• Document RMC - Pour faire face à la pénurie de main d'œuvre, les dealers marseillais recrutent des mineurs venus de toute la France via les réseaux sociaux.

    Ils ont 14, 15, 16 ans et viennent de toute la France pour un contrat à durée déterminée à Marseille, un contrat dans le trafic de stupéfiants. "Ces jeunes-là sont recrutés à travers les réseaux sociaux, en CDD ou en CDI", explique Amine Kessaci, président de l'association "Conscience" à Marseille, qui aide les mineurs à sortir du trafic et rappelle que ce n'est pas une activité de tout repos: "Ce n'est pas juste être assis toute la journée, c'est aussi se faire gifler parce qu'il n'y a pas 50 euros dans la sacoche ou se faire gifler parce qu'on n'a pas assez travaillé dans la journée", prévient-il.

    À Marseille, il existe plus de 150 points de deal clairement identifiés, un commerce illégal qui peut attirer des mineurs en difficulté: "Il s'agit de mineurs en déshérence, en difficulté, de mineur isolé ou de personnes en rupture familiale", explique à RMC Eddy Sid, délégué SGP Unité Police FO à Marseille.

    Et depuis plusieurs années, les jeunes engagés dans le trafic sont originaires d'autres villes parfois très éloignées de Marseille, de l'axe rhodanien et du Val-d'Oise notamment.

    Un phénomène qui s'est accéléré depuis cet été

    "C'est de la chair à canon. Ce sont des individus qu'on va faire travailler beaucoup plus qu'en temps normal ou qu'on va payer une fois sur deux. On va aussi leur faire croire qu'ils ont des dettes parce qu'ils ont fait une erreur et si par malheur l'un de ces individus est amené à périr sous les balles, le gérant du réseau n'a que peu d'accointances avec puisqu'il vient de 300, 400, voire 1000 kilomètres de Marseille", ajoute le fonctionnaire.

    La procureur de cité phocéenne Dominique Laurens veut enrayer ce recrutement de mineurs isolés, séduits par les dealers sur les réseaux sociaux, comme Snapchat et Tiktok, où ils expliquent en quoi consiste le "job", montrant des jeunes maniant des liasses de billets.

    Un phénomène connu depuis 5 ans maintenant, mais qui depuis l'été dernier s'est accéléré avec l'augmentation des règlements de compte dans la cité phocéenne, la main d'œuvre marseillaise étant plus difficile à trouver. En 2021, 15 personnes ont été tuées à Marseille lors de règlements de compte sur fond de trafic de stupéfiants.

    RMC


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  • Un autre homme jugé comme dangereux, âgé de 48 ans, se serait échappé de l’hôpital psychiatrique de Toulouse. Quatre jours après l’évasion du « cannibale des Pyrénées ».

    Quatre jours après la fuite du « cannibale des Pyrénées », un autre homme jugé comme dangereux, âgé de 48 ans, se serait échappé de l’hôpital psychiatrique Marchant à Toulouse, dimanche 23 janvier, selon nos confrères de La Dépêche . Il serait impliqué dans un homicide datant de 2010 à Toulouse.

    Mercredi 19 janvier, un homme surnommé le « cannibale de Nouilhan » avait été interpellé à Toulouse (Haute-Garonne) après avoir agressé une vieille dame. Il s’était échappé peu avant de ce même hôpital. Il est connu pour avoir tué en 2013 un nonagénaire, dont il avait arraché le cœur et la langue.

     

    L’homme qui a pris la fuite ce dimanche est activement recherché. La préfecture de Haute-Garonne a diffusé un avis de recherche, selon La Dépêche.

    Ouest-France

    Il semble que la surveillance à l'hôpital de Toulouse laisse à désirer !


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  • Syrie: 123 morts en 4 jours entre les forces kurdes et les djihadistes

    La situation continue de se détériorier en Syrie

    Pour le quatrième jour consécutif, des combats entre  djihadistes et forces kurdes soutenues par la coalition internationale ont continué de faire rage ce dimanche en Syrie avec un bilan alourdi à plus de 120 morts.

    Déclenchés jeudi soir par un assaut majeur du groupe djihadiste Etat islamique (EI) contre la prison de Ghwayran (nord-est), l’une des plus grandes abritant des djihadistes en Syrie et gardée par les forces kurdes, les affrontements ont poussé à la fuite des milliers de civils dans un froid glacial. L’assaut a été lancé par quelque 100 combattants de l’EI pour libérer leurs camarades de la prison située à Hassaké, une région faisant parie des territoires contrôlés par les Kurdes en Syrie.

