• Cinq plaintes ont déjà été déposées

    Une collégienne de Saône ( Doubs) a témoigné à la police avoir été agressée sexuellement par le mari de sa nounou pendant plusieurs mois, alors qu’elle était gardée au domicile du couple. Elle évoque des attouchements sexuels répétés et une pénétration digitale à l’âge de 9 ans. La grande sœur de la collégienne, désormais majeure, a elle aussi confié, à la suite du témoignage de sa cadette, avoir été victime d’attouchements de la part du même homme lorsqu’elle était en primaire.

     

    Mais les témoignages ne s’arrêtent pas là. Alors qu’une enquête et une information judiciaire ont été lancées à la suite de ces déclarations, une troisième jeune fille a signalé avoir elle aussi été victime de l’homme, comme la petite-fille du suspect désormais âgée de 15 ans, selon L’Est Républicain. L’homme a été mis en examen et placé en détention provisoire le 4 août.

    Depuis, une nouvelle victime s’est fait connaître, pour un total de cinq plaintes déposées, même si les enquêteurs sont persuadés que ce n’est pas fini : la femme du suspect ayant été nounou pendant une vingtaine d’années. L’individu a nié les faits reprochés. Selon les témoignages, sa femme, aujourd’hui décédée, ne semblait pas au courant des agissements de son mari.

    20 Minutes


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  • C'est une découverte quelque peu morbide qu'ont faite des policiers sur une sexagénaire à Liévin, dans le Pas-de-Calais. Comme le relatent La Voix du Nord et France Bleu, c'est l'alerte donnée par une famille mardi 24 août qui a permis d'arrêter une voleuse particulière. Présents au funérarium de Liévin pour se recueillir, les proches d'une femme récemment décédée ne se sont pas méfiés quand une personne s'est présentée et leur a assuré être une amie de la défunte.

    Après l'avoir laissée seule dans la pièce, ils ont constaté à leur retour que plusieurs bijoux (collier, boucles d'oreilles, bague) avaient été subtilisés sur la dépouille. Alertés, les policiers ont rapidement retrouvé la suspecte, non loin du funérarium. Ils ont retrouvé sur elle les bijoux volés, mais également le portefeuille d'un autre défunt reposant au funérarium de Liévin, lui aussi victime d'un vol en début de journée. La perquisition menée au domicile de cette femme, née en 1961 selon Le Réveil de Berck, s'est révélée fructueuse pour les forces de l'ordre.

    En plus de différents avis de décès, les policiers ont retrouvé des codes d'accès permettant aux familles d'accéder au funérarium en dehors des heures de visite. Il n'est pas précisé si d'autres biens ne lui appartenant pas ont été découverts, alors que les bijoux volés mardi 24 août ont été restitués à la famille. La femme est suspectée d'avoir agi dans différentes chambres funéraires de la région. Une enquête a été ouverte et est toujours en cours. La suspecte devra s'expliquer devant la justice : elle est convoquée devant le tribunal de Béthune le 8 juillet 2022.

    Le Point


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  • Des escrocs, parfois bien informés sur l'entourage de leurs victimes, leur demandent de venir mettre à l'abri leurs bijoux pendant les vacances.

    Gare à la nouvelle arnaque qui sévit depuis quelques jours dans le Calvados. Comme le rapporte Actuf.fr Normandie, la police alerte contre une nouvelle escroquerie dont sont victimes les personnes âgées notamment. Les escrocs parviennent à tromper la confiance et la vigilance de leurs victimes en leur demandant si elles peuvent garder leurs bijoux chez elles.

    Leur technique est simple. En arrivant chez les personnes âgées, les escrocs affirment être des voisins ou des "parents d'une connaissance", puis leur demandent de garder leurs effets personnels précieux avant leur départ en vacances. "Je peux les mettre dans votre cachette", demandent parfois les arnaqueurs avec évidemment comme dessein, la volonté de connaître l'endroit où leurs victimes cachent leurs propres effets.

