• Âgés de 17 ans, quatre adolescents sont soupçonnés d’avoir commis plusieurs vols par effraction à Paris au mois de juillet. Ils ont été interpellés en flagrant délit dans le XVIe arrondissement et mis en examen.

    Quatre adolescents âgés de 17 ans ont été mis en examen par un juge pour enfants de Paris (Ile-de-France). Ils sont suspectés d’avoir commis une série de vols par effraction au mois de juillet dans la capitale, rapporte Le Parisien jeudi 19 août. Fin juillet, les quatre mis en cause ont été pris en flagrant délit dans le XVIe arrondissement de Paris.

    Les policiers ont d’abord aperçu deux adolescents entrer dans un immeuble cossu. Trente minutes plus tard, ces derniers seraient sortis du bâtiment, accompagnés de deux complices, avec un sac noir et une valise à roulette, écrivent nos confrères.

    Un préjudice estimé à 80 000 €

    Une voiture de police est alors passée à leur hauteur. Les cambrioleurs présumés auraient jeté leur butin au sol. Les agents de la police judiciaire ont ensuite interpellé les suspects. Les enquêteurs ont entièrement fouillé les lieux. Les voleurs auraient ainsi dérobé des bijoux, des vêtements de marque ainsi que du matériel multimédia pour un préjudice estimé à 80 000 €, indique le quotidien francilien.

    En outre, le quatuor est soupçonné d’avoir cambriolé début juillet un autre appartement, situé dans le XIIIe arrondissement. Ils se seraient alors emparés de 10 000 € de bijoux. Un passe qui sert à ouvrir les portes d’immeuble a été retrouvé sur l’un des adolescents, note Le Parisien.

    Ouest-France


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  • La permanence du député LREM Sacha Houlié incendiée à Poitiers

    La permanence à Poitiers du député LREM Sacha Houlié a été « volontairement incendiée » dans la nuit du jeudi 19 au vendredi 20 août. Le parquet de Poitiers a annoncé l’ouverture d’une enquête.

    « Ma permanence, ce lieu précieux où j’accueille à Poitiers nos concitoyens, a été cette nuit volontairement incendiée », a écrit ce vendredi sur Twitter le député, ajoutant que « cet acte inadmissible » n’entame « en rien [sa] détermination pour agir chaque jour dans l’intérêt général au service des Français ». Le parquet a indiqué à l’AFP qu’une enquête est en cours et « aucune piste écartée ».

     

    Plusieurs responsables politiques de tous bords, comme Stanislas Guerini pour LREM ou Guillaume Larrivé (LR) ont assuré le député de leur soutien. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin souhaite que l’auteur des faits, s’il s’agit bien d’un crime, soit puni. « Si la piste criminelle est confirmée, je veux dire l’abjection que m’inspire le fait de s’en prendre à une permanence d’un représentant du peuple » a-t-il tweeté.

    Pour Jean-Luc Mélenchon (LFI), « mettre le feu à une permanence parlementaire est un double crime d’incendiaire et d’antiparlementarisme. La démocratie, c’est le droit à la contradiction pacifique. Solidarité », a-t-il tweeté.

    L'OBS


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  • Le nourrisson est mort sur le coup

    Un bébé de 11 mois est décédé ce jeudi à la suite d’ une chute du cinquième étage d’un immeuble à Versailles ( Yvelines), rapporte Le Parisien. Les parents du bébé étaient en train de faire le ménage dans leur appartement et avaient ouvert la fenêtre du salon pour aérer. « Ils ont tous les deux quitté la pièce principale pendant un instant et c’est à ce moment-là que le nourrisson a réussi à monter sur le canapé puis est tombé par la fenêtre », rapporte une source proche du dossier cité par Le Parisien.

    Une enquête a été confiée à la Sûreté départementale des Yvelines, qui devra définir la responsabilité des parents. Selon l’article 227-17 du Code pénal, le fait de « se soustraire à ses obligations légales au point de compromettre la santé ou la sécurité de son enfant mineur » est passible de deux ans d’emprisonnement et de 30.000 euros d’amende.

