• Marseille : un homme abattu sur un parking

    L’enquête privilégie pour l’instant la thèse du règlement de comptes dans le milieu du trafic de drogues.

     

    Un homme de 26 ans a été tué par balles lundi soir dans les quartiers nord de Marseille (Bouches-du-Rhône).

    La victime, connue de la police « pour des vols et des infractions à la législation sur les produits stupéfiants », mais pas pour des faits de trafic important, a été abattue sur le parking du centre commercial de la cité du Mail vers 22h45, a précisé Xavier Tarabeux, procureur de la République de Marseille, confirmant une information de La Provence.

    Les coups de feu ont été tirés depuis un véhicule à l’intérieur duquel se trouvaient plusieurs personnes. Entre 10 et 20 douilles de calibre 7,62 mm correspondant à une arme de type Kalachnikov ont été retrouvées sur place.

    « Un véhicule qui semble correspondre à celui des auteurs a été retrouvé en feu à Châteauneuf-les-Martigues », à près de 30 km de la cité, a ajouté le procureur.

    L’enquête a été confiée à la direction interrégionale de police judiciaire.

    Deux fusillades la semaine dernière

    Cet homicide pourrait-il être lié au coup de filet réalisé dans le narco-trafic de la cité Busserine, toute proche ? Fin juin, cinq hommes ont été mis en examen et incarcérés, soupçonnés d’avoir participé à plusieurs règlements de compte pour s’arroger le point de deal de la cité.

    La période de relative accalmie sur le front du banditisme marseillais semble en tout cas révolue : vendredi, deux hommes de 29 et 30 ans ont été tués par balles dans une chambre d’hôtel des Pennes Mirabeau (Bouches-du-Rhône) par deux hommes armés et cagoulés. L’une des victimes, Farid Tir, connu pour trafic de produits stupéfiants, était sortie de prison en septembre 2018.

    Deux jours plus tôt, dans la nuit du mardi 27 au mercredi 28 août, un homme, connu des services de police pour trafic de stupéfiants, était grièvement blessé par balle. Une voiture avait ralenti à sa hauteur et des hommes avaient tiré sur lui.

    Neuf hommes sont décédés depuis le début de l’année dans la région marseillaise en comptant ce dernier homicide de la cité du Mail.

    Le Parisien


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  • La mère aurait accouché sur les lieux ce dimanche 1er septembre, avant de partir à pied. 

    Un nouveau-né a été découvert abandonné dans les toilettes de l'aire d'Ambrussum en direction de Montpellier, sur l'autoroute A9, dans l'Hérault, ce dimanche 1er septembre. Il était 19 h 30 quand l'alerte a été donnée. Selon nos informations, la mère âgée d'une trentaine d'années aurait accouché sur place avant de laisser l'enfant et de partir à pied. Toujours selon nos sources, il s'agirait d'un cas de déni de grossesse.

     

    La mère et l'enfant évacués au CHU Lapeyronie

    Après la découverte de l'enfant par des personnels de l'autoroute, la mère aurait été rapidement retrouvée et son bébé pris en charge par les secours, puis évacué en hélicoptère par les pompiers vers le CHU Lapeyronie, à Montpellier. La mère aurait été prise en charge dans une ambulance en direction du même centre hospitalier. Une enquête a été ouverte par le parquet de Montpellier et confiée au peloton d'autoroute de Gallargues. 

    Une enquête a été ouverte par la gendarmerie, pour comprendre comment cette jeune femme, qui ne serait pas de nationalité française, a pu en arriver à une telle extrémité. Il semblerait qu'elle soit arrivée seule, en stop, sur l'aire d'Ambrussum, quelques heures avant d'accoucher dans de si sordides circonstances.

    Midi Libre


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  • Le corps d'un homme de 32 ans, tué par une arme à feu, a été découvert sur la voie publique, dans la nuit de samedi à dimanche, à Illzach (Haut-Rhin), a-t-on appris de sources concordantes. La victime a été découverte au pied d'un immeuble par un passant qui a prévenu les secours. 

     

    Les pompiers sont intervenus vers 03H00 et la victime, en arrêt cardio-respiratoire, "a été déclarée décédée par le médecin du Smur" quarante minutes après sa prise en charge, a indiqué à l'AFP le Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis) du Haut-Rhin. L'homme, connu des services de la police et de la gendarmerie, aurait été tué par un tir unique d'arme à feu, selon une source proche de l'enquête.

