• Omar Raddad blanchi 30 ans après les faits ? "Il y a une certitude scientifique de son innocence"

    Condamné pour le meurtre de Ghislaine Marchal en 1991, Omar Raddad a déposé jeudi 25 novembre 2021 nouvelle requête pour obtenir un procès en révision. Et pour cause, de nouveaux éléments devraient "faire naître un doute sur sa culpabilité" selon son avocate.

    Trente ans après les faits, il espère enfin laver son nom. Accusé d'avoir tué la riche héritière Ghislaine Marchal en 1991, Omar Raddad, qui clame toujours son innocence, a déposé une ultime demande de révision de son procès au mois de juin 2021, examinée jeudi 25 novembre par la Cour de cassation, et dont le verdict sera annoncé le 16 décembre 2021. Cette nouvelle requête fait suite à l'apparition de nouveaux éléments dans l'affaire, transmis par Sylvie Noachovitch, l'avocate du jardinier de la victime. Il s'agit de traces d'ADN masculines découvertes sur la scène de crime, notamment sur les portes où était inscrite la célèbre phrase "Omar m'a tuer". Aucune d'entre elles n'appartient à celle de l'accusé. Ces ADN, provenant de nouvelles analyses effectuées en 2014, correspondent à quatre hommes, dont l'un d'eux se trouve déjà enregistré dans le Fichier national automatisé des empreintes génétiques.

    De quoi innocenter Omar Raddad, 30 ans après les faits, selon le criminaliste Georges-Marc Moreau, qui travaille sur ce dossier depuis 1994 : "La justice ne peut plus se cacher derrière son petit doigt il y a une certitude scientifique de l’innocence d’Omar Raddad. Il avait même un alibi et on n’en a jamais tenu compte. Aujourd’hui il demande à ce que la vérité soit faite".

    "Ces éléments font naître un doute sur sa culpabilité"

    D'après l'avocate du plaignant, ces éléments nouveaux sont "cruciaux" et "fondamentaux" et "font naître un doute sur sa culpabilité". De quoi, elle l'espère, faire obtenir de la Cour de révision qu'elle ordonne un nouveau procès après le rejet d'une première requête de révision, déposée par son ancien avocat, en 2002. Le dernier espoir pour Omar Addad de laver enfin son nom.

    En 1991, Ghislaine Marchal est retrouvée morte dans sa propriété de Moulins dans l’Allier. Très vite, les soupçons se portent sur son jardinier, Omar Raddad, à cause de deux inscriptions écrites en lettres de sang affirmant "Omar m’a tuer" et "Omar m’a t", retrouvées dans la villa. Il est condamné pour meurtre à dix-huit ans de réclusion criminelle en 1994, avant d’être partiellement gracié par Jacques Chirac en 1996 et libéré deux ans plus tard.

    GALA


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  • Un mort, un homme interné de force, et une famille meurtrie. Un homme de 60 ans a succombé à une grave blessure par arme blanche à la gorge, samedi matin, à Marseille (Bouches-du-Rhône), rapporte La Provence. C’est un homme de 40 ans, souffrant de troubles psychologiques et suivi par des services de psychiatrie, qui l’aurait blessé. Vers 8 heures samedi matin, le suspect entre en conflit avec sa mère, près d’un restaurant du IIe arrondissement où elle travaille, dans le centre-ville de la Cité phocéenne. Le fils aurait sorti un couteau pour menacer sa mère lorsqu’un sexagénaire, ami de la famille se serait interposé. L’homme a été gravement blessé à la gorge et a succombé à ses blessures à l’hôpital. Il se présente spontanément à l’hôpital Le suspect, continue le quotidien local, prend alors la fuite en voiture, se présente spontanément à un hôpital psychiatrique Edouard-Toulouse de la ville avant d’être interpellé par des policiers de la Brigade anticriminalité (Bac). Samedi, il a été placé sous contrainte dans l’établissement de santé mentale où il s’était présenté plus tôt dans la journée. La Provence rappelle le « désengagement de l’Etat » dénoncé par les soignants de l’hôpital Edouard-Toulouse. Les médecins réclament une prise en charge assidue des malades psychiatriques. Selon nos sources, cela fait plu­sieurs mois que les équipes soi­gnantes de l’hô­pi­tal Edouard-Tou­louse tirent la son­nette d’alarme en dé­plo­rant le désen­ga­ge­ment de l’État dans la né­ces­sité d’une prise en charge as­si­due des ma­lades psy­chia­triques. « On n’en a pas toujours les moyens. C’est assez difficile. Pour cela, il faut passer du temps avec les malades. La psychiatrie n’a pas besoin de technologies très complexes, on a besoin de personnel ! En France, 2 millions d’individus doivent être suivis pour des troubles bipolaires, du comportement et de schizophrénie. Et encore, je ne parle pas des dépressions sévères », confiait en 2019 au Parisien Antoine Pelissolo, chef du service psychiatrie de l’hôpital Mondor de Créteil (Val-de-Marne).

