• Afin de garantir la sécurité des clients, certaines enseignes de supermarchés comme Lidl, Auchan et Carrefour ont procédé à un rappel de produits contenant du sésame.

    C'est une annonce de la plus haute importance. Après que Lidl et Auchan ont procédé à un rappel de produits impropres à la consommation, de nombreuses enseignes de supermarchés ont retiré de leur rayons des denrées alimentaires pouvant être dangereuses pour leur clientèle. Il s'agit d'aliments contenant du sésame. Riches en lipides et en acide gras essentiels, les graines de sésames possèdent de nombreux bienfaits. Parmi eux : améliorer la micro circulation sanguine, agir contre la nervosité, ou encore aider à retrouver le sommeil (entre autres). Malheureusement pour les consommateurs, au début du mois de septembre 2020, les autorités sanitaires françaises ont été informées par la présence d’une substance chimique réputée dangereuse dans certaines graines de sésame. En effet, il semblerait que quelques unes d'entre elles présentent une teneur extrêmement élevée d'oxyde d’éthylène, un gaz incolore hautement toxique contenu dans certains pesticides et classé depuis 1994 parmi les agents cancérogènes pour l’homme par le Circ (Centre international de recherche sur le cancer). Raison pour laquelle plusieurs enseignes de la grande distribution telles que Carrefour, Auchan, Lidl ou encore Picard lancent un appel général, afin d'inviter leurs clients à rapporter d'urgence plus de 170 produits en magasin.

    Pas besoin de ticket de caisse pour rapporter les produits concernés

    Depuis le 9 septembre 2020, plusieurs alertes européennes et françaises ont été effectués concernant les graines de sésame en provenance d’Inde, contaminées par de l’oxyde d'éthylène. Parmi les aliments rappelés, on retrouve désormais des biscuits sésame de la marque Gerblé, le chocolat Excellence sésame grillé de chez Lindt, les barres granolas de Supernature, le mélange Mexicain vendu chez Monoprix ou encore les crackers au parmesan de Dukan. Pour ce faire, pas besoin du ticket de caisse, il suffit simplement de rapporter les produits concernés en magasin.

    Femme Actuelle


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  • Les Guignols étaient des visionnaires car tu peux remplacer la grippe aviaire par le Coronavirus dans le contexte et ça sera le même sketch !


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  • Tous les jours à 7h20, on parle éco et conso avec Marie Dupin, dans "Apolline Matin", sur RMC.

    Des brioches, des biscuits et même du houmous: un grand nombre de produits de consommation courante font l'objet d'un rappel et d'un retrait des rayons car ils sont contaminés à un pesticide interdit en Europe.

    Les autorités parlent ainsi d'une "contamination élevée" détectée dans des graines de sésame en provenance d'Inde. Elles contiennent des taux très élevés d'oxyde d'éthylène, un pesticide cancérogène mutagène et reprotoxique, et donc totalement interdit en Europe.

    Sa présence est cependant autorisée dans certains produits d'importation, dont les graines de sésame, mais dans la limite de 0,05 mg/kg. Or les taux retrouvés récemment étaient jusqu'à 1000 fois supérieurs à cette limite! C'est donc une contamination très élevée et très étendue: plus de 250 tonnes de graines de sésame.

    Quels produits sont concernés?

    La liste des produits est longue. Des brioches de la marque Pasquier qu'on trouve dans les placards de très nombreux parents, des canapés apéritifs et des sandwichs de chez Picard, des biscuits et des barres de céréales Granola, des biscuits Gerblé, et même des graines de sésame de la marque Bio Villages...  Mais également des tablettes de chocolat Lindt, des tourtes, des salades.

    Cette liste - disponible sur le site de la répression des fraudes - ne cesse s'allonger car tous les aliments concernés n'ont pas encore été identifiés. 

    Que doit-on faire si on a ces produits dans nos placards?

    Si vous avez acheté l’un des produits concernés, il faut le jeter ou le ramener en magasin afin d'obtenir un remboursement.

    Toute la question sera maintenant de connaitre l'origine de cette contamination...En attendant, le contrôle des pesticides présents dans le sésame en provenance d'Inde a été renforcé partout en Europe. 