    Mercredi 28 juillet, un drame similaire a failli se produire à Epône (Yvelines), lorsqu’une fillette de 2 ans avait grimpé sur un balcon et passait sa tête à travers les barreaux. Heureusement, elle a vite été aperçu et des policiers étaient intervenus alors que la mère de l’enfant s’était absentée. L’enfant a été pris en charge par les services sociaux.

    20 Minutes


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  • Jura : Eloignés l’un de l’autre, les deux époux décèdent dans la même heure, le jour de la Saint-Amour

    Arlette et Roland étaient séparés pour des raisons de santé la nuit de leur décès. Le couple s'est éteint à 35 minutes d'intervalle, après 64 ans de mariage

    C’est une histoire triste et belle à la fois que raconte le quotidien Le Progrès ce vendredi. Elle se déroule dans le Jura, à Lons-le-Saunier, non loin de la Suisse et de la petite commune française de Saint-Amour. De l’amour, justement, les époux Roland et Arlette n’en ont probablement pas manqué puisqu’ils devaient fêter en fin d’année leurs 65 ans de mariage. Un anniversaire qu’ils auraient peut-être célébré avec leurs cinq enfants et douze petits enfants.

     

    Mais le couple, originaire du Nord, était âgé de près de 90 ans et avait la santé fragile. Roland résidait depuis peu dans un Ehpad. Arlette vivait seule mais venait d’être hospitalisée. Séparés, tous deux se sont finalement éteints à quelques minutes d’intervalle, en pleine nuit. L’un à 1h15, l’autre à 1h50. C’était le 9 août, jour de la… Saint-Amour.

    20 Minutes


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  • Noyade d’un enfant de 7 ans dans un petit étang près de Rennes

     

    Le drame s’est déroulé jeudi 19 août, vers 18 h, à l’étang du Vau-Gaillard à Bruz, près de Rennes. Un enfant de 7 ans s’y est noyé. Malgré les longs efforts des urgentistes du Samu, il n’a pu être réanimé.

    Les cris de la maman sont déchirants. Pendant plus d’une heure, les urgentistes du Samu de Rennes ont tenté de faire repartir le cœur du petit Noé qui venait d’avoir 7 ans, le 11 août. Mais malgré tous leurs efforts, ils n’ont pas réussi à réanimer le petit garçon qui s’est noyé dans l’étang du Vau-Gaillard à Bruz, près de Rennes.

    Sa maman, qui est à côté du petit corps, refuse d’accepter l’inacceptable. Autour de l’étang, c’est la consternation. Des gens pleurent et d’autres prient. Des habitants de ce quartier boisé qui ont appris le drame qui s’est noué en fin de journée ce jeudi 19 août sont venus mais restent à distance. « C’est horrible. Personne ne se baigne dans cet étang. D’ailleurs la baignade est interdite », confie une mère de famille les yeux embués.

    « Mon fils avait l’habitude de jouer avec Noé »

    « Mon enfant avait l’habitude de s’amuser avec Noé, explique un homme. Comme tous les jours, ils allaient jouer au foot près du terrain de sport mais ils n’allaient pas près de l’étang. En fin de journée, mon fils a sonné chez un voisin pour dire que Noé était tombé dans l’étang. Lui aussi était tombé dedans mais avait réussi à remonter sur la berge. »

    Le voisin se précipite alors vers le petit plan d’eau aux berges abruptes. Quelques minutes de marche lui sont nécessaires. « Quand je suis arrivé près de l’étang, je n’ai pas vu le corps de Noé. J’ai alors appelé les pompiers mais ils étaient déjà au courant. »

    Une cellule psychologique mise en place

    Les pompiers arrivent sur place peu après 18 h. Plusieurs d’entre eux se mettent à l’eau pour chercher le corps. Ils le remonteront sur la berge 15 minutes plus tard mais il est déjà en arrêt cardio-respiratoire. Ils commencent le massage cardiaque et vont être très vite relayés par les médecins du Samu qui vont tout mettre en œuvre pour tenter de sauver le petit garçon. En vain. Vers 19 h 45, ils prononçaient le décès de l’enfant.

