• Alpes-Maritimes : ils chutent du balcon pendant leurs ébats sexuels, l’un des amants dans un état grave

    Alors qu’il prenait du bon temps, le couple a fait une chute de 3,50 m.

    La partie de plaisir s’est transformée en drame. En vacances au Cannet (Alpes-Maritimes), deux touristes en plein ébats sexuels sur le balcon de leur villa ce samedi ont fait une lourde chute, rapporte Nice-Matin. Si la femme a été légèrement blessée, l’homme est en état d’urgence absolue.

    En milieu de journée, les deux amants, une Canadienne de 28 ans et un Britannique de 30 ans, s’adonnent à des ébats sexuels sur le balcon de leur villa. Mais dans le feu de l’action, les deux amants tombent de 3,50 m.

    Les deux victimes ont été prises en charge par les sapeurs-pompiers et le SMUR puis transportées à l’hôpital de Nice.

    La police a ouvert une enquête pour éclaircir les circonstances de l’incident et déterminer si le couple était sous l’emprise d’alcool ou de stupéfiant.

    Le Parisien

    C'est moins dangereux dans un lit !!!


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  • Une bagarre à l'arme blanche a fait un mort et deux blessés, dont l'un grièvement, dans la nuit de samedi à dimanche, dans le Tarn. Le drame s'est produit lors d'un bal, à Saint-Amans-Soult, à l'occasion des fêtes de la Saint Largi.

    Vers deux heures du matin, raconte France Bleu, plusieurs individus en état d'ébriété se sont affrontés derrière l'orchestre. L'un d'eux, armé d'un couteau de cuisine, en a frappé trois autres.

    Un jeune homme de 21 ans, originaire de la commune voisine d'Albines, est décédé sous les coups. Deux autres protagonistes ont été blessés, dont l'un grièvement.

    Les organisateurs de la fête sont parvenus à maîtriser l'agresseur, qui a été remis aux gendarmes. Les festivités ont été annulées.

     

    Le Parisien

    Et ça continue !


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  • C'est un conseil de prudence, maintes fois martelé par les autorités : ne laissez pas la clé de votre logement dans votre boîte aux lettres. Pourtant, bon nombre de citadins ont encore cette habitude, pratique, lorsqu'ils s'absentent. Y compris un député, lui aussi victime dans un dossier de cambriolages, dont l'auteur vient d'être présenté à la justice.

    Ce genre d'imprudence profitait pleinement à un voleur professionnel, équipé d'une clé passe-partout – comme les postiers ou les livreurs – lui permettant d'ouvrir les boîtes aux lettres des immeubles. Dès qu'il y trouvait un trousseau de clés, il visitait et cambriolait l'appartement. Ce multirécidiviste fouillait aussi dans le courrier et découvrait parfois des cartes bancaires, dont il notait soigneusement les numéros pour ensuite s'offrir en ligne des nuits d'hôtel ou des séjours à l'étranger, selon les informations recueillies par Europe 1.

    Plus de 100.000 euros de préjudice

    Au total, cet homme aurait commis plus de 70 cambriolages et piraté des dizaines de cartes de paiement pour plus de 100.000 euros de préjudice. En perquisition, les policiers de la sûreté territoriale parisienne ont retrouvé quantité d'objets volés et même les clés de certains appartements dévalisés plusieurs fois.

    Si les victimes ont parfois été imprudentes, le voleur a lui aussi commis une erreur. Il a été confondu par ses empreintes digitales, négligemment laissées sur le lieu d'un de ses méfaits. Interpellé, placé en garde à vue, il a été présenté à la justice, le jour de ses 50 ans. Il a déjà été arrêté et condamné pour de multiples délits. Cette affaire intervient alors que le nombre de cambriolages est en hausse sensible depuis le début de l'année 2019 à Paris (+10% environ).

    Europe 1

    Quelle idée de laisser ses clés dans sa boîte aux lettres !


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  • Hauts-de-Seine : un incendie ravage le marché de Levallois-Perret, 90 personnes évacuées

    Un incendie a ravagé le marché Henri-Barbusse de Levallois-Perret (Haut-de-Seine), dans la nuit du samedi 17 au dimanche 18 août, a affirmé sur Twitter la première adjointe au maire, Isabelle Balkany. "Le marché a entièrement brûlé", a déploré l'épouse de Patrick Balkany auprès de franceinfo. Selon elle, 4 500 mètres carrés sont partis en fumée au cours de cet incendie, qui a été maîtrisé par plus de 160 pompiers. Isabelle Balkany a par ailleurs assuré à franceinfo que le feu n'avait fait aucun blessé.

