• Un policier âgé de 46 ans, affecté à la Direction centrale de la sécurité publique (DDSP) du Havre, s’est suicidé mardi rapporte Le Figaro. Le motard a été retrouvé sans vie par son épouse.

    Le suicide du policier a été confirmé par un message sur Twitter de la police nationale de Seine-Maritime qui présente ses « pensées émues à sa famille, ses proches et ses collègues ».

    Selon le quotidien, le policier motocycliste était en arrêt maladie depuis quelques jours à son retour d’une mission à l’occasion du G7 de Biarritz.

    49 policiers se sont suicidés depuis le début d’année

    Il s’agit du 49e suicide dans la police depuis le mois de janvier. Face à cette recrudescence, Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur, a annoncé lundi la mise en place d’un numéro unique d’appel permettant aux policiers d’avoir un accès « anonyme, confidentiel et gratuit, 24h/24 et 7j/7 aux psychologues de la plateforme ».

    Géré par des prestataires externes, ce nouveau numéro vert est mis en œuvre en complément de celui du service de soutien psychologique opérationnel de la police, mis en service fin juin.

    Ce nouveau numéro vert s’accompagne d’une campagne de communication autour du slogan : « Être fort c’est aussi demander de l’aide ». « Il n’y a pas de honte à connaître une fragilité », a relevé lundi le ministre de l’Intérieur, en marge d’une réunion à Paris avec les services en charge du programme de mobilisation contre les suicides dans la police.

    Depuis le début de l’année, 49 agents de la police nationale ont mis fin à leurs jours, un bilan déjà bien plus élevé qu’en 2018, année au cours de laquelle 35 fonctionnaires s’étaient suicidés. Depuis le 1er janvier, 12 gendarmes et 17 pompiers se sont également suicidés, selon la place Beauvau.

    Le Parisien


    3 commentaires
  • En fin d’après-midi mercredi 4 septembre, un jeune homme de 18 ans se présente au commissariat de Liévin. Particularité, il est nu, à l’exception toutefois du port d’un caleçon. À l’agent qui le reçoit, le Lensois explique avoir été forcé à monter dans une voiture par un couple dont il connaît la femme. Il s’agit de la mère d’une de ses amies. Ainsi enlevé, il est conduit dans des garages du côté de Liévin. Là, il est accusé de fournir de la drogue à cette amie, ce qu’il nie auprès de ses agresseurs.

    La mère de famille interpellée sur son lieu de travail

    Le couple ne voulant rien entendre, le garçon se fait dépouiller de sa carte bancaire, de ses papiers et de tous ses vêtements, chaussures comprises, à l’exception, donc de son caleçon. Son téléphone portable est quant à lui détruit au sol. Une fois donné le nom de la mère de son amie à la police, cette femme de 37 ans, originaire d’Hénin-Beaumont, est rapidement interpellée sur son lieu de travail. Elle commence par nier, avant d’avouer, puis de donner le nom de son compagnon. L’homme, âgé de 40 ans, est interpellé à son tour.

     

    En garde à vue, le couple explique avoir retrouvé tout le matériel nécessaire à la consommation de drogue dans la chambre de la jeune femme. Pour ce qui est des faits, les deux mis en cause précisent avoir brûlé les vêtements de leur victime. Pour enlèvement et séquestration, les Héninois comparaîtront prochainement devant la justice correctionnelle de Béthune.

    La Voix du Nord

    Alors d'où venait la drogue en possession de leur fille ?


    4 commentaires
  • Lundi, un homme de 78 ans a abattu trois membres de sa famille, âgés et "gravement atteintes par la maladie", dont il s'occupait. L'homme s'est ensuite donné la mort

    On en sait davantage sur les circonstances du drame familial qui s'est joué lundi dans les Bouches-du-Rhône. Un septuagénaire a abattu successivement lundi dans deux petites communes des Bouches-du-Rhône sa belle-mère, son beau-frère et sa femme, tous dans leur lit médicalisé, avant de se donner la mort, un "drame familial" selon le procureur, sans doute lié à l'état de santé des victimes. Ces dernières étaient toutes âgées et "gravement atteintes par la maladie", a indiqué le procureur de la République de Tarascon (Bouches-du-Rhône) Patrick Desjardins, qui a évoqué "le contexte fragile d'une famille touchée par la maladie et où un homme prend la décision de prendre les armes".

