• Afrique du Sud: 16 personnes brûlées vives dans un minibus-taxi après une collision

    © MARCO LONGARI Des minibus-taxi avant la prise de service, à Johannesburg, le 1er juin 2020

    Seize personnes ont été brûlées vives dans un minibus-taxi après une collision avec un autre véhicule sur une route de la province du Limpopo, dans le nord-est de l'Afrique du Sud, a-t-on appris mercredi auprès des autorités locales.

    "Le bus a pris feu, 16 occupants du minibus-taxi, pris au piège, ont été brûlés vifs. Le conducteur du SUV a également été tué sur le coup" menant le bilan à 17 morts au total dans cet accident survenu mardi, a déclaré à l'AFP le porte-parole du département régional des Transports, Mike Maringa. 

    Huit personnes ont été blessées. Selon les premières constatations, "le conducteur du SUV a perdu le contrôle de son véhicule après l'éclatement d'un pneu et il est entré en collision frontale avec un bus de 22 places", a ajouté le porte-parole. 

    Souvent pleins à ras-bord, les minibus-taxis sont largement utilisés comme moyens de transport en commun par les Sud-Africains. L'état des véhicules et la conduite des chauffeurs sont souvent mis en cause dans l'insécurité sur les routes.

    Bien qu'elle dispose d'un des réseaux routiers les plus développés du continent, l'Afrique du Sud est un de ses plus mauvais élèves en matière de sécurité routière. Près de 1.500 personnes ont été tuées sur les routes pendant les vacances de Noël, qui correspondent aux vacances d'été dans ce pays d'Afrique australe, selon le ministère des Transports. 

    AFP


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  • La pratique du sport à un haut niveau peut parfois amener à des accidents tragiques et cela dans de nombreux sports. Aux États-Unis, le football américain, sport roi, extrêmement populaire dans tout le pays, fait partie des pratiques les plus dangereuses et de nombreux anciens professionnels souffrent de lourds problèmes à la fin de leur carrière. Si l'on en parle un peu moins, le hockey sur glace fait également partie des sports les plus violents de la planète. Les chocs peuvent s'avérer fatals et un nouvel exemple tragique vient de se produire dans un lycée situé dans l'État du Connecticut.

    Durant un match avec son équipe, le jeune Teddy Balkind, âgé seulement de 16 ans, a été victime d'un accident mortel particulièrement horrible. Selon le rapport officiel du service médical chargé de l'examen, le jeune homme est mort dans un "accident" causé par "une profonde entaille au niveau du cou". Une véritable tragédie survenue jeudi dernier lors d'un match entre son équipe de St Luke et celle de Brunswick dans la ville de Greenwich.

    Selon les autorités, dans des propos rapportés par TMZ, Teddy Balkind serait tombé sur la glace avant d'être accidentellement percuté par un adversaire qui lui a sectionné le cou avec la lame de son patin. D'après la police de Greenwich, le jeune garçon a été transporté à l'hôpital en urgence, mais il a succombé à ses blessures une fois sur place.

    Une nouvelle qui a ébranlé le monde du hockey, à l'exemple de l'équipe des Kings de Los Angeles, dont le public a observé une minute de silence lors de son dernier match en honneur de Teddy Balkind. Les deux équipes qui se sont affrontées ce jour-là ont également exprimé leur tristesse et le lycée du jeune hockeyeur, St Luke, a décidé de fermer ses portes pour une journée, vendredi dernier.

    Purepeople


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  •  L'agresseur venait juste de s'échapper de l'unité psychiatrique de l'hôpital de Cholet quand il a attaqué un vendeur dans l'hypermarché

    La victime a été transportée dans un état grave. Un homme âgé de 29 ans a été poignardé à trois reprises lundi matin alors qu’il travaillait dans l’hypermarché E.Leclerc PK3 de Cholet​. Touché au cou et au crâne, son pronostic vital était engagé. Il serait désormais hors de danger, selon France 3.

