Sept membres d’une même famille ont été retrouvés morts chez eux samedi après un signalement de proches qui n’avaient plus de nouvelles, aux Etats-Unis.

ls s’apprêtaient à fêter Noël et à célébrer un anniversaire de mariage. Mais un couple, ses trois enfants et deux autres membres de la famille ont été retrouvés morts chez eux samedi dans le Minnesota. Ce sont des proches qui ont fait la terrible découverte après s’être rendus chez eux, inquiets de ne pas avoir de nouvelles. «Il n'y a aucun signe de violence ou d'effraction», a déclaré la police. «L'équipe du Minnesota Bureau of Criminal Apprehension Crime Scene a été contactée pour obtenir de l'aide dans le traitement de la scène. À l’heure actuelle, il n’y a aucune menace connue pour le public», ont fait savoir les autorités.

Pour le moment, la cause de ces décès n’a pas été révélée mais la police a indiqué qu’aucun corps ne portait de trace de traumatisme. Des échantillons de sang ont été envoyés à un laboratoire afin d’être analysés, indique la police dans un communiqué. Lundi, le nom des victimes a été dévoilé : Belin Hernandez, 37 ans ; Marleny Pinto, 34 ans ; Breylin Hernandez, 16 ans ; Mike Hernandez, 7 ans ; Marbely Hernandez, 5 ans ; Eldor Hernandez Castillo, 32 ans ; et Mariela Guzman Pinto, 19 ans. La famille a déménagé du Honduras au Minnesota en 2013. Wilfredo Pinto, le frère de Marleny, vivait de l'autre côté de la ville. «Ma sœur Marleny était une sœur très spéciale, très gentille», a-t-il déclaré auprès de KVLY. «Les petits aimaient jouer dehors dans la neige. Ils aimaient faire du vélo et du skateboard». «Mercredi dernier, j’emballais les cadeaux de Noël pour les enfants…», a ajouté l’épouse de Wilfredo Pinto.

Le pasteur Eric Bravo Mejia a déclaré à KVLY qu'il faisait partie du groupe, avec plusieurs membres de l'église, qui s’est rendu sur place pour prendre des nouvelles de la famille. «Je suis allé à l'étage supérieur et je suis entré dans la pièce et toute la famille était réunie, ils étaient là, morts. Et je suis allé dans une autre pièce et il y avait la nièce morte. Et l'oncle. Mort aussi. Tous morts. C'était un instant que je ne peux toujours pas comprendre. C'est quelque chose que vous ne pouvez pas expliquer, l'impact que cela a, de les voir tous là».

Paris Match

La baignoire, dans laquelle la grand-mère des bambins les avait placés, les a protégés lorsqu’ils ont été balayés par le phénomène naturel survenu dans la nuit du 10 au 11 décembre dernier.

Deux bébés, emportés par les violentes tornades qui ont violemment frappé les États-Unis, les 9 et 10 décembre derniers, ont été retrouvés sains et saufs, rapporte BFMTV . Kaden, 15 mois, et son petit frère Dallas, 3 mois, étaient, comme souvent le week-end, sous la surveillance de leur grand-mère, dans sa maison située dans le Kentucky. Quand la tornade s’approche, Clara Lutz s’abrite dans la salle de bain et place ses deux petits enfants dans la baignoire, enveloppés de couvertures et d’oreillers. Elle y place également une bible.

Rapidement, la puissance du phénomène naturel emporte avec elle le toit de la maison, avant que ce ne soit au tour de la baignoire dans laquelle se trouvaient les deux bambins.

Sur la chaîne locale 14News , Clara Lutz se remémore la scène : « Je regardais partout pour voir où la baignoire pouvait être. Je n’avais aucune idée de l’endroit où se trouvaient ces bébés. Tout ce que je pouvais dire, c’était : Seigneur, s’il te plaît, ramène-moi mes bébés sains et saufs. S’il te plaît, je t’en supplie ».

Un geste qui a probablement sauvé les vies des bébés

Cette dernière, légèrement blessée, s’est rapidement lancée dans la recherche de ses deux petits-enfants. Par chance, sa route croise celle de deux adjoints du shérif et deux habitants venus assister le voisinage, qui se mettent à l’aider à trouver les bambins.

