• La mère du garçon de 10 ans découvert mort jeudi midi à Ferrières-en-Brie (Seine-et-Marne) a été interpellée ce vendredi à 10h30 dans le centre de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne) chez une soeur.

    Ce ne sont pas ses proches qui l’ont dénoncée ni même elle qui s’est rendue à la police, c’est le résultat de l’enquête menée par la brigade criminelle de la Direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) de Versailles depuis la découverte du corps sans vie de l’enfant, placé dans une valise jetée dans une benne près du domicile familial. Suspect numéro 1 dans l’enquête sur la mort de son fils, la femme de 33 ans, décrite comme souffrant de troubles psychologiques, a été placée en garde à vue dès son arrestation. Selon nos informations, elle est de taille moyenne et de corpulence mince. Elle est en cours de transfert vers les locaux de la DRPJ de Versailles, où elle sera interrogée sur les circonstances du décès de son fils et de la tentative de dissimulation de son cadavre. En effet, le corps de l’enfant, probablement mort poignardé, a été trouvé placé dans une valise elle-même jetée dans une benne à gravats à une centaine de mètres de leur domicile. Elle devra aussi s’expliquer sur sa fuite chez une soeur dans le Val-de-Marne. Une psychologue scolaire à l’école bien que l’enfant n’y était pas scolarisé Les policiers interviennent dans le cadre de l’enquête pour homicide volontaire sur mineur de moins de 15 ans ouverte jeudi par la procureure de la République de Meaux. L’autopsie du corps de l’enfant devrait avoir lieu ce vendredi à l’Institut médico-légal à Paris. Maire de Ferrières-en-Brie, Mireille Munch (Cap Ecologie) se dit « bouleversée par la mort de l’enfant » et « soulagée d’apprendre que la mère a été arrêtée vivante ». Face à ce « drame familial », elle préfère « laisser l’enquête se dérouler ». Elle l’a d’ailleurs publié sur la page Facebook de la commune : « Nous partageons complètement la détresse de cette famille mais il faut laisser l’enquête se dérouler ». L’élue a aussi publié des informations à destination des parents d’écoliers qui s’inquiéteraient de l’impact psychologique de la nouvelle sur leurs enfants. « L’Education nationale a mandaté une psychologue scolaire au groupe scolaire de la Taffarette pour répondre aux éventuelles questions des enfants, même si cet enfant n’était pas scolarisé à Ferrières-en-Brie et même si cette famille était arrivée très récemment sur la commune », a-t-elle publié ce vendredi matin. « On espère avoir des réponses avec l’enquête » Rue des Mimosas, ce vendredi matin, des habitants de Ferrières-en-Brie sont postés devant la maison de la famille au cœur du drame. Un pavillon à l’architecture moderne et aux murs blancs, fraîchement sortie de terre comme le reste du lotissement. « C’est la stupéfaction car on se dit que ça arrive toujours ailleurs ! On n’arrive pas y croire, c’est une commune tranquille où vivent plutôt des personnes âgées et des foyers aisés. Je l’ai appris ce jeudi alors que je conduisais mon autocar. Un ami m’a envoyé une photo de cars de CRS puis un article sur la disparition inquiétante d’un garçon. Je me suis dit qu’ils allaient le retrouver mais quand j’ai appris, j’ai eu envie de vomir. C’est choquant si c’est la mère car elle l’a porté dans son ventre, elle l’a allaité, elle l’a sevré et a joué avec lui. J’ai six neveux et deux nièces, on se met à la place des enquêteurs qui ont retrouvé le corps », témoigne Karim*, un chauffeur d’autocar de 37 ans, qui habite le centre-ville. « J’ai appris par la mère d’un ami qu’il y avait de nombreux CRS sur place, puis un article a confirmé. Quand nous sommes venus ici, nous avons constaté un déferlement de policiers et d’enquêteurs. Nous sommes tous choqués, on se dit que ça n’arrive que dans les films et que ça ne peut pas avoir lieu ici ! », confie Léo*, 21 ans, qui croit avoir identifié la benne où s’est déroulée la macabre découverte. « On espère avoir des réponses avec l’enquête, car c’est une âme qui a été retirée froidement de ce monde. S’il y a une marche blanche évidemment que j’y participerai », renchérit Karim. Une éventualité pour le moment écartée par la maire de Ferrières-en-Brie, Mireille Munch (Cap écologie). « Ce n’est pas prévu pour le moment. Respectons la mémoire de ce petit garçon et laissons l’enquête se dérouler », insiste la première magistrate. * Les prénoms ont été changés Plus d’informations à venir…

    Le Parisien


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  • Un agent administratif du commissariat de police de Rennes s'est suicidé ce jeudi en se jetant du toit de l'immeuble, a-t-on appris auprès du parquet de Rennes.

