• Un homme a été victime d’une fausse route alimentaire dans un snack-bar de la commune de Terrasson-Lavilledieu (Dordogne), mercredi 22 septembre. La victime, âgée de 68 ans, s’est étouffée avec un wrap. Malgré l’intervention rapide des secours, l’homme est décédé.

    Un homme de 68 ans est décédé, mercredi 22 septembre, à Terrasson-Lavilledieu (Dordogne). En début de soirée, le sexagénaire était attablé dans un snack-bar quand il s’est soudainement étouffé avec son repas, rapporte Sud Ouest.

    Les secours sont rapidement intervenus. Les pompiers ainsi qu’un médecin du Smur ont été dépêchés sur la place. Ces derniers n’ont rien pu faire pour sauver l’homme, victime d’une fausse route. Il est mort dans le véhicule des pompiers, moins d’une heure après son accident.

    Pas d’autopsie

    Selon France Bleu Périgord, le sexagénaire s’est étouffé en mangeant un wrap. La victime, d’origine allemande, habitait la commune. Son corps va être remis à sa famille. Le parquet n’a en effet pas ordonné d’autopsie.

    Dans le Tarn-et-Garonne, il y a quelques jours, un homme avait lui aussi été victime d’une fausse route alimentaire. Il était mort seul chez lui et avait été découvert devant sa table de cuisine par un collègue, inquiet de ne plus avoir de nouvelles.

    Ouest-France


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  • Son époux affirme que leur bateau a chaviré au large de Biscarrosse

    Les circonstances du drame restent à confirmer mais le corps d’une femme a été retrouvé dans la nuit de mardi à mercredi sur la plage Maguide à Biscarrosse dans les Landes. Son mari affirme que leur bateau a chaviré au large quelques heures plus tôt. C’est lui qui a prévenu les secours après avoir été découvert en hypothermie et en état de choc sur la voie publique vers 1h30 du matin, rapporte  France 3 Aquitaine.

    La septuagénaire en arrêt cardiorespiratoire n’a pas pu être réanimée par les secours. Selon le témoignage de son époux, le bateau serait renversé en fin d’après-midi. Le couple se serait alors accroché au voilier jusqu’à ce qu’il coule, précise Sud Ouest. Le mari a réussi à rejoindre le rivage mais pas sa femme qui ne savait pas nager. Le parquet de Mont-de-Marsan affirme qu’un examen du corps de la victime va rapidement avoir lieu pour vérifier les dires de l’époux. Lui aussi va être examiné. Le bateau devrait être repêché ce mercredi.

    20 Minutes


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  • À Madagascar, un affrontement sanglant entre de présumés dahalo, des voleurs de bétails et des villageois a fait au moins 46 morts dans la région de Befotaka Atsimo, dans le Sud-Est de Madagascar. L'affrontement qui a eu lieu vendredi 17 septembre dans la matinée. Un bilan provisoire de la gendarmerie fait état de 42 présumés dahalo tués. Quatre villageois dont un enfant de 10 ans ont aussi trouvé la mort, indique le député de Befotaka Atsimo.

    Il est cinq heures du matin quand environ 120 présumés voleurs de bétails assaillent les hameaux reculés d'Ambohitsohy et Vohitsimbe, dans la commune rurale de Marovitsika.

    « Avertie de cette attaque, l'auto-défense villageoise s'est mise en embuscade », indique le Général Tsiketa, commandant de la circonscription interrégionale de la Gendarmerie Nationale de Fianarantsoa. Il précise que l'auto-défense villageoise était armée de fusils de chasse et d'armes blanches. « Elle a réagi dans le cadre de la légitime défense », poursuit-il. Elle a été rejointe un peu plus tard par quatre gendarmes. L'affrontement a duré plus de six heures.

    Une nouvelle hécatombe

    Les enquêtes de la gendarmerie sont en cours, notamment, pour déterminer les causes d'un si grand nombre de morts. 22 membres des forces de l'ordre ont été envoyés dans la commune. La Commission Nationale Indépendante des Droits de l'Homme (CNIDH) va, elle aussi, dépêcher une enquête sur place. « Ce n'est pas la première fois qu'une attaque dans cette zone tourne à l'hécatombe. Que ce soit des vies perdues de villageois ou de dahalo, il ne s'agit pas de prendre position »,  fait savoir son président Seth Andriamarohasina. Ces derniers mois cette zone du pays a été le théâtre de plusieurs attaques de dahalo et d'affrontements entre communautés villageoises.

