• Indiens navajos : les condamnés de l'uranium

    © Fournis par Paris Match La mine a été fermée en 1982. Pour l’heure, le site n’est toujours pas entièrement dépollué. © Zen Lefort

    Church Rock, au Nouveau-Mexique, est une importante réserve de ce minerai nécessaire à la fabrication des armes atomiques et des instruments de recherche sophistiqués. Il y a quarante ans, une fuite d’eau contaminée provenant de la mine a touché le peuple des Amérindiens dans leur chair. Aujourd’hui, devant la prolifération des cancers, les habitants se mobilisent, en vue d’une dépollution du site. Pour l’heure, ils affrontent la mauvaise volonté de l’entreprise et des autorités. En France, on n’est guère mieux protégés. Enquête.

    LIEN de l'article:

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/environnement/indiens-navajos-les-condamn%C3%A9s-de-l-uranium/ar-BB14DORh?ocid=msedgntp


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  • Une jeune femme de 17 ans et demi, qui exploitait plusieurs adolescentes "recrutées" dans un foyer pour mineurs, a été mise en examen et écrouée pour "proxénétisme aggravé", a appris ce samedi l'Agence France-Presse (AFP) auprès du parquet de Toulouse. Elle a été placée en détention provisoire vendredi.

    Ses victimes, quatre jeunes de 16 à 18 ans et une de 20 ans, avaient été contactées dans un foyer pour mineures de Graulhet (Tarn). La proxénète présumée avait pour sa part déjà fréquenté plusieurs foyers de l'aide sociale à l'enfance. 

    Elle avait été interpellée dans le quartier résidentiel des Chalets, au centre de Toulouse, "secteur où elle louait des appartements via Airbnb et obligeait ces gamines à vendre leurs charmes" via un site internet, selon une source policière citée par la radio 100/100.

    BFM.TV


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  • Le ministère de la Justice a appelé les procureurs à mener une « politique volontariste de régulation carcérale », notamment en limitant les entrées en prison, alors que l’épidémie du coronavirus a entraîné une baisse inédite du nombre de détenus.

    Le 24 mai, il y avait 58 926 détenus dans les 188 prisons françaises, contre 72 500 le 16 mars, ce qui représentait un record. Les établissements pénitentiaires qui étaient confrontés à une surpopulation chronique connaissent désormais une densité moyenne de 96 %. À l’origine de cette chute du nombre de prisonniers : la réduction de l’activité pénale pendant le confinement ainsi que des mesures de libération anticipée pour éviter une crise sanitaire et sécuritaire en détention face à l’épidémie de coronavirus.

    Une densité inférieure à 100 % que le ministère de la Justice souhaiterait pérenniser. « Il est essentiel que l’augmentation de l’activité juridictionnelle se conjugue avec une politique volontariste de régulation carcérale », écrit la Chancellerie dans une circulaire du 20 mai révélée mardi 26 mai par Le Figaro .

    « Pallier tout risque de rebond épidémique »

    « Il est indispensable de pallier tout risque de rebond épidémique dans les détentions en maintenant des taux d’occupation en adéquation avec le nombre de places opérationnelles de prison », selon cette circulaire cosignée par la directrice des affaires criminelles et des grâces et le directeur de l’administration pénitentiaire. « Il convient de se saisir de la baisse inédite du nombre de détenus pour donner plein et entier effet » de la réforme des peines, entrée en vigueur en plein confinement, le 24 mars.

     

    Cette loi limite les emprisonnements de courte durée : les peines de moins d’un mois sont interdites et celles de moins de six mois doivent s’exécuter hors détention, notamment sous bracelet électronique. La loi promeut le travail d’intérêt général. Les peines supérieures à un an doivent, elles, être exécutées.

     

    « Il devra être amplement recouru à des réquisitions aux fins de prononcé de la peine unique de stage, de celle de travail d’intérêt général ou de la peine de détention à domicile sous surveillance électronique, destinées à devenir des sanctions de référence de certains contentieux, en lieu et place de l’emprisonnement », écrit la Chancellerie aux procureurs.

    Les peines qui n’ont pas encore été exécutées doivent être reconsidérées !

    Les nouvelles mesures pourraient aussi s’appliquer à des peines en stock, dont certaines antérieures à l’entrée en vigueur de la loi. Les peines qui n’ont pas encore été exécutées doivent être reconsidérées « à l’aune des règles nouvelles ».