    Des patrouilles pour sensibiliser

    Malheureusement, la plupart du temps, les personnes non vigilantes s'exécutent et montrent leurs cachettes croyant en la bonne foi de leurs interlocuteurs. Mais cela permet aux malfaiteurs de s'emparer d'argent en liquide ou de bijoux sans qu'ils s'en rendent compte rapidement. Quand ils sont partis, il est souvent trop tard.

     

    À Caen (Calvados), les policiers et les gendarmes n'hésitent pas à patrouiller chez les commerçants pour sensibiliser les personnes âgées à l'aide de flyers et leur conseiller la plus grande vigilance face à ce genre de cas. Cet été, les escroqueries se sont multipliées dans tout l'Hexagone, que ce soit celle à l'horodateur, pour la livraison de colis, aux pneus crevés ou aux camping-cars. Le plus souvent, les malfaiteurs s'en prennent aux personnes les plus vulnérables.

    Capital


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  • Espagne. Colère de la population après la mort de millions de poissons asphyxiés par les nitrates

    Plusieurs milliers de personnes se sont réunies près de la mer Mineure pour dénoncer les pratiques agricoles dangereuses et l’usage de produits chimiques ayant un impact sur la biodiversité.

    Des dizaines de milliers de personnes ont formé samedi en signe de deuil une chaîne humaine autour de la mer Mineure, une lagune salée dans le sud-est de l’Espagne où des tonnes de poissons sont morts des suites d’une pollution aux nitrates agricoles, ont indiqué les organisateurs et des responsables de la région.

    Les images des poissons morts, privés d’oxygène par cette pollution et cette atteinte à l’environnement, ont fait la une des médias espagnols et traumatisé l’opinion publique.

    De gigantesques files d’habitants se tenant par la main et auxquels se sont joints des touristes, beaucoup en tenue de plage, se sont formées le long de la plage d’Alcazares, qui s’étire sur six kilomètres sur les rivages de la lagune, d’une longueur de 73 km, selon des images de la manifestation.

    Les organisateurs ont estimé à 70 000 le nombre de participants. « C’était une manifestation de deuil pour la mort des animaux… nous avons voulu que les gens leur demandent d’une manière ou d’une autre pardon pour la barbarie que nous leur avons infligée », a déclaré à l’AFP Jesus Cutillas, l’un des organisateurs.

    « Depuis des jours, nous avons assisté à la mort de millions et de millions de poissons et voir toutes ces morts inutiles blesse », a-t-il souligné.

    L’objectif de cette action était de « montrer notre détermination pour que cela ne se reproduise plus jamais », a-t-il expliqué.

    De nombreux participants étaient en noir tandis que d’autres brandissaient des pancartes avec l’inscription : « SOS Mar Menor ».

    Pratiques illégales

    Selon les scientifiques, la principale cause du manque d’oxygène est l’arrivée dans la lagune de centaines de tonnes de nitrates utilisés comme fertilisants par l’agriculture intensive, qui favorisent la croissance d’algues asphyxiant l’écosystème aquatique, un phénomène appelé eutrophisation.

    Lundi, au septième jour de l’hécatombe, les responsables de la région avaient indiqué que 4,5 à 5 tonnes de poissons avaient été récupérées, mais samedi la quantité de poissons et d’algues ramassée s’élevait à 15 tonnes. « Les 15 tonnes de poissons morts et de biomasse (retirées du rivage) montrent que c’est vraiment une catastrophe environnementale et une urgence. On a besoin d’une aide immédiate pour l’écosystème », a déclaré dans un tweet la maire de la ville voisine de Carthagène Noelia Arroyo.

    La ministre de la Transition écologique, la socialiste Teresa Ribera, qui s’était rendue sur place mercredi, avait accusé le gouvernement régional, aux mains du Parti populaire (droite), de fermer les yeux sur des pratiques agricoles illégales dans la plaine de Carthagène (Campo de Cartagena), une vaste zone d’agriculture intensive.

