• Voici l'un des premiers sketchs de Chevallier et Laspalès qu'ils ont interprété lors d'un "Sébastien c'est fou". A cette occasion Patrick Sébastien leurs remet un petit cadeau...


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  • Indonésie : Prison ferme pour les hommes responsables de la mort de cinq éléphants en 2020

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    Les pachydermes ont été électrocutés par une clôture puis dépouillés de leurs défenses

    Onze personnes ont été condamnées à de la prison ferme ce jeudi en Indonésie pour la mort de cinq éléphants de Sumatra en 2020. Les prévenus avaient installé une clôture à haute tension qui avait tué les pachydermes, et avaient ensuite vendu leurs défenses.

    Les autorités avaient retrouvé après les faits les restes des éléphants dans une plantation de palmiers à huile près d’un village. Le Centre pour la conservation des ressources naturelles avait conclu que les bêtes avaient été tuées deux mois plus tôt par une clôture électrique installée volontairement dans la plantation, notant aussi qu’une partie des dépouilles avait disparu.

    Une espèce dangereusement menacée

    Le tribunal du district concerné, sur l’île de Sumatra, a condamné neuf hommes à des peines allant de 19 mois à plus de trois ans de prison pour braconnage.  « Ces éléphants sont protégés », a indiqué la porte-parole du tribunal, expliquant que les prévenus tombaient en conséquence sous le coup de la loi sur la conservation de l’écosystème et des ressources naturelles.

    La déforestation a réduit drastiquement l’habitat des éléphants de Sumatra et a provoqué une hausse des conflits avec les humains cherchant à protéger leurs exploitations agricoles. Les pachydermes sont aussi tués pour leurs défenses. De nombreux incidents ayant provoqué la mort d’éléphants de Sumatra ont été ainsi rapportés ces dernières années.

    En novembre dernier, un éléphanteau est ainsi mort après avoir perdu la moitié de sa trompe dans un piège tendu par des braconniers. L’agence pour la conservation d’Aceh estime que moins de 500 éléphants de Sumatra subsistent encore à l’état sauvage dans la province. Les agences internationales de conservation estiment à 2.400 les individus en Indonésie.

    20 Minutes


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  • Dans cet élevage, des beagles sont reproduits dans un but précis : fournir des chiens de laboratoire. Et si cette race a été choisie, c'est pour sa docilité.

    Aujourd’hui, Brut, partenaire de « 20 Minutes », dénonce l’une des pratiques les plus critiquées de l’industrie pharmaceutique

    Protégées par des barbelés – ce qui n’a pas empêché les drones de l’ association L214 de réussir à les filmer –, des centaines de cages abritent des beagles. C’est d’ailleurs parce que cette race de chien est réputée pour son bon caractère et sa docilité que l’entreprise Marshall BioResources (MBR) en « élève », ici des milliers d’individus, à des fins expérimentales.

    « Un lieu de souffrance »

    Cet établissement de Gannat (Allier), « l’un des deux élevages français de chiens beagles qui appartient à l’entreprise MBR », selon la conseillère municipale du Parti animaliste à Grenoble (Isère), Sandra Krief, est régulièrement pris à partie par des militantes et militants qui demandent sa fermeture. Cédric Villani, mathématicien et député de l’Essonne, s’insurge également : « C’est un lieu de souffrance où des êtres sensibles, intelligents, sont sacrifiés. »

    Un avis que ne partage pas Ivan Balansard, vétérinaire du CNRS, qui précise que « ces animaux sont suivis par des vétérinaires et qu’une partie d’entre eux finissent par être mis à l’adoption ». Vertueux ou condamnable, ce système a conduit, en France et en 2019, à 1,9 million d’utilisations d’animaux (dont près de 4.900 chiens) à des fins scientifiques. Découvrez les témoignages de ses opposants et de l’un de ses défenseurs dans cette vidéo de notre partenaire Brut.

    20 Minutes


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  • Mort de l’acteur Moses J. Moseley (The Walking Dead) à l’âge de 31 ans

    Moses J.Moseley s’était notamment fait connaître en incarnant Mike, un zombie, dans The Walking Dead. Il se serait suicidé.