    « Les peines inférieures ou égales à 6 mois d’emprisonnement fermes dont l’aménagement n’a pu avoir lieu devront faire l’objet d’un nouvel examen », selon la circulaire. De plus, « les peines d’emprisonnement ou les reliquats de peines qui sont à la fois anciens et de faible quantum pourront, en fonction de la personnalité de la personne condamnée et des faits reprochés, ne pas être ramenés à exécution ».

    Ouest-France

    Il ne faut plus mettre les truands en prison, faut les laisser libres !

    Pauvre France !


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  • Pour avoir fui avec son petit ami, la jeune fille a été décapitée dans son sommeil par son père, qui est son propriétaire selon le Code pénal islamique en vigueur en Iran. 

    C’est ce qu’on appelle un « crime d’honneur » en Iran. Jeudi 21 mai, une fillette de 13 ans a été décapitée à la faucille par son père, dans son sommeil, rapporte notamment le Courrier international. Son « crime » ? Avoir fui le domicile familial avec son petit ami. Et si la peine capitale est normalement de mise pour le meurtre en Iran, l’assassin ne risque cette fois qu’entre trois et dix ans de prison car selon le Code pénal islamique en vigueur en Iran, le père est considéré comme le propriétaire de son enfant. Le père qui assassine sa progéniture bénéficie donc d’une peine réduite. 

    Le père reprochait au petit ami de sa fille d’être sunnite

    Tout commence lorsque la fillette, nommée Romina Ashrafi, fuit la maison familiale avec son petit ami âgé de 30 ans, car son père s’oppose à leur mariage. Pourtant, ce n’est pas tant la large différence d’âge entre les deux amoureux qui rebute le paternel, mais bien le fait que l’amoureux de sa fille est d’obédience sunnite, alors que la famille Ashrafi est chiite. Après la disparition de sa fille, le père de Romina Ashrafi décide de porter plainte contre son petit ami pour « enlèvement ». Le couple est finalement arrêté cinq jours plus tard. A ce moment, l’adolescente supplie les autorités de ne pas la remettre à son père, mais rien n’y fait. Le lendemain, ce dernier tente de l’étrangler dans son sommeil avant de la décapiter avec une faucille. 

    Silence des « néo-féministes » européennes

    Ce meurtre atroce a déclenché un véritable tollé sur les réseaux sociaux en Iran, où les internautes se sont insurgés contre les lois patriarcales et l’absence de protection pour les femmes et les jeunes filles. En France, cet acte barbare n’a en revanche été que très peu commenté par les féministes de tout poil, comme l’a relevé l’avocat Gilles-William Goldnadel. « Une fois de plus, je constate que le néo-féminisme bruyant s’arrête aux frontières d’Occident. Il ne donne de la voix que contre le seul mâle blanc », a-t-il déploré sur Twitter.

    Sur le réseau social, rares sont les personnalités politiques à s’être ému de cette tragédie. Seuls les députés LR Éric Ciotti et Valérie Boyer ont jugé bon de rendre hommage à la fillette. Le premier a dénoncé « un crime d’honneur légal qui vient nous rappeler à quel point la barbarie islamiste qui avilit les femmes est à combattre de toutes nos forces ». La seconde a voulu « rappeler l’extrême fragilité des conditions des femmes en Iran »

    Valeurs Actuelles

    Décapiter sa propre fille : islam religion de paix, d'amour et de tolérance !


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  • CHANTOUVIVELAVIE ; BONSOIR - 30 05 2020


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  • Les faits rapportés sont d'une extrême violence. Le Parquet de Guelma, ville située à 500 km à l'est d'Alger, a annoncé l'arrestation ce jeudi d'un individu après la mort d'une fillette de 10 ans, torturée à mort lors d'une séance violente d'exorcisme, ou roqya. L'homme arrêté est un "guérisseur" également appelé raqui.

    La jeune victime a, selon la justice locale, "subi des sévices durant une roqya à laquelle elle a été soumise dans sa maison familiale." Aucune précision n'a été donnée sur les raisons pour lesquelles la fillette avait été soumise mercredi à cette séance d'exorcisme.

    Selon la déclaration du parquet reproduite par les médias, la fillette est décédée à son arrivée au service des urgences de l'hôpital de Guelma, "le corps de la fillette portait des traces de coups et de brûlures". Le parquet a ordonné une autopsie et l'ouverture d'une enquête, selon la même source.