    3.500 détenus djihadistes détenus dans la prison

    Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), « 77 djihadistes et 39 combattants kurdes ont été tués » en quatre jours, de même que « sept civils » dans ces combats qui ont lieu dans la prison et aux alentours. Cette attaque est la plus importante revendiquée par l’EI depuis sa défaite en 2019 en Syrie face aux Forces démocratiques syriennes (FDS) dominées par les forces kurdes et soutenues par la coalition internationale antidjihadiste dirigée par les Etats-Unis.

    « Des combats féroces ont éclaté dimanche avant l’aube. Les forces kurdes tentent de reprendre le contrôle de la prison et de neutraliser les djihadistes se trouvant dans les zones environnantes » du centre de détention qui abrite quelque 3.500 djihadistes, a précisé l’OSDH. Les FDS sont soutenues par l’aviation de la coalition internationale.

    Des djihadistes en liberté

    Des membres des FDS ont été déployés en force dans et autour de la prison, recherchant les djihadistes et appelant via des haut-parleurs les civils à quitter le secteur. Les djihadistes « entrent dans les maisons et tuent des gens », a indiqué l’un des civils qui fuyait à pied. Hamcha Sweidan, une femme de 80 ans qui a réussi elle aussi à s’enfuir, a affirmé : « nous allions mourir de faim et de soif ». Et « maintenant nous ne savons pas où aller ». Selon les autorités kurdes, des milliers de personnes ont quitté leurs maisons près de la prison.

    Les assaillants ont indiqué s’être emparés d’armes et avoir libéré des « centaines » de djihadistes. Plus de 100 des évadés ont pu être rattrapés par les forces kurdes mais des dizaines seraient encore en fuite, a indiqué l’OSDH. Des milliers de djihadistes sont détenus dans les centres de détention dans les vastes territoires du nord et nord-est de Syrie sous contrôle des autorités Kurdes. De nombreuses prisons étaient à l’origine des écoles et sont donc mal adaptées pour garder des détenus sur le long terme.

    Une guerre depuis 2011

    Selon les autorités kurdes, quelque 12.000 djihadistes de plus de 50 nationalités – européennes et autres sont détenus dans leurs prisons. Elles réclament en vain depuis des années leur rapatriement. Malgré sa défaite, l’EI parvient toujours à mener des attaques meurtrières grâce à des cellules dormantes.

    Déclenchée en mars 2011 par la répression de manifestations prodémocratie, la guerre en Syrie s’est complexifiée au fil des ans avec l’implication de puissances régionales et internationales et la montée en puissance des djihadistes. Le conflit a fait environ 500.000 morts selon l’OSDH, dévasté les infrastructures du pays et déplacé des millions de personnes.

    20 Minutes


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  • Les 48 passagers d’un vol allant de Paris à Perpignan ont eu la frayeur de leur vie après l’explosion du moteur droit de leur avion.

    Plus de peur que de mal. Vendredi 21 janvier, aux alentours de 20h45, le moteur droit d’un Airbus A318 a explosé et pris feu en plein vol, rapporte L’Indépendant. 48 passagers étaient à bord du vol AF7470, qui reliait Paris à Perpignan, détaille de son côté BFMTV. La scène a eu lieu juste après le décollage, et a créé un vent de panique parmi les personnes présentes. "Il y avait des gens qui se tenaient la main. Franchement, on a tous vu notre dernière heure arriver. On a entendu des gros bruits de pétard. Mon collègue, juste à côté, m'a dit : ‘Regarde, il y a des flammes !’ Effectivement, j’ai vu des flammes d’un mètre cinquante, deux mètres", raconte Johann Reig, passager, à BFMTV.

    "On a eu la peur de notre vie. On s'est vus se crasher et mourir", se remémore un couple également présent à bord, dans les colonnes de L’Indépendant. Suite à cette situation de détresse, un code 7700 a été émis par l’équipage, et le choix a été fait de retourner à Orly. "Une fois que l'avion a été stabilisé, on a senti que nous faisions des virages et qu'on revenait sur Orly [...]. On a atterri tranquillement, comme s'il y avait les deux réacteurs. On voyait bien la maîtrise du pilote", a repris Johann Reig. D’autres témoins expliquent qu’à l’arrivée sur le tarmac d’imposantes fumées étaient visibles. Les passagers ont été accueillis par les pompiers et conduits à l’hôtel pour la nuit, avant que certains d’entre eux ne redécollent le lendemain, écrit L’Indépendant. Tous sont sains et saufs, même si une personne a fait un malaise.