    Le Parisien


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  • A Epinay, des habitants désemparés évacuent tant bien que mal leur Tour Obélisque

    Au milieu de son appartement au papier peint fleuri, Danielle Robin s'avoue "complètement désemparée". A 79 ans, elle prépare un déménagement précipité de l'un des 163 logements de la Tour Obélisque d'Epinay-sur-Seine, visée par un arrêté d'évacuation contesté.

    Cette frêle retraitée au gilet bleu nuit boutonné avec soin observe le déménageur qui s'active dans le 51m2 qu'elle avait acquis il y a 32 ans, au 29e étage d'une tour qui en compte 32.

    C'est terrible en fin de compte, vous vous retrouvez sans rien, votre vie est complètement fichue, moi je suis complètement désemparée", souffle Mme Robin, qui emménagera chez l'une de ses filles en région parisienne avant de partir pour le sud de la France.

    Danielle Robin, et le reste des occupants de cette copropriété dégradée et rongée par les dettes doivent avoir quitté les lieux au 8 décembre, date limite fixée par arrêté préfectoral.

    "Il existe un risque imminent de rupture en différents points de nature à engendrer l'effondrement immédiat des balcons", soutient la préfecture dans un arrêté du 5 novembre consulté par l'AFP.

    Les quatre experts qui se sont succédé depuis octobre concluent tous à une forte corrosion des raidisseurs métalliques reliant les balcons et soutenant les garde-corps ainsi qu'à un risque d'effondrement de ces balcons. Pour l'expertise la plus pessimiste, la tour entière est en danger.

    Une première évacuation, celle de la façade sud, la plus dégradée, a eu lieu le 15 novembre.

    Démolition à l'horizon 2028

    Depuis, les habitants s'organisent tant bien que mal pour déménager et trouver un autre logement. Plusieurs habitants rencontrés par l'AFP se plaignent de propositions de relogement inadaptées à leur situation, ou localisées trop loin.

    D'après les chiffres de la préfecture de la Seine-Saint-Denis, la moitié des appartements étaient occupés en fin de semaine dernière.

    Parmi les habitants, le doute sur le bien-fondé de l'évacuation se propage.

    "En fait sur les parties rouillées, il suffit juste de changer les barres métalliques. Et sinon même sans ça, les balcons tiennent largement", soutient Ahesan Mohiuddin, photo d'archives de la construction de la tour à l'appui, sur lesquelles les raidisseurs métalliques n'apparaissent pas.

    Avec d'autres locataires et co-propriétaires, Ahesan Mohiuddin suit lundi l'audience au tribunal administratif de Montreuil, où leur demande de suspension de l'arrêté doit être débattue.

    "Il est clair que la tour ne risque pas de s'effondrer", défend leur avocat Me Georges Parastatis. "Le préfet commet un détournement de procédure, il utilise la procédure de mise en péril pour mettre en oeuvre un projet d'urbanisation de la ville", accuse-t-il.

    La démolition de la tour est prévue à l'horizon 2028.

    "Risque humain"

    Depuis 2010, la gestion de la tour, en cessation de paiement, a été confiée à une administratrice judiciaire.

    Des propriétaires racontent une augmentation exponentielle des charges, jusqu'à atteindre 600 euros par mois dernièrement. "40 % des propriétaires qui ne payaient pas leurs charges" ont fait sombrer les finances, glisse un homme en plein déménagement.