    L'auteur des meurtres, âgé de 78 ans, s'est d'abord rendu chez sa belle-mère à Maussanne-les-Alpilles en tout début d'après-midi. C'est là-bas que les gendarmes ont découvert les corps de cette femme de 95 ans, "alitée dans un lit médicalisé, fortement diminuée physiquement", et de son fils de 69 ans, également alité, a décrit le procureur. Tous les deux ont été "abattus par au moins un coup de fusil", a ajouté Patrick Desjardins. L'auteur des meurtres est ensuite revenu chez lui, à Mouriès, la commune voisine, où il a abattu son épouse qui, à 72 ans, était "elle aussi affaiblie par la maladie", selon le procureur, et a été retrouvée dans les mêmes circonstances que sa mère et son frère, tuée "vraisemblablement par un coup de fusil" dans son lit médicalisé.

    Les gendarmes, avertis par un voisin qui avaient entendu des coups de feu, ont très rapidement mis un nom sur l'auteur de ces meurtres, "puisqu'un témoin proche de la scène de crime de Maussanne l'a reconnu, ce qui a permis de découvrir très vite le corps de l'auteur présumé grièvement blessé, et de son épouse", a expliqué le général Ronan Le Floc'h, commandant de groupement de gendarmerie des Bouches-du-Rhône.

    "Je pense qu'il était au bout, il avait tellement de soucis avec sa famille"

    L'auteur des coups de feu, qui s'est tiré deux balles dans le corps devant sa maison, était encore en vie à l'arrivée des secours. Il a été héliporté à Marseille où il est décédé dans l'après-midi. "Il s'occupait depuis des années de sa femme malade et de sa belle-famille, il leur faisait à manger, les lavait, faisait le ménage, il n'en pouvait plus", a raconté à l'AFP son voisin et neveu par alliance. "Ma femme allait à la poste quand elle a vu un fusil devant la maison de son oncle. Elle s'est avancée et a découvert son corps, les intestins sortis, c'était un choc immense", a-t-il ajouté.

    Alors que la petite impasse de Mouriès où résidait l'auteur des homicides était barrée par les gendarmes lundi soir, sur la place du village, les visages étaient graves. "Bien sûr qu'on le connaissait, toute la famille", répond un passant.

    "C'était une personne très estimée dans le village, je suis encore très émue de ce qui s'est passé, on est tous anéantis", a déclaré à l'AFP la maire de Mouriès Alice Roggiero. Elle a décrit le septuagénaire qui s'est suicidé comme "un monsieur plutôt réservé, très près de sa famille, de son épouse, de ses petits-enfants".

    "Il s'est occupé beaucoup de son épouse, de sa belle-mère, de son beau-frère, ça a été peut-être trop lourd pour lui", a déploré l'élue, ajoutant: "Je pense qu'il était au bout, il avait tellement de soucis avec sa famille". Evoquant la maladie de sa femme, "très fatiguée depuis de nombreuses années", et son beau-frère handicapé après un accident, Alice Roggiero conclut: "La maladie ne lui a pas fait de cadeau".

    Paris Match


    7 commentaires
  • Un quadragénaire, déjà connu des services de police, sera jugé en comparution immédiate mercredi, devant le tribunal correctionnel de Perpignan, dans les Pyrénées-Orientales.

     

    Il est soupçonné d’avoir menacé une jeune femme de 24 ans avec une arme factice pour lui soutirer de l’argent, rapporte L'Indépendant.

    Interpellé et placé en garde à vue

    Les faits ont eu lieu samedi, dans le centre-ville de la capitale catalane. Le suspect est accusé d’avoir braqué la victime, en lui faisant croire qu’il était en cavale, qu’il avait tué un homme, et qu’il avait besoin d’argent, poursuit le quotidien régional.

