• Une bande de lycéens de Vittel se sont érigés en justiciers du net, piégeant un prédateur sexuel. Celui-ci a été interpellé et sera jugé le 27 août prochain.

    Ils ont décidé de s'ériger en justiciers du net. Grâce à un véritable guet-apens, des lycéens de Vittel, dans les Vosges, ont réussi à piéger un potentiel prédateur sexuel. C’est un instituteur qui s'est fait attraper, rapporte Vosges-Matin.

    Un rendez-vous donné en ligne

    Tout part d'un défi Facebook que relève une bande d'amis. Ils s'inscrivent sur un forum Internet, réputé pour attirer des amateurs de pédopornographie. Les lycéens créent un faux compte. Très rapidement, la fausse adolescente discute avec un individu puis lui propose un rendez-vous au parc thermal de Vittel. Trois jeunes hommes attendent l'internaute. Sans violence, ils l'intimident et préviennent les gendarmes à qui ils expliquent leur stratagème.

    "Une addiction à la pornographie"

    L'internaute hameçonné a ensuite été convoqué. Lors de la perquisition chez lui, son ordinateur a été analysé par des gendarmes spécialisés. Ceux-ci sont alors tombés sur des images pédopornographiques. "Mon client est malade, il souffre d'une addiction à la pornographie. Ils fréquente des sites où il y a de tout et il a pu tomber sur des scènes avec des mineurs", indique son avocate auprès d'Europe 1. L'individu était mercredi matin au centre médico-psychologique de la ville. Désormais sous contrôle judiciaire, il sera jugé le 27 août, mais souhaite continuer à travailler. Du côté du rectorat, aucun commentaire n'a été fait pour le moment.

    Europe 1


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  • Une femme retrouvée morte dans un cabanon de jardin à Romilly-sur-Seine

    Ce mardi 13 août, en début de soirée, une femme, Martine Collot, a été retrouvée morte, dans un abri de jardin, à son domicile, rue Gabriel-Péri, à Romilly-sur-Seine.

    Le corps de la victime, dissimulé, présentait deux plaies à l’abdomen. Une enquête a été immédiatement ouverte et les constatations techniques et scientifiques lancées.

    Le mari aurait tenté de mettre fin à ses jours

     

    Quelques minutes avant la macabre découverte, son mari, lui, venait d'être pris en charge par les secours après une tentative de suicide. Il est toujours hospitalisé.

    Le couple était âgé d’une soixantaine d’années, il s’agit de commerçants connus dans la commune, gérants d’un tabac, le « Brun blond », rue de la Boule d’Or après avoir longtemps tenu une pâtisserie, toujours à Romilly. La police n’était jamais intervenu à leur domicile.

    Ce mardi soir, au moment où débutait l’enquête, le féminicide semblait être la piste privilégiée. Le procureur de la République se trouvait sur place.

    L'Est éclair


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  • Un adolescent de 14 ans est mort écrasé par un arbre ce mardi dans une colonie de vacances du Gers, rapportent nos confrères de La Dépêche du Midi. Les faits se sont déroulés ce mardi vers midi, dans la colonie de vacances "L'Abeille verte" située dans la commune de Ramouzens. Une partie d'un arbre s'est arrachée du tronc et s'est abattue sur le jeune homme, l'écrasant dans sa chute. Celui-ci est mort peu après les faits. 

    Une cellule psychologique ouverte

    Au moment des faits, les jeunes s'adonnaient à des activités habituelles. Certains se préparaient à un camp d'itinérance, rapporte la Dépêche du Midi, tandis que d'autres étaient sur le point de participer à un atelier poterie. Trois jeunes s'amusaient à s'envoyer une balancelle qui était accrochée à une grosse branche d'un des imposants arbres du camp, lorsqu'une partie du tronc s'est arrachée.

