• Un jeune homme âgé de 22 ans a été victime d’une attaque mortelle à Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis) ce jeudi après-midi. Percuté par une voiture, il a ensuite été poignardé à plusieurs reprises. Son décès a été prononcé sur place. La police judiciaire est chargée de l’enquête.

    Ses agresseurs ne lui ont laissé aucune chance. Jimmy, 22 ans, également connu sous le nom de « Détroit 93 TR » a été tué en pleine rue à Tremblay-en-France vers 16h45, rapporte Le Parisien. A l’arrivée des policiers municipaux dans la rue Paul-Langevin, il était déjà trop tard pour sauver la victime qui gisait dans une mare de sang.

    Le défunt se trouvait avec plusieurs amis lorsqu’il a été attaqué par un groupe d’individus. A bord d’une voiture, ils l’ont d’abord percuté. L’un des occupants du véhicule l’a ensuite poignardé au thorax et au cou. Les auteurs ont pris la fuite.

    Jimmy était connu dans le quartier et les habitants sont sous le choc. « Il voulait changer de vie, il s’était rasé les cheveux et projetait d’aller rejoindre sa mère en Guadeloupe », a confié une riveraine, au quotidien francilien.

    Les policiers du service départemental de police judiciaire de Seine-Saint-Denis (SDPJ 93) sont chargés de l’enquête, qui devra déterminer les motivations des auteurs mais également s’ils ont prémédité leur acte.

    ACTU 17


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  • Le corps calciné d’un homme a été découvert non loin du parc Corot à Marseille (13e), dans les quartiers Nord, dans la nuit de jeudi à vendredi. La victime présentait des impacts de balle. La police judiciaire est saisie de l’enquête.

    Les marins-pompiers ont été appelés pour un feu de broussailles vers 05h30 la nuit dernière, sur un terrain vague situé à l’arrière d’un immeuble de l’avenue Corot, selon une source proche de l’enquête, confirmant une information de La Provence.

    Sur place, les soldats du feu ont découvert qu’un corps sans vie avait été incendié. Les policiers sont arrivés à leur tour et ont procédé à des constatations. Le défunt, quasi entièrement brûlé, présentait plusieurs impacts de balle à une jambe. Ce dernier pourrait être mineur selon cette même source. Son identification était en cours ce vendredi matin.

    Selon les premiers éléments, deux suspects auraient extrait le corps de la victime d’une voiture avant d’y mettre le feu et de prendre la fuite.

    La police judiciaire a été chargée de l’enquête. Il pourrait s’agir d’un nouveau règlement de comptes dans la citée phocéenne, le seizième depuis le début de l’année.

    ACTU 17


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  • Seine-Maritime: Un routier retrouvé mort au pied de son camion, une enquête ouverte

     D'après les premiers éléments des investigations, l'homme de 39 ans aurait pu être percuté par un autre véhicule

    Un routier a perdu la vie ce jeudi au Grand-Quevilly, près de Rouen ( Seine-Maritime). L’homme a été retrouvé inconscient au pied de son camion vers 7 heures, rapporte 76actu. Pris en charge par les sapeurs-pompiers et le Samu, le chauffeur âgé de 39 ans et originaire de la Somme n’a pas pu être réanimé.

    Une enquête en cours

    Le corps de la victime se trouvait près d’un restaurant routier situé en bord de voie rapide. D’après les enquêteurs chargés des premières investigations, la piste du décès naturel serait écartée. L’homme aurait pu être percuté par un véhicule, selon les constatations de l’identité judiciaire sur place.

    « Une enquête est en cours pour rechercher les causes de la mort », a indiqué le procureur de la République de Rouen, Frédéric Teillet. Le groupe d’appui judiciaire de la sûreté départementale est chargé de faire la lumière sur cette mort suspecte. Pour l’heure, aucun appel à témoins n’a encore été diffusé.

    20 Minutes


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  •  L'homme a écopé d'une peine de dix mois de prison, dont six avec sursis, mardi à Saint-Nazaire

    Dix mois d’emprisonnement, dont six avec sursis. Voilà la peine qu’a prononcé le tribunal de Saint-Nazaire, mardi, à l’encontre d’un père de famille. Cet homme d’une cinquantaine d’années était jugé pour avoir proposé à sa fille, alors âgée de 17 ans, de sniffer un rail de cocaïne, rapporte le journal Ouest-France.