     

    "Un personnel administratif du commissariat de police de Rennes, né en 1987, est décédé ce jour vers 12h10 en se jetant volontairement depuis le haut de l'immeuble du service", a indiqué à l'AFP le procureur de la République de Rennes, Philippe Astruc.

    "Un magistrat du parquet de Rennes s'est rendu sur place dans le cadre de l'enquête en recherche des causes de la mort", a-t-il ajouté.

    Depuis le début de l'année, neuf policiers et un gendarme se sont suicidés en France.

    BFM.TV


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  • Dans la neige y'avait deux souliers
    Deux souliers
    Dans la neige qui étaient oubliés
    Passe un homme qui marche à grands pas
    À grands pas
    Passe un homme qui ne les voit pas
    Le deuxième dans la nuit glacée
    Le deuxième glisse il est pressé
    Le troisième met le pied dessus
    Le troisième n'a rien aperçu !
    Dans la neige y'avait deux souliers
    Deux souliers
    Dans la neige qui étaient oubliés
    Une femme qui regarde mieux
    Garde mieux
    Une femme ne croit pas ses yeux
    Le prochain dit : "Ils sont trop petits"
    Le prochain trop vite est reparti
    Combien d'hommes qui passent sans voir
    Combien d'hommes qui n'ont pas d'espoir
    Quelle chance , je suis arrivé , arrivé
    Quelle chance , je les ai trouvés
    J'ai couru nu-pieds tant de chemins
    De chemins
    j'ai couru , j'les prends dans ma main
    Je les chauffe ils sont encore froids
    je les chauffe en les gardant sur moi
    Oh miracle , les petits souliers
    Oh miracle , sont juste à mon pied
    Dans la neige ils m'étaient promis
    Dans la neige je cherche une amie
    Mmm Mmm Mmm Mmm ... .. .


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  • Yala était « décrite par ses soigneurs comme étant à la fois douce, gentille et très tolérante avec tout de même un caractère entier et bien marqué afin de définir sa place », rapporte le zoo. Jawi, s

    Il était le doyen des gorilles mâles. Ozzie, star du zoo d'Atlanta, aux États-Unis, est mort le 25 janvier dernier, selon les informations de CNN

    La cause de la mort de ce gorille de près de 160 kg n'est pas encore connue. En septembre dernier, comme une douzaine d'autres gorilles des plaines de l'Ouest du zoo d'Atlanta, Ozzie avait été contaminé par le Covid-19 et présentait de légers symptômes. Depuis une semaine, l'animal était faible et avait fortement perdu l'appétit.

    Véritable légende du zoo, Ozzie était le dernier survivant de la première génération de gorilles arrivés à l'occasion de l'ouverture, en 1988. « C'est une perte dramatique pour le zoo », explique son dirigeant, Raymond B. King, dans un communiqué.

    Une vingtaine de descendants

    « Ce que la vie d'Ozzie a apporté restera immuable, poursuit-il, à travers les générations d'individus qu'il laisse derrière lui dans la population des gorilles comme à travers les connaissances qu'il a apportées au monde entier sur les méthodes à employer pour prendre soin de son espèce. Nos pensées vont aux membres de son équipe de soigneurs, qui perdent une partie de leur vie et de leur coeur. »

     

    Selon Beauval Nature, il ne subsisterait « plus que 150 000 à 250 000 gorilles des plaines de l'Ouest dans la nature », tandis qu'environ « 800 individus » vivraient dans des zoos. WWF précise que plus de 60 % de la population de cette espèce a disparu au cours de ces 25 dernières années. Ozzie a eu plus d'une vingtaine de descendants, qui vivent au zoo d'Atlanta ou dans d'autres établissements des États-Unis et du Canada.

    Le Point


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  • Au zoo de La Flèche, la femelle gibbon Yala, doyenne du parc, est morte à l’âge de 40 ans

    Elle était la doyenne du zoo de La Flèche (Sarthe). Yala, femelle gibbon de 40 ans, est décédée « récemment », a annoncé le parc animalier, ce jeudi 27 janvier sur les réseaux sociaux.