    « Le plus important pour la CNIDH, c'est qu'une telle situation n'ait plus à se reproduire et pour cela il faut trouver les moyens de mettre en place un dispositif de sécurité vraiment efficace. Il faut étudier la possibilité de mise en place de base opérationnelle de sécurité avancée pour qu'il y ait des interventions en temps réel en cas d'attaques. Dans ce cas-là, le poste de gendarmerie le plus près se trouve à 16 kilomètres. Donc entre temps, il y a eu des dégâts », signale-t-il. Une délégation du Ministère de la Défense s'est rendue dans le chef-lieu du district, à Farafangana.

    RFI  Avec notre correspondante à Antananarivo, Laetitia Bezain


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  • Gabby Petito : qu'est-il arrivé à l'instagrammeuse, retrouvée morte après un roadtrip ?

    Gabby Petito est partie faire un roadtrip en van avec son amoureux Brian Laundrie, sourire aux lèvres, en juillet dernier : elle n'est jamais revenue de ce voyage en apparence idyllique.

    Depuis plusieurs semaines, les Etats-Unis se passionnent pour ce fait divers. Car la jeune instagrammeuse aux 600 000 abonnés (son compte en compte aujourd'hui un million), originaire de New York, avait pris soin de documenter son voyage. Entre son compte Instagram et Youtube, la jeune femme de 22 ans partageait les étapes de son périple, des photos et des vidéos sur lesquelles elle pose au milieu des paysages spectaculaires du grand Ouest américain.

    Mais à partir du 26 août , Gabby Petito n'a plus rien posté. Plus de photos, plus de nouvelles partagées à sa communauté. Pire : son boyfriend Brian Laundrie, 23 ans, est revenu seul au domicile de ses parents en Floride, le 1er septembre dernier. Un mois avant le retour prévu du couple. C'est à partir du 11 septembre que les parents de la jeune femme vont donner l'alerte : leur fille a cessé de leur téléphoner. La dernière fois que Gabby avait donné signe de vie, fin août, elle se trouvait avec Brian dans la zone du parc national de Grand Teton. Gabby est officiellement portée disparue, mais son compagnon, lui, refuse de parler aux enquêteurs.

    Considéré comme personne "digne d'intérêt pour l'enquête" par les autorités, Brian Laundrie va soudainement s'évaporer dans la nature alors que le corps sans vie de Gabby a finalement été retrouvé ce 19 septembre dans l'État du Wyoming, dans le parc de Grand Teton. Et le verdict du FBI est tombé : la jeune femme a été victime d'un homicide.

    Une vidéo troublante

    Tous les regards se tournent donc vers le principal suspect : Brian Laundrie, devenu l'un des hommes les plus recherchés du pays. D'autant que l'enquête a révélé une vidéo pour le moins troublante : l'intervention filmée par la caméra piéton d'un policier de l'Utah le 12 août dernier alors que le couple venait de se disputer. On y découvre une Gabby Petito en pleurs, visiblement bouleversée. Brian Laundrie, lui, a le bras égratigné et laisse entendre que sa compagne l'a frappé avec son téléphone. Mais aucune plainte ne sera déposée, le couple affirmant être "amoureux".

    Brian Laundrie, introuvable, aurait quitté le domicile de ses parents pour la réserve de Carlton, dans l'ouest de la Floride. La chasse à l'homme lancée par la police de North Port et le FBI est rendue particulièrement ardue en raison de la présence de serpents et d'alligators dans cette zone marécageuse.

    Brian Laundrie sera-t-il bientôt retrouvé ? Quelle version livrera-t-il aux autorités sur la mort de Gabby ? Avouera-t-il son meurtre ? Le pays retient son souffle et les comptes de soutien pour faire toute la lumière sur cette tragique histoire se multiplient sur Instagram.