    La scène s’était déroulée dans la cuisine du domicile familial de Savenay (Loire-Atlantique), un soir du mois de février 2020. « Je préfère que tu essayes avec moi parce que c’est de la bonne », aurait lancé le père à sa plus grande fille. Cette dernière avait raconté aux enquêteurs avoir tenté de se soustraire avant de s’exécuter, se sentant menacée.

    Lors de l’audience, l’homme a estimé avoir agi par « stupidité ». Ouest-France précise qu’il a été relaxé pour les violences qui lui étaient reprochées, faute de preuves.

    20 Minutes

    10 mois de prison dont 6 avec sursis, autant dire rien !


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  • Une femme âgée de 57 ans a été égorgée dans une maison de Colombelles (Calvados) ce mardi matin. Le tueur présumé, son beau-fils, a été interpellé peu après les faits puis placé en garde à vue.

    Un homme a contacté la police peu avant 8 heures ce mardi matin et a déclaré qu’il venait de poignarder la nouvelle compagne de son père, dans une maison située dans la rue de la Fraternité à Colombelles, selon une source proche de l’enquête, confirmant une information de Ouest France. Le suspect a ajouté qu’il avait pris la fuite et qu’il se trouvait sur l’avenue Léon-Blum. Les policiers l’ont rapidement retrouvé et interpellé.

    Dans le même temps, les sapeurs-pompiers et les forces de l’ordre se sont dirigés dans cette maison et ont découvert la victime, une femme de 57 ans, qui était très grièvement blessée au niveau du cou. Les secours ont tenté de la réanimer, en vain. Elle a été déclarée morte.

    Il souffre de troubles psychiatriques

    Le suspect de 38 ans qui est connu des services de police, a été placé en garde à vue. Sur lui, les policiers auraient découvert un couteau ensanglanté indique cette même source. Le trentenaire aurait exposé qu’une dispute avec la victime a dégénéré, pour des raisons encore inconnues. Ce dernier souffre de « troubles psychiatriques avec de lourds antécédents » a fait savoir le parquet. Son état de santé n’a néanmoins pas été jugé incompatible avec la mesure de garde à vue.

    Les enquêteurs de la brigade criminelle de la sûreté départementale sont en charge des investigations. Les techniciens de la police scientifique ont réalisé des constatations sur place.

    ACTU 17

    Que faisait-il dehors ?


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  • Les policiers de la CRS 11 ont tout tenté pour stopper un chauffard qui circulait à contresens et à pleine vitesse, sur l’autoroute A1, dans la nuit de samedi à dimanche. L’homme âgé de 32 ans qui était ivre, a été interpellé. Il a écopé d’une peine de six mois de prison avec sursis.

    Il y avait urgence pour éviter un drame. Deux équipages de la CRS autoroutière des Quatre Cantons sont intervenus sur l’autoroute A1 vers 5 heures du matin, après avoir reçu des appels signalant qu’un automobiliste circulait à pleine vitesse et à contresens, raconte France Bleu. L’un des requérants a indiqué que le chauffard se trouvait à hauteur de Biache-St-Vaast, un second à hauteur d’Hénin-Beaumont.

    Le premier équipage de police a essayé de faire ralentir la circulation pour éviter une violente collision, le second a tenté d’intercepter le chauffard. Ce dernier, qui zigzaguait, a refusé de s’arrêter malgré les gyrophares et les sirènes des forces de l’ordre, manquant de les percuter. Les policiers ont fait demi-tour et se sont lancés à sa poursuite.

    « On a été confronté à un accident mortel dans la même situation »

    Leurs collègues ont quant à eux réquisitionné un poids lourd pour le placer en travers de la route, au niveau de Seclin. L’objectif : stopper la circulation afin d’éviter un terrible accident qui pourrait provoquer des pertes humaines. « Il y a quinze jours, on a été confronté à un accident mortel dans la même situation », souligne Gilles Thomas, major à la CRS autoroutière, à France Bleu.