    Le marché Henri-Barbusse est situé sous le Palais des Sports Gabriel-Péri et un immeuble abritant une centaine de logements sociaux.

    Selon Isabelle Balkany, 90 habitants ont donc dû être évacués et accueillis au Pavillon des Fêtes. "On est épatés par leur calme", a réagi la première adjointe, qui se trouve avec les habitants. Elle a tenu à saluer "le boulot formidable de la police municipale et nationale, des pompiers et surtout de la protection civile". Concernant l'origine des flammes, il n'y a pour l'instant pas d'informations. "On ne sait pas si c'est un incendie accidentel ou criminel", a expliqué Isabelle Balkany.

    franceinfo


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  • Pyrénées-Orientales : l'auteur présumé de 12 incendies écroué

    Un jeune homme de 20 ans a reconnu son implication dans les 12 incendies volontaires allumés entre le 31 mai et le 14 août non loin de Perpignan.

    Un homme de 20 ans, suspecté d'être l'auteur, entre les mois de mai et août, de 12 incendies dans les Pyrénées-Orientales, a été mis en examen vendredi à Perpignan et écroué, a annoncé samedi la gendarmerie nationale. Le jeune homme avait été interpellé mercredi à son domicile où une perquisition a été menée. Elle a permis de découvrir des produits inflammables et un pulvérisateur ayant contenu des hydrocarbures, indique la gendarmerie nationale dans un communiqué.

    Le jeune homme a reconnu son implication dans les 12 incendies volontaires allumés entre le 31 mai et le 14 août dans les secteurs de Torreilles et de Sainte-Marie-la-Mer, deux communes du littoral au nord-est de Perpignan. C'est la recrudescence, depuis juillet 2019, de départs de feu de végétation sur ces deux communes qui a attiré l’attention des gendarmes.

    En 2019, 133 enquêtes ouvertes pour des incendies volontaires et involontaires

    Le dernier et plus important sinistre de la série avait ravagé 20 hectares de végétation et détruit une caravane et du matériel de pépiniériste. Une centaine de pompiers avait été mobilisée pour éteindre les flammes. Les investigations ont permis d’identifier l'auteur présumé des incendies, conducteur d’un deux-roues dont la présence à proximité des deux derniers incendies avait été signalée par les pompiers.

    Selon la gendarmerie, pour la seule période estivale, cette année, 133 enquêtes ont été ouvertes et confiées à la gendarmerie pour des incendies volontaires et involontaires.

    Paris Match

    Ce type est à enfermer dans un hôpital psychiatrique !


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  • Aix-en-Provence : des pompiers en intervention se font voler leur ambulance

    Alors qu’ils tentaient de sauver la vie d’un octogénaire, les pompiers d’Aix-en-Provence se sont fait voler leur ambulance dans un quartier sensible de la ville.

    L’incident s’est produit dans la nuit de vendredi à samedi. Les pompiers, indique leur communiqué, « mettaient tout en œuvre pour réanimer » un homme de 80 ans en arrêt cardiorespiratoire quand ils « ont été alertés que leur véhicule de secours était en train d’être dérobé ».

    « Malgré cela ils ont mis tous leurs efforts à contribution pour secourir leur victime, qui malheureusement est décédée sur les lieux », poursuit le communiqué. Ils ont retrouvé leur véhicule, « 20 mètres plus loin, bloqué entre un mur et une voiture, un côté arraché. »

    « S’il avait fallu transporter de toute urgence la victime vers le centre hospitalier le plus proche cela aurait été impossible dans de telles circonstances. Cela aurait nettement aggravé l’état de santé de celle-ci », soulignent les pompiers aixois, estimant être trop souvent « la cible d’individus trop peu respectueux des valeurs que défend la corporation des + soldats du feu + ».

    « Face aux incivilités de plus en plus fréquentes, les sapeurs-pompiers ont des difficultés à intervenir dans de bonnes conditions et à prodiguer les meilleurs soins aux blessés lorsqu’ils deviennent eux aussi des victimes », conclut le communiqué.