Ces images, issues de la caméra-piéton des deux adjoints au shérif, montrent le moment où les deux bébés sont retrouvés. L’on y voit la baignoire renversée, avec les bambins à l’intérieur. « Le shérif est venu. Je suis montée dans la voiture du shérif au bout de mon allée, et peu de temps après, ils ont ouvert la porte et m’ont amené Kaden, mon bébé de 15 mois. Et ils m’ont apporté mon bébé de trois mois, Dallas. Ils me l’ont amené », retrace la grand-mère.

Aucune blessure grave n’a été relevée, seulement une légère à l’arrière de la tête du plus jeune des deux bambins. Tous deux ont été protégés par la baignoire. Un réflexe de protection salué par l’un des deux adjoints au shérif : « Les mesures prises par la grand-mère en plaçant les couvertures, les oreillers et tout le reste autour de ces enfants, je pense que c’est ce qui a fait la différence ».

Une histoire incroyable qui a rapidement fait le tour des réseaux sociaux.

Ouest-France

LIEN de l'article :

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/madagascar-un-naufrage-fait-au-moins-64-morts-crash-dun-h%c3%a9licopt%c3%a8re-de-larm%c3%a9e/ar-AAS334v?ocid=msedgntp

Un python tenace a fait détruire une pièce, alors que des pompiers bataillaient pour le sortir de la maison qu’il occupait à Jakarta, en Indonésie. Au cours de l’incident qui s’est produit le 21 décembre, aux alentours de 3 h du matin, les pompiers de la caserne du quartier de Kramat Jati ont expulsé un python d’une maison de l’est de Jakarta. Comme le montre la vidéo, la tâche n’était pas facile, car le serpent se trouvait dans le plafond et n’avait aucune envie de partir. Même une fois qu’il a été extirpé du plafond (tout en faisant s’en détacher une grande partie), il s’est enroulé autour de tout ce qu’il pouvait pour éviter d’être attrapé. Mais finalement, les pompiers ont réussi à terminer leur travail et à extraire l’animal du bâtiment.

LIEN de l'article pour voir la video :

https://fr.news.yahoo.com/pompiers-mettent-maison-pi%C3%A8ces-chassant-105531758.html

L'homme muni d'une arme blanche, qui retenait depuis lundi après-midi deux femmes, une mère et sa fille, dans une quincaillerie du XIIe arrondissement à Paris, a été interpellé et sa seconde otage libérée. Connu pour souffrir de troubles psychiatriques, le forcené, 56 ans, s'était présenté sous l'identité d'un ancien magistrat tunisien. Ce qu’a démenti tôt ce matin, la procureure de la République de Paris, Laure Beccuau. Lundi soir, vers 22 heures, le preneur d’otage avait libéré la mère, après de longues négociations menées par la Brigade de recherche et d'intervention (BRI). Celles-ci s’étaient poursuivies toute la nuit pour aboutir peu avant 8 heures ce mardi matin, à son interpellation et à la libération de la seconde otage. Personne n’a été blessé. Une enquête a été ouverte notamment du chef de « séquestration » et a été confiée au commissariat du XIIe arrondissement.

Deux jumeaux siamois yéménites, séparés avec succès lors d'une opération en Jordanie, sont rentrés chez eux à Sanaa, la capitale du Yémen en guerre, a annoncé lundi l'Unicef.

Nés en décembre 2020, Ahmed et Mohammed avaient été évacués avec leurs parents en février à bord d'un avion médicalisé du Yémen, pays pauvre de la péninsule arabique où les services de santé ont été dévastés par sept ans de conflit.

"Je leur souhaite d'être éduqués comme les autres enfants, de faire des études supérieures et d'être utiles à leur pays", s'est félicité le père des jumeaux dans un communiqué de l'Unicef.

Il avait fallu huit heures et une équipe de 25 chirurgiens et conseillers techniques pour séparer les deux siamois en juillet en Jordanie.

Sanaa est contrôlée depuis 2014 par les rebelles Houthis qui combattent les forces du gouvernement reconnu par la communauté internationale et appuyé par une coalition militaire dirigée par l'Arabie saoudite.

