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  • Jean-Paul Belmondo était un grand ami des animaux. Le monstre sacré du cinéma français s'était confié dans l'émission 30 Millions d'Amis, plus touchant que jamais. Il livrait un vibrant plaidoyer contre les abandons... 09 09 2021

    L'hommage de 30 Millions d'Amis à Jean-Paul Belmondo


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  • Un homme sauve miraculeusement un chien d'un ascenseur


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  • Arrêt de Salut les Terriens : C8 condamnée en appel contre Thierry Ardisson

    La chaîne C8 a été condamnée en appel à verser plus de 3 millions d'euros à l'animateur Thierry Ardisson, dans le litige qui les opposait après l'arrêt en 2019 des émissions Salut les Terriens ! et Les Terriens du dimanche !

    La cour d'appel de Paris a condamné C8 à indemniser Thierry Ardisson dans le litige qui oppose l'animateur à la chaîne depuis deux ans. Selon une information du Parisien, C8 va devoir verser un peu plus de 3,8 millions d'euros à l'animateur, auquel il faut ajouter 2,6 millions d'indemnités pour la société Téléparis, dont Thierry Ardisson détient 50% des parts.

    En juin 2019, l'homme en noir avait appris que ses deux émissions du week-end sur C8, Salut les Terriens ! et Les Terriens du dimanche !, n'allaient pas être renouvelées la saison suivante. L'animateur avait donc décidé d'attaquer C8 en justice, estimant être victime d'une rupture abusive de contrat. En première instance, la justice avait condamné C8 à verser 800 000€ à Thierry Ardisson, qui, estimant que ce montant n'était pas suffisant, avait décidé de faire appel. L'animateur, via ses sociétés de production, est pour sa part condamné à verser 50 000€ à C8 "en réparation de la violation de la clause de confidentialité". Contactée, la chaîne n'a pas répondu à nos sollicitations.

    Thierry Ardisson, de retour à la télévision

    Les téléspectateurs vont bientôt retrouver l'homme en noir, mais sur France 3 désormais. Thierry Ardisson va y animer L'Hôtel du temps, un programme d'un genre particulier puisqu'il y interviewera des personnalités décédées. Aidé par la technologie du morphing (qui consiste à remplacer le visage d'une personne par un autre, en utilisant des milliers de photos qui, assemblées, sont censées reproduire le plus fidèlement les traits d'une personne) et par le talent d'imitateurs, Thierry Ardisson va faire revivre le temps d'une interview François Mitterrand, Coluche, Louis de Funès ou encore Lady Diana. Muri pendant deux ans, ce projet avait d'abord été proposé aux plateformes Amazon et Netflix, qui l'ont refusé, avant que Thierry Ardisson ne signe finalement avec France Télévisions.

    Télé-Loisirs.fr

    Arrêt de Salut les Terriens : C8 condamnée en appel contre Thierry Ardisson


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  • Un bon moment de rigolade !

    Laurent Gerra et Fabrice Luchini - chez Michel Drucker  France 2 - 30.09.2012


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  • Renaud s'est confié sur son état de santé au Parisien le mercredi 8 septembre 2021. S'il va mieux depuis qu'il mène une vie plus saine, il souffre actuellement d'un "problème de muscle dans le dos".

    Après quelques frayeurs en matière de santé, Renaud va mieux. "Ça va, ça se maintient", a-t-il déclaré dans une interview au Parisien, publiée le mercredi 8 septembre 2021. En proie à des addictions, il mène désormais une vie plus saine : "J’ai éliminé la clope, je suis passé de soixante par jour à quinze. Je suis accro à la vapoteuse. Et j’ai arrêté définitivement l’alcool depuis six mois. Je suis un homme neuf." Seule ombre au tableau pour celui dont la démarche est qualifiée de "voûtée" par le quotidien, qui l'a interrogé dans le cadre d'une visite de son exposition, Putain d'expo !, lancée en octobre 2020 et prolongée jusqu'au 7 novembre à la Philharmonie de Paris : "J’ai juste un problème de muscle dans le dos, qui m’oblige à m’asseoir régulièrement."

    Le chanteur de Mistral gagnant, pour qui ces dernières années ont été éprouvantes, se préserve. Au Parisien qui lui a demandé s'il compte entamer une tournée après la sortie de son prochain album en février 2022, qu'il enregistre actuellement, il répond : "Non, je suis à la retraite. Je ferai un minimum de promo, c’est tout."

