• Arrêté près de Tours (Indre-et-Loire), un chauffeur routier marocain a été mis en examen fin juillet, avant d’être écroué dans l’attente de la suite des investigations dans cette affaire d’importation de résine de cannabis.

    Les enquêteurs de la police judiciaire d’Orléans tentent depuis bientôt un mois d’identifier les commanditaires de ce chauffeur routier marocain. Cet homme, âgé de 33 ans, a été interpellé le 30 juillet sur l’autoroute A10 au niveau de l’aire de la Longue vue (Indre-et-Loire), avec une somme de près de 176 000 euros.

    Vers 09h45, ce sont les douaniers qui ont interpellé le conducteur de cet ensemble routier marocain qui venait d’Allemagne. Les agents ont mis la main dans la cabine du camionneur sur ces billets de banque conditionnés dans des sacs plastique thermosoudés.

    Il nie puis livre sa version des faits

    Le suspect a été placé en garde à vue dans les locaux du service de police judiciaire de Tours. « Dans un premier temps, il a tout nié, précise une source proche du dossier puis il a livré sa version des faits ». Le professionnel du transport a confié aux enquêteurs que ce sac lui avait été remis à Ris-Orangis (Essonne) par un homme âgé d’environ trente ans. « Il s’exprimait avec un accent provenant des montagnes du Rif marocain et il l’avait contacté avec une ligne téléphonique espagnole », précise-t-il.

    L’analyse du téléphone du chauffeur a permis de comprendre qu’il échangeait avec son patron en arabe, sur la messagerie WhatsApp. Le suspect qui a été placé en détention provisoire après sa mise en examen, est inconnu de la police et la justice française. Il réside à Tanger (Maroc).

    La résine de cannabis consommée dans l’hexagone vient principalement du Maroc. Les cultivateurs y sont installés dans des fermes du Rif et sont intouchables pour la police française. Le kilo y est vendu entre 1000 et 1500 euros selon sa qualité avant d’être négocié aux alentours de 3000 euros en région parisienne. La quantité de cannabis importée en France serait de plus de 1000 tonnes par an.

    ACTU 17


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  • Un homme a été tué d’une balle en pleine tête après avoir acheté de la cocaïne avec des faux billets. Se sachant recherché, son meurtrier présumé s’est rendu en début de semaine et a été écroué.

    Le drame s’est noué le 17 août dernier, à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis). Ce jour-là, peu avant 13 heures, plusieurs coups de feu éclatent à hauteur du 8 rue de la Chasse.

    Rapidement alertés, pompiers et policiers se pressent sur la scène des faits : deux voitures se font face, à l’arrêt. A l’intérieur d’une Volkswagen Golf noire, les secours découvrent un homme inanimé, présentant une importante blessure au niveau de la tête. Le passager du même véhicule est, lui, en état de choc. Après avoir retrouvé ses esprits, il explique qu’il se trouvait avec son beau-frère au volant de la Golf lorsque le conducteur d’une Volkswagen Tiguan s’est porté à leur hauteur et que l’un des occupants a tiré dans leur direction.

    Très grièvement blessé par une balle en pleine tête, Patrick M., 36 ans, originaire du Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), est transporté en urgence absolue à l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière à Paris (XIIIe). Quelques heures après son admission, il a succombé à ses blessures.

    Son beau-frère, Nail H., 27 ans, est rapidement placé en garde à vue dans les locaux du service départemental de police judiciaire (SDPJ) du 93. Les policiers comprennent vite que les tirs qui ont atteint la victime, ont été concomitants à une transaction de drogue. Le passager de la Golf, après avoir livré plusieurs versions, a confié que son beau-frère l’avait sollicité pour récupérer de la cocaïne auprès de trafiquants. Mais la victime avait décidé de « carotter » ses fournisseurs en réglant son achat avec un lot de faux billets de 50€, acheté sur Amazon

    Près de 34 000 euros en faux billets et un revolver

    Après s’être aperçus de la supercherie, les trafiquants ont rattrapé leurs clients avant de faire feu. Les enquêteurs de la PJ ont d’ailleurs récupéré 800 grammes de cocaïne conditionnés sous forme d’ovules ainsi qu’un revolver Smith & Wesson, calibre 38, approvisionné de six cartouches, appartenant à la victime, à proximité de la scène de crime. Ils ont également découvert la somme de 33 950 euros en faux billets de 50€ dans la Tiguan abandonnée derrière eux par les trafiquants.