    Deux enfants courent pour éviter cette partie de l'arbre en train de s'effondrer, mais l'un deux n'a pas le temps de s'échapper et se retrouve coincé sous l'arbre. Les secours sont rapidement appelés mais l'adolescent est déjà en arrêt cardio-respiratoire à leur arrivée. Il mourra peu après, d'après le journal.

    Une enquête a été ouverte par la gendarmerie et une autopsie devrait être réalisée sur le corps à l'hôpital de Toulouse. Dans cette colonie de vacances se trouvaient 24 enfants et des préadolescents, encadrés par 14 adultes. Ils ont tous été pris en charge par une cellule psychologique et transférés par les sapeurs pompiers dans une salle de la commune de Ramouzens.

    BFM.TV


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  • Les spécialistes de l'identification criminelle de la gendarmerie nationale sont à pied d'œuvre ce mardi après-midi dans une chambre de la maison de retraite médicalisée pour personnes âgées dépendantes Le Gâtinais à Maisse appartenant au groupe Korian. Ils réalisent les premières constatations et tentent de retracer le scénario qui a conduit au décès suspect d'une résidente âgée de 87 ans lundi soir.

    Il est environ 23 heures lundi soir lorsqu'une aide-soignante est alertée par des cris provenant de la chambre d'une pensionnaire de l'établissement de 80 places, qui comprend également une unité Alzheimer de 13 places. Elle voit dans un premier temps un résident du même âge, muni d'un coussin, qui se trouve à proximité de la chambre.

    L'octogénaire suspect a passé la nuit dans sa chambre

    En entrant, elle découvre la dame allongée sur son lit en train de suffoquer. Elle tente d'appeler la cadre d'astreinte sans succès. Elle décide alors de laisser la résidente dans sa chambre sans appeler les secours ni les gendarmes. Le lendemain matin, toujours selon ses déclarations devant les enquêteurs, elle rappelle sa responsable. Les deux femmes découvrent vers 8 heures le corps sans vie de la retraitée.

    À l'arrivée des gendarmes au petit matin, l'octogénaire au coussin se trouvait dans sa chambre où il avait passé la nuit. Il n'a été placé en garde à vue que mardi dans l'après-midi le temps de recouper certains témoignages. Le parquet a demandé un examen médical et psychiatrique de l'homme qui tenait des propos incohérents. Une enquête pour meurtre a été ouverte et confiée à la brigade de recherche de la gendarmerie de l'Essonne.

    Une autopsie déterminante

    L'aide-soignante, qui était très expérimentée, a également été placée en garde à vue pour des faits de non-assistance à personne en danger. Face aux enquêteurs, elle a assuré que la victime était encore en vie lorsqu'elle a quitté la chambre. L'autopsie qui sera pratiquée mercredi permettra sans doute de déterminer les causes et l'heure de la mort. Ce dernier élément sera déterminant pour corroborer ou non la version de l'aide-soignante.

     

    Contacté par Le Parisien, un porte-parole du groupe Korian assure que « la résidence s'associe à la peine des proches. L'objectif de toutes les équipes est de prendre soin et de protéger les résidents. Une enquête de police judiciaire étant en cours concernant les faits, nous ne ferons pas davantage de commentaires ». Une source interne à la maison de retraite appelle « à rester très prudent », précisant que « personne ne sait réellement ce qui s'est passé cette nuit ».

    Le Parisien


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  • Une personne a été poignardée dans la rue à Sydney (Australie) par un homme hurlant "Allah akbar", indique la police locale, mardi 13 août.

    Des images diffusées par des médias australiens montrent le suspect sautant sur le toit d'une voiture, en brandissant un couteau tout en criant "abattez-moi !". Il a, par la suite, été maîtrisé par les passants et les services de secours puis interpellé.