    Les pompiers aixois ont annoncé qu’ils portaient plainte.

    Le Parisien


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  • Béarn : un parapentiste reste coincé à 50 mètres de haut

    L’homme, qui n’a pas été blessé dans sa chute, est resté quatre heures sur une ligne à haute tension avant que l’électricité ne soit coupée, puis que les secours ne parviennent à l’en décrocher

     

    « Je passais à vélo, et j’ai vu le parapentiste coincé dans les fils électriques. J’ai tout de suite prévenu les pompiers. » Simon Ipas, jeune habitant de Lées-Athas, est le héros du jour. Entouré de ses amis, au pied du rocher d’Esquit, il regarde la toile rouge à laquelle est accroché un homme qui, grâce à lui, va pouvoir être sauvé.

    Les pompiers du Sdis 64 ont fort à faire pour accéder à cet endroit escarpé, haut lieu de l’escalade situé sur la commune d’Accous, sur la départementale 237, la route de la vallée d’Aspe. Surtout, il leur faut attendre que l’électricité soit coupée pour pouvoir tenter une opération. « On attend la coupure de la ligne. Tant que RTE [Réseau de transport d’électricité] n’est pas là, nous ne pouvons pas intervenir », explique le SDIS 64 vers 19 h 30, alors que l’alerte avait été donnée à 16 h 52.

    À 20 h, l’électricité est coupée

    Les pompiers, en nombre – ils seront jusqu’à dix-sept en opération – sont amassés en dessous de la ligne, à une cinquantaine de mètres au-dessus du vide. Les secouristes ont déjà pu s’assurer de la bonne santé de l’homme, un habitant de Lons. Il n’a, semble-t-il, pas été blessé dans sa chute. Il n’a pu appeler lui-même les secours car sa batterie de portable était vide. Sa compagne est prévenue et arrive sur place, tout comme la maire d’Accous, Paule Bergès. L’ouverture des Fêtes de la Patate attendra…

    Plusieurs dizaines de personnes se sont arrêtées, se sont inquiétées du sort de l’homme, mais les nouvelles sont rassurantes. L’angoisse a cédé la place à une douce euphorie.

    Une demi-heure plus tard, vers 20 heures, les techniciens coupent le courant, et l’opération de secours peut commencer. « À 20 h 27, l’homme a pu être sécurisé à l’aide d’une corde par l’équipe du Grimp, explique le Sdis. Ils vont pouvoir le descendre. »

    Sud-Ouest


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  • La jeune femme a été retrouvée morte « égorgée » dans l’appartement conjugal incendié, dont le suspect était ressorti indemne avec leur bébé âgé de 3 mois.

    Un homme de 22 ans a été mis en examen vendredi pour « meurtre sur conjoint » et « destruction volontaire par incendie » après la mort de sa femme et l’incendie de leur appartement, situé à Malesherbes, dans le nord du Loiret, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.

    Placé en détention provisoire, l’homme était auparavant « resté muet devant le juge », a-t-on indiqué de même source. « Ce couple ne présentait aucun antécédent », a-t-on ajouté de même source.

    Dans la nuit du mardi 13 au mercredi 14 août, l’homme était sorti indemne, avec son bébé de 3 mois, de l’incendie qui a ravagé l’appartement qu’ils occupaient avec son épouse. Âgée de 22 ans elle aussi, cette dernière avait été découverte sans vie, sur son lit.

    L’arme du crime toujours introuvable

    Selon l’autopsie pratiquée jeudi à l’institut médico-légal de Tours, la jeune femme est « morte d’une hémorragie massive et a été égorgée », avait précisé Alain Leroux, adjoint du procureur de la République d’Orléans.

    « Aucun autre élément ne permet de découvrir l’intervention d’un tiers. Le mari demeure donc le principal suspect », avait encore précisé le magistrat. L’arme du crime, malgré le travail des gendarmes de la section de recherches d’Orléans, n’a pas été retrouvée.

    Le couple s’était installé en début d’année dans cette petite ville du Loiret et n’était pas connu de la gendarmerie locale.

