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  • La police nationale est une nouvelle fois endeuillée par le suicide de l’un de ses fonctionnaires.

    Un policier âgé de 49 ans s’est suicidé au cours du week-end apprend-on ce mardi de sources policières. Brigadier-chef, Olivier L. était affecté au commissariat de Reims (Marne).

    Il s’agirait du 15ème suicide dans les rangs de la police nationale depuis le 1er janvier, alors que 59 fonctionnaires ont mis fin à leurs jours l’an passé selon le ministère de l’Intérieur.

     

    En janvier 2019, un autre policier de 53 ans lui aussi affecté à Reims, s’était donné la mort avec son arme de service.

    Le mois dernier, au moins trois policiers ont mis fin à leurs jours. Une policière du Havre s’est également suicidée début mai.

     

    Une cellule de soutien psychologique disponible 24h/24 a été mise en place par le ministère de l’Intérieur pour les forces de l’ordre, elle est joignable au 0805 230 405. Les appels sont « anonymes, confidentiels et gratuits ».

    ACTU 17


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  • Effroyable découverte ce mardi soir dans une villa de Juvignac, près de Montpellier (Hérault). Une mère et ses deux enfants ont été retrouvés morts dans la piscine.

    C’est le père de famille qui a fait la macabre découverte ce mardi soir en rentrant du travail, vers 23 heures. En arrivant dans sa villa située dans le quartier pavillonnaire de la Plaine à Juvignac, il a découvert sa compagne âgée d’une trentaine d’années ainsi que ses deux enfants de 2 et 4 ans, morts dans la piscine, rapporte Midi Libre.

    Les secours ont été alertés et sont rapidement arrivés. Ils ont tenté de ranimer les victimes, en vain. La mère et ses deux enfants sont décédés. On ignore pour l’heure ce qui s’est passé.

    Plusieurs pistes étudiées

    Une autopsie va être pratiquée afin de déterminer les circonstances du décès des victimes. Selon le Metropolitain, elles sont mortes noyées. Plusieurs pistes sont étudiées, notamment celle d’un accident et celle d’un acte criminel. Une enquête a été ouverte et les investigations ont été confiées aux gendarmes de la section de recherche de Montpellier.

    Tout au long de la nuit, les gendarmes de la compagnie de Castelnau-le-Lez ont effectué des constatations et des relevés sur place.

    ACTU 17


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  • Des membres de l’association de défense des animaux « One Voice » ont infiltré un groupe de chasseurs qui pratiquent la vénerie. Ils les ont filmés en train d’extirper des renardeaux de leur terrier pour les tuer, sous le regard d’enfants, invités à participer.

    Sur des images filmées par des bénévoles infiltrés de l’association « One Voice », on peut voir un groupe de chasseurs déterrer des renardeaux en éventrant leur terrier, pour ensuite les tuer à coup de barre de fer. Le tout, sous le regard d’un enfant de 5 ans et d’un garçon de 12 ans. Ce dernier est invité lui aussi à se joindre à l’action.

    La vidéo a été enregistrée lors d’une sortie d’un groupe de chasseurs du « milieu très fermé de la vénerie sous terre », au printemps dernier dans les Hauts-de-France, rapporte La Voix du Nord.

     

    « C’est extrêmement cruel », juge Muriel Arnal, la présidente et fondatrice de l’association. « C’est sadique parce que les animaux sont en général en train de dormir dans leur terrier et sont surpris. En plus, les chasseurs saccagent la forêt parce qu’ils font des trous partout pour trouver les terriers. C’est du pur plaisir. C’est une façon pour certains chasseurs de passer une journée ensemble : c’est leur loisir », témoigne-t-elle auprès de France 3.

     

    Avec la publication de cette vidéo, l’association « One Voice » entend demander l’abolition de cette pratique de chasse qui consiste à traquer ces animaux jusque dans leurs terriers à l’aide de chiens. Les chasseurs les extirpent ensuite avec une pince et les tuent.

    « Ça a duré près de 6 heures. Ils ont le droit d’utiliser des pinces en métal pour sortir l’animal. Mais c’est interdit de s’en servir pour tuer les bêtes et c’est pourtant ce qu’ils font », précise Muriel Arnal.

    Un comportement dénoncé par des associations de chasseurs

    Bernard Mailly, l’un des vice-présidents la Fédération des chasseurs de la Somme, dénonce ces comportements : « Je n’ai vu pas la vidéo et je ne souhaite pas la voir. On ne cautionne pas du tout ce genre de comportements. On en a parlé avec le président et on est tous écœurés de cette vidéo ».