    Vacciné contre le Covid-19

    Renaud, qui n'a pas souffert du Covid-19, s'est offert cette sortie dans le respect des mesures sanitaires. Le Parisien rapporte qu'il a annoncé à un de ses amis, l'urgentiste Patrick Pelloux : "Je suis vacciné." "Je ne voulais pas trop au départ, je suis toujours contre… les vaccins. Mais j’ai besoin du passe sanitaire pour aller dans mes bistrots, au resto, dans les taxis, pour visiter cette expo… Alors je l’ai fait", a déclaré l'artiste, accompagné de sa fille Lolita Séchan à l'événement, à nos confrères. Renaud s'était rendu à l'hôpital en octobre 2020 pour "un examen approfondi afin d'observer un emphysème", comme le déclarait son frère jumeau David Séchan au Figaro. D'après ce dernier, la maladie pulmonaire avait été provoquée par sa consommation excessive de tabac. Près d'un an plus tard, il donne des nouvelles rassurantes.

    Femme actuelle


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  • Guy BEDOS : Bonne fête, Paulette ! (1964)


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    Passez un bon dimanche


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  • Vacances estivales : 1 119 noyades accidentelles enregistrées, dont 250 mortelles

    En dépit d’un nombre élevé de noyades au cours des vacances d’été, celui-ci est en baisse par rapport à la précédente étude réalisée trois ans plus tôt. Un recul principalement lié aux mauvaises conditions météo.

    Quelque 1 119 noyades accidentelles, dont 250 mortelles - comme récemment dans le Morbihan -, sont survenues en France entre début juin et fin août, un chiffre en baisse par rapport à la précédente enquête de 2018, pouvant s’expliquer par une météo peu encline à la baignade, annonce vendredi Santé publique France.

    Sur la même période, le nombre de noyades accidentelles en 2021 est en baisse de 9 % par rapport à 2018 (1 225).

    En début d’été, l’agence sanitaire s’était inquiétée d’un nombre élevé de noyades, un bilan ayant pu être aggravé selon elle par le relâchement post-confinement (mauvaise condition physique, prise de poids…) associé à une météo encline à la baignade.

    Lors de la première quinzaine de juillet et la première quinzaine d’août 2021, le nombre moins important de noyades accidentelles par rapport à 2018 sur les mêmes périodes (290 contre 123 pour les deux semaines de juillet et 279 contre 213 pour les deux semaines en août) pourrait être lié aux conditions climatiques beaucoup moins favorables à la baignade (températures, ensoleillement) sur une large partie du territoire métropolitain.

    Un quart de victimes chez les moins de 6 ans

    C’est en mer – dans la bande des 300 mètres – que se sont produites la plupart des noyades accidentelles (436). Suivent les piscines privées familiales (249), les cours d’eau comme les fleuves et rivières (139), les plans d’eau type lac (119), la mer au-delà de 300 mètres (56).

    Le nombre de noyades accidentelles, par catégories d’âge, a été plus élevé chez les enfants âgés de moins de 6 ans (26 %) et les personnes âgées de 65 ans et plus (20 %).

    Les noyades accidentelles ont été plus nombreuses dans les régions du littoral, notamment en Provence-Alpes-Côte d’Azur et en Occitanie, par rapport aux autres régions.

    S’il est en baisse par rapport à la précédente enquête, le nombre de noyades accidentelles durant les mois de juin, juillet et août 2021 « reste élevé », prévient Santé publique France, et concerne « tous les âges et tous les lieux ». L’agence met l’accent sur la nécessité de poursuivre la prévention sur le risque de noyades à tous les âges, en insistant sur la surveillance des enfants et la reprise progressive de l’activité physique, dont la baignade.

    Depuis 2006, ces enquêtes recensent l’intégralité des noyades, accidentelles et intentionnelles (suicide ou homicide), prises en charge par les services de secours.

    Ouest-France


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  • Dans Midi Libre le dimanche 5 septembre 2021, Emmanuelle, amie d'Amandine, jeune fille morte de faim à l'âge de 14 ans un an plus tôt, est revenue sur ce que cette dernière lui avait confié.