    Les organisations d’agriculteurs affirment qu’ils respectent scrupuleusement la législation environnementale !

    Ouest-France


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  • Gard : Perdu pendant les vacances, un chien parcourt 380 km pour retrouver sa famille

    BELLE HISTOIRE - Le toutou est rentré dans le Gard, retrouver sa maison

    Catherine et Roger ont retrouvé leur chien, qu’ils avaient perdu. Une belle histoire, mais qui serait tout à fait banale si le toutou n’avait pas parcouru quelque 380 km pour retrouver sa famille, raconte France Bleu Gard Lozère.

    La semaine dernière, de retour d’Italie, ces sexagénaires avaient fait un petit détour par Saint-Martin-Bellevue, en Savoie, avant de reprendre le chemin du Gard, où ils résident. Leur chien, un jadgterrier, va se dégourdir les pattes, comme il en a l’habitude. Mais cette fois, il n’est jamais revenu. « Nous l’avons attendu des heures, raconte Catherine, à la station. Nous avons même passé la nuit sur place, en vain. »

    « Je n’en revenais pas »

    Avant de prendre la route, le couple signale, en mairie, la disparition du chien. Puis se rendent chez des proches, dans l’Ain. Plusieurs jours plus tard, l’une de leurs amies leur envoie un incroyable message : leur toutou est rentré seul à la maison, à Bezouce, dans le Gard, à 380 km de là où le couple avait perdu sa trace. Sur le cliché envoyé par son amie, chargée de garder sa maison, elle avait reconnu leur petit compagnon : « Je n’en revenais pas, c’était un vrai moment de bonheur », poursuit Catherine.

    Pour tenter d’en savoir plus sur l’incroyable périple du toutou, le couple lance un appel, à des témoins, qui l’auraient peut-être croisé entre Saint-Martin-Bellevue et Bezouce.

    20 Minutes


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  • A bas la corrida, les espagnols sont des sauvages !


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  • CHANTOUVIVELAVIE ; BONJOUR - DIMANCHE 29 08 2021


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  • Maître Virginie de Araujo Recchia – Message à l’Armée Française

    LIEN de la video :

    https://crowdbunker.com/v/gFpg2Q4vo6


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  • Le niveau scolaire a baissé ...


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  • Un homme qui se livrait à du rodéo sauvage à moto a percuté une septuagénaire à Toulouse (Haute-Garonne) ce jeudi soir. Cette dernière est décédée malgré l’intervention rapide des secours.

    Une femme âgée de 77 ans a été renversée par un homme qui faisait du rodéo sauvage sur un deux-roues, sur l’avenue du Général-Eisenhower, à proximité du quartier Bellefontaine, selon une source policière.

    La victime a été rapidement prise en charge par les sapeurs-pompiers et le SAMU alors qu’elle était en arrêt cardio-respiratoire. Malheureusement, elle est décédée des suites de ses blessures.

    Placé en garde à vue

    L’homme en cause qui a 24 ans, a été interpellé par la police et placé en garde à vue. D’après nos informations, il est déjà connu des services de police, notamment pour un refus d’obtempérer en février 2020.

    Des tests de dépistage vont être réalisés afin de savoir s’il était alcoolisé ou drogué au moment des faits. Une enquête a été ouverte par le parquet. Les images de vidéosurveillances ainsi que des témoignages ont permis de confirmer que le pilote était en train de faire des roues arrières lorsqu’il a percuté la victime, toujours selon nos informations.

    ACTU 17


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  • Un policier âgé de 24 ans a mis fin à ses jours ce mercredi soir à Perpignan (Pyrénées-Orientales). Affecté à la CRS 51, il était en déplacement.