    L’auteur de l’agression a été interpellé peu de temps après, puis placé en garde à vue. Il s’agit d’un homme âgé de 27 ans hospitalisé sous contrainte au sein du service psychiatrique de l’hôpital de Cholet, situé dans le même quartier que le centre commercial.

    Le suspect déjà connu de la justice

    D’après les premiers éléments de l’enquête, le patient serait parvenu à s’enfuir de l’établissement avant de franchir une avenue et d’entrer dans l’hypermarché. Il aurait alors attaqué, sans raison apparente, un employé au moyen d’un couteau trouvé dans le rayon des articles de cuisine, rapporte Le Courrier de l'Ouest.

    La victime a été frappée par l’arrière. Le suspect est déjà connu de la justice. Il devrait être mis en examen ces prochaines heures.

    20 Minurs


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  • Moselle : le facteur jetait le courrier des résidents à la poubelle

    Des habitants d'un quartier de Metz ont découvert des centaines de lettres remontant parfois jusqu'au mois de novembre, des courriers pourtant parfois très importants.

    Quel ne fut pas leur choc en découvrant des dizaines et des dizaines de courriers dans la poubelle de leur immeuble, raconte France Bleu. Ces résidents d'un quartier de Metz-Sablon ont en effet mis la main sur "200 à 300 lettres" juste avant qu'elles ne partent à la déchetterie. Un choc pour eux qui s'étonnaient de n'avoir que très peu de courriers depuis quelques semaines. "Certains dataient de novembre", déplore un habitant, précisant qu'il y avait des courriers très importants comme "des analyses de sang, des contraventions ou des lettres pour les petits-enfants".

    Face à cette découverte, ils ont immédiatement alerté la direction générale de La Poste qui s'est saisie de l'affaire. Un agent a même été dépêché sur place afin de récupérer tous les plis avant de les redistribuer aux résidents de l'immeuble. La Poste a même décidé de porter plainte contre son employé fautif. Selon les informations de France Bleu, une enquête est en cours.

    Licencié sur le champ

    La direction a confirmé que le postier en question avait été licencié sur le champ et a condamné ces agissements, d'ordre personnel. L'homme serait un intérimaire de la plateforme de courrier de la ville qui avait été embauché il y a peu. Ses motivations ne sont pas connues. Le travail de postier nécessite de se plier à des engagements et surtout de prêter serment et s'engager "solennellement", rappelle La Poste auprès de nos confrères

    Les postiers doivent surtout s'engager "au secret de la correspondance et ne conserver aucun courrier ou colis". S'ils devaient manquer à ces règles, ils encourent une peine pouvant aller jusqu'à trois ans de prison et 45.000 euros d'amende. L'année passée, Capital se faisait écho de l'incroyable butin d’un postier qui se servait dans les colis des clients. Dernièrement, une femme soignée pour un cancer avait loupé son rendez-vous… à cause de retard dans la livraison du courrier.

    Capital


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  • Un skieur a été emporté par une avalanche sur le domaine du Tanet, dans le Haut-Rhin, dimanche 9 janvier 2022. Il a eu le réflexe de déclencher son airbag, ce qui lui a permis de ne pas être enseveli par la coulée de neige.

    Une avalanche s’est déclenchée dans la combe du Tanet à Soultzeren (Haut-Rhin), ce dimanche 9 janvier 2022. Un skieur a été emporté par la coulée de neige et doit la vie sauve à son airbag, actionné manuellement durant sa chute, rapporte Vosges Matin. Le système lui a permis de rester en surface et de ne pas être enseveli.

    L’opération de secours a mobilisé deux secouristes des pelotons de montagne de la gendarmerie, une vingtaine de sapeurs-pompiers et huit gendarmes, épaulés par des chiens de recherche. Un hélicoptère de la sécurité civile a également été dépêché sur place, précise une publication Facebook des secouristes :

    Le skieur accidenté se trouvait avec deux autres personnes qui n’ont pas été emportées par l’avalanche, indiquent nos confrères.