    D’après BFMTV, cet incendie dans le moteur droit est dû au pompage moteur, à savoir l’air qui ne pouvait plus s'évacuer correctement dans le réacteur. Même si le feu s’arrête, le réacteur ne fonctionne plus, ne laissant qu’un seul moteur opérationnel. Le média précise également que les pilotes sont formés à ce genre de scénarios pendant leur apprentissage.

    Capital


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  • Thierry Mugler, le couturier de la démesure, est mort à l'âge de 73 ans

    Thierry Mugler n'est plus depuis ce dimanche 23 janvier, comme l'a annoncé son agent à l'AFP. Au fil des années, l'étoile de la mode avait subi de nombreuses opérations de chirurgie esthétique, un sujet sur lequel il avait accepté de se confier à plusieurs reprises, sans tabou.

    Décédé ce dimanche 23 janvier d'une mort naturelle à l'âge de 73 ansThierry Mugler laisse une marque indélébile dans les cœurs des férus de mode. Son talent indéniable, sa créativité hors norme et sa capacité à prendre des risques ont fait de lui l'un des créateurs les plus respectés de sa génération, lui qui excellait dans tous les domaines. Une vie à cent à l'heure, vécue notamment au côté de son compagnon, Krzysztof Leon Dziemaszkiewicz, qui lui a rendu un vibrant hommage sur les réseaux sociaux. "Tu seras toujours là pour être présent et dans mon cœur. Le seul et unique amour de ma vie. Je n'arrêterai jamais de t'aimer, tu es l'amour de ma vie", a-t-il écrit en légende de clichés sur lesquels il apparaît avec le couturier disparu.

    Thierry Mugler, qui maîtrisait par dessus tout l'art de la métamorphose, avait transposé cette passion dans sa vie privée, en modifiant son apparence physique à l'extrême. "La première urgence était de me réapproprier mon corps, éreinté par mes années de danse et de couture, comme une renaissance, une façon d'effacer le passé", avait expliqué celui qui souhaitait qu'on l'appelle "Manfred T. Mugler". Dans un entretien accordé à Gala en 2017, le couturier fasciné par le monde du spectacle s'était longuement confié sur ses changements physiques, évoquant notamment son corps transformé par le sport. "La construction physique est un art dont on peut sans cesse repousser les limites, du moins jusqu’à sa mort. Deux fois par an, durant deux mois, je m’entraîne jusqu’à 8 heures par jour. J’enchaîne stretching, musculation et méditation. Ce travail du corps fut aussi une renaissance, une façon d’effacer le passé", avait-il expliqué.

    Un accident de gym qui a tout changé

    Pour Thierry Mugler, le sujet de la chirurgie esthétique était loin d'être tabou. Le couturier avait confié être passé sur le billard après un grave accident à la salle de sport, qui l'avait défiguré. "Disons qu'il y a eu des occasions, avec l'accident tant qu'à faire, au lieu de retourner en chirurgie pour enlever des broches en acier, je me suis dit pourquoi pas. Parce que c'est logique. J'aime bien transformer et arranger les gens. C'est logique dans ma recherche d'architecture", avait-il confié sur le plateau de QuotidienUn choix assumé pour celui qui disait de son corps qu'il était "en perpétuel chantier".

    VOICI


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  • L’enfant, très amaigri et présentant des lésions et des ecchymoses, a été hospitalisé à Bourges et confié à l’Aide sociale à l’enfance, a révélé le procureur samedi 22 janvier.

    Un homme de 24 ans et sa compagne de 21 ans ont été mis en examen et placés en détention provisoire pour actes de torture et de barbarie sur leur enfant de quatre ans, a annoncé ce samedi 22 janvier 2022 le parquet de Bourges.

    Les parents ont reconnu avoir « enfermé l’enfant pendant parfois plusieurs jours en le privant d’eau et de nourriture, puis l’avoir attaché […] à son lit à l’aide d’une chaîne et de cadenas », a précisé le procureur de la République Joël Garrigue dans un communiqué de presse.

    Malaise à l’école

    Le petit garçon de quatre ans et demi était également soumis « à des actes de violences et des punitions physiques répétées depuis le mois de septembre 2021 », selon la même source.