    L'enquête a été confiée pour l'instant à la gendarmerie.

    Illzach est une commune d'environ 15.000 habitants située dans l'agglomération de Mulhouse.

    Europe 1


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  • Tarn: une nonagénaire rouée de coups par son mari entre la vie et la mort

    Une femme de 92 ans habitante de Realmont, dans le Tarn, est entre la vie et la mort ce dimanche après avoir été violemment frappée par son mari âgé de 94 ans, rapporte France 3 Régions Occitanie.

    Selon nos confrères, la nonagénaire aurait été rouée de coups avec une canne. Elle a été retrouvée ce dimanche matin par sa fille. Dans un état critique, elle a d'abord été transportée dans un centre hospitalier d'Albi avant d'être transférée à l'hôpital Purpan, à Toulouse.

    Une enquête a été ouverte, indique France 3 Régions. Le conjoint de la victime quant à lui a été entendu par la police ce dimanche avant d'être placé dans un établissement psychiatrique.

    BFM.TV


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  • Une femme tuée dans les Alpes-Maritimes, 100e féminicide de 2019 en France dénoncé par le collectif #NousToutes

    A un moment, il va falloir arrêter de remettre le compteur à zéro chaque 1er janvier et se poser les bonnes questions." Le collectif #NousToutes a rendu public, dimanche 1er septembre, un triste décompte. Selon les chiffres qu'elles publient régulièrement sur les réseaux sociaux, le 100e féminicide a eu lieu en France ce week-end, à Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes).

    Dans cette ville du littoral méditerranéen, le cadavre d'une femme a été découvert samedi peu avant 13 heures, à proximité de la gare, confirme à franceinfo la Direction départementale de la sûreté publique (DDSP), en charge de l'enquête. C'est un riverain qui a donné l'alerte à la police, croyant avoir aperçu un pied dépasser d'un tas d'ordures. 

    "Je te quitte"

    Selon les éléments rapportés par France 3 Provence Alpes Côte d'Azur, une bagarre a éclaté dans le quartier dans la nuit de vendredi à samedi. Peu avant 2 heures du matin, un appel prévient les forces de l'ordre qu'une violente dispute est en cours, sur la voie publique. Un témoin rapporte y avoir assisté. L'homme s'est montré violent, infligeant des coups de pieds à la tête et au ventre à la femme qu'il accompagnait. Le témoin affirme être intervenu. "J'ai essayé de le provoquer pour qu'il la lâche, il m'a dit 'recule, j'ai un couteau je vais te planter'. Du coup j'ai pris mes distances. Ma mère a tout de suite appelé la police." 

    Appelés en renfort, les policiers se déplacent et constatent sur place qu'il n'y a rien à signaler. Ce n'est que bien plus tard que le cadavre d'une femme est découvert, dissimulé sous des branchages et une couette. Le visage de la victime est tuméfié et son corps est recouvert d'ecchymoses, rendant difficile son identification. 

    Pour autant, les policiers estiment qu'il s'agit d'une jeune femme de 21 ans, dont le père avait signalé la disparition. Son compagnon, âgé de 26 ans, a été interpellé dimanche en début d'après-midi et placé en garde à vue, indique le parquet de Grasse. "Il semble correspondre aux images des caméras de vidéo-surveillance de la ville, sur lesquelles on le voit se disputer avec la victime", assure le parquet de Grasse. L'interpellation a eu lieu grâce à des recoupements entre l'exploitation des images de vidéosurveillance et divers témoins, dont certains ont entendu la victime dire "Je te quitte" à son agresseur.

    "Il y en a en réalité bien plus de 100"

    Le collectif féministe #NousToutes, qui milite contre les violences sexistes et sexuelles, en appelle aux pouvoirs publics, après ce 100e féminicide. Il organise, dimanche soir, un rassemblement sur la place du Trocadéro, à Paris. Il entend ainsi "dénoncer l'inaction du gouvernement", à deux jours de l'ouverture du lancement du Grenelle des violences conjugales, sous l'égide de Marlène Schiappa, secrétaire d'Etat chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes. "Nous savons ce qu'il faut faire pour prévenir ces violences, des tas de rapports sur la question ont été rendus publics, nous avons juste besoin du budget", rapporte une porte-parole du collectif auprès de franceinfo. Une enveloppe d'un million d'euros a été proposée par le gouvernement, alors que #NousToutes estime qu'il faudrait "au moins un milliard" d'euros pour mettre en place des mesures adéquates.