    « Le renard, c’est un prédateur pour les oiseaux et les lièvres mais on ne veut pas l’exterminer. On le tolère parce qu’il a son utilité dans la nature notamment dans les champs mais on ne veut pas qu’il soit en surnombre. On souhaite que les mises à mort soient propres. Dans la chasse comme dans n’importe quel milieu, il y a des brebis galeuses. Et ceux qui ont fait ça sont clairement des brebis galeuses. On va les dénoncer, c’est sûr », assène-t-il auprès de France 3.

    « On voit que ce ne sont pas des pros. Ce sont des amateurs et ce n’est pas représentatif de ce qui se passe », assure de son côté, Patrick Coustenoble, le président de l’association des déterreurs du Nord qui compte une quinzaine de membres.

    « Ils attrapent les bêtes par le museau avec une pince de patte au lieu d’utiliser une pince de cou. Si ça avait été propre et bien fait, ça ne se serait pas retrouvé sur internet », explique-t-il, avant d’estimer qu’il s’agit là de « violence gratuite ».

    À la fin de la séquence, « One Voice » indique que les cadavres ont ensuite été enfouis comme des déchets au fond du trou, avec des mégots de cigarettes.

    ACTU 17

    Saloperies de chasseurs, ce sont des assassins, des meurtriers


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  • La jument prénommée Espérance dépérissait mais une chance après un signalement, Isabelle de l'association "service enquêtes maltraitance animale" a pris en main son sauvetage. Un reportage de France 3 Pays Catalan.

    Honte au propriétaire !


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  • Mort de George Floyd : Omar Sy manifeste aux Etats-Unis et appelle à manifester en France

    L'acteur français a participé à plusieurs rassemblements contre les violences policières à Los Angeles.

    La French Touch des manifestations américaines. Le 1er juin, l'acteur français Omar Sy a manifesté contre les violences policières dans les rues de Los Angeles. Il a dévoilé sur son compte Instagram une photo de lui avec une pancarte sur laquelle est écrit «I can't breath» : «Je ne peux pas respirer». «Hier, à Los Angeles, nous avons marché en paix et solidarité en criant les noms de George, Breonna, Ahmaud et tant d'autres victimes ici aux US», explique-t-il.

    La situation aux États-Unis s'est aggravée et les manifestations ne cessent de proliférer dans le pays. Le mouvement Black Lives Matter est au centre de l'attention aux États-Unis mais aussi partout dans le monde dont la France. Omar Sy n'a d'ailleurs pas oublié que dans son pays, le comportement des policiers est lui aussi remis en cause. «Via ce post et cette photo, je crie aussi le nom d'Adama Traoré, qui, en France, le 19 juillet 2016, a perdu la vie de la même façon que George Floyd. Que leurs âmes puissent reposer en paix et que justice soit enfin faite.»

    Quelques heures plus tard, l'acteur met alors en avant une autre manifestation, cette fois en France pour demander justice au drame d'Amada Traoré. Sur son compte Instagram, il invite ses fans à agir : «Action changes things» («L'action change les choses»). La manifestation commencera devant le parvis du tribunal de justice, dans le XVIIe arrondissement de Paris.

    Adama Traoré, jeune homme de 24 ans, est mort asphyxié en juillet 2016 lors d'une arrestation dans les locaux de la gendarmerie de Persan, dans le Val d'Oise. Une affaire complexe où la dernière expertise médicale a écarté la responsabilité de la technique d'interpellation des gendarmes dans son décès. 

    Le Figaro

    Omar Sy, d'origine sénégalaise,  est parti habiter aux USA pour ne pas payer d'impôts en France, alors qu'il ferme sa gueule !


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  • Didier Raoult épinglé par l'Agence nationale du médicament !!!

    Selon des révélations du Canard enchaîné, l'un des confrères du professeur Didier Raoult a fait un signalement à la justice, l'accusant d'avoir administré à ses patients de l’hydroxychloroquine sans un consentement formel de leur part. L'Agence national du médicament, qui a mené sa propre enquête, a saisi l'Ordre des médecins.

     

    Après la polémique, les pour, les contre... Le professeur Raoult s'apprête-t-il à connaitre des tracas judiciaires ? Cette fois, ce n'est pas l'efficacité-même de son traitement contre le Covid-19, l’hydroxychloroquine, qui est pointée du doigt, mais les conditions dans lesquelles ses essais ont été effectués. Selon une information du Canard enchaîné, le Parquet de Marseille a reçu un signalement remettant en cause le cadre légal de ses recherches.

