• Ils voulaient rejoindre Mayotte, mais leur bateau est tombé en panne et a dérivé. Sept Comoriens sont morts de faim en plein océan Indien. Les huit autres passagers ont réussi à survivre.

    Sept personnes parties en bateau des Comores, dont une femme enceinte, sont mortes de faim après avoir dérivé sur plus de 1 100 kilomètres vers les côtes kényanes, a déclaré mercredi à l’AFP un responsable des garde-côtes.

    Ce bateau, qui comptait 15 passagers, avait quitté l’île comorienne de Nzduwani pour rejoindre le territoire français de Mayotte, ont raconté les survivants.

    Ce voyage prend normalement deux jours.

    Mais le bateau a perdu son hélice peu après le départ et les vents l’ont poussé vers Malindi, sur la côte kényane, à plus de 1 100 kilomètres, a déclaré Kenneth Sabila, directeur des relations publiques des garde-côtes kényans.

    « Ils étaient impuissants et ne pouvaient pas contrôler le bateau », a-t-il ajouté, affirmant qu’ils sont restés en mer, à la merci des vagues, pendant 22 jours.

    Poisson cru et eau de mer pour les survivants

    Les 8 survivants ont dû jeter par-dessus bord les corps des défunts, des membres de leur famille, afin de rester à flot, ont-ils raconté au Daily Nation, un journal kényan.

    Ils ont survécu en mangeant du poisson cru et en buvant de l’eau de mer, et ont été repérés lundi par des pêcheurs locaux, inconscients et déshydratés.

    « La marine kényane a envoyé du personnel médical pour s’occuper d’eux », a ajouté Kenneth Sabila, affirmant que les autorités kényanes ont contacté celles des Comores.

    Les raisons de ce voyage n’étaient pas connues dans l’immédiat. Les drames liés à l’immigration clandestine, depuis l’archipel des Comores, sont fréquents à Mayotte.

    Ouest-France


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  • Une femme de 61 ans a été tuée par balle, à Porto-Vecchio, ce jeudi 12 août. Son compagnon a été placé en garde à vue.

    Ce dernier a été vu, arme à la main, à son domicile par un voisin alerté par une détonation. Le voisin dit avoir vu le corps de la victime sur le canapé, avant d’appeler la gendarmerie, rapporte France 3 .
     

    Mariés « depuis plus de 30 ans »

    « Nous avons une femme née en 1960, mariée depuis plus de 30 ans à un monsieur né en 1958. Un voisin a entendu une détonation, il s’est présenté au domicile et a découvert monsieur, un fusil à la main, qui venait d’abattre son épouse d’un seul coup de feu », a relaté Carine Greff, procureure de la République d’Ajaccio, précisant que les faits s’étaient produits vers 15 h.

    Le parquet d’Ajaccio indique que le couple était en instance de séparation. Une enquête a été ouverte pour homicide sur conjoint.

    Une précédente plainte pour violences conjugales

    En janvier, selon les informations de France 3, une plainte avait été déposée par la victime pour violences conjugales. Son conjoint avait alors reçu un simple rappel à la loi.

    Corse. Une femme de 61 ans tuée par balle par son conjoint à Porto-Vecchio

    Selon le collectif Nous Toutes qui réalise un recensement du nombre de féminicides en France, il s’agit du « 74e féminicide depuis le début de l’année ».

     Ouest-France

     


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  • Après 82 ans de mariage, un couple bat le record de la plus longue union de France

    Après les noces de fenouil, de chêne puis de cornaline, viennent les noces de grenat au bout de 82 années de mariage. Un couple français vient de les célébrer et bat ainsi le record de l’union la plus longue d'Hexagone. Marcel et Berthe Brouard, âgés de 107 et 100 ans, vivent en Eure-et-Loire dans leur maison depuis 1951. 

     

    Ils se sont rencontrés au bal du village comme le relate L’action Écho :  « J’avais vu Marcel qui dansait avec une dénommée Fernande au bal de Saint-Eliph et je m’étais dit qu’elle avait de la chance de danser avec un beau cavalier. Ensuite, j’avais rencontré Marcel au cabinet du docteur, où il était venu se faire soigner suite à un petit accident à vélo. » 

    Mariés le 26 novembre 1938 à Saint-Eliph, les deux époux seront ensuite séparés quelques années, puisque Marcel sera mobilisé pour la guerre, avant d’être fait prisonnier en Allemagne, raconte France 3 Centre Val-de-Loire. Il devient ensuite maçon puis chef de chantier. 