    Le Parisien


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  • Pyrénées-Orientales: Neuf blessés lors du tir d’un feu d’artifice à Collioure

    Neuf personnes ont été blessées vendredi soir à Collioure (Pyrénées-Orientales) par une fusée de feu d’artifice, qui a atterri au milieu de la foule, a-t-on appris samedi auprès des pompiers. Parmi ces neuf blessés, trois ont été hospitalisés, notamment pour des brûlures. Aucun pronostic vital n’est engagé, selon les pompiers.

    Selon les premiers éléments, une fusée du feu d’artifice serait partie à l’horizontale, d’une barge flottante, en direction de la foule. L’engin pyrotechnique aurait explosé au milieu d’un groupe de personnes massées sur la plage de la commune, très touristique, au sud de Perpignan.

    Selon le quotidien L’Indépendant, plusieurs milliers de personnes assistaient à ce feu d’artifice. Une enquête devrait être ouverte par les services de gendarmerie pour déterminer les causes et circonstances exactes de cet accident.

    20 Minutes


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  • Seine-Saint-Denis : il tue un serveur car son sandwich n'a pas été préparé assez rapidement, selon les témoins !

    Un homme a tué par balle le serveur d'un restaurant vendredi 16 août dans la soirée à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis, a appris franceinfo de sources proches de l'enquête. Les faits se sont produits vers 21 heures. Ce sont les employés du restaurant qui ont prévenu la police. Selon les personnes présentes, le suspect aurait tiré sur le serveur, car il était mécontent que son sandwich n'ait pas été préparé assez rapidement.

    La victime est morte sur place

    Le serveur a été touché à l'épaule. Malgré l'intervention rapide des secours, la victime est morte sur place peu après. Le tireur a pris la fuite. Samedi matin, l’homme était toujours recherché par la police. La section départementale de la police judiciaire de Seine-Saint-Denis a été saisie de l'enquête, confirme le parquet de Bobigny.

    franceinfo


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  • La sexagénaire agressée à la machette lundi 12 août, dans sa maison du hameau de "Bois-Raymond" à Saint-Cybardeaux (Charente) est morte des suites de ses blessures, a appris France Bleu La Rochelle. Victime d'une fracture du crâne et admise à l'hôpital de Poitiers dans un état critique, elle est décédée vendredi 16 août.

    L'auteure présumée nie les faits

    L'auteure présumée de cette agression, une femme de 27 ans, nie les faits et ne s'est pas expliquée sur son geste. Elle est soupçonnée d'avoir asséné, entre autres, un violent coup de tête à la sexagénaire. Blessée aux jambes par le fils de la victime avec une arme à feu de faible puissance, elle avait réussi à prendre la fuite, avant d'être rattrapée par les gendarmes et hospitalisée pour soigner ses plaies.

    Le fils de la victime qui avait eu deux doigts sectionnés lors de cette agression a été entendu mardi, puis placé en garde à vue et relâché. Il ne sera pas poursuivi. Une information judiciaire pour "homicide et tentative d'homicide" sera ouverte samedi, précise France Bleu La Rochelle.

    franceinfo 


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  • Un chauffeur routier portugais soupçonné d'avoir violé deux jeunes femmes dans le bois de Boulogne à Paris a été mis en examen le 2 août, rapporte Le Parisien. Il est suspecté du viol de deux étudiantes le 17 mai et le 21 juillet dernier.

    Les deux victimes présumées sont une étudiante française de 18 ans et une seconde d'origine chinoise de 22 ans. Elles auraient été violées dans des conditions semblables par un homme décrit comme "costaud". Les enquêteurs ont donné des précisions au quotidien:

    "Les deux jeunes femmes se sont défendues et souffrent toutes les deux de quelques hématomes en plus d'un important traumatisme psychologique."

    D'autres victimes ?

    Les policiers identifient, grâce à l'exploitation des images des caméras de surveillance, un suspect vivant à Mandres-les-Roses (Val-de-Marne) qu'ils interpellent à son domicile le 31 juillet. Lors de sa garde à vue, ce dernier aurait déclaré que les femmes étaient consentantes et qu'il s'agissait de "prostituées".

    Le quadragénaire a depuis été mis en examen et écroué. La police poursuit son enquête à la recherche d'éventuelles autres victimes:

    "Comme il est chauffeur routier, nous émettons l'idée qu'il pourrait, au gré de ses déplacements, avoir commis d'autres viols partout en France et peut-être même à l'étranger", précise une source au Parisien.