    En effet, ces accusations soutiennent que le professeur Raoult aurait prescrit de la chloroquine pour l'un de ses essais thérapeutiques sans avoir demandé l’accord de ses patients. C’est un confrère de l’infectiologue qui a fait un signalement au Parquet de Marseille au début du mois d’avril. À en croire Le Canard enchaîné, ce médecin pointe du doigt les conditions dans lesquelles les premiers essais cliniques de Didier Raoult contre le Covid-19 ont été menés.

    Une enquête de l'Agence nationale du médicament !

    Alors que la loi exige que ces essais se fassent avec "le consentement libre et éclairé de l’intéressé", les équipes du professeur ont présenté leur étude publiée le 27 mars comme une simple "recherche observationnelle". Or, l'utilisation du terme "observationnel" indique, d'un point de vue juridique, qu'il n'y a pas nécessairement eu d’accord formel de la part des patients. Sollicitée par la procureure de Marseille, l'Agence nationale du médicament explique avoir mené sa propre enquête auprès de l'infectiologue. La conclusion est sans appel : "les modalités d’information des patients et de traçabilité de la motivation de la prescription ne sont pas conformes aux exigences légales".

    Si Didier Raoult rejette en bloc ces accusations, l'Agence du médicament a décidé de saisir l'Ordre des médecins.

    Europe 1

    C'est un comble, un collègue jaloux dénonce le professeur Raoult d'avoir soigné et guéri des malades !

    On va bientôt le mettre en prison ! Tout ça pour faire plaisir à ces connards de politiques président compris  qui ont interdit ce médicament ! !


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  • En garde à vue, il a déclaré qu'il « voulait faire l'amour » avec la victime et « se marier » avec elle. Mais les faits qui l'ont conduit dans les locaux du 3e district de la police judiciaire parisienne n'ont rien de romantiques. Selon des sources concordantes, cet homme d'une trentaine d'années, ressortissant africain, a été mis en examen dimanche pour « vol, tentative de viol et tentative de meurtre » sur une jeune femme par une juge d'instruction parisienne. Un triptyque d'accusations graves pour cet homme décrit comme « un prédateur » par un proche de l'enquête. Il a été placé en détention provisoire à la prison de Fresnes (Val-de-Marne).

     

    Dans la nuit du 28 au 29 mai, vers 3h50, une étudiante rentre chez elle à rollers après avoir passé une soirée dans Paris. Alors qu'elle fait une pause à un abribus dans le XIIIe arrondissement pour se reposer, elle est abordée par le suspect. La jeune femme l'ignore puis, mal à l'aise, coupe court à la conversation.

    Il plonge dans la Seine pour s'enfuir

    Au moment de repartir, selon son récit, elle est brutalement agrippée par le cou par son agresseur, qui tente de l'étrangler. L'homme parvient à baisser le pantalon de la victime et la toucher au niveau des parties intimes. « Il lui dit clairement à ce moment-là qu'il va la violer, relate une source policière. Mais la jeune femme a le réflexe de lui mettre les doigts dans les yeux. »

    L'étudiante en profite pour tenter de distancer son agresseur en rollers mais elle est rapidement rattrapée par celui-ci. Il lui assène alors un violent coup de poing et hurle qu'il va la « tuer ». Mais dans la lutte, la jeune femme parvient à prendre la fuite en abandonnant son sac. C'est la fin de son calvaire.

    Alertés, des policiers de la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP) prennent en chasse l'agresseur, parti avec les effets de la victime. L'homme plonge dans la Seine mais il est interpellé par la brigade fluviale vers 4h30 du matin. Devant les enquêteurs de la 3e DPJ, il reconnaît les faits. Le suspect est défavorablement connu des services de police sous différentes identités. La victime, très choquée, souffre de contusions, d'hématomes et d'abrasions.

    Le Parisien


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  • Un peu de rigolade pour changer !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 02 06 2020


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  • Reprendre  la place Stalingrad,à la lisière du 10e et du 19e arrondissement de Paris, aux dealers de crack. C’est, selon Le Parisien, une « priorité absolue » de Rémy Heitz, procureur de la République de Paris et de Valérie Martineau, directrice de la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne.

    Pour ce faire, les autorités entendent notamment agir sur les consommateurs de cette drogue bon marché et particulièrement addictive. Désormais, ces derniers sont systématiquement déférés au tribunal avec une injonction thérapeutique et une interdiction de paraître de six mois dans le quartier. Selon le parquet, ces mesures ont été appliquées à 13 reprises en trois jours.