    Un bon réflexe qui lui a sauvé la vie

    « Le skieur était indemne à notre arrivée mais psychologiquement un peu secoué, relate à France 3 Grand Est Philippe Viré, commandant du PGHM d’Hohrod. C’est un habitué de la montagne, il a eu de la chance, beaucoup de chance : celle d’être équipé d’un airbag, équipement très onéreux, et un bon réflexe, de l’avoir actionné. C’est ce réflexe qui lui a sauvé la vie ».

    Les trois skieurs n’ont pas été évacués mais ont été rappelés à l’ordre par les militaires. Ils avaient en effet emprunté un chemin hors des pistes balisées du domaine skiable. Au vu des conditions météorologiques des derniers jours, « c’était une très mauvaise idée de skier là, très imprudent », estime le commandant, cité par la chaîne régionale.

    Ouest-France


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  • Ils étaient seulement sortis promener le chien. Une femme âgée d’une cinquantaine d’années et son fils de 21 ans avaient disparu dimanche après-midi dans le secteur de Payrin-Augmontel au sud-ouest de Castres (Tarn). Selon nos informations, confirmant une information de La Dépêche du Midi, le corps du jeune homme a été découvert, ce lundi soir, vers 18 heures, près d’une centrale hydroélectrique, dans la rivière le Thoré, a quelques hectomètres du lieu de disparition. Vers 15 heures, dimanche, Cécile et son fils Florian quittent leur maison de Pont-de-Larn pour aller promener le chien. Peu après 18 heures, le mari, inquiet de ne pas les voir revenir, indique la Dépêche du Midi, retrouve la voiture non loin de là, près d’une aire de jeu du bord de la rivière à Payrin-Augmontel. « La rivière était à un haut niveau, dimanche, mais c’est surtout lundi qu’elle est sortie de son lit », explique un habitant de la commune.

    Des recherches se sont poursuivies toute la nuit avec l’aide d’un chien pisteur. Le blouson de Florian a été retrouvé près de l’aire de jeu, tandis que le chien est rentré seul à la maison, selon des informations du journal régional que Le Parisien peut confirmer. Les recherches compliquées par les intempéries Ce lundi, des plongeurs de la gendarmerie ont été dépêchés pour sonder la rivière Thoré, mais leur travail a risqué d’être embarrassé par les intempéries qui s’abattent sur le Sud-Ouest depuis plusieurs jours. Florian a finalement été retrouvé au « niveau d’une petite centrale hydroélectrique, à quelques hectomètres du lieu de leur disparition dimanche », selon nos informations. Ce mardi, les recherches pour tenter de retrouver sa mère, Cécile, devaient reprendre. Une autopsie devrait être réalisée prochainement pour déterminer la cause du décès, même si la noyade semble être la plus vraisemblable.

    Le Parisien


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  • Une ex-conseillère de la banque Le Crédit lyonnais comparaîtra en mars devant un juge de Nanterre (Hauts-de-Seine). Elle devra répondre de "faits d’abus de confiance, de faux et blanchiment" pour un préjudice d’environ 60 000 euros.

    Une trahison de l'intérieur. Une ex-conseillère de la banque le Crédit lyonnais (LCL) comparaîtra en mars devant un juge de Nanterre (Hauts-de-Seine) avec reconnaissance préalable de culpabilité, rapporte Le Parisien. Cette femme, âgée de 40 ans, devra répondre de "faits d’abus de confiance, de faux et blanchiment" pour un préjudice d’environ 60 000 euros.

    Tout commence l'été 2019 au sein d'une agence de Clichy. Alors qu'elle travaille à l'agence depuis 2017, cette employée voit sa direction la soupçonner d’être une voleuse. Au mois d'août, ses services déposent une plainte après avoir découvert que cette salariée utilise sa position privilégiée pour les voler. À noter qu'au sein de la banque, elle gère les portefeuilles de petites et moyennes entreprises tout en étant chargée d'anticiper les risques. Une de ses missions est donc de détecter les potentiels clients ou entrepreneurs qui feraient perdre de l’argent.

