi 2 septembre à la rentrée dans une école du XIIIe arrondissement, dans le nord de la ville.

    La lutte contre les trafics comme priorité

    Dans ces quartiers populaires, il s’entretiendra aussi avec des habitants sur la situation sécuritaire après une série de règlements de compte sanglants liés au trafic de drogue.

    « C’est la mère de toutes les batailles », a récemment affirmé sur place le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, en annonçant le renfort prochain de 300 policiers dans les Bouches-du-Rhône.

    Mais pour Benoît Payan, « il manque 800 policiers » et il faut davantage de spécialistes de « la police scientifique, financière et judiciaire ».

    Transports et environnement

    Au cours de sa visite, Emmanuel Macron va également faire des annonces sur le déficit criant de transports collectifs à Marseille – qui ne compte que deux lignes de métro pour 900 000 habitants dans la ville et près de 1,6 million dans l’agglomération -, sur la réhabilitation des logements insalubres deux ans après le drame de la rue d’Aubagne, et sur la situation sanitaire.

    La dernière journée, vendredi 3 septembre, sera consacrée à l’environnement avec une sortie en mer dans le parc des Calanques et l’ouverture du Congrès mondial de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), qui se tient à Marseille jusqu’au 11 septembre.

    Amoureux de Marseille et de l’OM

    Bien qu’originaire de Picardie, Emmanuel Macron n’a jamais caché son amour de Marseille, qu’il décrit comme « une ville extraordinairement attachante » dans un récent entretien au magazine Zadig.

    Ce supporter de l’OM s’y montre optimiste pour l’avenir de la deuxième ville de France : « La décennie qui vient transformera Marseille et fera d’elle une capitale de la Méditerranée ». Car les conditions de sa « réinvention » sont là avec « une créativité extraordinaire, une jeunesse saisissante, une espèce de puissance ».

    C’est une ville qui « n’est pas la ville qu’elle devrait être véritablement : elle doit avoir un rôle dans le pays, elle doit avoir un rôle en Méditerranée », abonde Benoît Payan.

    La présidentielle 2022 en toile de fond

    Sur le plan politique, ce déplacement intervient dans le cadre d’une rentrée d’initiatives tous azimuts pour le chef de l’État avec l’espoir de commencer à tourner enfin la page du Covid, à huit mois de l’élection présidentielle.

    D’ici à la fin de septembre, il entend monter en première ligne sur les dossiers de la relance, de la sécurité et de la jeunesse, alors que, à droite comme à gauche, toute l’attention est portée sur la sélection des candidats au scrutin d’avril.

    Ouest-France


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  • "J'ai une petite surprise pour vous" : Eric Zemmour reçoit un cadeau insolite de la part de Christine Kelly dans Face à l'info

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    Ce mardi 31 août, Christine Kelly présentait un nouveau numéro de son émission aux côtés d'Eric Zemmour. La journaliste a annoncé plusieurs débats : l'un sur l'expansionnisme chinois, l'autre sur la démographie française en pleine "mutation" selon la chaîne info et enfin un dernier sur les mesures qui vont être annoncées par Emmanuel Macron à Marseille. À la fin du programme, la présentatrice a décidé de fêter comme il se doit l'anniversaire de son chroniqueur en lui offrant plusieurs cadeaux.

    "J'ai une petite surprise pour vous"

    "C'est votre anniversaire et j'ai une petite surprise pour vous", a-t-elle dit à son interlocuteur avant de lui offrir un tee-shirt avec écrit "D'Artagnan", qui est son surnom dans l'émission. Très heureux, le polémiste a remercié la journaliste avant que cette dernière lui offre d'autres présents pour le moins insolites. Elle a donc sorti des chapeaux de mousquetaires, ce qui a fait beaucoup rire les chroniqueurs. Comblé, Eric Zemmour a mis son nouveau couvre-chef sur la tête et Christine Kelly a donc rendu l'antenne dans la bonne humeur générale !

    Télé-Loisirs.fr


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  • Disparition du petit Mathis Jouanneau : depuis 10 ans, son père refuse de dire où il se trouve

    Le 2 septembre 2011, il y a 10 ans, le jeune Mathis, alors âgé de 8 ans, était enlevé par son père. Sa famille n'a eu aucune nouvelle depuis.