    L’homme, qui serait reparti avec des espèces et la carte bancaire de la victime, a été interpellé quelques minutes plus tard, et placé en garde à vue.

    20 Minutes


    4 commentaires
  • Un ouvrier meurt écrasé par une grue dans une centrale thermique EDF

    Un ouvrier de 31 ans est mort écrasé lundi après-midi par la chute d'une grue sur le site d'une ancienne centrale au charbon d'EDF à Blénod-lès-Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle), a appris l'AFP auprès d'EDF. L'accident est survenu vers 15h sur le site de cette centrale thermique en déconstruction depuis quelques années, selon cette même source.

    La grue, qui était "en train d'être mise en place", a subitement "chuté et a heurté une personne qui travaillait pour une entreprise prestataire" intervenant sur le chantier, a-t-on expliqué, confirmant une information du site internet du quotidien régional "L'Est Républicain". La victime se trouvait alors avec un salarié d'EDF qui n'a pas été touché physiquement, a-t-on précisé. Très choqué, il a toutefois été hospitalisé, a-t-on ajouté.

    Les secours, arrivés rapidement sur place, "n'ont pu que constater le décès" de la victime, a-t-on ajouté.

    Cinq personnes choquées prises en charge

    Une cellule psychologique a été mise en place, selon EDF. Cinq personnes choquées ont été prises en charge par cette cellule, selon "L'Est Républicain". Une enquête a été ouverte, selon EDF.

    Mise en service entre 1963 et 1969, la centrale au charbon de Blénod-lès-Pont-à-Mousson a été progressivement arrêtée entre 1995 et 2014 et fait actuellement l'objet de travaux de déconstruction, selon EDF. Elle a été remplacée par une centrale à cycle combiné gaz, construite juste à côté.

    Paris Match


    4 commentaires
  • Eure : manifestation hostile devant le domicile de la mère d'Alexandre Benalla

    Une vingtaine de personnes ont manifesté dimanche après-midi devant le domicile de la mère d'Alexandre Benalla, qui habite dans une commune de l'Eure, révèle le quotidien régional Paris Normandie.

    "Ces manifestants portaient des masques à l'effigie d'Alexandre Benalla", l'ancien chargé de mission d'Emmanuel Macron licencié après la révélation de ses violences en marge du 1er-Mai à Paris, en 2018, ajoute Franceinfo. "Ils ont brandi des fumigènes et lancé des pétards et des oeufs en direction de la maison."

    Deux personnes ont été interpellées et placées en garde à vue, les autres ayant pris la fuite avant l'arrivée des gendarmes. La mère d'Alexandre Benalla a déposé plainte et une enquête a été ouverte.

    Un an après les premières révélations du Monde sur les violences commises par l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron, les enquêtes lancées par la justice sont toujours en cours. Licencié de l'Élysée à l'été 2018, Alexandre Benalla est désormais à la tête de sa société de sécurité, baptisée Comya, basée au Maroc.

    L'Express

    C'est stupide de s'attaquer à la mère de Benalla.

    D'ailleurs, quand on réfléchit bien, Benalla n'a pas fait grand chose !


    4 commentaires
  • Il vivait la grande vie jusqu'à ce que sa femme découvre d'où venait l'argent

    L’inspecteur britannique Darren McKie semblait tout avoir pour lui : une famille, une belle maison et une grosse voiture. Sauf qu’il cachait un énorme secret.

    C’est l’épilogue d’un macabre fait divers. Darren McKie vient d’être déclaré coupable de la mort de son épouse. Comment ce policier en est arrivé à tuer son épouse ? L’histoire fait froid dans le dos, comme l'explique le Manchester Evening News.

    À 43 ans, Darren profitait de la vie avec sa femme Leanne et ses trois enfants dans une villa à 500 000 euros d'un quartier chic de Manchester, en Angleterre. Sur les réseaux sociaux, plusieurs photos attestaient que la petite famille pouvait s'offrir des vacances à 5000 euros la semaine et des voitures hors de prix. Le paradis ? Pas tout à fait.