    BFM.TV


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  • Ardèche : un gendarme se suicide avec son arme de service

    L'homme de 48 ans était père de cinq enfants. Il s'est donné la mort dans son logement, alors qu'il était en repos.

     

    Un gendarme de 48 ans a mis fin à ses jours avec son arme de service mercredi en fin d'après-midi à son domicile, à Cruas en Ardèche, a-t-on appris jeudi auprès du parquet de Privas.

    Ce père de cinq enfants issus de trois unions était depuis dix ans membre du peloton spécialisé de protection de la gendarmerie (PSPG) en charge de celle de la centrale nucléaire EDF voisine, a précisé le parquet.

    Le drame s'est produit mercredi peu après 17 heures dans le lotissement résidentiel où logeait le militaire, alors qu'il était en repos, a poursuivi cette source confirmant une information du quotidien régional Le Dauphiné libéré.

    L'enquête a été confiée à la brigade de recherche de la gendarmerie du Teil.

    L'Express


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  • Marseille: un adolescent de 16 ans torturé au chalumeau sur fond de trafic de drogue

    Le jeune brûlé au bras et sur le sexe a été déposé mardi à l’hôpital par deux inconnus. Une enquête pour torture a été ouverte.

     

    C’est un adolescent de 16 ans grièvement blessé que les médecins du centre hospitalier européen de Marseille (Bouches-du-Rhône) ont pris en charge, mardi après-midi, après qu’il y ait été déposé par deux hommes qui ont pris la fuite. Gravement brûlé au chalumeau, sur fond de règlement de comptes entre trafiquants de drogue, il souffre de brûlures au troisième degré.

    Il est 16 h 50, lorsque le jeune homme est « déposé » devant l’établissement. Il est tout nu et son visage est tuméfié. Il a été grièvement brûlé sur le sexe et le bras. « Le garçon a raconté que ces blessures lui avaient été infligées par ces deux hommes (NDLR : ceux qui l’ont déposé) avec un chalumeau », explique une source proche de l’affaire. Originaire de Chartres (Eure-et-Loir), l’adolescent est défavorablement connu des services de police pour des faits de trafic de stupéfiants.

    Quelques jours plus tôt, le 9 août, la victime avait été interpellée pour trafic de produits stupéfiants au cœur de la cité Micocouliers, dans les quartiers nord de Marseille, puis laissé libre à l’issue de sa garde à vue. La police connaît ce quartier : il a basculé depuis longtemps dans le trafic de cannabis et la violence. Plusieurs jeunes gens y ont même été victimes de règlements de comptes ces dernières années.

    Un avertissement envoyé aux habitants ?

    Une enquête a été ouverte pour acte de torture et de barbarie. Elle a été confiée à la direction interrégionale de la police judiciaire de la cité phocéenne. Il est fort probable que cet acte barbare soit lié aux trafics de drogues. Il pourrait s’agir d’un avertissement envoyé aux habitants de la cité et aux autres trafiquants que des risques encourus lorsqu’on n’honore pas ses dettes ou qu’on serait tenté de parler aux forces de l’ordre.

    Cette pratique n’est pas le privilège du sud de la France. En 2017, un trafiquant de drogue avait torturé un autre homme à Gentilly (Val-de-Marne) sur fond de vengeance. Autre exemple huit accusés ont été jugés à Bobigny en février dernier, pour avoir torturé à Aulnay-sous-Bois en 2014, deux trafiquants de drogue après la disparition de 80 kg de cannabis.

    Le Parisien

    Et bien, ce que ce jeune a subi, c'est autre chose que ce que l'on reproche aux flics (rire)

     


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    Alsace: un homme tire sur une voiture, un mort et un blessé

    Un homme a tiré avec une arme à feu sur les occupants d'une voiture, faisant un mort et un blessé, jeudi après-midi sur un parking à Kingersheim (Haut-Rhin), a appris l'Agence France-Presse (AFP) de source proche de l'enquête.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, un homme, visage cagoulé, s'est approché, avec un véhicule, d'une voiture stationnée sur le parking désert d'un centre de contrôle technique, peu après 15H30. 

    Il a tiré sur les trois occupants avec vraisemblablement un pistolet semi-automatique, blessant à la tête un homme de 47 ans et tuant le conducteur, un père de famille âgé de 35 à 40 ans.