    Marcel et Berthe ont donné naissance à quatre enfants : Claude, Claudette, François et Patrick, qui ont permis, par la suite, au couple de devenir grands-parents de huit petits-enfants et neuf arrière-petits-enfants. Une belle histoire d’amour qui n'est pas prête de s'arrêter…

    Vanity Fair


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  • Un Américain a avoué le meurtre de ses deux jeunes enfants, expliquant avoir été influencé par les théories de QAnon et des Illuminati.

    Kaloe, 3 ans, et Roxy, 10 mois, ont été retrouvés sans vie dans une ferme du Mexique. Le garçonnet et sa petite sœur ont été tués par leur père, propriétaire d’une école de surf en Californie. C’est un fermier de Baja California, une province située près de la frontière américaine, qui a découvert des traces de sang sur le sol. Ses chiens ont ensuite trouvé les deux cadavres. Le père des victimes, Matthew Taylor Coleman, âgé de 40 ans, a été arrêté peu de temps après la macabre découverte, lundi. Le «San Francisco Gate» rapporte que la petite Roxy a été poignardée au moins 12 fois et son frère à 17 reprises. Un pieu en bois taché de sang a été retrouvé près des corps.

     

    Matthew Taylor Coleman a avoué les crimes à la police. Il a déclaré aux autorités fédérales avoir tué ses enfants en leur tirant dessus avec un fusil de pêche sous-marine. Il a également expliqué son geste par l’influence des théories conspirationnistes sur sa vie, QAnon et Illuminati, est-il écrit dans les documents de la justice. Lorsqu’un policier lui a demandé s’il comprenait si ce qu’il avait fait était mal, il a dit oui mais «que c’était la seule chose à faire pour sauver le monde». Selon lui, ses enfants avaient de l’ADN de serpent en eux, passé directement par leur mère Abby.

    "Il croyait que ses enfants allaient devenir des monstres"

    C’est elle qui a signalé la disparition de son mari et ses enfants à la police de Santa Barbara après que le père est parti samedi avec les deux petits sans lui dire où il allait. Elle a commencé à s’inquiéter lorsqu’elle n’a plus réussi à le joindre et a appelé les secours dimanche. Les autorités ont demandé à la mère de géolocaliser son époux grâce à la fonction de son téléphone. Son dernier emplacement affichait Rosarito, au Mexique, explique NBC.

    L’enquête a d’abord cru à une affaire d’enlèvement et le FBI a été appelé en renfort. Lorsque l’homme a été arrêté, ses enfants n’étaient pas avec lui. En fouillant sa voiture, des traces de sang ont été découvertes. «Il croyait que ses enfants allaient devenir des monstres donc il devait les tuer», indique le rapport de plainte. Matthew Taylor Coleman a été incarcéré sans possibilité de remise en liberté sous caution.

    Paris Match


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  •  Un père de famille belge a été tué, ce jeudi matin, sur l’autoroute en voulant aider un conducteur blessé dans un accident

    Le drame s’est produit sur l'A35, entre Colmar et Strasbourg. En voulant aider un conducteur blessé lors d’un accident sur l’autoroute, un homme a été heurté par un véhicule. Il a été tué sur le coup, ce jeudi, vers 5h, rapportent les DNA. La victime est un père de famille belge qui habitait à Bruxelles. Il voyageait avec sa femme et ses trois enfants âgés de 2 à 11 ans. 

    « 130 km/h au régulateur »

    Sur la route du retour des vacances, l’homme, âgé d’une trentaine d’années, s’est arrêté sur la bande d’arrêt d’urgence pour porter secours. Un véhicule accidenté se trouvait sur la voie de gauche. Deux autres automobilistes sont également venus aider le conducteur, victime visiblement d’une fracture du bassin. Ce dernier, âgé d’environ 20 ans, se serait endormi.

    C’est alors qu’une autre voiture est venue percuter le véhicule accidenté, dans la pénombre. Deux personnes qui portaient secours ont eu le temps de s’écarter, pas le trentenaire belge qui a été tué sur le coup. « Le conducteur nous a dit qu’il roulait à 130 km/h au régulateur et qu’il a été surpris », indiquent les gendarmes au quotidien régional.