    Volatilisé. Est-il mort ou vivant? Toujours en France ou à l'étranger? Pour la mère et les proches du petit Mathis, ces interrogations restent sans réponse. Le 2 septembre 2011, son père enlevait l'enfant à Caen. Divorcé de son épouse et disposant d'un droit de visite et d'hébergement, Sylvain Jouanneau doit récupérer son fils pour le week-end, à la sortie de l'école. Le couple, séparé en 2007, se déchire autour de la garde de l'enfant. À la fin du week-end, il ne revient pas au domicile de son ex-épouse déposer Mathis. Inquiète, elle se rend au commissariat. Elle explique aux policiers que le père de Mathias est instable mentalement, qu'il a déjà effectué plusieurs séjours en hôpital psychiatrique. Comme le rapporte le Journal de Saône-et-Loire mardi 30 août 2021, les policiers pensent d'abord à un litige d'ordre familial, écartant la piste de l'enlèvement.

    Le père dit avoir confié l'enfant à ses "frères musulmans"

    Pourtant, le lendemain, les recherches commencent et une enquête est ouverte pour manquement aux obligations familiales et soustraction d'enfant. Le téléphone est géolocalisé à Bayonne puis dans les Landes, avant d'être éteint. Le 8 septembre, les parents de Sylvain Jouanneau reçoivent un courrier, posté depuis Bayonne, où leur fils admet avoir enlevé Mathis. Il aurait entre-temps menti à son fils, lui expliquant que sa mère et son compagnon étaient décédés dans un accident de voiture, et qu'il devait rester avec lui pour ne pas être placé en famille d'accueil. Mais c'est bien près de Caen que les enquêteurs retrouvent, le 9 septembre, le camping-car du ravisseur. Il y aurait séjourné brièvement avec son fils. À bord, le cartable du gamin et le passeport de son père sont retrouvés. Aucun signe de violence n'est décelé dans le véhicule. Détail intrigant. Lorsque la police met la main sur la voiture du père de Mathis, un ticket de caisse d'une librairie normande, récupéré dans l'habitacle, permet de découvrir qu'il a acheté trois livres sur l'enseignement du Coran destiné aux enfants. Converti à l'islam, Sylvain Jouanneau avait refait sa vie et épousé religieusement une femme au Maroc.

    L'homme sera finalement retrouvé en décembre, près d'Avignon et arrêté. Mutique, il refuse de dire où se trouve Mathis, concédant juste l'avoir confié à ses "frères musulmans", à l'étranger. Jugé en 2015, il est condamné à 20 ans de réclusion criminelle et incarcéré. L'enfant, aujourd'hui âgé de 18 ans, reste introuvable. Sa mère a lancé un comité de soutien et une pétition. Elle a fait réaliser des portraits vieillis de son fils. Du côté de l'enquête, les investigations des enquêteurs se poursuivent pour retrouver la trace de Mathis, mort ou vivant.

    Femme Actuelle

    Disparition du petit Mathis Jouanneau : depuis 10 ans, son père refuse de dire où il se trouve


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  • A New York, un puma gardé comme un animal de compagnie retiré à ses propriétaires

    "Un puma sauvage n'est pas un animal domestique": avec ce message, les autorités new-yorkaises ont annoncé avoir retiré une femelle cougar qui vivait dans un domicile du Bronx pour le remettre à un refuge dans l'Etat de l'Arkansas.

    Cette délicate opération, qui a impliqué la police de New York, le service de protection de l'environnement de l'Etat de New York, ainsi que les équipes du zoo du quartier du Bronx, où l'animal a été provisoirement transféré, a pu se dérouler jeudi soir sans difficulté, ont indiqué les différentes entités dans un communiqué commun avec l'association Humane Society of the United States.

    "Sasha", selon le nom que lui avaient donné ses propriétaires, âgé de 11 mois et pesant environ 36 kilos, "a eu de la chance, que ses propriétaires aient reconnu qu'un tel félin sauvage n'était pas fait pour vivre dans un appartement ou tout autre environnement domestique", a expliqué Kelly Donithan, en charge des désastres liés aux animaux à la Humane Society.