    C’est un nouveau drame qui touche la police nationale. Un jeune gardien de la paix de 24 ans a été retrouvé mort dans sa chambre d’hôtel ce mercredi soir apprend-on. Il se serait donné la mort avec son arme de service. Le défunt était affecté à la CRS 51 de Saran, près d’Orléans (Loiret) et se trouvait actuellement en déplacement. Il n’aurait pas laissé de mot pour expliquer son terrible geste.

    Ses collègues ont ouvert une cagnotte en ligne sur la plateforme Leetchi pour « lui rendre un dernier hommage en déposant sur sa tombe une gerbe de fleurs ou une plaque funéraire »Elle est accessible ici.

    « Profonde tristesse après le suicide d’un gardien de la paix de la CRS 51. Nous pensons à sa famille, ses proches et ses collègues », a réagi la Police nationale sur Twitter en fin d’après-midi.

    Il s’agirait du 22ème suicide dans les rangs de la police nationale depuis le début de l’année. Début août, un policier de 51 ans affecté à Carpentras (Vaucluse) s’est ôté la vie.

    Le ministère de l’Intérieur a mis en place deux dispositifs pour lutter contre ces tragédies qui touchent durement les policiers. Une ligne d’écoute est disponible pour les fonctionnaires victimes d’agressions ou de menaces au 0800 95 00 17, tous les jours, de 5 heures à 23 heures ; et une cellule de soutien psychologique est aussi ouverte 24h/24 au 0805 230 405. Les appels sont « anonymes, confidentiels et gratuits ».

    De plus, trois associations luttent également contre ces drames à répétition : SOS Policiers en Détresse (PEPS-SOS), Assopol, et Alerte police en souffrance (APS).

    ACTU 17


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  • « J’ai 24 ans, je suis célibataire et j’entends dire que les talibans font la traque des Afghanes célibataires » : une étudiante de Bamiyan, au centre de l’Afghanistan

    © Fournis par Le Monde : Des talibans devant un salon de beauté, dont les affiches représentant des femmes ont été taguées, le 18 août, à Kaboul.

    « J’ai 24 ans, je suis célibataire et j’entends dire que les talibans font la traque des Afghanes célibataires » : une étudiante de Bamiyan, au centre de l’Afghanistan.

    Depuis la prise du pouvoir par les talibans, la jeune Afghane qui habite cette ville de 60 000 habitants s’inquiète des menaces qui pèsent sur son avenir, en tant que femme et membre de la minorité chiite hazara.

    « J’ai peur. J’observe depuis quelques jours que les drapeaux blancs des talibans ont remplacé les drapeaux tricolores de l’Afghanistan.

    Ils sont les nouveaux maîtres de Bamiyan. Ma ville natale, connue pour ses deux bouddhas [détruits en 2001 par les mêmes insurgés], est tombée le 15 août, sans guerre. Le gouverneur a fichu le camp. Depuis, comme beaucoup d’autres Afghanes, je ne sors pas dans la rue. Je suis inquiète pour moi, pour mon avenir. Les talibans, eux, se baladent triomphalement dans la ville, à bord des voitures gouvernementales qu’ils ont saisies. Ils prennent la nourriture des gens par la force. Bamiyan est désormais leur ville, comme tout le reste de l’Afghanistan.

    « Dans mon ordinateur, je n’ai pas encore eu le cœur de supprimer les photos de notre club, sur lesquelles on nous voit, filles et garçons, en train de faire du vélo. Je les ai mises dans un fichier et j’ai choisi l’option “cacher” »

    Je fais partie d’un club de vélo. Dans ce groupe, beaucoup de mes camarades sont déjà partis. Une de mes amies est allée à Kaboul. Je ne sais pas si elle y est toujours. Moralement, je ne vais pas bien. Je n’arrête pas de pleurer. Je me demande si je pourrai continuer à faire du vélo, à étudier. Cette année, j’envisageais de m’entraîner pour faire partie de l’équipe nationale féminine de vélo d’Afghanistan. Et j’avais déjà commencé à étudier l’anglais pour postuler en master de géologie. Avec l’arrivée des talibans, il est très peu probable que nous, les femmes, puissions aller à l’université et travailler.

