• Un homme de 38 ans est mort lors de son interpellation par la police, à Tarascon (Bouches-du-Rhône), le mercredi 4 septembre, selon France Info. Il aurait fait un arrêt cardiaque, après avoir reçu deux coups de pistolet à impulsion électrique. L’IGPN, la police des polices, a été saisie.

    Les faits se sont produits le 4 septembre, vers 21h15. Selon les témoins, un homme nu en pleine crise de démence aurait dégradé le logement d’un concierge d’une école du centre-ville de Tarascon.

    Connu par la justice pour une affaire de stupéfiants

    La police municipale, puis la police nationale sont intervenues. Pour le maîtriser, les policiers lui auraient tiré deux coups de pistolet à impulsion électrique.

    Ils sont alors parvenus à l’arrêter. Quelques minutes plus tard, alors qu’il est menotté, l’homme meurt d’un arrêt cardiaque.

    Selon le parquet de Tarascon, qui a ouvert une enquête, confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), rien ne permet pour le moment d’affirmer que les coups de taser sont à l’origine de la mort de cet homme.

    Une autopsie doit avoir lieu jeudi après-midi. L’homme décédé était connu de la justice, notamment dans un dossier de stupéfiants.

    Le Parisien


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  • Il voulait s’offrir à sa manière la promotion salariale qu’il estimait mériter, en vain. Alors le chargé de clientèle d’un établissement bancaire du centre de Bordeaux a décidé un beau jour de se servir directement dans la caisse. Ou plutôt dans le distributeur automatique de billets de l’agence, garni par les convoyeurs de fonds plusieurs fois par semaine. Au départ, il ne subtilise que quelques coupures. Puis en constatant que son action passe totalement inaperçue, ce cadre au-dessus de tout soupçon devient gourmand.

    Pendant six mois lors de l’année 2017, il subtilise ainsi en tout la somme astronomique de 74 000 euros. Le banquier a agi grâce à de simples jeux d’écriture informatique, au nez et à la barbe de ses collègues. Personne ne s’était aperçu de quoi que ce soit. Mais cet homme marié et père de famille, qui avait des dettes et des difficultés pour payer ses factures, finit par tomber bêtement. Un soir alors qu’il recompte chez lui huit mille euros en billets, il est surpris en pleine addition par son épouse. Stupéfaite, celle-ci lui demande des comptes et le somme de justifier la provenance d’autant d’argent. Outrée, choquée par les pratiques de son mari qu’elle découvre, elle n’en reste pas là. Dans les jours suivants, elle va ainsi dénoncer son époux auprès de son employeur. La direction de l’établissement tombe elle aussi des nues car rien dans le comportement de son salarié n’avait permis de douter de lui. La banque le licencie sur-le-champ et dépose plainte.

    « Payer des dettes et améliorer son train de vie »

    Lors de sa garde à vue à la brigade financière de la police bordelaise, le banquier ne cherche pas à nier les faits. « Il a tout de même minimisé les sommes dérobées, confie un policier du commissariat de Bordeaux. Il a expliqué qu’il voulait payer des dettes et améliorer son train de vie ». Le chargé de clientèle s’était ainsi servi d’une partie de son butin pour acheter un véhicule d’occasion, mais rien de très clinquant.

    Remis en liberté à l’issue de sa garde à vue, ce cadre, qui travaille toujours dans le même univers professionnel à Paris, sera jugé dans les prochaines semaines par le tribunal correctionnel de Bordeaux pour abus de confiance. Depuis, son ex-banque a revu ses procédures internes de sécurité.

    Le Parisien


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  • Une habitante de Saint-Hilaire-du-Rosier a été violemment attaquée mercredi à son domicile.

    Trois malfaiteurs ont attaqué et enlevé mercredi soir une octogénaire à son domicile, dans le quartier de la gare à Saint-Hilaire-du-Rosier (Isère), rapporte France Bleu Drôme Ardèche.

