• "Il y a des têtes qui vont tomber, ça va leur faire tout drôle"

    Un individu a menacé de mort Eric Zemmour et Marine Le Pen dans une vidéo qui a circulé ce vendredi sur les réseaux sociaux.

    L'homme se définit comme un " ressortissant marocain", et évoque la colonisation française au Maghreb en fustigeant le peuple français qui "disent aujourd'hui comment tu dois vivre et comment tu dois agir". 

    "Marine Le Pen, elle passera pas, ni (Eric) Zemmour |...] On va tous se réunir inch'allah et on va leur couper la tête comme à l'époque du prophète", a-t-il lancé.

    "Il y a des têtes qui vont tomber, ça va leur faire tout drôle", a-t-il conclu.

    Selon CNews, les équipes d'Eric Zemmour auraient demandé au Ministère de l'intérieur un renforcement de la sécurité du potentiel candidat à la présidentielle qui pourrait ainsi devenir une cible et l'essayiste n'exclut pas de porter plainte.

    Marine Le Pen, de son côté, a affirmé qu'elle était "habituée aux menaces de mort. Ce n'est pas parce que je ne me plains pas qu'elles n'existent pas".

    i24News


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  • Ce Jamel Debbouze m'énerve !


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  • Jean Castex a rendu hommage ce samedi 16 octobre au professeur Samuel Paty, tué il y a un an jour pour jour pour avoir montré en classe des caricatures de Mahomet, en le présentant comme « un serviteur de la République (…) victime du terrorisme islamiste et de la lâcheté humaine ».

    Samuel Paty a été « frappé à mort dans les conditions les plus abjectes qui soient au nom de l’obscurantisme le plus barbare, tout simplement parce qu’il remplissait sa mission dans un de ces collèges de France », a affirmé le chef du gouvernement lors d’un hommage au ministère de l’Education où une plaque a été inaugurée.

    « Rendre hommage à Samuel Paty c’est rendre hommage à la République », a-t-il ajouté aux côtés du ministre Jean-Michel Blanquer et en présence de la famille de la victime et des anciens ministres de l’Education Vincent Peillon, Luc Chatel, Jack Lang, Jean-Pierre Chevènement, Luc Ferry, Lionel Jospin, Najat Vallaud-Belkacem et Benoît Hamon.

    « Rien ne saurait être pire que l’oubli », a insisté Jean Castex, partageant son émotion face à la famille de l’enseignant d’histoire-géographie, sauvagement assassiné le 16 octobre 2020 pour avoir montré des caricatures de Mahomet à ses élèves lors d’un cours sur la liberté d’expression.

    Sa famille reçue à l’Elysée

    « Nous devons tous les jours rester fidèles à la mémoire de Samuel Paty en nous engageant toutes et tous à servir et à défendre aux côtés de nos enseignants, que nous avons le devoir de ne pas laisser seuls face à ces circonstances, ces valeurs fédératrices et plus modernes que jamais inscrites au frontispice de nos écoles qui ont pour nom liberté, égalité fraternité », a-t-il déclaré.

    « Samuel Paty a été victime du terrorisme islamiste et de la lâcheté humaine (…) Rendre hommage au professeur Paty, c’est aussi faire prospérer plus que jamais le projet républicain »« le plus prometteur rempart contre toutes les barbaries ».

    Un an jour pour jour après son assassinat, des hommages au professeur Samuel Paty ont lieu samedi dans le Val-d’Oise où il vivait, dans les Yvelines où il enseignait, et à Paris où sa famille sera reçue à l’Élysée.

    La plaque inaugurée au ministère de l’Education porte l’inscription « hommage à Samuel Paty, 18 septembre 1973 - 16 octobre 2020, professeur d’histoire-géographie et d’enseignement moral et civique. Assassiné par un terroriste islamiste pour avoir enseigné et défendu les valeurs de la République dont la liberté d’expression ».