    Une cellule psychologique a été également dépêchée sur place. Une enquête devrait être ouverte par la gendarmerie pour déterminer exactement les causes de la noyade. La thèse de la chute accidentelle est évoquée. Ou celle du ballon qui serait tombé à l’eau et que les enfants auraient essayé de récupérer.

    Ouest-France


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  • Une femme de 93 ans a reçu plusieurs coups de couteau et a été frappée, à Achicourt, près d’Arras (Pas-de-Calais). Un mineur de 13 ans a été placé en garde à vue. Il est déjà connu de la justice.

    Une nonagénaire a été victime d’une violente agression dans la rue Ernest-Renan à Achicourt, vers 16 heures ce mardi raconte La Voix du Nord. L’agresseur présumé qui n’est âgé que de 13 ans, est notamment accusé de lui avoir porté trois coups de couteau.

    La police a précisé que c’est un ballon qui serait au départ de cette affaire. Un ballon qui aurait atterri dans le jardin d’une riveraine, alors que l’adolescent jouait avec. Pour le récupérer, il a décidé de passer par-dessus la clôture. Une retraitée de 93 ans l’a aperçu puis l’aurait invité à dire bonjour, ainsi que de bien vouloir demander la permission avant de pénétrer dans cette propriété.

    Une dizaine de points de suture

    Des remarques que l’adolescent n’aurait pas apprécié. Il aurait donné trois coups de couteau au niveau d’un avant-bras de la nonagénaire, puis se serait saisi de sa canne pour la molester avec, décrit le quotidien régional. La victime a été amenée à l’hôpital d’Arras où elle s’est fait poser une dizaine de points de suture. Elle a néanmoins pu regagner son domicile le soir même.

    La police a rapidement identifié l’auteur présumé des faits. Cet adolescent de 13 ans aurait récemment été placé dans un foyer à Achicourt, après en avoir fréquenté d’autres. Déjà connu de la justice, il devrait être déféré au parquet de Béthune ce jeudi matin en vue de sa mise en examen.

    ACTU 17

    Ce jeune devrait être mis en maison de redressement jusqu'à sa majorité mais, hélas, ces maisons n'existent plus !


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  • Strasbourg : Un homme de 67 ans victime d’un malaise à son domicile, son chat lui sauve la vie

    Ce sont les miaulements d’un chat à une fenêtre d’un appartement à Strasbourg (Bas-Rhin) qui ont attiré l’attention de plusieurs voisines. Ces dernières ont donné l’alerte. Un homme de 67 ans a pu être secouru à temps.

    Cet habitant peut remercier son chat. Des voisines l’ont aperçu alors qu’il miaulait à la fenêtre du logement ce mardi. Elles ont alors décidé de prévenir la police. « Les policiers strasbourgeois sont intervenus suite à un appel 17 pour venir en aide à un chaton seul dans une véranda depuis 3 jours », détaille la police nationale du département sur Twitter.

    « Sur place, ils se sont introduits dans l’appartement par une fenêtre laissée ouverte et ont découvert un homme affaibli au sol », précise la police. Cet homme de 67 ans avait été victime d’un malaise et serait resté par terre durant 72 heures. Il a pu être pris en charge par le SAMU à temps.

    Le félin a quant à lui été confié à la SPA de Strasbourg. « Cet homme ne le sait certainement pas, mais c’est son chat et la bienveillance de ses voisines qui lui ont sauvé la vie ! Bravo ! », conclut la police.

    ACTU 17

     
     
    @PoliceNat67
    ·
    18 août
     
    Merci à la de nous avoir fait parvenir la photo de l’héroïne du jour, dont on ignore pour l’heure le p’tit nom! Chat-peau bas mademoiselle!

    Strasbourg : Un homme de 67 ans victime d’un malaise à son domicile, son chat lui sauve la vie


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  • Ado tué à Marseille: Gérald Darmanin dénonce la "terreur qui s'installe dans des quartiers"

    Le ministre de l'Intérieur a fait le lien entre les faits, survenus mercredi soir aux Marronniers, et l'emprise des trafiquants de drogue dans certaines cités. Selon le parquet, les agresseurs ont fait usage d'une arme de type kalachnikov. Deux autres mineurs ont également été blessés.