    Des emprunts à gogo

    Pour réaliser tous ses rêves, Darren McKie mentait. Le quarantenaire avait de graves problèmes financiers. Pour assumer son train de vie d'enfer, il multipliait les emprunts bancaires. Il en avait tellement sur le dos, qu'à la fin du mois, il ne restait plus que 90 euros par mois à la famille pour vivre.

     

    À force de jouer avec le feu, Darren McKie a fini par se brûler : il a été interdit bancaire. Pour pouvoir continuer à emprunter, il a donc trouver une solution : utiliser l'identité de sa femme sans la prévenir. Une méthode qui a fonctionné jusqu'au jour où la femme a découvert la supercherie en ouvrant, au hasard, un courrier.

    Leanne décide donc de lui envoyer un SMS : "Tu es un menteur. Je viens de recevoir un document pour un emprunt à mon nom, avec mon passeport. WTF ?". Quelques heures plus tard, elle est retrouvée morte, à 10 kilomètres du domicile des McKnie. C'est Darren qui l'a tuée, par strangulation, comme il l'a avoué lui-même lors de son procès. L'horreur et le mensonge ont trouvé un visage.

    GENTSIDE

    Il vivait la grande vie jusqu'à ce que sa femme découvre d'où venait l'argent, il la tue !


    3 commentaires
  • Le drame s'est produit lundi à Maussanne-les-Alpilles et Mouriès, dans les Bouches-du-Rhône.

    Un homme était entre la vie et la mort lundi après avoir tué trois personnes, sa femme, sa belle-mère et son beau-frère à Maussanne-les-Alpilles et Mouriès, dans les Bouches-du-Rhône. "Il s'agit a priori d'un drame familial", a indiqué à l'AFP Patrick Desjardins, procureur de Tarascon. Selon une source proche du dossier, l'homme a tué sa belle-mère de 95 ans, son beau-frère de 65 ans chez eux avant de prendre la fuite et de tuer sa femme dans la commune voisine. "Il a ensuite tenté de se suicider", a ajouté Patrick Desjardins.

    Il tue sa belle-mère de 95 ans

    Selon une source proche du dossier, l'homme a tué sa belle-mère de 95 ans et son beau-frère de 65 ans chez eux à Maussanne-les-Alpilles, avant de prendre la fuite et de tuer sa femme dans la commune voisine de Mouriès. "Il a ensuite tenté de se suicider", a ajouté Patrick Desjardins, "et se trouve à présent entre la vie et la mort".

    Le procureur, qui venait d'arriver sur place lundi vers 16H30, n'avançait aucune explication à ce triple homicide. La gendarmerie nationale et les sapeurs-pompiers sont intervenus domicile des premières victimes après avoir été appelés pour des coups de feu, avant d'être appelés pour d'autres coups de feu à Mouriès.

    Europe 1


    4 commentaires
  • Un homme de 34 ans a été interpellé dans la nuit de vendredi à samedi, alors qu'il tenait son bébé suspendu dans le vide et qu'il menaçait de le lâcher. Il avait consommé de l'alcool et des stupéfiants.

    Le drame a été évité de justesse. Pris d'un accès de colère, un homme de 34 ans a suspendu son bébé de trois mois dans le vide depuis la fenêtre du premier étage de son appartement, avant de menacer sa compagne de le lâcher, révèle Francebleu.

    C'est dans la nuit du vendredi 6 au samedi 7 septembre à Mareuil-en-Périgord, en Dordogne, que l'homme est pris d'une colère soudaine. Si les raisons en sont pour l'instant inconnues, on sait en revanche qu'il était sous l'emprise de l'alcool et de stupéfiants.

    Il lance son micro-ondes par la fenêtre avant de s'en prendre à son nourrisson

    Le père commence par s'en prendre à ses voisins verbalement, avant de commencer à jeter différents objets par la fenêtre, allant jusqu'à lancer son micro-ondes. Mais c'est vers 23h30 qu'il s'en prend à son nourrisson. 

    L'homme saisit alors son fils de 3 mois et le suspend dans le vide à travers une fenêtre, ne le tenant que par son pyjama, menaçant de lâcher prise. Heureusement, les gendarmes sont intervenus à temps et ont pu interpeller l'individu avant qu'il ne passe à l'acte. Le père a été placé en détention provisoire dans l'attente de ses explications devant le juge, mercredi 11 septembre, au tribunal correctionnel de Périgueux.