    Elle pointe également la difficulté de reconnaissance des féminicides."Des militantes font ce recensement sur la base des articles de presse, mais on estime qu'il y en a en réalité bien plus de 100, déplore l'association. C'est un problème qu'il n'y ait pas de décompte officiel fait par les autorités, qui tardent toujours à confirmer les féminicides." 

    "A un moment, il va falloir arrêter de remettre le compteur à zéro chaque 1er janvier et se poser la question de combien de femmes ont été victimes de féminicides depuis que le gouvernement en a fait sa soi-disant grande cause nationale." En 2018, 121 femmes ont été tuées en France par leur compagnon ou ex-compagnon, soit une tous les trois jours, selon le ministère de l'Intérieur.

    franceinfo  01/09/2019


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  • Un homme a été retrouvé mort samedi soir dans son appartement du 19e arrondissement de Paris. Selon une source policière, c'est un ami de la victime qui - inquiet de ne pas avoir de nouvelles et disposant des clefs - s'est rendu chez lui. Sur place, il a trouvé le corps de son ami entièrement nu et allongé au sol dans la chambre. Il présentait une trace de coup de couteau à la poitrine et de multiples lacérations.  

     

    Il pourrait s'agir d'un homicide

    Une fois sur place, les secours ont pu examiner la victime. Selon eux, l'homme de 56 ans est probablement décédé dans la journée. La police, elle, n'a remarqué aucune trace de sang, aucun désordre dans l'appartement et aucun couteau à proximité du corps.

    Les premiers éléments de l'enquête laissent penser qu'il s'agit d'un homicide volontaire. La brigade criminelle est saisie de l'enquête. Quant au témoin et ami de la victime - choqué - il a été pris en charge.

    France Bleu


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  • Un infirmier libéral a été blessé par balle samedi soir à Camplong (Hérault) par le mari d'une patiente à qui il était venu prodiguer des soins, a-t-on appris dimanche auprès de la gendarmerie et des pompiers.

     

    La victime, touchée à l'abdomen, a réussi à se réfugier dans sa voiture. 

    Vers 21h, l'homme a tiré au fusil de chasse sur le professionnel de santé venu soigner son épouse handicapée, a indiqué la gendarmerie. La victime, touchée à l'abdomen, a réussi à se réfugier dans sa voiture avant d'appeler les secours. L'infirmier a été hospitalisé à Béziers sans que ses jours ne soient en danger, et la patiente, saine et sauve, transférée dans un établissement de soins, précisent les pompiers.

    Le mari s'était retranché à son domicile, menaçant de s'en prendre à sa femme. Il a été interpellé dimanche vers 5H du matin et placé en garde à vue. Un négociateur régional et l'antenne GIGN d'Orange avaient été envoyés au domicile pour maîtriser l'individu.

    Europe 1


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  • Occitanie : un trafic d’or démantelé, cinq Français incarcérés

    Ils sont soupçonnés d’avoir extrait illégalement de l’or dans le sud de la France avant de le revendre sous forme de lingots en Andorre.

    Leur futur devrait être un peu moins brillant. Six Français ont été mis en examen dont cinq incarcérés après le démantèlement en mars dernier d’un trafic international d’or entre la France et Andorre, rapporte La Dépêche.

    Une commission rogatoire internationale avait été ouverte en septembre 2018 pour « association de malfaiteurs » et « blanchiment d’argent ». Six mois plus tard, six Français, dont trois frères âgés entre 40 et 50 ans, ont été pris sur le fait.

    De fausses autorisations de l’Etat

    Ils sont soupçonnés d’orpaillage illégal en Haute-Garonne, en Ariège, en Gironde et dans le Lot-et-Garonne, à l’aide d’une machinerie professionnelle en utilisant de fausses autorisations de l’Etat.

    En France, il existe un Code minier qui régule l’exploitation d’or. Les extracteurs amateurs qui tamisent le lit des cours d’eau ne sont pas inquiétés, mais des autorisations spécifiques sont nécessaires pour extraire le précieux minerai à l’aide de machines.