    Terrafémina


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  • Une femme de 87 ans, dont la famille n’avait plus de nouvelles depuis plusieurs mois, a été retrouvée morte dans le congélateur de sa maison de Riverside, en Californie.

    «USA Today» rapporte que la police a été appelée dimanche par ses proches, afin d’aller vérifier si la retraitée allait bien. Lorsqu’ils sont arrivés sur place, les agents sont tombés sur sa fille de 64 ans, qui vivait sur place. «Nos enquêteurs ont remarqué beaucoup d’incohérences dans ce qu’elle disait. Quelque chose n’allait pas», a déclaré l’agent Javier Cabrera, du bureau du shérif.

     

    En fouillant la maison, la police a découvert le corps de la vieille dame  dans un congélateur installé dans le garage. La police n’a pas précisé depuis combien de temps le cadavre se trouvait là. Une autopsie doit confirmer les causes de sa mort. «On entend parler de ce genre de choses, mais depuis mes 19 années de service, je n’ai personnellement jamais vu une telle chose. Peu importe les circonstances, c’est tragique», a déclaré l’agent Cabrera.

    Le «Press-Entreprise» indique que Miriam Travis est une ancienne membre du bureau du shérif de Los Angeles, pour qui elle a travaillé durant 27 ans, avait perdu son mari en 1992. Depuis la mort de son époux, elle restait éloignée d’une partie de sa famille et avait même changé les serrures de chez elle. «Un jour, elle était ma grand-mère, et le lendemain, nous n’avons plus entendu parler d’elle», a commenté une proche. Elle a décrit la retraitée et sa fille comme des «ermites». «C'est une tragédie comme vous pouvez l'imaginer. Je ne pense pas qu'aucun d'entre nous puisse imaginer garder sa mère dans un congélateur, n'est-ce pas ?», a commenté Randy Hayes, un voisin, auprès de NBC. Il a décrit Miriam Travis – à côté de qui il vivait depuis près de 30 ans – de «très gentille dame». «Je n’ai jamais entendu de problèmes venant de cette maison, jamais de dispute rien de ce genre», a-t-il ajouté.

    Paris Match


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  • Saïd Bogota (Taxi 5) condamné à 16 ans de prison pour tentative de meurtre

    Saïd Bogota a été condamné à 16 ans de prison, ce mercredi 22 septembre. Jugé par la cour d'assises des mineurs de l'Essone, l'acteur de Taxi 5 et Pattaya a séquestré, molesté et tenté de tuer un adolescent de 17 ans.

    La lourde sentence est tombée pour l'acteur Saïd Bogota. Jugé par la cour d'assises des mineurs de l'Essonne, le comédien de Taxi 5 est condamné à 16 ans de prison pour "avoir enlevé, séquestré et tenté de tuer un adolescent de 17 ans", rapportent nos confrères de BFMTV, ce mercredi 22 septembre. Jugés pour participation active aux faits, deux de ses complices ont écopé de 10 et 13 ans de prison, seul "un mineur accusé de complicité d'enlèvement", a été acquitté par la cour.

    Basée sur "fond de jalousie amoureuse", l'affaire remonte au mois de décembre 2018. La victime "apprenti mécanicien de 17 ans, nouveau copain de l'ex-petite amie de Saïd Bogota", est enlevée puis retenue dans la cave d'un immeuble par les agresseurs : "Saïd Bogota et ses deux complices lui font subir de nombreux sévices, dont des jets d'acide et de gaz lacrymogène en plein visage", confie la chaîne d'information.

    La victime incendiée par l'acteur

    L'acteur Saïd Bogota, du film Kaïra qualifié "d'instigateur" du crime aurait activement participé à la tentative de meurtre du mineur : "L'adolescent reçoit deux tirs de flashball à courte distance à la tête avant que Saïd Bogota, de son propre aveu, ne lui inflige une vingtaine de coups de crochet de remorquage au crâne", ajoutent nos confrères de BFMTV. Molesté, le jeune mineur est alors, aspergé d'essence puis incendié par l'acteur et ses complices. Mais la victime fait d'autres révélations accablantes sur Saïd Bogota : "la victime a maintenu avoir entendu Saïd Bogota paniquer :"Maintenant qu'il a vu ma tête, il faut le terminer", rapporte la chaîne d'information. L'avocat de la victime Francis Szpiner, se "réjouit que la cour ait reconnu" et retenu "la préméditation et l’intention d'homicide".