    Usurpation d'identité et ouverture de compte

    En avril 2019, elle contracte en son nom deux prêts à la consommation pour 25.000 et 5.000 euros. Sa méthode est simple : elle usurpe l’identité d’un client du LCL pour pouvoir ouvrir un compte en banque. "Ce sont des crédits revolving, c’est-à-dire qu’à tout moment, vous pouvez obtenir de l’argent quand vous en avez besoin. Dès que l’utilisateur pioche dans cette réserve, ses échéances et ses intérêts sont réévalués. C’est un effet boule de neige très dangereux pour les personnes en difficulté", déclare une source proche du dossier. Le préjudice s’élève alors à 30 000 euros pour le client et 32 000 euros pour la banque.

    Courant décembre 2021, la Brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA) a convoqué l’ex-salariée. Placée en garde à vue, elle a avoué, lors de son interrogatoire, être à l'origine de la supercherie en expliquant qu’elle était très endettée. "Elle avait contracté de nombreux crédits qu’elle ne parvenait pas à rembourser", prévient une source auprès de nos confrères. Elle a aujourd’hui perdu son emploi.

    Capital


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  • Au moins 21 personnes sont mortes au Pakistan, coincées dans un embouteillage monstre provoqué par la ruée de dizaines de milliers de visiteurs vers une ville de montagne où tombait une neige inhabituellement abondante, ont annoncé samedi les autorités.

    Les services de secours pakistanais, Rescue 1122, ont publié une liste de 21 personnes décédées dont un policier, sa femme et leurs six enfants. Hasaan Khawar, un porte-parole du gouvernement du Pendjab, a précisé qu’ils étaient morts de froid dans leur voiture.

    La police a confirmé que huit personnes sont mortes de froid dans leur voiture mais il n’était pas clair dans l’immédiat si les autres victimes sont décédées de la même cause ou d’intoxication au monoxyde de carbone respiré dans l’habitacle de leur véhicule.

    « Une situation terrible »

    Le ministre de l’Intérieur, Sheikh Rashid Ahmed, a indiqué que l’armée était mobilisée pour dégager les routes et secourir les milliers de personnes toujours bloquées près de Murree, située à environ 70 kilomètres au nord-est de la capitale Islamabad.

    Les vidéos partagées sur les réseaux sociaux montraient des voitures immobilisées, pare-choc contre pare-choc avec jusqu’à un mètre de neige sur leurs toits.

    Selon un touriste toujours coincé dans la ville, la neige continuait à tomber samedi après-midi. Les gens affrontent une situation terrible, a déclaré à l’AFP Usman Abbasi, joint au téléphone.

    Depuis plusieurs jours, de nombreuses photos étaient partagées sur les réseaux sociaux pakistanais montrant des touristes jouant dans la neige autour de Murree, ville fondée au 19e siècle par les Britanniques comme sanatorium pour leurs troupes coloniales.

    Les autorités de la province du Pendjab ont annoncé que Murree avait été déclarée zone sinistrée et demandé à la population de ne plus s’y rendre dans l’immédiat.

    Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, s’est déclaré choqué mais aussi énervé par la tragédie.

    Des chutes de neige sans précédent et une ruée de personnes se déplaçant sans vérifier les conditions météorologiques ont pris l’administration du district au dépourvu, a-t-il tweeté.

    J’ai ordonné une enquête et je mets en place une réglementation stricte pour assurer la prévention de telles tragédies, a-t-il ajouté.

    Avertissements

    Les autorités avaient déjà mis en garde le week-end dernier contre le trop-plein de visiteurs à Murree mais cela n’a pas empêché de nombreux habitants d’Islamabad de s’y précipiter à nouveau.