    L’équipe de la série The Walking Dead est en deuil depuis l’annonce il y a quelques heures du décès de Moses J. Moseley. Le corps sans vie du comédien, qui n’avait que 31 ans, a été découvert mercredi dernier près d’un pont surplombant une autoroute a annoncé TMZ cette nuit.

    « Un proche nous a raconté qu’ils n’avaient plus eu de nouvelles de Moses depuis dimanche de la semaine précédente. Ils ont appelé les hôpitaux sans succès. Mercredi, ils ont rempli un dossier de disparition de personnes. Ils ont ensuite contacté OnStar qui a géolocalisé la voiture et c’est là que son corps a été découvert », précise TMZ. Si les circonstances de la découverte du corps n’ont pas été officiellement révélées, cette source familiale a affirmé que Moses J. Moseley était mort par arme à feu. La police a de son côté révélé au site américain qu’elle « enquêtait sur un possible suicide ».

    « Il était aimé par tous ceux qui le rencontraient. (…) Moses était une personne magnifique et si vous aviez l’occasion de le rencontrer, il rendait votre journée incroyable. Il était très talentueux, il était un vrai ami, le genre de ceux que vous pouvez appeler pour n’importe quoi. La vie et travailler dans le monde du divertissement l’excitaient tellement », a confié dans un communiqué Tabatha Minchew, son agent. « Nos pensées et nos prières vont vers Moses J. Moseley, le membre de notre famille The Walking Dead », a posté le compte Twitter officiel de la série.

    Âgé de seulement 31 ans, Moses J. Moseley était connu pour avoir incarné Mike, un des zombies de compagnie de Michonne (Danai Gurira) dans The Walking Dead. Il était par ailleurs apparu dans les séries American Soul, Reine du Sud, Watchmen et Tales ainsi que dans une poignée de films de zombies passés inaperçus.

    Our thoughts and prayers are with our #TWDFamily member Moses J. Moseley. pic.twitter.com/ahCrRNA652

    — The Walking Dead on AMC (@WalkingDead_AMC) February 1, 2022

    Clara Kolodny

    Télé 7 jours


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  • Il est 8h20, ce mardi 1er février, quand le père de famille est poignardé "à deux reprises" par sa compagne. Les enquêteurs ont interpellé la jeune femme. Le conjoint est quant à lui décédé vers 9h10. Une funeste matinée qui aurait commencé par des menaces.

    Un homme poignardé deux fois, sa compagne arrêtée

    Les évènements se sont déroulés dans le XXe arrondissement de Paris, rue Botha, dans le quartier de Belleville. Dans l'un des appartements du cinquième étage d'une tour HLM, un couple se dispute. Selon les premières informations du Parisien, les conjoints se seraient querellés au sujet d'une séparation. "Il y a eu une dispute, mais à ce stade, on ne sait pas bien ce qui s’est passé", a confié une source proche du dossier.

    La situation aurait alors mal tourné et la femme de 33 ans aurait saisi un couteau. Elle aurait alors menacé de se suicider. Son compagnon aurait essayé de lui retirer l'arme blanche des mains. C'est alors, que la femme aurait retourné le couteau contre son compagnon, le poignardant par deux fois. "Elle l’a poignardé à deux reprises, au thorax et à l’abdomen", a précisé une source policière au quotidien. Les policiers, alertés par un appel à Police secours, sont intervenus rapidement au domicile du couple. L'homme pris en charge par les ambulanciers est décédé quelques minutes plus tard.

    Des histoires de violences conjugales par le passé

    Parents de 6 enfants, âgés de 5 mois à 12 ans, les compagnons vivaient dans un appartement de 60m2 où les "matelas au sol" étaient déposés, précise une source proche du dossier. Ce jour-là, et comme les autres jours de la semaine, les plus grands des enfants devaient rentrer à la maison le midi pour déjeuner. Ce mardi, leur père est décédé et leur mère a été interpellée et a été placée en garde à vue.