    "Je n'ai jamais vu de couguar à l'état sauvage, mais j'en ai vu en laisse, enfermés dans des cages, et pleurant après leur mère lorsque des éleveurs les leur arrachent. J'ai également vu le cœur brisé des propriétaires, comme dans ce cas, après qu'on leur ait vendu non seulement un animal sauvage, mais aussi le faux rêve qu'ils pourraient en faire un bon +animal de compagnie+", a-t-elle ajouté.

    Aucun détail n'a été donné sur le lieu où a été trouvé l'animal et sur les conditions dans lesquelles il a atterri dans un appartement, ni sur d'éventuelles poursuites contre le ou les propriétaires, la police précisant que "l'affaire était en cours d'investigation".

    Le puma a été transféré au zoo du Bronx avant de quitter New York pour Turpentine Creek, un refuge pour animaux sauvages dans l'Arkansas. Ce type d'événement a déjà des précédents à New York, rappelle la Humane Society of the United States, qui a insisté pour que la législation en vigueur soit renforcée. En 2003, la police de New York avait retiré un tigre d'un appartement de Harlem, et en 2004 un enfant avait été attaqué par le léopard de son père dans le comté de Suffolk.

    De plus, le zoo du Bronx doit régulièrement répondre à des appels d'urgence pour fournir de l'antivenin à des personnes mordues par des serpents sauvages, rappelle l'association.

    AFP


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  • © US ARMY / REUTERS Le major-général Christopher Donahue est le dernier soldat américain à avoir quitté l'Afghanistan. 

    Une photo pour l'Histoire : 20 ans après, le dernier soldat américain quitte l'Afghanistan

    Le 15 août dernier, quelques heures seulement après la prise de Kaboul, l'image de l'intérieur d'un C-17 américain rempli de passagers assis à même le sol avait fait le tour du monde. Symbole de l'évacuation chaotique de la ville, cette photo restera dans les annales comme l'illustration d'une déroute majeure pour les États-Unis. C'est également à bord d'un C-17 que s'est conclu ce chapitre douloureux, parfois surréaliste. Lundi 30 août dans la soirée, le dernier avion américain a quitté le tarmac de l'aéroport de Kaboul, avec quelques heures d'avance sur la date butoir, laissant derrière lui 20 ans de guerre contre les talibans et 2400 soldats morts au combat.

    De cet instant, restera une autre image : celle, captée en vision nocturne, de l'ultime soldat américain à fouler le sol afghan, juste avant de monter à bord de l'avion de transport. Casqué, arme à la main, visage fermé et tête basse, laissant derrière lui les hangars mal éclairés de l'aéroport, le major-général Christopher Donahue semble traduire à lui seul la résignation de la puissante armée des États-Unis. Sa solitude aussi. «Le dernier soldat américain à quitter l'Afghanistan : le major-général Chris Donahue, commandant de la 82ème division aéroportée, embarque dans un C-17 de l'US Air Force, le 30 août 2021, mettant fin à la mission des États-Unis à Kaboul», a laconiquement tweeté le Pentagone, en partageant la photo historique.

    Le général Donahue, symbole d'un fiasco

    Quelques heures plus tard, le 18ème corps aéroporté américain, auquel il appartient, a salué «le courage, la discipline et l'empathie» de ses troupes, au cours d'une mission «incroyablement compliquée et remplie de difficultés multiples». Christopher Donahue est, lui, le dernier des 775.000 soldats américains engagés en Afghanistan depuis 2001. Âgé de 52 ans, il avait été déployé dans le pays ce mois-ci, pour aider à sécuriser l'aéroport, souligne le média américain USA Today. Ancien conseiller spécial des chefs d'état-major interarmées du Pentagone, ce général deux étoiles a notamment dirigé le Joint Special Operations Command (JSOC), qui coordonne les unités de forces spéciales des différentes branches de l'armée américaine. Au cours de sa longue carrière, débutée en 1992, il a été déployé pas moins de 17 fois en Afghanistan, en Irak, en Syrie, en Afrique du Nord et en Europe de l'Est.

    En publiant cette photo de mauvaise qualité, teintée de vert, le Pentagone a sciemment choisi d'en faire un symbole. Le major-général Donahue restera ainsi dans l'Histoire comme la dernière illustration d'un humiliant retrait, statué le 29 février 2020 lors des accords de Doha. À cette occasion, Américains et talibans avaient convenu d'un départ définitif de l'armée des États-Unis du territoire afghan. La date butoir du 31 août avait ensuite été imposée comme un ultimatum par les insurgés. À 23h59, le 30 août, Washington a mis fin au chaos déclenché par la prise de Kaboul, le 15 août dernier. Au total, quelque 123.000 civils ont été évacués depuis par les États-Unis, dans le plus grand désordre.