    L'OBS

    L'imam Hassen Chalghoumi appelle les musulmans de France à rendre hommage à Samuel Paty : https://www.youtube.com/watch?v=4mZ39foRvb0&ab_channel=Europe1


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  • Eric Zemmour: "Bernard-Henri Levy est un traître qui est toujours contre la France et un fabricant d'antisémitisme" 


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  • À Clermont-Ferrand, une femme de 81 ans a été tuée jeudi 14 octobre après avoir été percutée par une motocross passée au feu rouge. Le chauffard et son passager ont pris la fuite. Leur moto a été retrouvée brûlée.

    Une femme de 81 ans est décédée jeudi 14 octobre au soir à Clermont-Ferrand après avoir été percutée par une motocross sur un passage piéton alors que le feu était rouge, a-t-on appris vendredi de source policière.

    Les faits se sont produits vers 19 h 30 dans le quartier de Croix de Neyrat, un grand ensemble du nord de la ville, ont indiqué les pompiers.

    Le chauffard et son passager en fuite, la moto retrouvée brûlée

    La victime traversait sur un passage protégé par un feu rouge, à proximité d’une gendarmerie, quand elle a été percutée par une motocross sur laquelle se trouvaient deux personnes, a précisé la police.

    Transportée à l’hôpital, la femme y est morte vers 22 h.

    La Sécurité publique est chargée de l’enquête. Le chauffard et son passager ont pris la fuite mais leur moto a été retrouvée brûlée. Un appel à témoins sera lancé dans la journée.

    Ouest-France


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  •  La propriétaire des deux chiens a été interpellée et placée en garde à vue

    Un jeune homme de 28 ans aurait été violemment attaqué par les deux chiens d’une sans-abri, mardi dans le centre-ville de Quimper ( Finistère). Hospitalisée, la victime souffre de multiples blessures : une soixantaine de morsures, une oreille arrachée et le tendon d’une main endommagée.

    L’homme aurait été pris pour cible par les animaux alors qu’il était assis sur un banc et qu’il venait d’avoir une vive discussion avec la propriétaire. Celle-ci aurait en effet laissé ses chiens en liberté, sans laisse et sans muselière. Elle n’a d’ailleurs pas réussi à les maîtriser lors de l’attaque. « Il y avait un genre pitbull beige avec des taches noires et un autre style American Staff marron et plus petit », explique le Quimpérois à nos confrères du Télégramme.

    La propriétaire des chiens prend la fuite

    Le jeune homme a été secouru par des témoins de la scène. La propriétaire des deux chiens a pris la fuite avant d’être interpellée par les forces de l’ordre. Elle a été placée en garde à vue puis relâchée, le temps des investigations.

    Les deux bêtes ont quant à elle été récupérées par la fourrière et pourraient être euthanasiées.

    20 Minutes


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  • Colonisation du Congo: des femmes métisses attaquent l’État belge pour crime contre l’humanité

    Ce procès contre la Belgique est mené par des femmes métisses, issues d'unions mixtes au Congo, qui furent soustraites à leur famille et placées dans des instituts. Ces femmes demandent une réparation financière pour les souffrances psychiques et psychologiques endurées dans leur enfance.

    Elles sont cinq plaignantes, toutes nées dans les années 1940 dans ce qui était, à l’époque, le Congo belge. Nées d’un père belge et d’une mère congolaise, elles ont été arrachées à leurs familles africaines et placées dans des missions catholiques. Des instituts gérés par l’Église, mais qui résultaient en fait d’une politique voulue par l’administration coloniale. Entre 12 000 et 20 000 métis ont été ainsi placés, au Congo belge mais aussi dans les mandats coloniaux belges du Rwanda et Burundi.

    On les appelait, à l’époque, des « mulâtres » et l’explication officielle était que ces enfants devaient recevoir une éducation à l’européenne pour créer une caste de Congolais favorables au régime colonial. Mais la réalité était tout autre, car dans ces instituts aux conditions de vie sommaires, les métis arrachés à leur famille ne recevaient aucune attention particulière. C’était un placement sous tutelle qui a mis ces enfants en marge à la fois de la société africaine et de la société coloniale.