    Le blessé a été évacué sans que son état n'inspire d'inquiétude. Une troisième personne, passager avant de la voiture, n'a pas été blessée et devait être entendue par les enquêteurs.

    La police judiciaire chargée des investigations

    Les premières constations n'ont pas permis de déterminer si le tireur avait fait feu depuis son véhicule ou s'il était descendu de sa voiture avant de viser les trois hommes. 

    La police judiciaire, chargée des investigations, a sécurisé les lieux pour y réaliser un relevé d'indices. 

    Kingersheim est une commune d'un peu plus de 13.000 habitants, située dans l'agglomération de Mulhouse. 

    BFM.TV

    On tue au couteau, on tue au révolver.

    La France, un pays où il fait bon vivre !


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  • Plaintes contre la CSI 93: "Ils m’ont traité comme un chien", témoigne un habitant (guetteur) de Saint-Ouen

    C’est la vidéo d’une interpellation musclée, le 9 août, qui a jeté la lumière sur la compagnie de sécurité et d’intervention (CSI) du 93. On y voit un policier en civil empoigner violemment un jeune homme dans le cadre d’une affaire de trafic de drogue. L’Inspection générale de la police nationale (IGPN), la police des polices, a ouvert une enquête pour violences par une personne dépositaire de l'autorité publique.

    Quelques heures plus tard seulement, la même brigade aurait procédé à une autre interpellation controversée. A tel point que l’IGPN a une nouvelle fois été saisie.

    Opération "hardcore" et "écrasement de tête"

    Ce 9 août, Sofiane, guetteur,  affirme qu’il était présent: "Ils m’ont traité comme un chien. Je n’avais pas le droit de parler". Selon lui, les "tais-toi" et "ta gueule" fusent. Sofiane est guetteur dans le quartier. Il explique à BFMTV que ce jour-là, il se promenait avec deux amis quand les policiers de la CSI les ont pris pour cible, juste après avoir raté l’interpellation d’un dealer. La bande de jeunes aurait été traînée dans un hall d’immeuble. Selon sa version des faits, Sofiane est épargné, mais pas ses amis.

    "C’était du hardcore, il arrivait pas à respirer, ils le tenaient pas le cou, il avait les menottes, ils lui envoyaient dans le ventre, sur le visage. L’autre il était par terre, écrasement de tête", dépeint-il.

    Le jeune homme, Sofiane,  l’assure, ce n’est pas la première fois que cette brigade agit de la sorte. Sollicité par l’IGPN, il livrera son témoignage dans les jours à venir.

    "Pas de bavure"

    Du côté des syndicats de police, on nie la bavure de la part de la CSI 93. "Où il est le plus difficile d’agir, c’est le 93, explique à BFMTV Yves Lefèvre, secrétaire général syndicat Unité SGP police FO. Mes collègues qui subissent cette violence sont contraints d’intervenir dans des conditions périlleuses avec des gens prêts à en découdre, à porter atteinte à leur intégrité physique, et ils sont aujourd’hui stigmatisés".

    Et d’ajouter: "On place sur l'autel de l'immunité des voyous pour décrier la police nationale. Quand il y a des loupés, ce qu'on appelle communément des bavures, elles doivent être sanctionnées. Dans le cas présent, j'estime qu'il n'y en a pas".

    Selon nos informations, en 2018, sur 3000 policiers qui travaillent en Seine-Saint-Denis, 550 ont été blessés.

    BFM.TV

    Sofiane, un voyou, un guetteur pour les vendeurs de drogue !

    Mais qu'on laisse tranquilles les gentils trafiquants de drogue du 93 !!!

    Je plains les flics du 93 !

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    Sofiane est un prénom masculin d'origine arabe.

    Le prénom Sofiane est un prénom de style arabe et islamique.


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  • Grande-Bretagne :  Un homme a été poignardé à Londres

    Un homme a été grièvement blessé après avoir été poignardé jeudi devant le ministère de l'Intérieur, dans le centre de Londres, a annoncé la police. Cette dernière a procédé à une arrestation.

    Contrairement à ce qu'elle avait annoncé dans un premier temps, la police a précisé que les jours de la victime n'étaient pas en danger. «Un homme a été arrêté, suspecté d'avoir causé de graves lésions corporelles, et emmené au poste de police», a-t-elle ajouté, disant devoir encore déterminer «les circonstances exactes» de l'agression.