    Selon les enquêteurs, les suspects se seraient présentés dans des carrières du sud de la France munis de faux documents d’autorisation, afin de proposer un contrat aux groupes industriels en activité dans les sablières et les gravières. Les chercheurs d’or profitaient de leurs installations et partageaient ensuite avec eux les bénéfices des pépites récoltées.

    Un hangar transformé en atelier

    L’enquête a révélé l’ampleur du trafic : les orpailleurs illégaux avaient mis en place un véritable atelier dans un hangar du Lot-et-Garonne, où les miettes d’or étaient traitées puis fondues en lingots. Puis direction la principauté d’Andorre, où l’un des frères les vendait dans les boutiques d’achat et de vente d’or.

    Entre février 2018 et février 2019, au moins 117 000 euros auraient transité entre l’Occitanie et la Nouvelle-Aquitaine, à destination des commerces spécialisés d’Andorre. Ce qui n’est rien à côté des sommes qu’aurait généré le trafic depuis sa mise en place, il y a dix ans.

    En mars dernier, une opération simultanée de part et d’autre de la frontière a permis d’arrêter les suspects, ainsi qu’une commerçante andorrane qui venait juste d’être approvisionnée. Elle a été libérée, mais sur les six personnes mises en examen, cinq ont été incarcérées.

    Dans l’atelier de transformation, un lingot de 1,100 kg ainsi que 60 000 euros en liquide ont été saisis.

    Le Parisien


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  • Bouches-du-Rhône : 2 hommes découverts morts par balles dans une chambre d’hôtel

    Le personnel de l’hôtel a fait la macabre découverte.

    Ce vendredi en début de matinée, un employé d’un hôtel Formule 1 situé aux Pennes-Mirabeau près de Marseille (Bouches-du-Rhône) a retrouvé les corps inanimés de deux hommes qui gisaient dans une chambre.

    Les autorités ont été alertées. Selon les premières constatations, les deux victimes seraient mortes par balles. L’une des deux victime serait âgée de 26 ans, relate La Provence. Leur mort pourrait remonter à plusieurs heures. La police judiciaire de Marseille est en charge de l’enquête.

    Actu 17

    C'est bien vu qu'il y a trop de monde sur cette terre !

    Naturellement, on ne donne aucun renseignement sur l'origine de ces deux hommes !


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  • Samedi matin à Fuans dans le Doubs, un jeune homme de 22 ans a frappé à mort son demi-frère après une altercation. Ils avaient passé la nuit dans un bar puis une discothèque. Le mis en cause, déjà connu de la justice pour des violences, était hébergé pour le week-end chez son demi-frère de 33 ans.

    Une altercation dégénère

    La violente agression s’est produite alors que tous deux marchaient le long d’une route en direction de Fuans, relate Le Parisien.

    Selon les déclarations du meurtrier présumé, une altercation aurait éclaté entre eux. Son demi-frère lui aurait donné une gifle. Un acte qui aurait mis le jeune homme hors de lui et aurait provoqué un déchaînement de violences de sa part.

    Il décède des suites de ses blessures

    Le trentenaire a été pris en charge par les secours alors qu’il gisait dans un fossé en hypothermie. Son frère se tenait à côté, et ce sont des témoins qui ont alerté les gendarmes.

     
     

    La victime a été héliportée vers l’hôpital dans un état critique et « présentait un traumatisme cérébro-crânien majeur » ainsi que « des contusions multiples sur le thorax et une plaie fronto-pariétale conséquente », a indiqué la vice-procureure de Besançon.

    Le mis en cause, pour sa part, ne présentait aucune blessure. Le trentenaire, en état de mort cérébrale, est décédé dimanche dans la matinée.

    Il s’évade de garde à vue

    En plus du meurtre, le jeune homme est poursuivi pour évasion. Il avait profité d’un entretien avec son avocat, lors de sa garde à vue, pour s’enfuir. Les gendarmes l’avait retrouvé environ une demi-heure plus tard.

    Il a été mis en examen et placé en détention provisoire ce lundi.

    Actu 17


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  • A Rouen, un jeune homme qui ne supportait pas la rupture amoureuse se donne plusieurs coups de couteau devant son ex-petite amie. Il décède à l’hôpital.