    Le parquet a ouvert une enquête pour homicide aggravé par conjoint. Les enquêteurs quant à eux devront répondre à une question : y a-t-il eu des éléments de légitime défense ? En effet, le couple était déjà connu des services de police. En 2020, la trentenaire avait porté plainte contre son compagnon pour violences conjugales. Ce drame conjugal inhabituel, au regard du triste record des 113 féminicides par conjoints recensés en 2021, est pris très au sérieux. Les services sociaux ont été appelés pour s'occuper des enfants.

    Oh My Mag


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  • C’est une scène glaçante qu’ont capturé les caméras de surveillance du #zoo de Tachkent, en #Ouzbékistan. Une mère a placé sa petite fille au sommet de la barrière d’un enclos enfermant un ours brun avant de pousser délibérément son enfant dans l’antre du plantigrade.

    Par miracle, la fillette de 3 ans ne souffre que des blessures provoquées par sa chute d’une hauteur de 5 m, l’ourse s’étant détournée rapidement de ce visiteur inattendu. Immédiatement alertés, les employés du zoo ont accouru pour isoler le prédateur et porter secours à la petite fille.

    Connue de services de police, la mère est âgée d’une trentaine d’années. Elle risque jusqu’à quinze de prison pour homicide volontaire.

     


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  • Mort de Miss USA 2019 : Cheslie Kryst s'est suicidée à 30 ans en sautant d'un immeuble à New York

    C'est une triste nouvelle qui s'abat sur les État-Unis ce lundi 31 janvier 2022. À seulement 30 ans, Miss USA 2019, Cheslie Kryst se serait donné la mort en sautant du haut d'un building à New York. Sa famille et les Miss du monde entier pleurent sa disparition soudaine.

    Le monde des concours de beauté est en deuil. Ce lundi 31 janvier, nos confrères du New York Post ont annoncé que Cheslie Kryst, l'ancienne Miss USA 2019, s'est suicidée. Un drame qui serait survenu dans la journée de ce dimanche 30 janvier, après que Cheslie Kryst ait posté un dernier message sur Instagram. "Que cette journée vous apporte repos et paix". D'après le journal américain, la jeune reine de beauté âgée de seulement 30 ans aurait sauté de son building à New York où elle vivait, à 7h15 du matin. Selon les premières informations, la jeune avocate de profession aurait été vue seule pour la dernière fois au 29e étage de l'immeuble.

    Cheslie Kryst incarnait "l’amour "

    Un malheur aussi choquant qu'inattendu. Sur les réseaux sociaux de la jeune américaine, très active et proche de ses fans, rien ne laissait prédire un tel drame. Toujours souriante, elle affichait la joie de vivre sur ses photos, et publiait même des vidéos drôles pour amuser ses 349 milles abonnés. "Nous avons la douleur de vous annoncer la mort de notre chère Cheslie. Sa lumière était de celle qui inspire les autres dans le monde, tout comme sa beauté et sa force", a indiqué sa famille dans un communiqué. "Cheslie a incarné l’amour et a servi les autres, que ce soit par son travail d’avocate ou dans sa lutte pour la justice sociale, en tant que Miss USA et en tant qu’animatrice sur EXTRA", ont ajouté ses proches.

    Les Miss en deuil

    Cette triste nouvelle touche bien entendu ses fans, ses proches mais aussi ses consœurs à travers le monde entier. C'est en 2017 que Cheslie Kryst a été élue Miss Caroline de Nord. Elle a ensuite remporté le prestigieux titre de Miss USA à l'âge de 28 ans. La jeune femme a décidé de mettre sa carrière d'avocate de côté pour se consacrer à sa nouvelle vie de reine de beauté, ce qui lui a permis de rencontrer du beau monde comme les Miss France. Ophély Mézino (première dauphine de Vaimalama Chaves qui a participé au concours Miss Monde) et Amandine Petit ont partagé leur tristesse sur les réseaux sociaux ce matin. Iris Mittenaere lui a également adressé un touchant message dans sa story Instagram : "Mon cœur souffre. Repose en paix mon doux ange… Tu vas nous manquer".