    Les CRS ont doublé le chauffard et ont freiné, l’obligeant à s’arrêter. Il a alors été interpellé. Cet homme de 32 ans était ivre et avait plus de deux fois le taux limite autorisé. Jugé ce lundi dans le cadre d’une comparution immédiate au tribunal correctionnel de Lille, le trentenaire a écopé de six mois de prison avec sursis probatoire et mise à l’épreuve.

    ACTU 17


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  • « L’homme à la pelle en slip » gagne son procès contre France Télévisions

    Jean-Marc Dutouya a obtenu gain de cause. L'homme filmé en slip et une pelle à la main dans son jardin, en novembre 2015, a gagné son procès contre France Télévisions. Le groupe télévisuel a été condamné à verser 10 000 euros de dommages et intérêts au chasseur landais, après que la séquence d'un reportage a fait le tour des réseaux sociaux, provoquant un réel buzz, et touchant à l'image de cet homme. « Ce jugement met le droit en conformité avec la morale en reconnaissant cette atteinte intolérable au droit à l'image » de Jean-Marc Dutouya, a affirmé à l'Agence France-Presse son défenseur, Me Frédéric Dutin.

    Le 9 novembre 2015, une demi-douzaine de membres de la Ligue de protection des oiseaux (LPO), dont son président Allain Bougrain-Dubourg, avaient pénétré dans un champ du village d'Audon (Landes) pour détruire plusieurs matoles (pièges à petits oiseaux) afin de dénoncer le braconnage de pinsons, une espèce protégée.

    Jean-Marc Dutouya aussi condamné à une amende pour violences avec arme

    Lors de cette action, régulière dans les Landes à cette saison, les militants et des journalistes avaient été pris à partie par les propriétaires, les Dutouya. L'altercation, entre insultes, menaces, bousculades, coups de pelle, avait duré plusieurs minutes jusqu'à l'arrivée de gendarmes. La mère octogénaire de Jean-Marc Dutouya avait été bousculée. Quatre véhicules de journalistes avaient eu des pneus crevés. En juillet 2018, Jean-Marc Dutouya avait été condamné en appel à une amende de 400 euros pour violences avec arme.

    Entre-temps, il était devenu malgré lui une star des réseaux sociaux, où sa photo en slip et tee-shirt, armé d'une pelle, avait été l'objet d'innombrables détournements. « Un homme chez lui dans son jardin peut-il être livré en pâture n'importe comment ? La justice a dit non », s'est félicité Me Frédéric Dutin, précisant que son client, qui réclamait 200 000 euros de dommages, était « extrêmement satisfait ». France Télévisions, qui n'avait pas réagi dans un premier temps, devra de plus verser 5 000 euros de frais de procédure et flouter les images du chasseur, selon Me Frédéric Dutin.

    Le Point


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  • Alors qu’elle prenait sa douche, une mère de famille est morte électrocutée chez elle à Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne) vendredi 10 septembre.

    Témoin de la scène, sa fille de 8 ans a tout tenté pour la sauver. Une enquête est ouverte. « Le raccourci vers l’éventuelle insalubrité de l’appartement était tentant. Mais il est encore trop tôt pour le dire », a réagi le maire dans Sud Ouest.

    Une jeune femme de 25 ans est morte électrocutée alors qu’elle prenait sa douche chez elle, à Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne), vendredi 10 septembre. Témoin de la scène, sa petite fille de 8 ans « a tout tenté pour [la] sauver. Ce qu’elle a fait est plus que courageux, c’est héroïque », a raconté un ami de la famille à Sud-Ouest.

    L’enfant aurait notamment aspergé les jambes de sa mère avec du lait froid afin de la soulager. Puis elle aurait tenté d’écarter le pommeau de douche avec le goulot de la bouteille. La petite fille aurait ensuite tenté de trouver de l’aide à l’extérieur, avec difficulté en raison de la nuit tombée, écrivent nos confrères.

    Une enquête ouverte

    Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les circonstances exactes du drame. Un spécialiste en électricité s’est rendu sur les lieux. « Quand on a appris la triste nouvelle, le raccourci vers l’éventuelle insalubrité de l’appartement était tentant. Mais il est encore trop tôt pour le dire », a déclaré le maire de la commune, évoquant un possible « marchant de sommeil » dans les colonnes de Sud-Ouest.