    C’est une triste nouvelle qu’a annoncé le zoo de La Flèche (Sarthe), ce jeudi 27 janvier 2022, sur les réseaux sociaux : « Yala, femelle gibbon à favoris blanc, nous a quittés récemment », écrit le parc animalier. Âgée de 40 ans, elle était la doyenne du parc. Son décès intervient quelques jours après l’annonce de la disparition de l’otarie Wally.

    Yala était « décrite par ses soigneurs comme étant à la fois douce, gentille et très tolérante avec tout de même un caractère entier et bien marqué afin de définir sa place », rapporte le zoo. Jawi, son compagnon de vie depuis de très nombreuses années, « apprend aujourd’hui doucement à vivre seul ».

    Du diabète diagnostiqué

    Le parc animalier rappelle qu’un « diabète très avancé avait été diagnostiqué chez Yala » en 2021. « Divers protocoles vétérinaires avaient été mis en place afin de préserver sa santé et son bien-être. » Un capteur avait notamment été placé dans son bras, permettant aux équipes de suivre précisément l’évolution du glucose dans le sang et les réactions aux traitements.

    Ouest-France


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  • Ce mercredi 26 janvier 2022, aux alentours de 12 h, une femme est décédée après avoir été heurtée par un camion d’une société privée de ramassage des déchets qui reculait à Carantec (Finistère).

    Une octogénaire, habitante de Carantec (Finistère), est décédée après avoir été renversée par un camion à ordures, au niveau de la rue Maréchal-Foch, ce mercredi 26 janvier 2022, aux alentours de 12 h. Il s’agit d’un véhicule d’une société privée de ramassage des déchets.

    « Derrière le restaurant La Table de Ty Pot »

    L’accident s’est déroulé dans le bourg de Carantec, « derrière le restaurant La Table de Ty Pot », selon Nicole Ségalen-Hamon, maire de la commune.

    Selon les premiers éléments, il semblerait que « le camion ramassait les poubelles comme à son habitude, et a reculé » sans voir qu’il y avait quelqu’un derrière.

    La maire, les gendarmes, les pompiers et les services techniques de la mairie sont sur place.

    Le chauffeur du camion, très choqué, a été emmené au centre hospitalier des Pays de Morlaix. Il était négatif au dépistage d’alcool et de stupéfiants.

    Ouest-France


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  • L’affaire a débuté quand quelques professionnels de santé ont commencé à recevoir des cartons de tests antigéniques… sans même les avoir commandés. Derrière ces envois : des pharmaciens parisiens, qui auraient organisé un système de commandes de milliers de kits de dépistage dont le nombre était surévalué au moment de les facturer à la Sécurité sociale, qui les rembourse. Intriguée par le montant particulièrement salé de certaines factures, la caisse primaire d’assurance maladie de Paris a fini par effectuer un signalement à la justice.

    Après plusieurs semaines d’enquête, un pharmacien de 46 ans a été mis en examen le 17 décembre pour «escroquerie en bande organisée» par une juge d’instruction du tribunal judiciaire de Paris et placé en détention provisoire. Il est soupçonné d’avoir détourné 18 millions d’euros par le biais de ce système de surfacturation. Un de ses confrères a été placé en garde à vue, puis remis en liberté, après avoir été interrogé sur une facture de quatre millions d’euros de vente de tests. D’importantes sommes en cash ont été retrouvées par les policiers dans l’une des pharmacies et des saisies pénales sur plusieurs comptes bancaires ont été demandées par la justice.

    Arnaque à grande échelle

    Une grosse faille du système d’approvisionnement en tests antigéniques serait à l’origine de la fraude. Les pharmaciens ne sont pas uniquement compétents pour pratiquer des dépistages. Ils ont en outre la possibilité d’approvisionner en tests tous les professionnels de santé : infirmières, médecins généralistes, kinésithérapeutes… Dans ce cas de figure, ils sont ensuite remboursés par l’assurance maladie pour les stocks ainsi délivrés. C’est précisément ce qui a permis la mise en œuvre de cette arnaque à grande échelle. En effet, il n’y a pas de contrôle systématique entre le nombre de tests facturés et ceux effectivement commandés (et livrés).