    Se sachant recherché, l’auteur présumé du meurtre s’est finalement livré à la police en début de semaine. Né en Guyane, âgé de 26 ans et domicilié à Sevran, il a été mis en examen puis écroué. De son côté, Nail H. a été mis en examen pour trafic de drogue avant d’être placé sous contrôle judiciaire. Le parquet a fait appel de cette décision. Sollicité, l’avocat du mis en cause, Me Manuel Abitbol, n’a pas souhaité s’exprimer.

    ACTU 17


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  • Un ambulancier est mort samedi à Besançon, après avoir reçu un coup de couteau lors d'une intervention chez un homme connu pour souffrir de troubles psychologiques et qui a été placé en garde à vue.

    Après un appel de sa famille au SAMU en début de matinée, deux ambulanciers se sont rendus au domicile du quadragénaire dans le quartier de Planoise, a indiqué la police. Egalement alertée, celle-ci est arrivée sur les lieux quelques minutes après l'ambulance.

    "Les ambulanciers a priori le connaissaient donc ils ne nous ont pas attendu" et après leur entrée dans l'appartement, l'homme "a mis un coup de couteau à l'un d'entre eux", a expliqué la police. L'ambulancier "est mort quelques heures après" à l'hôpital où son collègue l'avait transporté, a-t-on précisé de même source.

    "La victime est malheureusement décédée et une personne suspecte est en garde à vue", a confirmé le parquet. 

    "Aujourd'hui un homme est mort en voulant secourir", a déploré le ministre de la Santé Olivier Véran sur Twitter.

    "Il était ambulancier et avait décidé de dédier sa vie professionnelle aux autres. Toutes mes pensées vont vers son équipier, sa famille, ses collègues et ses amis", a-t-il poursuivi.

    Après plusieurs drames, les sapeurs-pompiers avaient proposés plusieurs solutions: face aux 2.280 agressions de pompiers en intervention recensées en 2016, ils proposaient ainsi l'extension du port de "caméras piétons".

    RMC

    Cet homme aurait dû être enfermé dans un hôpital psychiatrique !


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  • États-Unis : une mère attaque un puma à coups de poing pour sauver son fils de 5 ans

     Jeudi dernier, un petit garçon de 5 ans a été attaqué et traîné sur 45 mètres par un puma alors qu’il jouait dans son jardin en Californie du Sud. Sa mère a frappé l’animal à coups de poing pour le faire fuir.

    Scène surréaliste dans la ville de Calabasas, en Californie. Un enfant de 5 ans a été attaqué par un puma alors qu’il jouait tranquillement dans son jardin, rapporte Sud-Ouest relayant une information du Guardian. La mère du petit garçon est intervenue et a réussi à faire fuir l’animal sauvage en le frappant à coups de poing 

    L’histoire commence lorsqu’un puma, aussi appelé lion des montagnes aux États-Unis, s’introduit dans le jardin d’une maison de Calabasas, dans le sud de la Californie. Sans raison apparente, l’animal se jette sur le petit garçon de 5 ans qui y joue, puis le traîne sur près de 45 mètres. Alertée par les hurlements de son fils, sa mère jaillit hors de la maison et se jette sur le puma de 30 kilos. Faute de mieux, elle le frappe à grands coups de poing jusqu’à le faire fuir loin de la maison.

    L’enfant en sécurité, l’animal tué

    Le prédateur éloigné, les parents de la petite victime l’emmène immédiatement à l’hôpital le plus proche. Bien que touché à la tête et la poitrine, il se trouve désormais dans un état stable. Pendant ce temps, les services vétérinaires se sont rendus à proximité de la maison pour identifier l’animal à l’origine de l’attaque. Sur place, l’un des officiers repère rapidement un puma caché dans des buissons, sifflant et les oreilles en arrière. Il ouvre alors le feu.

    “En raison de son comportement et de la proximité de l’attaque et pour protéger la sécurité publique, il a tiré et l’a tué”, ont expliqué les autorités locales dans un communiqué de presse. Une réaction que l’on pourrait juger rapide mais qui a été légitimée par des tests ADN réalisés a posteriori. Ces derniers ont montré qu’il s’agissait bien de l’animal ayant attaqué l’enfant. Un autre puma avait en effet été repéré dans la région quelques temps auparavant.