     

    Un jeune homme est décédé à Rouen (Seine-Maritime) après s’être porté plusieurs coups de couteau sous les yeux de son ex-petite amie rapporte le site d’information Normandie Actu. Cette dernière a alerté les secours, peu avant minuit, mercredi 28 août 2019.

    Rupture amoureuse

    Le jeune homme de 23 ans a forcé le domicile de son ancienne compagne, route de Darnétal à Rouen. Devant elle il s’est donné plusieurs coups de couteau au thorax et à l’abdomen. Les pompiers ont pratiqué un massage cardiaque pour le ranimer.

    L’homme est mort , jeudi matin à l’hôpital Charles-Nicolle de Rouen où il avait admis. La jeune femme, âgée de 20 ans, a expliqué aux policiers qu’elle venait de se séparer de son compagnon. Une enquête a été ouverte mais le suicide est privilégié.

    Ouest-France


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  • Suicide d’une policière à Drancy : Sandra était une championne de boxe

    Un nouveau drame a frappé la police nationale ce jeudi, une fonctionnaire de police de 27 ans s’est donné la mort avec son arme de service. Sandra Ferreira était affectée à Paris mais avait travaillé auparavant à Montauban (Tarn-et-Garonne). La jeune policière était aussi connue pour être une boxeuse aguerrie.

    Le choc est encore grand ce vendredi dans les rangs de la 21ème Compagnie d’intervention (CI) de la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC), basée dans le XIXe arrondissement de Paris. Les collègues de Sandra ont appris son décès à la mi-journée ce jeudi avec stupeur et tristesse.

    Cette dernière était âgée de 27 ans. Elle a mis fin à ses jours en utilisant son arme de service hier, alors qu’elle se trouvait dans sa voiture, stationnée dans le parking de sa résidence à Drancy (Seine-Saint-Denis). Elle avait rejoint la capitale et la 21ème CI, en septembre 2016.

    Adjointe de sécurité à Montauban

    Née à Montauban, Sandra avait choisi de devenir Adjointe de sécurité (ADS) dans sa ville natale, de 2013 jusqu’à ce qu’elle décroche le concours de gardien de la paix. L’annonce de son décès a été accueillie avec beaucoup de tristesse au commissariat de la ville.

    Alors qu’elle était ADS, la jeune femme a rencontré Laurent Cribier, qui est l’entraîneur de l’équipe de France Police de savate boxe française, mais également son collègue à cette époque, raconte La Dépêche. Ce dernier a rapidement détecté le fort potentiel de Sandra dans la discipline. La jeune policière a enchaîné les victoires mais aussi les titres nationaux.

    « Elle va toujours de l’avant, ne lâche jamais rien »

    « Elle a beaucoup de physique et beaucoup de gnac même si cela ne se ressent pas quand on la voit. Elle va toujours de l’avant, ne lâche jamais rien. C’est un peu un mini-pitbull », expliquait-il au quotidien régional, en juin 2015.

    Sandra pratiquait toujours la boxe à Paris, où elle avait été affectée à sa sortie d’école de gardien de la paix. Elle est d’ailleurs visible sur la page Facebook de la fédération française de kick-boxing sur des photos datant de 2017.

    La jeune femme s’était aussi faite remarquer lors de la manifestation du 1er décembre 2018 des Gilets jaunes dans la capitale. Une manifestation qui avait été le théâtre de violents incidents, durant de longues heures et de près de 200 interpellations.

    Sur une vidéo de cette journée de l’agence Ruptly, on l’aperçoit en tenue de maintien de l’ordre, recouverte de peinture, concentrée malgré le danger, la fatigue et la difficulté, tenant un lanceur de balles de défense (LBD 40).

    Une cagnotte en ligne pour soutenir sa famille

    Sandra aurait laissé une lettre avant de se donner la mort selon ce même journal. Son compagnon qui est sous le choc après avoir fait la terrible découverte, et qui est lui aussi policier, a été pris en charge par une cellule psychologique.

    En outre, une collecte a été ouverte sur la plateforme en ligne Leetchi, pour sa famille. Elle est accessible ici et a bien été lancée par un proche de la jeune femme, comme nous avons pu le vérifier.

    Depuis le 1er janvier, 46 fonctionnaires de police se sont ôté la vie selon un décompte non officiel. Sandra Ferreira serait la 47ème.