    Télé Loisirs


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  • Neuf personnes ont perdu la vie samedi à Las Vegas, dans l’ouest des Etats-Unis, dans un carambolage. Un conducteur qui avait grillé un feu rouge est entré en collision avec cinq autres véhicules, a indiqué la police. Une personne était en outre dans un état critique après cet accident dans la ville du Nevada aux nombreux casinos.« Nous n’avons pas vu d’accident de la route aussi meurtrier dans le passé », a déclaré le porte-parole de la police Alexander Cuevas. La vitesse serait également en cause Vers 15h00, un véhicule Dodge Challenger a grillé un feu rouge à un carrefour, roulant à « grande vitesse », a déclaré le porte-parole lors d’une conférence de presse. Il a ensuite « percuté de nombreux véhicules, entraînant le chaos », a-t-il ajouté, précisant que l’accident avait impliqué six véhicules et 15 personnes. Les occupants du véhicule fautif ont tous perdu la vie.

    Le Parisien


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  • La scène s’est déroulée ce samedi en plein centre-ville, dans une enseigne située sur la Canebière

    Une scène assurément choquante pour les témoins. Ce samedi, à Marseille, un homme s’est tranché la gorge dans un commerce spécialisé dans les articles de maison, rapporte France 3. La télévision publique explique que cet individu serait entré dans le magasin, avant de se rendre au rayon des couteaux de cuisine et de se saisir de l’un d’eux pour mettre fin à ses jours.

    Le magasin se situe en plein centre-ville, sur la Canebière. Il a gardé rideaux baissés toute l’après-midi. Les policiers de l’identification criminelle se sont rendus sur les lieux de ce suicide.

    20 Minutes


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  • Nourritures rationnées, hygiène déplorable et prise en charge minimale des résidents : le récit de Victor Castanet, dans Les Fossoyeurs, raconte l’enfer vécu par les résidents des Ehpad du groupe privé Orpea et dénonce tout le système lucratif qui s’est bâti autour de ce secteur. Les révélations de ce livre ont sonné très juste pour beaucoup de familles dont les proches sont dans ces établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). "Les résidents étaient couchés en deux minutes, jetés sur le lit comme des sacs de linge sale. C’était une catastrophe", témoigne Sophie. 

    "Des conditions abominables"

    Sophie, habitante de Lyon de 46 ans, n’a pas été surprise en tournant les pages. Elle connaît bien le problème des négligences en Ehpad. Sa mère, atteinte d’une maladie neurologique, a résidé pendant deux ans dans une structure d’accueil privée. Elle y a vécu "dans des conditions abominables". "Quand j’arrivais le matin, il y avait un mètre de diamètre d’urine et de selles sous son lit…", raconte-t-elle. "Le nombre de protection est rationné, quand les résidents avaient fait sur eux, on ne les changeait pas si ce n’était pas l’heure."

    Après deux ans de calvaire pour sa mère et un dialogue impossible avec la direction, Sophie a décidé de retirer sa mère de l’établissement. Elle vit désormais avec elle. "C’est le jour et la nuit, elle va beaucoup mieux maintenant qu’elle est chez moi. J’aurais dû le faire bien plus tôt."

    Monique a pris la même décision, il y a quelques années pour son père résidant dans une Ehpad d’Orpea à Alençon car "le personnel n’était pas formé pour s’occuper de lui, surtout au niveau psychologique".

    30 ans de manque de moyens

    Ce quotidien n’est pas une surprise non plus pour Sabrina Deliry, cofondatrice de l’observatoire de l’âge et du cercle des proches aidants. Elle dénonce un manque cruel de moyens financiers et humains qui serait à la source de tous ces maux. "Cela fait 30 ans que cette maltraitance institutionnelle existe dans tous les établissements de France", déplore-t-elle. "En moyenne, il y a une aide-soignante pour 10 résidents, elles n’ont pas le temps de s’occuper comme elle le souhaiterait de chaque personne, de doucher tout le monde tous les matins… C’est toujours la course !"

    En plus des moyens supplémentaires, Sabrina milite avec son organisation pour la création d’un organe de contrôle indépendant de la vie dans les Ehpad. Elle espère que ce livre sera "un électrochoc qui suscitera l’intérêt des politiques pour la dépendance et le grand âge".