    Libération a d’ailleurs pu constater qu’un véritable démarchage est opéré auprès des médecins généralistes ou des cabinets infirmiers pour les inciter à commander des tests. Des e-mails ainsi libellés sont envoyés en masse : «Pour finaliser la prise en charge en totalité par l’assurance maladie, nous vous prions de nous joindre une photo de votre carte CPS [carte de professionnel de santé, ndlr], ainsi qu’une ordonnance a votre nom avec la mention : «30 boîtes de 25 tests antigéniques pour usage professionnel». Dès réceptions de votre carte CPS et de l’ordonnance […] nous faisons partir les tests à votre adresse.»

    La question est maintenant de savoir si d’autres surfacturations ont été repérées. La Brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA), en charge de cette enquête, serait sur la piste de pharmaciens fraudeurs situés dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et dans l’est de la France. Hasard ou coïncidence, tous seraient membres du même groupement de pharmaciens constitué à l’origine pour réaliser des achats groupés. «Le cerveau de cette affaire n’est pas mon client», assure Ilana Mrejen, l’avocate du pharmacien incarcéré.

    Libération


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  • Un accident mortel s’est produit à la gare de Gauriaguet, en Gironde, mercredi 26 janvier 2022. Un jeune homme de 20 ans a été percuté par un train alors qu’il traversait les voies. Une enquête est en cours.

    Un jeune homme de 20 ans est mort, mercredi 26 janvier 2022, après avoir été percuté par un train en gare de Gauriaguet, en Gironde. L’accident s’est produit aux alentours de 7 h 30, alors que la victime traversait les voies, rapporte France 3 Nouvelle-Aquitaine.

    Lancé à pleine vitesse, le TER reliant Bordeaux à Saint-Marien n’a pas pu éviter le jeune homme. Ce dernier se rendait sur son lieu de stage, a confié à nos confrères de France Bleu Gironde Brigitte Misiak, la maire (PS) de Marsas, un village voisin dans lequel vivait la victime.

    Une enquête ouverte

    « Si on veut aller à Bordeaux, il faut traverser les voies. Pour toutes les gares rurales c’est comme ça. Il n’y a pas de passerelles ou de souterrains. Il n’y en a que dans les grandes gares »a expliqué à Sud Ouest, Alain Montangon, le maire (DVG) de Gauriaguet.

    « Les causes de l’accident restent encore floues mais il n’y aurait pas eu de défaillance de la SNCF », a indiqué Brigitte Misiak à la radio locale avant de préciser. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame. La gendarmerie de Saint-André de Cubzac est en charge des investigations.

    Ouest-France


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  • Ouganda: un touriste saoudien tué par un éléphant dans un parc

    Un touriste saoudien a été piétiné à mort par un éléphant lors d'un safari dans un parc national en Ouganda, a indiqué mercredi un responsable de la faune sauvage.

    L'incident s'est produit mardi au parc national de Murchison Falls lorsque l'homme a quitté le véhicule à bord duquel il voyageait avec des amis, selon un communiqué du porte-parole de l'autorité ougandaise de la faune sauvage, Bashir Hangi.

    "L'éléphant a chargé dans sa direction et l'a tué sur place", a précisé M. Hangi.

    Les responsables du parc ont précisé que la police allait enquêter sur la mort du saoudien, nommé Ayman Sayed Elshahany, et réexaminer leurs protocoles de sécurité afin "d'empêcher que de tels incidents ne se reproduisent".

    D'autres attaques d'animaux sauvages ont eu lieu par le passé dans ce pays d'Afrique de l'est. En 2018, un léopard y avait tué le fils de trois ans d'une des gardes d'un autre parc, dans l'ouest.

    AFP


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  • Un retraité de 74 ans a ouvert la mâchoire d'un alligator pour sauver la vie de son chiot à Estero, en Floride. Richard Wilbanks, 74 ans, promenait son Cavalier King Charles prénommé Gunner autour de l'étang, près de sa maison de retraite, lorsque le reptile a surgit de l'eau pour attraper le chiot. Cigare à la bouche, Richard n'a pas hésité une seule seconde à plonger pour sauver Gunner. Malgré une petite blessure à l'estomac, ce dernier va très bien aujourd'hui. Quant à son propriétaire, il a déclaré que ses mains avaient été «mâchées».


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  • Il a fallu dix mois aux deux généalogistes pour retrouver des adresses temporaires de cet homme et le contacter. L'héritier a assuré ne pas vouloir changer de mode de vie.