L'aéroport de Sanaa est fermé au trafic civil en raison d'un blocus aérien imposé par la coalition et l'ONU est la seule organisation à opérer des vols à partir de et vers Sanaa.

"C'est un dénouement heureux pour une famille, mais des millions d'enfants au Yémen continuent de souffrir en silence", a déclaré Philippe Duamelle, représentant de l'Unicef dans le pays. "Au Yémen, aujourd'hui plus que jamais, les enfants ont besoin de notre soutien afin de réaliser leurs droits fondamentaux à la santé, l'alimentation, l'éducation, la protection, ainsi que l'accès l'eau, aux sanitaires et à l'hygiène."

Un enfant yéménite de moins de cinq ans meurt toutes les neuf minutes en raison du conflit, qui a causé la mort de 377.000 personnes, victimes directes et indirectes, selon un rapport de l'ONU publié fin novembre. 

AFP

Un terrible drame s'est produit dans une école primaire mercredi en Australie. Au cours d'une kermesse, le château gonflable dans lequel jouaient plusieurs enfants a été emporté par une rafale de vent. Quatre d'entre eux sont morts comme l'a rapporté l'AFP jeudi 16 décembre 2021.

La population australienne est en deuil après le terrible drame qui a coûté la vie de quatre enfants. Les faits se sont déroulés jeudi 16 décembre 2021, du côté de Devonport en Tasmanie. Ce jour-là, une kermesse était organisée au sein d'une école primaire afin de fêter la fin du premier trimestre. Alors que plusieurs enfants étaient en train de s'amuser au sein d'un château gonflable, celui-ci a été emporté par une rafale de vent. Victimes d'une chute d'environ dix mètres de hauteur, deux garçons et deux filles âgés d’environ 11 ans sont morts sur le coup, tandis que cinq autres enfants ont été grièvement blessés, comme l'a indiqué la police locale à l'AFP.

Suite à ce terrible drame, le Premier ministre australien, Scott Morrison, a posté un message sur Twitter dans lequel il déplorait un accident "bouleversant". "De jeunes enfants qui s’amusent dehors avec leurs familles, et cela vire à cette horrible tragédie, en cette période de l’année, cela vous brise le cœur", a-t-il écrit. Par ailleurs, plusieurs photos sur lesquelles on peut découvrir des policiers touchés par ce triste événement ont été publiées sur les réseaux sociaux. Sur ces fameux clichés, les internautes ont pu voir les membres des autorités australiennes se réconforter mutuellement.

Drame en Australie : la météo avait prévu des "vents légers" ce jour-là

"Je sais que notre communauté est forte, que nous resterons soudés et que nous nous soutiendrons. Pour les cinq enfants qui sont toujours à l’hôpital, nos pensées et nos prières vont vers leurs familles et leurs amis tout au long de cette période difficile", a déclaré pour sa part Peter Gutwein, qui est à la tête de la Tasmanie. Le jour où ce drame s'est produit, la météo avait annoncé des "vents légers", ainsi qu'un temps ensoleillé. Pour rappel, il s'agit du début de l'été austral dans cette région située sur la côte nord de la Tasmanie. De son côté, le quotidien australien The Age a révélé qu'une enquête de police est actuellement en cours pour tenter de faire la lumière sur ce drame.

Femme actuelle

Un Italien qui a perçu pendant des années une aide financière de l'Etat pour malvoyance a été arrêté mercredi sous le soupçon de fraude après avoir été surpris en train de conduire, de circuler en scooter et de faire du lèche-vitrines, ont indiqué les medias. Cet habitant de Palerme en Sicile a perçu un total d'au moins 170.000 euros d'aides depuis 2008 après avoir déclaré être "totalement aveugle" en raison d'un problème congénital.

La police financière italienne a été alertée après que le faux handicapé visuel eut renouvelé en 2018 son permis de conduire, selon les informations de presse. La police qui le surveillait l'a surpris en train de conduire tout en pianotant en même temps sur son portable, de contempler les vitrines tout en marchant dans une galerie marchande fréquentée et d'apprendre à sa fille à faire du vélo.