    La famille de la victime, qui a assisté au drame, a été prise en charge par les pompiers. A la suite de ce suraccident, l’autoroute a été coupée au niveau de l’échangeur de Barr, dans le Bas Rhin, où l’accident s’est produit. Elle a été rouverte vers 8h.

    20 Minutes


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  • TikTok : un enfant de 12 ans se suicide après avoir regardé des vidéos sur la plateforme

    Le petit Ethan Bourne, 12 ans, a été retrouvé mort à son domicile situé dans l'est de Londres, le lendemain de son anniversaire.

    Selon des informations diffusées par le Daily Mirror, le jeune garçon venait de regarder des contenus relatifs à la santé mentale, à la dépression et au suicide sur le réseau social TikTok, particulièrement prisé des adolescents de son âge.

    Des vidéos sur le suicide

    Quelques mois après le décès accidentel d'un jeune pakistanais, mort après avoir simulé un suicide à l'arme à feu pour les besoins d'une vidéo destinée à la plateforme, le petit Ethan aurait donc regardé des contenus "déprimants" et "lu des paroles de chansons sur le suicide" avant de passer à l'acte, rapporte le média britannique.

     

    Décrit comme un enfant "heureux", qui venait de recevoir une paire de baskets pour son anniversaire, Ethan "adorait absolument Arsenal, il aimait les voitures, les Ferrari. Il aimait la pêche et les animaux, il était vraiment bon avec ses jeunes frères et sœurs. Il aimait la PlayStation comme tous les garçons de cet âge", se remémore sa grand-mère, Samantha Legonidet, auprès du média My London.

    À la recherche de son père biologique

    Une fouille de l'ordinateur portable du jeune garçon a révélé des captures d'écran de paroles de chansons telles que "Je suis fatigué de vivre, je pleure, j’entends qu’il est facile de mourir". De plus, l'enquête a révélé qu'Ethan avait récemment commencé à s'intéresser à l'identité de son père biologique, dont sa mère s'était séparée alors qu'il n'avait que quelques semaines.

    Gent Side


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  • Recherches, traques et indices, les investigations de la Brigade nationale de recherche des fugitifs n’auront pas été vaines. Un Franco-algérien condamné pour le viol d’une adulte handicapée fin 2017 a été retrouvé par la police algérienne le 27 juillet.

    Un homme, condamné en France pour viol sur personne vulnérable, a été interpellé fin juillet en Algérie après plus de trois ans de cavale, a-t-on appris mardi de source policière. Le fugitif, un Franco-algérien de 36 ans, avait violé en mai 2009 une adulte handicapée à son domicile de Lille après avoir frappé la mère de la victime.

    Confondu par l’enquête, il avait été placé en détention provisoire avant d’être libéré sous contrôle judiciaire et s’était présenté libre à son procès fin 2017.

    « Il est venu au début mais n’était pas présent au verdict » de 13 ans de réclusion criminelle prononcé par la cour d’assises de Douai, et « un mandat d’arrêt a été délivré », a déclaré à l’AFP le commissaire Guillaume Maniglier, adjoint au chef de l’Office central de lutte contre le crime organisé (OCLCO).

    Une traque minutieuse

    Après deux années de vaines recherches, la Brigade nationale de recherche des fugitifs (BNRF), rattachée à l’OCLCO et spécialisée dans ces enquêtes, est saisie en 2020 et une notice rouge est publiée par Interpol.

    Les investigations, menées en coopération avec les autorités algériennes, confirment la présence du fugitif en Algérie, où plusieurs de ses proches se rendent régulièrement depuis Lille.

    « On a beaucoup travaillé sur ses habitudes, son train de vie, son entourage » afin de le localiser plus précisément, a ajouté le commissaire.

    L’homme a finalement été interpellé le 27 juillet par la police algérienne à Hennaya, une ville au nord du pays. L’Algérie, qui – comme la quasi-totalité des pays – n’extrade pas ses nationaux, doit désormais solliciter officiellement la dénonciation des faits auprès de la France afin que le fugitif purge sa peine sur son territoire.