    Les trois malfrats ont fait irruption chez l’octogénaire aux alentours de 23 heures. Agressée et menacée, la personne âgée a été contrainte de conduire les trois malfrats à un distributeur de Romans-sur-Isère (Drôme), à 20 kilomètres de Saint-Hilaire-du-Rosier, pour leur retirer de l’argent.

    Une fois l’argent en poche, les agresseurs ont laissé repartir leur victime. Traumatisée, l’octogénaire n’alertera que le jeudi matin ses voisins qui alerteront à leur tour les gendarmes.

    La retraitée, sous le choc et qui présente des marques au visage, a été conduite à l’hôpital pour examen.

    En raison de la vulnérabilité de la victime, les gendarmes prennent cette affaire très au sérieux. « C’est d’une traîtrise sans nom » a de son côté réagi le maire de Saint-Hilaire-du-Rosier, Olivier Feugier-Posilek.

    Le Parisien


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  • Allier : le jeune Montluçonnais tué pour un simple défi du regard, deux mineurs incarcérés

    Montluçon : la victime a succombé à deux coups de couteau à hauteur du quai Louis-Blanc © Maxppp - Florian Salesse

    Les deux agresseurs présumés, des Clermontois âgés de 15 et 17 ans, ont été mis en examen pour assassinat ce vendredi. Ils ont été incarcérés en attendant leur procès. Les deux mineurs ont expliqué aux enquêteurs qu'ils avaient voulu retrouver la victime après des échanges de regard.

    Le mobile du crime est aussi futile qu'effrayant. Des regards qui se croisent, des jeunes qui se défient et la mort au bout de la vengeance. Les deux mineurs âgés de 15 et 17 ans originaires de Clermont-Ferrand se sont rendus à plusieurs reprises à Montluçon, afin de retrouver et de s'expliquer avec celui qui les avait défier.

     

    Ils finissent par le croiser mercredi dernier à hauteur du quai Louis-Blanc sur un parking à l'arrière du centre commercial Carrefour. L'échange est vif et la situation dégénère,lorsque la victime donne un coup de poing à un des mineurs. Le second parvient à ceinturer le jeune montluçonnais et son complice lui assène deux coups de couteau, dont un mortel dans la région du cœur. 

    Caméra de vidéosurveillance

    La victime, âgée d'une vingtaine d'années et originaire du quartier de Fontbouillant, décède peu de temps après son admission à l'hôpital. Le duo s'enfuit, mais la scène a été filmée par une caméra de vidéosurveillance. Ce qui permet de les localiser. Ils finissent par être interpellés dans la soirée par les gendarmes dans la gare SNCF de Bellenaves dans l'Allier. 

    Des aveux stupéfiants

    Ils ont été "confiés" aux enquêteurs clermontois de la police judiciaire co-saisis avec les policiers de Montluçon. Contrairement à la rumeur qui circulait depuis deux jours, le trafic de drogue n'est pas au centre de cette affaire criminelle. A l'issue d'une garde à vue qui aura durer quasiment 48 heures, les deux Clermontois sont passés aux aveux en expliquant les motifs de leur expédition punitive qui a viré au drame. Ils ont été déférés ce vendredi au parquet de Cusset et mis en examen "pour assassinat". 

    Ils ont été placés en détention en attendant leur procès.

    Les lieux d'incarcération n'ont pas été communiqués par le procureur de la République de Cusset, Eric Neveu, pour ne pas attiser les braises chauffées par ce crime au mobile futile. Les appels à la vengeance ayant déjà été postés sur les réseaux sociaux. Les deux jeunes criminels présumés étaient déjà connus des services de police, mais pour des faits très mineurs. 

    France Bleu - Vendredi 12 juillet 2019 à 18:46

    Bellenaves, ce n'est pas loin de mon village !