Surnommé "Berlusconi" pour ses affaires judiciaires

L'homme de 40 ans a également circulé en scooter, sans assurance, a rapporté Palermo Today, précisant qu'il avait été surnommé "Berlusconi", d'après le nom de l'ancien Premier ministre italien empêtré dans des affaires judiciaires. Il était connu des services de police, ayant été condamné en 2020 en première instance à une peine de prison de près de 15 ans pour appartenance à un réseau qui mettait en scène de faux accidents de la circulation pour percevoir le montant des assurances.

Cette condamnation fait l'objet d'un appel. Bien qu'il soit propriétaire d'un garage, le suspect percevait également le "revenu de base" mensuel versé en Italie aux citoyens les plus pauvres.

Paris Match

Je ne comprends pas ce que ce type faisait encore libre ?

La voiture tanguait dangereusement dans la descente de l’autoroute A75 du Pas de l’Escalette et pour cause : les gendarmes qui patrouillaient ont relevé une surcharge de 380 kilos. Le conducteur qui venait des Yvelines partait en vacances en Algérie.

C’est le groupement de gendarmerie de l’Hérault qui révèle cette info ce lundi sur sa page Facebook : samedi, sur l’autoroute A75, sur les hauteurs de Lodève, dans le sens Millau-Béziers, un automobiliste a été contrôlé par les gendarmes du peloton motorisé de Clermont-l’Hérault, suite à l’interception de son véhicule, surchargé.

Pas d’assurance, pneus lisses

L’individu, parti la veille au soir de son domicile des Yvelines, au volant de sa Hyundai Matrix, pensait, malgré un défaut de précaution à son chargement, atteindre discrètement le port de Valence en Espagne et rejoindre l’Algérie par bateau. Un contrôle de son véhicule a permis d’établir une surcharge estimée à 380 kg. Circonstance aggravante : le conducteur ne possédait pas de permis de conduire et n’était pas assuré. Son véhicule était aussi équipé de pneus lisses.

« Dans l’immédiat, le chauffeur a été contraint de trouver une assurance, des pneus conformes et un autre véhicule pour transvaser son supplément de bagages. Et il sera avisé prochainement, à son domicile, de la sanction par ordonnance pénale délictuelle », signale le groupement de gendarmerie de l’Hérault. L’histoire ne dit pas si le conducteur a quand même réussi à rejoindre l’Algérie pour ses vacances de fin d’année.

Metropolitain

La police et la douane ont saisi près de 900 000 cigarettes de contrefaçon et 8 tonnes de tabac, jeudi 9 décembre 2021 à Poincy en Seine-et-Marne. Cinq personnes ont été arrêtées.

Une fabrique de cigarettes de contrefaçons a été découverte par la police jeudi 9 décembre 2021 à Poincy, près de Meaux (Seine-et-Marne), selon une information du Figaro.

810 000 fausses cigarettes ont été saisies sur place, ainsi que 7,6 tonnes de tabac brut et 3,8 kilos de tabac coupé. « Du jamais vu en France, de quoi produire presque 20 tonnes de cigarettes », commente le syndicat Alliance.

Contrefaçon : 5 personnes arrêtées à Poincy

L’atelier clandestin, situé rue de la Briqueterie, a été démasqué lors d’un contrôle de l’Urssaf dans plusieurs garages, fait en présence de la police sur réquisition du parquet de Meaux, indique une autre source proche du dossier.

En arrivant sur place, les agents découvrent dans le local des machines à hacher le tabac, à fabriquer des cigarettes, à assembler des paquets… Insolite pour un garage !

Du papier gris et orange, ainsi que 182 cartons de filtres à cigarettes, sont entreposés près de centaines de milliers de fausses cigarettes d’une marque très connue, et des tonnes de tabac.

Cinq personnes ont été arrêtées. Ils se disent français, roumains et allemand. Selon nos informations, ils sont entre les mains de la douane.