    "Chasser le démon" 

    Les exorcistes sont souvent sollicités pour soigner les malades, "chasser le démon", se préserver du mauvais oeil ou venir en aide aux épouse stériles.

    Si l'islam autorise l'exorcisme, considéré comme légal car il se fait avec la parole de Dieu --par la récitation du Coran--, nombreux sont ceux qui dénoncent le fait que cette pratique est souvent le fait de personnes sans scrupules qui abusent de la détresse des malades, en particulier ceux atteints de maladies mentales et spirituelles.

    Réaction indignées 

    L'annonce de la mort de la fillette a suscité l'émoi dans la société algérienne. Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes ont d'ailleurs exprimé leur colère.

    La correspondante de la radio algérienne dans la ville voisine de Constantine a condamné un acte "abominable commis par un charlatan".

    "Jusqu'à quand ces crimes vont se poursuivre", s'est-elle encore demandée sur sa page Facebook.

    Beaucoup sur ce réseau social ont dénoncé une couverture médiatique minimale du drame "malgré la cruauté des faits commis par ce charlatan".

    "On va faire semblant longtemps de pas voir (...) la fillette de dix ans torturée et tuée par un raki à Guelma?", s'est aussi élevé sur sa page Facebook le journaliste Akram Kharief, directeur du site MENA Defense.

    BFM.TV

    Ce type mérite la prison à vie voire la mort !


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  • Je viens de tout écouter  entièrement, un peu long mais très intéressant, c'est vous qui voyez !


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  • Ou bien ils ont été jetés là, ou bien la maman est morte !


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  • Ecouté trois fois chez Pierre !

    Celui-là n'est pas mal non plus ! 


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  • C'est trop long, ils montrent les mêmes images sans arrêt! Enfin, il finit par remarcher !


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  • Le suspect âgé de 18 ans aurait profité du fait que les deux victimes se sentaient mal pour abuser d’elle sexuellement.

    Les forces de l’ordre n’ont pas eu de difficultés à retrouver et interpeller le suspect, puisqu’il est déjà bien connu de leurs services. L’affaire a débuté vers 23 heures ce mercredi quand les policiers ont été sollicités pour se rendre rue Schnapper, dans le quartier du Bel-Air, à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines).

    Des riverains se plaignaient du bruit dans un parking souterrain de leur résidence, causé par des perturbateurs raconte Le Parisien. Sur place, les policiers sont tombés sur deux adolescentes de 12 et 13 ans sous le choc, qui leur ont expliqué qu’elles avaient été violées.

    L’une a expliqué aux fonctionnaires qu’elle avait rencontré leur futur agresseur sur Snapchat, et qu’elle avait accepté un rendez-vous avec lui dans ce parking souterrain. Un endroit où les deux jeunes filles ont passé du temps avec cet homme, qui avait pris la fuite à l’arrivée des forces de l’ordre.

    Des verres de vodka et du cannabis

    En outre, les victimes ont raconté que le jeune agresseur les avait fait boire plusieurs verres de vodka et fumer du cannabis, au cours de la soirée. L’homme aurait ensuite abusé sexuellement des jeunes filles et les aurait violées, profitant du fait qu’elles se sentaient mal. Ces dernières ont été conduites à l’hôpital.

     

    Auditionnée par les policiers, l’une d’entre elle a été en capacité de fournir un nom et une description de l’auteur des faits présumés. Il s’agissait d’un homme ayant un grain de beauté très visible. Un détail important qui a orienté rapidement les recherches des policiers vers un individu bien connu de leurs services.

    Il nie en bloc

    Ce dernier a été interpellé dans le quartier Bel-Air par la police municipale et a été placé en garde à vue. Face aux enquêteurs, le mis en cause a nié les faits, affirmant qu’il ne s’était rien passé avec les deux jeunes filles.

    Les investigations ont été confiées aux policiers de la sûreté urbaine de Saint-Germain-en-Laye. Par ailleurs, des prélèvements ont été effectués sur les victimes et leurs vêtements, ce qui pourrait permettre aux enquêteurs d’obtenir plus d’éléments sur ce qui s’est passé dans ce parking souterrain.

    ACTU 17

    Voilà deux gamines de 12 et 13 ans qui donnent rendez-vous à un homme qu'elles ne connaissent pas, qui le suivent dans un parking souterrain, qui boivent (il n'a pas pu les forcer à boire les deux) et après elles viennent se plaindre ! Je ne défends pas le type de 18 ans mais ces deux petites sont des connes !