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  • Un homme a été tué par balle mercredi soir dans une rue de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) et ses agresseurs ont pris la fuite. « Le corps d’un jeune homme criblé de balles a été retrouvé jeudi vers 22h45 », a expliqué à l’AFP le procureur de la République, Eric Maillaud, confirmant une information de France Bleu.

    Un grand nombre de coups de feu ont été tirés et le corps de cet homme de 29 ans, connu pour trafic de stupéfiants, a été découvert gisant à l’angle des rues Grande Combaude et de l’Aiguillade, dans le quartier de la Gauthière.

    « Au moins deux agresseurs ont tiré sur lui, puisque deux types de munitions ont été identifiés, puis les tireurs ont pris la fuite à bord d’un véhicule qui pourrait être la voiture calcinée retrouvée ensuite près de Thiers (Puy-de-Dôme) », soit à une quarantaine de kilomètres de Clermont, a ajouté le procureur.

    Mercredi soir, sur place, le magistrat envisageait la possibilité de quatre membres au sein de ce groupe d’agresseurs.

    La police judiciaire de Clermont-Ferrand a été chargée de l’enquête.

    Le Parisien

    Les truands ont une police plus expéditive que la nôtre !

    Il ne faut pas qu'ils viennent dans l'Allier !


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  • Marseille : perdu à l’hôpital, un septuagénaire trouvé mort deux semaines après

    Ses proches le cherchaient depuis le 19 août, avaient imprimé des centaines d'affichettes et épinglé son visage dans tout Marseille (Bouches-du-Rhône). Mais le mystère de la disparition de Jean, 73 ans, a connu un tragique dénouement ce mardi. Le corps du septuagénaire a été retrouvé en décomposition dans une partie inutilisée et fermée du sixième étage de l'hôpital de la Conception, où il était venu en consultation le jour de sa disparition. C'est l'odeur, ressentie par plusieurs patients de l'étage, qui a alerté le personnel.

    Selon La Provence qui rapporte les faits ce mercredi, Jean Ligonnet était atteint de la maladie d'Alzheimer. Ce fameux 19 août, le père de six enfants se rend à l'hôpital pour une énième séance de chimiothérapie. Arrivé en taxi, il attend, comme d'habitude, son tour. L'homme désire alors se dégourdir les jambes ou peut-être aller aux toilettes. Mais ne revient pas.

    Plainte contre l'hôpital

    Le personnel fouille l'établissement, en vain. « Ça fait onze mois qu'il fait ces chimios à la Conception. À chaque fois, un (membre du) personnel doit garder un œil sur lui. Et là, l'infirmière nous explique qu'elle a seulement tourné la tête 30 secondes ! », raconte sa nièce Nathalie au quotidien régional.

    « Il avait 73 ans, il était très affaibli, il marchait tout doucement, je ne vois pas comment il a pu s'enfuir en 30 secondes. Une chose est sûre, on ne va pas en rester là », poursuit-elle. Dès la disparition de Jean, la famille a porté plainte contre l'hôpital.

    « Ils l'ont fait mourir comme un chien »

    Selon son fils, Jean Hospice, tout n'a pas été mis en oeuvre pour retrouver son père à temps : « La directrice de l'établissement m'a dit qu'elle avait fouillé partout. Moi, je suis passé d'étage en étage. Je demandais au service des infirmières s'ils avaient retrouvé mon père et les femmes des services me disaient qu'elles n'étaient pas au courant, qu'elles ne savaient pas que quelqu'un avait disparu. (...) Je suis dégoûté, écœuré, parce que mon père ne méritait pas de mourir dans des circonstances comme ça. (...) Ils l'ont fait mourir comme un chien, et ils l'ont oublié. Que des personnes laissent mourir une personne comme ça, j'arrive même pas à y croire », a ajouté le fils de la victime auprès de l'AFP.