    Le surendettement a compliqué la bonne tenue des travaux et de l'entretien de la tour, classée IGH (immeuble de grande hauteur) et donc soumise à des normes précises.

    A la suite des premières expertises, le maire divers droite d'Epinay-sur-Seine Hervé Chevreau a pris un arrêté interdisant l'accès aux balcons. Mais il a par la suite refusé d'ordonner l'évacuation de la tour.

    "L'arrêté que j'avais pris suffisait face aux risques", estime l'édile qui ne "voulait pas prendre la responsabilité, en cette période, d'évacuer des gens".

    "Je ne peux pas faire courir de risque humain à des personnes", maintient de son côté le préfet de la Seine-Saint-Denis Jacques Witkowski, qui s'est substitué au maire. "Sur les propositions d'hébergement, on fait au mieux car on agit dans l'urgence", ajoute-t-il.

    Certains propriétaires ont eu des propositions de rachat à 1.000 euros le mètre carré par l'établissement public CDC Habitat. "Mais c'est quelle blague, ça ?", s'emporte Mehdi, 38 ans, propriétaire d'un appartement de 72 m2 acheté 115.000 euros en 2014, désormais sous scellés mais pour lequel il rembourse encore son crédit.

    Le Point


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  • Elle rentrait à peine chez elle. Ce vendredi soir, une femme de 44 ans a été tuée à coups de couteau au pied de son immeuble à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) par son compagnon. Ce dernier sortait tout juste de prison après avoir purgé une peine pour des violences, a indiqué le parquet de Bobigny confirmant une information du Point.

     

    L’auteur des faits, âgé de 51 ans, avait été condamné le 25 juillet à un an de prison dont six mois ferme pour des violences et des menaces commises sur sa compagne début juin. L’auteur des faits s’est rendu le soir même au commissariat et a été placé en garde à vue, a précisé le parquet de Bobigny.

    Depuis juillet, la victime disposait d’un téléphone grave danger. Mais ce vendredi, ce dispositif de protection pour les personnes menacées par leur ancien conjoint a été retrouvé à son domicile. La victime l’avait pourtant déjà déclenché le 5 octobre, quand l’homme s’était trouvé en bas de chez elle. «Selon un rapport de police, il n’était pas entré en contact avec elle et avait quitté les lieux» avant l’arrivée des forces de l’ordre, a précisé le parquet. En conséquence, une partie du sursis du quinquagénaire avait été révoquée et il était retourné en prison. Il avait finalement été libéré le 17 novembre. Soit moins de dix jours avant le drame.

    Les deux filles du couple âgées de 5 et 14 ans n’ont pas assisté à la scène et ont été prises en charge par le protocole féminicide mis en place en Seine-Saint-Denis. Ce protocole prévoit d’abord un soutien psychologique à l’hôpital pendant quelques jours puis leur placement.

    Ce dimanche, l’ex-ministre de l’Intérieur et désormais chef des députés LREM, Christophe Castaner, a appelé à «renforcer la protection de ces femmes», estimant qu’il y a «des anomalies, des trous dans la raquette». «Beaucoup de choses ont été faites. Est ce qu’elles suffisent ? Non. Je suis convaincu que ce type de violence ne cessera pas», a-t-il souligné sur BFMTV.

    Selon un récent bilan du ministère de l’Intérieur, 146 femmes ont été victimes de féminicides, c’est-à-dire tuées par leur conjoint ou ex-conjoint en 2019. L’an dernier, 90 femmes ont été tuées par leur conjoint ou par leur ex. Libération raconte chaque mois, depuis le 1er janvier 2017, la vie de ces femmes.

    Libération

    Ce sale type dont on ne dit pas la nationalité devrait finir ses jours en prison !


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  • Usurpation d’identité : il extorque 32000 euros à la CAF, il est relaxé…

    IlS doivent bien rire au bled en prenant connaissance de la conclusion du tribunal …!!!

    LIEN de l'article :

    https://fr-fr.facebook.com/groups/AntiMacron2017/permalink/998443200361481/

    Alsace : les juges relaxent le MIGRANT clandestin algérien qui avait volé 32 000 euros à la CAF en se faisant passer pour un Irakien !

