• À Arlington, au Texas, un enfant a trouvé la mort après avoir été infecté par une amibe mangeuse de cerveau. Il serait entré en contact avec le micro-organisme en jouant avec le jet d’eau d’un parc municipal. Ce genre de contamination est, heureusement, extrêmement rare.

    Naegleria fowleri

    Pris en charge par la Cook Children’s Medical Center le 5 septembre, l’enfant (dont le nom et l’âge n’ont pas été communiqués) serait décédé le 11 septembre dernier d’une méningo-encéphalite amibienne primitive.

    Selon Msdmanuals, il s’agit d’une “infection du système nerveux central rare et généralement fatale due à Naegleria fowleri, un type d’amibe libre.” Présente partout dans le monde, la Naegleria fowleri se trouverait généralement dans les sources chaudes, les lacs et les rivières.

    Afin de déterminer où le garçon a été contaminé, les autorités ont analysé l'eau du Don Misenhimer Park : un parc municipal dans lequel l'enfant aurait joué avant de tomber malade. Et des traces de l'amibe ont été détectées dans un des jets d'eau.

    Infections mortelles mais peu fréquentes

    La triste histoire de ce garçon rappelle celle d’un autre jeune californien, lui aussi décédé après avoir été contaminé par la même amibe, le 7 août dernier.

    Si ce genre de mort a de quoi rendre paranoïaque, il convient de rappeler que les infections à la Naegleria fowleribien qu’elles soient fatales, restent très rares.

    Certes, la létalité est forte (95% des contaminés décèdent), mais les cas sont extrêmement rares : on en compterait à peine 310 en 50 ans.

    Gent Side


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  • À Mount Dara, en Floride, Eugene Bozzi, 26 ans, est devenu une star locale après avoir capturé un alligator qui rodait sur la pelouse de son voisin. Il l'a fait rentrer dans une poubelle, avant de le relâcher un peu plus loin, près d'un étang.


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  • Après une semaine au temps mitigé et faiblement perturbé, l'automne arrive en force pour ce premier week-end du mois d'octobre. Sous l'influence d'un Jet Stream (courant d'altitude) très puissant, les dépressions se creusent sur le proche Atlantique et l'Europe de l'Ouest occasionnant fortes pluies, orages et vents violents.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/m%C3%A9t%C3%A9o-week-end-sous-le-signe-des-intemp%C3%A9ries/ar-AAP3e9o?ocid=msedgntp


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  • Je ne ferai pas d'article sur la mort de ce cher Tapie, vous en aurez assez sur internet !

    Ne pas oublier que Bernard Tapie a commencé en faisant du porte à porte pour vendre des télés !


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  • Sir Rowan Atkinson est indubitablement un grand acteur, qui aura marqué plusieurs générations avec son personnage mythique de Mr Bean. Devenu mondialement célèbre grâce à cette série loufoque, le comédien a du faire face à un intérêt de plus en plus croissant de la part du public et des medias. Mais si la plupart des infos le concernant sont crédibles, et tournent autour de son célèbre personnage ou de ses capacités en tant qu’acteur, certaines ne sont vraiment qu’un ramassis de rumeurs infondés et de canulars de bien mauvais gout ! A en croire plusieurs sources, l’acteur serait décédé et bel et bien enterré, alors même que notre cher Mr Bean est entrain de profiter du soleil estival sur une plage tropicale. Et ce n’est d’ailleurs pas la première fois que l’on annonce son trépas, ce qui vous en conviendrez, ne plait pas du tout à l’acteur. Mais qui donc est derrière ces vilains mensonges à répétition ? Et pourquoi s’acharne-t-on ainsi sur notre Mr Bean adoré ? Installez-vous bien confortablement, car nous allons tenter de répondre à ces questions dans cette vidéo !

    Rowan Sebastian Atkinson  est un acteurscénariste et humoriste britannique né le 6 janvier 1955 à Consett (Durham).


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  • Diagnostic inattendu. Les médecins d’un hôpital lituanien ont annoncé vendredi avoir découvert dans l’estomac d’un homme plus d’un kilo de divers petits objets de métal, dont des clous et des vis. Le patient a été admis à l’hôpital du port de Klaipeda, sur la Baltique, après s’être plaint de graves douleurs abdominales.