    « Elles sont la preuve vivante d’un crime d’État non avoué »

    Pour les avocats des cinq femmes, le fait d’avoir enlevé ces enfants à leurs familles est un crime contre l’humanité et ils réclament pour chacune une réparation financière de 50 000 euros. « Elles ont été enlevées, maltraitées, ignorées, expulsées du monde. Elles sont la preuve vivante d’un crime d’État non avoué », affirment les avocats.

    Selon eux, tous les rouages de l’État et de l’administration coloniale belge étaient impliqués dans cette politique qui consistait à enlever en bas âge les enfants métis à leur famille africaine pour les placer dans des missions religieuses. « C’est vrai, plaident les avocats de l’État belge, mais c’était une pratique admise à l’époque pour la protection de l’enfance. » Et d’autre part, « ces faits, qui remontent aux années 1940 et 1950, sont prescrits depuis longtemps. » La juge rendra son jugement d'ici quatre à six semaines.

    Les excuses proférées il y a deux ans et demi par le Premier ministre belge à tous les métis du Congo sont insuffisantes pour les cinq plaignantes.

    Elles-mêmes n’ont commencé que depuis peu à parler de leur souffrance passée à leurs propres enfants. Au-delà de ce procès entamé ce jeudi, elles espèrent aussi que le Parlement belge adoptera un jour une loi de réparation au profit des milliers d'autres métis congolais au vécu similaire.

    RFI Avec notre correspondant à BruxellesPierre Benazet


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  • Toujours plein d'entrain dans les chansons de SEBASTIEN !


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  • Hospitalisé pour une infection, l’ex-président américain Bill Clinton «se rétablit»

    © Martin Bureau Bill Clinton en 2019.

    Depuis deux jours, Bill Clinton, 75 ans, séjourne dans un hôpital californien afin de soigner une infection. Jeudi soir, son état était stable et l’ancien président et mari de l’ex-candidate à la présidentielle Hillary Clinton allait bien, selon son porte-parole Angel Ureña. «Mardi soir, le président Clinton a été admis au centre médical UCI pour être soigné pour une infection non liée au Covid. Il se rétablit, il est de bonne humeur et est incroyablement reconnaissant envers les médecins, les infirmières et le personnel qui lui ont prodigué d’excellents soins», a dit Angel Ureña dans un communiqué sur Twitter.

    Le porte-parole a également publié un communiqué des médecins de l’ex-président des Etats-Unis (1993 à 2001), qui précisent que ce dernier a été hospitalisé «pour être suivi de près» et qu’il a reçu des antibiotiques par intraveineuse. «Il reste à l’hôpital pour un suivi constant», ont-ils ajouté, évoquant une infection du sang.

    Après deux jours de traitement, «il réagit bien aux antibiotiques. L’équipe médicale basée en Californie est en communication constante avec l’équipe médicale du président basée à New York, y compris son cardiologue. Nous espérons qu’il rentrera bientôt chez lui», poursuivent les médecins en charge de Bill Clinton.

    Déjà hospitalisé en 2004 et 2010

    Le Centre médical Irvine de l’Université de Californie a aussi confirmé l’admission de Bill Clinton dans ses services. Les médecins ont assuré être en contact constant avec l’équipe médicale de l’ex-président basée à New York, dont son cardiologue, et «nous espérons qu’il rentrera bientôt chez lui».

    Selon CNN, la septicémie provenait d’une infection des voies urinaires qui s’était propagée au système sanguin de Bill Clinton. Celui-ci s’est senti fatigué mardi lors de sa visite en Californie et s’est rendu à l’hôpital où les hypothèses d’infection au Covid-19 ou de problèmes cardiaques ont été écartées, a rapporté le correspondant médical de la chaîne, Sanjay Gupta.