     

    D'après la police de la Nouvelle-Galles du Sud, la victime est une femme et a été poignardée à l'intérieur d'un hôtel du quartier des affaires de la ville. "Elle a été transportée à l'hôpital dans un état stable", indiquent les autorités locales dans un communiqué (en anglais). Une partie de la ville a été bouclée et la police effectue des patrouilles, "même s'il n'y a, a priori, plus de menace pour la sécurité publique".

    franceiinfo


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  • Un enfant est mort mardi dans les Yvelines après que la voiture dans laquelle il se trouvait avec sa mère et sa soeur a été écrasée par un camion-toupie, qui s'est renversé pour une raison encore inconnue, a-t-on appris de sources concordantes.

    L'accident s'est produit à 10h25 sur une route départementale à un carrefour sur la commune de Bazoches-sur-Guyonne, près de Plaisir, selon gendarmes et pompiers.

    Une enquête ouverte

    Le garçon, âgé de 8 ans, a été pris en charge par les secours alors qu'il se trouvait en arrêt cardio-respiratoire mais a rapidement succombé, selon les mêmes sources.

    Sa mère et sa soeur de 13 ans, qui ont elles aussi dû être désincarcérées, sont grièvement blessées et ont été évacuées en fin de matinée vers des hôpitaux de la région parisienne mais leur pronostic vital n'est pas engagé, selon les gendarmes.

    Des dépistages (alcoolémie, stupéfiants) étaient en cours sur le chauffeur du camion, légèrement blessé dans l'accident. Il n'a pu être entendu dans l'immédiat sur les circonstances de l'accident, selon la gendarmerie. L'enquête a été confiée à la brigade de Montfort-L'amaury.

    20 Minutes


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  • Le corps de l'adolescente franco-irlandaise portée disparue en Malaisie a été identifié

    - Le corps sans vie découvert mardi par la police malaisienne est bien celui de l'adolescente franco-irlandaise qui était recherchée depuis dix jours, a confirmé le chef de la police locale.

    La disparition de Nora Anne Quoirin, qui était âgée de quinze ans, avait été signalée le 4 août après l'arrivée de sa famille dans un hôtel de Seremban, à 70 km environ au sud de la capitale malaisienne.

    La jeune fille, née d'un père français et d'une mère irlandaise, souffrait d'un handicap mental, tendant à écarter l'hypothèse d'une fugue.

    Son corps a été retrouvé à proximité d'un cours d'eau à 2,5 km environ de l'hôtel et identifié par sa famille, a annoncé Mohamad Mat Yusof, le chef de la police locale. Il a ajouté qu'une autopsie serait pratiquée mercredi matin.

    Le commandant adjoint de la police locale a précisé lors d'une conférence de presse qu'une enquête criminelle avait été ouverte. Il a cependant ajouté que les premières constatations n'établissaient pas d'acte criminel.

    Quelque 300 personnes ont participé aux recherches, aidées par des drones et des chiens. Des policiers britanniques, irlandais et française ont également été mobilisés.

    Le ministre irlandais des Affaires étrangères, Simon Coveney, a déclaré sur Twitter que les ambassades d'Irlande et de France apportaient leur aide à la famille Quoirin.

    "Dans cette épreuve, toutes nos pensées et toutes nos prières vont à cette famille", a-t-il ajouté.

    Reuters


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  • Il organise une "fête de la mort" pour sa femme qui succombe à une overdose

    Duane Arden Johnson a été condamné à trois ans de prison. Cet Américain habitant dans le Minnesota a reconnu son implication dans la mort de sa femme Debra Lynn Johnson et a plaidé coupable pour négligence, indique le site Internet du magazine «People». Au cours de son procès, il a raconté que son épouse malade l’avait supplié, en janvier, de l’aider à mourir.

    Alors qu’elle était soignée dans une clinique spécialisée, elle lui aurait demandé de la ramener chez eux afin de mettre fin à ses jours. C’est là que l’homme aurait décidé d’organiser une «fête de la mort» au cours de laquelle le couple a pris de la méthamphétamine, a eu des rapports sexuels, et a écouté sa chanson préférée : «Metal Health (Bang Your Head)» de Quiet Riot.