    Véritable héroïne ayant sauvé son jeune fils d’une mort atroce, la mère de famille a été encensé par Patrick Foy, le porte-parole du département de la pêche et de la vie sauvage : “Le véritable héros de cette histoire est sa mère parce qu’elle a absolument sauvé la vie de son fils.”

    yahou /actualités


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  • VANDALISME - C’est la deuxième fois que ce cimetière est vandalisé en 15 jours. Selon France Bleu, une vingtaine de tombes ont été vandalisées lors du week-end du samedi 28 au dimanche 29 août à Redessan, dans le Gard.

     Nos confrères indiquent que des croix et des plaques de souvenirs ont ”été jetées à terre”, mais qu’aucun tag n’a été découvert. “Les tombes ont été vandalisées, mais pas profanées” et “aucune inscription n’a été découverte sur les lieux”, a indiqué une source proche du dossier à France Bleu.

    oujours selon nos confrères, d’autres actes de délinquance ont été découverts dans ce cimetière le 14 août dernier.

    Cimetière fermé au public la nuit

    Contacté par France Bleu, le maire de Redessan indique “ne pas comprendre la motivation” de ces actes”. “Ces gens-là doivent bien avoir des proches enterrés, et ils n’aimeraient pas avoir à subir la même chose”, ajoute l’édile.

    Selon cette même source, le cimetière sera désormais uniquement accessible en journée et un cadenas sera posé sur le portail dans la nuit.

    Huffpost


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  • Un violent incendie s’est déclenché dimanche 29 août 2021 dans les hauteurs d’une tour de 20 étages à Milan, dans le nord de l’Italie.

    Il n’y a pas de bilan pour l’instant, mais les autorités étaient optimistes en début de soirée car les habitants ont eu du temps pour évacuer.

    Un immeuble résidentiel de 20 étages a été ravagé par un spectaculaire incendie dimanche à Milan (nord de l’Italie), ont annoncé les secours sans faire immédiatement état de victimes.

    Le bâtiment situé dans la périphérie sud de la capitale lombarde a pris feu dans les étages supérieurs vers 17 h 30. « Les flammes se sont ensuite propagées aux niveaux inférieurs », provoquant une épaisse fumée, ont indiqué les pompiers sur leur compte Twitter.

    Les images des pompiers italiens sont impressionnantes.

    Environ 70 familles résident dans l’édifice. Les secours s’employaient dimanche soir à les contacter pour identifier d’éventuelles personnes manquantes.

    « Les pompiers progressent d’appartement en appartement en enfonçant les portes pour s’assurer que personne ne reste à l’intérieur. Mais nous sommes optimistes parce qu’il y a eu du temps pour sortir », a déclaré le maire de Milan, Giuseppe Sala, cité par Il Corriere della Sera.

    Selon le quotidien, une vingtaine de locataires ont été légèrement intoxiqués.

    Des dizaines de véhicules des pompiers et d’ambulances ont été dépêchés sur les lieux.

    Ouest-France


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  • Un jeune homme de 17 ans est mort noyé dans la Garonne après avoir secouru sa petite cousine de 6 ans, samedi après-midi. La famille était sur une plage du Fauga, située à 25 kilomètres au sud de Toulouse, quand le drame est arrivé.

    «20 minutes» a rapporté que le drame s’est déroulé «en deux actes». L’adolescent s’est d’abord jeté à l’eau pour sauver sa cousine de 6 ans, en détresse dans les flots. Il a réussi à la ramener à bord, mais quelques instants plus tard, ses proches l’ont vu couler à son tour.

    Un lieu "interdit à la baignade"

    Le corps du jeune garçon a été retrouvé plus d’une heure après, «au fond de l’eau», par les secours. Une vingtaine de pompiers ont été mobilisés sur place.

    Le maire de la commune du Fauga, Jean-Marie Puig, est «rempli de tristesse face à cet accident dramatique», selon France 3 Occitanie. «Je déplore aussi que les arrêtés municipaux ne soient pas respectés. Ce lieu est interdit à la baignade», a-t-il avancé. Suite au drame, la préfecture de Haute-Garonne a publié un communiqué de presse. Elle lance un «appel à la prudence lors des activités aquatiques».

    Paris Match


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  • Cinq plaintes ont déjà été déposées

    Une collégienne de Saône ( Doubs) a témoigné à la police avoir été agressée sexuellement par le mari de sa nounou pendant plusieurs mois, alors qu’elle était gardée au domicile du couple. Elle évoque des attouchements sexuels répétés et une pénétration digitale à l’âge de 9 ans. La grande sœur de la collégienne, désormais majeure, a elle aussi confié, à la suite du témoignage de sa cadette, avoir été victime d’attouchements de la part du même homme lorsqu’elle était en primaire.