    Il a déjà dû être hospitalisé par le passé, comme en 2004 lorsqu’il a subi un quadruple pontage coronarien pour libérer quatre artères bouchées, et en 2010 quand il a subi une angioplastie. Entre ces deux opérations, celui qui était connu pour aimer la nourriture grasse, a commencé un régime végétarien. Une décision difficile ? «Pas quand vous avez (eu) un quadruple pontage coronarien et que vous voulez vivre et être grand-père», a expliqué Bill Clinton lors d’un événement organisé à Dallas par l’association People for the Ethical Treatment of Animals.

    Libération


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  • Sept personnes ont été mises en examen, à la fin du mois de septembre, pour des faits de proxénétisme aggravé. Des escorts-girls étaient mises à disposition de clients sur des péniches ou dans des établissements de nuit parisiens.

    C’est un remake de « La croisière s’amuse » version X et payante. Selon nos informations, sept personnes ont été mises en examen, à la fin du mois de septembre, pour des faits de « proxénétisme aggravé », avant d’être placées sous contrôle judiciaire. Le parquet de Paris n’a pas fait appel de cette décision.

    La justice leur reproche d’avoir mis en place des soirées au cours desquelles des escorts-girls venaient proposer leurs prestations tarifées. Le 24 septembre dernier, les enquêteurs du groupe « réseaux clandestins » de la brigade de répression du proxénétisme (BRP) de la police judiciaire parisienne a investi le pont d’une péniche amarrée quai Marcel-Dassault à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine). Le bateau, loué via une plate-forme de location en ligne, accueillait une soirée privée au cours de laquelle les convives étaient sollicités afin de consommer deux bouteilles de champagne avant de pouvoir accéder à des prestations sexuelles proposées par de jeunes escorts-girls. « C’était le principe du bar à hôtesses où l’on vous demandait d’acheter une ou deux bouteilles avant de pouvoir monter avec une fille, confie une source proche de l’affaire. Les investigations dans ce dossier ont démarré à la fin du mois d’octobre 2020 ».

    Toujours selon nos informations, la dive bouteille était facturée 250€ pièce et deux établissements de nuit ont également reçu « la visite » des policiers de la BRP dans la même affaire. Des établissements situés rue Troyon et avenue Foch, à deux pas des Champs-Élysées.

    Près de 80 000 euros et une Porsche saisis

    Sept escorts-girls de nationalités marocaine et algérienne, ont également été entendues par les enquêteurs. Ces derniers ont, par ailleurs, procédé à la saisie d’une Porsche et de 50 000€ en argent liquide. Quelques grammes de cocaïne ont également été saisis au cours des perquisitions. Une femme, âgée de 43 ans, est décrite comme l’organisatrice de ces soirées entre adultes. Les clients, principalement des cadres supérieurs, étaient contactés via une messagerie chiffrée.

    Un homme, exploitant plusieurs sociétés ayant pignon sur rue, est soupçonné d’avoir occupé un rôle central dans ce réseau de proxénétisme présumé. Dans son coffre, près de 30 000€ en espèces et en billets neufs de 200€ ont aussi été découverts, puis placés sous scellés. Des fermetures administratives ont été requises contre les deux établissements de nuit mis en cause dans ce dossier.

    ACTU 17


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  • Des chasses traditionnelles d’oiseaux à nouveau autorisées

    © AFP L'alouette des champs peut de nouveau être chassée de manière traditionnelle. AFP/Brasselet

    Huit arrêtés sont parus ce vendredi au Journal officiel autorisant des chasses d’oiseaux dites traditionnelles par piégeage. Cette décision, dont Le Parisien avait révélé l’imminence plus tôt dans la semaine, malgré une décision du Conseil d’Etat qui les jugeait illégales. Ses arrêtés avaient immédiatement été attaqués par des associations.