    Les médecins ayant passé son estomac aux rayons X ont rapidement trouvé les racines du mal : divers objets métalliques, certains mesurant jusqu’à 10 centimètres de long, avaient lacéré l’estomac de l’homme, mettant sa vie en danger. « Durant l’opération de trois heures (…), tous les corps étrangers, même les plus petits, ont été retirés de l’estomac du patient », a déclaré le chirurgien Sarunas Dailidenas.

    Il les a avalés après avoir arrêté de boire

    L’hôpital a fourni aux médias locaux une image des clous et vis retirés de l’estomac de l’homme. « Nous n’avions jamais rien vu de pareil », a affirmé Algirdas Slepavicius, chirurgien en chef à l’hôpital de Klaipeda, à la presse locale.

    Le médecin a expliqué que l’homme avait commencé à avaler des objets métalliques ces dernières semaines après avoir arrêté de boire. Le patient était dans un état stable après l’opération, a-t-il ajouté.

    Le Parisien


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  • L'homme de 30 ans a été réanimé par les secours et transféré dans un état très grave à l'hôpital

    Un homme de 30 ans a été victime d’un grave accident sur un chantier de Carrières-sous-Poissy (Yvelines), mercredi. Au cours d’une opération de relevés topographiques, cet employé d’une société du Val-d’Oise est tombé de deux mètres dans une tranchée, rapporte Le Parisien. Le sol s’est dérobé sous ses pieds et il a été enseveli après sa chute.

    L’un de ses collègues a immédiatement alerté les secours tandis que trois ouvriers tentaient de dégager le trentenaire en creusant le sol. D’après nos confrères, l’homme serait resté au moins dix minutes sous la terre. A l’arrivée des sapeurs-pompiers, il se trouvait en arrêt cardiorespiratoire et il était toujours coincé au niveau des hanches. Réanimée sur place par le Samu, la victime a été transférée dans un état critique à l’hôpital Beaujon de Clichy (Hauts-de-Seine).

    Une enquête lancée

    Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de cet accident. Le maire de la commune, Eddie Aït, a réagi après le drame.

    « J’adresse tout mon soutien au blessé de ce terrible accident et à sa famille et réclame des parties prenantes qu’elles coopèrent de façon la plus transparente possible avec les autorités pour comprendre ce qui a pu se passer et éviter un nouveau drame », a déclaré l’élu.

    20 Minutes

    Yvelines: Un employé de chantier tombe dans une tranchée et se fait ensevelir


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  • L’homme de 57 ans n’avait pas pu encaisser son gain car il ne disposait pas d’une carte de sécurité sociale.

    Cette tragédie s’est déroulée dans la ville de Caseville, dans le Michigan, aux Etats-Unis. Comme le relate ABC12, le corps sans vie de Gregory Jarvis, un homme de 57 ans, a été retrouvé sur une plage privée le 19 septembre. Dans sa poche, la police a retrouvé un ticket gagnant du Club Keno, une loterie, d’une valeur de 45.000 dollars, soit environ 38.000 euros. Mais la victime n’a jamais pu empocher son gain, remporté quelques jours plus tôt dans un bar, avec lequel il prévoyait notamment d’aller voir sa sœur et son père en Caroline du Nord.

    “Il ne pouvait pas l'encaisser car il n'avait pas de carte de Sécurité sociale. Il en avait demandé une nouvelle”, raconte le propriétaire du bar en question, qui s’est inquiété en ne voyant pas cet habitué les jours précédents. La Michigan Lottery Commission a confirmé à ABC12 que les gagnants de prix de plus de 600 $ doivent fournir une pièce d'identité avec photo et leur carte de Sécurité sociale pour récupérer leurs gains. Gregory Jarvis n’a pas eu le temps de recevoir cette nouvelle carte de Sécurité sociale et s’est noyé. Après l’autopsie de son corps et une enquête, la police locale a conclu à un accident.

    “Nous pensons qu’il amarrait son bateau, qu’il a glissé, est tombé et s’est cogné la tête. C’est là qu’il est tombé dans l’eau, aucun acte criminel n’est suspecté”, a expliqué Kyle Romzel, le chef de la police de Caseville, concédant avoir été “inquiet” après avoir découvert le billet gagnant de loterie dans la poche du défunt. Ce billet a été récupéré par les proches de Gregory Jarvis. Il n’est pas précisé s’ils vont pouvoir bénéficier des 45.000 dollars de gains.