    Europe 1


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  • La crise des opiacés aux Etats-Unis touche même les plus jeunes . Mi-janvier, un adolescent de 13 ans a été retrouvé mort au collège après avoir succombé à une overdose. L’enquête vient de révéler qu’au moins 100 sachets de fentanyl - un opioïde synthétique jusqu'à 100 fois plus fort que la morphine - avaient été découverts dans sa chambre dans le Connecticut. Une quarantaine de sachets avait déjà été trouvée dans l’établissement où le jeune garçon est mort, s’effondrant dans le gymnase. «Ce fentanyl a été emballé de la même manière que les sacs trouvés à l'école, avait le même tampon d'identification et testé à un niveau de pureté encore plus élevé», a déclaré la police de Hartford dans un communiqué, obtenu par le «New York Post ». «Nous pouvons dire avec confiance que le fentanyl qui a causé l'overdose était le même fentanyl qui se trouvait dans la chambre du mineur». Les autorités ont ajouté qu’après avoir analysé ce fentanyl, elles ont découvert que son niveau de pureté était particulièrement élevé, situé entre 58% et 60% alors que la moyenne de cette drogue est généralement autour de 2%. Avec une drogue pure à un tel niveau, «cela devient très, très dangereux et mortel, surtout pour un enfant léger», ont commenté les autorités.

    Une menace pour quiconque entre en contact avec cette drogue

    Les Etats-Unis traversent une grave crise liée aux opiacés. En novembre dernier, le pays a enregistré un record de plus de 100 000 décès par overdose sur un an durant la pandémie, les autorités américaines s'alarmant des ventes illégales de fentanyl. Entre avril 2020 et avril 2021, le pays a dénombré 100 306 overdoses fatales, soit une augmentation de 28,5% par rapport à la même période l'année précédente (78 056 décès), selon des chiffres provisoires des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC). C'est la première fois que la barre symbolique des 100 000 décès est dépassée. Cela signifie un décès toutes les 5 minutes.

    Suite à ce décès, les autorités, aidées de chiens renifleurs, ont fouillé tout l’établissement à la recherche d’autres drogues. Le chef de la police a expliqué que tous les élèves et employés des lieux avaient dû décontaminer leurs chaussures au cas où elles contenaient encore des traces de drogue, rapportait CNN . «Tout le monde dans l'établissement a dû passer sous une solution d'eau de Javel et d'OxiClean qui dissout et neutralise le fentanyl avant d'être autorisé à quitter le bâtiment», a expliqué le chef Jason Thody. La chaîne américaine rappelait que le fentanyl peut représenter une menace pour quiconque entre en contact avec cette drogue. Il peut être absorbé par la peau ou accidentellement inhalé, et un quart de milligramme peut déjà être mortel. Le collège a ensuite été fermé afin d’être nettoyé.
    Paris Match

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  • Le maire de Marseille a expliqué vouloir récupérer les compétences attribuées à la métropole en matière de ramassage des déchets.

    "J'en ai marre de sortir tous les matins de chez moi dans une montagne de poubelles, comme l'ensemble des Marseillais." Alors que les éboueurs de Marseille sont en grève pour la troisième fois en l'espace de quatre mois, le maire de la ville a exprimé sa colère dans un entretien accordé à La Provence.

    Si le ramassage des ordures est une compétence qui appartient à la Métropole d'Aix-Marseille-Provence depuis de nombreuses années, Benoît Payan a regretté recevoir "tous les jours" des courriers d'habitants qui pensent que c'est à la mairie de s'en charger. Mais puisque "depuis quatre mois, la ville est restée sale", le maire de Marseille a déclaré vouloir mettre fin à cette situation.

    "Maintenant je dis: ça suffit. Je souhaite, je veux et j'exige que la ville soit propre. J'en ai marre de sortir tous les matins de chez moi dans une montagne de poubelles, comme l'ensemble des Marseillais."

    Benoît Payan s'est dit "pieds et poings liés car la Métropole fait l'autruche" alors qu'il aurait "hurlé et répété" qu'il voulait que la ville récupère les compétences de ramassage des déchets.

    "Que fait-on dans la Métropole?"

    Pour sortir de cette situation, le maire de Marseille en appelle à la "solidarité métropolitaine".