    «Une grande leçon pour d'autres envahisseurs»

    À Kaboul, l'ambiance festive de la ville tranchait avec celle de l'aéroport, dans la nuit de lundi à mardi. Quelques minutes après le décollage du dernier C-17, les talibans ont tiré plusieurs feux d'artifice et se sont félicités d'une victoire qui «marque l'Histoire» de leur pays.

    «C'est une grande leçon pour d'autres envahisseurs et pour notre future génération », ainsi que « pour le monde», a lancé le porte-parole des talibans, Zabihullah Mujahid, en guise d'ultime affront. Ce matin, sur la route qui mène à l'aéroport, leurs combattants ne cachaient pas leur joie, souriant et serrant les mains des chauffeurs et passagers, a constaté un journaliste de l'AFP. Les islamistes sont désormais seuls maîtres du pays.

    Le Figaro


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  • L'été indien (revue de presse parodique)


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  • Un homme âgé de 27 ans en situation irrégulière en France est accusé d’avoir tenté de tuer sa petite amie de 22 ans à Limoges (Haute-Vienne), qui lui aurait annoncé son intention de mettre fin à leur relation. Il aurait violemment frappé la victime avant d’incendier son appartement et de prendre la fuite.

    Les secours ont été alertés peu après 22 heures vendredi soir pour un incendie qui s’était déclaré dans un appartement, impasse Saint-Exupéry dans le centre de Limoges. Les policiers ont pris contact avec une jeune femme de 22 ans qui habite le logement concerné et qui venait d’être prise en charge par les sapeurs-pompiers.

    Elle aurait expliqué avoir été victime d’une violente agression de la part de son compagnon, un ressortissant algérien de 27 ans en situation irrégulière sur le territoire selon une source proche de l’enquête. Cette dernière présentait des contusions sur le corps et a été conduite à l’hôpital sans que ses jours ne soient en danger.

    La victime frappée avec une barre de fer

    La victime est venue déposer plainte au commissariat un peu plus tard dans la nuit, vers 4 heures. Elle aurait alors raconté avoir annoncé à son petit ami sa volonté de mettre fin à la relation qui avait débuté il y a deux mois, alors que le couple vivait ensemble dans cet appartement en location. Une nouvelle qui aurait provoqué la vive colère de cet homme, qui aurait alors menacé de tout détruire. La jeune femme aurait été rouée de coups, notamment de barre de fer, avant d’être poussée dans l’escalier et de chuter. Des témoins seraient intervenus pour mettre fin à cette violente agression.

    Le mis en cause aurait alors versé un liquide inflammable sur le lit dans l’habitation, avant d’y mettre le feu et de prendre la fuite. L’important incendie, qui a été circonscrit par les pompiers peu avant minuit, a détruit le logement et cinq autres habitants ont dû être relogés.

    Interpellé à la gare le lendemain

    Le suspect, recherché par la police, a été interpellé samedi matin vers 10 heures à la gare SNCF de la ville alors qu’il allait prendre un train. Cet homme qui est déjà connu des services de police a été placé en garde à vue. Le commissariat de la ville est en charge du dossier.

    ACTU 17

    Que faisait encore cet algérien en France ? On ne sait pas expulser en France !

    Limoges : Il roue de coups sa petite amie qui souhaite rompre et incendie leur appartement


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  • Arrêté près de Tours (Indre-et-Loire), un chauffeur routier marocain a été mis en examen fin juillet, avant d’être écroué dans l’attente de la suite des investigations dans cette affaire d’importation de résine de cannabis.

    Les enquêteurs de la police judiciaire d’Orléans tentent depuis bientôt un mois d’identifier les commanditaires de ce chauffeur routier marocain. Cet homme, âgé de 33 ans, a été interpellé le 30 juillet sur l’autoroute A10 au niveau de l’aire de la Longue vue (Indre-et-Loire), avec une somme de près de 176 000 euros.