    Capital


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  • Acte de bravoure démesuré ? Fidélité incommensurable ? En Ukraine, un chien vient à la rescousse de son compagnon coincé sur un chemin de fer. Le train a beau arriver, cela n'altère pas le courage de l'animal.

    Tout s'est bien terminé, les deux chiens ont été secourus  (vu sur un site d'info).

    J'ai vu la suite de cette vidéo. Là, les gens, qui les ont filmé,  ont adopté ces deux chiens.


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  • Un jeune étudiant de 18 ans a été poignardé à de multiples reprises par un inconnu près de l’école d’ingénieurs aéronautique et spatiale (IPSA) à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne) où il est scolarisé, ce mercredi matin. L’agresseur a été interpellé, il est déjà connu de la justice et souffre de problèmes psychiatriques.

    La victime a été poignardée à huit reprises tout près de l’école d’ingénieurs aéronautique et spatiale, située sur le boulevard de Brandebourg à Ivry-sur-Seine, ce mercredi matin vers 8 heures. Ce jeune homme de 18 ans, grièvement blessé, a alors réussi à se traîner dans le hall de son établissement d’après une source policière, confirmant l’information du Parisien. Il a été pris en charge par les secours puis évacué à l’hôpital en état d’urgence absolue.

    L’agresseur a été rapidement interpellé par les policiers, le commissariat se trouvant non loin de là. Ce dernier était assis et avait posé son arme blanche à côté de lui. Âgé de 42 ans, il devait subir un examen comportemental dans la journée afin de déterminer notamment si son état de santé est compatible avec une garde à vue. Le quadragénaire, déjà connu de la justice et souffrant de troubles psychiatriques, aurait déjà été l’auteur d’une attaque semblable précise le quotidien francilien.

    « La municipalité partage le choc et la tristesse des proches de la victime, et leur témoigne de tout son soutien dans cette épreuve », réagit le maire PCF de la commune, Philippe Bouyssou, sur Facebook. « Elle salue également la prompte intervention des fonctionnaires de la police nationale et des sapeurs-pompiers ». En début d’après-midi, l’édile a indiqué que la victime était « hors de danger ». Une cellule psychologique du SAMU a été ouverte pour les personnes qui ont été témoins du drame.

    ACTU 17

    C'est fou comme il y a des malades psychiatriques en liberté !


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  • Procès Benalla : 18 mois avec sursis requis contre l'ex-chargé de mission de l'Elysée

    "Pour que l'affaire Benalla s'efface devant un jugement": l'accusation a requis jeudi soir 18 mois d'emprisonnement avec sursis à l'encontre de l'ancien chargé de mission de l'Elysée, en particulier pour les violences commises lors de la manifestation du 1er mai 2018 à Paris.

    "C'est une affaire qui a fait couler beaucoup d'encre et inspiré beaucoup de commentaires". Plus de trois ans après la tempête politique qui avait secoué le pouvoir d'Emmanuel Macron, le procureur se lève en milieu d'après-midi. Dans un dossier "déjà jugé par le tribunal de l’opinion" où "les prévenus sont coupables", "marqués au fer rouge des réseaux sociaux et de la médiatisation", le magistrat en appelle à la "souveraineté du tribunal", en entamant un réquisitoire de près de quatre heures.

    "Chronique d'une sortie de route annoncée"

    Alexandre Benalla est un "Janus", décrit-t-il. D'un côté, "ce professionnel reconnu et compétent", de l'autre, "un jeune de 26 ans à l'ascension fulgurante", "sans filtre, qui sera rattrapé par son tempérament". Un "Icare" qui s'est "brûlé les ailes" en "repoussant les limites de ce qui est autorisé".

    Et le 1er mai 2018 était "un peu la chronique d'une sortie de route annoncée" pour celui qui était alors adjoint au directeur de cabinet de l'Elysée et pour l'employé d'En Marche! Vincent Crase, qui l'a accompagné au pied levé pour assister au défilé, estime Yves Badorc. Ce jour-là, ils ont "agi avec des policiers, comme des policiers et parfois à la place des policiers", alors qu'ils n'étaient que des observateurs, souligne la magistrat. "C'est l'Etat, la puissance publique, dont l'émanation est la police, qui détient l'usage de la force", insiste-t-il, ils ont donc commis des "violences illégitimes" qui "ne peuvent s'effacer comme par magie derrière l'article 73".