    100.000 euros d'héritage. C'est la somme qu'a touchée un homme SDF de Rennes grâce au long travail d'enquête de deux généalogistes.

    Après avoir été mandatés par un notaire, car "personne ne s'était présenté chez lui pour toucher la succession d'un homme décédé", les spécialistes ont rapidement retrouvé les deux filles du disparu, sans parvenir à contacter son fils, a relaté Ouest-France.

    "C’était un contexte familial complexe, sur fond de brutalités. Le fils a quitté le domicile dès qu’il a pu et s’est marginalisé", a expliqué l'un des généalogistes.

    "L'argent ne l'intéressait pas du tout"

    Il a fallu dix mois d'enquête pour que les spécialistes retrouvent plusieurs adresses temporaires de l'homme recherché. Ils ont alors décidé de lui laisser une carte de visite et une lettre pour lui expliquer l'objet de leur recherche. Une démarche qui a permis au Rennais de prendre contact avec eux.

    "Il a fallu lui apprendre que son père était mort, il ne le savait pas. Il était très affecte", rapporte un généalogiste.

    Si l'homme a finalement hérité de 100.000 euros après plus de deux ans de démarches de succession, "l'argent ne l'intéressait pas du tout", a raconté l'un des généalogistes.

    Ce qui importait au quadragénaire, c'était d'avoir "des nouvelles de sa famille, de sa sœur, des photos." Sans domicile fixe, il a d'ailleurs assuré à l'expert qu'il "ne comptait pas changer de mode de vie".

    BFM.TV


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  • Paris: après une chute dans la rue, le photographe René Robert meurt de froid dans l'indifférence des passants

    C'est finalement une personne sans domicile fixe qui a prévenu les secours, neuf heures après la chute de l'artiste mardi dernier dans une rue passante de la capitale.

    René Robert, photographe internationalement reconnu de flamenco, qui aimait à photographier les visages empreints d'émotion des danseurs et musiciens, est mort après avoir fait une chute dans la rue sans être secouru, à Paris, la semaine dernière.

    Laissé sans aide sur le trottoir

    Mardi 18 janvier, aux alentours de 21 heures, l'homme de 84 ans sort après dîner pour une ballade dans son quartier parisien de République. Mais il chute, pour une raison qui reste à déterminer. Incapable de se relever, allongé sur le trottoir, personne ne lui vient en aide.

    C'est un sans-abri qui finira par prévenir les secours vers 6 heures du matin. Trop tard. Transporté aux urgences en état d'hypothermie extrême, il décédera de sa nuit passée dehors, comme l'a révélé sur Twitter, puis dans un éditorial sur Franceinfo son ami, le journaliste Michel Mompontet.

    Quiconque connaît Paris sait à quel point le quartier entourant République est rempli de commerces et de monde, même un soir de semaine. Aucun passant n'a cependant jugé bon d'appeler les secours, face à cet octogénaire inconscient allongé sur la chaussée.

    "La rue de Turbigo. Le plein Paris, la ville lumière, les bars, les restos. L'humanité, si inhumaine, et cette question, comment a-t-on pu en arriver là?", s'est interrogé Michel Mompontet.

    Une interrogation lancinante

    Arpentant les représentations de flamenco depuis les années 50, René Robert aimait à y photographier "la rage ou la grâce" - en référence au titre d'un de ses livres - qu'exprime le visage des danseurs de flamenco.

    "Nous étions admiratif de son talent tout autant que de ses qualités humaines. René, c'était la gentillesse et la discrétion incarnées. C'était un ami fidèle et sincère. Les moments passés à ses côtés, que ce soit chez lui chez nous ou ailleurs étaient toujours teintés de joie et de bonne humeur", écrit à son sujet le site Musique Alhambra, spécialisé dans l'actualité du flamenco.

    Pour Michel Mompontet, après la douleur d'avoir perdu un proche, revient cette interrogation lancinante. "Est ce que je suis sûr à 100% que si j'avais été confronté à cette scène, je me serais arrêté? [...] Ne pas pouvoir être sûr à 100% est une douleur qui me hante", a-t-il déclaré sur Franceinfo.