    De plus, le fraudeur doublé d’un clandestin avéré a juste été relaxé, même pas expulsé, semble-t-il ! J’espère que les juges de Strasbourg dorment du sommeil du juste …

    Note de Christine Tasin

    Par ailleurs, l’histoire ne dit pas pourquoi ce clandestin identifié comme usant d’une fausse identité n’a pas été reconduit dans son pays, a été laissé libre de circuler, de s’installer où il voulait et de vivre sur le dos des contribuables français avec une pension d’invalidité…

    Résistance républicaine

    C'est vraiment du grand n'importe quoi ! C'est du macronisme !


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  • Un homme a été placé en garde à vue ce dimanche. Ce dernier est suspecté d'avoir grièvement blessé un automobiliste ce samedi sur une route entre Rennes et Nantes. Une enquête pour blessures involontaires a été ouverte.

    Un automobiliste a été grièvement blessé par balle, ce samedi, alors qu'il circulait sur la quatre-voies entre Rennes et Nantes, et un chasseur a été placé en garde à vue, a appris l'AFP ce dimanche auprès du parquet.

    L'automobiliste, âgé de 67 ans, roulait entre Orgères et Laillé (Ille-et-Vilaine) lorsqu'il a été grièvement blessé par un tir d'arme à feu, a précisé le procureur adjoint Jean-Marie Blin, confirmant une information révélée par Ouest-France.

    "Le coup de feu aurait été tiré par un chasseur", a-t-il indiqué dans un communiqué reçu ce dimanche matin. "Le pronostic vital est engagé pour la victime".

    Une enquête ouverte

    Une enquête pour blessures involontaires a été ouverte et un chasseur a été placé en garde à vue samedi, précise le parquet.

    Selon le quotidien Ouest-France, le passager, choqué mais indemne, est parvenu à maitriser le véhicule et à le garer sur le bas-côté avant de prévenir les secours. Le conducteur, originaire du Maine-et-Loire, a été hospitalisé dans un état critique au CHU de Rennes, assure le journal.

    BFM.TV

    Saloperies de chasseurs !


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  • La mère qui ébouillantait son fils quand il dansait mal condamnée à 13 ans de réclusion criminelle en appel

    Même peine qu’en première instance pour un même comportement. Mee Yun, une Malaisienne de 50 ans, a été condamnée ce mercredi soir à 13 ans de réclusion criminelle pour torture et actes de barbarie sur mineur de moins de 15 ans par ascendant. Au cours de ce procès en appel à Bobigny (Seine-Saint-Denis), elle a continué à nier les faits les expliquant par des accidents domestiques. Pendant six ans, cette maman a infligé des sévices à Angus, son fils. Ce second procès s’est déroulé plus rapidement que prévu. « Il devait normalement se terminer ce jeudi mais il y a eu beaucoup d’absents. Des témoins qui apparaissaient dans la procédure sont en Malaisie », relate Chloé Arnoux, l’avocate de Mee Yun.

     

    Les faits sont révélés le 12 décembre 2017. Angus, alors âgé de 11 ans, se présente à la réception de l’hôtel Adagio, rue du Théâtre, à Paris (XVe). Il raconte qu’il fait partie d’une troupe malaisienne de danseurs professionnels de salon, de passage à Paris, et affirme que sa mère voudrait le brûler parce qu’il a « oublié des pas de danse ».

    Confié à l’Aide sociale à l’enfance

    Sur ses bras, il montre ses cicatrices. Il présente de nombreuses brûlures sur tout le corps, dont certaines au troisième degré, et des traces de coups. L’enfant explique aux enquêteurs de la brigade de protection des mineurs que sa mère a commencé à lui infliger ce genre de sévices dès qu’il a commencé la danse, à l’âge de 5 ans.

    Un premier examen médico-légal met en évidence, sur tout le corps de l’enfant, de multiples cicatrices et des stigmates liés à des coups par arme contendante, « de type cravache ». Ces violences sont restées dans l’intimité familiale puisque personne dans l’entourage du garçon et de sa mère n’a remarqué ces traces. La maman faisait en sorte qu’Angus s’habille avec des vêtements amples recouvrant son jeune corps meurtri et paraissait aimante en public.