    Agée de 69 ans, Debra Lynn Johnson, avait en outre arrêté de prendre ses médicaments. Son corps a été découvert le 24 janvier au domicile familial, où les mots «Death Parade God Hell» étaient inscrits sur la porte d’entrée. L’autopsie a confirmé que Debra Lynn Johnson avait bien succombé à une overdose de méthamphétamine.

    Paris Match


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  • Landes: un couple de curistes retrouvé mort dans son mobile-home

    Aucune trace de lutte ou de violence, pas de signe d’effraction du mobile-home… Un couple originaire de Loire-Atlantique a été retrouvé samedi dans un camping de Saint-Paul-lès-Dax, révèle Sud Ouest. L’homme de 71 ans et son épouse âgés de 68 ans, suivis médicalement en raison de leur santé précaire, s’étaient rendus dans les Landes pour une cure thermale.

     

    D’après France Bleu Gascogne, les deux retraités étaient arrivés dans la région il y a un peu moins d’une semaine mais ils n’avaient pas donné la moindre nouvelle depuis deux jours. Alors que la lumière de leur logement était encore allumée, les employés du camping ont forcé la porte pour pénétrer dans le mobile-home où ils ont découvert les deux corps.

    Des autopsies doivent être pratiquées cette semaine pour en savoir plus sur les circonstances des deux décès. Le parquet a également demandé des expertises toxicologiques. En l’état, l’intervention d’un tiers est exclue. Seule précision apportée par le parquet de Dax : l’homme serait décédé avant son épouse.

    Le Parisien


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  • Un bateau s'est retourné lundi, au large d'Agon-Coutainville dans la Manche. Trois enfants sont décédés et trois adultes ont été blessés.

    Trois enfants de 7, 9 et 13 ans sont morts lundi 12 août dans un accident de vedette de plaisance au large d'Agon-Coutainville dans la Manche, ont indiqué les pompiers du département à franceinfo. Trois adultes se trouvaient également à bord du bateau, ils sont choqués mais légèrement blessés.

    L'embarcation dans laquelle se trouvait le groupe s'est retournée vers 15h30 pour une raison qui reste encore à déterminer, à environ 800 mètres de la plage de Passous, à Agon-Coutainville, selon la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord.

     

    Après qu'un témoin a donné l'alerte, l'hélicoptère Dragon de la sécurité civile stationné à Granville, deux unités de la Société nationale des sauveteurs en mer (SNSM) d'Agon-Coutainville et de Blainville, le poste de secours de Passous, les pompiers et le SAMU de la Manche ont été mobilisés. Des bateaux de l'école de voile qui se trouve à proximité ont également été envoyés sur place. La vedette, ainsi que tous les passagers, ont été ramenés à terre.

    Les trois adultes auraient réussi à s'extraire du bateau mais les trois enfants seraient restés coincés dans la cabine plusieurs minutes avant d'être dégagés, selon les premiers éléments. Une enquête a été ouverte par le parquet de Coutances pour tenter de déterminer les circonstances de cet accident mortel

    franceinfo

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  • Port-Vendres : une femme de 71 ans tuée à coup de couteau dans un drame conjugal

    Une femme de 71 ans est décédée, ce lundi soir devant son domicile, à Port-Vendres ( Pyrénées-Orientales), après avoir reçu plusieurs coups de couteau, a rapporté France Bleu Roussillon. A l’arrivée des secours, la victime avait déjà succombé à ses blessures.

    Le quartier a été bouclé par les autorités pour retrouver le mari de la septuagénaire, le principal suspect du meurtre. Arrêté par les policiers, l’homme a été placé en garde à vue.

    Le 88e féminicide depuis janvier

    Quelques minutes plus tôt, le couple, en instance de divorce, se serait disputé. Selon L’Indépendant, l’homme a attrapé un couteau et a poignardé sa compagne à plusieurs reprises. Une enquête a aussitôt été ouverte pour établir les circonstances exactes du meurtre. La police a déjà entendu plusieurs témoins.