    BFM.TV


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  • La chienne se trouvait au milieu d’un marais qui allait être inondé par la marée

    Sauvée par une saucisse. C’est l’issue étrange et heureuse de l’aventure de Millie, une jeune chienne coincée mi-janvier dans des marais du Hampshire, en Angleterre (Royaume-Uni). La vidéo de son sauvetage a depuis fait le tour des réseaux sociaux.

    Les faits sont survenus le 13 janvier dernier, rapporte le Guardian relayé par le HuffPost. Millie, une jack russel-whippet de 3 ans, s’est enfuie lors d’une promenade avec sa maîtresse et s’est retrouvée au beau milieu d’une zone de marais, inaccessible aux humains. Impossible de récupérer la chienne par la terre.

    Faire vite avant la marée

    La police, les pompiers et les garde-côtes ont été mobilisés mais au bout de trois jours, l’animal n’avait toujours pas été secouru. C’est alors que l’association Denmead Drone Search and Rescue, spécialisée dans le sauvetage d’animaux par drone, a eu une idée. « Une idée folle », confie son président Chris Taylor au Guardian.

    Les bénévoles ont attaché une saucisse à un drone afin d’inciter la chienne à se déplacer vers une zone plus sécurisée. Un habitant a acheté et cuisiné les saucisses nécessaires pour l’opération. « Le marais devait être inondé en quelques heures » par la marée montante selon Chris Taylor, il fallait donc faire vite.

    Attachée au drone par une simple ficelle, la saucisse a effectivement alléché Millie, qui a alors suivi le drone jusqu’à une zone moins dangereuse du marais. Les secours ont ainsi pu récupérer la chienne par la terre à cet endroit, et la rendre à sa propriétaire rassurée.

    20 Minutes


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  • Le Mexique est sous le choc depuis plusieurs jours, après la découverte du cadavre d’un bébé dans une prison. L’enfant aurait été utilisé pour introduire de la drogue dans l’établissement.

    L’histoire de «bébé Tadeo» bouleverse le Mexique. Le 10 janvier dernier, le cadavre de cet enfant a été découvert dans une décharge d’une prison de l'Etat de Puebla par un détenu. «El Universal » explique que Tadeo est né le 4 octobre 2020 dans un hôpital de Mexico. Souffrant d’une malformation intestinale, il est mort le 5 janvier 2022 à l’hôpital. Le lendemain, son corps a été enterré dans un cimetière situé près de la mairie d'Iztapalapa, à Mexico. C’est quelques jours plus tard que son cadavre a été trouvé dans la prison, après avoir été exhumé. D’après les autorités, Tadeo pourrait avoir été utilisé pour introduire de la drogue dans l’établissement. Le bébé a pu être admis entre les murs du centre dans le cadre d’une visite familiale. Les examens ont révélé une blessure à l’abdomen sur le corps de la petite victime, laissant là encore penser que Tadeo a servi de «mule».

    Tadeo n’a pas été identifié immédiatement. Ce sont ses parents, après avoir entendu parler de cette affaire dans les médias, qui ont fait le lien entre leur fils et le bébé de la prison. Ils ont notamment reconnu l’enfant grâce à la description d’un bracelet qu’il portait à son poignet gauche, sur lequel était inscrit le surnom Ayala Peralta. Le couple est alors allé au cimetière et a découvert la tombe vide de leur fils. «El Universal» rapporte qu’au moment où ils ont voulu signaler l’incident, ils auraient reçu des menaces.

    "On ne peut pas imaginer les motivations d'un acte de cette nature"

    La maire d'Iztapalapa, Clara Brugada, a indiqué que l'administrateur du cimetière de San Nicolás Tolentino a été démis de ses fonctions et a annoncé que tous les employés témoigneront devant le bureau du procureur de la capitale pour clarifier les faits. Elle a également fait savoir que la surveillance des cimetières de la ville sera renforcée par des drones et des caméras de surveillance. Les autorités ont rappelé que des poursuites pénales seront engagées contre tout travailleur impliqué dans cette affaire. «Cela nous fait très mal, on ne peut pas imaginer les motivations d'un acte de cette nature. Il ne fait aucun doute que nous sommes face à un acte criminel qui menace la dignité des individus et des familles», a souligné la mairie.

    Une fois toutes les analyses faites sur le cadavre de Tadeo, l’enfant a été rendu à ses parents. Son corps a été inhumé une deuxième fois dimanche. «C'est une chose sinistre qui s'est passée», a déploré le gouverneur de Puebla, Miguel Barbosa, qui a destitué son responsable régional de sécurité.