    La victime faisait partie de la communauté des gens du voyage. Elle venait de s’installer dans l’appartement en attendant la libération de son époux, en prison jusqu’au 23 septembre, raconte le quotidien régional. La fillette a été confiée à ses grands-parents maternels.

    Ouest-France


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  • Coincé dans les embouteillages, ce poids lourd décide de passer quoiqu’il en coûte…

    Impossible de dire ce qu’il s’est passé dans la tête de ce chauffeur poids lourd quand on regarde ces images. Ce qui est sûr c’est qu’il n’a pas aimé se retrouver bloqué dans les embouteillages…

    Impossible de pouvoir situer précisément où a lieu cette scène surréaliste. Ce que nous savons c’est que nous sommes dans une ville où le trafic est dense et que bon nombre d’automobilistes sont coincés dans les embouteillages. Rien de franchement surprenant dans une grande ville. On voit la même chose chaque jour chez nous.

    Tout se déroulait « normalement » quand ce poids lourd a débarqué, bien décidé à passer et cela peu importe les obstacles sur sa route. On parle ici des voitures. Le chauffard aux commandes (car un chauffeur poids lourd ne se serait pas comporté de la sorte) avance et pousse les voitures sur son passage. Quitte à les abîmer plus que de raison. Le pire dans cette histoire ? C’est que des automobilistes en colère descendent de voiture pour l’invectiver ou lui demander de s’arrêter (probablement les deux). La réaction du poids lourd ? Il continue d’avancer en faisant fi des individus devant lui.

    En regardant les commentaires de la vidéo sur Reddit, il semblerait que le conducteur de ce camion et son « co-pilote » aient abusé de la boisson. L’homme au volant n’était donc pas dans son état normal. Le problème c’est que ça n’excuse en rien son attitude et les dégâts qu’il a causés.

    AutoNews


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  • Le Parisien : La bijouterie Bulgari, située sur la célèbre place Vendôme à Paris (Ier), a été victime d’une équipe de braqueurs armés, ce mardi midi. Les hommes ont pris la fuite à bord de deux scooters et d’une voiture et ont été pris en chasse par la police. Trois suspects, qui circulaient à bord de la voiture, ont été interpellés dans la rue dans le centre de la capitale. L’un d’entre eux a été blessé par le tir d’un policier. Les quatre autres hommes sont toujours en fuite. En début d’après-midi, le butin était estimé à environ 10 millions d’euros. La BRB (Brigade de répression du banditisme) est saisie de l’enquête.


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  • Le religieux franco-sénégalais comparait ce lundi dans les Hauts-de-Seine pour des viols avec circonstance aggravante. Les faits qui lui sont reprochés se seraient produits entre 2010 et 2018 contre des femmes âgées de 17 à 28 ans.

    Fondateur d’une église évangélique à Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine), l’homme au caractère charismatique était considéré, selon l’accusation comme « un véritable prophète doté de pouvoirs surnaturels transmis par Dieu ».

    Des faits commis entre 2010 et 2018

    Un pasteur évangélique est jugé à partir de ce lundi 13 septembre 2021 par la cour d’assises des Hauts-de-Seine pour les viols de huit femmes, membres de sa communauté religieuse. Ce religieux franco-sénégalais de 39 ans, en détention provisoire depuis sa mise en examen en mai 2018, comparaît pour des viols avec circonstance aggravante – l’autorité conférée par ses fonctions. Les viols se seraient produits entre 2010 et 2018 contre des femmes âgées de 17 à 28 ans à l’époque des faits. Cinq de ces fidèles se sont constitués partie civile.

    L’accusé évoque un complot

    Le pasteur, qui nie les accusations, reconnaît des rapports sexuels avec la plupart des plaignantes, affirmant qu’ils étaient consentis. Il a évoqué, au cours de l’enquête, un « complot » ourdi par « d’anciennes maîtresses jalouses ».

    La cour d’assises doit déterminer cet homme au casier judiciaire vierge exerçait bien une emprise morale sur ces jeunes femmes, qui pour beaucoup d’entre elles vivaient avec lui. De nombreuses accusatrices ont décrit des pressions, affirmant que le pasteur justifiait les viols par « la volonté de Dieu » et les menaçait de « châtiments divins » si elles refusaient ses avances sexuelles.