    L’enfant a été hospitalisé lundi au centre hospitalier de Bourges après avoir fait un malaise à l’école primaire dans laquelle il est scolarisé. C’est alors que le médecin légiste de l’hôpital a découvert des « lésions traumatiques », des « ecchymoses sur les membres et dans le dos », ainsi qu’une « plaie au cuir chevelu ».

    Dans « un état de très grande maigreur », il a été confié aux services de l’Aide sociale à l’enfance, ainsi que sa sœur d’un an, « qui semble ne pas avoir subi de violences », selon le parquet.

    Ouest-France


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  • Qui est Alexandre Martin, brigadier de l’opération Barkhane tué au Mali lors d’une attaque ?

    Il avait 24 ans. Alexandre Martin, brigadier du 54e régiment d’artillerie de Hyères (Var) a succombé à ses blessures après une attaque menée contre un camp français à Gao, au Mali, samedi 22 janvier. Natif de Rouen (Seine-Maritime), il s’était engagé dans l’armée en 2015 et vivait en concubinage.

    Il est le 53e soldat à avoir trouvé la mort au Sahel depuis 2013. Alexandre Martin, 24 ans, a été tué samedi 22 janvier dans l’après-midi après une attaque menée contre la plateforme opérationnelle désert (PfOD) de Gao, au Mali. Une dizaine de tirs d’obus de mortier ont frappé le camp.

    Grièvement blessé, il a été pris en charge par l’antenne médicale mais il a succombé à ses blessures. Avec lui, neuf autres soldats ont été blessés mais leur pronostic vital n’est pas engagé, a assuré le ministère des Armées dans un communiqué.

    Des missions aux Antilles avant Sentinelle

    Alexandre Martin est né le 5 mars 1997 à Rouen (Seine-Maritime) et il a accompli toute sa carrière au sein du 54e régiment d’artillerie de Hyères (Var). Engagé le 1er septembre 2015, « il fait preuve d’un excellent état d’esprit et d’un bon potentiel » lors de sa formation initiale, rapporte l’armée de Terre.

    Affecté à la 4e batterie comme pointeur-tireur sol-air très courte portée, il est élevé à la distinction de 1re classe le 1er juin 2016. Il sera ensuite déployé sur l’opération Sentinelle, du 4 octobre au 7 décembre 2016. À l’issue de cette mission, il reçoit la médaille de la protection militaire du territoire le 12 décembre 2016. Il reçoit également la médaille de bronze de la défense nationale le 1er janvier 2017.

    Une première mission avec le 3e régiment d’infanterie l’envoie en Guyane en 2017 pour 4 mois. De nouveau projeté en mission de courte durée en Martinique au 33e régiment d’infanterie de marine du 15 juin au 13 octobre 2018, il fait à nouveau preuve « de belles qualités militaires », avance l’armée de Terre. Il est promu au grade de brigadier le 1er décembre 2018.

    Engagé dans l’opération Barkhane depuis octobre

    Alexandre Martin est une nouvelle fois partie prenante de l’opération Sentinelle durant l’été 2019 puis au début de l’année 2021. Il se voit décerner la médaille d’argent de la défense nationale le 1er janvier 2021.

    Le jeune natif de Normandie avait rejoint l’opération Barkhane le 19 octobre 2021. Il est mort à Gao le 22 janvier 2022. Alexandre Martin vivait en concubinage, sans enfant.

    Ouest-France


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  • Accusé d'agression sexuelle, Jean-Jacques Bourdin est écarté "temporairement" des antennes de BFMTV et RMC

    Un retrait, "à la demande de la direction". Le groupe Altice Media, maison-mère de BFMTV et RMC, a annoncé, dimanche 23 janvier, la mise en retrait temporaire de de son présentateur vedette, Jean-Jacques Bourdin, accusé d'agression sexuelle

    "Ce retrait temporaire de l'antenne permettra d'éviter les instrumentalisations politiques et médiatiques de cette affaire", écrit le groupe dans un communiqué, précisant que "cette décision a été prise pour ne pas porter préjudice au fonctionnement quotidien de BFMTV et RMC".

    Altice "rappelle qu'une enquête interne a été ouverte pour s'assurer qu'aucun fait de ce type n'a été porté à la connaissance des salariés et managers de l'entreprise". La durée de la mise à l'écart de Bourdin n'est pas précisée, ni ses modalités juridiques. "L'interview politique de 8h30, sur BFMTV-RMC, sera assurée par Apolline de Malherbe à partir de lundi", a fait savoir le groupe, tandis que l'émission politique "La France dans les yeux", sur BFMTV, sera animée par Bruce Toussaint.