La Marne

La valeur totale de cette découverte est estimée à 10,5 millions d'euros

Les douaniers ont saisi plus d’une tonne de pollen de cannabis à Saran ( Loiret) dans un camion espagnol transportant une cargaison de chips, a annoncé lundi le ministre délégué des Comptes publics Olivier Dussopt. Au total, 1.052 kg de pollen de cannabis, « représentant une valeur totale de 10,5 millions d’euros » à la revente, ont été saisis le 2 décembre par la brigade des douanes de Bourges.

En ouvrant la remorque du camion « stationné au sein du parc d’activités Pôle 45 de Saran (…), les agents des douanes découvrent un chargement composé de cartons de paquets de chips », a expliqué le ministre en charge des douanes. « Le contrôle physique approfondi de ce dernier permet d’identifier rapidement la présence de marchandises de fraude : du pollen de cannabis conditionné dans des valises en toile de jute synthétique », selon le communiqué.

Une revente prévue aux Pays-Bas

Le conducteur a ensuite été remis à la Direction territoriale de la police judiciaire d’Orléans. L’homme, de nationalité roumaine et âgé de 44 ans, était inconnu de la justice.

Après 72 heures de garde à vue, il a été déféré et devrait comparaître le 19 janvier. Selon une source policière, le conducteur, qui vit en Espagne, se rendait aux Pays-Bas. Il devait revendre camion et marchandise une fois arrivé à destination.

20 Minutes

Après des mois d'enquête, une mère et une grand-mère ont été arrêtées pour avoir utilisé une fillette de 7 ans pour leur trafic de cocaïne.

Une fillette italienne de 7 ans confectionnait les doses de cocaïne pour un trafic auquel se livraient sa mère et sa grand-mère. Ces dernières ont été incarcérées, a raconté la presse locale mardi.

L'écolière accompagnait souvent sa mère en voiture dans ses tournées de vente pour jouer le rôle de guetteur, a révélé l'enquête. Assise à l'arrière, elle criait pour avertir lorsqu'elle voyait des policiers s'approcher. Elle a été confiée à des proches.

Plusieurs mois d'enquête

Sa mère et sa grand-mère, auxquelles ce juteux trafic pouvait rapporter jusqu'à 2000 euros par jour, ont été arrêtées lundi avec six autres personnes au cours d'un coup de filet effectué dans la région de Rome. Elles sont poursuivies pour trafic de stupéfiants, aggravé des chefs de blanchiment et d'exploitation de mineur, selon le parquet.

D'après Il Corriere Della Citta, les policiers ont été alerté par le comportement suspect de la mère lors d'un contrôle pendant lequel ils ont retrouvé une forte somme d'argent. La maman a expliqué qu'il s'agissait des revenus de son bar. Il aura fallu plusieurs mois d'enquête aux forces de l'ordre pour faire toute la lumière sur cette affaire.

BFM.TV

Un soir de cuite, l’homme de 22 ans a carrément tabassé la fillette de sa compagne

Le certificat médical a relevé 20 hématomes sur la fillette de 3 ans. L'Indépendant relate dans son édition du jour le procès pour « violences aggravées », mardi à Carcassonne, d’un homme de 22 ans qui a littéralement tabassé la petite fille de sa compagne. Les faits remontent au 20 novembre, un soir où le beau-père est rentré ivre et s’est immédiatement acharné sur l’enfant. C’est la mère de la fillette qui a prévenu la police.

L’homme, sans emploi, a été qualifié de « monstre » à l’audience par l’avocate de la partie civile. Il a été décrit par un expert comme un « hyperactif, impulsif, présentant un dysfonctionnement psychique ». Le tribunal l’a condamné à sept ans de prison dont cinq ferme, avec obligation de travail et de soins. Ecroué à l’issue de l’audience, il est aussi interdit de toute activité en lien avec des mineurs pendant cinq ans.

20 Minutes

Le tribunal de Quimper examinait jeudi une cruelle histoire de maltraitance d’enfants. Pendant plusieurs années, des jumeaux nés en 2011 ont vécu l’enfer en subissant des violences répétées de la part de leur père et de leur belle-mère, rapporte Le Télégramme.

C’est à la suite du signalement d’un médecin que l’affaire avait éclaté en 2018, le professionnel de santé ayant constaté l’état de dénutrition avancé du garçon. Devant les enquêteurs, le frère et sa sœur avaient indiqué qu’ils étaient privés de nourriture ou étaient contraints de manger du riz cru dans le garage.