    Début août, le Conseil d’Etat annulait plusieurs autorisations de chasse des vanneaux huppés, pluviers dorés, alouettes des champs, grives et merles noirs avec des filets (pantes, tenderies) ou de cages (matoles), jugeant « que ces autorisations délivrées par le ministre chargé de l’environnement ne sont pas conformes aux exigences du droit européen relatif à la protection des oiseaux ».

    « Pas très classe de prendre ces arrêtés un vendredi pour gagner un week-end de chasse »

    La directive européenne « oiseaux » de 2009 interdit les techniques de capture massive d’oiseaux sans distinction d’espèces. Une dérogation est possible « à condition d’être dûment motivée et dès lors qu’il n’existe pas d’autre solution satisfaisante pour capturer certains oiseaux », rappelait le Conseil d’Etat.

    Le gouvernement a toutefois décidé de reprendre huit arrêtés pour 2021-2022.

    Ils autorisent « la capture des vanneaux huppés et des pluviers dorés au moyen de tenderies aux filets » dans les Ardennes, la « tenderie (nœud coulant) aux grives et aux merles noirs » dans les Ardennes, « la capture de l’alouette des champs au moyen de matoles » dans les Landes et en Lot-et-Garonne et « la capture de l’alouette des champs au moyen de pantes » en Gironde, dans les Landes, en Lot-et-Garonne et Pyrénées-Atlantiques.

    Cette mesure est interprétée par les associations comme un geste envers l’électorat très courtisé des chasseurs qui ont manifesté par milliers mi-septembre. « C’est une décision du Président de la République imposée aux ministres de l’Ecologie », commente la LPO (Ligue pour la protection des oiseaux) dans un communiqué, alors qu’il est déjà reproché à Emmanuel Macron plusieurs largesses à l’égard des chasseurs pour s’assurer leurs votes.

    La LPO a annoncé ce vendredi avoir attaqué ces nouveaux arrêtés devant le Conseil d’Etat, tout comme l’association One Voice en référé et sur le fond. « Ce n’est pas très classe de prendre ces arrêtés un vendredi pour gagner un week-end de chasse », a estimé jeudi le président de la LPO, Allain Bougrain-Dubourg, lors d’une rencontre avec la presse. Il faut compter deux à trois semaines pour que la plus haute juridiction administrative française se prononce.

    Le Parisien

    macron est prêt à tout pour repasser en 2022


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  • « J’ai peur » : pourquoi Serge Lama, 78 ans, ne veut plus faire de tournées

    Jusqu'à 70 ans, Serge Lama se plongeait corps et âme dans ses tournées pour offrir à ses fans la plus belle de ses performances. Huit ans plus tard, c'est à contre-cœur que l'artiste annonce qu'il en a fini avec la scène.

    Serge Lama tire sa révérence. Après une carrière longue de plus de soixante ans, le chanteur de 78 ans qui enchaînait un temps 300 concerts par an, fait le choix de ne plus remonter sur scène. À l'aube de la crise sanitaire, Serge Lama, affaibli physiquement, annonçait sa dernière tournée. Des adieux en chansons, qu'il a été contraint de reporter à plusieurs reprises et qui n'auront finalement jamais lieu. "Il n'y aura pas de tournée. Ce n'est pas que je n'ai pas envie mais j'ai peur", confie l'interprète de Je suis malade, dans l'édition du 14 octobre du Parisien.

    À près de 80 ans, son état de santé ne lui permet plus de traverser la France pour se produire sur scène : "Je suis trop fragile : ma jambe gauche, c'est de pire en pire, et la droite porte mon corps depuis l'accident il y a cinquante-six ansCe serait le combat de trop." Jeune marié, Serge Lama a à cœur de ne plus inquiéter sa femme, la première qu'il mérite : "Je marche très difficilement. Lors de la dernière, je me suis cassé la figure plusieurs fois. Il fallait voir Luana s'évanouir."