    "La Métropole nous dit que la ville est sale à cause de l'absence de 20 agents? Ce n'est pas compliqué: puisqu'on est dans le Métropole, il faut aller les chercher à Lamanon, à Istres, à Gémenos, à Aix... Sinon, que fait-on dans la Métropole?" s'est-il interrogé avant de poursuivre: "on ne trouve Marseille que pour payer les impôts. Cela ne marche pas. Le dialogue social est certes difficile mais lorsque l'on regarde d'autres villes de la Métropole, elles sont propres. Peut-être parce que les agents sont mieux traités, mieux payés et qu'on y met le paquet..."

    En tout cas, il a assuré que "cette affaire ne va pas durer longtemps". "J'en ai marre de voir les Marseillais être pris en otage. Qu'ils se parlent et qu'ils reprennent le travail au plus vite. Si je dois me mettre au milieu je le ferais. Peu importe qui a tort et qui a raison".

    Troisième grève

    Si la métropole Aix-Marseille-Provence a annoncé augmenter le nombre de tournées pour nettoyer le littoral ce week-end en prévision d'un épisode venteux, le bras de fer continue entre la collectivité et le syndicat majoritaire chez les agents de collecte des déchets, Force ouvrière.

    Ce dernier a été assigné en référé par la Métropole qui demande la levée des blocages des centres de transfert et des garages où se trouvent les camions benne. La métropole a également effectué une nouvelle requête auprès de la préfète de police ce mardi pour obtenir une nouvelle réquisition d'agents.

    BFM.TV


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  • Les agents étaient venus chercher leur collègue, ils ont trouvé un cadavre. Un policier absent à sa prise de service en Seine-Saint-Denis est toujours activement recherché ce samedi matin après qu’une femme a été découverte morte dans une baignoire dans un appartement à Paris vendredi soir, a-t-on appris de source policière.

    «Suite au signalement d’un policier n’ayant pas pris son service au Blanc-Mesnil [Seine-Saint-Denis], des policiers se sont rendus dans un appartement du XIXe arrondissement», dans le nord-est de la capitale, a indiqué cette source. «Sur place, ils ont découvert le corps d’une femme dont les circonstances du décès sont ignorées à ce stade. Le policier est recherché», a-t-on ajouté.

    Le compagnon de la victime

    L’homme recherché avait fait l’objet en 2019 d’une alternative aux poursuites pour des violences conjugales sur une autre personne, a confirmé une source judiciaire. Il «avait fait l’objet d’une convocation pour un stage de sensibilisation aux violences conjugales», selon une deuxième source policière. Une enquête a été ouverte pour «homicide volontaire sur concubin», selon une source judiciaire. Elle a été confiée au deuxième district de police judiciaire. L’autopsie de la victime est prévue samedi après-midi.

    Aux alentours de minuit hier soir, un périmètre de sécurité était installé dans le quartier pour bloquer la circulation autour de l’immeuble et des effectifs de police judiciaire étaient sur les lieux, a constaté un journaliste sur place.

    Selon le Parisien, le policier recherché serait le compagnon de la victime. Il est désormais considéré, jusqu’à preuve du contraire, comme en fuite. Il circulerait à bord d’une Peugeot 208 de couleur blanche, et serait probablement muni de son arme de service.

    Mise à jour : à 11 heures 15, ajout des antécédents judiciaires du policier

    Libération


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  • Est-ce un phénomène de série ? Un nouveau patient s’est enfui de l’hôpital psychiatrique Gérard Marchant de Toulouse vendredi, a indiqué l’Agence régionale de santé d’Occitanie. Il s’agit de la quatrième fugue d’un individu dangereux en dix jours dans la Ville rose.

    Ce patient toujours en fuite, âgé de 43 ans, est connu pour des faits de viol, a-t-on appris d’une source proche de l’enquête. Il est le troisième, en moins de deux semaines, à s’échapper de cet hôpital psychiatrique situé au sud de Toulouse. «Des mesures supplémentaires de sécurisation avaient été demandées par le directeur général de l’ARS Occitanie dans les services de psychiatrie à Toulouse, pour éviter toute nouvelle fugue de patient», explique pourtant l’ARS dans un communiqué.