    GALA


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  • Croatie: une femme déboussolée et amnésique retrouvée dans une baie isolée

    La femme a été repérée par un pêcheur qui a prévenu les secours. Semblant âgée d'une soixantaine d'année, elle dit ne pas savoir qui elle est. La police tente de l'identifier.

    Elle est un mystère pour la police et pour elle-même. Une femme a été retrouvée le 12 septembre dernier dans une baie isolée et difficile d'accès, près du village de Soline, au nord de l'île de Krk en Croatie. C'est un pêcheur qui l'a repérée au loin, assise sur un rocher, et qui a donné l'alerte. Pour rejoindre la sexagénaire dans cette crique reculée, les policiers ont dû abandonner leurs véhicules et parcourir à pieds trois kilomètres de chemins escarpés.

    "C'est très étrange qu'elle se soit rendue dans cet endroit qui est extrêmement difficile d'accès, avec des rochers tranchants comme des lames de rasoir", commente un habitant de la région à 24 Sata, le média local qui a révélé l'affaire.

    Une fois arrivés à son niveau, les policiers ont remarqué de nombreuses traces d'égratignures sur son corps et son visage. Tentant de comprendre ce qui est arrivé à cette femme - qui semble avoir passé plusieurs jours dans cette baie - les policiers ont rapidement réalisé qu'elle ne savait pas qui elle était ni comment elle s'était rendue sur cette calanque.

    "Amaigrie et affaiblie"

    Rapatriée sur le continent croate, elle a été prise en charge à l'hôpital de Rijeka.

    "Elle était déshydratée, amaigrie et affaiblie. Elle arrivait à peine à boire toute seule. Nous avons dû l'extraire sur une civière car elle était incapable de marcher", ont rapporté les services de secours cité par CNN.

    Depuis, les policiers sillonnent les hôtels, campings et complexes de locations de la région en brandissant une photo de la femme sans nom, dans l'espoir que quelqu'un la reconnaisse. Elle est blonde aux yeux bleus, âgée d'une soixantaine d'années, elle mesure 1m65 et parle uniquement anglais. Un résident de Soline affirme en tout cas qu'elle ne vient pas du village, tandis qu'un autre théorise:

    "Elle s'est peut-être perdue lors d'une promenade, puis elle est tombée et s'est blessée à la tête, ce qui expliquerait sa perte de mémoire."

    BFM.TV


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  • Des membres du Peloton de gendarmerie de haute montagne sont intervenus pour remonter le corps qui se trouvait au pied de l’édifice, haut de 100 mètres

    Le corps d’une femme de 60 ans a été découvert ce lundi sous un pont de Ponsonnas, en Isère. La sexagénaire a été localisée au pied de l’édifice haut de 100 mètres, dont les amateurs de sensations fortes ont l’habitude de se jeter pour pratiquer le saut à l’élastique.

    Des membres du Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) sont intervenus pour récupérer la victime, qui se trouvait dans une zone difficile d’accès, rapporte Le Dauphiné Libéré. Le corps a été hissé sur le pont à l’aide d’un treuil.

    Une enquête en cours

    Une enquête avait été ouverte par les gendarmes après l’alerte donnée par les proches de la sexagénaire, dans la matinée. Celle-ci avait quitté son domicile de Gières, menaçant de vouloir mettre fin à ses jours. L’analyse de l’activité de son téléphone a permis aux militaires de retrouver son véhicule stationné sur un parking près du pont.

    Les investigations vont se poursuivre pour faire la lumière sur le décès de l’Iséroise, même si la piste du suicide est envisagée.

    20 Minutes


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  •  Le déflagration au cinquième étage d'un bâtiment du quartier de Borny a nécessité l'intervention des pompiers

    La police judiciaire et la direction départementale de la sécurité publique ont été chargées de l’enquête sur l’explosion qui s’est produite dans la nuit de samedi à dimanche à Metz. La déflagration intervenue dans un immeuble a fait au moins un blessé léger.