    L'Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM), régulièrement confrontée à des fugues de patients, assure avoir tout mis en oeuvre pour le retrouver : fouilles répétées de tout l'établissement et ses abords, visionnage de la vidéosurveillance, mobilisation générale des personnels encadrants, soit « des dizaines » de personnes. « Notre métier est de soigner. Tout le monde se sent responsable », a par ailleurs assuré Sylvia Breton, directrice adjointe de l'AP-HM, qui a présenté ses condoléances à la famille au cours d'une conférence de presse.

     

    Une enquête est en cours et une autopsie sera pratiquée pour en apprendre plus sur les circonstances du décès du septuagénaire.

    Le Parisien

    J'ai lu ailleurs que l'endroit où il a été retrouvé était fermé à clé et que la serrure avait été fracturée ! ?

     


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  •  Un homme de 26 ans a été tué par arme à feu dans la nuit de mardi à mercredi à Asnières-sur-Seine, a appris l’AFP de source policière​. 

    L’homme, qui marchait dans la rue non loin d’une station de métro, a été touché au thorax vers 3h20 du matin, a indiqué cette source. Les pompiers arrivés sur place n’ont pas pu le réanimer et il est décédé environ une heure plus tard.

    Selon les premiers éléments de l’enquête, l’agresseur circulait en voiture quand il a visé la victime, a confirmé le parquet de Nanterre. Toujours selon cette source, la victime était connue des services de police. Elle avait été condamnée à plusieurs reprises pour vol aggravé et dégradations.

    Une autopsie aura lieu jeudi. Pour l’heure, aucun suspect n’a été arrêté. Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte et confiée au Service départemental de la police judiciaire (SDPJ).

    20 Minutes


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  • Le trentenaire a été la cible de plusieurs coups de feu mercredi soir dans le quartier du Faubourg Bonnefoy.

     

    Un homme a été grièvement blessé par balles mercredi soir dans le quartier du Faubourg Bonnefoy à Toulouse (Haute-Garonne), rapporte La Dépêche.

    Selon le quotidien régional, les faits sont survenus vers 19h45. Alors qu’il se trouvait dans la cour du petit immeuble où il réside, cet homme âgé d’une trentaine d’années a été atteint par plusieurs balles.

    Il a été évacué en urgence vers l’hôpital Rangueil et son pronostic vital était engagé.

    Sur les lieux, les policiers ont découvert, rue Ponchon, plusieurs douilles d’une arme automatique. Il semblerait que le tireur aurait agi depuis une voiture avec l’aide d’un complice avant de prendre la fuite.

    Le Parisien

     


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  • Elle a pensé qu'il s'agissait d'un cambrioleur.

    Une Américaine a ouvert le feu sur sa fille, une étudiante de 18 ans venue lui rendre une visite surprise, rapportent mercredi 4 septembre les médias locaux. La jeune femme a été blessée au bras vendredi soir à Girard dans l'Ohio (nord), mais ses jours ne sont pas en danger, selon la chaîne d'informations locale WFMJ(article en anglais).

    La mère qui dispose d'un permis de port d'arme était seule à la maison quand elle a entendu "des bruits vers sa cuisine ou son entrée", a expliqué à la chaîne le chef de la police locale John Norman. "Comme elle avait une arme à proximité, elle a ouvert le feu sur la personne qui franchissait sa porte", a-t-il ajouté, en précisant qu'elle a été choquée en réalisant l'identité de sa victime.

    Le policier prévoit de transmettre un rapport au procureur local, qui décidera s'il y a matière à ouvrir des poursuites. Le port d'armes est un droit garanti par la Constitution, auquel les Américains sont très attachés. Plus d'un tiers des adultes possèdent au moins une arme à feu. Environ 40 000 personnes ont été tuées par balles en 2017, toutes causes confondues, selon des statistiques officielles

    franceinfo


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  • Deux habitants des Sables-d’Olonne ont été condamnés mercredi à de la prison ferme pour avoir frappé leur voisin, qui était fan de la chanson de Pierre Perret.