    RMC


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  • C'est l'Institut Pasteur qui a fabriqué le virus tueur Covid19 ! Les preuves irréfutables ci-après : Toute la vérité sur le Covid19 et les vaccins anti-Covid19

    J'ai regardé, comme d'habitude, avant de la mettre cette video de 21m27 ! Libre à vous de la regarder ou pas !


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  • LIEN youtube pour cette video :

    https://www.youtube.com/watch?v=2RsGxmm_cqM&ab_channel=PhilippeWEBER

     

    car en dessous, vous avez plusieurs liens indiqués par Philippe Weber à aller voir !


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  • Dans le jargon médical, on parle d'événements indésirables associés aux soins. En langage profane, ce sont des accidents médicaux, c'est‑à-dire des événements inattendus qui perturbent ou retardent le processus de soin ou affectent directement la santé du patient à l'hôpital. Une étude de la Haute Autorité de santé (HAS) que le JDD a pu consulter en exclusivité en a recensé 186 directement liés à la pandémie de Covid-19 et à ses conséquences, particulièrement à la réorganisation du système de santé. Ils représentent 10% du total des accidents médicaux déclarés entre le 1er janvier et le 15 juin.

    Onze des 14 décès étaient évitables

    Quatorze décès sont à déplorer à leur suite : ils concernent des patients âgés de 63 à 92 ans. D'après les praticiens les ayant signalés, onze d'entre eux étaient évitables. On y recense par exemple le cas d'un patient à risque qui a été opéré trop vite d'une fracture. Si les blouses blanches n'avaient pas craint une contamination au virus, il serait certainement resté plus longtemps en observation comme le nécessitait son état. Il est finalement décédé après son retour précoce en Ehpad.

     

    Si plus d'un tiers de ces accidents n'ont heureusement pas eu de conséquence médicale dramatique, un quart d'entre eux ont tout de même entraîné une perte de chance et près d'un tiers ont conduit à des complications, dont quelques infections au Covid-19.

    D'après la HAS, plus de la moitié de ces 186 accidents sont liés "aux mesures organisationnelles" mises en place contre la pandémie et près d'un tiers à "des dysfonctionnements" au sein des équipes réorganisées à la hâte. Ils sont dus à "l'arrêt d'activité", aux "pertes de temps" de médecins surchargés ou encore à l'"impact psychologique avec du stress, voire [d']une anxiété sur la capacité à délivrer les meilleurs soins". Sans surprise, les Régions où ces drames ont été le plus fréquents correspondent à celles particulièrement touchées par la première vague : Grand-Est, Ile-de-France et Hauts-de-France.

    Le JDD.fr


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  • Elia Fontaine, 18 ans, amputée à cause de la Covid-19

    Tous les jeunes ne sont pas asymptomatiques lorsqu’ils contractent la Covid-19. A 18 ans, Elia Fontaine, une jeune belge passionnée de basket, a été infectée par le virus, qui lui a occasionné de graves complications. L’adolescente a dû être amputée pour garder la vie sauve. Découvrez son histoire.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/bien-etre/elia-fontaine-18-ans-amput%C3%A9e-%C3%A0-cause-de-la-covid-19/ar-BB1ay0ts?ocid=msedgntp#image=1


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  • Les fumeurs ont presque trois fois plus de risques de mourir prématurément d'une maladie cardiaque ou d'un accident vasculaire cérébral. De nouvelles recherches publiées dans le Journal of the American Heart Association ont mis en évidence les risques énormes du tabagisme, cette habitude étant responsable, selon les estimations, de 100.000 décès par maladie cardiovasculaire chaque année aux États-Unis.

    Des études antérieures avait déjà établi un lien entre le tabagisme et les décès prématurés, mais ces nouvelles découvertes se sont concentrées sur les maladies cardiovasculaires mortelles prématurées. Il a été constaté que les fumeurs actuels ont près de trois fois plus de risques de mourir prématurément d'une maladie cardiaque ou d'un accident vasculaire cérébral, ceux qui commencent à fumer pendant l'enfance étant les plus exposés.

    « Il était surprenant de voir à quel point ces résultats étaient cohérents avec nos recherches antérieures et avec d'autres études menées dans le monde entier, notamment au Royaume-Uni, en Australie et au Japon, tant en ce qui concerne les risques substantiels associés au tabagisme que les avantages pour la santé de l'arrêt du tabac. L'âge auquel une personne commence à fumer est un facteur important et souvent négligé, et ceux qui commencent à fumer à un jeune âge courent un risque particulièrement élevé de mourir prématurément d'une maladie cardiovasculaire... Faire en sorte que les gens arrêtent de fumer reste l'une des plus grandes priorités en matière de santé au niveau mondial », a déclaré l'auteur principal de l'étude, Blake Thomson, épidémiologiste à l'université d'Oxford.

    L'étude a analysé les données médicales de 390.929 adultes âgés de 25 à 74 ans, en examinant les antécédents médicaux, les habitudes de vie et les données démographiques des fumeurs et des non-fumeurs. Les données ont été recueillies entre 1997 et 2014 et les fumeurs ont été regroupés selon l'âge auquel ils ont commencé à fumer.

    58% des personnes participant à l'étude n'avaient jamais fumé, tandis que 23 % fumaient auparavant et 19 % fumaient toujours. Dans le groupe des fumeurs actuels, 19 % ont commencé à fumer entre 10 et 14 ans.

    Les scientifiques ont découvert que les personnes qui arrêtent de fumer avant 40 ans réduisent de 90 % le risque de décès prématuré dû à une maladie cardiovasculaire. Les données ont également montré que plus une personne arrête de fumer tôt, plus les bénéfices pour la santé sont importants. « Empêcher la prochaine génération de fumer peut sauver des vies, mais nous devons également souligner que le fait d'arrêter de fumer peut sauver des vies maintenant et dans les années à venir. En termes simples, les politiques de santé devraient viser à empêcher les jeunes de fumer et devraient communiquer clairement les avantages de l'arrêt du tabac à ceux qui fument, idéalement le plus jeune possible, et avant l'apparition d'une maladie grave », a conclu Blake Thomson.

    Cover Média

    Je vais essayer de fumer moins, mais je ne fume pas la cigarette mais la pipe avec un filtre de 9mm


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  • Cela fait peur !


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  • Le spécialiste est accusé d'avoir utilisé une méthode non conforme (et non validée en France) sur ses patients sans les en informer.

    C'est un fait-divers glaçant. À Gap, un chirurgien orthopédique - le docteur Gilles N. - est soupçonné d'avoir injecté illégalement du ciment dans les disques de la colonne vertébrale de patients. Au total, 87 personnes auraient servi de "cobayes" au médecin.

    Le chirurgien menait une "étude" sur ses patients en injectant du ciment

    L'enquête a démarré grâce au témoignage d'un autre chirurgien, le Docteur Raouf Hammami, travaillant lui aussi au sein du centre hospitalier intercommunal des Alpes du Sud. Il a alerté le parquet de Gap sur les agissements "étranges" de son confrère au début de l'année 2018.

    Dans ses propos, relayés par Le Parisien et sur RTL, il explique avoir découvert que ce chirurgien aux pratiques douteuses menait une "enquête" sur près de 87 patients. Or, ces travaux ont duré près de 2 ans - de 2015 à 2017.

    "Je suis tombé sur une étude menée entre 2015 et 2017 par ce collègue chirurgien, spécialiste du rachis, qui a expérimenté sur 87 patients une nouvelle technique, 'la cimentoplastie discale', en dehors de tout cadre légal. En France, on peut injecter du ciment ( en fait une sorte de résine) dans des vertèbres fragilisées pour les renforcer. Or le docteur N. a lui injecté ce ciment directement dans les disques de la colonne. Il peut y avoir des fuites de ciment et des complications au niveau des nerfs, des artères. Avec un risque vital en cas d’hémorragie", estime le docteur Hammami.

    Face à ces découvertes, le médecin décide rapidement de prévenir le directeur de l’hôpital, l'Agence Régionale de Santé (ARS), le Conseil de l'ordre mais aussi le procureur. L'enquête s'ouvre : le Dr Gilles N. est désormais jugé pour "faute grave délibérée" et "mise en danger de la vie d'autrui".

    Rappelons en effet que les patients ont subi cette intervention... à leur insu.

    C'est notamment le cas de Bruno Chevalier, âgé 53 ans, qui a fait "confiance" au chirurgien... mais qui le regrette amèrement aujourd'hui.

    "Depuis l'opération, j'ai beaucoup de douleurs. J'ai du mal à marcher. J'ai même été reconnu comme travailleur handicapé à 80%. J'ai dû être réopéré pour que l'on me retire le ciment qui a débordé. Mais aujourd'hui, il en reste encore. J'ai été pris pour un cobaye par le Docteur N. qui ne m'a jamais dit qu'il allait utiliser sur moi une nouvelle technique", déplore le chauffeur de car sur RTL.

    En quoi consistait l'opération ?

    Selon le Docteur Raouf Hammami, cette intervention consistait à "injecter du ciment dans les disques de la colonne vertébrale, sorte d'amortisseurs entre les vertèbres".

    Cette technique consiste habituellement à injecter un ciment dans une vertèbre, pour réparer une fracture ou soulager des douleurs... Mais pas dans un disque.

    Mais malgré la dangerosité de cette méthode "non validée" en France, le docteur N. continue d'exercer.

    Il faudra d'ailleurs récolter plus de "preuves" pour radier le chirurgien de l'Ordre des médecins, puisque, comme l'explique son avocat, Maitre Alexis Chabert : "Mon client considère que la technique de la cimentoplastie discale n'était pas innovante, qu'elle a été utilisée par d'autres confrères, notamment à l'étranger, mais aussi présentée dans des congrès médicaux".

    En attendant, la Société Française de Chirurgie Rachidienne s'est positionnée face à l'enquête en précisant "qu'en l'état actuel des connaissances, la technique de la Cimentoplastie Discale devait être considérée comme non validée en France".

    Médisite


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  • Emmanuel Macron garde contact avec Didier Raoult : "Il a eu raison avant tout le monde"

    Alors que la France est frappée de plein fouet par la deuxième vague de Covid-19, Emmanuel Macron serait toujours en contact avec Didier Raoult, révèle L'Express ce mercredi 28 octobre.

    Le 14 octobre dernier, Emmanuel Macron assurait à la télévision ne pas avoir "perdu le contrôle". Des propos qui, aujourd'hui, ne semblent plus d'actualité. Après avoir recouru au couvre-feu pour tenter de limiter la propagation de l'épidémie de Covid-19, d'aucuns considèrent que le président n'a plus d'autre choix que de reconfiner, ne serait-ce que localement, la population. De son côté, le chef d'Etat lui, pourrait demander conseil auprès de Didier Raoult, comme le révèlent nos confrères de L'Express ce mercredi 28 octobre.

    Alors que le célèbre épidémiologiste est attaqué de toute part, Emmanuel Macron, tout comme Nicolas Sarkozy, a toujours de l'estime pour son travail, et ce, notamment "parce qu'il considère que c'est lui qui a eu raison avant tout le monde sur les tests", note le quotidien. Le directeur de l'IHU de Marseille n'avait pourtant pas hésité à étriller la gestion de la crise sanitaire du gouvernement, estimant que le dépistage du Covid-19 a été organisé de façon "totalement archaïque."

    Emmanuel Macron a fait une "erreur" avec Didier Raoult

    "On n'a pas dit la vérité sur les tests", estimait encore Didier Raoult auprès de la commission d'enquête parlementaire au mois de juin 2020, "on n'a pas testé massivement alors qu'on en avait la capacité (...) je ne suis pas d'accord avec la décision qui a été prise de ne pas généraliser les tests." Des critiques dont Emmanuel Macron n'a semble-t-il pas pris ombrage… contrairement à son entourage, qui n'a pas de mots assez durs pour qualifier le médecin, mais également la visite surprise du président à l'IHU de Marseille en avril dernier, qu'il considère comme étant une véritable "erreur".

    Gala


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  • La visière portée par Martine Wonner (ex LREM) interdite à l'Assemblée nationale

     Richard Ferrand a rappelé, mardi, l’obligation du port du masque en séance et en commission couvrant la « bouche et le nez », après des critiques contre la députée du Bas-Rhin

    La députée du Bas-Rhin (Libertés et territoires), Martine Wonner, fait des remous à l’Assemblée nationale. Après les critiques contre sa demi-visière transparente, le président de la chambre basse, Richard Ferrand, a rappelé, mardi, l’obligation du port du masque en séance et en commission couvrant la « bouche et le nez ».

    « L’usage des visières n’offrant pas de protection suffisante doit être écarté, a défendu Richard Ferrand, lors de la conférence des présidents. Il appartiendra aux présidents de groupe de rappeler cette règle à leurs collègues et aux présidents de séance et de commissions de s’assurer de son respect. »

    Des collègues se plaignent

    Plusieurs parlementaires avaient aussi dénoncé le port de cette visière, soutenant son interdiction, comme le non-inscrit Matthieu Orphelin sur Twitter.

    La députée ex-LREM avait déjà fait polémique, samedi, en demandant dans l’hémicycle la différence entre l’épidémie de Covid-19 et une « énorme grippe ». « Avant de dire que c’est une grosse grippe, réfléchissez, vous êtes médecin, c’est encore plus grave », l’avait recadré Olivier Véran, ministre de la Santé.

    Médecin psychiatre, Martine Wonner a aussi déclaré que « le port du masque ne sert strictement à rien » et que sa visière était « beaucoup plus efficace ».

    20 Minutes


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  • Le nombre de contaminations en 24 heures a battu un nouveau record avec plus de 45 000 cas, tandis que le nombre de patients en réanimation atteint près de 2500 malades. 

    Pas d'amélioration en vue sur le plan sanitaire: 45.422 nouveaux cas de Covid-19 ont été enregistrés en 24 heures, un nouveau record, tandis que le pression s'accentue encore en réanimation, avec près de 2.500 cas graves recensés dans ces services, selon Santé publique France.

    Le nombre de contaminations quotidien a crû de 3.390 par rapport à vendredi, jour où la France a franchi la barre du million de cas confirmés depuis le début de l'épidémie.

    Le bilan des morts s'est également alourdi, avec 138 nouveaux décès enregistrés en 24 heures (contre 298 la veille), l'épidémie ayant tué au moins 34.645 personnes dans le pays.

    Le taux de positivité des tests poursuit sa progression à 16%, contre 15,1% la veille, et seulement 4,5% début septembre.

     

    Challenges

    Faîtes attention les vieux !


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  • Les autorités refusent au professeur Raoult un usage plus étendu de l’hydroxychloroquine

    La position de l’Agence nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) est claire : pas question d’autoriser largement l’hydroxychloroquine en France contre le Covid-19. L’agence a refusé au professeur Didier Raoult, ce vendredi 23 octobre, une utilisation plus étendue de cette molécule, qui n’a toujours pas fait la preuve de son efficacité.

    « Nous ne pouvons pas répondre favorablement à la demande de RTU (recommandation temporaire d’utilisation) de l’hydroxychloroquine dans la prise en charge de la maladie Covid-19 », indique l’ANSM dans un point d’information mis en ligne sur son site internet vendredi 23 octobre.

    L’hydroxychloroquine est utilisée pour d’autres maladies

    « A ce jour, les données disponibles, très hétérogènes et inégales, ne permettent pas de présager d’un bénéfice de l’hydroxychloroquine, seule ou en association, pour le traitement ou la prévention de la maladie Covid-19 », tranche-t-elle.

     

    L’hydroxychloroquine est commercialisée en France par le laboratoire Sanofi sous le nom de Plaquenil, mais pour d’autres maladies comme des rhumatismes ou certains lupus.

    La prescription par un médecin d’un médicament hors des indications prévues par l’autorisation de mise sur le marché (AMM) doit se faire « au cas par cas », en informant le patient des risques encourus et du non-remboursement, et la mention « hors AMM » doit figurer sur l’ordonnance.

    Raoult dénonce un « deux poids deux mesures »

    La recommandation temporaire d’utilisation (RTU), qui donne accès au remboursement, vise une prescription hors AMM massive, au-delà de la prescription au cas par cas. D’où la demande l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection, dirigé par Didier Raoult, qui a de très nombreux patients.

    Un « deux poids deux mesures », a réagi Didier Raoult sur Twitter après ce refus, accusant l’ANSM de favoriser l’antiviral remdesivir (Gilead) au détriment de l’hydroxychloroquine.

    Le Veklury, marque commerciale du remdesivir, a reçu début juillet une autorisation conditionnelle de mise sur le marché européen pour les formes graves de Covid-19 et il bénéficie en France d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU) de cohorte, une autre procédure permettant à certaines catégories de malades d’utiliser des médicaments pas encore mis sur le marché.

     

    L'OBS

    On veut juste que les labos pharmaceutiques  se fassent de l'argent sur le dos du Coronavirus ! Les malades, ils s'en foutent !


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  • Invité de BFM Grand Lille, le médecin infectiologue Serge Alfandari alerte sur la situation du service de réanimation de l'hôpital de Tourcoing "plein à craquer", avec la moitié de patients Covid.

    Dans le Nord et le Pas-de-Calais, deux départements qui ont basculé en alerte maximale jeudi, le nombre de cas de Covid-19 grimpe en flèche, exerçant une forte pression sur les hôpitaux de la région. La situation est même "proche de la catastrophe" au centre hospitalier de Tourcoing, dans le Nord, selon les mots de Serge Alfandari, médecin infectiologue de l'établissement.

     

    "C'est extrêmement difficile, le service de réanimation est plein à craquer. On est passé de 16 lits à 22 lits. Malgré cela tous les lits sont pleins, la moitié sont remplis par des patients Covid", a-t-il expliqué sur le plateau de BFM Grand Lille ce vendredi.

    Pire encore, "le prochain patient qui a besoin de réanimation, on ne pourra pas le prendre en charge et on sera obligé de le transférer", a ajouté le médecin, qui avoue ne pas savoir "comment on va faire si beaucoup de patients continuent à arriver et ont besoin de réanimation".

    Un couvre-feu trop tardif?

    Face à cet afflux de patients, l'ARS a activé le plan blanc dans les hôpitaux dans la métropole lilloise. Une mesure qui permet notamment de déprogrammer les opérations non-urgentes ou de reporter les congés des soignants.

    Malgré cela, certains patients qui ne sont pas touchés par le Covid continuent d'arriver au centre hospitalier de Tourcoing et nécessitent des soins urgents. "

    "La deuxième vague est là (...) La grosse différence avec la première c'est qu'on a tous les patients qui ont des pathologies non-Covid qui ont besoin des pris en charge. Les appendicites, les fractures, les infractus... Et ceux-là, si on n'a pas de place, ça va être catastrophique", poursuit Serge Alfandari.

    Le médecin infectiologue de Tourcoing craint par ailleurs que "le couvre-feu ait été mis en place trop tard". "Il ne faut pas le rater", a-t-il cependant alerté, appelant à "limiter les contacts au maximum et limiter le nombre de personnes que l'on rencontre en même temps".

    BFM.TV


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  • Un vaste coup de filet en France après le démantèlement d’un trafic de stéroïdes anabolisants

    Deux laboratoires clandestins démantelés et 24 personnes interpellées : c’est le bilan d’un vaste coup de filet mené début octobre en France contre un réseau de trafics de stéroïdes, a annoncé ce jeudi 22 octobre la gendarmerie.

    L’enquête, menée par les gendarmes de l’Oclaesp (Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique) et le service d’enquête de la justice fiscale (SEJF), la police fiscale de Bercy, portait sur « la fabrication, l’importation et la commercialisation de stéroïdes, d’anabolisants et d’hormones de croissance », explique la gendarmerie dans un communiqué.

    Des investigations jusqu’en Grèce

    En décembre 2019, les investigations menées conduisent les enquêteurs jusqu’en Grèce où, grâce aux services d’Europol, des laboratoires et entrepôts clandestins sont démantelés et les principaux commanditaires du trafic interpellés.

    Début octobre, une vaste opération en France a permis l’interpellation de 24 personnes ayant commandé et revendu des centaines de produits anabolisants. Les produits stéroïdes sont notamment utilisés dans les milieux culturistes.

    Pas de profil type

    « Il n’y a pas de profil type, mais on retrouve des personnes qui font du sport en salles, pour le loisir plutôt », explique la gendarmerie. Deux laboratoires, dans les Landes et en Picardie, sont également démantelés.

    Lors des perquisitions, 1 125 fioles d’anabolisants, 249 ampoules, 4 615 comprimés et 3 062 grammes de produits interdits ont été saisis.

    Des stérilisateurs, des centrifugeuses, des fioles vides, des étiquettes et des produits chimiques, nécessaires à la fabrication des produits, ont également été découverts et feront l’objet d’expertises.

    Des avoirs criminels (bitcoin, numéraire, voitures) ont été saisis, dont les montants sont encore en cours d’évaluation, précise la gendarmerie.

    Ouest-France


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