    Europe 1


    4 commentaires
  • "Gilets jaunes": Eric Drouet condamné pour "port d'arme prohibé"

    Le chauffeur routier de Seine-et-Marne était poursuivi pour avoir participé à une manifestation non déclarée avec un bâton dans son sac.

    Éric Drouet, figure emblématique du mouvement des "gilets jaunes", a été condamné mercredi à Paris à 500 euros d'amende avec sursis pour avoir participé à une manifestation avec une sorte de "matraque" dans son sac, mais relaxé des poursuites pour "participation à un groupement formé en vue de violences".

    Le chauffeur routier de Seine-et-Marne était poursuivi pour avoir participé à une manifestation non déclarée avec un bâton dans son sac - simple "bout de bois" selon lui, "matraque" selon l'accusation - le 22 décembre, lors de l'acte 6 du mouvement social. 

    Éric Drouet, 34 ans, avait été interpellé au milieu de quelques dizaines de manifestants bloqués par les forces de l'ordre dans une rue du quartier parisien de la Madeleine.

        

    Le tribunal correctionnel de Paris l'a relaxé s'agissant des poursuites pour "participation à un groupement formé en vue de violences ou de dégradations".

    Selon une copie de travail de la décision, les juges ont considéré que "c'est l'interpellation d'Éric Drouet qui a provoqué une réaction en chaîne, créant alors un climat de violence". Le tribunal a validé les conditions de son interpellation en refusant de faire droit aux recours en nullité soulevés par son avocat. 

    RMC

    La justice a vraiment du temps à perdre !


    5 commentaires
  • Une dizaine de rugbymans qui sortaient d’un bar de Strasbourg ont eu une altercation avec des passants, révèlent les DNA, l’un d’eux a blessé un rugbyman à l’aide d’un couteau. Une enquête est ouverte

     

    Une enquête est ouverte après l’agression dans la nuit de samedi à dimanche d’un rugbyman âgé de 30 ans, dans le quartier de la Krutenau à Strasbourg, révèlent les Dernières Nouvelles d’Alsace. Les faits se sont produits vers 2h du matin place de Zurich. Une dizaine de joueurs de rugby, à la sortie d’un bar, ont eu une altercation avec un groupe de quatre à cinq personnes dans la rue. Dans la bagarre, un rugbyman a été touché par deux coups de couteau, dont un à l’abdomen, précisent nos confrères. Ses jours ne sont pas en danger mais il a été conduit à l’hôpital. Deux autres joueurs ont subi des violences.

    L’auteur des coups de couteau et les autres hommes ont pris la fuite. Les caméras de vidéosurveillance sont en cours d’exploitation.

    20 Minutes

    Le couteau, la nouvelle arme à la mode !


    3 commentaires
  • Drôme : un mort et trois blessés dans un accident sur l’A7 près de Montélimar

    Un accident mortel s'est produit dimanche matin, vers 5h30, sur l'autoroute A7, dans la Drôme, dans le sens Lyon-Marseille. « Le bilan humain, stabilisé, fait état d'une personne décédée, d'une victime en urgence absolue et deux victimes en urgence relative», a indiqué la préfecture de la Drôme. « Ces dernières ont été prises en charge par les pompiers et transportées vers le centre hospitalier le plus proche. »

    Les faits se sont produits « entre l'échangeur de Montélimar nord (n°17) et la sortie Loriol (n°16) », précisait de son côté Vinci Autoroutes dans un communiqué. La circulation, interrompue plusieurs heures entre l'échangeur de Montélimar nord (n°17) et la sortie Loriol (n°16), a repris à la mi-journée sur une seule voie en direction de Marseille, a-t-on appris auprès de l'opérateur.

    L'accident a impliqué « un poids-lourd, un minibus et deux véhicules légers», selon la préfecture du département. Celle-ci avait initialement évoqué deux accidents mais il s'agit « finalement d'un seul accident sur lequel il y a eu suraccident », a précisé une porte-parole.