    Ses plus belles chansons illustrées

    Et si l'artiste qui planche sur un nouvel album, n'entend pas arrêter sa carrière pour autant, les tournées ne sont plus "dans ses capacités" : "Je ne dis pas que je ne ferais pas une soirée d'adieux à l'Olympia." Il arrive un temps où il faut savoir se retirer, et Serge Lama en est bien conscient : "Repartir sur les routes, me dresser sur les podiums, balancer mes grands bras, ce temps est fini." Avant de reprendre le chemin des studios d'enregistrement, le chanteur qui a composé tous les titres de son répertoire, se raconte dans l'ouvrage Serge Lama. Ma vie, mes plus grandes chansons illustrées par mes peintres préférés (Beaux Arts Éditions), paru le 13 octobreDe Renoir à Monet en passant par Picasso ou Matisse, au travers de 240 pages, il illustre ses 50 plus grandes chansons en faisant appel aux grands noms de la peinture.

    GALA


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  • Les autorités locales se sont rendu compte de la présence des chiens début octobre et ont agi immédiatement

    La situation continue de se dégrader sur l’île de La Palma (Canaries), où le volcan Cumbre Vieja est en éruption depuis le 19 septembre dernier. Les coulées de lave ont déjà détruit 1.100 bâtiments et provoqué le déplacement de 6.000 habitants.

    Début octobre, les autorités locales se sont rendu compte que plusieurs chiens avaient été piégés par la lave. Enfermés dans leur chenil, les animaux sont coincés sans eau ni nourriture dans le secteur de Todoque, à l’ouest de l’île, rapporte Newsweek. Pour ne pas les laisser mourir, les responsables de l’île ont décidé d’agir.

    De la nourriture choisie par des vétérinaires

    Depuis quelques jours, les chiens sont ainsi nourris par drone. Grâce à l’aide de deux entreprises locales, les canidés amaigris et affaiblis reçoivent de la nourriture par les airs, comme on le voit sur des images relayées sur les réseaux sociaux. Les températures liées aux coulées de lave empêchent pour l’instant toute tentative de sauvetage.

    Ce mardi, les autorités ont remercié les deux entreprises pour leur « travail désintéressé afin de garantir le bien-être de ces animaux ». Elles ont précisé avoir demandé conseil à des vétérinaires pour choisir la nourriture la plus appropriée au vu de la situation des chiens. Les entreprises ont précisé qu’elles continueraient ces livraisons par drone aussi longtemps que nécessaire et tant que cela sera possible.

    La situation ne s’arrange pas sur l’île de La Palma. L’aéroport a rouvert ce samedi mais une partie du cône du volcan s’est effondrée le même jour, provoquant de nouvelles coulées de lave le long des flancs de l’île.

    20 Minutes


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  • Un homme de 26 ans a pénétré dans la basilique Notre-Dame à Nice (Alpes-Maritimes) ce lundi soir et s’est montré menaçant envers le sacristain, crachant au sol et hurlant des mots en arabe. Le mis en cause, en situation irrégulière en France, a été interpellé par les policiers peu après.

    La tranquillité de la basilique Notre-Dame de Nice a été perturbée par un homme, vers 18 heures lundi soir. Celui-ci a pénétré dans l’édifice et s’est mis à hurler en langue arabe indique une source proche de l’enquête. Il a craché par terre puis est finalement reparti. L’homme est revenu une dizaine de minutes plus tard. Cette fois, il s’est montré menaçant.

    « Le sacristain qui avait été informé de la précédente intrusion s’est approché du suspect alors qu’il recommençait à hurler en arabe et à cracher par terre. L’homme s’est montré menaçant et il a été décidé de déclencher le bouton d’appel d’urgence », détaille cette même source. La police a donc été immédiatement alertée. Comprenant que les forces de l’ordre avaient été avisées de la situation, le suspect a décidé de prendre la fuite. Il aurait une nouvelle fois menacé le sacristain à ce moment-là en faisant des gestes. Ce dernier a décidé de suivre le mis en cause dans la rue en gardant la police au téléphone.