     

    Mais les témoignages ne s’arrêtent pas là. Alors qu’une enquête et une information judiciaire ont été lancées à la suite de ces déclarations, une troisième jeune fille a signalé avoir elle aussi été victime de l’homme, comme la petite-fille du suspect désormais âgée de 15 ans, selon L’Est Républicain. L’homme a été mis en examen et placé en détention provisoire le 4 août.

    Depuis, une nouvelle victime s’est fait connaître, pour un total de cinq plaintes déposées, même si les enquêteurs sont persuadés que ce n’est pas fini : la femme du suspect ayant été nounou pendant une vingtaine d’années. L’individu a nié les faits reprochés. Selon les témoignages, sa femme, aujourd’hui décédée, ne semblait pas au courant des agissements de son mari.

    20 Minutes


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  • C'est une découverte quelque peu morbide qu'ont faite des policiers sur une sexagénaire à Liévin, dans le Pas-de-Calais. Comme le relatent La Voix du Nord et France Bleu, c'est l'alerte donnée par une famille mardi 24 août qui a permis d'arrêter une voleuse particulière. Présents au funérarium de Liévin pour se recueillir, les proches d'une femme récemment décédée ne se sont pas méfiés quand une personne s'est présentée et leur a assuré être une amie de la défunte.

    Après l'avoir laissée seule dans la pièce, ils ont constaté à leur retour que plusieurs bijoux (collier, boucles d'oreilles, bague) avaient été subtilisés sur la dépouille. Alertés, les policiers ont rapidement retrouvé la suspecte, non loin du funérarium. Ils ont retrouvé sur elle les bijoux volés, mais également le portefeuille d'un autre défunt reposant au funérarium de Liévin, lui aussi victime d'un vol en début de journée. La perquisition menée au domicile de cette femme, née en 1961 selon Le Réveil de Berck, s'est révélée fructueuse pour les forces de l'ordre.

    En plus de différents avis de décès, les policiers ont retrouvé des codes d'accès permettant aux familles d'accéder au funérarium en dehors des heures de visite. Il n'est pas précisé si d'autres biens ne lui appartenant pas ont été découverts, alors que les bijoux volés mardi 24 août ont été restitués à la famille. La femme est suspectée d'avoir agi dans différentes chambres funéraires de la région. Une enquête a été ouverte et est toujours en cours. La suspecte devra s'expliquer devant la justice : elle est convoquée devant le tribunal de Béthune le 8 juillet 2022.

    Le Point


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  • Des escrocs, parfois bien informés sur l'entourage de leurs victimes, leur demandent de venir mettre à l'abri leurs bijoux pendant les vacances.

    Gare à la nouvelle arnaque qui sévit depuis quelques jours dans le Calvados. Comme le rapporte Actuf.fr Normandie, la police alerte contre une nouvelle escroquerie dont sont victimes les personnes âgées notamment. Les escrocs parviennent à tromper la confiance et la vigilance de leurs victimes en leur demandant si elles peuvent garder leurs bijoux chez elles.

    Leur technique est simple. En arrivant chez les personnes âgées, les escrocs affirment être des voisins ou des "parents d'une connaissance", puis leur demandent de garder leurs effets personnels précieux avant leur départ en vacances. "Je peux les mettre dans votre cachette", demandent parfois les arnaqueurs avec évidemment comme dessein, la volonté de connaître l'endroit où leurs victimes cachent leurs propres effets.

    Des patrouilles pour sensibiliser

    Malheureusement, la plupart du temps, les personnes non vigilantes s'exécutent et montrent leurs cachettes croyant en la bonne foi de leurs interlocuteurs. Mais cela permet aux malfaiteurs de s'emparer d'argent en liquide ou de bijoux sans qu'ils s'en rendent compte rapidement. Quand ils sont partis, il est souvent trop tard.

     

    À Caen (Calvados), les policiers et les gendarmes n'hésitent pas à patrouiller chez les commerçants pour sensibiliser les personnes âgées à l'aide de flyers et leur conseiller la plus grande vigilance face à ce genre de cas. Cet été, les escroqueries se sont multipliées dans tout l'Hexagone, que ce soit celle à l'horodateur, pour la livraison de colis, aux pneus crevés ou aux camping-cars. Le plus souvent, les malfaiteurs s'en prennent aux personnes les plus vulnérables.