    Un poids lourd renversé sur les voies vers Lyon

    Le poids lourd et son chargement se sont renversés, « obstruant l'ensemble des voies en direction de Lyon, et une partie des voies en direction de Marseille », selon Vinci autoroutes.

    Les opérations de relevage du camion, couché en travers des voies et du terre-plein central, étaient toujours en cours en fin de matinée. La préfecture relevait alors huit kilomètres de bouchons sur la RN7 entre Montélimar et Valence dans les deux sens de circulation.

     

    En direction de Marseille, l'entrée sur l'autoroute A7 demeurait déconseillée et la sortie conseillée à Loriol (n°16). En direction de Lyon, l'entrée était interdite et la sortie obligatoire à Montélimar nord (n°17).

    Douze personnes impliquées dans l'accident mais indemnes «ont été prises en charge par une cellule d'urgence médico-psychologique (CUMP) ouverte en salle des fêtes de Loriol » , a poursuivi la préfecture. Quinze gendarmes et 38 pompiers étaient engagés sur le terrain, et le préfet Hugues Moutouh s'est rendu sur place.

    Le Parisien


    3 commentaires
  • La victime, âgéee de 33 ans, a été transportée dans un hôpital lyonnais dans un état très préoccupant

    Il marchait en compagnie d’une femme lorsque les agresseurs auraient surgi. Vers 23 heures samedi soir, un homme de 33 ans a été grièvement blessé à l'arme blanche, ​ à Vourles, au Sud de Lyon.

    Alors qu’il était dans la rue, une voiture se serait arrêtée près du couple, rapporte ce dimanche Le Progrès. Les quatre occupants du véhicule auraient alors attaqué la victime, lui assénant un ou plusieurs coups de couteau, avant de prendre la fuite.

    Le trentenaire a été conduit aux urgences à Lyon dans un état jugé critique. Une enquête a été ouverte pour retrouver les fuyards et déterminer les circonstances de cette agression.

    20 Minutes


    3 commentaires
  • La victime, âgée de 21 ans, aurait ingurgité plusieurs ecstasys dilués dans de l'alcool. L'adjoint à la vie nocturne à Paris a estimé pour sa part que la sanction prononcée à l'encontre du club, par la Préfecture de Police, n'allait pas résoudre le problème de la consommation de drogues dures.

     

    Le club parisien de musiques électroniques "Dehors Brut", où un jeune homme est décédé le week-end dernier d'une overdose, a annoncé faire l'objet d'une fermeture administrative à compter de ce vendredi. "Suite à l'accident survenu dans la nuit du samedi 31 août et qui nous a bouleversés, la Préfecture de Police de Paris a prononcé une fermeture administrative immédiate de 'Dehors Brut' à compter d'aujourd'hui (vendredi)", a annoncé la direction du lieu dans un communiqué. D'après une source proche du dossier, la fermeture sera effective pour une durée de 30 jours.

    Les premiers éléments de l'enquête, ouverte pour homicide involontaire et confiée à la brigade des stupéfiants, confortent l'hypothèse d'un décès par overdose, a indiqué une source judiciaire, sans préciser la nature des substances ingérées par la victime de 21 ans. "Ses amis ont parlé de quatre ecstasys qui auraient été écrasés et mis dans une bouteille qu'ils partageaient", a raconté une source proche du dossier.

    Immense dancefloor de 5.000 m2 ouvert fin juillet sur un site SNCF au sud-est de la capitale, "Dehors Brut" est géré par l'ancienne équipe de la "Concrete", célèbre péniche-club fondée il y a huit ans et fermée cet été après le non-renouvellement de son bail."Tous nos événements depuis 2011 ont toujours fait l'objet d'une attention toute particulière à assurer de façon optimale la sécurité de notre public", ont affirmé les gestionnaires dans leur communiqué. "Dehors Brut" avait notamment des secouristes présents lors de ses soirées et accueillait à des "actions de prévention pour lutter contre l'usage de stupéfiants", rappellent-ils. "De façon générale, ces fermetures n'ont et ne régleront jamais le fond du problème", estiment-ils, en appelant les pouvoirs publics à lancer "une campagne d'ampleur en direction des centaines de milliers de jeunes et d'usagers des établissements festifs".