    Contactés par l’AFP, les avocats de la défense et des parties civiles n’ont pas souhaité s’exprimer avant le début de l’audience. Le verdict doit être rendu le 24 septembre 2021.

    Ouest-France


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  • La défenseure des droits s’est « saisie d’office » lundi 13 septembre afin d’enquêter sur la situation d’un enfant de 7 ans exclu de sa cantine scolaire à Saint-Médard-de-Guizières (Gironde) en raison de factures impayées par ses parents.

    Cantine à 1 euro : mais qu’y a-t-il dans l’assiette des enfants ?

    Selon plusieurs médias, dont « Sud Ouest », l’enfant avait été raccompagné chez lui jeudi à l’heure du déjeuner par un policier municipal.

    « Les enfants doivent être laissés à l’écart des conflits entre leurs parents et l’administration », a rappelé la défenseure des droits, Claire Hédon, dans un commu

    La maire affirme avoir suivi « la procédure »

    La maire de la commune, Mireille Conte-Jaubert, a affirmé dimanche dans le journal « Sud Ouest » qu’elle sollicitait la mère de l’enfant « depuis 2019 » au sujet de cet impayé. La dette s’élèverait à 800 euros, soit « 350 voire 400 repas », a expliqué l’élue.

     

    « J’ai suivi ce qu’on va appeler la procédure. Aucun employé municipal, ni moi-même, ne pouvions accompagner cet enfant. Il devait être accompagné par le policier municipal […] ou alors en ultime solution, je devais contacter les services sociaux pour qu’ils viennent le récupérer. De toutes les méthodes, j’ai choisi la moindre », s’est-elle encore défendue sur BFMTV.

    Toujours sur BFMTV, la mère de famille a regretté la méthode. « Ce ne sont pas ses histoires. Peu importe qui a raison : il a 7 ans et demi, on ne peut pas l’afficher comme ça devant tous les parents, devant toute l’école. Quand quelqu’un a des problèmes de loyer, de cantine, on ne s’en prend pas aux enfants », déplore-t-elle.

    Dans un rapport publié en juin 2019, le défenseur des droits avait déjà appelé à « bannir la pratique du déjeuner humiliant visant à servir aux enfants des menus différenciés afin de faire pression sur les parents et ne pas recourir aux exclusions ».

    L'OBS


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  • À l'ère de l'hyperconnectivité, il existe une pathologie encore peu documentée par la littérature scientifique : l'électrosensibilité. Ce trouble, aussi appelé hypersensibilité électromagnétique, se manifeste par des symptômes physiques tels que la fatigue, des nausées, des palpitations cardiaques ou encore des maux de tête ou étourdissements causés, selon les patients concernés, par les ondes électromagnétiques.

    Atteinte par cette affection, Nadiane a choisi de s'éloigner de la société pour faire construire sa petite maison dans les bois de Quillan, non loin de Carcassonne (Aude). Problème : la sexagénaire électrosensible n'a pas demandé l'accord de la direction départementale des territoires et de la mer (DDTM), relate La Dépêche ce samedi 11 septembre.

    Représentée par son avocat, Nadiane ne s'est pas rendue à son audience devant le tribunal correctionnel de Carcassonne. Comme le relate La Dépêche, cette ancienne peintre en bâtiment pourrait être condamnée pour s'être installée illégalement dans un espace naturel sans autorisation. La principale intéressée, reconnue adulte handicapée, a investi ce terrain de 13 hectares dès 2004. Dans cette zone blanche, cette dame précaire d'une soixantaine d'années était préservée des ondes électromagnétiques. Une manière de venir à bout des migraines à répétition dont elle se dit victime. « Cette femme vit comme au Moyen Âge, dans une grande précarité. Elle n'embête personne et n'a pas d'autre lieu où aller », a plaidé son avocat, qui évoque la prescription des faits, les ouvrages ayant été construits il y a plus de six ans.