    Capital


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  • Un homme qui se livrait à du rodéo sauvage à moto a percuté une septuagénaire à Toulouse (Haute-Garonne) ce jeudi soir. Cette dernière est décédée malgré l’intervention rapide des secours.

    Une femme âgée de 77 ans a été renversée par un homme qui faisait du rodéo sauvage sur un deux-roues, sur l’avenue du Général-Eisenhower, à proximité du quartier Bellefontaine, selon une source policière.

    La victime a été rapidement prise en charge par les sapeurs-pompiers et le SAMU alors qu’elle était en arrêt cardio-respiratoire. Malheureusement, elle est décédée des suites de ses blessures.

    Placé en garde à vue

    L’homme en cause qui a 24 ans, a été interpellé par la police et placé en garde à vue. D’après nos informations, il est déjà connu des services de police, notamment pour un refus d’obtempérer en février 2020.

    Des tests de dépistage vont être réalisés afin de savoir s’il était alcoolisé ou drogué au moment des faits. Une enquête a été ouverte par le parquet. Les images de vidéosurveillances ainsi que des témoignages ont permis de confirmer que le pilote était en train de faire des roues arrières lorsqu’il a percuté la victime, toujours selon nos informations.

    ACTU 17


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  • Un policier âgé de 24 ans a mis fin à ses jours ce mercredi soir à Perpignan (Pyrénées-Orientales). Affecté à la CRS 51, il était en déplacement.

    C’est un nouveau drame qui touche la police nationale. Un jeune gardien de la paix de 24 ans a été retrouvé mort dans sa chambre d’hôtel ce mercredi soir apprend-on. Il se serait donné la mort avec son arme de service. Le défunt était affecté à la CRS 51 de Saran, près d’Orléans (Loiret) et se trouvait actuellement en déplacement. Il n’aurait pas laissé de mot pour expliquer son terrible geste.

    Ses collègues ont ouvert une cagnotte en ligne sur la plateforme Leetchi pour « lui rendre un dernier hommage en déposant sur sa tombe une gerbe de fleurs ou une plaque funéraire »Elle est accessible ici.

    « Profonde tristesse après le suicide d’un gardien de la paix de la CRS 51. Nous pensons à sa famille, ses proches et ses collègues », a réagi la Police nationale sur Twitter en fin d’après-midi.

    Il s’agirait du 22ème suicide dans les rangs de la police nationale depuis le début de l’année. Début août, un policier de 51 ans affecté à Carpentras (Vaucluse) s’est ôté la vie.

    Le ministère de l’Intérieur a mis en place deux dispositifs pour lutter contre ces tragédies qui touchent durement les policiers. Une ligne d’écoute est disponible pour les fonctionnaires victimes d’agressions ou de menaces au 0800 95 00 17, tous les jours, de 5 heures à 23 heures ; et une cellule de soutien psychologique est aussi ouverte 24h/24 au 0805 230 405. Les appels sont « anonymes, confidentiels et gratuits ».

    De plus, trois associations luttent également contre ces drames à répétition : SOS Policiers en Détresse (PEPS-SOS), Assopol, et Alerte police en souffrance (APS).

    ACTU 17


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  • Après avoir passé trois nuits seule dans les bois, éloignée de sa famille, une fillette de 22 mois a été retrouvée vivante, signale Newsweek.

    D'après le Moscow Times, Lyudmila Kuzina, surnommée Lyuda, avait disparu mardi 17 août, dans la région du Smolensk, à l'ouest de la capitale russe. C'est en suivant sa mère et sa grande sœur pour se rendre à la maison de leurs voisins que la petite fille s'est perdue.

    L'incident ressemble étrangement à un cas similaire, survenu en 2016, lorsqu'un petit garçon de 3 ans, Tserin Dopchut, a été perdu dans le désert sibérien durant trois jours. L'enfant aurait survécu en mangeant une tablette de chocolat qu'il avait gardée sur lui. Malgré des températures extrêmement basses, Tserin était vêtu uniquement d'une chemise et de chaussures, et ne portait même pas de manteau. Dans les deux cas, les bambins ont été perdus dans la nature russe et pour la même durée. En revanche, contrairement à Tserin, Lyuda n'avait ni nourriture ni eau pour se sustenter, ce qui rend sa survie encore plus incroyable.