    Vers 09h45, ce sont les douaniers qui ont interpellé le conducteur de cet ensemble routier marocain qui venait d’Allemagne. Les agents ont mis la main dans la cabine du camionneur sur ces billets de banque conditionnés dans des sacs plastique thermosoudés.

    Il nie puis livre sa version des faits

    Le suspect a été placé en garde à vue dans les locaux du service de police judiciaire de Tours. « Dans un premier temps, il a tout nié, précise une source proche du dossier puis il a livré sa version des faits ». Le professionnel du transport a confié aux enquêteurs que ce sac lui avait été remis à Ris-Orangis (Essonne) par un homme âgé d’environ trente ans. « Il s’exprimait avec un accent provenant des montagnes du Rif marocain et il l’avait contacté avec une ligne téléphonique espagnole », précise-t-il.

    L’analyse du téléphone du chauffeur a permis de comprendre qu’il échangeait avec son patron en arabe, sur la messagerie WhatsApp. Le suspect qui a été placé en détention provisoire après sa mise en examen, est inconnu de la police et la justice française. Il réside à Tanger (Maroc).

    La résine de cannabis consommée dans l’hexagone vient principalement du Maroc. Les cultivateurs y sont installés dans des fermes du Rif et sont intouchables pour la police française. Le kilo y est vendu entre 1000 et 1500 euros selon sa qualité avant d’être négocié aux alentours de 3000 euros en région parisienne. La quantité de cannabis importée en France serait de plus de 1000 tonnes par an.

    ACTU 17


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  • Un homme a été tué d’une balle en pleine tête après avoir acheté de la cocaïne avec des faux billets. Se sachant recherché, son meurtrier présumé s’est rendu en début de semaine et a été écroué.

    Le drame s’est noué le 17 août dernier, à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis). Ce jour-là, peu avant 13 heures, plusieurs coups de feu éclatent à hauteur du 8 rue de la Chasse.

    Rapidement alertés, pompiers et policiers se pressent sur la scène des faits : deux voitures se font face, à l’arrêt. A l’intérieur d’une Volkswagen Golf noire, les secours découvrent un homme inanimé, présentant une importante blessure au niveau de la tête. Le passager du même véhicule est, lui, en état de choc. Après avoir retrouvé ses esprits, il explique qu’il se trouvait avec son beau-frère au volant de la Golf lorsque le conducteur d’une Volkswagen Tiguan s’est porté à leur hauteur et que l’un des occupants a tiré dans leur direction.

    Très grièvement blessé par une balle en pleine tête, Patrick M., 36 ans, originaire du Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), est transporté en urgence absolue à l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière à Paris (XIIIe). Quelques heures après son admission, il a succombé à ses blessures.

    Son beau-frère, Nail H., 27 ans, est rapidement placé en garde à vue dans les locaux du service départemental de police judiciaire (SDPJ) du 93. Les policiers comprennent vite que les tirs qui ont atteint la victime, ont été concomitants à une transaction de drogue. Le passager de la Golf, après avoir livré plusieurs versions, a confié que son beau-frère l’avait sollicité pour récupérer de la cocaïne auprès de trafiquants. Mais la victime avait décidé de « carotter » ses fournisseurs en réglant son achat avec un lot de faux billets de 50€, acheté sur Amazon

    Près de 34 000 euros en faux billets et un revolver

    Après s’être aperçus de la supercherie, les trafiquants ont rattrapé leurs clients avant de faire feu. Les enquêteurs de la PJ ont d’ailleurs récupéré 800 grammes de cocaïne conditionnés sous forme d’ovules ainsi qu’un revolver Smith & Wesson, calibre 38, approvisionné de six cartouches, appartenant à la victime, à proximité de la scène de crime. Ils ont également découvert la somme de 33 950 euros en faux billets de 50€ dans la Tiguan abandonnée derrière eux par les trafiquants.

    Se sachant recherché, l’auteur présumé du meurtre s’est finalement livré à la police en début de semaine. Né en Guyane, âgé de 26 ans et domicilié à Sevran, il a été mis en examen puis écroué. De son côté, Nail H. a été mis en examen pour trafic de drogue avant d’être placé sous contrôle judiciaire. Le parquet a fait appel de cette décision. Sollicité, l’avocat du mis en cause, Me Manuel Abitbol, n’a pas souhaité s’exprimer.

    ACTU 17


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