    Électrosensibilité : un premier cas reconnu par la justice française

    La décision mise en délibéré le 26 novembre

    Bien que son petit coin tranquille (sans eau, ni gaz, ni électricité) ne gêne personne, Nadiane a été dénoncée par une potentielle acheteuse du terrain, également électrosensible. Celle-ci, furieuse de ne pas avoir pu acheter la parcelle, a pris contact avec la direction départementale des territoires et de la mer. D'après l'organisme, cité par La Dépêche, la sexagénaire a élu domicile dans une zone « où il ne faut absolument pas toucher au boisement ». La procureure de la République a ordonné la démolition de la maison de fortune de 30 m2, de la serre d'une superficie équivalente et de la cabane en plastique. « Si chacun se met à construire ce qu'il veut, là où il le veut, ça devient l'anarchie », a-t-elle estimé auprès du tribunal, qui a mis en délibéré sa décision au 26 novembre prochain.

    Le Point

    Aude : jugée pour vivre illégalement dans un bois comme au Moyen Âge


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  • Dans Midi Libre le dimanche 5 septembre 2021, Emmanuelle, amie d'Amandine, jeune fille morte de faim à l'âge de 14 ans un an plus tôt, est revenue sur ce que cette dernière lui avait confié.

    Une histoire tragique. En août 2020, Amandine, jeune fille de 14 ans, a été retrouvée morte dans sa chambre de Montblanc (Hérault). Sa mère est aujourd'hui incarcérée pour l'avoir laissée mourir de faim. Dans Midi Libre le dimanche 5 septembre, Emmanuelle, une amie que l'adolescente avait rencontrée dans le pensionnat de la cité scolaire Françoise Combes de Montpellier, est revenue sur les épreuves qu'elle traversait. Et sur le moment où elle a appris ce que sa mère lui faisait subir. "Amandine était une petite qui aimait les autres. Elle était joyeuse, elle aimait la vie, être en compagnie des autres. Toujours en train de s’amuser. Malgré tout, un jour je l’ai vue pleurer. Cela arrivait les coups de cafards. Mais ce jour-là, elle m’a parlé de maltraitance", a raconté la jeune femme au quotidien local.

    "Elle m'a raconté qu'on la privait de nourriture à la maison"

    Amandine a tout dévoilé à Emmanuelle par la suite. "Elle m’a raconté qu’on la privait de nourriture à la maison. Elle m’avait parlé de ses week-ends en famille", relate cette dernière. Des confidences déchirantes : "J’étais tellement triste, j’ai tout fait pour qu’elle sourie au plus vite. Nous ne sommes jamais revenues sérieusement sur ce sujet." Après la découverte du corps de son amie, l'étudiante a compris que sa mort était une conséquence des mauvais traitements que la jeune fille, qui mesurait 1m45 et pesait 28 kilos, avait subis. "Je n’ai jamais cru à un suicide. Jamais ! On la savait tous forte", a-t-elle affirmé dans les colonnes de Midi Libre. Elle est allée au commissariat, pour rapporter ce que sa camarade lui avait dit. Un an plus tard, Emmanuelle éprouve des remords : "Aujourd’hui encore je m’en veux de ne pas avoir parlé plus tôt. Je m’en veux de ne pas avoir insisté auprès d’Amandine pour qu’elle signale sa grave situation." En juin 2021, elle a créé une cagnotte sur un site de financement participatif, pour "financer une plaque funéraire en sa mémoire".

    Femme actuelle


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  • Les policiers espagnols ont intercepté dans la nuit de samedi à dimanche près de Grenade un chargement record de 26 tonnes de cannabis grâce aux informations de la police française qui surveillait ce camion à destination de l'Hexagone, a-t-on appris mardi de source proche du dossier.

    Sept personnes ont été interpellées - cinq en Espagne, deux en France - et sont actuellement en garde à vue, a-t-on précisé de même source, confirmant une information du Parisien. Les gardes à vue peuvent durer 96 heures dans les dossiers de trafics de stupéfiants.

    C'est une saisie historique qui représente plus d'un quart de la quantité de cannabis interceptée, tous services français confondus, en 2020 (96,5 tonnes).

    La drogue était pistée par les policiers français de l'Office antistupéfiants (Ofast), dans le cadre d'une "livraison surveillée", technique policière qui consiste à laisser passer de la drogue à la frontière pour mieux démanteler les réseaux de revente en France.