    La cité des Marronniers, dans le 14e arrondissement, a été le théâtre de tirs à l'arme automatique mercredi soir. Un adolescent de 14 ans a été tué, un autre du même âge a été blessé et un enfant de 8 ans également. En déplacement à Gardanne, près de Marseille, Gérald Darmanin a condamné ce jeudi "des faits absolument inacceptables".

     

    Le ministre de l'Intérieur a fait le lien entre cette affaire et la "terreur qui s’installe dans des quartiers dont on sait qu’ils sont la proie des trafiquants de drogue".

    "Les enquêtes judiciaires sont en cours, mais a priori, il apparaît assez évident que la guerre des territoires que des cités peuvent se livrer pour récupérer des points de deal très rémunérateurs est sans doute une des raisons de ces attaques à main armée qui touchent des jeunes", a-t-il ajouté.

    Le ministre de l'Intérieur s'est néanmoins félicité d'une division "par deux" des règlements de comptes dans la ville de Marseille sur les dix dernières années.

    Deux personnes en fuite

    Interrogé par l'Agence France-Presse (AFP), le parquet de Marseille a fait état d'une "intervention d'une moto avec a priori deux personnes armées d'au moins un fusil d'assaut, type kalachnikov, qui ont fait feu (...) dans la rue" mercredi soir. Ces deux personnes sont en fuite, a-t-il ajouté.

    Le parquet n'a pas précisé si les mineurs étaient spécifiquement visés par les personnes armées.

    Plusieurs homicides par balles ont eu lieu ces derniers mois dans la deuxième ville de France, dans des cités et quartiers touchés par les trafics de drogue. Il y a une semaine, un homme a été abattu et un autre blessé par balles lors d'une fusillade dans le quartier de la Belle-de-Mai.

    Des renforts de police attendus

    Onze personnes ont officiellement été tuées depuis le début de l'année dans des règlements de compte, selon des chiffres de la préfecture de police de la mi-août.

    C'est dans ce contexte que le ministre de l'Intérieur a rappelé que les effectifs de police allaient être augmentés "de manière considérable". Une centaine de nouveaux membres doivent renforcer les rangs des forces de l'ordre marseillaise, a-t-il souligné. Une partie d'entre eux est déjà sur place, "les autres arriveront en septembre".

    BFM.TV


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  • Un chauffard de 51 ans, ivre et souffrant de psychose, comparaît à partir de jeudi pour avoir tué cinq personnes, dont un bébé, et blessé grièvement 14 autres en fonçant dans une zone piétonne juste avant Noël.

    Ce drame avait semé la terreur dans la ville de Trèves, dans le sud-ouest du pays où les faits se sont déroulés le 1er décembre 2020, et mis le pays en état de choc. Les juges de la Cour régionale de cette cité proche du Luxembourg devront déterminer si l'accusé n'est ou non que partiellement responsable de ses actes en raison de troubles psychiatriques avérés.

    Les enquêteurs ont écarté à l'époque des faits toute motivation politique, terroriste ou religieuse.

    L'homme dont l'identité n'a pas été révélée, répond de quintuple meurtre, de tentative de meurtre dans 18 cas ainsi que de blessures graves dans 14 cas, selon l'acte d'accusation.

    En début d'après-midi, au volant de son véhicule SUV, le quinquagénaire originaire de la région avait "heurté et écrasé des passants au hasard" dans une zone piétonne, selon la police.

    La voiture avait parcouru entre 600 mètres et un kilomètre à vive allure, percutant tout sur son passage et suscitant la panique en cette période de l'avant Noël.

    Selon l'accusation, il a foncé à dessein sur des passants afin d'en tuer ou d'en blesser un maximum. L'homme était frustré par sa situation personnelle et était en outre alcoolisé au moment des faits.

    RMC


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  • Nathalie Maillet, directrice depuis 2016 du circuit belge de Spa-Francorchamps - où se disputait dimanche 15 août 2021 la dernière journée du rallye d'Ypres, 8e manche du championnat WRC -, a été retrouvée morte, tuée par balle, à son domicile de Limerlé.

    Un drame causé par une relation extraconjugale ?