    Tirer des leçons de ce miracle

    Après que la fillette a été portée disparue, un effort massif de recherche a été déployé dans la région. Il impliquait 400 volontaires, la police et des plongeurs qui ont fouillé les plans d'eau des alentours. Ce n'est qu'au bout du quatrième jour de recherche que Lyuda a été retrouvée, lorsqu'un groupe de chercheurs volontaires s'est arrêté pour prendre une pause, à 4 kilomètres de la maison des Kuzina. Ils ont entendu un couinement inhabituel, qui s'est avéré provenir de la petite fille. «Ils l'ont retrouvée dans des branches, sous un arbre», raconte Antonina Kuzina, la maman de Lyuda.

    Juste après avoir été trouvée, la fillette a «immédiatement tendu ses petits bras à ses sauveteurs pour s'y accrocher fermement», rapporte le groupe de secours Salvar. Elle était «très affaiblie, piquée par des insectes, mais, le plus important, elle était en vie!». «Tout le monde sanglotait. Aussi bien les volontaires endurcis par l'expérience que les novices qui ont répondu à l'appel pour la première fois, ainsi que les riverains», peut-on lire dans le Moscow Times.

    Lyuda a ensuite été placée en soins intensifs le vendredi 20 août, et a été transférée dans un autre service de l'hôpital le 21 août. Malgré son jeune âge, la petite fille de presque 2 ans semble avoir tiré une importante leçon de cette épreuve. «Elle est catégorique, elle ne fuira plus jamais maman», a déclaré Antonina. «Je ne sais pas pendant combien de temps elle se souviendra de cette promesse, mais au moins, elle l'a faite.»

    Slate


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  • Un homme âgé de 31 ans qui circulait à trottinette à Clichy (Hauts-de-Seine) est mort dans une violente collision avec un bus ce mercredi soir. La victime aurait franchi un feu rouge.

    Un grave accident de la circulation a coûté la vie à un homme de 31 ans vers 19 heures, à l’angle du boulevard Jean-Jaurès et de la rue Estienne-d’Orves à Clichy précise Le Parisien. La victime circulait à trottinette et a été percutée par un bus de la RATP.

    Plus de 25 sapeurs-pompiers ainsi que des médecins du SAMU se sont rendus sur place pour porter secours au trentenaire, qui a dû être désincarcérée car il était coincé sous le bus. Un engin de levage a été nécessaire pour réaliser cette opération. La victime qui habitait sur la commune n’a pu être réanimée.

    Les dépistages négatifs

    Selon les premiers éléments de l’enquête, le défunt circulait sur le boulevard Jean-Jaurès et aurait franchi un feu rouge. Au même moment, le bus de la RATP qui circulait dans le sens rue Estienne-d’Orves – rue Pierre-Bérégovoy, a franchi le carrefour et percuté cet homme. Les dépistages ont montré que le conducteur du bus n’avait pas consommé d’alcool ni de produits stupéfiants.

    Fin juillet, une policière de 30 ans à trottinette qui se rendait à son travail à Paris, a lourdement chuté, percutant un bus RATP. Elle est décédée quelques jours plus tard à l’hôpital.

    ACTU 17


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  • Que s'est-il passé dans la forêt de Sierra, dans le nord de la Californie, non loin du célèbre parc de Yosémite ? Le mystère reste entier, après la mort étrange d'un couple d'Américains, de leur bébé d'un an et de leur chien.

    La semaine dernière, leurs corps sans vie ont été découverts par la nounou de la famille, inquiète d'avoir trouvé leur domicile inoccupé. Pas de trace de coup ni de morsure, aucun signe apparent d'empoisonnement ou de maladie? Les autopsies des dépouilles ont fait chou blanc.

    La nounou a donné l'alerte le 16 août. Les policiers ont rapidement retrouvé leur véhicule au départ d'un chemin de randonnée proche de cette forêt. Dès le lendemain, les secours avaient localisé John Gerrish, 45 ans, son épouse Ellen Chung, 31 ans, leur fille d'un an, Miju, et leur animal de compagnie dans une zone isolée surnommée Devil's Gulch (« le ravin du diable »).

    « C'est un grand mystère »

    D'après le San Francisco Chronicle, l'homme était en position assise à côté de son enfant et du chien tandis que la mère se trouvait un peu plus haut sur la colline. « Vous arrivez sur place et tout le monde est mort. Il n'y a pas de blessures par balle, pas de flacon de médicament, pas un seul indice. C'est un grand mystère », a déclaré au journal le shérif du comté de Mariposa, Jeremy Briese.