    Photo diffusée

    La police, qui a été alertée peu après 13h00 locales, a bouclé la zone. Une photo diffusée par des médias britanniques montre un homme debout, escorté par les services de secours, le visage ensanglanté recouvert d'un chiffon. Il est torse nu, une veste de costume déposée sur les épaules, et a le ventre couvert de sang.

    «Nous sommes intervenus sur un homme sur place et l'avons emmené dans un centre chargé des traumatismes majeurs», ont indiqué les services ambulanciers de Londres. «Toutes mes pensées vont à la victime et à sa famille après cette horrible attaque au couteau injustifiée», a tweeté la ministre de l'Intérieur Priti Patel.

    Cette agression s'est produite alors que le ministère de l'Intérieur venait de lancer une campagne de sensibilisation pour tenter d'endiguer le fléau des attaques au couteau au Royaume-Uni. Selon l'Office national des statistiques (ONS), 43'516 agressions au couteau ont été commises en Angleterre et au Pays de Galles pendant la période de douze mois achevée fin mars, en hausse de 8% par rapport à la période précédente. (ats/nxp)

    Le Matin.ch


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  • Trois policiers ont été condamnés à des peines de prison avec sursis, mercredi par le tribunal correctionnel de Nancy, pour avoir ignoré un appel téléphonique dénonçant des violences infligées à une jeune déficiente mentale en 2015, à Verdun, dans la Meuse.

     

    Condamnation absente du casier judiciaire

    Un adjoint de sécurité de 24 ans a été condamné à deux mois de prison avec sursis et deux gardiens de la paix, âgés de 42 et 44 ans, à un an de prison avec sursis. Les deux quadragénaires devront en outre verser 5.000 euros de dommages et intérêts à la victime, qui s'est constituée partie civile. La condamnation des trois policiers, poursuivis pour "non-assistance à personne en danger", ne sera pas inscrite au bulletin n°2 de leur casier judiciaire, a précisé le tribunal.

    Estimant qu'ils avaient failli à leur mission, le procureur avait requis trois mois de sursis à l'encontre de l'adjoint de sécurité et six mois avec sursis pour les deux gardiens de la paix.

    Viols, violences et humiliations par six personnes

    Un soir de mars 2015, un homme, pris de remords, avait téléphoné au poste de police de Verdun pour dénoncer les viols, violences et humiliations qu'il infligeait avec cinq autres personnes à une jeune déficiente mentale, âgée alors de 20 ans. Les trois policiers n'avaient pas pris au sérieux leur interlocuteur, qui avait pourtant livré les noms des agresseurs et de la victime, l'adresse du lieu des faits et le détail des sévices.

    Les six auteurs des violences, trois hommes et trois femmes, âgés de 22 à 30 ans, ont été condamnés en février à des peines allant de 7 ans de prison à 18 ans de réclusion criminelle par la cour d'assises de Meurthe-et-Moselle. La victime, qui avait quitté sa famille d'accueil pour un contrat d'apprentissage à Verdun, avait fait la connaissance d'un couple de femmes qui l'avait séquestrée et lui avait extorqué son argent.

    Elles avaient prétendu un vol pour lui infliger, en représailles, une multitude de coups et d'humiliations avec l'aide d'une bande d'amis. Pendant treize jours, ils l'avaient attachée, frappée, violée, brûlée, privée de nourriture, d'hygiène et de soin. A deux reprises, la jeune femme, menacée de mort, avait été contrainte de s'immerger dans l'eau glacée de la Meuse. Certains sévices avaient été photographiés et filmés.

    Europe 1


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  • 105 bébés morts en Ouganda: une humanitaire américaine poursuivie pour exercice illégal de la médecine

    L’affaire relance la polémique sur les « White saviors » en Afrique de l’Est.

    Elle laissait croire aux habitants qu’elle était médecin et s’était même retrouvée à la tête d’un établissement offrant des services de santé à des enfants ougandais en état de malnutrition : Renee Bach, une humanitaire américaine de 30 ans, est poursuivie en Ouganda pour exercice illégal de la médecine par deux plaignantes ayant perdu leurs enfants, Tawali et Elijah, rapportent plusieurs médias américains dont la radio nationale NPR.