    Selon L’Indépendant, certains d’entre eux évoquaient la présence d’un autre homme sur les lieux du drame, mais celui-ci n’aurait pas été blessé. Il s’agit du 88e féminicide depuis le début de l’année.

    20 Minutes


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  • Yvelines : les cambrioleurs de la pharmacie ont 11 et 12 ans

    Les voleurs interpellés dans la nuit de dimanche à lundi, à Viroflay, se disent marocains et sans famille en France.

    C'est peut-être un nouveau record de précocité pour un trio de cambrioleurs. Trois adolescents, âgés de 11, 12 et 17 ans ont été interpellés, ce lundi, au petit matin, à Viroflay, par les policiers de la brigade anticriminalité de Versailles après avoir cambriolé une pharmacie.

    Vers 5h10, l'alarme se déclenche dans l'officine de l'avenue du général Leclerc. La société de télésurveillance prévient la police et rapporte qu'un cambrioleur, vêtu de blanc, vient d'entrer dans le commerce en forçant le rideau de fer. Les forces de l'ordre arrivent rapidement sur les lieux et repèrent trois silhouettes suspectes dans la rue.

    Interpellés, les adolescents, dépourvus de papier d'identité, assurent qu'ils sont Marocains, sans famille en France, et se disent âgés de 11, 12 et 17 ans. « Les policiers leur donneraient plutôt une quinzaine d'années », précise une source proche de l'affaire. Une barre de fer, visiblement utilisée pour forcer la porte du commerce, est trouvée près d'eux. En les fouillant, les fonctionnaires découvrent sur eux une grande quantité de pièces de monnaie et de billets de banque dont ils ne peuvent justifier la provenance. Ils ont été conduits à l'hôtel de police pour être placés en retenue judiciaire.

    De nombreuses pharmacies attaquées ces derniers mois

    Les mineurs isolés sans domicile fixe semblent avoir jeté leur dévolu sur les pharmacies des Yvelines ces derniers mois . Des officines de Sartrouville, Trappes, Rambouillet, Le Vésinet et, déjà, Viroflay, en ont été victimes. C'est une véritable épine dans le pied des autorités car les dispositifs de reconduite à la frontière sont inefficaces.

    De fait, il est souvent impossible de s'assurer de leur identité. Et comme ils sont mineurs, il faudrait les déférer devant un juge pour enfant de leur pays d'origine. Une chose qui n'a jamais encore eu lieu dans la grande couronne de l'Ile-de-France. Dans les Yvelines, ils sont pris en charge par l'aide sociale à l'enfance, avant de fuguer et reprendre leur vie d'errance

    Le Parisien


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  • Amiens: un trou inexpliqué d'une profondeur de cinq mètres est apparu subitement

    Un trou d'une profondeur de cinq mètres est apparu sur la place Léon-Débouverie ce matin à Amiens. Un périmètre de sécurité a été installé.

    C'est à côté d'une brasserie d'Amiens, près de la mairie, qu'un trou de cinq mètres de profondeur s'est formé ce lundi matin, annonce Le Courrier Picard. C'est "lors d'une ronde de la police municipale", d'après un communiqué de la Ville, que le trou a été découvert vers 6h40. "Large de dix mètres et profonde de 4 à 5 mètres", la cavité a été sécurisée sur un large périmètre autour de la place Léon-Débouverie. 

    D'après des experts, il s'agirait d'une cavité qui se serait écroulée en créant un trou à la surface. Les services d'Amiens métropole n'ont pas encore confirmé cette possibilité. 

    3 personnes ont quitté leur logement

    Trois personnes vivant dans l'immeuble d'à côté ont dû quitter leur appartement avant d'être accueillis dans les salons de la mairie. Une partie de la rue des Vergeaux, proche du trou, a été interdite à la circulation. Le gaz, l'eau et l'électricité ont été coupés et la fibre optique s'est cassée lors de l'affaissement.