    Elle est due à un engin explosif dont la nature exacte demeure pour l’instant inconnue, rapporte Le Républicain Lorrain. Les investigations s’orientent vers la piste d’un acte volontaire.

    Les portes du cinquième étage éventrées

    La détonation a eu lieu vers 23h30 au cinquième étage du bâtiment situé rue de Pange, dans le quartier de Borny. « C’était surprenant, on a entendu une grosse explosion et j’ai retrouvé ma porte d’entrée éclatée en deux, a raconté un habitant. Il y avait de la fumée. Toutes les portes d’entrée des quatre appartements étaient sorties de leurs gonds. »

    Les résidents de l’étage ont dû évacuer les lieux. Les occupants des autres logements ont eux aussi quitté le bâtiment pendant presque une heure. La déflagration a été suivie d’un incendie et d’émission de fumées qui ont nécessité l’intervention des pompiers.

    20 Minutes


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  • Un adolescent est décédé des suites d’un coup de couteau lundi soir, apprend-on mardi. Un autre jeune de 17 ans a été arrêté. Il serait l’auteur de l’acte.

    Un adolescent de 16 ans a été tué d’un coup de couteau à la poitrine lundi soir aux Lilas en Seine-Saint-Denis, a-t-on appris mardi 21 septembre 2021 auprès du parquet et de source policière. Il est décédé vers 20 h, a indiqué le parquet de Bobigny.

    Un adolescent de 17 ans, suspecté d’être l’auteur du coup mortel, a été interpellé alors qu’il se trouvait sur un Vélib, peu de temps après les faits, et placé en garde à vue.

    La victime et le suspect ne sont pas connus des services de police

    Les faits ont eu lieu dans un quartier pavillonnaire de la ville, en présence de quelques jeunes, selon une source policière, qui exclut pour l’heure un homicide lié aux phénomènes de bande.

    La victime, originaire de Bagnolet, et le suspect qui réside aux Lilas ne sont pas connus des services de police.

    L’enquête a été confiée à la police judiciaire du département.

    Plusieurs adolescents tués en Ile-de-France

    Plusieurs adolescents ont été tués récemment en Ile-de-France dans des affaires en lien avec les phénomènes de harcèlement en ligne ou d’affrontement entre bandes de jeunes rivales.

    En mai, en l’espace d’une semaine, deux adolescents du Val-de-Marne, âgés de 17 ans avaient été poignardés, à la suite de différends. Alysha, collégienne de 14 ans victime de harcèlement, avait elle été retrouvée noyée dans le Val-d’Oise en mars.

    Plus récemment, un jeune homme de 19 ans est mort en juillet quelques jours après avoir été violemment frappé dans un contexte de rivalités entre bandes originaires de deux villes voisines de l’Essonne.

    Ouest-France

    Seine-Saint-Denis. Un adolescent de 16 ans tué d’un coup de couteau aux Lilas, un suspect arrêté


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  • Près de trois tonnes d'héroïne en provenance d'Afghanistan, d'une valeur estimée à 2,7 milliards de dollars, ont été saisies dans un port de l'ouest de l'Inde, apprend-on lundi de source officielle.

    La cargaison d'héroïne était dissimulée dans deux conteneurs censés contenir du talc. Elle a été découverte par une agence gouvernementale spécialisée dans la lutte contre la contrebande, le trafic d'armes et de drogue (DRI), dans le port de Mundra (Etat du Gujarat). Deux Indiens ont été arrêtés.

    Les deux conteneurs - l'un avec près de deux tonnes d'héroïne et l'autre, une tonne - arrivaient en provenance d'Afghanistan, via un port situé en Iran, a indiqué le DRI.

    La cargaison a été évaluée à 200 milliards de roupies (2,7 milliards de dollars).

    L'Afghanistan est le plus gros producteur mondial d'héroïne, approvisionnant 80 à 90 % du marché dans le monde.

    La production d'héroïne y a fortement augmenté ces dernières années, constituant une source de financement pour les talibans qui sont revenus au pouvoir en août.