    Il n’y a pas que les touristes, la population locale affronte aussi de sérieux problèmes, a précisé Usman Abbasi.

    Les bouteilles de gaz sont épuisées et il n’y a plus d’eau potable dans la plupart des quartiers - soit c’est gelé, soit les conduites sont abimées par le froid, a-t-il indiqué, ajoutant que les hôtels étaient à court de nourriture.

    Située à 2 300 m d’altitude, Murree s’accroche aux flancs de plusieurs collines et ses étroites routes d’accès sont régulièrement embouteillées, même par beau temps.

    Selon Sheikh Rashid Ahmed, les habitants de la ville ont hébergé de nombreux visiteurs coincés dans la ville et ont apporté des couvertures et de la nourriture à ceux bloqués dans les embouteillages.

    Les écoles et les bâtiments administratifs accueillent aussi des sinistrés, a-t-il ajouté.

    Ouest-France


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  • Le procureur doit demander ce samedi le placement du suspect en détention par le biais d'un mandat de dépôt. L'individu de 38 ans est actuellement en garde à vue.

    Le parquet de Draguignan ouvrira ce samedi après-midi une information judiciaire dans le cadre de l'enquête sur la mort d'un Fréjusien, décapité vendredi dans le quartier Villeneuve.

    Le procureur doit demander le placement du suspect, actuellement en garde à vue, en détention par le biais d'un mandat de dépôt. L'individu de 38 ans est également soupçonné d'avoir émasculé la victime.

    Les faits se sont déroulés vers 7 heures du matin dans l'appartement du suspect, à Fréjus. Les deux hommes ont eu "une dispute, une bagarre forte", selon les mots de l'auteur présumé du meurtre, lequel était auditionné jusqu'à ce samedi matin.

    Selon nos informations, le suspect s'est rendu à la gendarmerie aux alentours de 11h15, vendredi, avec un sac contenant une tête et des testicules. Les policiers se sont alors déplacés au domicile de la victime, où ils ont découvert son corps.

    Un profil psychotique

    Le différend porterait sur le "comportement" que la victime aurait eu vis-à-vis de la femme du suspect. Cependant, le parquet de Draguignan précise que "le mobile et le contexte exact restent encore à définir".

    L'expertise psychiatrique du suspect n'a pas montré qu'il était irresponsable pénalement, en revanche, elle a souligné qu'il avait un profil psychotique. 

    Sa femme et l'un de ses amis ont été placés en garde à vue vendredi soir puis finalement libérés et mis hors de cause. Les deux enfants, mineurs, du meurtrier présumé ont eux aussi été entendus.

    "Défavorablement connus des services de police"

    Des perquisitions ont également eu lieu au domicile où s'est produit le drame et où gisait le corps de la victime. "Un appartement où des gens venaient régulièrement pour se droguer", a indiqué le parquet à BFM Toulon Var.

    Interrogé sur BFM Nice Côte d'Azur ce vendredi, Yohan Sebrier, du syndicat Alliance Police Var, a affirmé que l'auteur présumé des faits et la victime sont tous deux "très défavorablement connus" des services de police.

    La police judiciaire de Toulon est en charge de l'enquête.

    BFM.TV


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  • Karim, filmé en réanimation puis victime de fausses rumeurs, est mort du Covid

    Karim, hospitalisé à Montreuil, avait fait part de ses regrets de ne pas s'être fait vacciner. Il a ensuite subi une campagne de dénigrement et de fausses rumeurs des antivax. Il est mort du Covid le 20 décembre dernier.

    C’est une mise au point qui était attendue. Jeudi, la direction de l'hôpital de Montreuil a publié un communiqué pour lever tous les doutes sur la mort de Karim. Celui-ci est mort du Covid le 20 décembre dernier. Il avait été victime d’une campagne de rumeurs et de dénigrement. Ce jeudi, l’hôpital a confirmé qu’il était bien en réanimation chez eux, qu’il était non vacciné, qu’il avait voulu témoigner et lancer son appel. Ce n’était donc pas une intox.