    Une sanction "disproportionnée"

    Mardi, le "Collectif action nuit", composé d'experts et de professionnels de la nuit, s'était alarmé dans un communiqué de la "recrudescence de consommation de produits stupéfiants particulièrement dangereux" et notamment d'ecstasys "largement surdosés (qui) circulent ces dernières semaines en France". Pour la mairie de Paris, "la sanction tape à côté du problème et est disproportionnée", a déclaré Frédéric Hocquard, adjoint à la vie nocturne.

    "Un jeune homme est mort et c'est très grave" a-t-il ajouté. "Mais le préfet se trompe et prend le problème à l'envers : sanctionner un club qui fait beaucoup de choses dans le domaine de la prévention, c'est un mauvais message", estime-t-il, en rappelant que l'endroit "doit être un des seuls clubs en France à avoir une antenne de la protection civile sur place". Site éphémère car situé sur une future zone d'aménagement commercial (ZAC), "Dehors Brut" doit fermer ses portes définitivement fin octobre.

    Europe 1

    Fermer ce club ne changera rien à la consommation de drogue !


    3 commentaires
  • 12 mois de prison pour avoir fichu une raclée aux voleurs ! On marche sur la tête, je vous dis…

    Caen : les voleurs appellent la police à la rescousse

     

    LIEN de l'article :

    http://resistancerepublicaine.eu/2019/09/03/12-mois-de-prison-pour-avoir-fichu-une-raclee-aux-voleurs-on-marche-sur-la-tete-je-vous-dis/


    3 commentaires
  • Un professeur des écoles des Vosges jugé pour détention d’images pédopornographiques a été condamné vendredi à Épinal à quatre mois de prison avec sursis et interdiction d’exercer une profession en lien avec des mineurs, a-t-on appris auprès de son avocate.

     

    Cet enseignant âgé de 50 ans avait été piégé en mai dernier par des lycéens qui avaient créé un faux compte sur un forum Internet en se faisant passer pour une fille de 15 ans, afin de démasquer des prédateurs sexuels.

    Après plusieurs échanges, l’enseignant avait accepté un rendez-vous, le 29 mai, « par curiosité ». Les jeunes l’avaient alors intimidé, puis dénoncé à la gendarmerie.

    29 fichiers montrant des mineurs

    Dans le cadre d’une enquête pour corruption de mineur par moyen électronique - toujours en cours -, les gendarmes avaient réalisé une perquisition à son domicile.

    Outre la consultation de sites pornographiques et de rencontres avec des recherches concernant des « lycéennes », l’exploitation de son téléphone et de ses ordinateurs a révélé la présence de « 29 fichiers mettant en scène des mineurs non formés s’adonnant à des pratiques sexuelles diverses », avait détaillé à l’audience la présidente du tribunal, Monique Thomas.

    Il cherche « à masquer une tendance à la pédophilie »

    À la barre, ce père d’une fille de 11 ans, soutenu par ses proches et ses collègues, avait réfuté toute attirance pour les mineurs et nié avoir vu les images à caractère pédopornographique. Selon un expert-psychiatre qui avait relevé son addiction à la pornographie, il cherche toutefois « à masquer une tendance à la pédophilie ».

    Le tribunal correctionnel a également prononcé à son encontre une mise à l’épreuve de deux ans et une obligation de soins. Son nom sera également inscrit au fichier des délinquants sexuels, a indiqué Me Nancy Risacher.

    « Pour l’appel, mon client et moi nous […] donnons le week-end pour réfléchir », a-t-elle ajouté.

    Cette peine est légèrement deçà des réquisitions du ministère public, qui avait réclamé huit mois avec sursis à l’audience le 27 août.

    Le Parisien

    Ces juges doivent aimer ce genre d'images aussi !