    Ouest-France


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  • Le baigneur a été mis en difficulté par le ressac important sur cette partie du littoral

    Dramatique après-midi aux Sables d’Olonne, en Vendée. Un homme âgé d’une trentaine d’années a trouvé la mort alors qu’il se baignait à proximité de la plage des Grands Chevaux, sur la partie rocheuse de la côte, rapporte la préfecture maritime de l'Atlantique. Le baigneur n’était pas seul puisqu’un enfant l’accompagnait dans l’eau. Tous deux se sont trouvés en difficulté du fait de la houle.

     

    L’enfant est parvenu à regagner la plage mais l’adulte a été perdu de vue vers 15h30. Mobilisés en urgence, les secours ont déployé des moyens nautiques ainsi qu’un hélicoptère et sont parvenus à retrouver la victime vers 16h50, inanimée sur des rochers. Elle n’a pu être sauvée.

    Cette plage était interdite à la baignade en raison de la dangerosité d’un ressac important, indique la préfecture maritime. Elle « rappelle aux usagers de se baigner exclusivement dans les zones réglementées et surveillées par les maîtres-nageurs sauveteurs ».

    20 Minutes


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  • se L’homme semble promener sur un chemin quand, soudain, il s’approche des broussailles et y met le feu. Filmée, la scène se déroule à Montesarchio, au sud de l’Italie, où la gendarmerie lutte contre les incendies criminels à l’aide de caméras dissimulées, comme on le voit dans la vidéo ci-dessus.

    Les images de la vidéo fournissent une véritable preuve pour les enquêteurs. Pris en flagrant délit, le pyromane a pu être identifié et arrêté. Cet agriculteur de la région risque maintenant jusqu’à 10 ans de prison.

    Alors que les incendies ravagent le sud de l’Europe, l’Italie a choisi d’appliquer de nouvelles méthodes contre les départs de feu volontaires.

    2 hectares détruits

    Selon Roberto Cingolani, ministre italien de la Transition écologique, 70 % des incendies qui frappent le pays sont provoqués par des humains.

    Les enquêteurs dissimulent leurs caméras à des points stratégiques, établis par une analyse scientifique des points de départs de feu antérieurs. La méthode vient de prouver son efficacité.

    Le feu déclenché par l’homme de la vidéo a détruit plus de deux hectares de forêts.

    L'OBS


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  • Angleterre : Une pétition contre des naturistes « hors de contrôle » dans la forêt de Sherwood

    En Angleterre, être nu en public est légal tant que le comportement n'est pas considéré comme choquant ou offensant.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/insolite/angleterre-une-p%C3%A9tition-contre-des-naturistes-hors-de-contr%C3%B4le-dans-la-for%C3%AAt-de-sherwood/ar-AAN6n8u?ocid=msedgntp


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  • Un étudiant en médecine de 20 ans avait été retrouvé mort, dans la nuit du 8 au 9 juillet, sur l’autoroute A27, à Sainghin-en-Mélantois (Nord) après avoir participé à une « soirée d’intégration ». Il aurait voulu récupérer son smartphone tombé sur la voie après avoir pris un selfie.

    Le corps de Simon Guermonprez, un étudiant en médecine de 20 ans, avait été retrouvé dans la nuit du jeudi 8 au vendredi 9 juillet 2021 sur l’autoroute, à Sainghin-en-Mélantois (Nord). Le jeune homme était décédé après avoir participé à une soirée d’intégration à Lille.

    Vendredi 6 août, son père a posté un long message sur Facebook pour donner les conclusions de l’enquête après la mort de son fils, relève La Voix du Nord. L’étudiant avait pris le métro, puis un Uber qui l’avait amené devant le domicile de ses parents, à Chéreng.

    « Plus rien ne correspond à toi »

    Ensuite, selon les explications de son père, il serait parti en direction de l’autoroute située à 500 m de chez lui : « Au vu du nombre de doses ingurgitées et administrées pendant cette soirée, elles ne t’ont sans doute plus permis de raisonner comme une personne saine d’esprit, écrit le père. À partir de là, plus rien ne correspond à toi, à tes habitudes et à ta personnalité. Nous avons eu la confirmation, par les enquêteurs, qu’il ne s’agit pas d’un suicide. »

    Le père explique ainsi que son fils aurait pris un selfie, ce qu’il ne faisait jamais, puis aurait laissé tomber son portable sur l’autoroute. Il aurait alors pris les escaliers pour aller le récupérer sur la voie rapide, perdant dans la précipitation une basket sur le bas du talus.