    Une histoire tragique. En août 2020, Amandine, jeune fille de 14 ans, a été retrouvée morte dans sa chambre de Montblanc (Hérault). Sa mère est aujourd'hui incarcérée pour l'avoir laissée mourir de faim. Dans Midi Libre le dimanche 5 septembre, Emmanuelle, une amie que l'adolescente avait rencontrée dans le pensionnat de la cité scolaire Françoise Combes de Montpellier, est revenue sur les épreuves qu'elle traversait. Et sur le moment où elle a appris ce que sa mère lui faisait subir. "Amandine était une petite qui aimait les autres. Elle était joyeuse, elle aimait la vie, être en compagnie des autres. Toujours en train de s’amuser. Malgré tout, un jour je l’ai vue pleurer. Cela arrivait les coups de cafards. Mais ce jour-là, elle m’a parlé de maltraitance", a raconté la jeune femme au quotidien local.

    "Elle m'a raconté qu'on la privait de nourriture à la maison"

    Amandine a tout dévoilé à Emmanuelle par la suite. "Elle m’a raconté qu’on la privait de nourriture à la maison. Elle m’avait parlé de ses week-ends en famille", relate cette dernière. Des confidences déchirantes : "J’étais tellement triste, j’ai tout fait pour qu’elle sourie au plus vite. Nous ne sommes jamais revenues sérieusement sur ce sujet." Après la découverte du corps de son amie, l'étudiante a compris que sa mort était une conséquence des mauvais traitements que la jeune fille, qui mesurait 1m45 et pesait 28 kilos, avait subis. "Je n’ai jamais cru à un suicide. Jamais ! On la savait tous forte", a-t-elle affirmé dans les colonnes de Midi Libre. Elle est allée au commissariat, pour rapporter ce que sa camarade lui avait dit. Un an plus tard, Emmanuelle éprouve des remords : "Aujourd’hui encore je m’en veux de ne pas avoir parlé plus tôt. Je m’en veux de ne pas avoir insisté auprès d’Amandine pour qu’elle signale sa grave situation." En juin 2021, elle a créé une cagnotte sur un site de financement participatif, pour "financer une plaque funéraire en sa mémoire".

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  • Le nombre de personnes qui se présentent au permis de chasse est en hausse de 18% depuis l'année dernière.

    En France, les chasseurs sont de plus en plus nombreux ! C'est le constat que fait par exemple l'office de la Fédération des chasseurs du Rhône. Antoine Herrmann son directeur, remarque que depuis quelques années, de plus en plus de personnes franchissent le pas de s'inscrire à l'examen du permis de chasse.

    "Depuis trois ans, on a une tendance nette à la hausse, qui s'accentue ces deux dernières années. On a entre 350 et 400 candidats, voire même 450 cette année. Des personnes qui vont devenir de futurs chasseurs formés par nos services", détaille le directeur de la Fédération.

    Même constat au niveau national. Début juin, on comptait en France 18% de candidats en plus au permis de chasse par rapport à l'an dernier. L'augmentation est même de 40% si l'on regarde l'évolution sur une période de sept ans.

    Les questions sécuritaires, éliminatoires au permis

    Jean-Guillaume fait partie de ces tout jeunes chasseurs. Ce dimanche, il sera présent pour l'ouverture de la chasse. Lui a obtenu son permis il y a un an et demi, non sans difficultés, il l'avoue:

    "Effectivement c'était assez compliqué. Vous avez un examen théorique, et l'examen pratique demande de faire extrêmement attention à tous les aspects sécuritaires", explique le novice. "Chaque question sécuritaire est éliminatoire, et tant mieux. Mais effectivement, j'ai trouvé que ce n'était pas évident."

    Fils d'une famille de chasseurs, Jean-Guillaume n'était pas intéressé par la pratique étant plus jeune, préférant le sport et le rugby. Mais avec l'âge, il dit avoir voulu se rapprocher de la nature et du terroir.

    "Avec l'amour pour la chasse, il y a tout l'aspect culinaire, culturel qui va avec. Le fait aussi de retrouver des valeurs de camaraderie", estime-t-il.

    Selon la Fédération des chasseurs, il n'y a pas véritablement de "profil-type" du chasseur. Mais le permis opère une réelle sélection parmi tous ces nouveaux candidats. En moyenne, au premier passage du permis de chasse, un tiers d'entre eux ne sont pas admis.

    BFM.TV

    Saloperies de chasseurs,  je me réjouis quand l'un se fait tuer par un autre chasseur !

    Autre article à lire :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/on-a-un-si%C3%A8cle-de-retard-l-ouverture-de-la-chasse-%C3%A0-la-marmotte-ce-week-end-fait-pol%C3%A9mique/ar-AAOhWaw?ocid=msedgntp


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  • J'espère qu'on ne les mangera pas !