    Actu 17


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  • Loiret : un quinquagénaire tue sa soeur pour une querelle d’héritage

    Un homme a tué sa soeur par balle jeudi après-midi à Lorris (Loiret), rapporte La République du Centre.

    Selon le quotidien régional, les faits se sont déroulés vers 15 heures, dans un pavillon de cette commune située dans la forêt d’Orléans.

    À leur arrivée sur les lieux, les gendarmes ont découvert une femme qui gisait dans le jardin de ce pavillon habité par son frère. La victime, âgée de 53 ans, avait été tuée par balle.

    Le frère de la victime, âgé de 55 ans, présent sur place, est soupçonné d’être l’auteur du coup de feu. Il a été interpellé avant d’être placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie de Montargis.

    Une querelle portant sur un héritage

    Selon les premiers éléments de l’enquête, il pourrait s’agir d’un « différend familial » au sujet d’un héritage indique le procureur de la République de Montargis, Loïc Abrial.

    L’homme vivait « depuis quelque temps dans cette maison familiale » et « sa sœur était venue lui rendre visite », précise le magistrat auprès de France Bleu Orléans.

    Une enquête de flagrance pour assassinat a été ouverte. Une autopsie doit être pratiquée ce vendredi à l’institut médico-légal de Tours.

    Le Parisien

    Les gens deviennent fous !


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  • “Je nique la France, ce sale pays de blancs”

    Une élue RN filme son altercation avec une racaille

    L'élue RN au conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes, Isabelle Surply, a été agressée verbalement dans un supermarché de Lyon. Sur les réseaux sociaux, l’affaire suscite l’indignation.

    Samedi 24 août, fin de journée à Lyon. Isabelle Surply, conseillère de la région Auvergne-Rhône-Alpes étiquetée RN, fait quelques courses au Carrefour du coin ; au moment du passage en caisse, elle fait une rencontre, le genre de rencontres que l’on fait de plus en plus souvent, bien malgré soi. Un homme, chemise hawaïenne rouge vif, short en jean et sacoche en bandoulière, devant le guichet du service après-vente, demande à se faire rembourser son téléphone, acheté il y a peu et - semble-t-il – défaillant. Problème, il n’a ni ticket de caisse, ni emballage ; en d’autres circonstances, ce genre de situation se serait réglé par un simple, poli quoique dépité, ‘’bonne journée, madame’’. Là, ce sera un esclandre.

    Isabelle SURPLY @IsabelleSurply
     
     
     

    Il y a 2h, moi devant une scène de :
    -"J'nique tous les Fr. et la France /sale pays de blancs/en Algérie les femmes comme toi (moi, hein)"
    ⚠️Impossible de me taire : TENIR TETE à ces racailles est ESSENTIEL, si la France ne leur convient pas ils n'ont qu'à PARTIR ! ✈️


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  • Des proches de Sarah Vedel retrouvée morte chez elle dans la nuit de mardi à mercredi, commençent à témoigner sur la situation de la jeune trentenaire qui travaillait comme serveuse dans un bar de Vasles (Deux-Sèvres).

    Ils assurent qu'elle venait de se séparer depuis quelques mois du père de son dernier enfant, un petit garçon de deux ans et demi. Une séparation difficile, émaillée de violences et de menaces. 

    Sur Facebook, la jeune femme avait  posté fin juin l'image du "violentomètre", une sorte de baromètre de la violence et de signes qui doivent alerter une jeune femme sur le comportement de son conjoint ou de son ex-conjoint afin de l'aider à sortir d'une relation toxique.

    "Elle nous a dit qu'elle avait déjà porté plainte plusieurs fois contre lui sans résultat", raconte un proche. "Il lui arrivait de la suivre."

    L'ex-compagnon de la victime se serait présenté à son domicile dans la nuit de mardi à mercredi alors qu'elle rentrait de son travail avec un copain. Elle aurait été abattue par arme à feu alors qu'elle fumait une cigarette dans le jardin situé devant la maison.

    Le procureur de la République de Poitiers n'a pas souhaité donner de précisions sur le déroulement des faits ni l'avancée de l'enquête. 

    L'ex-compagnon placé en garde à vue mercredi dans la matinée "pour des vérifications" selon le procureur, a-t-il fait des révélation aux enquêteurs? 