    Tout au long du procès, les deux prévenus ont justifié leur comportement par cet article du code de procédure pénale, qui permet, dans certaines conditions, à un citoyen d'appréhender l'auteur d'un délit flagrant.

    "Ces dispositions n'ont pas vocation à permettre à tout citoyen de se substituer aux forces de l’ordre", évacue le magistrat, soulignant que ce jour-là, leur intervention n'était pas "nécessaire". Le ministère public demande la condamnation d'Alexandre Benalla et de Vincent Crase pour avoir usurpé la fonction de policier et pour des violences en réunion sur un couple place de la Contrescarpe - dont les images, relayées par Le Monde en juillet 2018, sont à l'origine du "Benallagate". Un couple qui "étaient plus près de figurer sur une photo de Robert Doisneau que d'être des Black Blocs", estime le procureur.

    Selon l'accusation, les deux acolytes doivent aussi être condamnés pour avoir brutalement appréhendé un manifestant et en avoir violenté un autre au Jardin des plantes - le parquet demandant cependant une relaxe pour Vincent Crase, faute d'éléments suffisants, concernant une cinquième manifestante. L'ancien gendarme réserviste doit en revanche être sanctionné pour avoir porté une arme ce jour-là, poursuit le parquet, qui demande un an de prison avec sursis à son encontre.

    Coupable, Alexandre Benalla l'est aussi pour avoir porté une arme sans autorisation en avril 2017 à Poitiers après un meeting de campagne du candidat Macron, soutiennent les magistrats du parquet. Sa condamnation est aussi requise pour avoir utilisé, après son licenciement, deux passeports diplomatiques lors de onze voyages, en Afrique, au Maroc ou aux Bahamas et avoir réalisé un faux document afin d'obtenir un passeport de service. Au final, c'est une "condamnation en forme de reçu, en solde de tout compte. Pour que l'affaire Benalla (...) s'efface devant un jugement", conclut M. Badorc.

    Il demande à ce que la peine de l'ancien chargé de mission soit assortie de 500 euros d'amende, de cinq ans d'interdiction de toute fonction publique et dix ans d'interdiction de port d'arme - quinze ans pour Vincent Crase.

    Enfin, deux et quatre mois avec sursis sont requis à l'encontre des deux derniers prévenus, les fonctionnaires de la Préfecture de police Maxence Creusat et Laurent Simonin, pour avoir transmis, le soir de la publication de l'article du Monde, des images de vidéosurveillance au collaborateur de l'Elysée. Les plaidoiries de la défense doivent débuter vendredi.

    Paris Match


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  • «Le Grêlé» : L’ex-gendarme et policier qui s’est suicidé est bien le tueur en série recherché depuis 35 ans

    Les analyses ADN ont confirmé que François Vérove est bien le tueur en série surnommé « Le Grêlé », recherché depuis près de 35 ans par les enquêteurs de la brigade criminelle de Paris, pour au moins trois meurtres et six viols.

    C’est la fin d’une enquête qui aura duré plusieurs dizaines d’années. Il s’agit du plus vieux cold-case de la Crim’ de Paris.

    Les enquêteurs de la brigade criminelle, les victimes et leur famille savent désormais que François Vérove est celui qui a commis de multiples meurtres et viols depuis le milieu des années 80. Son ADN a « matché » avec celui que les policiers avaient isolé sur les scènes de crime. « La comparaison ADN, immédiatement ordonné par le magistrat instructeur, a établi ce jour une correspondance entre le profil génétique retrouvé sur plusieurs scènes de crime et celui de l’homme », François Vérove, confirme le parquet de Paris dans un communiqué ce jeudi soir.

    Cet ancien gendarme et ancien policier de 59 ans a été retrouvé mort au Grau-du-Roi mercredi soir, dans un logement. Son épouse avait signalé sa disparition lundi. L’homme était convoqué dans les locaux de la DTPJ de Montpellier mercredi à 17 heures mais ne s’est jamais présenté.