    « En voulant récupérer ton téléphone et au vu de l’alcool ingurgité, tu n’étais sans doute plus en mesure d’apprécier la vitesse du camion qui t’a heurté de plein fouet », écrit le père de l’étudiant.

    Les soirées d’intégration pointées du doigt

    La famille de l’étudiant souhaite, à travers ce drame, interpellé sur les soirées d’intégration et leurs « traditions » qui incitent à une forte consommation d’alcool. Ils ont écrit à des députés et à la ministre de l’Enseignement supérieur pour réclamer la mise en place d’une charte des intégrations.

    Étudiant en médecine, Simon Guermonprez avait participé à une soirée d’intégration à Lille où il aurait été poussé à boire, lui qui n’en avait pas l’habitude, explique La Voix du Nord.

    Ouest-France


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  • Un automobiliste a violemment percuté deux femmes à Béziers (Hérault) dans la nuit de samedi à dimanche. Les deux mères de famille sont décédées. Le conducteur de 31 ans a été interpellé et placé en garde à vue, il était en état d’ivresse.

    Un terrible accident s’est produit vers 00h15 sur le boulevard Kennedy à Béziers. Deux sœurs de 41 et 49 ans ont été très violemment renversées par le conducteur d’une voiture alors qu’elles traversaient la route écrit France Bleu. Les victimes ont été projetées à une vingtaine de mètres et leurs effets personnels ont été retrouvés au-dessus de la haie d’une résidence détaille Midi Libre.

    Les sapeurs-pompiers et les médecins du SMUR n’ont rien pu faire pour sauver les deux quadragénaires originaires de La Réunion, qui étaient chacune mère de trois enfants.

    L’automobiliste en cause âgé de 31 ans a été interpellé et placé en garde à vue. Il était en état d’ivresse et circulait à vive allure les phares éteints selon les premiers éléments. Une enquête a été ouverte.

    « Un nombre incalculable d’infractions »

    L’homme a « commis un nombre incalculable d’infractions routières en doublant par la droite ou la gauche et il était aussi alcoolisé », a réagi le maire de Béziers, Robert Ménard, à Midi

    Ville de Béziers :

    Béziers : Deux mères de famille meurent percutées par un automobiliste ivre

     

    ACTU 17


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  • Vendée : Un prêtre assassiné, le tueur présumé s’est rendu à la gendarmerie

     Père Olivier Maire

    Un prêtre catholique a été assassiné ce lundi matin à Saint-Laurent-sur-Sèvre (Vendée). L’auteur présumé est un réfugié rwandais qui était déjà accusé d’avoir incendié la cathédrale de Nantes (Loire-Atlantique), il y a un peu plus d’un an. Il s’est livré à la gendarmerie et a été interpellé.

    Un homme s’est présenté à la gendarmerie de Mortagne-sur-Sèvre ce lundi matin, affirmant qu’il avait tué un prêtre avec lequel il vivait. Il a été immédiatement interpellé. Les forces de l’ordre ont ensuite découvert la victime décédée, à Saint-Laurent-sur-Sèvre, commune située à environ 7 km du lieu des faits.

    Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé qu’il se rendait sur place. « Tout mon soutien aux catholiques de notre pays après le dramatique assassinat d’un prêtre en Vendée », a-t-il écrit.

    Le suspect était sous contrôle judiciaire !

    Le tueur présumé est Emmanuel Abayisenga, 40 ans, un réfugié rwandais qui est accusé d’avoir incendié la cathédrale de Nantes le 18 juillet 2020. Il avait été mis en examen dans ce dossier puis placé sous contrôle judiciaire, après avoir été écroué plusieurs mois. Au moment de cet incendie, il était un bénévole du diocèse. Il avait fini par reconnaître les faits lors de sa seconde garde à vue. L’homme faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) depuis novembre 2019.

    Ciblé par un tweet de la présidente du Rassemblement national (RN) Marine Le Pen, Gérald Darmanin précise que le mis en cause ne pouvait pas être expulsé. « Cet étranger n’était pas expulsable malgré son arrêté d’expulsion tant que son contrôle judiciaire n’était pas levé », répond le ministre de l’Intérieur, accusant Marine Le Pen de « polémiquer sans connaître les faits ».

    « Je veux rendre hommage au Père Olivier Maire, supérieur des Montfortains assassiné par un criminel qu’il hébergeait par charité », réagit le sénateur LR Bruno Retailleau. « Sa mort témoigne de la bonté de ce prêtre que je connaissais bien et et dont j’avais pu apprécier la profondeur de la foi. Sa mort est une grande perte ».