    L'Ofast agissait dans le cadre d'une enquête ouverte par la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Rennes. Elle a été reprise, depuis dimanche, par la Juridiction nationale chargée de la lutte contre la criminalité organisée (Junalco), a indiqué le parquet de Paris.

    "Il y a eu une très grosse coopération policière avec le Maroc et l'Espagne", souligne la source proche du dossier, qui insiste sur le fait que l'interception a été réalisée d'un "commun accord" entre Français et Espagnols.

    Selon Le Parisien, le camion, après s'être délesté d'une partie de sa cargaison lors d'une "halte" dans une commune espagnole a ensuite "feint de ne plus se diriger vers la France", obligeant les Espagnols à intervenir.

    "Nous ne pouvons rien dire. C'est une opération qui est en cours", a déclaré à l'AFP une porte-parole de la police nationale espagnole, sollicitée par l'AFP.

    AFP


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  • Il expliquait que sa mère... était hospitalisée. Le corps d'une octogénaire morte depuis plus d'un an et momifiée dans la cave par son fils qui voulait continuer de percevoir ses prestations sociales a été découvert dans le Tyrol, a indiqué jeudi la police autrichienne.

    "Les investigations ont révélé que cette femme âgée de 89 ans était décédée en juin 2020 et que l'homme de 66 ans avait conservé son corps afin de continuer à toucher des allocations", ont expliqué les forces de l'ordre dans un communiqué. 

    Le suspect, qui résidait avec elle près d'Innsbruck, a avoué au cours de sa garde à vue avoir congelé la défunte pour s'assurer de l'absence d'odeur, avant d'absorber les fluides corporels avec des bandages. "Puis il a recouvert sa mère de litière pour chat et finalement, le cadavre a été momifié", a expliqué à la chaîne publique ORF Helmut Gufler, en charge de la cellule policière dédiée à la fraude aux prestations sociales.   

    A son frère qui venait aux nouvelles, il expliquait que sa mère, atteinte de démence et par ailleurs peu entourée, avait été hospitalisée. L'argent étant touché par mandat postal mensuel, un nouveau facteur avait récemment demandé à voir la bénéficiaire et a effectué un signalement lorsque son fils a refusé. Le corps a été découvert samedi dernier.    

    Le suspect est accusé de délit de fraude aux prestations sociales et de "recel de cadavre". 

    RMC


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  • Un homme, blessé à la tête par une flèche, a été surpris par des habitants d’Argelès (Pyrénées-Orientales) en train de poursuivre celui qui est suspecté de lui avoir tiré dessus, ce mardi 7 septembre. Blessé, il a finalement été conduit à l’hôpital mais ses jours ne sont pas en danger. L’agresseur présumé a été placé en garde à vue.

    Un homme avec une flèche plantée courant à la poursuite du tireur : voici la scène surprenante à laquelle ont assisté certains habitants d’Argelès (Pyrénées-Orientales), ce mardi 7 septembre, en début de matinée.

    Les faits se sont produits vers 7 h, rapporte L’Indépendant. Des témoins ont alerté les secours et les gendarmes qui se sont rendus sur place. D’après les premiers recueillis par nos confrères, les deux protagonistes seraient des ressortissants serbes. L’un aurait hébergé l’autre, quelques jours avant de lui demander de se trouver un nouveau toit, indique le quotidien.

    L’agresseur présumé interpellé

    Le second n’aurait pas apprécié d’être ainsi chassé et aurait visé sa victime avec une arbalète ou un harpon, d’après les premières constatations révélées par L’Indépendant. De son côté, France Bleu Roussillon évoque un fusil de chasse sous-marine. Le flèche a blessé la victime au niveau du cuir chevelu, mais n’a pas transpercé la boîte crânienne. Les médias locaux confirment que ces jours ne sont pas en danger.

    Les pompiers l’ont finalement transporté vers un hôpital. L’agresseur avait réussi à prendre la fuite et a été recherché par les gendarmes en fin d’après-midi. La radio régionale annonce qu’un suspect a été interpellé dans le quartier de Bas Vernet avant d’être placé en garde à vue dans la soirée.

    Ouest-France


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