    Les enquêteurs avaient identifié un peu moins de 800 gendarmes ayant travaillé en région parisienne au moment des faits et correspondant au profil du tueur recherché. François Vérove était l’un d’entre eux et a donc compris qu’il était sur le point d’être démasqué. Le criminel, qui était père de deux enfants, a laissé une lettre dans laquelle il s’adresse à sa compagne. Il affirmerait notamment : « J’ai fait du mal à des gens, j’ai tué des innocents ».

    ACTU 17


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  • François Mitterrand : Infidélités, maladie, paternité cachée... Les secrets du Président français les plus dingues !

    François Mitterrand était un homme très secret. C'est une nouvelle fois ce que l'on apprend grâce à nos consoeurs du magazine ELLE. Elles ont rencontré la journaliste Solenn de Royer qui s'apprête à sortir le livre Le dernier secret le 6 octobre prochain, dans lequel elle révèle la relation de François Mitterrand avec une certaine "Claire", de 50 ans sa cadette. Mais avant elle, André Rousselet, l’ami, le compagnon de vie et confident du Président a d’ailleurs fait paraître un portrait inédit de ce dernier. Entre infidélité, paternité cachée, et maladie… l’auteur n’avait que l’embarras du choix pour livrer à ses futurs lecteurs un portrait riche en rebondissements.

    Mazarine Pingeot

    Premier et plus grand secret de la vie du Président de la République. Alors qu’elle n’a que 14 ans, Anne Pingeot fait la rencontre de François Mitterrand, à Hossegor. Elle tombe sous le charme. Alors ami de son père, le chef de l’État prend le temps de jouer au golf, tout en tombant amoureux de la jeune femme… Elle a 20 ans, lorsqu’il commence à lui faire la cour. Deux ans de relation à distance pour se séduire, alors que l’ancien Président est marié à Danielle. Une relation cachée et passionnée, "Mais à la fin, je lui reprochais ses lettres trop belles. Parce que je trouvais que c’était… que la vie ça aurait été mieux. J’ai évidemment essayé de le quitter. Beaucoup. Ces lettres sont évidemment le reflet des essais. Mais personne n’arrivait à être aussi intéressant. Personne n’était aussi fascinant. C’est tellement important de ne jamais s’ennuyer. C’est quand même merveilleux d’aimer quelqu’un qu’on admire. Il pensait toujours que je suis la chèvre de monsieur Seguin : je me suis battue toute la nuit, mais qu’au matin… j’étais mangée.". Pourtant, cette relation a également apporté le plus beau des cadeaux à Anne Pingeot, une fille, Mazarine. Que François Mitterrand a, lui, voulu cacher durant des années.

    La Maladie

    Il marchait avec difficulté dans les couloirs de l’Élysée, un mal au dos intenable… Mais François Mitterrand ne veut rien savoir. La vie est ainsi. Malheureusement, très vite, la fatigue, l’épuisement et le déclin physique de ce dernier s’accentuent. Plus aucune parole ne sortait de sa bouche, lors d’un voyage en Égypte, un souvenir de l’auteur André Rousselet, le Chef de l’État était absent, vide, mais tout de même "surprenant par sa présence d’esprit". Le 7 janvier 1996, François Mitterrand s’apprête à donner son dernier souffle, "La veille de sa mort, je suis allé le voir… Comprenant que c’était sans doute la dernière fois, et n’ayant alors aucune indication sur les souhaits que contenait ou non son testament à propos d’inhumation, je lui ai demandé, aussi délicatement qu’il était possible, en quel endroit il souhaitait reposer. C’était Jarnac. Là où il était né." se souvient l’auteur, et ami de Président.

    Séducteur à jamais

    Malgré son état diminué, François Mitterrand se voulait encore séducteur : "La présence, le passage d’une jolie femme dans son champ de vision animaient un instant son regard. C’était très touchant. Il y avait là une part de jeu, la tentation éternelle de "faire la cour" - alors qu’il était à peine susceptible de se tenir debout -, le jeu de la vie qui continue et recommence, parce qu’en fait, dans ce séjour, il n’avait d’yeux et probablement de pensées que pour une seule personne, sa fille, pour Mazarine."