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  • Deux nourrissons, grands prématurés, sont décédés à Dijon (Côte-d’Or) après avoir été découverts dans des sacs plastiques.

    Macabre découverte ce dimanche 24 mai dans une habitation de Dijon. Une femme a contacté des ambulanciers pour les prévenir qu’elle allait accoucher. Une fois sur place, ces derniers ont découvert deux jumeaux dans des sacs plastiques raconte France 3.

    L’un des bébés était déjà décédé, le second a été transporté d’urgence à l’hôpital François Mitterrand de Dijon, où il est mort quelques jours plus tard. Les deux nourrissons étaient des grands prématurés de 26 semaines.

    Privés de soins

    Leur mère âgée de 20 ans n’aurait commis aucune violence sur ses bébés selon le procureur de la République interrogé par la chaîne. Ils sont décédés après avoir été privés de soins dont ils avaient impérativement besoin.

    Mises en examen et placées en détention provisoire

    Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la Direction interrégionale de la police judiciaire de Dijon. Selon les premiers éléments, la jeune femme aurait voulu cacher sa grossesse et la naissance à son père, avec la complicité de sa mère.

    Une information judiciaire a été ouverte et la jeune femme de 20 ans ainsi que sa mère ont été mises en examen pour « meurtres et tentative de meurtres sur mineur de moins de 15 ans, par ascendant ». Elles ont été écrouées à la maison d’arrêt de Dijon.

    ACTU 17


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  • Montpellier : Un ado de 15 ans défiguré au couteau et roué de coups pour des baskets et une sacoche

    Apostrophé par un groupe d’individus sous le prétexte d’une demande de cigarette, un adolescent a été victime d’une sauvage agression.

    « Je vous hais ! », lance une mère de famille dans une publication sur le réseau social Facebook, à l’intention des parents des jeunes agresseurs de son fils, qui aura bientôt 15 ans. Ce dernier a été victime d’une agression d’une sauvagerie extrême, qui lui a notamment coûté une large balafre au visage, nécessitant 42 points de suture.

    Sa mésaventure a eu lieu dimanche vers 23h30, au croisement de l’avenue du Maréchal Leclerc et de la rue de la Manade à Montpellier (Hérault), relate Midi Libre. Abordé par un groupe de jeunes qui lui ont demandé une cigarette, l’adolescent a été rapidement plaqué contre un mur par un premier assaillant.

    Roué de coups et lacéré au couteau

    Sous la menace d’un couteau de cuisine, celui-ci lui a intimé l’ordre de se défaire de ses biens pour les lui donner. L’adolescent a tenté de se défendre mais immédiatement, plusieurs complices de l’agresseur ont fondu sur lui. Projeté au sol par un coup de genou au visage, il a ensuite été roué de coups de pied par le groupe.

    Au terme de ce véritable lynchage, l’agresseur armé du couteau a commis un acte sauvage et gratuit en lui assénant un coup de lame au visage. Une plaie de 20 cm marque définitivement son profil droit, de la pommette à la nuque.

     

    Les assaillants ont pris la fuite, non sans lui voler sa sacoche et sa paire de baskets Nike. Sonné et choqué, l’adolescent a été pris en charge rapidement par les secours et hospitalisé.

    Sa veste a été lacérée à plusieurs reprises au niveau du bras droit. L’adolescent s’est vu délivrer 3 jours d’Incapacité totale de travail (ITT) et a déposé plainte ce lundi au commissariat. Une enquête a été ouverte et confiée à la Sûreté départementale de l’Hérault.

    Sa mère veut alerter les autorités

    La mère de la victime a voulu alerter les autorités et dénoncer cet acte barbare qui aurait pu coûter la vie à son fils. Elle a publié un message sur Facebook dans lequel elle dit sa haine contre les parents des agresseurs, mais aussi sa chance de ne pas voir perdu son enfant.

    « Mon fils de 15 ans a eu la vie sauve mais ça n’est malheureusement pas le cas de tous… Et à tous ces parents démissionnaires qui laissent leurs gosses livrés à eux-mêmes sans leur expliquer où se trouve le bien et le mal !! Vous êtes responsables quand vos enfants agressent les nôtres au couteau pour une paire de baskets !! Je vous hais !! » écrit-elle.