    Il regrettait de ne pas être vacciné

    En effet, Karim, de son vrai nom Abdelkrim Azzaoui, était hospitalisé à l'hôpital de Montreuil en réanimation. Quelques jours avant sa mort, il a été interviewé par une équipe de l'AFPTV. Il disait regretter de ne pas être vacciné, d’avoir écouté toutes ces conneries sur YouTube et il lançait un appel: “Il faut se réveiller et aller se faire vacciner”.

    Cette interview a ensuite été diffusée par de nombreuses chaînes dont BFMTV, qui l’a utilisée avec d’autres témoignages allant dans le même sens, recueillis à l'hôpital de Nice.

    Forte campagne de dénigrement

    Ensuite, sur les réseaux sociaux, des comptes antivax, avec des captures d’écran trompeuses, ont fait croire que Karim avait témoigné deux fois. Depuis Montreuil et depuis Nice. Et donc forcément, que tout cela était une manipulation et que Karim était un acteur. Des centaines de commentaires ironiques ou haineux ont été publiés.

    Sauf que malheureusement Karim n’était pas un acteur. Il était employé à la mairie des Lilas, en Seine-Saint-Denis, depuis 20 ans. Il travaillait dans les services de la restauration scolaire. Il avait trois enfants, une fille de 16 ans et des jumeaux de 13 ans.

    Les collègues de Karim à la mairie ont tenu à témoigner et dire leur émotion à propos de la mort de leur ami, mais aussi à propos des fausses rumeurs qui ont sali sa mémoire. Les soeurs de Karim dans Le Parisien dénoncent un lynchage médiatique.

    Dans son communiqué, la direction de l'hôpital a également demandé instamment aux médias de bien vouloir rétablir la vérité. 

    RMC


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  • Blois : fermeture annoncée de la boutique France Loisirs

    France Loisirs a trouvé un repreneur, mais devra fermer 108 de ses 122 points de vente. Le club de livres va ainsi perdre 90% de ses salariés.

    Le France Loisirs de Blois (Loir-et-Cher) va bientôt fermer définitivement ses portes, après quarante ans d'ouverture. "On se connaissait bien avec les vendeuses. On était toujours bien reçus, avec le sourire (...) c'est difficile", témoigne deux clients fidèles, qui sont très émus de voir partir l'enseigne. Placée en liquidation judiciaire, France Loisirs a trouvé un repreneur dans la semaine. 

    Des vendeurs émus aux larmes

    Malgré tout, seuls 14 points de vente pourront rester ouverts sur les 122 existants. À Blois, c'est lundi 20 décembre, à 19 heures, que le rideau se baissera définitivement. "Ce sera la fin d'une histoire (...) ils peuvent continuer par correspondance, ou il y a internet mais on ne pourra plus les suivre, nos clients. On va les remettre à d'autres personnes", témoigne une vendeuse avec la larme à l'œil. La concurrence d'Amazone et le modèle obsolète de France Loisirs auront eu raison de sa survie. 

    France info culture


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  • Terrible drame en Italie. Ce jeudi, le champion du monde junior de tir, Cristian Ghilli, est décédé après s'être accidentellement tiré une balle dans le ventre, alors qu'il participait à une partie de chasse avec ses amis près de Pise, en Italie. Malgré son transport rapide vers l'hôpital de Cecina (Toscane), le jeune homme de 19 ans n'a pas pu être sauvé par les médecins, qui ont dû l'opérer en urgence pour arrêter l'hémorragie.