    La déclaration de Pécresse face à lui

    Le parquet de Paris a ouvert le 18 janvier une enquête contre Jean-Jacques Bourdin après le dépôt d'une plainte par une ancienne journaliste de BFMTV. Elle y dénonce des faits remontant à octobre 2013 et à un déplacement professionnel à Calvi (Haute-Corse). Dans sa plainte, elle raconte qu'un matin, entre 6 heures et 7 heures, elle va se baigner dans la piscine de son hôtel et est rejointe par Jean-Jacques Bourdin qui nage à sa hauteur, la saisit par le cou alors qu'elle n'a plus pied et tente plusieurs fois de l'embrasser.

    Elle affirme que le présentateur vedette lui a alors dit : "J'obtiens toujours ce que je veux". "J'ai vécu cette dernière phrase comme s'il me prévenait que tôt ou tard il aurait ce qu'il voulait" et "comme une menace de la part de quelqu'un qui avait un ascendant hiérarchique sur moi", explique-t-elle dans sa plainte. Mis en cause, Jean-Jacques Bourdin conteste les faits. L'enquête a été confiée au commissariat du 16e arrondissement. Elle pourrait aboutir au constat que les faits sont prescrits, puisque le délai en la matière est de six ans, et que la plainte date de janvier 2022.

    Cette affaire a déclenché une vague de réactions dans la classe politique. Face au journaliste mardi soir dans le cadre de l'émission "La France dans les yeux", la candidate Les Républicains à la présidentielle, Valérie Pécresse, a notamment promis que "la loi du silence, c'est fini". Vendredi, le candidat écologiste,Yannick Jadot, a lui annulé un entretien prévu avec le journaliste.

    france infos.


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  • Le pronostic vital de la victime, brûlée au torse et aux bras, n’est pas engagé

    Une femme a été brûlée au visage, au torse et aux bras après avoir été aspergée white-spirit et enflammée par son ex-compagnon à la suite d’une dispute. Les faits sont survenus samedi en fin d’après-midi à Lyon, a-t-on appris dimanche de sources policières. Un témoin a assisté à la scène. Une enquête est en cours pour tentative de meurtre.

     

    Le pronostic de la victime, âgée de 35 ans, n’est pas engagé. L’auteur des faits, qui avait pris la fuite dans un premier temps, s’est ensuite rendu au commissariat du 1er arrondissement de la ville. Il est en garde à vue depuis.

    Selon le dernier bilan du ministère de l’Intérieur, 102 femmes ont été tuées​ par leur conjoint ou ex-conjoint en 2020, après 146 en 2019.

    20 Minutes


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  • Ciblé par de nombreuses rumeurs concernant son état de santé depuis 2020, Julio Iglesias a donné de bonnes nouvelles et a même annoncé un retour sur scène.

    Julio Iglesias serait en mauvaise santé ? Si l’on en croit la rumeur, persistante depuis 2020, le chanteur de 78 ans serait au plus mal. Ces racontars ont commencé après la diffusion d’une photo, prise en République dominicaine, où Julio Iglesias était apparu affaibli, ayant du mal à tenir debout. Cependant, le chanteur a tenu à rassurer ses fans en donnant de ses nouvelles dans l’émission espagnole Elpartidazo de Cope, ce mardi 18 janvier. Si l’on en croit ses déclarations, ces rumeurs ne seraient en aucun cas fondé et il irait même très bien.

    Déjà, sur ses réseaux sociaux, il s’était justifié sur la fameuse photo qui a lancé la rumeur : "J'ai failli me casser la jambe droite et la cheville gauche à cause d’une chute stupide à la maison. Pendant tout ce temps, où j'ai été presque incapable de marcher et de faire mes exercices de récupération, je me suis diverti en plongeant dans le passé", avait-il écrit. Rebelote dans l’émission, où il a ironisé sur ce qu’on dit de lui : "Je vais bien mieux que ce que je peux entendre. Chaque fois que je lis quelque part quelque chose sur mon état de santé, j'ai peur, parce que c’est comme si j’étais déjà mort 15 ou 20 fois. Je ne sais pas comment je peux survivre."