    Après les faits, Angus a été confié à l’Aide sociale à l’enfance. Il vit désormais avec son père en Malaisie. Mee Yun, elle, connaît une détention compliquée. Son avocate a expliqué à l’audience qu’elle suivait un groupe en addictologie depuis un an et demi alors qu’elle n’a jamais été accro à quoique ce soit… Mais ne parlant pas français, elle ne s’est pas rendu compte du thème de l’atelier.

    Le Parisien


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  • La mère devait déposer son enfant à la crèche avant de se rendre au travail mais a oublié son bébé dans la voiture

    Une petite fille de quatre mois est décédée mardi dans une voiture laissée plusieurs heures sur le parking d’un centre commercial de la commune du Lamentin en Martinique, a indiqué mercredi le parquet de Fort-de-France. La mère, qui devait déposer le nourrisson à la crèche, a oublié sa présence dans le véhicule en se rendant sur son lieu de travail.

    C’est le père de la fillette qui a donné l’alerte après que la crèche lui a signalé l’absence du bébé à la mi-journée. Le décès a été constaté entre 14h30 et 15 heures, malgré les soins portés par les services de secours.

    Mort de déshydratation

    Selon les premières constatations, le nourrisson est décédé de déshydratation après être resté six heures dans le véhicule fermé, en plein soleil, selon le parquet. Celui-ci a ouvert une enquête pour homicide involontaire. Les policiers de la direction départementale de la sécurité publique ont été chargés des investigations.

    Pour l’heure, les parents, particulièrement choqués, n’ont pas encore été entendus par les enquêteurs. Ils ont été dirigés vers une cellule de prise en charge psychologique et seront entendus ultérieurement, notamment pour préciser leur emploi du temps.

    20 Minutes

    Un bébé mort, ça n'intéresse personne. Je ne sais plus quoi mettre !

    Il faut peut-être mieux que j'arrête mon blog !


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  • Une quinzaine de véhicules ont été incendiés avant que policiers et gendarmes ne viennent rétablir l’ordre. Des violences urbaines qui feraient suite à des interpellations de trafiquants de drogue, selon la préfète de l'Orne .


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  • Les policiers de Lille (Nord) ont placé en garde à vue un adolescent de 15 ans la semaine dernière. Il est accusé d’avoir publié en ligne une vidéo montrant une décapitation réalisée par un enfant, venant du groupe État islamique (EI).

    L’affaire a débuté par des signalements suite à la diffusion d’une vidéo extrêmement violente sur un site de jeux en ligne. Ces images, publiées initialement par Daesh, montrent un enfant qui décapite un homme décrit une source proche de l’enquête. Les policiers de la brigade de sûreté urbaine (BSU) de Lille ont été chargés des investigations. Et ils n’ont pas tardé à identifier l’auteur de cette publication macabre.

    Il s’agissait d’un adolescent de 15 ans, déjà connu des services de police et placé dans un foyer de la banlieue de Lille. Convoqué lundi 18 octobre au commissariat, il a été placé en garde à vue pour être interrogé. « L’exploitation de son téléphone a montré qu’il avait fait des recherches concernant les tueurs en série, le djihad, la charia, ou encore Mohamed Merah », détaille une source proche de l’enquête.

    Pour se justifier, l’adolescent a évoqué la curiosité. « Il a également exposé le fait qu’il était intéressé par l’histoire des religions », ajoute cette source.

    Déféré le lendemain au parquet, le jeune garçon a été placé cette fois dans un centre éducatif fermé (CEF). Il devra s’expliquer sur l’ensemble des faits devant un juge des enfants, le 16 décembre prochain.

    ACTU 17


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  • Une femme âgée de 40 ans a été interpellée à Brebières, près de Douai (Pas-de-Calais), puis mise en examen, après la découverte d’un nouveau-né décédé dans la poubelle d’un train OuiGo en gare de Marseille, le 14 septembre dernier. Elle a reconnu « l’essentiel des faits ».