    Membre de l’ONG chrétienne évangéliste Serving His Children (« Au service de ses enfants »), la jeune femme originaire de Virginie assurait la gestion d’un établissement accueillant des enfants dénutris aux abords du lac Victoria, qui a soigné et nourri gratuitement près d’un millier d’enfants de la région entre 2009 et 2015, avec des conséquences dramatiques. Parmi eux, au moins 105 seraient morts.

    Durant ces années, Renee Bach, qui n’avait aucune formation médicale, aurait notamment procédé à des perfusions et des transfusions sanguines, souligne Me Beatrice Kayaga, avocate de l’association Women’s Probono Initiative, qui poursuit également l’humanitaire. « C’est scandaleux », confiait-elle à RFI Afrique fin juin.

    « Ces mères, quand leurs enfants tombent malades, sont désespérées. Lorsqu’elles entendent parler d’un établissement où les soins sont gratuits, elles s’y précipitent. Profiter de ces gens-là, de leur vulnérabilité, c’est scandaleux. »

    « Ce n’était pas du tout le projet à la base »

    La plainte se fonde sur des témoignages d’anciens employés du centre d’accueil, qui racontent que des enfants y mouraient chaque semaine. Renee Bach, qui se montrait volontiers avec une blouse blanche et un stéthoscope autour du cou, se faisait appeler « white doctor » et aurait même convaincu des mères de retirer leurs enfants d’un hôpital public pour les lui confier.

    « Quand je suis  arrivée en Ouganda, je ne savais même pas que la malnutrition était un tel problème », a récemment déclaré l’humanitaire, qui multiplie les interviews pour défendre sa réputation depuis un mois, à la chaîne américaine ABC News.

    « Ce n’est pas un sujet auquel j’avais été exposée. Ce n’était pas du tout le projet à la base. »

    Masese en Ouganda.

    L’affaire fait grand bruit en Ouganda depuis la fin 2018, d’autant que l’ONG Serving His Children, qui a dû fermer son premier centre de Masese sur décision des autorités sanitaires locales, a ouvert un nouvel établissement dans le district voisin, qui continue d’accueillir des enfants. Le nombre exact des victimes est impossible à établir et s’élève peut-être à des « centaines », selon les documents de l’enquête consultés par ABC News, car il n’existe aucun registre des admissions.

    Jackie Kramlich, un ancien bénévole du centre d’accueil, témoigne auprès de la NPR que les décisions médicales étaient prises par Renée Bach elle-même, parfois en l’absence de tout personnel compétent. Pourtant en Ouganda, seul un professionnel de santé peut être autorisé à opérer des transfusions sanguines.

    Saul Guerrero, expert de la malnutrition infantile à l’Unicef, confirme auprès de la NPR qu’il est extrêmement imprudent de soigner un enfant dénutri sans les compétences nécessaires :

    « Leur métabolisme et leur système immunitaire sont dysfonctionnels : leur prodiguer un traitement risque très souvent d’avoir l’effet inverse à celui recherché, diminuant leurs chances de survie. »

    « Sauveurs blancs »

    « Des erreurs ont été faites et nous en avons retenu les leçons », a écrit Renee Bach dans un e-mail à la chaîne NBC News, soulignant qu’elle avait obtenu un certificat en réanimation cardio-respiratoire (RCR) et un diplôme via une formation à distance.

    « Je ne me suis jamais mise volontairement dans la position de devoir soigner des enfants, ce n’était pas par choix que je me trouvais confrontée à ces situations. »

    Son avocat et elle ont décidé de plaider non-coupables en rejetant toute implication directe dans la mort des deux enfants ougandais.

    White savior : « Il rentrait dans l’orphelinat comme une star et il avait l’impression d’avoir des fans »

    Son procès à la Haute Cour d’Ouganda relance plus largement la polémique sur les « White Saviors », ces « sauveurs blancs » notamment membres d’ONG chrétiennes qui, bardés de bonnes intentions, viennent offrir de l’aide et des soins aux populations africaines sans la formation et l’équipement nécessaires.

    La malnutrition ravage de vastes zones de l’Ouganda, en étant responsable de près de 45 % de la mortalité infantile du pays, selon l’Agence des Etats-Unis pour le développement international.

    L'OBS


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