    Selon plusieurs médias belges, qui citent le parquet, c'est dans la nuit de samedi à dimanche, que la Française Nathalie Maillet a été assassinée par son mari Franz Dubois qui a également tué une autre femme, Ann Lawrence Durviaux, une avocate et professeure de l'Université de Liège. Cette personne aurait été la possible maîtresse de la patronne du circuit automobile.

    Selon les informations de SudInfo.be, Franz Dubois, préparateur automobile, aurait découvert son épouse depuis dix-sept ans et sa supposée maîtresse au lit. "Les deux femmes entretenaient une relation extraconjugale depuis un certain temps (...) Après avoir découvert sa femme dans le lit familial en compagnie d'Ann Lawrence Durviaux, l'ancien pilote de course, dans un moment de folie, a commis l'irréparable. Il s'est saisi d'une arme et a froidement abattu les deux femmes", écrivent nos confrères.

    Franz Dubois, qui se "trouvait à un dîner pour fêter la 100e saison du circuit de Spa quelques heures plus tôt" et "avait repris le volant après avoir bu beaucoup d'alcool", a prévenu la police de son geste avant de se donner la mort à son tour en retournant son arme contre lui. Les habitants de cette petite ville ont appris la nouvelle vers 2h du matin après avoir entendu les sirènes des voitures de police et des secours...

    Le choc et les hommages

    Très vite, les hommages se sont multipliés. "Très choqué et attristé par la brutale disparition de Nathalie Maillet, directrice du @circuitspa. Elle incarnait ce haut lieu du sport automobile. Toutes mes pensées et ma solidarité vont à sa famille, à ses amis et aux équipes de Spa-Francorchamps", a notamment écrit Jean Todt - qui a récemment donné des nouvelles de Michael Schumacher - sur Twitter.

    Quant à la ministre belge, notamment en charge des Droits des femmes, Christie Morreale, elle a écrit : "Ann Lawrence Durviaux était 1 grande juriste,1 professionnelle rigoureuse,1 femme de conviction. Elle a été abattue cette nuit ainsi que Nathalie Maillet. Ce double meurtre est une tragédie, 1 perte énorme pour l'#uliege, les féministes, les amoureux du droit et de la justice. Elle a notamment contribué par ses conseils juridiques à mettre en place les centres de vaccination en Wallonie. Les mots me manquent pour décrire ma colère, ma tristesse à cet instant. Mes plus sincères condoléances aux proches des 2 victimes."

    Pure People


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  • Rennes : « Je n’ai plus de frein »… Une voiture de police explose la vitrine d’une fleuriste

     

    Le véhicule rentrait au commissariat après l’interpellation d’une personne

    Elle s’en tire avec une immense frayeur. Propriétaire du magasin Au Jardin d’Alicante, Dominique a vu la vitrine de sa boutique exploser en une seconde lundi. Alors qu’elle se trouvait dans son magasin, la fleuriste de Rennes a vu arriver un véhicule dans sa vitrine vers 16h15. « J’avais l’impression que la voiture roulait à vive allure. Je l’ai entendue arriver et elle a percuté les poteaux qui protègent le passage piéton. Ça a freiné sa course mais elle a quand même explosé la vitrine », raconte la fleuriste.

    A l’intérieur de la Ford banalisée, Dominique voit descendre deux policiers. Membres de la brigade anticriminalité, ils revenaient d’une intervention dans le quartier du Blosne, à Rennes, et rentraient au commissariat avec un homme à bord. Ils auraient actionné leur gyrophare et leur sirène deux-tons alors que l’interpellé s’agitait à l’arrière, comme l'a révélé Actu.fr. « L’homme est devenu très virulent dans la voiture. Il se débattait, donnait des coups, il hurlait », explique une source policière.

    Le conducteur a été légèrement blessé aux cervicales et au dos. Avant l’accident, ce dernier aurait lancé : « je n’ai plus de frein » à son collègue. Une version qu’il a également présentée à Dominique après être sorti du véhicule. « Il m’a dit que ses freins ne répondaient plus », poursuit la fleuriste.

    Une enquête ouverte

    Le magasin de Dominique reste ouvert malgré les dégradations. Une réparation de fortune a permis de fermer la baie vitrée. Une enquête a été ouverte et confiée à la brigade accident. Quant à l’homme mis en cause, il a été récupéré par une autre patrouille et conduit au commissariat.