    Un retour sur scène envisagé

    L’interprète de Vous les femmes ou Je n’ai pas changé va si bien qu’il envisage même de reprendre la chanson "dans trois ou quatre mois, si Dieu le veut". "Je suis en forme", a-t-il assuré. L’année dernière, malgré ses difficultés, Julio Iglesias avait même engrangé une petite fortune, après avoir vendu un terrain situé sur l’île d’Indian Creek, en Floride, à Ivanka Trump, la fille de Donald Trump. Montant de la transaction : 32 millions de dollars, soit près de 25 millions d’euros. Cette transaction a en partie été possible grâce aux anciennes relations de Donald Trump avec le chanteur. En effet, les deux hommes étaient proches depuis les années 1990.

    GALA


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  •  La victime a fait une chute d’une quinzaine de mètres, elle était déjà décédée à l’arrivée des secours

    Un jeune homme de 25 ans est décédé ce dimanche matin dans le centre-ville de Grenoble, après avoir chuté accidentellement d’un toit. Les pompiers ont été appelés vers 2h30, rapporte Le Dauphiné Libéré. La victime participait à une soirée, elle s’était absentée pour aller fumer.

    Le jeune homme a décidé de grimper sur le toit de cet immeuble de quatre étages, duquel il a fini par glisser. Il a chuté d’une quinzaine de mètres. Les pompiers n’ont rien pu faire, l’homme étant déjà décédé à leur arrivée.

    Une amie de la victime, qui l’accompagnait lors de la soirée, a été transportée à l’hôpital en état de choc. Une enquête de police a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes du drame.

    20 Minutes

    On n'a pas idée de monter sur un toit pour aller fumer !


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  •  Il était parti du sud du Portugal le 1er janvier

    Le corps de Jean-Jacques Savin, 75 ans, qui avait franchi l’océan Atlantique dans un tonneau en 2019 avant de repartir le 1er janvier pour une traversée à la rame, « a été retrouvé sans vie à l’intérieur de la cabine de son canot », a indiqué samedi son équipe à l’AFP.

    Le Girondin, qui était parti du sud du Portugal, n’avait plus donné signe de vie depuis la nuit de jeudi à vendredi, lorsqu’il avait activé ses deux balises de détresse. Selon son équipe, la sécurité maritime portugaise avait localisé vendredi son bateau retourné au large des Açores. Ce samedi, « un plongeur a pu descendre et visiter l’embarcation », ont expliqué ces bénévoles.

    20 Minutes


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  • Les paroles écrites ne correspondent pas, hélas, à ce que dit Jacques Mailhot !


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  • Eric Zemmour considère que les associations d'aide aux migrants doivent être traitées «comme des ennemis»

    Les associations d'aide aux migrants seront "traitées comme des ennemis" car "elles agissent contre la survie de la France", a déclaré Eric Zemmour vendredi au poste frontière de Menton, dans les Alpes-Maritimes, où il a été accueilli par une centaine de manifestants.

    "Moins de Zemmour, plus d'amour", "vive la France de la diversité et de l'inclusion", pouvait-on lire sur des pancartes brandies par les manifestants, parmi lesquels figurait l'agriculteur Cédric Herrou , poursuivi -puis finalement relaxé en mars- pour avoir convoyé des migrants venus d'Italie et organisé un camp d'accueil en 2016 dans la vallée de la Roya, près de la frontière franco-italienne.

    "Cédric Herrou devrait être en prison"

    "Ces gens agissent contre la survie de la France. Je considère que ce sont des ennemis. Ils seront traités comme des ennemis. Il n'y aura plus de subventions qui seront versées. Je les sanctionne. Cédric Herrou devrait être en prison. Ils sont complices des passeurs", a déclaré à la sortie du poste frontière Eric Zemmour, qui doit tenir samedi un meeting à Cannes. "Ce n'est pas la misère qui fait l'immigration. Ils viennent en France car c'est le marché d'allocations sociales le plus étendu au monde", a fustigé le candidat d'extrême droite.

    "Il n'y aura plus de tolérance envers ces associations qui pourrissent la vie des policiers", a-t-il ajouté, en qualifiant "d'apocalyptique" la timide reprise de l'immigration en 2021, selon les chiffres du ministère de l'Intérieur publiés jeudi. "Ici la police passe son temps à renvoyer des migrants qui reviennent sans cesse", a-t-il encore dénoncé, en proposant de rétablir le délit de séjour irrégulier, et de "remettre en place les charters collectifs de clandestins".

    Demandes d'asile, expulsions, délivrance des visas... Tous les secteurs de l'immigration ont montré de premiers signes de reprise en 2021, après une année 2020 de chute record des flux migratoires due notamment à la crise sanitaire.

    Paris Match


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