    C’est une macabre découverte que des agents d’entretien ont fait dans la nuit du 13 au 14 septembre dernier, en nettoyant un train OuiGo en gare de Marseille, comme Actu17 l’avait révélé. Le corps sans vie d’un bébé a été retrouvé dans une poubelle de ce TGV qui avait effectué la liaison entre la gare de Lille-Flandres (Nord) et celle de Marseille Saint-Charles, où il était arrivé à 20h57.

    « Des agents de propreté procédant au nettoyage de la rame dans la nuit ont découvert dans les toilettes de l’un des wagons le corps d’un nouveau-né, un petit garçon dissimulé dans une poubelle des toilettes », avait alors indiqué le parque de Marseille dans un communiqué, précisant que « l’autopsie du corps de l’enfant révélait que celui-ci avait respiré et était donc né vivant et viable ».

    Son compagnon mis hors de cause à ce stade

    C’est le pôle criminel du tribunal judiciaire de Béthune qui a été saisi de cette affaire. L’enquête a progressé puisqu’un couple a été interpellé ce mercredi à Brebières : une femme âgée de 40 ans ainsi qu’un homme de 48 ans. Ils ont été placés en garde à vue. Déférée ce vendredi matin, la quadragénaire a été mise en examen pour homicide volontaire sur mineur de 15 ans. Elle risque la réclusion criminelle à perpétuité. L’homme a quant à lui été remis en liberté, « les investigations n’ont pas permis en l’état de déterminer son implication dans les faits », a indiqué le procureur de la République de Béthune. Il aurait affirmé ne pas être au courant que sa compagne était enceinte.

    La mise en cause était déjà connue des services de police mais pas pour des faits de violences. « Elle reconnaît pour l’essentiel les faits », a souligné le magistrat. Son placement en détention provisoire a été requis par le parquet.

    ACTU 17


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  • L’établissement dit avoir agi « par désespoir », lassé de voir le comportement agressif des clients

    « L’agression de trop ». Un restaurant asiatique de Givors (Rhône) a décidé de « se faire justice » en publiant sur les réseaux sociaux la photo partielle de deux clientes. Deux mineures qui souhaitaient partir sans payer samedi soir.

    Les deux adolescentes ont violemment poussé une employée enceinte qui tentait de les retenir physiquement, indique ce mercredi Le Progrès. Révoltée, la gérante des lieux dit avoir agi par « désespoir » et assume.

    « Mais jusqu’où peut-on aller pour pouvoir partir sans payer ? Comment peut-on laisser passer cette violence gratuite et intentionnelle ? » s’interroge le restaurant sur sa page Facebook, rappelant que l’employée a dû subir des examens à l’hôpital. Elle indique que le personnel « a été plusieurs fois victime de violences [verbales et physiques] depuis 2017 ».

    20 Minutes


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  • L’apprenti de 28 ans était en reconversion au lycée professionnel où le drame a eu lieu ce mardi

    Un jeune de 28 ans qui suivait un parcours de reconversion au lycée professionnel de Revel, dans la Haute-Garonne, a été victime d’un terrible accident ce mardi matin alors qu’il manipulait une machine à bois. Elle a sectionné son bras droit au-dessus du poignet, indique à 20 Minutes le service départemental d’incendie et de secours ( SDIS 31​).

     

    Le drame s’est produit vers 10h45. L’apprenti a été dans un premier temps pris en charge par l’infirmière de cet établissement spécialisé dans les métiers du bois et de l’ameublement, puis par les pompiers de Revel qui ont décidé de l’héliporter « en urgence absolue » vers le CHU de Purpan à Toulouse. Son pronostic vital n’était pas engagé et les premiers intervenants ont eu le réflexe de placer sa main dans une poche de glace, au cas où une greffe serait possible.

    20 Minutes


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  • Un ancien infirmier a été déclaré coupable des meurtres de quatre patients à qui il a injecté de l’air dans le cerveau alors qu’ils se remettaient d’opérations au cœur.