    20 Minutes


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  •  L’accident mortel s’est produit alors que les deux hommes devaient déplacer les bovins entre deux pâturages

    Une attaque de bœufs pourrait avoir été à l’origine de la mort d’un homme de 78 ans et son fils de 52 ans en Norvège, a annoncé lundi la police, qui a évoqué un « tragique accident ». Selon les témoignages de la famille recueillis par les forces de l’ordre, les deux hommes devaient déplacer des bovins entre deux pâturages quand l’accident s’est produit, dimanche, à Sykkylven, une petite commune située dans l’ouest de ce pays scandinave.

    Des circonstances à éclaircir

    « Quelque chose s’est produit sur place qui a probablement conduit les animaux à s’en prendre aux deux hommes de telle manière qu’ils ont été blessés et ont succombé », a déclaré l’inspecteur Tony Gjerde au cours d’une conférence de presse. « Comment cela s’est-il exactement passé, nous ne le savons pas encore dans le détail », a-t-il ajouté. La police a dit ne pas travailler sur d’autres hypothèses.

    20 Minutes

    Norvège : Un père et son fils retrouvés morts après une probable attaque de bœufs


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  • Parti faire des implants capillaires en Turquie, Fabien Azoulay revient en France après 4 ans de prison pour avoir acheté du GHB

    Les avocats de Fabien Azoulay, un Français condamné à 16 ans de prison par la justice turque pour détention de stupéfiants, devait être transféré mardi en France pour y finir de purger sa peine.

    "Nous sommes heureux d'annoncer que Fabien Azoulay, détenu en Turquie depuis quatre ans, sera transféré en France aujourd'hui [mardi]", déclarent Me Carole-Olivia Montenot et Me François Zimeray dans un communiqué, saluant "l'aboutissement d'un long combat dans lequel la mobilisation de l'opinion publique aura été décisive".

    "Une belle nouvelle, un grand soulagement, l'aboutissement d'une mobilisation collective et juste", a écrit sur Twitter le secrétaire d'Etat français aux Affaires européennes, Clément Beaune.

    Lors d'un court voyage en 2017 à Istanbul pour réaliser des implants capillaires, Fabien Azoulay, aujourd'hui âgé de 43 ans, avait été arrêté pour avoir acheté sur Internet une fiole de GBL. Le GBL est un produit chimique utilisé comme solvant à peinture qui, une fois ingéré, se transforme dans le corps en GHB, autrement appelé la "drogue du violeur".

    Selon ses avocats, il ne savait pas que ce produit avait été interdit en Turquie six mois plus tôt et s'était fait livrer "en toute bonne foi". Le Français, également de nationalité américaine, avait été condamné à vingt ans de réclusion pour "importation de stupéfiants", une peine ensuite ramenée à seize ans et huit mois en appel.

    Violenté en prison: "Des brûlures en raison de son homosexualité et de son appartenance à la religion juive"

    "Dès son arrivée sur le territoire français, nous saisirons la juridiction compétente en vue d'une prochaine remise en liberté de Fabien Azoulay", indiquent les avocats, qui ont l'intention de déposer une requête afin d'adapter sa peine et la ramener à cinq ans, comme le prévoit le code pénal français pour cette infraction.

    En avril, Mes Montenot et Zimeray avaient évoqué pour la première fois publiquement le cas de leur client, indiquant qu'il avait été "victime de violences aggravées commises par un codétenu" qui lui avait infligé en 2018 "des brûlures en raison de son homosexualité et de son appartenance à la religion juive".

    RMC


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  • Une petite fille américaine née alors que sa mère était atteinte du covid-19 est désormais orpheline. Ses parents ont tous les deux succombé au virus.

    Une histoire tragique partagée jeudi dernier lors d’une réunion en ligne sur l’impact du covid-19. Wilson Thomas, président du Ochsner Health System, aux Etats-Unis, a raconté comment une petite fille à peine née s’est retrouvée orpheline à cause du virus. La mère de l’enfant, âgée de 32 ans, a été déclarée positive au covid-19 alors qu’elle était enceinte. Son état se dégradant, elle a été admise dans un hôpital du Mississippi pour recevoir un traitement. Mais malgré son jeune âge «et très peu de problèmes de santé», elle a succombé au virus.