     

     

    « Tout tout tout, Vous saurez tout sur le zizi, Le vrai, le faux, Le laid, le beau… » Un habitant des Sables-d’Olonne ne pensait pas que sa passion pour la célèbre chanson de Pierre Perret « Le Zizi » allait le conduire à l’hôpital, rapporte France Bleu Loire Océan.

    Deux de ses voisins, âgés de 33 et 46 ans, l’ont violemment frappé, le 24 août dernier, assurant qu’ils le croyaient pédophile. Cette rumeur était véhiculée, dans le quartier, notamment parce que cet homme de 54 ans écoutait en boucle la chanson. La justice les a condamnés mercredi à des peines de prison ferme.

    Les deux Sablais, lors d’une soirée d’ivresse, avaient attendu leur voisin au pied de l’immeuble avant de le rouer de coups. La victime, âgée de 54 ans, avait terminé aux urgences avec quatre côtes cassées, plusieurs fractures et 20 jours d’interruption totale de travail.

    « J’ai couché avec sa femme, c’est elle qui me l’a dit »

    Mercredi, lors de l’audience au tribunal des Sables-d’Olonne, le président s’est étonné que cette rumeur puisse conduire à un tel déchaînement de violence. Le magistrat a rappelé aux deux prévenus que la victime n’avait jamais été mise en cause par la justice pour pédophilie. « Vous le tenez d’où, que votre voisin est pédophile ? », a-t-il demandé. « C’est parce que j’ai couché avec sa femme, c’est elle qui me l’a dit », a assuré l’un des prévenus.

    « Il écoute Pierre Perret très fort, la chanson Vous saurez tout sur le zizi, il le met très fort et tout le monde l’entend dans l’immeuble », a expliqué à la barre l’autre prévenu, qui avait indiqué aux enquêteurs avoir peur pour sa fille de six mois. « Vous savez qu’écouter Pierre Perret ne fait pas de quelqu’un un pédophile », a martelé le président.

    Les deux agresseurs ont finalement été condamnés à 5 et 6 mois de prison ferme, une obligation de soins et une interdiction de séjour aux Sables-d’Olonne.

    Le Parisien

     


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  • Etats-Unis : un adolescent de 14 ans tue 5 membres de sa famille

    Il a appelé les secours en prétendant avoir entendu des coups de feu alors qu’il en était l’auteur. Un adolescent américain de 14 ans est suspecté d’avoir tué cinq membres de sa famille, lundi soir, à Elkmont, dans l’Alabama, ont rapporté mardi plusieurs médias nord-américains.

    Placé face à ses contradictions, l’adolescent a reconnu rapidement avoir lui-même tiré une fois. Les victimes du tireur présumé sont son père et sa belle-mère, âgés de 38 ans et 35 ans, ainsi que ses frères et soeurs : un bébé de 6 mois, une fille de 5 ans et un garçon de 6 ans.

    L’arme de poing qui aurait été utilisée a été retrouvée aux abords de la maison. Le jeune homme encourt la peine de mort.

    Le Parisien

    Mais pourquoi ? L'horreur absolue !


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  • "On n'a jamais voulu l'écouter" : malgré ses nombreux appels à l'aide, Gülçin Kaplan a été tuée par son ex-mari en sortant de chez elle

    Lien de l'article :

    https://www.francetvinfo.fr/societe/feminicides/on-n-a-jamais-voulu-l-ecouter-malgre-ses-nombreux-appels-a-l-aide-gulcin-kaplan-a-ete-tuee-par-son-ex-mari-en-sortant-de-chez-elle_3600367.html

     

    Fin de l'article :

    Le dimanche 27 janvier 2019, alors qu'elle sort de l'immeuble, son ex-mari surgit de nulle part, sort un couteau et poignarde l’ami qui l’accompagnait puis s'acharne sur Gülçin en plein jour devant ses quatre enfants qui assistent à la scène. Gülçin Kaplan meurt avant même d'arriver à l'hôpital. Elle avait 34 ans.