Douches froides, claques et insultes

Ils avaient également raconté les sévices qu’ils devaient endurer à savoir des douches froides, des claques, des coups de poing et des insultes. Quand ils faisaient pipi au lit, leur père et sa compagne leur plongeaient aussi la tête dans la cuvette ou les obligeaient à dormir nu.

A l’issue de l’audience, le couple a été condamné à deux ans de prison avec sursis. Le père et sa compagne devront également verser 6.000 euros aux enfants pour le préjudice moral subi.

20 Minutes

2 ans de prison avec sursis, c'est se moquer du monde !

La jeune femme, condamnée pour des violences intrafamiliales, était libérable dans quelques semaines

Les secours n’ont pas pu la sauver. Une détenue de 19 ans du centre pénitentiaire de Gradignan, en Gironde, est décédée d’une overdose dans la nuit de vendredi à samedi dans les locaux de la prison​, qu’elle venait de réintégrer après s’être évadée.

La jeune femme, qui était en régime de semi-liberté et suivait un cursus scolaire, n’avait pas réintégré sa cellule jeudi après-midi. Elle a été déclarée « évadée », selon une source pénitentiaire.

Victime d’une overdose

La fugitive a été retrouvée le lendemain chez sa mère à Mont-de-Marsan (Landes), où des policiers municipaux sont venus l’interpeller, a indiqué de son côté le parquet. De retour à la prison, où elle devait intégrer le quartier des femmes, elle a fait une « overdose » et « n’a pu être réanimée » par les surveillants et les secours sur place. Elle avait été condamnée pour « des faits de violences intrafamiliales » et était libérable dans quelques semaines.

Une autopsie est prévue lundi matin pour connaître les circonstances de la mort, a précisé le parquet. L’enquête a été confiée aux policiers de la Sûreté départementale. Selon le journal régional Sud Ouest, la détenue aurait absorbé « une forte dose de cocaïne » après avoir invectivé les surveillants.

En l’espace d’un mois, deux détenus se sont évadés de cette même prison, les 11 et 21 novembre derniers. Le premier fugitif a été interpellé à Bordeaux puis placé en rétention après trois semaines de cavale tandis que le deuxième homme est toujours recherché.

20 Minutes

Il semble que la prison de Gradignan manque de surveillants !

Le gérant a tenté d'apaiser les tensions entre les deux clients, avant de s'interposer et de recevoir le coup de couteau mortel.

Un gérant de bar est mort dans la nuit de jeudi à vendredi 10 décembre à La Teste-de-Buch, dans le bassin d’Arcachon (Gironde), a appris vendredi 10 décembre franceinfo de source policière. Vers 00h45, cet homme âgé de 50 ans a été mortellement touché par un coup de couteau alors qu’il tentait de séparer deux clients qui se battaient.

Selon France Bleu Gironde, les faits se sont produits sur la voie publique devant le bar à tapas "Le Basque du Bassin", sur le port de La Teste-de-Buch. Le gérant a d'abord tenté d'apaiser les tensions entre les deux clients, avant de s'interposer et de recevoir le coup de couteau mortel. D'après les premiers éléments de l’enquête, il a a été touché à l'artère fémorale.

 Les deux clients placés en garde à vue

Les deux clients qui se sont battus, deux jeunes qui résident dans le bassin d’Arcachon selon France Bleu, ont été interpellés et placés en garde à vue. L’un d'eux a été blessé à la jambe et transporté au CHU de Bordeaux.

Un magistrat du parquet de Bordeaux s'est rendu sur place. Il a confié l'enquête à la police judiciaire. De nombreux témoins présents dans le bar et à l'extérieur seront auditionnés dans la journée. La police devrait aussi pouvoir s'appuyer sur les images de caméras de vidéosurveillance.

France info

Rafale, un berger hollandais de deux ans, a intégré la brigade canine de la police de Perpignan cet été. (©Police nationale des Pyrénées-Orientales)

Ce mardi 7 décembre à Perpignan, la brigade cynophile de la police nationale a interpellé un individu menaçant. En possession d'une hache, il a été maîtrisé par le chien "Rafale".