    ACTU 17


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  •  Une jeune fille grièvement brûlée après être montée sur un train en gare de Saint-Omer

    Le wagon (deuxième en partant de la gauche) sur lequel la jeune fille est montée.

    Un grave accident s’est produit en gare de Saint-Omer dimanche 8 août, vers 4 h du matin. Une jeune fille a été très fortement électrisée après être montée sur le haut d’un train à l’arrêt.

    Il était environ 4 h du matin dimanche quand l’accident s’est produit sur les voies ferrées, à quelques dizaines de mètres de la gare de Saint-Omer. Il y avait là un train à l’arrêt avec des wagons-citernes. Une personne a voulu monter sur l’un des wagons de ce train de marchandise. C’est alors qu’elle a reçu un arc électrique, du fait des caténaires qui surplombent les trains. Ce sont les fils électriques qui assurent la locomotion des convois, ils sont très chargés en électricité : 25 000 volts. Rien qu’en les approchant, on reçoit une très forte décharge.

    Arc électrique

    C’est vraisemblablement ce qui s’est passé. L’arc s’est produit dès lors que la jeune fille s’est retrouvée sur le toit du wagon. La victime a été fortement électrisée et projetée sur les voies. Elle est grièvement brûlée. Les gens qui étaient avec elle au moment de l’accident ont immédiatement appelé les secours. Les pompiers de Saint-Omer sont venus, avec le SMUR d’Helfaut. Ils ont pris en charge cette personne, dont le pronostic vital est engagé. Elle a été emmenée au centre hospitalier à Helfaut, puis héliportée pour être prise en charge en Belgique.

    « Une idée comme ça »

    Comment la victime en est-elle venue à monter sur ce wagon de ce train de marchandises en pleine nuit ? « Une idée comme ça, un truc de jeunes », racontait une des personnes qui était avec elle au moment du drame. Une jeune femme sous le choc et encore incrédule une heure après les faits. « On avait passé la soirée ensemble, bu quelques verres en ville, mais sans plus. Puis, on a voulu finir la soirée tranquillement ici en marchant le long du canal. »

    Le groupe de jeunes, ils étaient vraisemblablement cinq, étaient donc du côté de l’avenue des Marronniers, quand l’un d’entre eux, la future victime, a eu l’idée de monter sur le wagon d’un train de marchandises. Elle et ses amis ignoraient sans doute, ou alors n’ont plus pensé, que faire ça est d’une extrême dangerosité, à cause des caténaires qui se situent juste au-dessus des trains. Le témoin raconte avoir vu des flammes, avoir même reçu des braises là elle était sur les voies. Elle a tout de suite vu que son amie était très grièvement brûlée.

    La Voix du Nord


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  • La police thaïlandaise a annoncé ce dimanche 8 août l’arrestation d’un Thaïlandais pour le meurtre, qu’il a avoué, d’une touriste suisse dont le corps avait été retrouvé près d’une cascade sur la touristique île de Phuket.

    Le corps d’une femme suisse âgée de 57 ans, avait été découvert jeudi 5 août sur l’île de Phuket, en Thaïlande. Un short, des baskets et un téléphone portable avaient été retrouvés à proximité de la victime.

    Cette dernière, qui voyageait seule, était arrivée le 13 juillet à Phuket dans le cadre du plan baptisé Bac à sable, qui permet aux voyageurs étrangers complètement vaccinés de séjourner sur l’île sans effectuer de quarantaine, puis de se rendre ailleurs dans le pays après un délai de 14 jours.

    Morte pour 7,60 €

    Le porte-parole adjoint de la police nationale, Kissana Phathanacharoen, a indiqué que le suspect avait 27 ans. Lors d’une conférence de presse, à laquelle ce dernier a participé par téléphone avec son avocat, il a déclaré avoir dérobé 300 bahts (7,60 €) après avoir étranglé la Suissesse.

    « Je voudrais m’excuser auprès de la famille de la touriste et supplier tous les Thaïlandais de m’excuser », a-t-il ajouté.

    Le major général de police Nantadej Yoinual, qui dirige la région Sud, a précisé que le suspect avait avoué durant un interrogatoire. Il a expliqué que l’enquête est remontée jusqu’à l’homme grâce à des caméras de surveillance.