    « On aurait pu me demander d’aller identifier mon fils à la morgue… dans notre malheur nous avons eu beaucoup de chance comparé à certaines familles… », poursuit la mère de famille, qui a déclaré avoir écrit au maire de Montpellier.

    ACTU 17


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  • Cinq adolescents se trouvaient à bord d’une voiture volée dans la nuit de vendredi à samedi lorsqu’ils ont percuté un poteau à Valréas (Vaucluse). Une jeune fille de 17 ans a été tuée.

    n grave accident de la route s’est produit peu avant 3 heures du matin la nuit dernière sur la route de Baume de Transit à Valréas. Cinq adolescents se trouvaient à bord d’une Renault Clio signalée volée rapporte La Provence.

    Pour une raison qui reste à déterminer, le conducteur qui serait âgé de 16 ans a perdu le contrôle du véhicule avant de percuter violemment un poteau.

    « Après l’arrivée des secours et l’extraction des passagers de la voiture, cette dernière s’est embrasée »

    Les sapeurs-pompiers ont été alertés et sont rapidement arrivés sur place. Ils ont pris en charge les trois jeunes filles qui étaient assises à l’arrière de la voiture. L’une, âgée de 17 ans, était déjà décédée précise France 3.

    La seconde adolescente, qui aurait le même âge, est gravement blessée. Elle a été transportée à l’hôpital d’Orange. La troisième passagère, âgée de 13 ans, a été légèrement blessée et médicalisée sur place. « Après l’arrivée des secours et l’extraction des passagers de la voiture, cette dernière s’est embrasée », a précisé la gendarmerie du Vaucluse à la chaîne.

    Le conducteur ainsi que son passager avant, qui seraient âgés de 16 et 18 ans, avaient pris la fuite à l’arrivée des secours et des gendarmes. Ils sont recherchés. Une enquête a été ouverte et confiée à la brigade de Valréas de la compagnie d’Orange.

    ACTU 17


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  • Angela Merkel décline l'invitation au G7 en juin aux États-Unis

    En raison de l’épidémie de coronavirus, la chancelière allemande a refusé de se rendre au sommet du G7 qui doit se tenir à Washington en juin 2020, comme l'a proposé le président américain Donald Trump.

    « À ce jour, compte tenu de la situation générale de la pandémie, elle ne peut accepter une participation en personne, un voyage à Washington », a déclaré un porte-parole du gouvernement allemand à Berlin, confirmant des informations du média américain en ligne Politico, a confirmé samedi à l'AFP un porte-parole du gouvernement allemand. « La chancelière fédérale remercie le président Trump pour son invitation au sommet du G7 », a-t-il ajouté.

    Angela Merkel, 65 ans, est la première dirigeante du G7 (Japon, Canada, Royaume-Uni, France, Allemagne, Italie) à décliner formellement l'invitation alors que les États-Unis comptent plus de 100 000 morts du Covid-19. Les premières réactions avaient été prudentes. Le président français Emmanuel Macron ou celui du Conseil européen, Charles Michel, ont dit être disposés à participer « si les conditions sanitaires le permettent ». Tandis que le Premier ministre canadien Justin Trudeau a souligné l'importance d'étudier « les recommandations des experts ».

    Changement de stratégie

    La Maison Blanche avait dans un premier temps annoncé mi-mars qu'elle renonçait, en raison de l'épidémie, à réunir en personne les chefs d'État et de gouvernement du G7 et préférait s'en tenir à un format par visioconférence. Mais la semaine dernière, Donald Trump a annoncé un sommet qui aurait lieu en juin « essentiellement à la Maison Blanche », même si certaines rencontres pourraient être organisées dans la résidence présidentielle de Camp David, dans l'État voisin du Maryland.

    Vendredi, la Maison Blanche a affirmé que le président américain et le Premier ministre britannique Boris Johnson, lui-même rescapé du coronavirus, s'étaient parlé et avaient « convenu de l'importance de réunir un G7 avec la présence des dirigeants en personne dans un avenir proche ».

    Alors que se profile la présidentielle du 3 novembre, Donald Trump espérait faire de ce sommet le symbole de la normalisation et de la relance de l’activité.

    RFI


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  • C'est une scène complètement surréaliste filmée par un amateur placé sur un pont surplombant une autoroute américaine. Quand un oiseau décide de traverser... à pattes.

    Ce pigeon aurait pu voler, peut-être était-il blessé ?

    Il a eu beaucoup de chance de ne pas être écrasé. On a peur pour lui quand on le regarde traverser !


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