    Champion du monde par équipe et par équipe mixte

    Spécialisé dans le tir aux pigeons d'argile, Cristian Ghilli chassait avec des amis dans les bois de Montecatini Val di Cecina, dans la province de Pise, lorsqu'il s'est accidentellement tiré une balle. "En octobre dernier, il avait été sacré champion du monde par équipe et par équipe mixte, en plus de l'or et d'une troisième place individuelle à la Coupe du monde de Lima, au Pérou", a expliqué Luciano Rossi, le président de la Fédération italienne de tir, dans la presse italienne.

    Cristian Ghilli avait également brillé en mai dernier, en remportant l'or en individuel, par équipe et par équipe mixte au championnat d'Europe à Osjiek en Croatie.

    RMC Sport

    Bien puni d'être allé à la chasse !


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  • Un enfant âgé de 9 ans est mort percuté par un train à La Frette-sur-Seine (Val-d’Oise), ce jeudi après-midi. Il a échappé à la vigilance de ses parents.

    Terrible drame à La Frette-sur-Seine vers 17h30, à proximité de la gare. Un enfant de 9 ans a été percuté par un train à 400 mètres environ d’un passage à niveau rapporte Le Parisien. Le conducteur du train de la ligne J n’a pas pu s’arrêter à temps pour éviter le pire.

    Dix-huit pompiers ont été déployés sur place pour prendre en charge la petite victime, qui présenterait des troubles de l’autisme. Cette dernière était malheureusement déjà décédée. Ses parents, qui n’ont pas vu leur fils se diriger vers les voies ferrées, sont sous le choc. Ils ont été conduits à l’hôpital de Pontoise, tout comme le conducteur du train. Ils vont faire l’objet d’un suivi psychologique.

    Des constatations ont été effectuées sur place et une enquête a été ouverte pour préciser les circonstances du drame. Le maire de la ville et le procureur de la République se sont déplacés. Les 150 passagers du train ont quant à eux dû attendre 20h30 pour rejoindre la gare d’Herblay.

    ACTU 17

    Donc, ça vous laisse indifférent ?


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  • Le feu est désormais maîtrisé, mais pas éteint. Une centaine de pompiers de Paris ont été déployés sur place.

    Les dégâts sont importants. Un incendie d'entrepôt, qui a ravagé 17 000 mètres carrés, est en cours vendredi 7 janvier à Stains (Seine-Saint-Denis), au nord de Paris, rapporte la préfecture de la Seine-Saint-Denis. Il n'y a "pas de victime", a souligné la préfecture, ajoutant qu'un périmètre de sécurité est mis en place car le feu est "maîtrisé mais pas éteint", a précisé la BSPP.

    Entre "100 et 120 pompiers de Paris" sont mobilisés, ainsi qu'une "vingtaine" de pompiers du Val-d'Oise, a précisé la brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP). "Pour l'instant, les fumées ne perturbent pas le trafic aérien, ni ferroviaire", à l'intérieur ce sont "les vêtements, les matériaux, tout ce qui est encore entreposé" qui brûle, a précisé à l'AFP la brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP).

    Aucune activité sensible sur ce site

    "La structure est fragilisée et une partie s'est effondrée", a précisé la BSPP qui a utilisé le Robot Rex, déjà employé lors de l'incendie de la cathédrale de Notre-Dame. Equipé d'une lance incendie, ce robot a permis de progresser dans l'enceinte "sans engager les moyens humains".

    L'opération a également nécessité l'intervention de l'unité RSMU (recherche et sauvetage en milieu urbain) équipée de "scies, de tronçonneuses" qui ont permis "d'ouvrir certaines alvéoles de l'entrepôt qui étaient fermées par des rideaux métalliques" afin de "s'assurer que le feu ne se soit pas déclaré dans d'autres alvéoles". L'origine du sinistre, qui s'est déclaré vers 3 heures du matin vendredi, est inconnue à ce stade.

    Ce vaste entrepôt, divisé en plusieurs activités et utilisé par "une vingtaine d'entreprises" notamment de confection textile et de produits d'hygiène et d'entretien selon la préfecture, n'abritait aucune activité sensible.