    Un conseiller juridique de l’ambassade suisse a remercié la police thaïlandaise pour ses efforts. « La victime, la famille de la victime et tous les Thaïlandais méritent une élucidation rapide de ce crime », a-t-il ajouté.

    Ouest-France


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  • Pyrénées-Orientales : le calvaire d'un petit village à cause des fourmis

    Pendant quatre mois, les habitants de Sirach sont envahis par des fourmis. Au quotidien, ce problème peut avoir de lourdes conséquences et les habitants ont décidé d’agir.

    Elles sont partout. Chaque année, à partir de la mi-avril et pendant près de quatre mois, ce village des Pyrénées-Orientales vit un enfer à cause de… fourmis. À Sirach, les minuscules insectes se faufilent, par milliers, dans toutes les maisons et perturbent le quotidien des habitants. D’après Midi Libre, le 5 août dernier, ils se trouvent partout : fils électriques, prises, rainures du sol. Cette année, ce sont une bonne dizaine de maisons qui se disent "fortement" impactées.

     

    Car ces bêtes, d’une taille dérisoire, peuvent avoir de lourdes conséquences. Dans les colonnes de l’Indépendant, on apprend notamment qu’un court-circuit a eu lieu cette année, à cause de fourmis dissimulées dans les circuits électriques. Pire encore, ce phénomène a entraîné un début d’incendie dans une maison. D’autres voisins relayent des histoires toujours plus ahurissantes comme un nourrisson couvert d’insectes lors de sa sieste, ou bien des sonnettes s’activant seules, car possédées à l’intérieur par les fourmis.

    Le préfet alerté

    Mais voilà, les années s’enchaînent et rien ne se passe du côté de Sirach. Des spécialistes se rendent sur place et cherchent des solutions… en vain. Pour les habitants, trop c’est trop, et douze d’entre eux ont finalement créé un collectif pour contrer le problème. Une pétition a même vu le jour.

    Du côté de la Ville, les solutions semblent de plus en plus maigres. Les distributeurs d’énergie ont notamment été prévenus, car concernés par l’infection des prises et fils électriques. Mais le problème venant des foyers privés, les services publics patinent. Cet été, la préfecture a également été alertée de l’affaire afin de saisir la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (Ddass). À l’avenir, la pétition permettra-t-elle d’envisager un retour au calme pour ces riverains ?

    Capital


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  • C’est lors d’un simple contrôle routier ce jeudi que les policiers du 8e arrondissement de Paris ont mis la main sur une cargaison de cigarettes de contrebande. Un ressortissant moldave de 34 ans a été interpellé et placé en garde à vue.

    Plusieurs centaines de paquets de cigarettes étaient cachés dans la voiture de cet homme. Cet automobiliste était au téléphone alors qu’il circulait sur la célèbre place Charles-de-Gaulle (VIIIe) vers 20 heures, lorsqu’une patrouille de la brigade territoriale de contact (BTC) l’a remarqué et a décidé de le contrôler.

    Le chauffeur s’est arrêté puis a présenté son permis de conduire et la carte grise du véhicule. Interrogé sur la présence de plusieurs gros cartons dans son Audi, ce Moldave de 34 ans a affirmé qu’il s’agissait de vêtements. Pour en avoir le cœur net, les policiers lui ont demandé d’en ouvrir un. Ils ont alors découvert… des dizaines de cartouches de cigarettes de contrebande.

    Il était aussi alcoolisé

    Le trentenaire a été interpellé et un officier de police judiciaire (OPJ) s’est ensuite rendu sur place pour fouiller le véhicule. Au total, 263 cartouches ont été saisies soit 2630 paquets de cigarettes. Vendu en moyenne cinq euros l’unité sur le marché noir, la saisie représente plus de 13 000 euros.

    Le conducteur, qui avait également sur lui une petite quantité de cannabis, a été placé en garde à vue. Un test de dépistage a montré qu’il conduisait en état d’ivresse. Une enquête a été ouverte.

    Le mois dernier, les policiers du Xe arrondissement de Paris ont découvert 2553 cartouches de cigarettes, dix cartons de vêtements de sport contrefaits, ainsi que sur 33 276 euros et 1555 livres sterling en numéraire après un coup de filet. Cinq personnes avaient alors été interpellées.

    ACTU 17


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