    Le «cannibale des Pyrénées»

    Ces mesures, qui visaient directement l’hôpital Gérard Marchant et le centre hospitalier universitaire Purpan de Toulouse, impliquaient entre autres «la sécurisation des entrées et sorties» et «le renforcement de la surveillance des patients», précise l’institution.

    La semaine dernière, deux patients de ce même hôpital psychiatrique de Toulouse avaient également fugué, avant d’être localisés quelques heures plus tard, et internés à nouveau. Ces deux hommes, soupçonnés de meurtres, avaient été considérés pénalement irresponsables et n’avaient pu être jugés.

    Le premier, un ancien militaire de 34 ans surnommé le «cannibale des Pyrénées», s’est échappé de l’hôpital Marchant le 19 janvier, avant d’agresser une femme de 72 ans qui promenait son chien dans un quartier résidentiel de Toulouse. Il avait été mis examen en 2013 pour homicide volontaire et actes de cannibalisme. Le deuxième, âgé de 48 ans, impliqué dans un homicide en 2010, s’est enfui dimanche, avant d’être interpellé par la police.

    L’Agence régionale de santé Occitanie a annoncé avoir demandé à la direction de l’hôpital Marchant l’ouverture d’une enquête administrative et a diligenté une mission d’inspection.

    Jeudi, un troisième patient en psychiatrie s’était échappé d’un autre établissement toulousain, l’hôpital Purpan, avant d’être retrouvé quelques heures plus tard en centre-ville pour être ramené à l’hôpital. En 2017, il avait délibérément foncé sur trois étudiantes chinoises au volant de sa voiture dans une localité de la périphérie de Toulouse.

    Libération


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  • À Toulouse, trois patients se sont évadés des unités psychiatriques de deux hôpitaux en l'espace de huit jours. Hier, c'est un "déséquilibré" jugé "très dangereux" qui s'est échappé pendant plusieurs heures.


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  • Serge Lama frappé par le cancer : son long message sur les réseaux sociaux… qui donne les larmes aux yeux !

    Après l'annonce de Florent Pagny concernant son état de santé, Serge Lama a tenu à adresser un message à son ami. Une publication qui a suscité de vives réactions.

    Ce mardi 15 janvier 2022, Florent Pagny annonçait une terrible nouvelle sur ses réseaux sociaux. « Bonjour, je dois faire une annonce un peu particulière. Je ne vais pas pouvoir continuer ma tournée des 60 ans. Je dois annuler l’ensemble de mes concerts suite à un problème de santé. En effet, on vient de me diagnostiquer une tumeur aux poumons, une tumeur cancéreuse. Pas très sympathique. Ça ne peut pas s’opérer donc je dois rentrer dans un protocole de six mois de chimiothérapie et de rayons X. Ce qui fait que je suis désolé. Mais bon vous savez tous que dans la vie, le plus important c’est la santé. Quand on a un problème, il devient prioritaire. C’est ce qui explique la raison pour laquelle je ne pourrais pas honorer mes engagements ». Une révélation choc qui a très vite suscité de vives réactions.

    Et si les fans étaient nombreux à souhaiter « bon courage » à l’artiste, les célébrités ont aussi voulu lui apporter tout le soutien nécessaire. Ainsi, sur Instagram comme sur Twitter, les posts se sont multipliés. Pascal Obispo, David Hallyday, Jenifer. Les amis proches du chanteur n’ont pas hésité une seule seconde avant de rendre hommage au musicien. Serge Lama n’a donc pas dérogé à la règle. L’interprète du titre « Je suis malade » a aussi partagé un poignant message. « Très cher @pagny_officiel, Sur ta vidéo je t’ai vu vaillant, déterminé, combatif, tel que tu es et je suis persuadé qu’une telle attitude devant la fatalité te sera d’un grand secours. Nous réentendrons avec plaisir ton franc-parler dans "The Voice" cette année. Et ta tournée remise aura un succès sans précédent. Tu sais regarder la vérité en face et cela va t’aider dans cette dure épreuve. On ne se connaît pas tant que ça, mais sache que d’ores et déjà je t’envoie mes pensées positives. T’es un vrai mec et les vrais se font rares. Courage et détermination mon ami. Je crois aux choses d’en haut et je penserai à toi de toutes mes forces durant cette douloureuse épreuve. Ton ami. Serge Lama ». Une touchante déclaration.