    AFP


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  • Lors de la bagarre l'un des deux hommes est tombé dans le port de la Seyne-sur-Mer où il s'est noyé

    Un jeune sans-papiers est décédé noyé dans le port de la Seyne-sur-Mer ( Var) à l’issue d’une bagarre, a appris Var Matin. Contacté par 20 Minutes, le parquet de Toulon, qui s’est saisi de l’affaire, confirme « une rixe qui a mal tourné » entre deux sans-papiers dans la nuit de samedi à dimanche.

    Cinq personnes ont été placées en garde à vue, mais l’enquête s’oriente vers une seule mise en examen. Les quatre autres personnes, d’abord suspectées de violences en réunion, auraient simplement assisté à la scène, précise le parquet.

    L’agresseur, en état d’ébriété, a tenté de plonger pour secourir sa victime, en vain. Cette dernière a été repêchée par les pompiers, arrivés peu après les faits, peu avant 3h du matin.

    20 Minutes

    Voilà un sans-papiers de moins en France ! Triste tout de même !


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  • La septuagénaire se rendait à une partie de chasse lorsqu’elle a été victime d’une sortie de route

    Une femme de 70 ans a perdu la vie dans un accident de la route, ce dimanche sur la commune de Livet-et-Gavet ( Isère). Au volant d’un 4x4, la conductrice a plongé dans un ravin et effectué plusieurs tonneaux avant de s’immobiliser contre un arbre, rapporte Le Dauphiné Libéré.

    Une route boueuse et glissante

    La septuagénaire, originaire de l’Ain, a été éjectée du véhicule et se trouvait en arrêt cardio-respiratoire à l’arrivée des sapeurs-pompiers et du Samu. Les secouristes n’ont pas pu la réanimer. Les sapeurs-pompiers du Groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux (Grimp) sont également intervenus sur place pour vérifier qu’aucune autre personne ne se trouvait dans l’habitacle.

    C’est un homme de 76 ans qui avait donné l’alerte, inquiet de ne pas voir arriver la victime qui devait participer à une partie de chasse, précise France 3 Auvergne Rhône-Alpes. Les gendarmes de la compagnie de La Mure sont chargés de l’enquête sur cet accident mortel. D’après le commandant de la brigade, interrogé par nos confrères, la vitesse ne serait pas en cause. En revanche, le chemin forestier sur lequel circulait l’automobiliste était boueux et glissant après la chute de fortes pluies.

    20 Minutes

    Elle n'avait qu'à pas aller à la chasse !


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  • Un camion des sapeurs-pompiers a roulé sur un homme allongé sur la chaussée dans la nuit de vendredi à samedi à Anzin, une commune de la banlieue de Valenciennes (Nord). Ce dernier est décédé.

    Les pompiers de la caserne d’Anzin ont été appelés pour une intervention vers 03h40. Un véhicule de secours et d’assistance aux victimes (VSAV) s’est rendu sur place explique La Voix du Nord.

    Lors de leur trajet, ils ont roulé accidentellement sur un homme qui était allongé au milieu de la route, dans la rue Lecaillez, à un endroit mal éclairé semble-t-il.

    La victime a rapidement été prise en charge et le SMUR a été sollicité. Cette dernière est malgré tout décédée. Les trois pompiers qui se trouvaient dans ce véhicule sont sous le choc. Une cellule psychologique a été ouverte à la caserne d’Anzin.

    Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances du drame, et comprendre comment cet homme s’est retrouvé allongé sur la chaussée en pleine nuit.

    ACTU 17


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  • A la fin du mois d’août, une dame de 90 ans s’est rendue au casino de jeux Barrière, sur l'île du Ramier de Toulouse, pour y jouer. En veine, elle a gagné 600 euros. Ce qui n’a pas échappé à un homme de 59 ans qui se trouvait dans l’enceinte de l’établissement. Ce dernier l’a alors suivie aux toilettes pour lui subtiliser ses gains.

    Pour y parvenir il l’a étouffée avec sa ceinture et lui a assené plusieurs coups. La nonagénaire a perdu connaissance et il en a profité pour s’enfuir avec son sac, qu’il a abandonné après avoir récupéré l’argent et la carte bancaire. Prise en charge par les secours, la dame a été hospitalisée. Les soignants ont découvert qu’elle souffrait d’une fracture de l’os fémoral.