Les faits se sont produits ce mardi 7 décembre, avenue d’Athènes au sein du quartier Saint-Assiscle de Perpignan (Pyrénées-Orientales). La brigade cynophile de la police nationale est appelée pour intervenir sur une bagarre entre deux individus. Sur place, les forces de l’ordre tombent sur un homme armé d’une hache, lequel s’en prend à un boitier EDF. 

En possession d’une hache, il menace de s’en prendre au chien de la brigade

Ce dernier, âgé de 31 ans, refuse d’être interpellé par les forces de l’ordre et prend la fuite. Il se retranche dans le hall d’un immeuble, qu’il a également dégradé peu de temps avant avec son arme. Dangereux, l’individu menace de s’en prendre sérieusement au chien de la brigade cynophile, « Rafale ».

Mais acculé dans ce hall d’immeuble, l’homme est pris au piège et tente une dernière manœuvre en fonçant vers les policiers pour tenter de fuir une seconde fois. C’est alors que les forces de l’ordre, en dernier recours, ordonnent au berger hollandais de neutraliser l’individu.

« Rafale », ce berger hollandais qui avait mordu une commissaire de police… Avant d’intégrer la brigade canine

« Rafale » s’exécute et parvient à mordre fortement l’avant-bras du trentenaire, celui avec lequel il se servait de la hache. Toujours lié à l’animal, le maître-chien tire sur la laisse et fait tomber l’individu au sol, lequel est interpellé dans la foulée.

Il s’agit de la première interpellation musclée de « Rafale » depuis son arrivée au sein de la brigade cynophile de Perpignan. Il y a quelques mois, Actu Perpignan vous révélait son histoire : après avoir mordu une commissaire de police, ce berger hollandais, que les propriétaires n’arrivaient plus à maîtriser, a fini par intégrer la brigade canine. Une reconversion visiblement réussie !

Des recherches à l’aide d’une pelle mécanique ont eu lieu mardi 7 décembre 2021, au pied de l’annexe d’une fermette, à Mézeray, dans la Sarthe, où ont été découverts les cadavres de trois nouveau-nés, lundi 23 août.

« L’enquête risque d’être longue. Il y a beaucoup de vérifications à établir », avait prévenu un officier de gendarmerie quelques jours après le 23 août 2021, date à laquelle un Sarthois, âgé de 40 ans, s’était présenté chez les gendarmes. Il avait fait une macabre découverte, dans une annexe de sa maison qu’il devait rendre après le décès, par maladie le 12 août, de sa compagne. À l’âge de 44 ans.

Trois nouveau-nés ont déjà été retrouvés

L’occupant des lieux avait ainsi révélé aux gendarmes avoir retrouvé le corps de bébés ou de fœtus. En l’occurrence « trois nouveau-nés », précisait le 25 août le Parquet du Mans. Avec, à la clé, une information judiciaire ouverte pour homicide volontaire sur mineurs de moins de 15 ans.

Depuis, les alentours de cette fermette nichée dans les bois, tout au bout d’une allée desservant plusieurs habitations à l’écart de Mézeray (Sarthe), avaient retrouvé leur quiétude habituelle jusqu’à ce mardi 7 décembre 2021, soit trois mois et demi après les faits, où le bruit d’une pelle mécanique s’est fait entendre. Et pour cause, un engin retourne la terre dans un pré jouxtant un hangar aux tôles rouillées faisant partie du corps de ferme, en partie rénové.

Une longue tranchée creusée et une tente installée

En fin de journée, la tranchée était large et profonde, laissant un tas de terre conséquent tout le long de la clôture. Une grande tente blanche a également été installée dans le prolongement d’un bâtiment, dans la cour.

Que cherchent précisément sous la terre les enquêteurs ? D’autres éventuels corps de nourrissons, des armes ?

Pour l’instant, aucune communication n’est faite par les autorités locales qui agissent – rappelons-le – sous l’ordre du juge d’instruction. « L’enquête se poursuit. Et des vérifications sont en cours pour permettre de trouver des éléments dans la recherche de la vérité », nous fait-on savoir.

Ouest-France