    Le suspect était alcoolisé

    L’homme a été interpellé par les policiers municipaux sur l’avenue Jean-Médecin, non loin de la basilique. Il ne s’est pas opposé à son interpellation et a été placée en garde à vue différée. Ce ressortissant tunisien de 26 ans, en situation irrégulière sur le territoire français, avait en effet consommé de l’alcool. Il était jusqu’ici inconnu des services de police. Le sacristain a décidé de déposer plainte et une enquête a été ouverte. Le groupe d’appui judiciaire (GAJ) du commissariat a été chargé des investigations.

    « La justice doit être extrêmement sévère »

    « Merci à la police municipale qui, après activation d’un bouton d’alerte, a interpellé un individu qui aurait craché, crié en arabe et menacé le sacristain de la basilique Notre-Dame », réagit le maire de Nice, Christian Estrosi, sur Twitter. « La justice doit être extrêmement sévère alors que nous allons bientôt commémorer l’attentat du 29 octobre 2020 ».

    « Après audition des plaignants et témoins, aucun élément en faveur de l’apologie du terrorisme ou de menace n’a été recueilli », précise ce mercredi le procureur de la République de Nice, Xavier Bonhomme, au Figaro. Le mis en cause aurait été interné à l’hôpital Saint-Marie.

    Un homme de 27 ans avait été interpellé en juillet dernier après être entré dans cette même basilique. « Je vais revenir et je vais tous vous tuer », aurait-il lâché, avant de prendre la fuite et être rattrapé. Fiché S, il avait été placé en garde à vue puis écroué jusqu’à son procès.

    Il y a bientôt un an, le 29 octobre 2020, un attentat avait coûté la vie à trois personnes dans la basilique de Nice. L’assaillant avait été neutralisé par balle puis interpellé par la police.

    ACTU 17


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  • "Le traître et le néant" : Macron, dernier survivant du macronisme

    Les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme publient un livre qui s'assume comme une charge contre le président.

    François Hollande n'est pas rancunier. Ses confidences aux journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme pour leur livre précédent, Un président ne devrait pas dire ça, avaient facilité sa propre chute. Le voilà qui récidive, prêt à contribuer à la chute d'un autre, tant qu'à faire. Il raconte même aux auteurs du Traître et du Néant, qui paraît ce mercredi chez Fayard, une anecdote qui ne va pas améliorer ses relations avec son successeur - et que conteste l'entourage de l'actuel chef de l'Etat. Lors d'un dîner à la fin du quinquennat précédent, Philae, le labrador de François Hollande, se fait les dents sur les lunettes de Brigitte Macron et les déchiquète. Quelques jours plus tard, rapportent Davet et Lhomme, "Hollande recevra la facture de la paire de lunettes de Brigitte Macron. L'ex-président soupire : ''Il faut oser, quand même...''

    François Hollande ne veut pas dire du mal, mais tout de même... "Quand on a des convictions, vous ne prenez pas Darmanin au ministère de l'Intérieur !, glisse-t-il aux auteurs. Vous prenez un préfet, une personnalité assez forte, pas Darmanin. Mais pour cela il faut avoir de la cohérence politique." Et puis encore : "Macron n'est rien ! C'est un déguisement successif. Il est tout à la fois, successivement. Un transformiste ! A court terme, c'est une habileté, et un tempérament. Mais à long terme c'est destructeur, car qu'on soutienne ou s'oppose, on a besoin de compréhension, d'avoir un cadre de référence."

    "Populiste de velours", "populisme mondain"

    Pierre Moscovici se croit plus malin que les autres, plus malin que François Hollande notamment, et lui aussi tombe dans le piège : les propos d'une grande violence qu'il tient contre Emmanuel Macron ne contribueront pas à apaiser les liens entre le chef de l'Etat et le premier président de la Cour des comptes : "Les Français ne l'aiment pas, il ne les connaît pas, il ne leur ressemble pas" : "populiste de velours"... Lui parle de "populisme mondain", et le président n'a pas beaucoup plus apprécié : François Baroin décortique à son tour le phénomène Macron, les remises en cause qu'il a suscitées, la déstabilisation qu'il a provoquée et son analyse ne contribue pas à éclairer sous un jour favorable la personnalité, le comportement et les méthodes du chef de l'Etat.