    Paris Match


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  • "On vient de me diagnostiquer une tumeur au poumon qui ne peut pas s’opérer", le chanteur Florent Pagny fait une révélation fracassante…

    Gros coup dur pour Florent Pagny. Alors qu'il avait commencé à sillonner les routes de France pour célébrer le cap des soixante ans avec son public, le chanteur vient d'annoncer qu'il ne pourra pas la mener à terme. La raison est terrible puisqu'il vient d'annoncer que les médecins lui avaient diagnostiquer une tumeur au poumon.

    C'est dans les années 90 que Florent Pagny a mis de côté sa carrière d'acteur pour se tourner vers la musique. Presque trente ans plus tard, la star continue de faire vibrer son public. A l'occasion de ses 60 ans, il a même décidé de célébrer ce moment important de sa vie en entamant une tournée spéciale depuis novembre dernier.

    Alors qu'il devait bientôt remonter sur scène, l'interprète de Savoir Aimer a fait une terrible annonce. En effet, Florent Pagny est contraint d'annuler sa tournée pour des raisons médicales puisqu'il vient d'apprendre qu'il avait une tumeur d'origine cancéreuse aux poumons. Attristé, il a pris la parole par le biais d'une vidéo où il s'est excusé auprès de son public sur Instagram.

    "Bonjour, je dois faire une annonce un peu particulière. Je ne vais pas pouvoir continuer ma tournée des 60 ans. Je dois annuler l'ensemble de mes concerts suite à un problème de santé. En effet, on vient de me diagnostiquer une tumeur aux poumons, une tumeur cancéreuse. Pas très sympathique. Ça ne peut pas s'opérer donc je dois rentrer dans un protocole de six mois de chimiothérapie et de rayons X. Ce qui fait que je suis désolé. Mais bon vous savez tous que dans la vie, le plus important c'est la santé. Quand on a un problème, il devient prioritaire. C'est ce qui explique la raison pour laquelle je ne pourrais pas honorer mes engagements", a-t-il expliqué ce mardi 15 janvier 2022.

    Cela dit, Florent Pagny a précisé qu'on le verrait malgré tout en pleine forme durant la treizième "saison très intéressante" de The Voice qui a été tournée il y a maintenant quelques semaines de cela. L'artiste a également fait une promesse à son public : "Moi et ma moitié devons nous mettre en mode guerrier pour affronter cette épreuve un peu particulière. Je suis désolée. Prenez soin de vous, portez vous bien (...) Quand tout sera réglé, on se retrouve. On viendra terminer ce que j'ai commencé, ça sera peut-être la tournée des 61".

    Très vite, les internautes ont réagi à la nouvelle et lui ont adressé des messages de soutien tels que : "Courage Florent ! Toutes mes pensées sont avec toi ! Bisous de Belgique ! ", "Oh non, prenez soin de vous, on veut vous revoir en pleine forme", "Énormément de courage à vous et à votre famille pour cette épreuve . A très vite" ou encore "Bon rétablissement Florent gros bisous et bon courage".

    Public


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  • Inde : Près de 60 tortues tuées, probablement empoisonnées par des habitants en colère

     Les Indiens auraient tué les reptiles pour les empêcher de manger les poissons qu’ils élevaient illégalement dans un lac

    Un empoisonnement intentionnel est probablement à l’origine de la mort de dizaines de tortues dans un lac près de Bombay (Inde), ont avancé dimanche auprès de l’AFP des experts indiens de la faune sauvage. Les agents de protection de la nature ont été avertis de l’incident par un responsable politique local. Ce dernier leur a demandé d’enquêter sur une odeur nauséabonde autour du plan d’eau de Kalyan, à environ 50 kilomètres à l’est de la capitale indienne du divertissement.

    Suhas Pawar, du groupe de conservation Wild Animal and Reptile Rescue, a annoncé que 57 tortues de l’espèce du trionyx à clapet ont été tuées et que six autres ont pu être sauvées. Les habitants ont probablement tué les reptiles pour les empêcher de manger les poissons qu’ils élevaient illégalement dans le lac, a-t-il ajouté.

    Plus de tortues à cause du Covid-19

    « L’incident fait l’objet d’une enquête maintenant, une analyse post-mortem et scientifique révélera la cause exacte de ces décès », a précisé Suhas Pawar. Selon cet expert, les restrictions imposées contre le Covid-19 au cours des deux dernières années ont vraisemblablement entraîné une augmentation de la population locale de tortues.