    Le mari était turc


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  • Morbihan : huit mois de sursis pour un médecin retraité accidenté avec... 6,40 g d'alcool

    Un médecin à la retraite de 70 ans a été condamné mardi à huit mois de prison avec sursis par le tribunal de Lorient pour avoir conduit avec 6,40 g d'alcool dans le sang en janvier, encastrant sa voiture neuve dans un abribus. 

    Le 21 janvier, à 11h du matin, ce médecin généraliste à la retraite, installé en Bretagne depuis quatre ans après une carrière en région parisienne, a encastré sa voiture flambant neuve dans un abribus sur le littoral de Ploemeur (Morbihan). L'accident n'a pas fait de blessé. Le conducteur, avant l'arrivée des secours, a repris une rasade de la bouteille de rhum qu'il tenait serrée entre ses cuisses.

    "Je devais me sentir capable d'effectuer les trois kilomètres qui me séparaient de mon domicile"

    Mardi, à l'audience, le tribunal a relevé "un taux inexplicable sur le plan pénal mais aussi physiologique. On ne peut l'atteindre sans consommer de l'alcool de façon régulière. Si un médecin n'est pas en capacité de comprendre qu'il n'était pas en état de prendre le volant, qui le sera?", a déploré le procureur. "Je devais me sentir capable d'effectuer les trois kilomètres qui me séparaient de mon domicile", s'est défendu le prévenu, déjà condamné en 2010 pour conduite en état d'ébriété. Le médecin, qui a dit avoir perdu le contrôle de son véhicule en raison de la boîte automatique, a assuré "ne pas boire de façon habituelle".

    Le parquet a toutefois estimé que "sans un sévère entraînement, on n'était pas en état de marcher et même de ramper... Un taux de 4 à 5 g est déjà potentiellement mortel", a souligné le parquet, rappelant que le "record" d'alcoolémie au volant en France s'élevait à 11 grammes en 2013 à Avignon.

    Le médecin retraité a été condamné à huit mois de prison avec sursis et trois ans de mise à l'épreuve. Il aura obligation de soigner son alcoolisme et a l'interdiction de conduire un véhicule qui ne serait pas équipé d'un système antidémarrage par éthylotest. Son permis étant annulé, il pourra le repasser dans 18 mois.

    Europe 1


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  • L’ancien compagnon violent, qui était sous l’emprise de l’alcool au moment des faits, a été interpellé et mis en examen.

     

    L’affaire remonte à dimanche matin mais n’est révélée que ce mercredi par le quotidien régional La Provence, aux termes de deux jours d’enquête des services de police. Une jeune femme a échappé aux coups de son ancien compagnon, à Marseille, en sautant dans le vide depuis une fenêtre de son appartement, au premier étage de son immeuble.

    Il était 8 heures du matin quand les marins-pompiers ont été alertés par une voisine. Ils ont pris en charge la jeune femme, âgée de 29 ans, qui venait de sauter d’une hauteur de 4 mètres. Souffrant d’une fracture lombaire et d’une embolie pulmonaire, elle a dû être opérée depuis et bénéficie d’une ITT de 60 jours. 

    Elle avait rompu deux semaines auparavant

    La jeune femme avait eu le temps de confier qu’elle tentait de fuir les coups de son ancien compagnon, avec lequel elle avait rompu depuis deux semaines et auquel elle s’était une nouvelle fois refusé. Celui-ci a été interpellé alors qu’il sortait de l’immeuble et s’apprêtait à partir sur son deux-roues. Il était sous l’emprise de l’alcool.

    Agé de 34 ans, l’individu présente des antécédents de violence sur une autre ex-compagne. Selon La Provence, il a juste admis avoir «bousculé » la jeune femme dimanche. La police était pourtant déjà intervenue chez eux il y a deux ans pour des violences. Il a été mis en examen pour « violences sur conjoint ayant entraîné une ITT de plus de 8 jours ».