    Le livre s'assume comme une charge, contre l'homme (le traître) comme contre le macronisme (le néant) qui ne se révèle à l'usage être qu'une "aventure individuelle", ce que Manuel Valls, avec le sens de la formule, résume ainsi : "Le macronisme a laissé la place à Macron." Aussi Marlène Schiappa est-elle bien seule à oser lancer : "Je vais dire une phrase que je vais regretter, il a un truc un peu Madonna, un peu Lady Di, vous voyez ?" Certains témoignages, comme celui de Christophe Lannelongue, ex-directeur de l'Agence régionale de santé du Grand Est évincé pour sa gestion de la crise sanitaire, permettent de mesurer l'ampleur des malentendus qui se sont installés au cours du mandat. "Ce qui a manqué le plus dans le leadership de Macron, c'est une vision managériale, moderne, de ceux qui sont sur le terrain. Macron, contrairement à ce qu'il veut bien laisser croire, quand il dit qu'il est l'homme du changement, c'est tout le contraire : c'est l'homme du passé." Des interrogations, sur le rôle de "l'entremetteuse" Mimi Marchand ou sur les conséquences de la nomination d'Eric Dupond-Moretti à la Chancellerie, nourrissent le procès du quinquennat. De celui qui a prévenu, in cauda venenum : "Je ne veux pas finir comme Hollande."

    L'Express


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  • Le quatrième ressortissant algérien, grièvement blessé lors de l'accident, a raconté sa version du drame.

    On en sait un peu plus sur le terrible accident de TER qui a fait trois morts mardi matin à Ciboure près de Saint-Jean-de-Luz, dans les Pyrénées-Atlantiques. 

    Mardi vers 5h du matin, le petit groupe d'hommes, très probablement de nationalité algérienne, a été fauchés par un TER vers la gare de Saint-Jean-de-Luz, alors qu'ils semblaient se reposer sur les voies. 

    Un quatrième homme avec eux, également algérien, très grièvement blessé dans l'accident, s'est exprimé succinctement ce mercredi, depuis son lit d'hôpital, a précisé le procureur.

    Ils se sont endormis et n'ont pas vu le train arriver

    Il a confirmé aux enquêteurs de la police judiciaire de Bayonne que le groupe avait emprunté les voies ferrées pour échapper à d'éventuels contrôles de police. Selon ce rescapé, les quatre hommes s'étaient arrêtés pour se reposer, se sont endormis et n'ont pas vu le train arriver.

    En revanche, le rescapé n'a pas été en mesure de donner l'identité des trois victimes.

    Le petit groupe s'était constitué un peu plus tôt en Espagne, et "ils ne se connaissaient pas les uns les autres", a expliqué le procureur. 

    Porte d'entrée des migrants

    Ce mercredi soir, environ 200 personnes se sont rassemblées devant la gare de Saint-Jean-de-Luz, à l'appel d'associations locales d'aides aux migrants, pour rendre hommage aux victimes de ce drame. 

    L'Espagne est l'une des principales portes d'entrée en Europe pour les migrants, avec 16.586 entrées irrégulières sur les sept premiers mois de l'année, près de 50% de plus qu'à la même période de l'an dernier, selon les chiffres publiés en août par le ministère espagnol de l'Intérieur. 

    Le Pays Basque est l'un des importants points de passage, théâtre régulier de drames comme en août avec la mort d'un migrant qui tentait de traverser le fleuve frontière Bidassoa pour passer en France. Fin mai, un jeune homme originaire de Côte d'Ivoire avait lui aussi été retrouvé mort après avoir tenté de traverser ce fleuve pour rejoindre Hendaye, côté français. 

    RMC


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