    William George Davis a été déclaré coupable mardi de meurtres. Cet ancien infirmier du Tyler's Christus Trinity Mother Frances Hospital, au Texas, a tué quatre de ses patients en injectant de l’air dans leur cerveau alors qu’ils se remettaient d’opérations au cœur. Le site Internet du magazine «People» indique que les faits se sont produits entre 2017 et 2018, année au cours de laquelle il a finalement été renvoyé. Les victimes, John Lafferty, Ronald Clark, Christopher Greenaway et Joseph Kalina, ont toutes subies des lésions cérébrales dues à l’air injecté.

     

    Cité par le «Tyler Morning Telegraph», le docteur William Turner, qui a opéré trois des quatre patients, a expliqué que l’air avait été injecté en le faisant passer à travers un cathéter artériel qui permet en général de vérifier la pression artérielle et prélever des échantillons sur les malades. D’après lui, «il est inconcevable» que cet air se soit retrouvé dans le cerveau des patients au cours de leur chirurgie. Les IRM réalisées sur les patients ont montré que les lésions cérébrales avaient bien été causées par de l’air et les médecins ont donc exclu toute autre cause. «Il semble qu’un hôpital soit l’endroit idéal pour se cacher lorsqu’on est un tueur en série», a déclaré à l’ouverture du procès le procureur du comté de Smith. «C’est simple : il aime tuer les gens. Il a adoré aller dans leur chambre et leur injecter de l’air. Si vous regardez une vidéo du jour où Joseph Kalina s’est retrouvé face à lui, vous le voyez être debout en train de surveiller les moniteurs et d’attendre. C’est parce qu’il a aimé ça», a-t-il ajouté.

    L'avocat de la défense de Davis, Phillip Hayes, a de son côté fait valoir que son client était utilisé comme bouc émissaire par l’hôpital qui avait de prétendus problèmes de sécurité. Phillip Hayes a déclaré que Davis avait été inculpé uniquement parce qu'il était présent lorsque les décès sont survenus, rapporte Associated Press. Le procureur envisage de requérir la peine de m

     
    Paris Match

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  • Sur les 800 passagers, 500 ont été redirigés vers des bus affrétés par la SNCF pour se rendre à leur destination

    Un homme de 70 ans est mort percuté par un train, ce dimanche, à hauteur de Notre-Dame-de-la-Mer près de Bonnières-sur-Seine ( Yvelines), rapporte 78actu. Le TER Paris-Le Havre impliqué n'a pu repartir que quatre heures plus tard. Au total, 800 passagers se trouvaient à bord.

    L'accident s'est produit vers 12h15. La gendarmerie s'est déplacée pour effectuer les premières constatations. Il s'agirait d'un suicide, précisent nos confrères. Le corps de la victime a été pris en charge par les pompiers. Une déviation a été mise en place pour permettre d'évacuer les voyageurs.

    Des bus affrétés par la SNCF

    « L’évacuation s’est déroulée dans le calme », précise la gendarmerie. Elle a été opérée par les pompiers et le Samu. Des plateformes métalliques utilisées habituellement lors des accidents de poids lourds ont été installées pour évacuer les passagers. Notamment pour les personnes âgées, les femmes enceintes ou les personnes en situation de handicap.

    Des bus ont été affrétés par la SNCF pour conduire 500 voyageurs vers la Normandie. Les 300 personnes restantes sont reparties à bord du train, plus de quatre heures après l'accident. Ce dernier a entraîné de nombreuses perturbations sur le réseau ferroviaire. 

    20 Minutes


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  • Une altercation qui s’est déroulée vendredi 15 octobre dans un tram de Lyon (Rhône) a été vue des centaines de milliers de fois sur les réseaux sociaux. Un homme qui était en train de fumer dans une rame près d’un enfant en bas âge s’en est violemment pris à un autre qui lui avait fait la remarque. Bruno Bernard (EELV), le président du Sytral et de la métropole, a déploré un acte « inqualifiable » 

    Une vidéo tournée dans un tram de Lyon (Rhône) et diffusée dimanche 17 octobre par un internaute, a provoqué un tollé sur les réseaux sociaux. Celle-ci montre une altercation et un échange de coups entre deux hommes, rapporte Le Progrès. Dans l’après-midi du lundi 18 octobre, la vidéo de 38 secondes avait déjà été visionnée plus de 250 000 fois.