    France info


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  • Un logement étudiant du Crous de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) a été totalement détruit par les flammes, ce jeudi 6 janvier 2022. L’occupante de l'appartement s’est jetée de sa fenêtre, au deuxième étage, pour échapper aux flammes. Elle se trouve en état d’urgence absolue.

    Un incendie s’est déclaré dans une « studette » du Crous de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), ce jeudi 6 janvier 2022, vers 9h30. Le logement a été totalement détruit et le feu s’est propagé à l’appartement voisin. Une étudiante a sauté du deuxième étage du bâtiment pour échapper aux flammes.

    Elle souffre d’une fracture à l’épaule, rapporte La Montagne. Son état s'est ensuite dégradé, a affirmé le quotidien, et la victime se trouve en état d’urgence absolue. Un autre étudiant a été hospitalisé.

    Une trottinette électrique serait à l’origine du feu

    Les sapeurs-pompiers ont également procédé à l’évacuation des 80 étudiants occupant le bâtiment. Tous ont subi un test CO2. Il s’avère qu’une trentaine d’entre eux ont été intoxiqués.

    Ce sont les équipes du service de sécurité incendie du Crous qui sont intervenues en premier. Selon les premiers éléments recueillis, c’est une trottinette électrique restée branchée qui serait à l’origine de l’incendie. Les secours ont sécurisé les lieux. Reste aujourd’hui à reloger les habitants du bâtiment.

    Ouest-France


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  • Sa maîtresse était endormie dans sa chambre et n’a pas été blessée

    Les pompiers sont arrivés à temps. Et heureusement. Ce jeudi matin, l’alarme d’un détecteur de fumées s’est déclenchée avant 7 heures dans une maison de Lorient (Morbihan). Alertés, les voisins ont rapidement prévenu les pompiers qui ont pu secourir l’occupante du pavillon, alors endormie. Un incendie s’était déclaré dans la cuisine. D’après les pompiers, interrogés par Ouest-France, le dégagement de fumées a été occasionné par une poêle restée sur les plaques électriques. Ces plaques à induction auraient été actionnées par le chat de l’occupante du pavillon !

    Cette dernière, une femme de 72 ans paraplégique, dormait dans sa chambre, à l’abri des épaisses fumées noires. Le domicile a été nettoyé et ventilé par les pompiers, permettant à son occupante d’en reprendre possession dans la journée.

    20 Minutes


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  • Des montres, bijoux et autres pièces de collection ont été saisis par les policiers dans une maison près de Lens (Pas-de-Calais), mardi 4 janvier 2022. Les enquêteurs ont lancé un appel à témoins afin de retrouver les propriétaires de ces objets volés.

    La police nationale du Pas-de-Calais lance un appel à témoins pour retrouver les propriétaires de nombreux objets volés. Comme le raconte La Voix du Nord, l'affaire a débuté après le signalement d'un cambriolage dans le secteur de Lens. Après enquête, les policiers ont identifié des suspects qui occupaient une maison squattée.

    Lors de la perquisition menée mardi 4 janvier 2022, les enquêteurs ont découvert un impressionnant butin dans le salon de l'habitation. Au total, plus de 200 montres, de nombreux bijoux, des pièces de collection et des statuettes décoratives ont été saisis.

    Des vols dans la région mais aussi en Bretagne

    Le montant du préjudice pourrait être de plusieurs dizaines de milliers d'euros, précise le quotidien régional. Selon les premières constatations, les objets volés proviendraient de cambriolages commis dans la région mais aussi partout en France, notamment en Bretagne. Le plus ancien vol remonterait à 2010.

    Les suspects interpellés lors de la perquisition ont été remis en liberté alors qu'une enquête préliminaire a été ouverte. Les personnes victimes de vols ces dernières années et qui pourraient être les propriétaires des objets retrouvés peuvent se rendre au commissariat de Lens.

    Ouest-France

    A n'y rien comprendre !


    2 commentaires


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