    Public


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  • Stéphane Bern bat un record du monde en vendant un bien à un prix jamais atteint

    Ce mardi, Stéphane Bern a vendu la quasi-totalité des biens de son ancien appartement parisien aux enchères. Une vente qui lui a permis d'empocher un sacré pactole, comme le révèle Le Parisien.

    Stéphane Bern n'aime plus Paris ! Comme de nombreuses autres célébrités, l'animateur de 58 ans a choisi de fuir la capitale. Selon lui, la qualité de vie s'y serait considérablement dégradée. "Je suis toujours émerveillé par sa beauté, mais je déplore un laisser-aller général, et même un certain enlaidissement. Paris est devenue une poubelle où les gens se débarrassent de tout, n’importe où et n’importe comment. Où est passée la Ville Lumière ?", s'était-il indigné dans les colonnes du Parisien.

    C'est donc en province, dans Le Perche plus précisément, qu'il a trouvé refuge avec son compagnon Yori Bailleres. L'animateur de Secrets d'histoire y est propriétaire d'un collège royal du XVIIIe siècle, dans la commune de Thiron-Gardais, qu'il entend bien rénover. Mais qui dit travaux dit dépenses... Alors pour trouver les fonds, Stéphane Bern a décidé de vendre aux enchères les biens de son ancien appartement du IXème arrondissement de Paris. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que la récolte a été bonne !

    Stéphane Bern se dit satisfait des enchères

    Quelque 300 tableaux, fauteuils, tables, guéridons, tapis, vaisselle et autres bonnes bouteilles de vin appartenant à Stéphane Bern ont été mis en vente, avec des estimations allant de 50 à 30 000 euros. Des biens qui ont attiré "beaucoup de monde pendant les jours d'exposition". "Des curieux mais aussi des acheteurs. Il y avait de l’intérêt en France mais aussi un peu partout en Europe et même aux États-Unis", précise le commissaire-priseur Benoît Derouineau dans les colonnes du Parisien. La quasi-totalité des biens est partie, lui permettant d'empocher pas moins de 300 000 euros, ce qui représenterait environ 1,75 fois les estimations.

    Grâce à cette vente, Stéphane Bern a même battu un record du monde : deux tables Marguerite du designer Hubert Le Gall, estimées à 12 000 euros, sont parties à 56 000 euros, un prix jamais atteint selon le Parisien. Mais d'autres objets ont fait leur effet, comme un portrait d’Élisabeth-Christine de Brunswick, la grand-mère de Marie-Antoinette, vendu à 36 000 euros, ou un lustre du designer Hervé van Straeten, adjugé à 30 000 euros alors que l'animateur en attendait 15 000. "Je suis plutôt satisfait. C’était de bonnes enchères…", conclut Stéphane Bern auprès du quotidien. C'est peu de le dire !

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  •  Lors du contrôle d’un fourgon, les membres de la brigade ont trouvé dans un sac noir 613 kg de drogue de synthèse

    Lorsque les douaniers ont contrôlé un fourgon le 19 janvier à Millau, en Aveyron, ils ne s’attendaient certainement pas à faire une saisie de cette envergure. Caché au milieu de plusieurs cartons, un sac noir contenait une poudre blanche à l’aspect de cristaux. Les membres de la brigade décident alors de faire des tests, qui réagissent rapidement, notamment à la kétamine et aux « sels de bain », substances qui imitent les effets de l’ecstasy.

    Le sac pèse 613 kg. Les douaniers envoient alors des prélèvements à un laboratoire spécialisé de Marseille (Bouches-du-Rhône) qui leur révèle qu’il s’agit de cathinones, une drogue de synthèse. Selon les calculs de la direction régionale des douanes, cette marchandise pourrait se revendre 9,194 millions d’euros.

    Une saisie exceptionnelle, « qui, sur ce type de stupéfiant, n’a pas d’équivalent en termes de volume au cours des dernières années en France, voire en Europe ». Le chauffeur, qui venait d’Espagne et se rendait aux Pays Bas, a été confié à la police judiciaire de Montpellier.

    20 Minutes


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