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  • Pour quatre d’entre eux, c’est la fin de la cavale.

    Ce vendredi soir, la police israélienne a annoncé avoir capturé deux des six fugitifs palestiniens qui s’étaient évadés d’une prison israélienne plus tôt cette semaine. Ils ont été arrêtés dans la ville de Nazareth, dans le nord du pays, a indiqué la police dans un communiqué sans donner plus de détails.

    Et tôt ce samedi matin, deux autres ont été arrêtés par les forces spéciales «alors qu’ils se cachaient dans un parking» du village arabe de Shibli Umm al-Ghanam, situé à une dizaine de kilomètres à l’est de Nazareth, a précisé la police.

    L’histoire avait fait le tour des réseaux sociaux, certains allants jusqu’à la comparer à la série américaine Prison Break. Sauf qu’il ne s’agit pas là du pénitencier d’Etat fictif de Fox River mais d’une taule bien réelle, la prison de haute sécurité de Gilboa, l’une des plus sécurisées d’Israël. L’évasion avait pu se faire grâce à un outil insolite : une cuillère rouillée que les détenus dissimulaient derrière une affiche. Ils s’en sont servis pour creuser un tunnel sous leur évier, dont la sortie a été découverte à quelques mètres des murs de l’établissement, au milieu des mauvaises herbes.

    Depuis, une gigantesque chasse à l’homme a été lancée par l’Etat hébreu. Des policiers, des soldats et des agents du puissant service de sécurité intérieur israélien, le Shin Bet, se sont joints aux efforts de recherches, impliquant des hélicoptères et des chiens renifleurs. Des barrages routiers ont été érigés en Cisjordanie et près de la bande de Gaza.

    Un contexte particulièrement violent

    Mercredi, l’armée israélienne avait annoncé passer à la vitesse supérieure en informant du déploiement de nouveaux renforts en Cisjordanie occupée dans le seul but de «traquer» les six évadés, membres de groupes armés palestiniens écroués pour avoir, selon Israël, préparé ou mené des attaques contre des Israéliens. Pour les forces de l’ordre et les autorités israéliennes, la crainte est que le reste des évadés mènent des attaques sur leur territoire.

    Car cette traque s’inscrit dans un contexte particulièrement tendu et violent en Israël. Ce vendredi après-midi, un assaillant palestinien a été tué par la police à une entrée de la Vieille Ville de Jérusalem. Il aurait tenté de poignarder des policiers de l’Etat hébreu, qui ont riposté en lui tirant dessus. L’agression est survenue alors que des rassemblements avaient lieu dans plusieurs villes de Cisjordanie et dans la bande de Gaza, ce vendredi. Le Hamas et le Jihad islamique, tous deux des groupes armés, avaient appelé à «une journée de la colère» en soutien des prisonniers palestiniens évadés.

    Les autorités israéliennes ont rapidement publié les noms des fugitifs. Le plus connu d’entre eux, Zakaria al-Zoubeidi, 46 ans, était le chef des Brigades des martyrs d’Al-Aqsa, la branche armée du parti Fatah du président palestinien Mahmoud Abbas, dans la région de Jénine. Considéré pendant plusieurs années comme l’un des hommes les plus recherchés de Cisjordanie, il est à l’origine de l’attentat suicide organisé contre le parti du Likoud, à Beit Shean, en novembre 2002. Il a été arrêté ce samedi matin en compagnie de Mohammed Ardah, un membre du Jihad islamique.

    Vendredi, ce sont deux autres membres du Jihad islamique qui avaient été arrêtés à Nazareth : Yakoub Kadari, 48 ans, et Mahmoud Abdullah Ardah, 45 ans, qui a passé les 25 dernières années en prison. Plus ancien détenu des six fugitifs, Mahmoud Ardah est d’ailleurs présenté par certains médias locaux comme l’architecte de l’évasion.

    Les deux derniers fugitifs, Iham Kamamji et Monadal Infiat, sont également membres de l’organisation armée du Jihad islamique palestinien. Le Premier ministre israélien, Naftali Bennett, a indiqué suivre la traque en temps réel, qualifiant l’évasion de «très grave incident». Les 400 autres prisonniers de la prison de Gilboa ont été transférés vers d’autres centres afin d’éviter d’autres évasions.

    Mise à jour : actualisé ce samedi à 9h15 avec l’arrestation de deux autres fugitifs.

    LIBERATION


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