    À voir aussi : François Mitterrand : 25 ans après sa mort, Claire, une très jeune femme avec qui il a vécu 8 ans d’amour, balance tout dans un livre qui va secouer la France !

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  • 33 hommes ont déjà été mis en examen et écroués dans ce dossier, tout comme le mari de la victime. Ce dernier, qui vit à Mazan près de Carpentras (Vaucluse), est accusé d’avoir drogué son épouse puis de l’avoir violée, durant de longues années. Il a également recruté d’autres hommes sur internet pour qu’ils viennent eux aussi abuser sexuellement de sa compagne alors qu’elle était inanimée. Neuf autres individus ont été interpellés cette semaine.

    Les viols auraient duré pendant près de dix ans. Cette affaire révélée par Actu17 il y a près de onze mois, a débuté par une interpellation dans le supermarché Leclerc de Carpentras (Vaucluse) le 12 septembre 2020. Ce jour-là, un homme âgé de 68 ans a été pris en flagrant délit en train de filmer sous les jupes de trois femmes. Ces dernières ont déposé plainte et le sexagénaire a été placé en garde à vue. Les policiers étaient loin d’imaginer à ce moment-là ce qu’ils allaient découvrir les jours suivants.

    Le suspect a d’abord nié les faits, évoquant un simple fantasme. Mais les enquêteurs ont réalisé une perquisition à son domicile situé sur la commune de Mazan et ont saisi un ordinateur, deux téléphones portables, un caméscope, ainsi qu’un appareil photo. C’est en exploitant ces supports numériques, alors que le sexagénaire avait été remis en liberté, que les policiers de la sûreté départementale ont découvert l’impensable, l’horreur. De nombreuses vidéos montrant des hommes qui violaient l’épouse du suspect ont été extraites. Cette dernière était à chaque fois inconsciente, voire inanimée. Le sexagénaire a de nouveau été placé en garde à vue.

    De fortes doses de Temesta

    L’affaire a alors été confiée aux enquêteurs de la police judiciaire de Montpellier. La suite des investigations a montré que le mari de 68 ans droguait son épouse en utilisant des anxiolytiques, notamment de fortes doses de Temesta pouvant se révéler létales, pour ensuite la violer alors qu’elle était dans un état second. Il avait également recruté d’autres hommes – plusieurs dizaines au total – sur internet durant près de dix ans, pour que ces derniers violent son épouse devant sa caméra. Des actes atroces parfois collectifs auxquels le sexagénaire participait de temps à autre. Ce dernier avait également mis en place un véritable protocole concernant les hommes invités. Ils devaient se laver les mains à l’eau chaude, ne pas avoir fumé avant de venir et avoir mis du parfum notamment.

    La victime n’avait rien remarqué et ce sont les policiers qui lui ont appris cette insupportable vérité. Cette femme, sous le choc, s’était déjà plaint de céphalés, mais également d’insomnies ou encore d’absences mentales répétés, mais les médecins n’auraient rien détecté.

    Un pompier, un journaliste et un surveillant pénitentiaire

    Le mari a été mis en examen pour viols aggravés et administration de substances nuisibles avant d’être écroué en novembre dernier, comme nous l’avions indiqué à l’époque. Depuis, 33 hommes ont été interpellés, mis en examen et écroués à leur tour. Ils sont originaires du Vaucluse, de la Drôme, du Gard ou des Bouches-du-Rhône, âgés de 24 à 71 ans et de différents milieux socioprofessionnels. Parmi eux figurent un pompier, un journaliste ou encore un surveillant pénitentiaire. Neuf autres suspects accusés eux aussi d’avoir violé la victime, ont été interpellés ce mardi matin dans plusieurs départements du sud de la France, et devraient être déférés en vue de leur mise en examen ce jeudi.

    Selon l’avocat de plusieurs de ces hommes mis en cause, Me Louis-Alain Lemaire, « ils avaient la certitude de venir rencontrer un couple échangiste. Ils pensaient que l’homme et la femme étaient parfaitement d’accord ». « Ils se sont aperçus au cours des faits qu’apparemment cette personne n’était pas consentante et que ce n’était pas un jeu. Ils ont immédiatement arrêté », a-t-il assuré à France Bleu.