    Le Parisien


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  • Un policier de 46 ans a été placé en détention provisoire mardi, soupçonné d’avoir voulu tuer sa femme et son amant, tous deux également policiers, en percutant leur voiture avec la sienne, a-t-on appris auprès du parquet de Chalon-sur-Saône. Ce fonctionnaire du commissariat de Montceau-les-Mines avait été mis en examen vendredi pour « tentative d’assassinats ».

    Hospitalisé d’office dans un premier temps, après examen psychiatrique, il a comparu mardi devant le juge des libertés et de la détention qui a ordonné son incarcération, a-t-on précisé de même source, confirmant des informations du quotidien régional Le Journal de Saône-et-Loire.

    Blessés aux jambes et à un pied

    Les faits remontent à la nuit du 28 au 29 août. Le policier, qui était au volant d’une voiture, est soupçonné d’avoir volontairement percuté celle qui transportait sa femme et son amant, sur le parking d’une pizzeria à Montchanin.

    Les deux victimes, blessées aux jambes et à un pied, sont également membres de la police nationale, au commissariat du Creusot selon le JSL.

    Le Parisien


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  • Violences conjugales: Macron témoin d'une "défaillance" à la plateforme d'assistance aux victimes

    Ce mardi, jour de l'ouverture officielle du Grenelle des violences conjugales, la gendarmerie nationale a annoncé l'ouverture d'une enquête interne après la prise en charge "défaillante" d'une femme menacée par son mari et dont l'appel à la plateforme d'accueil téléphonique des violences conjugales avait été suivi en direct par Emmanuel Macron.

    Le chef de l'Etat s'était rendu, avec des journalistes, au siège parisien du 3919 où il avait entendu un gendarme refuser son assistance à une femme en détresse qui venait de porter plainte pour menaces contre son mari.

    Le gendarme, qui ignorait que le président assistait à la conversation avec l'écoutante du 3919, avait ainsi refusé de raccompagner la femme chez elle au motif qu'il aurait fallu, selon lui, au préalable un "ordre d'huissier".

    "Même si le contexte du cas évoqué doit être précisé, la prise en compte de cette victime en difficulté apparaît totalement défaillante", a réagi la direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN).

    Enquête de l'IGPN

    Ainsi, une enquête administrative a été ouverte et confiée à l'Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) "pour déterminer les circonstances de ce manquement", selon la gendarmerie nationale.

    "L'absence d'écoute et l'opposition répétée  du service de gendarmerie contacté apparaissent en totale opposition avec la charte d'accueil des victimes et des règles de prise en compte des femmes en difficultés", a-t-on souligné de même source.

    Anonyme et gratuit, le 3919 est ouvert 7 jours sur 7, de 9h à 22h en semaine et de 9h à 18h les week-ends et jours fériés.

    En 2018, le ministère de l'Intérieur a recensé 121 féminicides en France.

    BFM.TV


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  • Incendie mortel à Schiltigheim : Un enfant de 11 ans décède, la piste criminelle privilégiée

    Un petit garçon de 11 ans est mort dans l’incendie d’un immeuble cette nuit à Schiltigheim, dans la banlieue de Strasbourg. La piste criminelle est privilégiée, un jeune homme de 23 ans a été interpellé

    Un garçon de 11 ans est mort dans l’incendie d’un immeuble à Schiltigheim, dans le Bas-Rhin, a appris 20 Minutes, confirmant une information des Dernières Nouvelles d'Alsace. Son corps a été retrouvé par les sapeurs-pompiers dans l'immeuble, situé rue Principale. L’incendie s’est déclaré vers 4 heures du matin. Huit personnes ont été blessées. Elles seraient toutes de la même famille.