    Interpellé avec sa compagne

    Entre-temps, son agresseur a demandé à sa compagne de 51 ans d’essayer de retirer de l’argent aux distributeurs en utilisant des codes retrouvés dans le portefeuille de la personne âgée. En vain. Elle finira par s’en servir pour un achat sans contact d’une dizaine d’euros.

    L’enquête, confiée à l'unité des atteintes aux biens de la sûreté départementale, a permis de remonter jusqu’au couple grâce à la vidéosurveillance. Il n’avait pas d’adresse connue des services, mais les policiers ont découvert qu’ils étaient convoqués ces jours-ci dans une autre affaire dans le Lot-et-Garonne. Ils ont été interpellés vers Agen jeudi et placés en garde à vue. Lors de son audition, l’homme a reconnu avoir porté les coups. Avec sa compagne, ils ont été déférés devant la justice et seront jugés lundi en comparution immédiate.

    20 Minutes


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  •  C’est son compagnon qui a appelé les secours. A leur arrivée sur place, ils n’ont pu que constater le décès de cette mère de trois enfants, qui avait des hématomes sur le visage

    Ce dimanche matin, les pompiers de Toulouse ont reçu l’appel d’un homme leur indiquant que sa compagne se trouvait dans un état critique. Lorsqu’ils ont pénétré dans l’appartement du couple, rue Aristide Maillol, les secours n’ont pu que constater le décès de la mère de famille de 23 ans. Son conjoint de 31 ans leur a expliqué qu’il avait tenté de la réanimer en vain.

    Rapidement, les pompiers ont remarqué que la jeune femme décédée avait des hématomes sur le visage et ont appelé les services de police. Ils ont découvert aussi dans une des chambres de l’appartement, trois enfants âgés d’un an, deux ans et quatre ans. Des enfants du couple qui ont été pris en charge.

    Des violences conjugales en juin dernier

    Car entre-temps, avant l’arrivée des forces de l’ordre, l’homme avait quitté le lieu du drame. Ce dernier a fini par se présenter de lui-même au commissariat de Bellefontaine en fin de matinée où il a été placé en garde à vue pour s’expliquer sur les circonstances de la mort de la jeune mère de famille.

    « Les blessures constatées sur la face peuvent être en rapport avec le décès. Il existe un précédent de violences commises par cet homme sur sa compagne qui date de fin juin, sans ITT, qui avait fait l’objet d’une composition pénale, avec l’obligation d’accomplir un stage pour violences conjugales », indique le parquet de Toulouse contacté par 20 Minutes. Ce dernier précise que la police était régulièrement sollicitée par des voisins du couple pour du tapage.

    L’enquête a été confiée à la sûreté départementale et, en fonction de l’audition, une information judiciaire pour « meurtre sur conjoint » pourrait être ouverte dans les heures qui viennent.

    20 Minutes


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  • La bagarre a opposé plus d’une centaine de bikers. L’auteur présumé des coups mortels est en fuite

    Samedi, en marge de l'American Saloon qui se tenait au Parc des Expositions de Tarbes, dans les Hautes-Pyrénées, une violente rixe a fait un mort et deux blessés graves. Alors que se tenait ce salon dédié à la culture américaine, une violente bagarre entre plus d’une centaine de personnes a eu lieu et des coups de couteau ont été portés.

    L’auteur présumé des coups mortels est en fuite. Selon une source policière, la bagarre a opposé des bikers. « On était tellement heureux de pouvoir réactiver des activités ludiques, tout le monde se réjouissait de la tenue de ce salon. On est effondré », a réagi le maire de Tarbes, Gérard Trémège, auprès de l’AFP.

    Ce dernier a fait immédiatement fermer le Parc des Expositions et fait annuler l’American Saloon qui devait se tenir jusqu’à dimanche. Le commissariat de Tarbes et la police judiciaire de Toulouse ont été saisis de l’enquête.