    « Les restrictions de l’activité humaine ont probablement augmenté les stocks de poissons dans le lac et ces tortues se sont multipliées en s’en nourrissant, ce qui a provoqué la colère de certains habitants », a déclaré Suhas Pawar. Les trionyx à clapet ne sont pas particulièrement rares mais ils constituent une espèce protégée par la loi sur la protection de la vie sauvage.

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  • Un rhinocéros blanc de 10 ans dont la corne avait été arrachée est retourné lundi à la vie sauvage en Afrique du sud après avoir subi 30 opérations en six ans visant à réparer ses blessures infligées par des braconniers.

    Ses sauveteurs l'ont surnommé Sehawukele, ce qui signifie "Dieu nous rend grâce". Il avait été trouvé par la police chancelant près d'une clôture dans une réserve, tellement défiguré qu'il pouvait à peine entendre ou manger.

    Un vétérinaire spécialiste de la faune, qui dirige une association appelée Saving the Survivors (Sauver les survivants) qui soigne les animaux ayant réchappé d'attaques de braconniers, a été appelé à la rescousse.

    Après de nombreuses opérations, les cavités nasales du rhinocéros restent exposées, avec un risque d'infection.

    Mais "il s'est rétabli de façon exceptionnelle", a souligné le vétérinaire, John Marais. "Et je pense que s'ouvre un nouveau chapitre avec son retour à la vie sauvage dans un camp de 2.000 hectares où nous avons placé deux femelles en âge de se reproduire avec lui".

    Ses sauveteurs gardent secret le lieu exact afin d'éviter de nouvelles attaques.

    Les braconniers ont tué au moins 249 rhinocéros en Afrique du sud au cours des six premiers mois de 2021, soit 83 de plus qu'à la même période l'année précédente. Le chiffre total pour 2021 n'est pas encore connu, mais 24 rhinocéros ont été tués en deux semaines en décembre.

    Les animaux sont massacrés pour leurs cornes, qui sont introduites en contrebande en Asie où elle sont très prisées pour leurs supposées vertus médicinales traditionnelles.

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  • Open d'Australie : Diminué, malmené, Nadal s'en sort quand même en cinq sets et attend Monfils en demi-finales

    L'Espagnol, dans les cordes après une remontée express de Shapovalov, s'est finalement imposé en cinq sets contre le Canadien Shapovalov (6-4, 6-3, 3-6, 4-6, 6-3)

    Rafael Nadal n’est pas une légende pour rien. Cuit bouilli au bout de deux heures en plein cagnard contre Shapovalov, un jeunot de 23 ans, l’Espagnol a réussi à serrer les dents, sauver quelques balles de break importantes en début de cinquième set pour arracher une septième demi-finale à l’Open d’Australie (6-3, 6-4, 4-6, 3-6, 6-3).

    Plus aussi souverain physiquement

    A 35 ans, « Rafa » n’a plus sa condition physique insubmersible d’antan, d’autant qu’il revient de six mois sans jouer pour cause d’énième pépin physique, mais personne à part Djokovic ne sent mieux les moments d’un match que lui. Un problème à l’estomac dans les 3es et 4es sets, l'agressivité de Shapovalov, les conditions de chaleurs extrême, tout était réuni pour le voir céder comme l’an passé face à Tsitsipas.

    « J’étais détruit après le quatrième set, a reconnu le 6e joueur mondial au micro de Jim Courier sur la Rod Laver Arena. C’était une journée très difficile, très chaude. J’ai eu mes chances pour boucler l’affaire plus tôt, mais je me suis senti de plus en plus fatigué. J’ai commencé à avoir mal au ventre, j’ai pris des pastilles, et c’est allé mieux. Je n’ai plus 21 ans, c’est bien d’avoir deux jours de repos avant le prochain match. Etre capable de jouer une fois de plus ici en demi-finale, je me sens privilégié, j’ai hâte d’y être ».

    Ce sera sa septième demi-finale Melbourne, face à Monfils ou Berrettini​, vendredi. Une petite satistique pour encourager le Français avant son quart ? La seule demie perdue par Nadal à l’Open d’Australie remonte à 2008, contre un certain Jo-Wilfried Tsonga.

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