    Dans le détail, cinq personnes ont sauté par la fenêtre pour échapper aux flammes dont la mère de la victime, une femme de 49 ans, un garçon de 7 ans, une jeune femme de 21 ans, une fille de 13 ans et une autre de 9 ans, selon nos informations. Trois ont été prises en charge pour avoir inhalé de la fumée, dont deux adolescents de 15 et 14 ans et un homme âgé de 78 ans.

    Un incendie « particulièrement violent » qualifié de « criminel »

    L’opération a mobilisé 90 sapeurs-pompiers, selon Thierry Carbiener, le président du service départemental d’incendie et de secours du Bas-Rhin (Sdis 67). Une quarantaine de riverains ont été pris en charge en centre d’accueil. L’incendie est décrit comme « particulièrement violent » par les secours. Il est qualifié de « criminel » par une source policière, selon l’AFP. « Un suspect âgé de 23 ans » a été interpellé dans la nuit, annonce cette source.

    Le père de la victime est encore sur place. Il a été pris en charge par les secours. La police est sur place. Le président de l’Eurométropole Robert Herrmann a été aperçu sur place.

    20 MINUTES


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  • Un homme qui a échappé à une tentative d'assassinat lundi soir et est soupçonné d'avoir tué son agresseur à l'Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne) a été placé en garde à vue, a appris mardi l'AFP de source judiciaire. Les faits se sont produits peu avant 19H30 sur un parking de cette commune, avait indiqué lundi une source policière.

     

    Selon les premiers éléments, l'homme est arrivé en voiture et a été blessé par des tirs. Il aurait alors répliqué, touchant mortellement son agresseur, avait précisé une source proche du dossier.

    Le mode opératoire et le profil de l'homme, connu des services de police pour des affaires de stupéfiants, ont conduit la JIRS (juridiction inter-régionale spécialisée) de Paris a se saisir de l'enquête, ouverte pour "tentative d'assassinat en bande organisée, homicide et infraction à la législation sur les armes", selon la source judiciaire.

    Les investigations ont été confiées à la brigade criminelle. Deux armes ont été retrouvées sur place, selon la source policière.

    Paris Match


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  • Un crâne et des ossements humains découverts dans un bois à Cistrières (Haute-Loire)

    Macabre découverte ce dimanche 1er septembre en Haute-Loire. Au cours de la matinée, un promeneur est tombé sur un crâne humain dans un bois bordant la D588, sur la commune de Cistrières. 

    Alertés rapidement, plusieurs gendarmes aux ordres du lieutenant-colonel Bertrand Dutheil, commandant en second du groupement de gendarmerie de Haute-Loire, se sont rendus sur les lieux afin d'établir un périmètre de sécurité et de recherche. 

    Des techniciens en identification criminelle (TIC) ont également été dépêchés sur place. En plus du crâne, ils ont découvert divers ossements. Des hommes du Psig (peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie) d'Ambert, ainsi que des militaires de la compagnie de Brioude sont venus les épauler.

    L'identité de la victime n'est pas connue à ce stade

    « Une procédure a été ouverte afin de rechercher tous les éléments permettant de vérifier l'identité de la victime, ainsi que les causes de sa mort, a indiqué le procureur de la République du Puy, Nicolas Rigot-Muller, présent lui aussi sur les lieux. On a aussi retrouvé quelques bouts de vêtements mais rien qui puisse nous indiquer s'il s'agit d'une femme ou d'un homme. »

    A ce stade de l'enquête, le procureur ajoutait ne pas être en mesure de déterminer si une piste criminelle devait être poursuivie mais ne l'écartait pas non plus. Dans cette optique, et dans le but de découvrir d'éventuels autres ossements, les gendarmes devaient procéder à un large ratissage du bois.

    La Montagne

    Quelqu'un'(e) qui a disparu depuis un moment !

    Les bouts de vêtements peuvent être reconnus par les proches de la victime

     


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