    "Les services d’Amiens Métropole sont mobilisés pour rétablir dans les plus brefs délais l’accès à la place Debouverie", annonce le communiqué. "Les sapeurs-pompiers ainsi que les différents services d’Amiens Métropole dont l’ingénieur d’astreinte, Eaux et Assainissements, voirie, se sont rendus sur les lieux".

    BFM.TV


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  • Un militant LGBT tunisien agressé à Paris : "Lorsque j'étais dans l'ambulance, mon agresseur a encore essayé de me frapper"

    Le porte-parole d'une association LGBT tunisienne, Nidhal Belarbi, a été roué de coups par quatre hommes, dans la nuit de jeudi à vendredi, à Paris.

    Ce militant a obtenu l'asile politique en France parce qu'il avait été condamné pour homosexualité en Tunisie. L'un de ses agresseurs s'en était déjà pris à lui en 2013, mais même après l'intervention des secours vendredi, il a encore essayé de le frapper, comme nous l'a rapporté Nidhal Belarbi.

    "J'étais en train de rentrer chez moi, et je me suis retrouvé entouré par quatre personnes. Quelqu'un m'a dit : 'Tu vois, le monde est petit'. Un autre : 'Sale pédé. Tu es en France, mais on peut te tuer, on peut tout faire'", rapporte auprès d'Europe 1 Nidhal Belarbi. "Un troisième a commencé à me frapper, à coups de poings et à coups de pieds. Des policiers sont arrivés. Lorsque j'étais dans l'ambulance, mon agresseur a encore essayé de me frapper : il a ouvert la porte du camion, mais le pompier l'a repoussé."

    "Je vais toujours défendre notre cause et continuer à avancer"

    "Pire que les douleurs physiques, ce sont les douleurs psychiques", poursuit Nidhal Belarbi. "Quand je marche dans la rue, j'ai un peu peur, je me retourne. Je suis un peu traumatisé, mais je vais toujours défendre notre cause et continuer à avancer", assure-t-il.

    Nidhal Belarbi est actuellement hébergé par un ami, Louis-Georges Tin, fondateur de la Journée mondiale contre l'homophobie et la transphobie. Témoin de la scène, il s'inquiète pour l'avenir de son ami. "Nidhal a dû fuir son pays, il trouve refuge en France et se trouve encore maltraité, persécuté", déplore-t-il, également auprès d'Europe 1. "Il n'y a pas de lieu vraiment sûr, c’est un peu ce qui le déprime. Il a été torturé, son partenaire a été torturé, il essayait de reconstruire sa vie ici et là, on a l'impression que tout est cassé, qu'il ne sera en sécurité nulle part", conclut-il.

    Europe 1


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  • Lyon: un immeuble de 6 étages s'effondre partiellement

    Peu avant 21 heures dimanche, les sapeurs-pompiers ont été dépêchés rue Giuseppe-Verdi après que le 5e étage d'un immeuble s'est affaissé sur le 4e. Tous les habitants ont été évacués. Une étude du bâtiment doit être réalisée afin de déterminer s'il existe un risque d'effondrement total.

    Un immeuble de six étages, situé dans le 1er arrondissement de Lyon, s'est en partie écroulé dimanche soir, rapporte Le Progrès. Les sapeurs-pompiers ont été dépêchés rue Giuseppe-Verdi peu avant 21 heures et ont évacué tous les habitants de l'immeuble après que le 5e étage s'est affaissé sur le 4e. 

    "Ça s'est passé au moment de l'orage. J'ai entendu un bruit sourd et sec, comme un 'crac', rapporte au quotidien le gérant d'un bar situé en face de l'immeuble. J'ai cru que c'était la foudre qui était tombée à proximité."

    Aucune victime à déplorer

    L'effondrement a suscité plus de peur que de mal: un habitant a été légèrement blessé et pris en charge par les secours, aucune autre victime n'est à déplorer. Les 49 sapeurs-pompiers ainsi que des agents de police sont restés mobilisés jusqu'au milieu de la nuit, un périmètre de sécurité a été établi autour de la rue Verdi. 