    Les malheureux pourraient avoir été déshydratés car le mercure a fait une pointe à près de 43 °C le jour du décès, mais cela semble peu probable car les secours ont trouvé de l'eau en leur possession. Les enquêteurs cherchent à présent à déterminer si les victimes n'ont pas succombé à une intoxication, soit par du monoxyde de carbone s'échappant d'un puits de mine désaffectée, soit par des toxines dégagées par des « algues bleues » proliférant dans un cours d'eau voisin.

    Des algues bleues à l'origine du drame ?

    Des analyses toxicologiques sur les victimes sont en cours, mais les résultats ne devraient pas être connus avant plusieurs semaines. Surnommées « algues bleues », les cyanobactéries peuvent se développer dans des milieux aquatiques déséquilibrés par de fortes concentrations d'azote et de phosphore, souvent sous l'effet d'une forte chaleur.

    Une alerte aux « algues bleues » avait été lancée dans cette même zone voici environ un mois avec mise en garde contre toute baignade dans ce bras de la Merced River. L'autorité de contrôle de l'eau de Californie a procédé à des prélèvements sur le cours d'eau en question pour détecter la présence de toxines pouvant être responsables des décès. Jusqu'à nouvel ordre, elle recommande de se tenir éloigné des algues et de l'écume et de ne pas laisser les enfants ou les animaux toucher l'eau de ce bras de rivière.

    Le Point

    La mort mystérieuse d’un couple de randonneurs et de leur bébé


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  • Le corps d’un nouveau-né a été découvert, lundi 23 août 2021, dans le garage d’une maison à Mézeray dans le sud ouest de la Sarthe. Deux autres bébés décédés auraient également été retrouvés à ce domicile. Des analyses sont en cours pour en savoir davantage sur ces restes humains. Les gendarmes sont toujours sur place ce mardi 24 août 2021.

    C’est une découverte macabre que la police a faite ce matin dans une maison à Mézeray, dans le sud ouest de la Sarthe. Sur place, ce mardi 24 août 2021, les gendarmes sécurisent toujours les alentours de la maison où selon un témoin proche de la famille, un nouveau-né, aurait été découvert dans le garage d’un couple.

    Le procureur de la République du Mans, qui ne souhaitait pas communiquer sur cette enquête ouverte ce lundi 23 août 2021, fournit finalement, dans un communiqué, « les premières données factuelles » dans cette affaire.

    Au moins un corps décomposé

    « Le 23 août 2021, un homme de quarante ans domicilié dans la commune de Mézeray, a sollicité les services de la gendarmerie de la Sarthe après avoir découvert, dissimulés dans une annexe de la propriété qu’il occupait depuis plusieurs années, les restes d’au moins un corps décomposé » précise le procureur. « Les services de secours identifiaient des restes vraisemblablement humains et potentiellement à l’état de fœtus sans qu’il soit possible de déterminer leur ancienneté, éventuellement antérieure de plusieurs années. »

    Des autopsies aujourd’hui

    L’enquête est confiée à la compagnie de gendarmerie de la Flèche. « Les examens techniques ont été réalisés sur les lieux ainsi que les auditions des occupants du logement et de leurs proches. » Les investigations scientifiques et particulièrement les autopsies qui seront réalisées au cours de la journée « devront permettre de déterminer l’âge des restes potentiellement à l’état de fœtus au moment de leur décès. Ainsi que d’identifier leurs parents. À ce stade aucune hypothèse n’est écartée par les enquêteurs », conclut le parquet du Mans.

    Les gendarmes sur place

    L’habitante de cette maison, âgée de 44 ans, mère d’une première union, d’un fils de 12 ans et d’une fille de 20 ans, est décédée il y a quelques jours d’un cancer. Elle a été inhumée il y a peu. C’est son compagnon, en faisant du rangement dans son garage, qui a fait la macabre découverte.

    Ouest-France


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  • La garde civile espagnole a pu compter sur des soutiens inattendus dans sa lutte contre le trafic de drogue: les baigneurs! Des dizaines de vacanciers ont participé à l’arrestation de deux narcotrafiquants le 15 août dernier, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article.