    20 Minurtes


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  • Brest : Le corps sans vie d’un plongeur-démineur retrouvé

    Âgé de 27 ans, le militaire n’était pas remonté à la surface à l’issue d’un entraînement de plongée vendredi

    La communauté militaire est en deuil. Après trente heures de recherche en rade de Brest, le corps sans vie du plongeur-démineur Adam Tahri a été retrouvé samedi vers 19h, a-t-on appris auprès de la préfecture maritime de l’Atlantique. Âgé de 27 ans et originaire du Finistère, le second-maître était porté disparu depuis vendredi après-midi. Il n’était pas remonté à la surface à l’issue d’un entraînement de plongée. D’importants moyens ont alors été déployés pour tenter de le localiser. Les recherches se sont poursuivies samedi malgré l’arrêt des opérations de secours vendredi soir à 21h.

    Le parquet de Brest s’est saisi de l’enquête qui a été confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie maritime de Lorient. Le chef d’état-major de la Marine nationale a rendu hommage sur Twitter au jeune militaire qui était affecté au sein du groupe de plongeurs-démineurs de l’Atlantique. « Mes pensées émues et celles de la Marine accompagnent sa famille et ses camarades », a réagi l’amiral Pierre Vandier.

    20 Minutes


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  • Fontainebleau : une automobiliste fonce sur deux terrasses et fait six blessés

    Le drame semble avoir été évité, mais au prix d’une très grosse frayeur. Ce samedi après-midi, vers 16 heures, une automobiliste a foncé sur les terrasses de deux restaurants de Fontainebleau (Seine-et-Marne), faisant six blessés légers dont quatre ont tout de même dû être évacués vers l’hôpital.

    La femme âgée d’une trentaine d’années venait de la rue Denecourt et « ne roulait pas particulièrement vite » d’après un témoin de la scène. Au moment de tourner à gauche pour prendre la rue de France, elle est rentrée dans la terrasse du restaurant « Au délice impérial » situé à l’angle. Elle a effectué une marche arrière puis redémarré à vive allure dans la rue de France, déviant cette fois-ci sur la terrasse du restaurant « Le France » situé quelques mètres plus loin de l’autre côté de la route et où son véhicule s’est arrêté.

    La piste des troubles psychiatriques privilégiée

    « Elle est restée stoïque dans sa voiture, indique Timothée, serveur au Grand Café. La plupart des clients se sont vite éloignés mais certaines personnes lui ont jeté des chaises et des tables, d’où l’état du pare-brise. » Alors que vient récemment de débuter le procès des attentats du 13 novembre, le jeune homme admet avoir directement pensé à un acte terroriste. Une piste rapidement écartée comme l’indique le procureur de Fontainebleau Arnaud Faugère : « Elle n’est pas connue pour des faits de radicalisation et il est peu probable qu’elle ait agi sous l’effet de stupéfiants par ailleurs. »

    La piste privilégiée est plutôt celle d’un acte consécutif à un déséquilibre mental. Deux policiers à moto sont rapidement arrivés sur place tout comme le maire Frédéric Valletoux. « Elle a été interrogée par la police nationale qui a vite compris qu’elle n’en tirerait pas grand-chose et a donc préféré la transférer aux urgences psychiatriques », explique l’édile. D’après Arnaud Faugère, elle devrait y rester en observation toute la nuit afin de passer des examens.

    La police judiciaire de Versailles saisie

    Les éléments concernant la suspecte sont, en l’état actuel des investigations, encore parcellaires. Elle est originaire de Dammarie-les-Lys mais a vécu dans le secteur de Fontainebleau auparavant. À partir de 19 heures, la place Napoléon Bonaparte a été progressivement rouverte à la circulation tandis que le restaurant « Au délice impérial » a pu procéder au rangement de sa terrasse. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Versailles qui était encore sur place pour recueillir des éléments en début de soirée dans un périmètre délimité autour du restaurant « Le France ».

    Parmi les serveurs des restaurants concernés ou limitrophes, l’émotion est encore vive. « Elle avait des yeux hypnotisés, un de mes collègues est profondément choqué », évoque une serveuse du premier établissement touché. De son côté, Timothée se dit « marqué pour un moment » : « C’est compliqué psychologiquement pour les salariés. On se dit qu’on n’est même pas en sécurité sur notre lieu de travail. »

    Le Parisien


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