    « Il est impossible de penser qu’elle faisait semblant de dormir lorsqu’on voit les images. On voit bien qu’elle est inconsciente. Il est évident qu’ils ne se sont pas assurés de son consentement », affirme de son cté l’avocate de la victime, Me Cathy Richard.

    ACTU 17


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  • Un accident est survenu à 8 h 25 ce mardi au passage à niveau de Laneuveville-devant-Nancy, sur la D112. Un camion-citerne a été heurté par un train, un TER qui reliait Nancy à Lunéville.

    Le conducteur du semi-remorque a été légèrement blessé mais il n'y pas eu à le transporter à l'hôpital.

    Les passagers du train n'ont pas été blessés mais choqués. Ils ont été évacués en bus. La police nationale se trouvait sur place pour déterminer les circonstances de l'accident.

     

    La circulation des trains a été interrompue dans les deux sens sur ce tronçon qui relie Nancy à Lunéville et les Vosges. Des bus de substitution ou des taxis ont été mis en place pour les passagers.

    La SNCF prévoyait un retour à la normale vers 11 h 30, mais les opérations de dégagement ont pris plus de temps que prévu et la circulation devait reprendre en début d'après-midi, après des opérations de réparation sur le passage à niveau et de vérification ont été effectuées.

    L'Est Républicain


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  • Ivre, il transporte cinq personnes dans une «piscine»

    Ivre, il transporte cinq personnes dans une «piscine»

    Dans l’Hérault, les gendarmes sont tombés sur cinq passagers se baignant à l’arrière d’un pick-up.

    Les gendarmes de la compagnie de Pézenas, dans l’Hérault, annoncent avoir eu «la drôle surprise de contrôler un véhicule peu ordinaire». Et on ne peut pas leur donner tort: ils sont tombés dimanche sur un pick-up «dont l’espace arrière a été aménagé afin que les passagers puissent profiter du trajet tout en barbotant»… Une bâche bleue avait été installée pour contenir l’eau et cinq passagers profitaient de cette piscine improvisée pendant que le véhicule roulait.

     

    Après le contrôle, il s’est encore avéré que le conducteur était ivre. Il a écopé d’une amende pour conduite en état d’ivresse, explique France Bleu. Quant aux baigneurs, ils ont été amendés pour non port de la ceinture.

    Le matin.ch (journal suisse)


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  • Japon : Une tortue se promène sur le tarmac d’un aéroport et retarde cinq avions

    Illustration

     « Nous espérons que cette tortue qui est venue voir le vol annonce un avenir radieux », a déclaré la compagnie aérienne dans un communiqué

    Le service aérien de l’aéroport de Narita, près de Tokyo, a été fortement perturbé ce vendredi. Au total, cinq avions ont été retardés. La raison ? Une tortue de 2 kg, aperçue sur le tarmac du deuxième aéroport le plus fréquenté du Japon, rapporte Slate, d’après une information du Guardian.

    Le personnel de l’aéroport a retiré la tortue à l’aide d’un filet et a ensuite vérifié les 4.000 mètres de piste à la recherche d’autres objets étrangers. Au total, selon le média local Mainichi Shimbun, cet incident animalier a provoqué un retard de 15 minutes sur 15 vols. L’Airbus A380 de la compagnie All-Nippon Airways a par exemple été concerné. Ironie du sort, le fuselage de cet appareil est décoré d’images de tortues marines.

    « Les observations de tortues sont extrêmement rares »

    Cet embellissement avait été effectué en juillet 2020 pour célébrer le service du transporteur à Hawaï, où ces animaux sont considérés comme sacrés. Ce n’est pas la première fois que les employés au sol interviennent pour un incident animalier. Mais d’habitude, le tarmac est perturbé par des chats errants, des chiens viverrins ou encore des lapins.

    « Les observations de tortues sont extrêmement rares », affirme le Mainichi Shimbun. Selon le personnel de l’aéroport, la tortue proviendrait d’un bassin de rétention situé à une centaine de mètres de la piste. De son côté, la compagnie aérienne a tout simplement ignoré la perturbation. « A Hawaï, les tortues marines sont considérées comme porte-bonheur, et nous espérons que cette tortue qui est venue voir le vol annonce un avenir radieux », a-t-elle déclaré dans un communiqué.

    20 Minutes


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