    Des proches de la victime en parlent comme d'un homme inquiétant, âgé de 38 ans, qui a déjà été mis en cause par la justice pour des violences sur une jeune femme qui venait de le quitter.

    En mai 2011, à Thurageau, il s'était présenté en pleine nuit au domicile d'une femme qui venait de  le quitter depuis un mois.  Quand elle s'était réveillée, il était à califourchon sur elle, un grand couteau de cuisine à la main.  La jeune femme était alors parvenue à se libérer, lui avait pris la fuite.

    La justice, qui l'avait d'abord poursuivi pour tentative d'assassinat, avant de requalifier les faits en violences avec arme et préméditation, l'avait condamné à deux ans de prison dont un mois ferme que l'ancien jockey était parti purger en détention.

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    Un petit pavillon dans un village tranquille de l’ouest de la Vienne, c’est là qu’une trentenaire avait posé valises et cartons depuis quelques semaines.

    C’est là, à l’entrée du bourg de Maillé que son corps sans vie a été découvert ce matin très tôt. Elle a été tuée le jour de son trentième anniversaire.

    Les gendarmes ont rapidement bouclé le secteur et, dans l’après-midi, les techniciens en identification criminelle de la gendarmerie s’affairaient toujours dans la maison pour des relevés d’indices.

    Ils passaient au peigne fin plusieurs portillons en quête de traces. La rubalise interdisant l’accès au pavillon enserrait également une voiture garée juste devant le pavillon.

    La section de recherches de la gendarmerie de Poitiers a été saisie des investigations par le procureur de la République de Poitiers. A ce stade de l’enquête, il s’en tient à une communication minimale, confirmant le décès violent d’une femme.

    « La victime a vraisemblablement été tuée au fusil, c’est l’autopsie qui devra nous le confirmer », indique Michel Garrandaux.

    Un homme a été interpellé par les enquêteurs dans la matinée. Il s’agit de l’ancien compagnon de Sarah Vedel, une mère de trois enfants qui habitait auparavant dans le secteur de Latillé tout proche du lieu du drame. 

    Les trois enfants ne se trouvaient pas à son domicile au moment des faits. Ils se trouvaient chez leurs grands-parents.

    La garde à vue de l’ancien compagnon, n’était, selon le procureur, qu’une mesure destinée à « procéder à des vérifications ».

    Emploi du temps, exploitation du téléphone portable, test de la poudre… autant d’éléments à confronter aux relevés d’indices et aux déclarations de la famille et des amis pour lever ou conforter des soupçons.

    Sur ce plan-là, le procureur de la République comme les proches de la victime n’ont rien voulu dire de plus sur la situation de la victime et sur un éventuel contexte de violences conjugales. 

    La Nouvelle République


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  • USA : Son père lui demande de ranger sa chambre, il le tue

    La dispute a viré au drame. Un adolescent de 16 ans est accusé d’avoir tué son père et blessé gravement son petit frère dans l’Alabama. Les faits se sont produits samedi, rapporte CBS. Ce jour-là, le père célibataire et son fils se seraient disputés chez eux, à Toney, dans le comté de Madison.

     

    D’après les grands-parents du jeune garçon, ce dernier se serait mis en colère après que son père lui a demandé de ranger sa chambre. «C’était une dispute domestique entre un père et son fils à propos de ménage et du fait de se comporter comme un adolescent responsable», ont expliqué Linda et Rick McNamara, les parents de la victime. «Il s’agissait juste de l’adolescent typique qui refusait d’aider, et cela a dégénéré», ont-ils ajouté.

    Linda McNamara a affirmé aimer toujours son petit-fils. «Chad était un bon père. Il aimait tellement son fils. Il va terriblement manquer à sa famille et ses amis. Priez pour mes petits-fils, ils en ont besoin», a-t-elle commenté. L’adolescent a été incarcéré et sa caution a été fixée à 200 000 dollars. Son petit frère de 12 ans se trouvait toujours mercredi à l’hôpital. Ce sont des voisins qui ont prévenu les secours en entendant des cris.

    Paris Match


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  • La femme «la plus rapide du monde» se tue en essayant de battre son record

    La pilote automobile Jessi Combs, considérée comme « la femme plus rapide sur quatre roues » après avoir établi un record à 640 km/h en 2013, s’est tuée dans un accident le 27 août en tentant de battre son propre record, a annoncé la police mercredi.