    En parallèle, le procureur a donné des consignes pour favoriser le travail de la police judiciaire dans le démantèlement des enquêtes. Des informations judiciaires sont régulièrement ouvertes afin d’identifier d’éventuelles complicités. Et ce malgré les spécificités de ce trafic. « Contrairement à l’héroïne, la cocaïne ou le cannabis, il n’existe aucun trafic de crack à l’échelle internationale ou même nationale. Il n’y a pas d’importation de crack en France, le produit se fabrique facilement avec une petite quantité de cocaïne et du bicarbonate », expliquait en septembre à 20 MinutesEmmanuelle Oster, la commissaire centrale du 18e arrondissement où se situait notamment la «colline du crack».

    20 Minutes

    LIEN autre article :

    https://www.20minutes.fr/societe/2612139-20190925-paris-trafic-crack-dealer-va-vers-consommateur


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  • Le bambin était conscient à l'arrivée des secours

    Des parents de Saint-Dié-des-Vosges ont eu une énorme frayeur ce dimanche. Il était environ 12h30 lorsque leur bébé de 14 mois a échappé à leur vigilance. Le temps pour le bambin de passer à travers les barreaux d’une fenêtre et de tomber du 3e étage, selon Vosges Matin.

    Appelés sur place, les secours ont trouvé l’enfant conscient. Il avait survécu à sa chute et a été transféré à Nancy par un hélicoptère du Samu. La police de Saint-Dié-des-Vosges doit maintenant déterminer les circonstances exactes de l’accident.

    20 Minutes

    Ils ont eu de la chance cette fois ci !


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  • Un vol à main armée a eu lieu ce mardi matin dans le VIIe arrondissement de Paris. Les malfaiteurs ont pris la fuite avec un butin de plusieurs centaines de milliers d’euros.

    Trois individus ont fait irruption dans le magasin de produits de luxe « Collector Square » situé au 36 boulevard Raspail à Paris (VIIe), ce mardi à 11h45. L’enseigne est également un dépôt vente.

    Munis de bombes lacrymogènes, ils ont poussé et menacé l’agent de sécurité avant de briser des vitrines à la hache et de s’emparer de nombreux articles indique une source policière.

    Les malfaiteurs ont dérobé une dizaine de montres de luxe ainsi que plusieurs sacs contenant divers produits. Ils ont ensuite pris rapidement la fuite à bord des deux scooters sur lesquels ils étaient arrivés. Les deux véhicules étaient faussement immatriculés.

    Un butin estimé à 450 000 euros

    Personne n’aurait été blessé durant ce braquage. Les policiers ont procédé à de nombreuses constatations sur place, pour tenter de retrouver un maximum de traces et indices.

    Le butin est pour l’heure estimé à 450 000 euros selon cette même source. Une enquête a été ouverte.

    Un braquage ce samedi dans une bijouterie

    Un autre vol à main armée s’est produit dans le VIIIe arrondissement de Paris ce samedi à la mi-journée. Trois malfaiteurs ont pénétré dans une bijouterie avant de s’emparer de nombreuses bagues et de prendre la fuite. S’agit-il des mêmes malfaiteurs qui ont agi aujourd’hui ? L’enquête devra le déterminer.

    ACTU 17


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  • Un homme a violemment agressé une femme qui faisait du jogging, pour s’emparer de son smartphone. Des témoins ne l’ont pas laissé s’échapper.

    Une joggeuse a subi une violente agression de la part d’un jeune homme de 27 ans, ce dimanche vers 10 heures à Toulouse (Haute-Garonne). Elle venait de quitter son domicile pour faire du sport, lorsqu’elle a croisé un inconnu sur le boulevard de la Marne.

    Celui-ci a repéré le smartphone de la joggeuse avant de la bousculer violemment par derrière, provoquant sa chute. L’agresseur a profité qu’elle soit au sol pour la rouer de coups de pied et de poing, rapporte La Dépêche.

    Des passants maîtrisent l’agresseur

    Témoins de cette violence agression, plusieurs personnes sont intervenues et ont réussi à maîtriser l’assaillant. Le jeune homme est parvenu à se défaire de leur emprise en se débattant. Il est reparti en courant mais a été de nouveau attrapé et maîtrisé.

    À leur arrivée, les policiers n’ont eu qu’à le cueillir. Il a été interpellé et placé en garde à vue au commissariat. Déjà défavorablement connu de la justice, le mis en cause devait être déféré ce mardi matin au parquet de Toulouse.

    ACTU 17

    Pourquoi pas l'origine du sale mec ?

    Défavorablement connu mais libre !


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  • Au moins, il a eu droit à un charriot !


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