    Poursuivis par un navire de la garde civile, les deux narcos ont décidé de foncer sur la plage de Melicena, à Sorvilán dans la province de Grenade. Mais les deux individus avaient visiblement sous-estimé la ténacité des badauds, qui assistaient à la course-poursuite depuis de longues minutes.

    À peine arrivés sur la plage, les deux individus ont été pourchassés par les baigneurs, parmi lesquels se trouvait un sergent de la garde civile en congés. L’un des deux trafiquants a été maîtrisé par les dizaines de vacanciers tandis que le second a été arrêté par les forces de l’ordre quelques minutes plus tard.

    Les deux suspects, âgés de 43 et 32 ​​ans, ont été conduits dans des cellules de prison à Salobreña. La valeur de la cargaison qu’ils transportaient, 808 kilos de haschich au total, est évaluée à 1,5 million d’euros.

    Huffpost

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  • Un homme de 28 ans, de nationalité congolaise, tué par balles au volant de son véhicule à Tours, dans la nuit de vendredi à samedi.

    Une enquête pour assassinat a été ouverte après la mort dans la nuit de vendredi 20 à samedi 21 août d’un homme de 28 ans, tué par balles au volant de son véhicule à Tours (Indre-et-Loire).

    Les faits se sont déroulés à une heure du matin, allée Aimée-de la-Rochefoucault, à Tours, dans un quartier résidentiel situé du sud de la ville.

    Plusieurs témoins ont entendu des détonations et ont fait appel aux pompiers​, a indiqué le procureur de la République de Tours, Grégoire Dulin. Arrivés en premier sur place, les pompiers n’ont pu que constater le décès de l’individu.

    Dis douilles trouvées

    Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime se trouvait au volant de son véhicule, à l’arrêt et moteur tournant sur un emplacement de stationnement, lorsqu’elle a été atteinte par plusieurs balles de gros calibre tirées par un ou plusieurs individus qui sont parvenus à prendre la fuite, a précisé le procureur.

    Dix douilles ont été retrouvées à proximité du corps de la victime.

    Cette dernière, de nationalité congolaise, était connue des services de police et de la justice pour des faits de « violences aggravées »​, « violences sur conjoint », détention et usage de stupéfiants, commis à Troyes, Bordeaux et en région parisienne, a ajouté le procureur.

    Une enquête a été ouverte pour d’assassinat ​et une autopsie devait être réalisée lundi à l’institut médico-légal de Tours. Grégoire Dulin précise qu’« aucune hypothèse n’est encore privilégiée à ce stade » et qu’il n’y a pas de garde à vue en cours.

    Ouest-France


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  • Les trois hommes âgés de 25, 26 et 27 ans étaient tous connus pour des trafics de stupéfiants

    Une nuit sanglante. A Marseille, trois hommes ont perdu la vie dans de probables règlements de compte dans la nuit de samedi à dimanche, a-t-on appris de source proche de l’enquête. Vers minuit, deux hommes âgés de 25 et 26 ans ont été tués de plusieurs balles dans la cité de La Marine bleue, dans le 14e arrondissement. Des calibres de 9 mm et de fusil d’assaut ont été retrouvés dans ce quartier pauvre de la cité phocéenne. D’après plusieurs témoins, des personnes seraient arrivées en voiture et auraient tiré sur les deux hommes.

    La même nuit, d’autres coups de feu ont éclaté dans le 4e arrondissement. Des témoins ont appelé la police pour leur signaler qu’une personne avait été emmenée de force dans un véhicule. Cette voiture a été retrouvée en train de brûler un peu plus tard dans la nuit dans le 13e arrondissement. A l’intérieur, les secours ont découvert le corps calciné d’un homme de 27 ans.

    Un adolescent tué il y a quelques jours

    Comme les deux premières victimes, cet homme était connu de la justice pour des trafics de stupéfiants. « Il n’est pas impossible que ces deux événements soient liés », a avancé une source proche de l’enquête. « S’il est trop tôt pour déterminer les motivations des auteurs de cet acte, ce nouvel épisode de violence n’entame pas la détermination des services de l’Etat à lutter sans relâche contre les trafics et la circulation des armes et à mettre tous les moyens pour retrouver les auteurs de ces homicides », a réagi auprès de l’AFP la préfète de police, Frédérique Camilleri.

    Il y a quelques jours, un adolescent de 14 ans avait été tué par balles dans une cité du 14e arrondissement de Marseille. Deux autres enfants de 8 et 14 ans avaient été blessés.

    20 Minutes


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