    Wilson Thomas a expliqué que son dernier acte de vie avait été de donner naissance, par césarienne, à sa fille. Le bébé a ensuite été transféré dans un autre hôpital de l’Alabama, «où elle se porte bien», rapporte la chaîne WBRC. Mais les premiers instants de la petite fille dans le monde ont été marqués par une autre tragédie.

    Son père, lui aussi contaminé par le covid-19, est également mort. Un récit dramatique «qui montre ce qu’il y a de plus terrible». «Ce que nous voyons, c’est qu’il est très difficile de convaincre quiconque de se faire vacciner, jusqu’à ce qu’il soit trop tard», a déploré Wilson Thomas.

    Le Dr Thomas Dobbs, responsable de la santé de l'État du Mississippi, a partagé le sentiment de Wilson Thomas. Jeudi, sur Zoom, il a déclaré que la mort de personnes non vaccinées dans l'État au cours des dernières semaines aurait pu être évitée. «Si ces gens avaient été vaccinés, ils ne seraient pas morts. Je vais être très clair, ils seraient vivants… c’est la vérité que l’on ne peut pas éviter», a-t-il lancé.

     

    Les Etats-Unis, comme de nombreux pays du monde, connaissent une nouvelle vague de covid-19 en raison du variant Delta. Au total, le pays compte plus de 622 000 décès. Un peu plus de 51,3% de la population américaine est complètement vaccinée. Ces personnes pourraient commencer à recevoir dans les semaines qui viennent une troisième dose.

    Paris Match


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  • Une jeune fille de 13 ans a sauvé de la noyade un enfant autiste de quatre ans, en Dordogne, ce dimanche 15 août. Elle s’est confiée à France Bleu sur ce sauvetage.

    L’incident est survenu alors que la jeune fille et sa mère étaient en voiture. « On a vu un enfant qui courait sur la route. On s’est arrêtés, et on l’a trouvé au bord de l’eau. On a crié non, ne saute pas dans l’eau, il nous a regardés, et il a plongé », raconte-t-elle.

    « Et moi j’ai sauté »

    L’enfant « a commencé à bouger les bras, comme s’il avait besoin d’aide », sa mère décide d’appeler les pompiers, « et moi j’ai sauté » dans une eau dans laquelle elle n’a pas pied, confie-t-elle.

    Avant que les pompiers arrivent sur place, l’enfant « s’est agrippé à moi, et j’ai pu le ramener au bord », poursuit la collégienne. Après l’avoir sauvé, elle a voulu resauter pour récupérer le doudou de l’enfant, mais sa mère l’en a empêché.

    Elle a offert son doudou à l’enfant

    Selon les informations de France Bleu, l’enfant était parti d’une maison familiale à proximité.

    Remonté sans son doudou, l’enfant a reçu un beau cadeau. La collégienne est revenue avec sa mère à la maison familiale de l’enfant et elle lui a offert son doudou. Un objet « que mon père m’a offert quand j’étais toute petite », précise-t-elle.

    La collégienne va être décorée

    Son père est décédé d’un cancer l’année dernière. « Si j’ai sauté, c’était parce que je sais ce que coûte une vie », raconte la jeune fille, ajoutant : « Là où il est, je sais qu’il sera fier de moi. Je sais que j’ai fait un bon geste ».

    Pour récompenser cet acte héroïque, le maire de Mussidan, ville dans laquelle s’est produit l’incident, va décorer la collégienne de la médaille de la ville.

    La noyade est toujours la première cause de la mort des moins de 5 ans en Chine et la deuxième aux États-Unis et en France, indique l’OMS. Les baignades estivales ont provoqué 700 noyades accidentelles depuis le mois de juin, en France, selon Santé publique France.

    Ouest-France


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  • Un adolescent de 17 ans a été poignardé à mort dans la nuit de samedi à dimanche à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis). Un différend concernant une cigarette serait au départ des faits. Trois suspects sont activement recherchés par la police.