    J’ai mis tous mes vêtements de sport dans un carton que j’ai dissimulé, pour éviter que les talibans les trouvent, si jamais ils font irruption chez nous. Dans mon ordinateur, je n’ai pas encore eu le cœur de supprimer les photos de notre club, sur lesquelles on nous voit, filles et garçons, en train de faire du vélo. Je les ai mises dans un fichier et j’ai choisi l’option “cacher”. J’ai 24 ans, je suis célibataire et j’entends dire que les talibans font la traque des Afghanes célibataires. Je crains d’être obligée de me marier avec un membre des talibans. Je ne sais pas ce qui m’attend.

    Je suis hazara [minorité chiite en Afghanistan et cible des talibans, islamistes sunnites]. Les talibans ne reconnaissent pas notre obédience. La dernière fois qu’ils ont été au pouvoir [de 1996 à 2001], ils ont massacré de nombreux Hazaras. A l’époque, ma famille s’est réfugiée en Iran.

    De nouveau, nous serons probablement contraints de nous exiler. Déjà, mon frère aîné, qui était employé par une organisation américaine, est parti il y a quelques jours au Pakistan. Il a eu peur à cause de cette rumeur selon laquelle les gens qui ont travaillé pour les étrangers ou pour le gouvernement se feraient arrêter ou tuer par les talibans.

    Je pense aujourd’hui à me réfugier au Pakistan ou en Iran. Mais je n’ai pas de passeport et le bureau des passeports à Kaboul est fermé. La France donne-t-elle des visas ? Quelles sont les conditions ? »

    Le Monde.fr


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  • Paroles
    Et l'on serpente à la surface, négligeable bagatelle
    Candidate forcée à l'hécatombe perpétuelle
    Ouvrons la chasse aux mécréants qui n'ont jamais goûté l'opium
    Sensé faire de nous des hommes et des mères pour nos enfants
    Alors on brûle on brûle on brûle, on accumule autant d'émules
    De peuple en peuple, de ville en ville, pendant que les théocrates dealent.
    Si Dieu existe ? Je n'en sais rien. Quel est le plus beau des jardins ?
    Si par le plus grand des hasards tout ça existe, je ne veux pas le savoir.
    Alors ne me fais pas croire que nous attend la bonne surprise
    J'ai autre chose à faire à voir dans cette vie de friandises
    Ne me laisse pas croire que nous attend la bonne surprise
    Et si jamais tout n'est pas noir, ce ne sera que la cerise.
    Et l'on torture à la surface, le corps, le sexe, la femme, la science
    Et autres formes de connaissances trop dangereuses pour nos systèmes
    Je refuse toute abstinence plutôt que de m'avouer vaincu
    J'invoque ici l'immanence, la transcendance en temps voulu
    Ignorants noyés sous la gnose, prenez-le ou non comme une fronde
    Mais je ne ferais pas de vos névroses, un modèle pour mon monde
    Si Dieu existe, je n'en sais rien, je ne péterais jamais plus haut
    Que le Cul d'aucun de vos Saints, si Dieu existe, rencard à l'échafaud
    Alors ne me fais pas croire que nous attend la bonne surprise,
    J'ai autre chose à faire à voir dans cette vie de friandises,
    Comment pourrais-je boire ces paroles imbibées de bêtises ?
    Pourquoi devrais-je donc m'en vouloir dans cette vie en terre soumise ?
    N'attendons pas plus tard qu'aujourd'hui pour rafler la mise
    Et si enfin tout n'est pas noir, ce ne sera que la cerise.
    Ce ne sera que la cerise, ce ne sera que la cerise.

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