    3 commentaires
  • La découverte remonte à ce mercredi, en début de soirée. Le cadavre d'un homme en état de décomposition avancée a été retrouvé dans un champ sur la commune de Villemoirieu. Les gendarmes de Crémieu, aussitôt alertés, se sont déplacés sur les lieux de la découverte, rejoints par leurs homologues de la brigade de recherches de Bourgoin Jallieu et de techniciens en identification criminelle. Un médecin légiste a également été diligenté.

    Pour l'heure, l'identité de la victime n'a plus n'a pas pu être identifiée. Il pourrait cependant s'agir de ce journaliste retraité franco-algérien, Khaled Melhaa, introuvable depuis le 31 juillet dernier. Ce sexagénaire avait effectivement quitté sa résidence secondaire de Chozeau dans la soirée de ce 31 juillet. Rapidement inquiets, ses proches avaient donné l'alerte. Depuis, différentes recherches avaient été entreprises dans le secteur, avec des maîtres de chiens, l'appui d'un d'hélicoptère, ou encore des plongeurs. En vain.

    Une autopsie du corps doit être pratiquée ce vendredi à l'institut médico-légal de Lyon afin de permettre de l'identifier et d'établir les causes du décès.

    Le Dauphiné


    3 commentaires
  • Un jeune homme torse nu et "très excité" a blessé au couteau une cantinière de l'école élémentaire la Pauline à Marseille, vendredi vers 06h30, puis frappé deux autres personnes avant de prendre la fuite, a appris l'AFP de source policière. Moins de deux heures plus tard, "un individu susceptible d'être l'auteur des faits a été interpellé", a précisé la police des Bouches-du-Rhône sur son compte Twitter, en confirmant qu'"un seul agresseur (est) à l'origine des faits".

    Les faits se se sont déroulés entre 06h30 et 06h40, quand un jeune homme a pénétré dans cette école du 9e arrondissement de Marseille, dans les quartiers sud de la cité phocéenne, avant d'agresser au couteau une des "tatas" de l'établissement, ces personnels chargés de s'occuper des enfants à la cantine.

    Il lui a porté plusieurs coups de couteau, mais le pronostic vital de la victime, touchée à l'abdomen, n'est pas engagé, a précisé à l'AFP le porte-parole de la Direction départementale de la sécurité publique. L'agresseur a ensuite frappé d'un coup de poing une autre cantinière qui s'était interposée, avant de frapper un passant dans la rue, un homme, toujours d'un coup de poing, en prenant la fuite. L'enquête a été confiée à la police judiciaire. Ni l'âge de l'agresseur ni le motif de cette agression ne sont pour l'instant connus !

    Paris Match

    Le monde devient fou


    3 commentaires
  • La violence a elle aussi fait sa rentrée mercredi dans un lycée de Brest (Finistère). Une dizaine de jeunes, encagoulés et armés de battes et d’au moins une arme de poing, ont fait irruption au lycée Dupuy-de-Lôme, en passant par un terrain de sport, attenant à l’établissement, raconte Ouest-France.

    Selon le Télégramme, la bande voulait mettre la main sur un élève de Terminale. Ce dernier devait probablement se sentir menacé puisqu’il a brandi deux marteaux en les voyant arriver.

    Une rixe a éclaté, malgré l’intervention des enseignants. C’est alors qu’un coup de feu a été tiré, sans faire de blessé, mais une douille a été découverte par les enquêteurs.

    Les suspects identifiés

    Dans la cohue, une élève a cependant été blessée par un coup de batte de baseball.

    Selon les informations du Télégramme, l’élève a été exclu du lycée et devrait passer en conseil de discipline « pour ne pas avoir signalé à la direction qu’il était menacé ».

    « L’enquête en cours a permis d’identifier les suspects de ces violences ; ces personnes sont défavorablement connues des services. La police poursuit ses investigations », écrit la préfecture dans un communiqué cité par le quotidien.

    Les suspects seraient d’anciens élèves de l’établissement.

    Enseignants, syndicats et parents d’élèves eux, ne cachent pas leur colère et leur inquiétude. Ils ne comprennent pas ce mutisme des autorités devant des faits d’une telle gravité.

    Le Parisien

    Bien sur, ni noms ni prénoms !


    6 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique