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    FIN DE MON BLOG EKLA

    J'aurai 85 ans le 9 janvier 2022 et avec mon AVC le 1er avril 2020, je suis très fatiguée et je souffre beaucoup à certains moments. J'ai aussi d'autres problèmes de santé. J'ai donc pris la décision d'arrêter mon blog. Merci beaucoup à toutes celles et à tous ceux qui ont commenté mes articles.

    Je vous souhaite le meilleur pour l'avenir.

    Certaines personnes m'encouragent à continuer, je ne sais plus que faire !


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  •  Télématin : suite à la tentative de suicide d'une salariée, Delphine Ernotte sort du silence

     

    Alors qu'une salariée de "Télématin" a récemment fait une tentative de suicide, la présidente de France Télévisions Delphine Ernotte est sortie du silence.

    Les temps sur durs à "Télématin". Il est peu de dire que l'ambiance n'est pas au beau fixe pour les salariés de l'émission de France 2. L'année 2019 avait déjà été marquée par une multitude de départs motivés par de mauvaises conditions de travail. Preuve de ce malaise persistant qui flotte depuis plusieurs mois, une salariée a fait une tentative de suicide la semaine dernière, "épuisée par la situation" . Plusieurs salariés et pigistes ont rapporté au blog de Jean-Marc Morandini "une ambiance tendue dans les coulisses". Principale cause de ce contexte salarial délicat, des transferts qui se font vers une filiale de production du groupe, FVStudio. 

    Face à cette situation de crise, Delphine Ernotte est sortie du silence a exprimé son intention d'assouplir les décisions de la direction. "Ce drame arrive dans un contexte décrié ; je maintiens que le renforcement de notre filiale demeure un objectif stratégique, mais dans ce contexte d’incompréhension et cette escalade de tensions, je décide de stopper ce transfert automatique. La production de ces émissions sera transférée, mais les salariés pourront choisir", a tempéré la présidente de France Télévisions.

    Télé7jours


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  • L’établissement dit avoir agi « par désespoir », lassé de voir le comportement agressif des clients

    « L’agression de trop ». Un restaurant asiatique de Givors (Rhône) a décidé de « se faire justice » en publiant sur les réseaux sociaux la photo partielle de deux clientes. Deux mineures qui souhaitaient partir sans payer samedi soir.

    Les deux adolescentes ont violemment poussé une employée enceinte qui tentait de les retenir physiquement, indique ce mercredi Le Progrès. Révoltée, la gérante des lieux dit avoir agi par « désespoir » et assume.

    « Mais jusqu’où peut-on aller pour pouvoir partir sans payer ? Comment peut-on laisser passer cette violence gratuite et intentionnelle ? » s’interroge le restaurant sur sa page Facebook, rappelant que l’employée a dû subir des examens à l’hôpital. Elle indique que le personnel « a été plusieurs fois victime de violences [verbales et physiques] depuis 2017 ».

    20 Minutes


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  • L’apprenti de 28 ans était en reconversion au lycée professionnel où le drame a eu lieu ce mardi

    Un jeune de 28 ans qui suivait un parcours de reconversion au lycée professionnel de Revel, dans la Haute-Garonne, a été victime d’un terrible accident ce mardi matin alors qu’il manipulait une machine à bois. Elle a sectionné son bras droit au-dessus du poignet, indique à 20 Minutes le service départemental d’incendie et de secours ( SDIS 31​).

     

    Le drame s’est produit vers 10h45. L’apprenti a été dans un premier temps pris en charge par l’infirmière de cet établissement spécialisé dans les métiers du bois et de l’ameublement, puis par les pompiers de Revel qui ont décidé de l’héliporter « en urgence absolue » vers le CHU de Purpan à Toulouse. Son pronostic vital n’était pas engagé et les premiers intervenants ont eu le réflexe de placer sa main dans une poche de glace, au cas où une greffe serait possible.

    20 Minutes


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  •  La tante et les cousins de la jeune fille de 16 ans l’ont frappée à coups de ceinture et de cuillère en bois parce qu’elle fréquentait un garçon

    Le 12 octobre, dans un lycée nord-isérois, des lycéens se sont inquiétés des bleus qui couvraient l’une de leurs camarades. Celle-ci, âgée de 16 ans a fini par se confier auprès des responsables de l’établissement : elle a été frappée le week-end précédent par sa famille, sous le prétexte qu’elle fréquenterait un garçon, rapporte Le Dauphiné.

    Des coups et des gifles

    La jeune fille a été régulièrement frappée à coups de ceinture et de cuillère en bois par son cousin et sa cousine, tous deux majeurs, devant la mère de ceux-ci, qui l’a giflée, tirée par les cheveux et déshabillée. L’adolescente vivait depuis l’été chez sa tante parce qu’elle ne s’entendait pas avec sa mère.

    Le tribunal judiciaire de Vienne a confié une enquête à la gendarmerie de Bourgoin-Jallieu, et les trois accusés ont été placés en garde à vue puis déférés au parquet de Vienne. Placés sous contrôle judiciaire avec interdiction d’approcher la jeune fille, ils ont été renvoyés à une audience le 14 janvier 2022. La jeune fille, qui a eu deux jours d’ITT, a fait l’objet d’une mesure de placement.

    20 Minues


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  • Un ancien infirmier a été déclaré coupable des meurtres de quatre patients à qui il a injecté de l’air dans le cerveau alors qu’ils se remettaient d’opérations au cœur.

    William George Davis a été déclaré coupable mardi de meurtres. Cet ancien infirmier du Tyler's Christus Trinity Mother Frances Hospital, au Texas, a tué quatre de ses patients en injectant de l’air dans leur cerveau alors qu’ils se remettaient d’opérations au cœur. Le site Internet du magazine «People» indique que les faits se sont produits entre 2017 et 2018, année au cours de laquelle il a finalement été renvoyé. Les victimes, John Lafferty, Ronald Clark, Christopher Greenaway et Joseph Kalina, ont toutes subies des lésions cérébrales dues à l’air injecté.

     

    Cité par le «Tyler Morning Telegraph», le docteur William Turner, qui a opéré trois des quatre patients, a expliqué que l’air avait été injecté en le faisant passer à travers un cathéter artériel qui permet en général de vérifier la pression artérielle et prélever des échantillons sur les malades. D’après lui, «il est inconcevable» que cet air se soit retrouvé dans le cerveau des patients au cours de leur chirurgie. Les IRM réalisées sur les patients ont montré que les lésions cérébrales avaient bien été causées par de l’air et les médecins ont donc exclu toute autre cause. «Il semble qu’un hôpital soit l’endroit idéal pour se cacher lorsqu’on est un tueur en série», a déclaré à l’ouverture du procès le procureur du comté de Smith. «C’est simple : il aime tuer les gens. Il a adoré aller dans leur chambre et leur injecter de l’air. Si vous regardez une vidéo du jour où Joseph Kalina s’est retrouvé face à lui, vous le voyez être debout en train de surveiller les moniteurs et d’attendre. C’est parce qu’il a aimé ça», a-t-il ajouté.

    L'avocat de la défense de Davis, Phillip Hayes, a de son côté fait valoir que son client était utilisé comme bouc émissaire par l’hôpital qui avait de prétendus problèmes de sécurité. Phillip Hayes a déclaré que Davis avait été inculpé uniquement parce qu'il était présent lorsque les décès sont survenus, rapporte Associated Press. Le procureur envisage de requérir la peine de m

     
    Paris Match

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  • Sur les 800 passagers, 500 ont été redirigés vers des bus affrétés par la SNCF pour se rendre à leur destination

    Un homme de 70 ans est mort percuté par un train, ce dimanche, à hauteur de Notre-Dame-de-la-Mer près de Bonnières-sur-Seine ( Yvelines), rapporte 78actu. Le TER Paris-Le Havre impliqué n'a pu repartir que quatre heures plus tard. Au total, 800 passagers se trouvaient à bord.

    L'accident s'est produit vers 12h15. La gendarmerie s'est déplacée pour effectuer les premières constatations. Il s'agirait d'un suicide, précisent nos confrères. Le corps de la victime a été pris en charge par les pompiers. Une déviation a été mise en place pour permettre d'évacuer les voyageurs.

    Des bus affrétés par la SNCF

    « L’évacuation s’est déroulée dans le calme », précise la gendarmerie. Elle a été opérée par les pompiers et le Samu. Des plateformes métalliques utilisées habituellement lors des accidents de poids lourds ont été installées pour évacuer les passagers. Notamment pour les personnes âgées, les femmes enceintes ou les personnes en situation de handicap.

    Des bus ont été affrétés par la SNCF pour conduire 500 voyageurs vers la Normandie. Les 300 personnes restantes sont reparties à bord du train, plus de quatre heures après l'accident. Ce dernier a entraîné de nombreuses perturbations sur le réseau ferroviaire. 

    20 Minutes


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  • Une altercation qui s’est déroulée vendredi 15 octobre dans un tram de Lyon (Rhône) a été vue des centaines de milliers de fois sur les réseaux sociaux. Un homme qui était en train de fumer dans une rame près d’un enfant en bas âge s’en est violemment pris à un autre qui lui avait fait la remarque. Bruno Bernard (EELV), le président du Sytral et de la métropole, a déploré un acte « inqualifiable » 

    Une vidéo tournée dans un tram de Lyon (Rhône) et diffusée dimanche 17 octobre par un internaute, a provoqué un tollé sur les réseaux sociaux. Celle-ci montre une altercation et un échange de coups entre deux hommes, rapporte Le Progrès. Dans l’après-midi du lundi 18 octobre, la vidéo de 38 secondes avait déjà été visionnée plus de 250 000 fois.

    L’un des hommes était en train de fumer dans la rame, près d’une poussette dans laquelle se trouvait un bébé âgé de deux mois, d’après ce qu’on peut entendre sur la séquence violente, que Ouest-France a choisi de ne pas relayer. Un homme lui a demandé de l’éteindre, puis le fumeur s’est mis à frapper son interlocuteur. Des passagers du tram se sont ensuite interposés.

    « L’acte est inqualifiable »

    La compagnie lyonnaise de transports TCL a confirmé auprès de nos confrères que la scène avait eu lieu sur la ligne T2, vendredi 15 octobre à minuit, dans le VIIIe arrondissement de la ville. La Direction de la Sécurité publique a quant à elle précisé qu’aucune plainte n’avait été déposée à la suite des faits, ajoute le quotidien régional.

    « L’acte est inqualifiable. Une enquête est en cours. Les images de vidéosurveillance sont à disposition de la justice », a réagi Bruno Bernard (EELV), président du syndicat des transports (Sytral) et de la Métropole, selon des propos rapportés par 20 Minutes. Celui-ci a également affirmé qu’il s’exprimerait sur la question dans les jours à venir. Alexandre Vincendet (LR), maire de Rillieux-la-Pape, a de son côté appelé à un débat sur la sécurité des usagers dans les transports, note Le Progrès.

    Ouest-France


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  • "Je n'ai pas de leçon à recevoir, ma femme est Sénégalaise !" : ce célèbre humoriste adoré de tous les Français va voter pour Marine Le Pen en 2022 !

    "Je n'ai pas de leçon à recevoir, ma femme est Sénégalaise !" : ce célèbre humoriste adoré de tous les Français va voter pour Marine Le Pen en 2022 !

    Voilà un discours surprenant tenu par un très célèbre humoriste français sur l'actualité politique ! Invité dans "L'instant de luxe" sur Télé Star Play, Philippe Chevallier a dévoilé pour qui il compte voter à quelques mois de l'élection présidentielle de 2022. Alors que les candidats à la présidentielle ont débuté leur campagne, Philippe Chevallier s'est montré très clair sur son intention de vote. Et celui-ci se dirige plutôt vers Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national. "Pour l'instant, je mettrai le bulletin de vote pour Marine Le Pen. Je trouve qu'il y a une base populaire. Je trouve qu'il y a des gens qui souffrent. J'ai peur du mondialisme, j'ai peur de la société qu'on nous propose", explique-t-il face à Jordan Deluxe. Et d'ajouter : "Je suis souverainiste. Etant souverainiste, je ne peux pas être européiste. Donc je ne peux pas être du côté d'Emmanuel Macron. C'est la première fois que je parle de politique parce que j'estime qu'un artiste n'a pas à s'engager. Je trouve qu'on est dans une phase où il y a vraiment des gens qui en ont ras-le-bol".

    "J'ai un peu mal pour mon pays"

    L'humoriste a aussi dévoilé la raison pour laquelle il n'avait jamais évoqué publiquement ses opinions politiques. Et pour cause, son acolyte Régis Laspalès ne souhaitait pas que le duo qu'il forme ensemble soit mêlé à la vie politique française. "J'en ai pas parlé avant parce que Régis Laspalès n'aurait pas voulu que l'on parle de ça", révèle Philippe Chevallier avant de tenir des propos surprenants qui ont déjà fait couler beaucoup d'encre : "J'ai un peu mal pour mon pays. Je dis que, pour aimer les autres, il faut s'aimer soi-même. Je trouve qu'on ne s'aime pas assez soi-même. Vous savez, ma femme est Sénégalaise. Donc là dessus je n'ai pas de leçon à recevoir". Philippe Chevallier n'est pas la seule célébrité à soutenir Marine Le Pen. En 2017, lors des précédentes élections présidentielles, la femme politique avait reçu les soutiens du comédien Franck de Lapersonne et de Brigitte Bardot.

    Public


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  • Arlette Laguiller, 81 ans, donne de ses nouvelles : "Je ne suis pas rangée des voitures"

    Iconique porte-parole de Lutte Ouvrière, sextuple candidate à l'élection présidentielle, Arlette Laguiller est sortie de son habituelle réserve médiatique pour nos collègues du Point, ce lundi 18 octobre.

    En retrait, mais pas à la retraite de la vie politique. Pas question d'arrêter de militer pour Arlette Laguiller, même à 81 ans, et même si elle n'est plus la tête d'affiche de Lutte Ouvrière. La mythique candidate d'extrême gauche a rencontré nos collègues du Point, l'occasion pour elle de rappeler au monde politique français qu'elle n'en a pas fini avec la lutte. "Je ne suis pas rangée des voitures. Je fais toujours partie de la direction de LO, même si je vais de moins en moins en manif et aux distributions de tracts", proclame-t-elle. Elle fait donc toujours partie des têtes pensantes de Lutte Ouvrière, elle qui a laissé sa place en 2008 à Nathalie Arthaud.

     

    "Militer n'a jamais été un sacerdoce. Si ça m’avait pesé, j’aurais arrêté", poursuit l'infatigable militante, qui partage son bureau au siège du parti avec celle qui a pris sa suite. Elle se fait pourtant discrète, à l'intérieur et à l'extérieur de l'organisation. Elle est pugnace, constante avec ses six candidatures consécutives à l'élection présidentielle entre 1974 et 2007, mais aussi une pionnière : car en 1974, cette employée du Crédit Lyonnais est la première femme à jamais se présenter à l'élection présidentielle.

    "Le féminisme est plus à la mode que le trotskisme" regrette Arlette Laguiller

    Et quand sans relâche, elle se persiste, elle remporte des relatifs succès électoraux, notamment en dépassant deux fois le seuil des 5 % de voix au premier tour de l'élection présidentielle, en 1995 et en 2002Deux succès de suite, qui ont permis au parti de pouvoir être remboursé des frais engagés pour la campagne. Selon l'ancienne porte-parole, c'est à partir de cette élection que la réputation d'un parti "secret, voire sectaire", comme l'écrit Le Point, commence à essaimer : "On nous a fait cette réputation à partir de 1995. Parce qu’un courant révolutionnaire qui dépasse les 5 %, ça pose problème", juge-t-elle avec le recul des années.

    Arlette Laguiller en compagnie de Xavier Mathieu et Nathalie Arthaud, dans la manifestation du 1er-Mai, en 2017 AGENCE / BESTIMAGE

    Depuis que son adresse "travailleurs, travailleuses", devenue inséparable de sa personne, ne résonne plus dans les meetings de Lutte Ouvrière, le parti n'a fait que chuter dans ses résultats électoraux, tombant à 0,56 % des voix en 2012 et 0,64 % en 2017. Mais il en faut plus pour assécher la verve de celle qui a consacré sa vie à son engagement, sans regrets. "C’est sûr qu’avoir une vie de famille avec des enfants, c’est un peu un frein pour militer, à moins d’être riche, d’avoir des bonnes ou des nounous, mais, dans ce cas-là, il y a peu de chances que vous militiez à LO", résume-t-elle. Si elle n'a pas eu d'enfants, c'est "par choix", elle qui est n'a "jamais eu envie de se marier", toute engagée qu'elle est dans le "combat féministe" en plus de son engagement trotskiste. "J’ai toujours essayé de mener les deux de front, mais je crois qu’on a davantage retenu le combat féministe", semble-t-elle presque regretter, avant de balayer d'un haussement d'épaules : "Le féminisme semble plus à la mode que le trotskisme". Et du haut de ses 81 ans, Arlette Laguiller n'a que faire de la mode, militante ou politique.

    GALA


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  • Pas un commentaire, je ne savais pas que personne n'aimait Aznavour, maintenant je sais !!!


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  • Un homme s’est noyé dimanche soir à Nancy (Meurthe-et-Moselle) après avoir sauté dans la Meurthe.