    Les secours ont été prévenus mardi qu’une voiture dotée d’un moteur à réaction s’était écrasée dans le désert d’Alvord en tentant de battre un record de vitesse, a indiqué dans un communiqué le shérif du comté de Harney, dans l’Oregon, à l’ouest des Etats-Unis.

    Les policiers ont identifié le pilote comme étant Jessica (Jessi) Michelle Combs, âgée de 36 ans. « Jessi Combs était morte. Les causes de l’accident restent inconnues et font actuellement l’objet d’une enquête », souligne le communiqué.

    Mécanicienne accomplie

    La femme, qui participait également à diverses émissions de télévision aux Etats-Unis, avait repris les commandes de sa voiture à réaction en octobre 2018 pour améliorer sa performance. Selon des sites spécialisés, elle avait alors dépassé les 680 km/h mais l’essai n’avait pu être officiellement validé en raison d’un problème mécanique. Elle comptait faire encore mieux mardi lorsqu’elle a trouvé la mort.

    Mécanicienne accomplie, Jessi Combs s’était fixé pour objectif de battre le record de « la femme la plus rapide du monde », établi en 1976 par la cascadeuse américaine Kitty O’Neil. Dans le même désert d’Alvord, celle-ci avait dépassé les 825 km/h de moyenne, à bord d’un engin qui ne comptait que trois roues.

    20 Minutes

    Toujours plus vite ou toujours plus haut, toujours plus de risques et la mort au bout !


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  • Seine-et-Marne : une "explosion industrielle" fait deux blessés graves

    Deux employés ont été grièvement blessés et fortement brûlés, d'après la préfecture de Seine-et-Marne.

    Le bilan est encore provisoire. D'après la préfecture de Seine-et-Marne, un "incident industriel" dans les locaux de l'entreprise Corning, spécialisée dans la production de verre, en Seine-et-Marne, a fait 11 blessés ce mercredi.

    Selon les premiers éléments, deux personnes ont été gravement blessées, brûlées après avoir "reçu une projection de produits chimiques" vers 9 heures. Ils ont été transportés à l'hôpital, sans pronostic vital engagé. Douze autres personnes ont aussi été légèrement blessées dans l'incident, dont l'origine n'était pas connue pour l'heure. 

    Située sur les communes d'Avon et de Samois-sur-Seine, l'entreprise, où travaillent quelque 150 personnes, a été évacuée. Le site abrite un "laboratoire de recherche" dédié au développement de "matériaux" et "vitraux" notamment, selon la préfecture.

     

    Le parquet de Fontainebleau a indiqué avoir ouvert une enquête pour "recherche des causes des blessures", confiée au commissariat local. D'après BFMTV, les pompiers parlent d'une explosion et d'une "réaction chimique violente" qui "a dégagé des résidus liquides et des vapeurs".

    L'Express


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  • Marseille : Un homme tué par balles à Aubagne, un autre grièvement blessé en centre-ville

    Un homme de 58 ans, connu pour trafic de stupéfiants a été tué par balles ce mercredi matin vers 7 heures à Aubagne, près de Marseille, a-t-on appris de source policière​. Grièvement blessé à la tête, il a été pris en charge par les pompiers. Il est décédé un peu plus d’une heure après l’arrivée des secours.

    Il se trouvait au volant de sa voiture quand a été pris pour cible par des hommes qui se trouvaient dans un autre véhicule. Le véhicule des tueurs a été retrouvé brûlé non loin de là.

    D’après les premiers éléments de l’enquête, cet homicide « s’apparente à un règlement de comptes », selon le parquet. Il s’agirait du sixième règlement de comptes de l’année 2019.

    Un homme grièvement blessé par balles à Marseille

    Toujours dans la nuit de mardi à mercredi, un autre homme a été pris pour cible, cette fois dans le centre-ville de Marseille, à proximité de la Canebière. Cet homme de 37 ans, connu pour trafic de stupéfiants, a été touché au ventre et au bras. Il est grièvement blessé.

    La police judiciaire a été saisie dans les deux affaires.

    20 Minutes

    C'est bien qu'ils règlent leurs comptes entre eux ! C'est plus rapide que notre justice !


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