    Ce lundi matin, les causes de cet affaissement ne sont pas encore connues. Une étude du bâtiment doit être réalisée afin de déterminer s'il existe un risque d'effondrement total de l'immeuble.

    BFM.TV


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    Le drame s’est produit dans la nuit du vendredi 9 au samedi 10 août, dans la cité des Mondoux.

     

    Le corps d’un homme d’une cinquantaine d’années a été retrouvé dans la cité des Mondoux à Périgueux, dans la nuit du vendredi 9 au samedi 10 août, vers 4 heures du matin. Il s’agissait du locataire de cet appartement du bâtiment 10 de cet ensemble de logements sociaux. Son fils, qu’il hébergeait depuis peu, a été arrêté sur les lieux du drame et aurait reconnu les faits. 

    Ce jeune homme de 25 ans, connu de la justice pour deux condamnations anciennes, devait être présenté au parquet ce dimanche soir 11 août.

     

    Le corps de la victime, qui présente des traumatismes sur le thorax et sur le crâne, doit être autopsié lundi 12 août. Les circonstances, le mobile et l’arme éventuellement utilisée n’ont pas été révélés. 

    Sud-Ouest

    Fait divers banal, hélas !


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  • Lyon: Quatre morts dans un accident de la route

     

     Dans la nuit de samedi à dimanche, un accident dramatique s'est produit à Vénissieux, dans l'Est lyonnais, au niveau du numéro 197 de l'avenue Francis-de-Pressensé.

    Le bilan, encore provisoire, est très lourd: quatre personnes sont mortes et une cinquième est dans un état dit d'urgence absolue.

    Selon les premiers éléments de l’enquête, aux alentours de 3h55, au feu vert, le véhicule, un Renault Scenic, a accéléré pour doubler par la gauche une voiture qui le précédait.

    En se rabattant, il a heurté le terre-plein central, s’est retourné, avant de finir sa course dans le mur d’une société. Le conducteur, originaire de Vénissieux, et trois passagères sont morts sur le coup. Une quatrième jeune femme est dans un état dit d'urgence absolue.

    Si le conducteur a été identifié, ce n’est pas le cas des passagères. La police lance un appel à témoins et demande à toute personne pouvant détenir des informations sur l'accident ou les victimes d'appeler le 17.

    Les secours sont intervenus vers 4 heures du matin. D'après les premières constatations, une voiture, seule en cause, a percuté un mur.

    Selon nos informations, les victimes sont des jeunes, âgés d'une vingtaine d'années. Un homme et trois jeunes femmes ont péri dans l'accident.

    Le périmètre était encore bouclé ce dimanche matin. Cette portion de l'avenue a été rouverte vers 10 heures du matin.

    Le Progrès


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  • Mort mystérieuse dans le Jura : «Nous sommes tous passés à côté sans le voir»

    Florian a fait partie des bénévoles qui ont mené des recherches pour retrouver Lucas Renoud, 20 ans, disparu dans le Jura au mois de juin.

    Le 18 juin, Lucas Renoud, 20 ans, partait avec des collègues en balade aux cascades du Hérisson, dans le Jura. Il n’en reviendra jamais. Malgré un appel au 112, durant lequel il explique s’être perdu, et d’importantes recherches, son corps n’est retrouvé que le 26 juin, à seulement 30 m de l’un des sentiers du site, très fréquenté à cette période de l’année. Des bénévoles s’étaient rassemblés, les jours précédents, pour partir à sa recherche. Touché par cette disparition, Florian, 19 ans, en a fait partie.

    Dès le 20 juin, cet étudiant, par ailleurs pompier volontaire, a arpenté le secteur des cascades, non loin de sa ville de Clairvaux-les-Lacs (Jura). « On se levait à 6 heures, pour ratisser la zone par groupe de trois et terminer vers 22 heures, se souvient-il. Nous savions tous que plus les jours passaient, et plus les chances de le retrouver en vie s’amenuisaient. »

    Sur place, Florian fait la connaissance du papa de Lucas et de son oncle, équipé d’un drone. Il leur propose de loger à son domicile, où seront accueillies jusqu’à 18 personnes. Dans la foulée, Florian et ses amis placardent 150 affichettes. Le jeune homme crée aussi la page Facebook Retrouver Lucas Renoud, qui sera visitée à près de 300 000 reprises.