    L’un des hommes était en train de fumer dans la rame, près d’une poussette dans laquelle se trouvait un bébé âgé de deux mois, d’après ce qu’on peut entendre sur la séquence violente, que Ouest-France a choisi de ne pas relayer. Un homme lui a demandé de l’éteindre, puis le fumeur s’est mis à frapper son interlocuteur. Des passagers du tram se sont ensuite interposés.

    « L’acte est inqualifiable »

    La compagnie lyonnaise de transports TCL a confirmé auprès de nos confrères que la scène avait eu lieu sur la ligne T2, vendredi 15 octobre à minuit, dans le VIIIe arrondissement de la ville. La Direction de la Sécurité publique a quant à elle précisé qu’aucune plainte n’avait été déposée à la suite des faits, ajoute le quotidien régional.

    « L’acte est inqualifiable. Une enquête est en cours. Les images de vidéosurveillance sont à disposition de la justice », a réagi Bruno Bernard (EELV), président du syndicat des transports (Sytral) et de la Métropole, selon des propos rapportés par 20 Minutes. Celui-ci a également affirmé qu’il s’exprimerait sur la question dans les jours à venir. Alexandre Vincendet (LR), maire de Rillieux-la-Pape, a de son côté appelé à un débat sur la sécurité des usagers dans les transports, note Le Progrès.

    Ouest-France


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  • Un homme s’est noyé dimanche soir à Nancy (Meurthe-et-Moselle) après avoir sauté dans la Meurthe.

    Âgé de 30 ans, il était recherché depuis le 11 juillet, date à laquelle il s’était évadé de la prison de Saint-Mihiel (Meuse). Incarcéré pour purger une peine de huit années de prison, pour des violences aggravées et trafic de stupéfiants, auxquels s’ajoutaient des délits routiers, il n’avait pas regagné sa cellule après une permission de sortie, selon le récit de France Bleu Grand Est. Il faisait depuis l’objet d’un mandat d’arrêt émis par un juge d’instruction de Bar-le-Duc.

    Fausse identité

    Le Procureur de la République de Nancy, François Pérain, a expliqué que le fugitif a été repéré dimanche soir vers 23 heures par un équipage de la BAC, à Saint-Max. Selon l’Est républicain, il venait de descendre d’une voiture pour aller récupérer un sac auprès du conducteur d’une autre, avant de reprendre sa place côté passager dans la première voiture, qui a redémarré. Au feu rouge suivant, les policiers ont voulu contrôler l’identité des deux hommes.

    Le fugitif a donné une fausse identité avant de prendre à pied la direction de la Meurthe. Là, il a sauté du pont qui relie Saint-Max à Nancy au dessus de la Meurthe. Un autre équipage de policiers a tenté d’aider l’homme, qui peinait à nager dans la rivière. Malgré l’intervention des sapeurs-pompiers, les secours n’ont pu que constater son décès. Une autopsie doit être pratiquée. La police judiciaire de Nancy a été chargée de l’enquête.

    Le Parisien


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  • Cameroun : un gendarme lynché à mort par une foule en furie après avoir abattu une fillette de 4 ans

    Une fillette de quatre ans a été tuée par un gendarme le 14 octobre à Buea, dans le sud-ouest du Cameroun. Elle a été touchée par une balle après que l’officier a tiré sur un véhicule dont le conducteur refusait de s’arrêter pour un contrôle. Après l’incident, le gendarme a été lynché à mort par une foule en colère.

    Les contrôles sont monnaie courante dans cette région anglophone du Cameroun où un conflit armé oppose les séparatistes anglophones de l’Ambazonie aux forces gouvernementales.

    Une foule de personnes marchant dans les rues de Buea et agitant des branches de feuilles. En première ligne, un homme tient le corps de la jeune Caro Louise Ndialle, qui a reçu une balle dans la tête par un gendarme se trouvant sur un poste de contrôle le long de la route. Les vidéos de la foule en colère ont été partagées sur les réseaux sociaux.

    LIEN pour  suite de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/cameroun-un-gendarme-lynch%C3%A9-par-une-foule-en-furie-apr%C3%A8s-avoir-abattu-une-fillette-de-4-ans/ar-AAPFwZH?ocid=msedgntp


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