    La victime serait un mineur isolé de nationalité algérienne né en 2004. Il a été tué d’au moins deux coups de couteau la nuit dernière indique Le Parisien. Tout aurait commencé par un différend autour d’une cigarette entre cet adolescent et trois individus.

    Ces derniers l’ont poignardé une première fois. La victime a pris la fuite et s’est réfugiée à proximité de la polyclinique d’Aubervilliers. Les agresseurs l’ont suivie et l’ont poignardée une seconde fois. Un nouveau coup de couteau qui s’est révélé mortel.

    L’adolescent a été pris en charge par les soignants de la clinique alors qu’il était en arrêt cardio-respiratoire, mais rien n’a pu être fait pour le sauver. Une enquête a été ouverte pour homicide volontaire. Les auteurs sont recherchés par les policiers.

    ACTU 17


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  • Les corps de deux personnes et d'un enfant de 3 ans ont été retrouvés dimanche en fin d'après-midi par des pompiers intervenus pour un début d'incendie dans un pavillon de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne), a appris l'AFP de sources concordantes.

    "Savoir si le feu était accidentel ou criminel"

    Le feu "de faible intensité" était éteint à l'arrivée des pompiers, a expliqué à l'AFP le capitaine Philippe Schupp, du bureau de communication des sapeurs-pompiers de Paris. Les pompiers ont procédé à des opérations de déblayage.

    L'enquête sur l'origine de l'incendie et sur les causes du décès des trois victimes est en cours.

    "Ce qui m'inquiète, c'est de savoir si le feu était accidentel ou criminel", a déclaré à l'AFP Jacques J.P. Martin, le maire de cette commune de plus de 30.000 habitants au Sud de Paris, qui s'est étonné de ce que "le voisinage ne s'en soit pas aperçu".

    BFM.TV


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  • Un drame s’est produit ce jeudi à Plymouth, une ville portuaire de 262 000 habitants située dans le paisible comté du Devon, au sud-ouest de l’Angleterre. En fin d’après-midi, les forces de l’ordre et les services de secours ont été appelés vers 18 heures en raison d’un « incident grave impliquant des armes à feu », dans une zone résidentielle, près des docks de la ville.

    Parmi les victimes, deux femmes de 51 et 66 ans et deux hommes de 43 et 59 ans ont été tués, a précisé la police du Devon et des Cornouailles, tandis que l’agresseur présumé a lui aussi été retrouvé mort. Deux blessés sont soignés à l’hôpital mais leurs blessures ne sont pas considérées comme graves. Au total, six personnes ont trouvé la mort dans ce tragique incident. Peu après la confirmation du bilan par la police, le député local Luke Pollard a réagi sur Twitter en assurant qu’une des victimes était « un enfant de moins de dix ans ». Il s’agit d’une fillette âgée de trois ans.

    LIEN fin de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/royaume-uni-six-morts-apr%C3%A8s-une-fusillade-%C3%A0-plymouth/ar-AANgNp1?ocid=msedgntp


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  • Un enfant âgé de 7 ans est décédé et celui de 9 ans a été évacués dans un état grave, la mère a été légèrement blessée. Plus tard dans la soirée, deux femmes ont été placées en garde à vue

    Peu avant 22h30 jeudi soir à Fréjus, une voiture a renversé sur un trottoire une maman et ses deux enfants à hauteur d’un rond-point, a-t-on appris auprès des pompiers du Var

    Le bilan humain de cet accident est très lourd. Un enfant de 7 ans conduit à l’hôpital de Fréjus en arrêt cardio-respiratoire est décédé, selon des informations de France Info. Celui de 9 ans a été évacué en hélicoptère vers le centre hospitalier de Nice. La mère, légèrement blessée, a été prise en charge par une ambulance et également conduit à l’hôpital de Fréjus. En tout 28 secouristes ont été mobilisés.

     

    La voiture responsable a dans pris la fuite dans un premier temps, avait indiqué les pompiers. Plus tard dans la soirée, deux femmes ont été placées en garde à vue, selon la radio publique. Toutes deux alcoolisées et positive aux stupéfiants pour l'une d'entre elle, elles s'accusent mutuellement d'âvoir été au volant au moment du drame.

    20 Minutes


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