    Après plusieurs jours de recherches infructueuses, les bénévoles élargissent leur champ d’action, jusqu’aux belvédères voisins de la Dame Blanche et du Pic de l’Aigle. Pour, au final, revenir aux cascades. « Nous étions persuadés que Lucas était encore là, confie Florian. Même si toutes les hypothèses tournaient dans nos têtes, comme celle d’une fugue ou d’un enlèvement. »

    Le 26 juin, la tragique découverte vient clore ces suppositions, et suscite toujours l’incrédulité des bénévoles : « Je ne comprends pas qu’il n’ait pas été retrouvé plus tôt, lâche Florian. Nous sommes tous passés à côté sans le voir. Moi-même, j’ai dû passer à 10 m. » Pour lui, la seule explication tient dans la configuration des lieux. « D’après ce que l’on m’en a dit, on pouvait passer à 2 m de lui sans le voir, tellement les arbres le dissimulaient. »

    Le Parisien

    Mais de quoi est-il mort ?

    A t-on fait une autopsie ?

    Le journaliste aurait pu en dire plus !


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  • Un Français qui effectuait un périple dans le Grand Nord retrouvé mort au Canada

    Son aventure devait durer deux mois et demi. Elle s’est finalement arrêtée après 31 jours. Le corps de Thomas Destailleur a été retrouvé mercredi sur le Grand Lac des Esclaves, dans le nord du Canada.

    Alertée par sa famille, sans nouvelles, la Gendarmerie royale du Canada (GRC, la police fédérale) avait lancé des recherches le jour même. Son kayak renversé avait été repéré par un avion. La dépouille du jeune Français a été confiée au médecin légiste des Territoires du Nord-Ouest pour une autopsie. L’enquête sur les circonstances du décès se poursuit.

    La veille, dans sa dernière publication sur sa page Facebook, il évoquait le vent de plus en plus fort, les vagues de plus en plus hautes, le kayak qui se remplit d’eau : « Deux, trois vagues manquent de me retourner, et j’abandonne en surfant jusqu’à la plage, trempé et gelé. J’ai peur de l’hypothermie. » Tenace, le jeune homme retente sa chance le lendemain. En vain.

    Un aventurier écoresponsable

    D’abord à vélo puis en kayak, le kinésithérapeute était parti de Jasper, dans les Rocheuses canadiennes, pour « suivre les eaux du Glacier Athabasca sur 3700 km jusqu’à l’océan Arctique et le village de Tuktoyaktuk. » Un long parcours à travers le Nord canadien, qui devait le mener bien au-delà du cercle Arctique.

    Ce n’était pas la première expédition du jeune trentenaire, qui avait déjà voyagé en Tanzanie, Mongolie, en Indonésie, en Islande ou encore à Cuba. Des voyages qui avaient sacrément augmenté son empreinte carbone. Alors Thomas s’était résolu à « voyager différemment », comme il l’avait expliqué au site canadien L’Express avant d’entamer son périple.

    Avec son projet « Open Your Wild », il voulait promouvoir un mode de vie et de voyage respectueux de l’environnement. C’est son amour de la nature et des grands espaces qui l’avait poussé à quitter l’Hexagone, et Lille, dont il est originaire, pour s’installer au Canda. « J’aime bien bouger, je suis un peu nomade », confiait-il à L’Express.

    Il avait embarqué une caméra sur son kayak et espérait réaliser un film documentaire. À l’image des reportages de Nicolas Hulot et du Commandant Cousteau, qu’il regardait enfant.

    Le Parisien

    Il a voulu en faire trop, bien triste.


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