    Âgé de 30 ans, il était recherché depuis le 11 juillet, date à laquelle il s’était évadé de la prison de Saint-Mihiel (Meuse). Incarcéré pour purger une peine de huit années de prison, pour des violences aggravées et trafic de stupéfiants, auxquels s’ajoutaient des délits routiers, il n’avait pas regagné sa cellule après une permission de sortie, selon le récit de France Bleu Grand Est. Il faisait depuis l’objet d’un mandat d’arrêt émis par un juge d’instruction de Bar-le-Duc.

    Fausse identité

    Le Procureur de la République de Nancy, François Pérain, a expliqué que le fugitif a été repéré dimanche soir vers 23 heures par un équipage de la BAC, à Saint-Max. Selon l’Est républicain, il venait de descendre d’une voiture pour aller récupérer un sac auprès du conducteur d’une autre, avant de reprendre sa place côté passager dans la première voiture, qui a redémarré. Au feu rouge suivant, les policiers ont voulu contrôler l’identité des deux hommes.

    Le fugitif a donné une fausse identité avant de prendre à pied la direction de la Meurthe. Là, il a sauté du pont qui relie Saint-Max à Nancy au dessus de la Meurthe. Un autre équipage de policiers a tenté d’aider l’homme, qui peinait à nager dans la rivière. Malgré l’intervention des sapeurs-pompiers, les secours n’ont pu que constater son décès. Une autopsie doit être pratiquée. La police judiciaire de Nancy a été chargée de l’enquête.

    Le Parisien


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  • La gendarmerie appelle les professionnels à la plus grande vigilance

    La gendarmerie évoque « plusieurs centaines de vols depuis le début de l’année ». En Bretagne, les véhicules utilitaires des artisans sont devenus une cible de choix. Pour faire main basse sur l’outillage stocké dans les fourgonnettes, ces derniers ont un mode opératoire bien rodé et très rapide. « Ils percent un trou au-dessous de la serrure de la porte arrière du véhicule ou arrachent le barillet de celle-ci, pénètrent dans l’habitacle et dérobent l’intégralité des équipements », détaillent les gendarmes.

     

    Ils agissent souvent de jour, profitant notamment de la pause du midi pour pénétrer dans les véhicules stationnés sur la voie publique ou sur les chantiers. Des vols ont également été signalés la nuit devant les domiciles ou dans les cours des entreprises.

    Le matériel volé revendu très rapidement

    La majorité est l’œuvre de bandes organisées. Une fois le matériel dérobé, elles le revendent très rapidement dans des dépôts-ventes, sur des sites Internets et autres marchés parallèles. Face à la recrudescence des délits, les gendarmes bretons alertent les artisans, les invitant à la plus grande vigilance.

    Ils leur conseillent notamment de « stationner le véhicule de manière à ce que la porte arrière se trouve contre un mur et qu’on ne puisse pas y accéder », de « pauser une alarme sur le véhicule » ou de « limiter la quantité de matériel stocké à l’intérieur du véhicule ». Les gendarmes les invitent aussi à « recenser et à conserver les numéros de série des matériels achetés au sein de l’entreprise ».

    20 Minutes


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  • Cameroun : un gendarme lynché à mort par une foule en furie après avoir abattu une fillette de 4 ans

    Une fillette de quatre ans a été tuée par un gendarme le 14 octobre à Buea, dans le sud-ouest du Cameroun. Elle a été touchée par une balle après que l’officier a tiré sur un véhicule dont le conducteur refusait de s’arrêter pour un contrôle. Après l’incident, le gendarme a été lynché à mort par une foule en colère.

    Les contrôles sont monnaie courante dans cette région anglophone du Cameroun où un conflit armé oppose les séparatistes anglophones de l’Ambazonie aux forces gouvernementales.

    Une foule de personnes marchant dans les rues de Buea et agitant des branches de feuilles. En première ligne, un homme tient le corps de la jeune Caro Louise Ndialle, qui a reçu une balle dans la tête par un gendarme se trouvant sur un poste de contrôle le long de la route. Les vidéos de la foule en colère ont été partagées sur les réseaux sociaux.

    LIEN pour  suite de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/cameroun-un-gendarme-lynch%C3%A9-par-une-foule-en-furie-apr%C3%A8s-avoir-abattu-une-fillette-de-4-ans/ar-AAPFwZH?ocid=msedgntp


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